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Parc national marin


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France (Toutes les villes)
Parc National De Basse-Casamance Merci de cliquer sur toutes les bannieres pour nous aider.
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Ousse (Pyrénées Atlantiques)
Parc National d'Ordesa et du Mont Perdu (Niscle, Escuain, Pinède) Jean-Paul Pontroué 1992 Prix: 20,00 € Livre en bon état Catégorie(s): Sports (Sport et Véhicules), Nature (Animaux et Nature) Référence du livre: R15591 Pour retrouver tous mes livres tapez loccasiondelire dans la barre de recherche (ou ailleurs sur le net).
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France (Toutes les villes)
Livres Tourisme en France Livres Code EAN: 9782708958562 Propriétaire: Decitre ClassificationDecitre 1: Tourisme en France Titre: Parc National Des Pyrénées - L'ordre De Grandeur Disponibilité: Disponible Lieu de parution: Toulouse, France ClassificationDecitre 2: Régions ClassificationDecitre 3: Midi-Pyrénées Livres / Format: Broché Livres Origine: Decitre Livres / Période: Livre édité depuis 1980
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Ousse (Pyrénées Atlantiques)
Guide de visiteurs: Le parc national Kruger 2006 Prix: 5,00 € Livre en bon état Catégorie(s): Voyages, Nature (Animaux et Nature), Animaux (Animaux et Nature) Référence du livre: R13795 Pour retrouver tous mes livres tapez loccasiondelire dans la barre de recherche (ou ailleurs sur le net).
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France (Toutes les villes)
Livre Livres Code EAN: 9782751404962 Année édition: édition Disponibilité: Disponible Titre: Tour De L'oisans Et Des Ecrins - Parc National Des Ecrins - Plus De 10 Jours De Randonnée Livres / N° de collection: 508 Livres Origine: Decitre Propriétaire: Decitre Livres / Format: Beau livre Livres / Période: Livre édité depuis 1980 Lieu de parution: Paris, France ClassificationDecitre 1: Guides touristiques France ClassificationDecitre 2: Guide de randonnée Livres / Collection: Topoguides Gr ClassificationDecitre 3: Rhône-Alpes
14,89 €
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Eaunes (Haute Garonne)
BROCHE. BADGE, MÉDAILLE, LES AMIS DU PARC NATIONAL DES PYRÈNEES OCCIDENTALES Diametre: 3,5 centimètres env état voir photo !  avec  épingle au verso. envoi en enveloppe a bulles réduction sur les frais pour plusieurs achats!
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France (Toutes les villes)
Livre Livres Code EAN: 3282110005879 Titre: RODEZ MENDE PARC NATIONAL DES CEVENNES OUEST 58 Livres / Format: Carte Plan ClassificationDecitre 2: Carte de randonnée en France ClassificationDecitre 1: Carte de la France Livres / Langue: Français Livres / Taille: Petit, de 0 à 350g Ressum: 1
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Tours (Indre et Loire)
- Dos: divisé cpa Pau vue du grand parc - Circulé: oui - Année: 1923 - Editeur: / Numéro: 917 ETAT bon voir scan Collection occasion à vendre à Tours (37000)
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France (Toutes les villes)
Thaïlande, histoire, société, culture - par Arnaud Dubus - Les guides de l'Etat du monde - Editions La Découverte - Dépôt légal mars 2011- Dimensions en cm: 19 x 12 x 1,5. Il est vendu 6 €. Holland in platen en citaten - Uitgeverij van Keulen N.V. Den Haag (en 4 langues: hollandais, anglais, français, allemand) - Dimensions en cm: 21 x 15,5 x 1,5. Il est vendu 6 €. Voici le parc national de Hoge Veluwe Photos Cas Oorthuys e.a. - Texte de A.B. Wigman et du Professeur A. M. Hammacher - Edité en collaboration avec la Fondation du parc national "De Hoge Veluwe" et la Fondation Kröller-Müller - 1960 - Dimensions en cm: 19 x 12 x 1. Il est vendu 12 €. Le lot des 3 livres est vendu 20 €. Ils sont à retirer près du métro Le Kremlin Bicêtre ou au métro Bourse (75002).
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POUR L’EXPEDITION DE LIVRES A L’INTERNATIONAL Nous pouvons vous effectuer sur demande un envoi à tarif économique des services postaux Amis lecteurs étrangers N’hésitez pas à nous consulter * Cet ouvrage est en « ACHAT IMMÉDIAT » Un simple clic vous permet d’en faire l’acquisition sans attendre ! Cette annonce est aussi détaillée que possible C’est un travail qui demande beaucoup de sérieux Merci de m’accorder votre confiance * LES FRAIS DE PORT SONT RECALCULÉS EN CAS D’ACHATS MULTIPLES Avant tout règlement, merci d’attendre la demande de paiement actualisée * Paul Castela D’ORCIÈRES A MERLETTE La mutation du Pays du Drac Noir Edition de l’Office du Tourisme d’Orcières – Merlette Imprimerie Gamba Dépôt Légal 4 ème trimestre 1984 * INTRODUCTION « Au Nord de Gap, des belv édères des cols Bayard ou de Manse, on peut admirer l'ampleur d'un immense cirque de montagnes fermé par le Massif du Vieux Chaillol, c'est le Haut-Champsaur. Saint-Jean Saint-Nicolas et Pont-du-Fossé occupent la plaine; au loin, deux vallées se détachent, celles des deux Drac. L'une forme le Champoléon drainé par le Drac Blanc qui longe la haute barrière du Sirac, et l'autre, le pays d'Orcières, drainé par le Drac Noir. L'Ourci érois, le Pays des Ours, si l'on s'en réfère à l'étymologie, l’Orciérois comme nous l'appellerons de préférence, vaste cirque au ciel souvent limpide, à l'atmosphère sèche, ouvert aux influences de l'Ouest, occupe une position très centrale, au cœur des Alpes Occi­dentales, à la limite des Alpes du Nord et de celles du Sud. Dans cette région de contacts les influences méridionales et septentrionales s'af­frontent, provoquent de nombreuses nuances dans le climat et la végétation et donnent au Pays du Drac Noir toute son originalité. Conna ître un milieu humain et social, comprendre l'espace dans lequel il développe ses activités, suppose l'utilisation de toutes les sources possibles d'information. Assez curieusement, alors que la chaîne des Alpes est sans doute l'espace géographique le mieux étudié du monde, le pays du Drac Noir et le haut Champsaur dans son ensemble ont pu paraître oubliés, même dans des travaux récents qui prétendent l'englober dans leur champ d'étude. Raoul Blanchard avait été impressionné par sa visite à Prapic dans les années trente, mais il ne s'est guère attardé sur la vie des Orçatus. Nos recherches universitaires voici une trentaine d'années nous avaient amené à publier un premier ouvrage sur "Orcières, Pays du Drac Noir", complété par une mise à jour après la création de la station, en 1969. Dans les ann ées cinquante, il nous a été en effet possible d'entrer en contact avec une société rurale qui conservait tous les caractères ethnologiques de la société traditionnelle. Nous avons tissé des liens d'amitié avec de nombreux Orçatus, qui peu à peu nous ont donné la passion de leur montagne. De ces hommes et ces femmes, jeunes ou vieillards, chargés de tout le savoir d'une communauté humaine, émergeaient quelques figures, l'instituteur, le vieil émigré, le chevrier, le tisserand, le charron, le paysan et son mulet, la forestière et ses tarines. Ces montagnards ont laiss é la marque de leur existence en façonnant un paysage particulier, détruisant la forêt, cultivant des pentes très raides, fauchant des prairies à des altitudes inimaginables, ramenant avec leur mulet seulement deux trousses de foin en une journée en travaillant quatorze heures durant, poussant les troupeaux à l'ex­trême limite altitudinale de la pelouse alpine. Ces hommes rudes, burinés par le soleil, patients gardiens de troupeaux et laboureurs infatigables, reposent maintenant dans le paisible cimetière blotti autour de l'église d'Orcières. Bergers d'Archinard et des Marches, forestières des Baniols, curés et instituteurs de Prapic et de Serre-Eyraud, tous ont disparu, avec leurs fonctions. Chapelles en ruines, chalets croulants sous la neige, chemins trop raides envahis par les buissons, minuscules parcelles de terres jadis travaillées avec de simples outils et maintenant abandonnées, constituent les témoi­gnages de cette vie ancienne. Une nouvelle vie est n ée, sur le versant du Drouvet, depuis quelques années. Elle est d'abord venue troubler le calme de la montagne, les marmottes ont fui devant la ronde infernale des camions et des machines, le béton a surgi où fleurissaient les gen­tianes; tout autour des vieux chalets de Merlette une véritable ville a grandi, animée maintenant l'hiver par les milliers de skieurs venus des grandes cités. Un sang nouveau est apparu à Orcières et la tendance démographique a été inversée: le dépeuplement a fait place à une augmentation de la population. L'Orci érois est-il sauvé ? Les montagnards, abandonnant leur ancienne vocation se sont faits les promoteurs de la nouvelle station de Merlette, appuyés par les citadins, gagnés par le charme de ces montagnes; tous ont participé à la construction de ce grand centre de loisirs. Les Or çatus ont voulu créer une station pour se sortir d'une situation économique et sociale qui poussait tous les adolescents à quitter leur montagne. Le maire et son conseil municipal, pendant près de vingt ans, ont lutté pour réussir. Désormais Orcières-Merlette est considérée comme un des meilleurs exemples d'une adaptation d'une communauté de montagne à la civilisation des loisirs. Ainsi les transformations les plus d écisives ont-elles frappé la petite communauté agro-pastorale, l'Orciérois a pris un visage nou veau, les visiteurs sont venus en toute saison de plus en plus nom­breux. Il importe donc de pr ésenter la mutation profonde subie parle Pays du Drac Noir depuis 1960. Beaucoup de nos premiers interlocuteurs et bien de nos amis montagnards ont disparu. Jean Dye Pellisson qui fut un instituteur comp étent et un chercheur avisé a laissé quelques notes, la Mairie d'Orcières est devenue un centre administratif important, où s'accu­mulent des dossiers, la station d'Orcières dispose désormais d'un personnel administratif et de direction efficace et compétent, le Parc National des Ecrins a installé un personnel permanent dans la com­mune; à Mariette, quantité de personnes s'intéressent aussi à la vie de ce qui est devenu "leur commune". Tous ont pu apporter des informa­tions, des suggestions, des documents qui ont permis de répondre rapidement aux vœux de l'Office du Tourisme et du Maire d'Orcières de disposer d'un document présentant la grande mutation du Pays du Drac Noir. Au terme de cette étude, nos remerciements s'adressent tout particulièrement à MM. Camille Ricou et René Borel qui avec l'en­semble du Comité de Direction de l'Office de Tourisme ont approuvé et soutenu avec efficacité la proposition de M. Demeester de faire oublier ce nouvel ouvrage sur le Pays du Drac Noir où nous avons le privilège depuis très longtemps de compter une foule d'amis; que tous trouvent ici le témoignage de notre fidèle attachement à ce beau pays.  » ORCI ÈRES. Eté 1984 TABLE DES MATI ÈRES Avant-Propos INTRODUCTION: Orci ères, Pays du Drac Noir PREMI ÈRE PARTIE: LE MILIEU NATUREL 1-  Les Cirques de montagne 2-  Le climat -  les vents -  les temp ératures -  les pr écipitations 3-  La v égétation 4-  Les torrents et les lacs 5-  La faune DEUXI ÈME PARTIE: LA VIE MONTAGNARDE TRADITIONNELLE 1-  Les origines d'Orci ères 2-  Le groupe social 3-  La construction du paysage rural 4-  L'habitat et l'habitation 5-  L'apog ée du système traditionnel 6-  Productions agricoles et techniques de cultures 7-  Prairies et p âturages 8-  L' élevage 9-  Les difficult és de la vie 10-  Les comportements collectifs TROISI ÈME PARTIE: L' ÉVOLUTION DU MILIEU ÉCONOMIQUE ET SOCIAL QUATRI ÈME PARTIE: MERLETTE, GRANDE STATION DE LOISIRS D'ALTITUDE CONCLUSION AVANT-PROPOS « Voici trente ans, dans la for êt d'Arthouze, je rencontrai un étudiant, carnet de notes à la main, qui m'annonça préparer un livre sur Orcières. Chemin faisant, jusqu'à Bousensayes, par Serre Eyraud et le "pont du facteur" sur le Drac nos propos portèrent sur deux siècles d'évolution d'Orcières et sur les médiocres pers­pectives de notre agriculture. Quelques mois plus tard paraissait "Orcières, Pays du Drac Noir", ouvrage bientôt couronné du prix de la meilleure étude rurale par le Ministère de l'Agriculture. C'est ainsi que Paul CASTELA me fit d écouvrir ce qu'est la véritable géogra­phie, faite d'une connaissance approfondie du terrain, d'une enquête minutieuse, d'un respect des hommes et de leurs comportements. Son ouvrage nous a fait prendre conscience alors, à mes collègues du Conseil Municipal et à moi même de la nécessité de trouver une solution au difficile problème du dépeuplement qui nous affaiblissait irrémédiablement. On conna ît la suite; Merlette, après vingt ans de croissance est aujourd'hui une grande station de sports d'hiver et Orcières se repeuple. Nous avons donc demandé à Paul CASTELA de jeter à nouveau, un regard curieux sur le Haut Champsaur et de nous en présenter, dans un texte agrémenté de nombreux documents, le tableau économique et social. Les pages qui suivent montrent à l'évidence la réussite de la mutation de notre Pays du Drac Noir. »  Camille RICOU * Ouvrage broché, couverture illustrée couleurs Format 24x16,5 -  217 pp Poids net 418 g TRÈS BON EXEMPLAIRE Brochage solidaire, angles bien vifs, dos bien droit sans pli de lecture * LES FRAIS DE PORT SONT RECALCULÉS EN CAS D’ACHATS MULTIPLES Avant tout règlement, merci d’attendre la demande de paiement actualisée * Merci de votre aimable attention scan 306
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breizh.antiques.art@gmail.com 06 47 07 70 65 A Dimensions:13 cm par 6 cm Plaque stéréoscopique. _______________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Jardin d'acclimatation (Paris) Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (février 2010). Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références  » (modifier l'article, comment ajouter mes sources ?). Cet article concerne le jardin botanique colonial. Pour le roman de Yves Navarre, voir Le Jardin d'acclimatation. Jardin d’acclimatation Le jardin coréen du jardin d'acclimatation. Géographie Pays France Commune Paris Quartier 16e arrondissement Superficie 19 ha Caractéristiques Création 1860 Type Jardin scientifique puis d'agrément Gestion Lien Internet http://www.jardindacclimatation.fr/ Localisation Coordonnées 48° 52′ 39″ Nord 2° 15′ 47″ Est Géolocalisation sur la carte : Paris modifier   Le jardin d’acclimatation de Paris est un parc de loisirs et d'agrément. S'étendant sur 19 hectares, il est situé entre la porte de Neuilly et la porte des Sablons à la lisière du bois de Boulogne, longeant le boulevard Maurice-Barrès (Neuilly-sur-Seine). Sommaire * 1 Histoire * 1.1 Création * 1.2 Entre le jardin scientifique et le parc de loisirs * 1.2.1 Le jardin zoologique * 1.2.2 Le jardin ethnologique * 1.3 La reconversion * 2 Gestion * 3 Accès * 4 Film tourné au Jardin d'acclimatation * 5 Notes et références * 6 Annexes * 6.1 Documentation * 6.2 Article connexe * 6.3 Liens externes Histoire Création La transformation du Bois de Boulogne en 1852 a engendré la création d'un jardin d'acclimatation à l'entrée du Bois à l'initiative de la Société impériale zoologique d'acclimatation 1, fondée le 10 février 1854 par le zoologiste Isidore Geoffroy Saint-Hilaire. Cette société savante avait pour but de contribuer à l'introduction et à l'acclimatation d'espèces animales exotiques à des fins agricoles, commerciales ou de loisir. Le 26 mars 1858, cette société obtient de la ville de Paris la concession d'un espace de quinze hectares à la bordure nord du bois de Boulogne pour y installer un « jardin d'agrément et d'exposition d'animaux utiles de tous pays ». Cette zone était en cours d'aménagement depuis 1855. La société confie en juillet 1859 à l'architecte Gabriel Davioud et au paysagiste Jean-Pierre Barillet-Deschamps la poursuite des travaux. Dans le même temps, le 25 août 1859, elle obtient de Napoléon III la concession de quatre hectares supplémentaires 2. Le jardin est inauguré par Napoléon III le 6 octobre 1860 après quinze mois de travaux. Dès son ouverture le 9 octobre, l'exotisme est bien présent : on trouve des ours, une girafe, des chameaux, des kangourous, des bananiers et des bambous 3. En octobre 1861, un aquarium y est ouvert4. En 1866, le jardin compte plus de 110 000 animaux. En 1867 y sont exposés les 12 Bœufs Gras du Carnaval de Paris, dont 6 défileront dans le grand cortège de la promenade du Bœuf Gras 5. * le Jardin d'Acclimatation en 1860, gravure d'A.Provost. * L'aquarium (1863). * Plan général du Jardin d'Acclimatation en 1868. Entre le jardin scientifique et le parc de loisirs Bien qu'il s'en soit peu à peu éloigné, le jardin d'acclimatation a longtemps gardé une dimension de loisir scientifique et d'éducation des familles. Dès 1900, on voit s'y tenir des conférences (sur l’hygiène, les voyages, la médecine, l’acclimatation, avec photos projetées sur écran), concerts, épreuves sportives, cinéma en plein air, cirque, en même temps que s'y installent des manèges pour enfants. Le jardin zoologique Le jardin ferme ses portes au public pendant la guerre de 1870. Le Bois, interdit au public, est utilisé pour installer des troupeaux qui serviront à nourrir la population en prévision d'un siège. Du 4 au 9 septembre, certains animaux sont évacués vers des parcs zoologiques à l'étranger mais très vite les moyens de transport sont paralysés et Paris est assiégée. L'hiver est particulièrement rude et le rationnement ne suffit plus : les derniers animaux pensionnaires du jardin, y compris les éléphants Castor et Pollux, sont abattus pour nourrir les Parisiens. À la fin du siège, il ne reste plus un seul animal6. Le jardin fût complètement restauré en 1872. Grâce aux donations, parmi lesquels deux éléphants dons du roi d'Italie, la faune se reconstitue par la suite. Jusqu'en 1877, les termes de la concession sont globalement respectés : les animaux sont surtout des animaux « utiles ». Les bêtes curieuses, comme les girafes et les éléphants sont néanmoins présentes dès les origines. Tous les animaux disparaîtront dans les années 1950. Le jardin ethnologique Les Indiens Kalinas de Guyane, « exposés » en 1892. L'exposition d'êtres humains présentés comme des « sauvages » est un fait avéré de longue date sur ce site. En 1877, Carl Hagenbeck propose à la vue des Parisiens une petite troupe de Nubiens. Pendant un quart de siècle, ce sont vingt-deux expositions d'êtres humains qui sont organisées7. Il s'agit majoritairement d'Africains, même si l'on trouve aussi des Indiens, des Lapons ou des Cosaques. Les troupes présentées le sont parfois en même temps que des animaux issus de la même région. Ces « exhibitions de sauvages » alimentèrent dès le XIXe siècle de vifs débats car les hommes étaient confinés derrière les grilles de la grande pelouse, comme les animaux dans leurs cages voisines8. Le jardin devient pendant cette période un des hauts lieux de l'anthropologie à Paris. Pendant le quart de siècle qui suit, le rythme de ces exhibitions ralentit : on n'en compte qu'une dizaine entre 1903 et 1931, date de la dernière exposition humaine. Elles prennent en revanche un tour plus nettement colonial, les tribus exposées étant sélectionnées dans diverses contrées de l'empire colonial français  : Sénégal, Afrique du Nord, Nouvelle-Calédonie, etc9. La reconversion En 1929, le territoire du Jardin, propriété privée de la ville de Paris, est transféré de la commune de Neuilly-sur-Seine au 16e arrondissement de Paris. Sous la pression des riverains, la vocation du jardin change profondément dans les années 1950. En 1952, le jardin devient principalement un « parc de promenades, de loisirs de plein air dont les attractions doivent avoir un caractère instructif, sportif et familial. » Un castelet de Guignol est ouvert, les fauves disparaissent et la fête foraine est réduite. Dans les années 1960, le jardin est réaménagé et le musée national des arts et traditions populaires est implanté en 1969 dans un nouveau bâtiment de type moderne spécialement construit sur son terrain, avant de fermer en 2005. La petite ferme est ouverte en 1971, le théâtre en 1973, le musée en Herbe en 1975. Le chapiteau de Silvia Monfort s'y installe pour deux ans en 1978. * Un magnolia à l'entrée de la « rivière enchantée ». * Musée en Herbe. * Un lophophore resplendissant. * Une île de la rivière enchantée * Montagnes russes Tacot Express La fin du XXe siècle et les années 2000 voient néanmoins de nouveaux changements. Le jardin s'orientalise en acquérant une maison de thé, un pont laqué de noir, puis un jardin coréen qui symbolise l'amitié entre Paris et Séoul. En 1999, l'Exploradôme est fondé par Goéry Delacôte 10. Mais les dernières activités scientifiques disparaissent avec la disparition du musée en herbe, dont les subventions sont supprimées en 2009-201011. Le bowling du jardin d'acclimatation est rasé pour accueillir en 2014 le bâtiment de la Fondation Louis-Vuitton, dessiné par l'architecte Frank Gehry. En parallèle, les édifices datant du Second Empire sont rénovés (ainsi que des belvédères et allées construites, comme à l'origine du jardin), des ateliers pour les enfants créés, le Wi-Fi gratuit installé et une boucle de 3,5 km pour les joggeurs dessinée12. Hippolyte Romain, directeur artistique du Jardin d’acclimatation et spécialiste de la Chine, y a aménagé et décoré une maison du Thé13. Gestion Logotype du jardin d'acclimatation. Dès les origines, le jardin a connu un système de concessions renouvelées à intervalle à peu près régulier. Lors de son ouverture, le conseil d'administration du jardin était tenu par la Société impériale zoologique d'acclimatation : Geoffroy Saint-Hilaire en était le président sous le patronage du prince impérial. Le fils du savant était directeur adjoint et assurait l'administration effective. La société conserva sa concession qui fut régulièrement renouvelée jusqu'en 1952. À cette date, la SARL Maillot Maurice-Barrès qui fait partie du groupe Boussac, obtient de la Ville de Paris la concession du Jardin d'Acclimatation jusqu'alors dévolue à la Société du Jardin Zoologique d’Acclimatation. Cette concession est accordée en contrepartie d’une redevance et d’un engagement d’investissement de cinquante millions de francs. Selon les termes du contrat le Jardin d'acclimatation doit devenir principalement « un parc de promenades, de loisirs de plein air dont les attractions doivent avoir un caractère instructif, sportif et familial ». Boussac obtient le renouvellement de la concession qu'il conserve jusqu'à sa disparition. Après le rachat de cette société par le groupe LVMH de Bernard Arnault en 1984, c'est ce dernier qui hérite de la concession. LVMH obtient la concession pour une durée de 20 ans le 6 décembre 1995, moyennant une redevance forfaitaire de 10 000 francs par mois, et réalise un plan d’aménagement renouant avec les principes fondateurs des jardins paysagers du XIXe siècle14. Bernard Arnault, patron du groupe de luxe obtient en 2006, dans des conditions contestées15, l'autorisation de construire un bâtiment pour abriter sa fondation pour l'art contemporain (Fondation d'entreprise Louis Vuitton, réplique à celle de son concurrent François Pinault, installée à Venise). Le bâtiment de plus de quarante mètres de haut, conçu par l'architecte Frank Gehry, devrait être inauguré en 2014. L'annulation du permis de construire par le tribunal administratif qui a été obtenue par une association de défense des espaces verts aurait dû retarder cette échéance16 mais, en juin 2012, la cour administrative d’appel de Paris a validé le permis de construire accordé par la Ville de Paris, un permis de construire délivré sur un site classé et a priori inconstructible après modification du plan local d’urbanisme 17. La direction du parc, après avoir décidé la fermeture du Bowling, du manège des papillons, de deux restaurants et des bateaux téléguidés et fait en partie détruire l'allée Alphand, a publié un communiqué dans lequel elle dément « toute intention de fermer ni les manèges ni le parc dans son ensemble. » * Un ours brun. * Un magnolia à l'entrée de la « rivière enchantée ». * Horloge florale. * Terrasse d'une buvette. Accès Le jardin est desservi par la ligne à la station Les Sablons. Jusqu'à la mise en service du prolongement de la ligne, il était desservi par la station Porte Maillot qui était le terminus de la ligne, d'où le petit train acheminait les visiteurs à l'entrée du jardin. Film tourné au Jardin d'acclimatation * La nuit sera longue, moyen métrage de et avec Olivier Torres (2003), qui conte la journée d'un père divorcé et de son fils au parc en plein hiver. Notes et références * ↑ Actuellement Société nationale de protection de la nature (SNPN). * ↑ Jean-Michel Bergougniou, Rémi Clignet et Philippe David, Villages noirs et autres visiteurs africains et malgaches en France et en Europe : 1870-1940, Paris, Karthala, 2001, p. 52. * ↑ Ngimbi Kalumvueziko, Le pygmée congolais exposé dans un zoo américain, Editions L'Harmattan,‎ 2011, p. 29. * ↑ Site du jardin d'acclimatation.  ]. * ↑ Illustration du  ] Petit Journal, 26 février 1867, p. 2, 1re et 2e colonnes. * ↑ Henri Corbel, Petite histoire du Bois de Boulogne, Albin Michel, 1931, p. 157-169 * ↑ Bergougniou, Clignet et David, op. cit., p. 54. * ↑ Bergougniou, Clignet et David, op. cit., p. 61. * ↑ Bergougniou, Clignet et David, op. cit., tableau synoptique des expositions p. 69. * ↑ (en) « Speech by HE Bernard Emié, French Ambassador to the United Kingdom at the ceremony to award the insignia of Officier in the Ordre national de la Légion d'Honneur to Goéry Delacôte, Chief Executive of the "At-Bristol" science centre »  ], Ambassador's Activities, French Embassy in the UK (consulté le 8 juin 2012). * ↑ « Ce qui est certain, c’est que le musée a été sommé de déménager dans Paris intra muros il y a plus de trois ans par la mairie, au motif que son public n’était pas assez parisien. Or, affirme Sylvie Girardet, celle-ci ne les a jamais aidés à trouver un nouveau lieu et trouve à redire sur les locaux qu’ils occupent depuis l’année dernière dans le 1er arrondissement. Pire, c’est au moment où le musée s’évertue à répondre "aux demandes de la ville" et à s’adapter à son nouvel environnement tout en poursuivant des activités au jardin d’acclimatation qu’elle reçoit l’estocade. » in « Musée en herbe : 75 000 gamins passent à la trappe »  ], L'Humanité du 20 juillet 2009. * ↑ Caroline Sallé, « Comment la Fondation Louis-Vuitton reconfigure le Jardin d'acclimatation », in Le Figaro, mercredi 28 novembre 2012, p. 13. * ↑  ] * ↑ « Audit du Jardin d'acclimatation », Rapport de l'Inspection Générale de la Mairie de Paris, no 12-11,‎ octobre 2013, p. 3 (lire en ligne  ]) * ↑ Un soupçon de conflit d'intérêt pèse sur cette autorisation dans la mesure où l'adjoint à la culture de la ville de Paris et le président de la société d'exploitation du jardin sont tous deux des employés de LVMH. * ↑ « La Fondation LVMH arrêtée en pleins travaux »  ] dans Le Parisien du 22 janvier 2011. * ↑ « Le jardin d'acclimatation menacé »  ] sur le site historia.fr consulté le 18 novembre 2012. Annexes Documentation * Pierre-Henri-Louis-Dominique Vavasseur Guide du promeneur au Jardin zoologique d'acclimatation, éditeur : au Jardin zoologique d'acclimatation, Paris 1865, In-16, 194 p., carte en couleurs. Article connexe Sur les autres projets Wikimedia : * Jardin d’Acclimatation, sur Wikimedia Commons * Ligne du jardin d’acclimatation Liens externes * Site officiel   v  · m Principaux espaces verts de Paris Bois Boulogne · Vincennes Parcs André-Citroën · Bagatelle · Belleville · Bercy · Butte du Chapeau-Rouge · Buttes-Chaumont · Champ-de-Mars · Choisy · Clichy-Batignolles · Floral · Georges-Brassens · Kellermann · Monceau · Montsouris · Passy · Sainte-Périne · Suzanne-Lenglen · Villette Jardins et squares Acclimatation · Alexandre-et-René-Parodi · Alexandre-Soljenitsyne · Algérie · Arènes de Lutèce · Atlantique · Avenue Foch · Batignolles · Belleville - Julien-Lacroix · Brancion · Carlo-Sarrabezolles · Champs-Élysées · Charles-Péguy · Claude-Bernard · Clos Feuquières · Docteur Calmette · Emmanuel-Fleury · Éole · Épinettes · Gare-de-Charonne · Grands explorateurs · Intendant · Jean-XXIII · Léon-Frapié · Léon-Serpollet · Louis XIII · Louise-Michel · Lucien-Fontanarosa · Luxembourg · Moulin-de-la-Pointe · Naturel · Nelson-Mandela (ex. 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Paris (Paris)
Alexander CALDER Gravure Originale Signée au crayon par l'artsite en bas à droite Tirage à 250 ex Format 65 x 50 cm Parfait état —————— TRANSPORT RECOMMANDE OFFERT Alexander Calder est un sculpteur  et peintre  américain  né le 22  juillet  1898  à Lawnton  près de Philadelphie  et mort le11  novembre  1976  à New York. Il est surtout connu pour ses mobiles, assemblages de formes animés par les mouvements de l'air, et ses stabiles, « la sublimation d'un arbre dans le vent » d'après Marcel Duchamp. Biographie Alexander Calder est le fils d'une riche famille d'artistes, avec comme père Alexander Stirling Calder, sculpteur, et comme grand-père Alexander Milne Calder, lui aussi sculpteur. Études et travail d'illustrateur] Il est ingénieur de formation. En 1923, il entre à l’Art Students League of New York  où il étudie avec des peintres de l’Ash Can School  comme John French Sloan  et George Luks. En 1924, il travaille comme illustrateur de bandes dessinées auprès de la ''National Police Gazette''. Il y signera d'ailleurs son travail (et son personnage fictif) sous le nom de « Sandy Calder  ». Carrière artistique] En 1925, il réalise sur commande l'illustration des spectacles du cirque  Ringling Bros. and Barnum & Bailey Circus. Il va découvrir une fascination pour le thème du cirque  qui débouchera sur son Cirque de Calder, une performance  où interviennent des figures faites de fil de fer et dans laquelle l'artiste joue le rôle de maître de cérémonie, de chef de piste et de marionnettiste en faisant fonctionner manuellement le mécanisme, le tout étant accompagné de musique et d'effets sonores. Le Cirque de Calder se produira à Paris en 1926. En 1931, il s'incorpore au groupe Abstraction-Création, qui se consacre à la non figuration. À la galerie Percier, il expose une série d'œuvres abstraites faisant référence au monde naturel et aux lois de la physique qui le gouvernent. Construites en fil de fer et en bois, la plupart de ces œuvres évoquent la disposition de l'univers. Il commence aussi à construire des sculptures composées d'éléments mobiles indépendants entraînés par un moteur électrique ou par manivelle manuelle. En 1932, il expose trente de ces sculptures qualifiées de mobiles par Marcel Duchamp  et qui marquent le début de sa carrière.Il s'installe en France  en 1927, où il fabrique des jouets et donne des représentations avec son cirque de marionnettes, en fil de fer ainsi qu'en bois articulés. Il entre en contact avec des représentants de l'avant-garde artistique parisienne comme Joan Miró, Jean Cocteau, Man Ray, Robert Desnos, Fernand Léger, Le Corbusier, Theo van Doesburg  et Piet Mondrian  en 1930  qui aura une grande influence artistique sur lui. Il abandonne la sculpture figurative en fil de fer qu'il avait pratiquée depuis 1926 pour adopter un langage sculptural entièrement abstrait. L'Homme de Calder, Montréal En 1943, le Museum of Modern Art  organise une première rétrospective, suivie en 1946  par une exposition à Paris  préfacée par Jean-Paul Sartre, et en 1952, il obtient le grand prix de la Biennale de Venise. En 1958, il réalise le mobile du siège parisien de l'UNESCO, dix mètres de haut, deux tonnes d’acier noir, cinq bras. En 1962, il s'installe dans son nouvel atelier à savon du Carroi, d'une conception très futuriste et dominant la vallée de la Basse-Chevrière àSaché  en Indre-et-Loire. Il n'hésite pas à offrir ses gouaches et de petits mobiles à ses amis du pays ; il fait même don à la commune d'un mobile trônant depuis 1974  face à l'église : une anti-sculpture affranchie de la pesanteur. Il fait fabriquer la majeure partie de ses stabiles et mobiles aux entreprises Biemont à Tours, dont L'Homme, tout en acier inoxydable de24 mètres de haut, commandé par l’International Nickel du Canada (Inco) pour l'Exposition Universelle de Montréal  en 1967. Toutes les fabrications sont faites d'après une maquette réalisée par Calder, par le bureau d'étude (dirigé par M. Porcheron, avec Alain Roy, François Lopez et Michel Juigner) pour concevoir à l'échelle réelle, puis par des ouvriers chaudronniers qualifiés pour la fabrication, Calder supervisant toutes les opérations, et modifiant si nécessaire l'œuvre. Tous les stabiles sont fabriqués en acier au carbone, puis peints, pour une majeure partie en noir, sauf l'Homme qui sera en acier inoxydable (brut), les mobiles étant fabriqués en aluminium et duralumin. En 1971, Calder et Jacques Prévert  travaillent ensemble à un livre qui s’intitulera "Fêtes", publié par les éditions Maeght, où Calder réalise des eaux-fortes et Prévert écrit un long texte sur l’œuvre du sculpteur. Il collabore au projet de Hervé Poulain qui consiste à personnaliser un bolide pour les 24 Heures du Mans. En font de même Andy Warhol, César, Arman, Roy Lichtenstein,Georges Wolinski  ou encore Frank Stella. En 1994, il expose à l'abbaye Saint-Germain à Auxerre. S’il est surtout connu pour ses peintures, ses mobiles et ses stabiles, Calder a également réalisé au cours de sa longue carrière de nombreux bijoux1. Alexander Calder meurt d'une crise cardiaque à New York, le jour du vernissage d'une rétrospective de son œuvre au Whitney Museum of American Art. En 2011, la National Portrait Gallery  de Washington organise une exposition intitulée Calder's Portraits : A new Language qui met en avant un élément souvent négligé de son art : les portraits de fil de fer. Croquis, peintures, sculptures et mobiles figurant des visages sont ainsi mis à l'honneur. Œuvres] * 1926, Animal Sketching, New York - Rééd. 2009, Éditions Dilecta, Paris * 1953, Las Nubes, Aula Magna Université Centrale du Venezuela, Caracas, Venezuela * 1958 L'oreille (mobile fontaine), rue Montagne de la Cour à Bruxelles, Belgique * 1958 Spirale, Palais de l'UNESCO, Paris, France * 1962, Guillotine pour huit, stabile en acier, 7*7*4,67 m, Musée d'art moderne Lille Métropole, Villeneuve d'Ascq, France * 1962, Teodelapio, stabile en acier, Spoleto, Italie * 1963, Les Trois Ailes, stabile en acier, de 3x4,5x6 mètres, Musée d'art moderne de Saint-Étienne, France * 1964, Caliban, stabile en acier, Maison de la culture de Bourges, France * 1964, Nageoire, acier, 4,55x5,1x6,1 mètres, MNAM, Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou * 1965, Brasilia, stabile mobile, 3,75 x 3,25 x 2,25 mètres, Fondation Pierre Gianadda, parc de sculptures, Martigny, Suisse * 1967, Les Cinq Ailes, stabile en acier, 4,8x7,8x5,9 mètres, Parc floral de Vincennes, Paris, France * 1967, Les Trois Pics, stabile en acier, place de la Gare, Grenoble, France * 1967, La Cornue, stabile en acier, parvis de la Bibliothèque universitaire du Campus, Grenoble, France * 1967, Monsieur Loyal, stabile en acier, Musée de Grenoble, France * 1967, L'Homme, stabile en acier inoxydable, 21,3x22 mètres, Belvédère du Parc des Îles, Montréal, Canada * 1969, A. Crimly, duralumin, 3x5x2 mètres, Amboise, France * 1969, Ordinary, acier, haut de 12 mètres * 1970, La Croix du Sud, mobile, Musée d'art moderne Lille Métropole, Villeneuve d'Ascq, France * 1970, Stabile-Mobile, acier 7x8x5 mètres, Musée d'Art moderne et d'Art contemporain (Nice), France * 1973, Flamingo, sculpture en acier, Chicago * 1974, Cheval rouge, stabile en acier, 5x6x5,94 mètres * 1974, La cornue, stabile en acier, campus universitaire de Grenoble * 1974, Tom's, stabile en acier 5,72x5,49x6,71 mètres * 1975, Le Grand Diable rouge, acier, 3,10x2,95 mètres * 1976, L'Araignée Rouge (The Red Spider), acier, esplanade de La Défense, France * 1977, Un geste pour Jérusalem, Mont Herzl, Jérusalem, Israël.
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France (Toutes les villes)
Guide - Pokemon - Heart Gold & Soul Silver - Nintendo DS,  Livre. État : "Occasion" "Pokedex, les 493 pokemons et le guide de la région de Kanto". 552 pages. 2010 Le second volume du guide officiel Pokémon HeartGold et SoulSilver est consacré à la région de Kanto, dans laquelle se poursuit l’aventure et la quête des Pokémon. Le guide recense les 493 Pokémon du Pokédex National (soit la totalité des Pokémon disponibles dans les deux jeux), en précisant pour chacun son habitat, ses capacités, ses statistiques... C et ouvrage s’affirme comme le compagnon d’aventure idéal pour tous les Dresseurs Pokémon ! STRUCTURE DU GUIDE Guide de Kanto (itinéraire en 76 étapes) Guide du Parc Safari Guide de la Zone de Combat Émissions radio et numéros de téléphone Guide de combat Pokémon Comment compléter le Pokédex National Pokédex National Guide du Pokéwalker Liste des données de l’aventure
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Bellegarde en Forez (Loire)
Jeux de 54 cartes illustrés Fleurs Parcs et Jardin Chats du monde Parc des oiseaux Yosemite National Parc La côte d'azur La corse (x2) L'ardèche
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Rosières près Troyes (Aube)
Lot de trois affiches modèles 11-12 et 13 Ordre de Mobilisation Générale - Ordre de rappel - Droit de réquisition. Toutes ces affiches (détenues notamment par les unités Gendarmerie) ont été détruites au niveau national en 2001 à part  quelques  exemplaires qui ont pu être conservés. L'année présente en bas à gauche de l'affiche est l'année d'impression, Situation historique: Une troisième guerre mondiale nucléaire a été évitée de justesse en 1975. Suite à l'accident du 3 novembre 1974 entre le sous marin américain SSBN-627 James Madison et un sous marin soviétique de classe Victor qui l’attendait pour engager sa poursuite. Les deux ont fait surface avant que le russe ne plonge de nouveau. Il n’y a pas d’indications sur l’étendue des dommages causés. Le secret a particulièrement été bien gardé et dissimulé, les seules informations transmises dans les médias étant que trois jours après l’accident le submersible était parti en « refit », alors qu’il s’agissait de tenter de le remettre en activité après son grave accident !!!  Un journaliste de renom, Jack Anderson, avait « malencontreusement » raconté l’histoire dans le Washington Post, dès le 1er janvier 1975 ce qui n’avait visiblement pas plus à l’administration américaine !!!  Selon Anderson, la collision avait en effet laissé une « entaille de neuf pieds dans le Madison » (2,50 m).  Selon Anderson encore, bien renseigné, « les deux sous-marins étaient passés à deux pouces l’un de l’autre ».  La France, dont les services avaient été informés, s'était donc préparée à mobiliser toutes les forces militaires disponibles en vue d'un nouveau conflit. Fort heureusement cela ne fut pas le cas (ce qui explique la non datation du premier jour de la mobilisation en bas de l'affiche) suite aux accords d’Helsinki, dont la discussion débute le 3 juillet 1973 et qui furent signés le 1er août 1975 par 35 États, dont les « deux grands » (Union soviétique et USA), le Canada et tous les États européens à l’exception de l’Albanie et d’Andorre. Le but était l'amélioration des relations mutuelles et d'assurer des conditions de paix dans lesquelles les peuples pourraient vivre, à l'abri de toute menace. Envoi MONDIAL RELAY 5 euros - Lettre suivie 7,50 euros.
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