Chevalier legion

Légion d'Honneur (2 étoiles d'Officier) & Ordre de St Louis (1 croix de Chevalier) 3 miniatures (or) Monarchie de Juillet 1830 État : "Occasion"- Assez bon état (voir photos) La LH au centre de la photo a une couronne à fleurs de lys Les lys de la croix de St Louis ont été supprimés NO PAYPAL paiement par chèque ou virement Envoi en France métropolitaine = gratuit (je paie les frais de recommandé) Envoi hors de France métrop. = forfait de 10€ pour l'acheteur (envoi avec assurance)

Etoile de chevalier de la Légion d'Honneur époque Monarchie de Juillet (1830 1848) en argent et émail, couronne suspendue à un anneau cannelé poinçon tête de sanglier peu visible - largeur: 45 mm - hauteur: 65 mm.. Nota: Présence de réparations au revers côté droit et gauche sur les deux branches du bas. Ruban rouge - Référence: 143/50. Les frais d'expédition et d'emballage en enveloppe bulles: En envoi Ecopli suivi France ou lettre prioritaire suivie France.

Croix de Chevalier dans l'Ordre de la Légion d'Honneur, modèle IIIème République 1870 en Argent (poinçon "Sanglier"), fabrication d'orfèvre à beaux reliefs, centres rapportés. Dans son écrin Arthus-Bertrand avec plaque gravée "Souvenir des Officiers Professeurs et Sous-Officiers de l'École Militaire Enfantine HERIOT Novembre 1959". Quelques manques d'émail mais très belle décoration. l'E.M.E.H. a été fondée en 1887 par le Commandant Zacharie HERIOT (1833-1899) pour accueillir des orphelins de Guerre et des Enfants de Troupe dans le domaine de La Boissière en Seine-et-Oise. L'Orphelinat accueille environ 160 garçons jusqu'à 13 ans. La grande Guerre 1914-1918 grossira leur effectif jusqu'à 300 en 1918. En 1920 la Veuve du Commandant HERIOT fait don de son Château de Cancale pour offrir des vacances aux élèves. L'École fonctionne toujours pour l'instant. N.B. La boîte dépassant les 3 cm d'épaisseur l'envoi se fera en Colissimo.

Un ensemble de cinq ordres de la Légion d'Honneur comprenant: a) Le premier à gauche: Etoile de la Légion d'Honneur en argent avec poinçon de 40 mm environ. Description: C'est une étoile à cinq branches émaillées de blanc avec à l'avers l'effigie de la République entourée de l'inscription: REPUBLIQUE FRANCAISE et la date 1870. Le revers comporte un drapeau et un étendard. Le ruban est rouge et simple pour le modèle de chevalier. Référence: 164. Prix: 70 euros. b) le deuxième: Etoile de la Légion d'Honneur sans poinçon de 40 mm environ. Description: La même que précédemment.. Eclat d'émail blanc dans une branche recto et verso et aux pointes,boule tordue. Référence: 188. Prix: 60 euros. c) le troisième: Etoile de la Légion d'Honneur avec poinçon illisible de 40 mm environ. Description: La même que la précédente.. Un éclat d'émail blanc dans une pointe. Il est livré dans un coffret de la maison AUCOC en imitation cuir rouge marqué LEGION D'HONNEUR CHEVALIER. de 11,5 cm x 6,5 cm. Référence: 175/30. Prix: 70 euros. d) le quatrième: Etoile de la Légion d'Honneur avec poinçon de la Maison CHOBILLON de 42 mm environ. Les branches sont à filets Le ruban rouge est équipé d'une boutonnière à l'arrière. Il est usé dans le haut. Référence: 143/33. Prix: 120 euros. e) le cinquième: Etoile de la Légion d'Honneur avec poinçon illisible de 40 mm environ. Les branches sont simples. Un manque d'émail dans une pointe recto et verso. Référence: 164/50. Prix: 60 euros. Les frais d'expédition et d'emballage en enveloppe bulles: En envoi Ecopli suivi ou lettre prioritaire suivie France et par ordre. Pour le modèle en coffret dont l' épaisseur dépasse 3 cm: En envoi colissimo.

2 3° Republique Medaille Chevalier Ordre Legion Honneur Orfevre AUCOC Or et Argent TBE Decoration. Aux encheres, cette tres belle Croix de Chevalier de l'Ordre de la Legion d'Honneur, epoque 3° Republique. Modele realise par un maitre orfevre de la maison AUCOC, en vermeil, centre en or 18 carats (finesse.750), poincon de garantie et de maitre orfevre. Authentique et toujours conservee dans "son jus", en bel etat, comme le presente les photos. Couronne ovale de feuillage (chene et laurier) en relief. Le module mesure 40mm de diametre, son ruban avec sa rosette d'epoque 39mm de large.

ORDRE DE CHEVALIER DE LA LEGION D'HONNEUR 1870, AVEC SA BOITE DE TRANSPORT.

Cette croix insigne de la Légion d'Honneur grade Chevalier comporte sur sa face: une étoile à cinq branches, émaillées blanc, en bronze argenté suspendue à une couronne de feuilles, émaillée de vert et composée de feuilles de chêne et de laurier. Revers: la partie centrale appelée la légende porte deux drapeaux tricolores avec l’inscription Honneur et Patrie Ruban rouge et épingle Hauteur 10,5cm médaille 3,8 cm environ Avec un écrin monnaie de Paris Possibilité d’envoi pour 4 euros en suivi, paiement par chèque

Brevet de Chevalier - Légion d'Honneur - 1814 - 1824. État: Occasion.Très bon état

MÉDAILLE CHEVALIER DE LA LEGION d'HONNEUR III ème République 1870. État : moyen; plusieurs manques d'émail voir les photos qui sont descriptives.

Un coffret contenant un ordre de la Légion d'Honneur et une croix de guerre 1917 attribuées au même récipiendaire. Description: La Légion d'Honneur est au grade de chevalier en argent avec poinçon. Les branches sont à filets d'époque 3° République. La bélière est ornée de petits brillants. La croix de guerre 1917 est en bronze florentin avec un ruban orné d'une palme de bronze. L'éclat d'obus a blessé le récipiendaire à la ferme de Cussy sur le Chemin des Dames le 19 août 1917. Les trois pièces sont contenues dans un coffret en cuir marron de 20 cm x 14,5 cm dont le couvercle est marqué des lettres R.F.. Il est signé par DALIBON à CAEN. Petite histoire: Le récipiendaire s'appellait Robert FOY, Lieutenant d'artillerie, fils du directeur de la Société d'électricité de CAEN, qui a été atteint le 19 août 1917 et a reçu pour sa belle conduite, la croix de guerre et la Légion d'Honneur. La coupure de journal relatant les faits sera fournie. Les frais d'expédition et d'emballage en colissimo France jusqu'à 500 g

Eugène Brieux 1858-1932 Auteur dramatique, journaliste et voyageur français Académie française ♦ Lettre autographe signée à en-tête du 21, Rue d'Aumale. Demande de service pour faire rentrer son ami, le peintre Paul Gervais (1859-1944), dans l'ordre national de la Légion d'honneur. Ce dernier sera nommé Chevalier de Légion d'honneur le 31 octobre 1897 puis Officier, le 17 juillet 1908. Légères rousseurs. Adhésif présent en haut à gauche, sans incidence. ♦ Il s'agit d'un document AUTHENTIQUE. ♦ Wikipédia Eugène Brieux, né le 19 janvier 1858 à Paris et mort le 6 décembre 1932 à Nice, inhumé au cimetière du Grand Jas (Cannes), est un auteur dramatique, journaliste et voyageur français. Il est élu à l’Académie française le 18 mars 1909, au fauteuil 22, succédant à Ludovic Halévy. Eugène Brieux mit en scène en comédie les petites gens, socialement défavorisées, de France.

Un coffret contenant un ordre de la Légion d'Honneur et une croix de guerre 1917 attribuées au même récipiendaire. Description: L'étoile de la Légion d'Honneur est au garde de chevalier en argent avec poinçon. Les branches sont à filets d'époque 3° République. La bélière est ornée de petits brillants modèle de luxe. La croix de guerre 1917 est en bronze florentin avec un ruban orné d'une palme de bronze. L'éclat d'obus a blessé le récipiendaire à la ferme de Cussy sur le Chemin des Dames le 19 Août 1917. Les trois pièces sont contenues dans un coffret en cuir marron de 20 cm x 14,5 cm dont le couvercle est marqué des lettres RF. Il est signé par DALIBON à Caen. Petite histoire: Le récipiendaire s'appelait Robert FOY lieutenant d'Artillerie fils du Directeur de la Société d'Electricité de Caen. La coupure de journal de l'époque relatant les faits sera fournie à l'acheteur. Les frais d'expédition et d'emballage au tarif colissimo France. Collection occasion à vendre à Caen (14000)

Ordre de la Légion d'Honneur- Etoile de chevalier - Epoque 4° République de 42 mm en argent poinçonné, ciselé et émaillé avec des branches à filets. La couronne de feuillages est bombée et en relief. Le feuillage entre les branches est en relief. L'étoile est incurvée. Les modèles de luxe sont assez rares. L'exemplaire présenté est en parfait état. Les frais d'expédition et d'emballage en enveloppe bulles: En envoi Ecopli suivi ou lettre prioritaire suivie.

Ordre de la Légion d'Honneur- Etoile de chevalier - Epoque 4° République de 42 mm en argent poinçonné, ciselé et émaillé avec des branches à filets. La couronne de feuillages est bombée et en relief. Le feuillage entre les branches est en relief. L'étoile est incurvée. Les modèles de luxe sont assez rares. L'exemplaire présenté est en parfaite état Les frais d'expédition et d'emballage en enveloppe bulles: En envoi Ecopli suivi ou lettre prioritaire suivie jusqu'à 100 g.

Barrette de rappel de 4 cm état neuf pour chevalier de la Légion d'Honneur possibilité d'envoi, frais de port à votre charge, 3 euros en suivi, paiement par chèque possibilité d'envoi, frais de port à votre charge, (3 euros) paiement par chèque

tres beau diplome CHEVALIER de la LEGION D HONNEUR déscerné au chef de la Musique du 70 eme régiment d infanterie en 1894; Signé par le président FELIX FAURE,durant son cours mandat, terminé de facon épique. Trés beau cadre d époque:bois revétu d' une garniture feuillue martelée bronze,bien de son époque. diplome encadré par un passe partout rouge grenat a liseré doré. dimensions tableau: 58 long par 50 haut. BEAU TABLEAU  PAS DE PAYPAL.  EXPEDITION FRANCE UNIQUEMENT.

Miniature de l'étoile de la Légion d'honneur de l'époque IIe Empire, officier en OR. en or, avec son ruban - étoile 9 mm très belle état de conservation en général, regarde bien les photos.

Étoile de chevalier de la Légion d’honneur -  Monarchie de Juillet - Centres OR et émaux superbes pour une croix de cette époque. Dans un écrin. SUP.  État : Occasion Service de livraison : Lettre Suivie

Croix de Chevalier de l'Ordre impérial de la Légion d'Honneur 4è type (1812-1815) - Campagnes de Russie, Allemagne et France Premier Empire - Napoléon 1er Empereur des Français 38x23mm environ

Barrette de décorations type Dixmude pour haut-fonctionnaire, administrateur des colonies. Chevalier légion d'honneur, médaille de la résistance, médaille coloniale avec barrette Érythrée, ordres coloniaux, Bénin, Comores, Nichan el Anouar. Sur drap de fond noir. Attaches métalliques au dos. Petits défauts sur la troisième. Offre raisonnable (entre 10 et 20%) possible sur cet objet. Envoi sous enveloppe à bulles ou colissimo. Mondial relay possible. Foreign Bidder ask me before for shipping cost. Attention délais postaux allongés.

Photographie carte de visite de la Comtesse Estève (certainement la femme du militaire, Etienne Estève, voir biographie sous l'annonce) Vers 1865 à Pau Format:  10,3 x 6 cm.  Photographe: L. Subercaze à Pau Bon état, contraste un peu faible, petits points gris sur l'image, tâches de rousseurs sur le support. Étienne Estève  Pour les articles homonymes, voir Estève. Étienne Estève Naissance 11 octobre  1771 Castelnaudary  (Aude) Décès 25  avril  1844  (à 73 ans) Castelnaudary  (Aude) Origine  France Arme Infanterie Grade Général de brigade Distinctions Baron de l'Empire Commandeur de la Légion d'honneur modifier   Étienne Estève, né le 11 octobre  1771  à Castelnaudary, et mort dans la même ville le 25  avril  1844  est un général français du Premier Empire. Biographie | modifier le code] Il commence dans la carrière des armes en servant à l'Armée des Pyrénées Orientales, puis successivement à l'Armée d'Italie, des Grisons, et en Hollande. En 1806 -1807, il est à la Grande Armée, et va servir en Espagne, comme colonel en second du 82erégiment de ligne, puis comme colonel au 14e régiment d'infanterie, où il s'illustre le 26 novembre 1810 lors de la prise d'Ulldecona. Il est fait chevalier de la Légion d'honneur  le 1er octobre 1807, et officier du même ordre le 5 juillet 1808. Il obtient le titre de baron de l'Empire en 1811  ; il est général de brigade le 25 novembre 1813. Il participe successivement aux combats de Limonest  (20 mars 1814), de Saint-Gilles-Croix-de-Vie (3 juin 1815) et de Mathes  en Vendée le lendemain. Il est élevé au grade de commandeur de la Légion d'honneur le 14 septembre 1731. Sources | modifier le code] * Dictionnaire des Batailles, Alain Pigeard * Souvenirs militaires du Colonel de Gonneville, Marie de Gonneville Mirabeau (comtesse de), aux Éditions du Grenadier. * Notice no LH/908/39, base Léonore, ministère français de la Culture *

BELLE & RARE MEDAILLE 1945 Aimé LEPERCQ (1889 - 1944) Ses amis en témoignage de leur admiration pour son caractère et son oeuvre éditée par La Monnaie de Paris Coffret Biographie(du site de l'ordre de la Libération): Alias: Landry. Aîné d'une famille de neuf enfants, Aimé Lepercq est né à Collonges-au-Mont-d'Or (Rhône) le 2 septembre 1889, alors que son père était professeur de Chimie à la Faculté Catholique de Lyon. Il fait ses études au collège Saint-Joseph de Lyon et prépare ensuite avec succès, à la rue des Postes, le concours d'admission à l'Ecole Polytechnique (1909) et intègre deux ans plus tard le Corps des Mines. Mobilisé comme lieutenant au 54e Régiment d'Artillerie au mois d'août 1914, cinq fois cité (une étoile de vermeil et 4 palmes), trois fois blessé, il est fait Chevalier de la Légion d'Honneur le 23 octobre 1915 et promu au grade de capitaine au mois d'avril 1917. Rendu à la vie civile le 15 mars 1919, il occupe différents postes notamment à Grenoble et à Douai, en qualité d'ingénieur au corps des Mines, jusqu'au 16 janvier 1923. A cette époque, il demande sa mise hors cadre pour gérer, chez Schneider et Cie, des affaires métallurgiques et minières en Tchécoslovaquie. Directeur des Services de l'Union Européenne, Industrielle et Financière en Tchécoslovaquie de 1923 à 1929, puis Directeur Général de la même société, avec résidence à Paris, jusqu'à la guerre de 1939. Aimé Lepercq s'occupe particulièrement en qualité d'administrateur-délégué, en Tchécoslovaquie, des Usines Skoda, agrandies et transformées de manière à devenir l'arsenal de la Petite Entente. Il est en outre Directeur Général de la Société des Mines et Forges à Prague. Il est entre temps promu au grade d'Officier de la Légion d'Honneur à titre militaire, le 30 décembre 1931. A la déclaration de guerre 1939-1940 il prend, comme chef d'escadron d'artillerie, le commandement du 2ème Groupe du 182ème R.A.L.T. et est deux fois cité. Malgré les ordres reçus, le commandant Lepercq refuse de capituler et ce n'est qu'après l'entrée en vigueur effective de l'Armistice, le 25 juin 1940, qu'il consent à déposer les armes. Après plusieurs mois de captivité à l'oflag XB, Aimé Lepercq est rapatrié au mois d'octobre 1940 et appelé dès son retour à la Présidence du Comité d'Organisation de l'Industrie des Combustibles Minéraux Solides, poste qu'il accepte après avoir donné sa démission des fonctions de Directeur Général de l'Union Européenne, Industrielle et Financière et de tous les Conseils d'Administration où il représentait cette Société. Le 30 juin 1943 Aimé Lepercq est suspendu des ses fonctions, puis révoqué par décret en date du 18 août pour avoir manifesté, en présence d'un Commissaire du pouvoir, son opposition à la politique générale du Gouvernement relative à la déportation de la main-d'oeuvre en Allemagne. A partir de cette date, il se consacre entièrement à l'organisation de la Résistance active dans le cadre de l'Organisation Civile et Militaire (OCM) dont il fait partie depuis plusieurs mois. De septembre 1943 jusqu'au 8 mars 1944, date de son arrestation par la Gestapo, il est le premier commandant des forces paramilitairess puis des Forces Françaises de l'Intérieur (FFI) de Paris. Il est également membre du Bureau du Comité Parisien de la Libération (CPL), depuis la création de ce comité à la fin de l'été 1943 comme représentant de l'OCM. Le 25 février 1944, Aimé Lepercq accepte la présidence de l'OCM après l'arrestation par les autorités allemandes du titulaire de ce poste, Alfred Touny. Arrêté et interné à Fresnes le 8 mars 1944, puis à la prison d'Arras et ramené finalement à Fresnes, il est libéré le 17 août 1944 à la faveur du désordre qui règne à cette époque dans les administrations allemandes. Les importantes fonctions militaires qu'il occupait avant son arrestation ayant été pourvues de nouveaux titulaires, Aimé Lepercq est chargé du commandement militaire de l'Hôtel de Ville de Paris, fonction qu'il exerce en fait jusqu'au 26 août 1944. Quelques jours après, répondant à la demande du général de Gaulle, Président du Gouvernement Provisoire, Aimé Lepercq accepte d'entrer au Gouvernement comme Ministre des Finances. La mort le surprend accidentellement, dans l'accomplissement de ses fonctions, le 9 novembre 1944, alors qu'il venait de quitter Lille en voiture, après s'y être assuré personnellement que toutes les mesures étaient prises pour assurer le succès de l'emprunt de la Libération, décidé quelques jours auparavant en Conseil des Ministres. Aimé Lepercq a été inhumé à Paris, au cimetière des Batignolles. • Officier de la Légion d'Honneur• Compagnon de la Libération - décret du 29 décembre 1944• Croix de Guerre 14-18 (5 citations)• Croix de Guerre 39-45 (2 citations)• Military Cross (GB)  DIMENSIONS Médaille: 68 mm ETAT TRES BON ETAT (voir les photos en grand format) De nombreux articles divers en antiquité-brocante sont en vente dans ma boutique Dans nos 2 boutiques + de 2000 articles (art, antiquité, brocante, collection...) sont en vente...Des nouveautés presque chaque jour Possibilité de venir chercher l'objet sur place Livraison dans le monde entier et frais de port recalculés au mieux lors de l'achat de plusieurs objets Les frais de port comprennent: le port, l'emballage sécurisé, le temps de la confection des colis et l'assurance indiquée... Merci de votre compréhension N’oubliez pas de m’ajouter à votre liste de favoris ! Consultez mes autres objets ! 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breizh.antiques.art@gmail.com 06 47 07 70 65 34 Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne à partir de 1880). Frappée en 1929. Graveur:  G Prud'homme. Dimension: 68 mm. Poids:  159 g. Métal : bronze. Poinçon sur la tranche (mark on the edge) : corne d'abondance + bronze . Envoi rapide et soigné.   Ferdinand Jean Marie Foch est né dans une famille bourgeoise catholique à Tarbes. Ferdinand est le sixième des sept enfants2 de Bertrand Jules Napoléon Foch (1803-1880) et de Sophie Dupré (1812-1883). Son père est « percepteur » (fonction parallèle à celle de trésorier-payeur général) originaire du Comminges (Gascogne)3. Quant à sa mère, elle est la fille de Jacques-Romain Dupré (Loriol, 1771 - Argelès-de-Bigorre, 26 janvier 18524), retraité capitaine, chevalier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII), chevalier de l'Empire, et de Marie-Anne Ducot. Sophie avait un frère, le chevalier Germain Dupré (10 janvier 1811-« Argelès-de-Bigorre5 » - Montpellier, ✝ 11 décembre 1893), médecin et sénateur. Maison natale du maréchal Foch à Tarbes. Au gré des affectations administratives de son père, il effectue sa scolarité à Tarbes, à Rodez, ou à Lyon. Il fréquente les collèges jésuites de Saint-Étienne et Saint-Clément de Metz. Il est chassé de ce dernier établissement pendant la guerre de 1870, le collège étant occupé par un bataillon de Poméraniens. Il passe les concours à Nancy et en novembre 1871 il intègre l'École polytechnique. Le 5 novembre 1883, il se marie avec Julie Bienvenüe (1860-1950) à l'église Saint-Michel de Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor), une petite-cousine de Fulgence Bienvenüe, créateur du métro de Paris. Le couple aura quatre enfants6: Foch en uniforme de colonel du 35e régiment d'artillerie. Marie Foch (1885-1972), épouse de Paul Bécourt, capitaine au 26e bataillon de chasseurs (✝ 22 août 1914), mort pour la France à Joppécourt7 (Meurthe-et-Moselle) et postérité dont Jean Bécourt-Foch (1911-1944), compagnon de la Libération; Anne Foch (1887-1981), épouse d'Alex Fournier (1879-1929), postérité; Henry Fournier-Foch, colonel (1912-2006); Eugène Jules Germain Foch (19 juin 1888 à Montpellier - 30 juin 1888 à Montpellier); Germain Jules Louis Foch (23 décembre 1889 à Montpellier - 22 août 1914), aspirant au 131e régiment d'infanterie, mort pour la France à Ville-Houdlémont (Meurthe-et-Moselle)8 (On peut remarquer une tragique ironie de l'histoire, le général perd son fils et son gendre, tués à l'ennemi, le même jour, moins de trois semaines après le début du conflit). À la déclaration de guerre contre l'Allemagne, en 1870, il s'engage au 4e régiment d'infanterie qui ne combat pas. À la fin de la guerre franco-prussienne, il décide de rester dans l'armée et intègre l'École polytechnique, choisit l'École d'application de l'artillerie et du génie dont il sort en 1873 comme officier d'artillerie. Il est affecté comme lieutenant au 24e régiment d'artillerie à Tarbes. En 1876, il suit au sein de l'École de cavalerie de Saumur le stage des officiers d'artillerie montée. Le 30 septembre 1878, il devient capitaine. Il arrive à Paris le 24 septembre 1879 comme adjoint au service du personnel du dépôt central de l'artillerie. Il entre ensuite à l'École supérieure militaire comme élève, effectue en 1885 le stage de l'école au 16e corps d'armée et devient lui-même professeur à cette école de 1895 à 1901. Il y est professeur d'histoire militaire, de stratégie et tactique générale, et devient l'un des théoriciens français de l'offensive. Il se fait connaître par ses analyses critiques de la guerre franco-prussienne et des guerres napoléoniennes. Il poursuit son ascension dans l'armée: promu lieutenant-colonel en 1898, il est nommé colonel en 1903, chef de corps du 35e régiment d'artillerie à Vannes, puis général de brigade (1907). Il assume le commandement de l'École de Guerre de 1907 à 1911, année où il est nommé général de division; puis en 1913, général commandant de corps d'armée, à la tête du 20e corps d'armée de Nancy. Elizabeth Greenhalgh considère que les promotions de cet homme ambitieux sont davantage dues à ses qualités de diplomate et à son sens politique qu'à ses talents militaires puisqu'il fait son début de carrière comme officier d'État-major, fonction par ailleurs méprisée par les officiers du rang9. The stand is not for sale. Le support n'est pas à vendre. _______________________________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques

breizh.antiques.art@gmail.com 06 47 07 70 65 29 Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne d'abondance à partir de 1880). Médaille frappée vers 1929. Belle patine, quelques petits traces d'oxydation sans gravité, ainsi que de petits chocs sur la tranche. Graveur: G Granger. Dimensions: 68 mm. Poids: 174 g. Métal:bronze. Poinçon sur la tranche (mark on the edge) : Corne d'abondance + bronze . Envoi rapide et soigné. Ferdinand Jean Marie Foch est né dans une famille bourgeoise catholique à Tarbes. Ferdinand est le sixième des sept enfants2 de Bertrand Jules Napoléon Foch (1803-1880) et de Sophie Dupré (1812-1883). Son père est « percepteur » (fonction parallèle à celle de trésorier-payeur général) originaire du Comminges (Gascogne)3. Quant à sa mère, elle est la fille de Jacques-Romain Dupré (Loriol, 1771 - Argelès-de-Bigorre, 26 janvier 18524), retraité capitaine, chevalier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII), chevalier de l'Empire, et de Marie-Anne Ducot. Sophie avait un frère, le chevalier Germain Dupré (10 janvier 1811-« Argelès-de-Bigorre5 » - Montpellier, ✝ 11 décembre 1893), médecin et sénateur. Maison natale du maréchal Foch à Tarbes. Au gré des affectations administratives de son père, il effectue sa scolarité à Tarbes, à Rodez, ou à Lyon. Il fréquente les collèges jésuites de Saint-Étienne et Saint-Clément de Metz. Il est chassé de ce dernier établissement pendant la guerre de 1870, le collège étant occupé par un bataillon de Poméraniens. Il passe les concours à Nancy et en novembre 1871 il intègre l'École polytechnique. Le 5 novembre 1883, il se marie avec Julie Bienvenüe (1860-1950) à l'église Saint-Michel de Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor), une petite-cousine de Fulgence Bienvenüe, créateur du métro de Paris. Le couple aura quatre enfants6: Foch en uniforme de colonel du 35e régiment d'artillerie.    Marie Foch (1885-1972), épouse de Paul Bécourt, capitaine au 26e bataillon de chasseurs (✝ 22 août 1914), mort pour la France à Joppécourt7 (Meurthe-et-Moselle) et postérité dont Jean Bécourt-Foch (1911-1944), compagnon de la Libération;     Anne Foch (1887-1981), épouse d'Alex Fournier (1879-1929), postérité; Henry Fournier-Foch, colonel (1912-2006);     Eugène Jules Germain Foch (19 juin 1888 à Montpellier - 30 juin 1888 à Montpellier);     Germain Jules Louis Foch (23 décembre 1889 à Montpellier - 22 août 1914), aspirant au 131e régiment d'infanterie, mort pour la France à Ville-Houdlémont (Meurthe-et-Moselle)8 (On peut remarquer une tragique ironie de l'histoire, le général perd son fils et son gendre, tués à l'ennemi, le même jour, moins de trois semaines après le début du conflit). À la déclaration de guerre contre l'Allemagne, en 1870, il s'engage au 4e régiment d'infanterie qui ne combat pas. À la fin de la guerre franco-prussienne, il décide de rester dans l'armée et intègre l'École polytechnique, choisit l'École d'application de l'artillerie et du génie dont il sort en 1873 comme officier d'artillerie. Il est affecté comme lieutenant au 24e régiment d'artillerie à Tarbes. En 1876, il suit au sein de l'École de cavalerie de Saumur le stage des officiers d'artillerie montée. Le 30 septembre 1878, il devient capitaine. Il arrive à Paris le 24 septembre 1879 comme adjoint au service du personnel du dépôt central de l'artillerie. Il entre ensuite à l'École supérieure militaire comme élève, effectue en 1885 le stage de l'école au 16e corps d'armée et devient lui-même professeur à cette école de 1895 à 1901. Il y est professeur d'histoire militaire, de stratégie et tactique générale, et devient l'un des théoriciens français de l'offensive. Il se fait connaître par ses analyses critiques de la guerre franco-prussienne et des guerres napoléoniennes. Il poursuit son ascension dans l'armée: promu lieutenant-colonel en 1898, il est nommé colonel en 1903, chef de corps du 35e régiment d'artillerie à Vannes, puis général de brigade (1907). Il assume le commandement de l'École de Guerre de 1907 à 1911, année où il est nommé général de division; puis en 1913, général commandant de corps d'armée, à la tête du 20e corps d'armée de Nancy. Elizabeth Greenhalgh considère que les promotions de cet homme ambitieux sont davantage dues à ses qualités de diplomate et à son sens politique qu'à ses talents militaires puisqu'il fait son début de carrière comme officier d'État-major, fonction par ailleurs méprisée par les officiers du rang. Le chevalet n'est pas à vendre. The stand is not for sale.   ____________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques

Un grand patriote Sarthois méconnu, Ledru des Essarts Jean-Louis Bonnéry 1988 Prix: 7,00 € Livre en bon état Ledru des Essarts 1765-1844 Honneur et Patrie Un grand patriote sarthois méconnu Capitaine en 1792, Général de division sous l'Empire, Chevalier de la Couronne de Fer, Chevalier de Saint-Louis, Grand Officier de la Légion d'Honneur, Baron d'Empire, Pair de France par Louis-Philippe La vie de ce soldat courageux qui n'aimait que la paix racontée dans ses lettres recueillies par Jean-Louis Bonnéry Catégorie(s): Histoire (Histoire et Politique), Correspondances (Société) Référence du livre: R03587 Pour retrouver tous mes livres tapez loccasiondelire dans la barre de recherche (ou ailleurs sur le net).

BARRETTE DE 7 REDUCTIONS DE MEDAILLES montées sur chainette - Chevalier de la Légion d'honneur - Médaille du mérite social - Chevalier Etoile Noire du Bénin - Officier Ouissam Alaouite - Officier Nichan Iftikar - Médaille de la Jeunesse et des Sports - Ordre de Saint Charles Monaco L'ensemble en excellent état. Envoi en LS France et UE. Bonnes enchères à toutes et à tous.

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Avis de Décès de François Monget - Colonel directeur du Génie à Lyon, Chevalier de la Légion d'Honneur, Officier du Nicham Itchikar, Commandeur de l'Ordre de Saint Stanislas de Russie décédé à Lyon le 2 janvier 1913AVD13/ Format 20x26 cm, 1 feuillet, état correct, petites marques, envoi protégé Insolite Insolites Tranche de poids: 0 à 100 g