MÉDAILLE VUES DES FUNÉRAILLES DU MARÉCHAL FERDINAND FOCH À VANNES

breizh.antiques.art@gmail.com 06 47 07 70 65 34 Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne à partir de 1880). Frappée en 1929. Graveur:  G Prud'homme. Dimension: 68 mm. Poids:  159 g. Métal : bronze. Poinçon sur la tranche (mark on the edge) : corne d'abondance + bronze . Envoi rapide et soigné.   Ferdinand Jean Marie Foch est né dans une famille bourgeoise catholique à Tarbes. Ferdinand est le sixième des sept enfants2 de Bertrand Jules Napoléon Foch (1803-1880) et de Sophie Dupré (1812-1883). Son père est « percepteur » (fonction parallèle à celle de trésorier-payeur général) originaire du Comminges (Gascogne)3. Quant à sa mère, elle est la fille de Jacques-Romain Dupré (Loriol, 1771 - Argelès-de-Bigorre, 26 janvier 18524), retraité capitaine, chevalier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII), chevalier de l'Empire, et de Marie-Anne Ducot. Sophie avait un frère, le chevalier Germain Dupré (10 janvier 1811-« Argelès-de-Bigorre5 » - Montpellier, ✝ 11 décembre 1893), médecin et sénateur. Maison natale du maréchal Foch à Tarbes. Au gré des affectations administratives de son père, il effectue sa scolarité à Tarbes, à Rodez, ou à Lyon. Il fréquente les collèges jésuites de Saint-Étienne et Saint-Clément de Metz. Il est chassé de ce dernier établissement pendant la guerre de 1870, le collège étant occupé par un bataillon de Poméraniens. Il passe les concours à Nancy et en novembre 1871 il intègre l'École polytechnique. Le 5 novembre 1883, il se marie avec Julie Bienvenüe (1860-1950) à l'église Saint-Michel de Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor), une petite-cousine de Fulgence Bienvenüe, créateur du métro de Paris. Le couple aura quatre enfants6: Foch en uniforme de colonel du 35e régiment d'artillerie. Marie Foch (1885-1972), épouse de Paul Bécourt, capitaine au 26e bataillon de chasseurs (✝ 22 août 1914), mort pour la France à Joppécourt7 (Meurthe-et-Moselle) et postérité dont Jean Bécourt-Foch (1911-1944), compagnon de la Libération; Anne Foch (1887-1981), épouse d'Alex Fournier (1879-1929), postérité; Henry Fournier-Foch, colonel (1912-2006); Eugène Jules Germain Foch (19 juin 1888 à Montpellier - 30 juin 1888 à Montpellier); Germain Jules Louis Foch (23 décembre 1889 à Montpellier - 22 août 1914), aspirant au 131e régiment d'infanterie, mort pour la France à Ville-Houdlémont (Meurthe-et-Moselle)8 (On peut remarquer une tragique ironie de l'histoire, le général perd son fils et son gendre, tués à l'ennemi, le même jour, moins de trois semaines après le début du conflit). À la déclaration de guerre contre l'Allemagne, en 1870, il s'engage au 4e régiment d'infanterie qui ne combat pas. À la fin de la guerre franco-prussienne, il décide de rester dans l'armée et intègre l'École polytechnique, choisit l'École d'application de l'artillerie et du génie dont il sort en 1873 comme officier d'artillerie. Il est affecté comme lieutenant au 24e régiment d'artillerie à Tarbes. En 1876, il suit au sein de l'École de cavalerie de Saumur le stage des officiers d'artillerie montée. Le 30 septembre 1878, il devient capitaine. Il arrive à Paris le 24 septembre 1879 comme adjoint au service du personnel du dépôt central de l'artillerie. Il entre ensuite à l'École supérieure militaire comme élève, effectue en 1885 le stage de l'école au 16e corps d'armée et devient lui-même professeur à cette école de 1895 à 1901. Il y est professeur d'histoire militaire, de stratégie et tactique générale, et devient l'un des théoriciens français de l'offensive. Il se fait connaître par ses analyses critiques de la guerre franco-prussienne et des guerres napoléoniennes. Il poursuit son ascension dans l'armée: promu lieutenant-colonel en 1898, il est nommé colonel en 1903, chef de corps du 35e régiment d'artillerie à Vannes, puis général de brigade (1907). Il assume le commandement de l'École de Guerre de 1907 à 1911, année où il est nommé général de division; puis en 1913, général commandant de corps d'armée, à la tête du 20e corps d'armée de Nancy. Elizabeth Greenhalgh considère que les promotions de cet homme ambitieux sont davantage dues à ses qualités de diplomate et à son sens politique qu'à ses talents militaires puisqu'il fait son début de carrière comme officier d'État-major, fonction par ailleurs méprisée par les officiers du rang9. The stand is not for sale. Le support n'est pas à vendre. _______________________________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques

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