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Chef atelier jean ruelle


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Paris (Paris)
Alexander CALDER Gravure Originale Signée au crayon par l'artsite en bas à droite Tirage à 250 ex Format 65 x 50 cm Parfait état —————— TRANSPORT RECOMMANDE OFFERT Alexander Calder est un sculpteur  et peintre  américain  né le 22  juillet  1898  à Lawnton  près de Philadelphie  et mort le11  novembre  1976  à New York. Il est surtout connu pour ses mobiles, assemblages de formes animés par les mouvements de l'air, et ses stabiles, « la sublimation d'un arbre dans le vent » d'après Marcel Duchamp. Biographie Alexander Calder est le fils d'une riche famille d'artistes, avec comme père Alexander Stirling Calder, sculpteur, et comme grand-père Alexander Milne Calder, lui aussi sculpteur. Études et travail d'illustrateur] Il est ingénieur de formation. En 1923, il entre à l’Art Students League of New York  où il étudie avec des peintres de l’Ash Can School  comme John French Sloan  et George Luks. En 1924, il travaille comme illustrateur de bandes dessinées auprès de la ''National Police Gazette''. Il y signera d'ailleurs son travail (et son personnage fictif) sous le nom de « Sandy Calder  ». Carrière artistique] En 1925, il réalise sur commande l'illustration des spectacles du cirque  Ringling Bros. and Barnum & Bailey Circus. Il va découvrir une fascination pour le thème du cirque  qui débouchera sur son Cirque de Calder, une performance  où interviennent des figures faites de fil de fer et dans laquelle l'artiste joue le rôle de maître de cérémonie, de chef de piste et de marionnettiste en faisant fonctionner manuellement le mécanisme, le tout étant accompagné de musique et d'effets sonores. Le Cirque de Calder se produira à Paris en 1926. En 1931, il s'incorpore au groupe Abstraction-Création, qui se consacre à la non figuration. À la galerie Percier, il expose une série d'œuvres abstraites faisant référence au monde naturel et aux lois de la physique qui le gouvernent. Construites en fil de fer et en bois, la plupart de ces œuvres évoquent la disposition de l'univers. Il commence aussi à construire des sculptures composées d'éléments mobiles indépendants entraînés par un moteur électrique ou par manivelle manuelle. En 1932, il expose trente de ces sculptures qualifiées de mobiles par Marcel Duchamp  et qui marquent le début de sa carrière.Il s'installe en France  en 1927, où il fabrique des jouets et donne des représentations avec son cirque de marionnettes, en fil de fer ainsi qu'en bois articulés. Il entre en contact avec des représentants de l'avant-garde artistique parisienne comme Joan Miró, Jean Cocteau, Man Ray, Robert Desnos, Fernand Léger, Le Corbusier, Theo van Doesburg  et Piet Mondrian  en 1930  qui aura une grande influence artistique sur lui. Il abandonne la sculpture figurative en fil de fer qu'il avait pratiquée depuis 1926 pour adopter un langage sculptural entièrement abstrait. L'Homme de Calder, Montréal En 1943, le Museum of Modern Art  organise une première rétrospective, suivie en 1946  par une exposition à Paris  préfacée par Jean-Paul Sartre, et en 1952, il obtient le grand prix de la Biennale de Venise. En 1958, il réalise le mobile du siège parisien de l'UNESCO, dix mètres de haut, deux tonnes d’acier noir, cinq bras. En 1962, il s'installe dans son nouvel atelier à savon du Carroi, d'une conception très futuriste et dominant la vallée de la Basse-Chevrière àSaché  en Indre-et-Loire. Il n'hésite pas à offrir ses gouaches et de petits mobiles à ses amis du pays ; il fait même don à la commune d'un mobile trônant depuis 1974  face à l'église : une anti-sculpture affranchie de la pesanteur. Il fait fabriquer la majeure partie de ses stabiles et mobiles aux entreprises Biemont à Tours, dont L'Homme, tout en acier inoxydable de24 mètres de haut, commandé par l’International Nickel du Canada (Inco) pour l'Exposition Universelle de Montréal  en 1967. Toutes les fabrications sont faites d'après une maquette réalisée par Calder, par le bureau d'étude (dirigé par M. Porcheron, avec Alain Roy, François Lopez et Michel Juigner) pour concevoir à l'échelle réelle, puis par des ouvriers chaudronniers qualifiés pour la fabrication, Calder supervisant toutes les opérations, et modifiant si nécessaire l'œuvre. Tous les stabiles sont fabriqués en acier au carbone, puis peints, pour une majeure partie en noir, sauf l'Homme qui sera en acier inoxydable (brut), les mobiles étant fabriqués en aluminium et duralumin. En 1971, Calder et Jacques Prévert  travaillent ensemble à un livre qui s’intitulera "Fêtes", publié par les éditions Maeght, où Calder réalise des eaux-fortes et Prévert écrit un long texte sur l’œuvre du sculpteur. Il collabore au projet de Hervé Poulain qui consiste à personnaliser un bolide pour les 24 Heures du Mans. En font de même Andy Warhol, César, Arman, Roy Lichtenstein,Georges Wolinski  ou encore Frank Stella. En 1994, il expose à l'abbaye Saint-Germain à Auxerre. S’il est surtout connu pour ses peintures, ses mobiles et ses stabiles, Calder a également réalisé au cours de sa longue carrière de nombreux bijoux1. Alexander Calder meurt d'une crise cardiaque à New York, le jour du vernissage d'une rétrospective de son œuvre au Whitney Museum of American Art. En 2011, la National Portrait Gallery  de Washington organise une exposition intitulée Calder's Portraits : A new Language qui met en avant un élément souvent négligé de son art : les portraits de fil de fer. Croquis, peintures, sculptures et mobiles figurant des visages sont ainsi mis à l'honneur. Œuvres] * 1926, Animal Sketching, New York - Rééd. 2009, Éditions Dilecta, Paris * 1953, Las Nubes, Aula Magna Université Centrale du Venezuela, Caracas, Venezuela * 1958 L'oreille (mobile fontaine), rue Montagne de la Cour à Bruxelles, Belgique * 1958 Spirale, Palais de l'UNESCO, Paris, France * 1962, Guillotine pour huit, stabile en acier, 7*7*4,67 m, Musée d'art moderne Lille Métropole, Villeneuve d'Ascq, France * 1962, Teodelapio, stabile en acier, Spoleto, Italie * 1963, Les Trois Ailes, stabile en acier, de 3x4,5x6 mètres, Musée d'art moderne de Saint-Étienne, France * 1964, Caliban, stabile en acier, Maison de la culture de Bourges, France * 1964, Nageoire, acier, 4,55x5,1x6,1 mètres, MNAM, Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou * 1965, Brasilia, stabile mobile, 3,75 x 3,25 x 2,25 mètres, Fondation Pierre Gianadda, parc de sculptures, Martigny, Suisse * 1967, Les Cinq Ailes, stabile en acier, 4,8x7,8x5,9 mètres, Parc floral de Vincennes, Paris, France * 1967, Les Trois Pics, stabile en acier, place de la Gare, Grenoble, France * 1967, La Cornue, stabile en acier, parvis de la Bibliothèque universitaire du Campus, Grenoble, France * 1967, Monsieur Loyal, stabile en acier, Musée de Grenoble, France * 1967, L'Homme, stabile en acier inoxydable, 21,3x22 mètres, Belvédère du Parc des Îles, Montréal, Canada * 1969, A. Crimly, duralumin, 3x5x2 mètres, Amboise, France * 1969, Ordinary, acier, haut de 12 mètres * 1970, La Croix du Sud, mobile, Musée d'art moderne Lille Métropole, Villeneuve d'Ascq, France * 1970, Stabile-Mobile, acier 7x8x5 mètres, Musée d'Art moderne et d'Art contemporain (Nice), France * 1973, Flamingo, sculpture en acier, Chicago * 1974, Cheval rouge, stabile en acier, 5x6x5,94 mètres * 1974, La cornue, stabile en acier, campus universitaire de Grenoble * 1974, Tom's, stabile en acier 5,72x5,49x6,71 mètres * 1975, Le Grand Diable rouge, acier, 3,10x2,95 mètres * 1976, L'Araignée Rouge (The Red Spider), acier, esplanade de La Défense, France * 1977, Un geste pour Jérusalem, Mont Herzl, Jérusalem, Israël.
950 €
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Paris (Paris)
Ernst SCHEIDEGGER   (1923-2016)   (Extrait présentation sur le site de la Fondation Maeght)   Ernst Scheidegger débuta sa carrière comme chef décorateur pour de grandes entreprises suisses (1940-1943). Pendant son service militaire, il rencontre Alberto Giacometti dans son atelier d'été à Maloja. Il décide en 1944 de suivre des cours de photographie, débute alors ses premiers reportages à l’étranger. Travaillant pour le plan Marshall dès 1949 (plan américain d’aide à la reconstruction de l’Europe après la guerre), ce poste lui permet de côtoyer des personnes importantes du monde artistique, alors en pleine ébullition, tels que Joan Miró, Henri Laurens ou encore Aimé Maeght. Il retrouve également son ami Alberto Giacometti. En 1962, il signera les photographies et Jean Genet le texte d’un ouvrage sur l’artiste. Plusieurs années plus tard Maeght éditeur publiera « Alberto Giacometti - Traces d’une amitié » (1990), volume illustré des photographies de Scheidegger montrant Giacometti dans les ateliers de Stampa, Maloja et Paris. Son regard aiguisé sur le monde lui permet de travailler avec les acteurs majeurs du monde de l'art et il devient un témoin privilégié de son époque, travaillant notamment pour l'agence Magnum et faisant des reportages pour Life, Paris-Match, Picture Post… De 1960 à 1988 il réalise près de deux cents reportages. Ces documentaires sont diffusés dans le monde entier et sont basés sur ses voyages aux Indes, au Pakistan, au Sud Yemen, au Maroc, en Arabie Saoudite, en Chine… En 1992 le musée d'Art de Zurich lui consacre une rétrospective. Ernst Scheidegger expose peu ses photographies mais à partir de 1994 plusieurs expositions sont consacrées à son travail dans divers centres culturels européens. La galerie Maeght exposa ses photographies de Joan Miró en 1993 à Paris puis à Barcelone. Maeght édita également de nombreuses Phototypies signées et numérotées par Ernst Scheidegger, technique qui permet d'imprimer une photographie, sans trame comme le serait une lithographie. L’ensemble de son travail (films et photographies) est conservé à la fondation Ernst Scheidegger Archive inaugurée en 2010 à Zurich. https://www.ernst-scheidegger-archiv.org/en/photos-of-artists/alberto-giacometti/
700 €
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