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France (Toutes les villes)
Gravures des fondations des piles 5. 6, 7 et 8 du pont d’Orléans Gravures de 87 x 60 cm Sur les plans de Jean Hupeau, le suivi est le fait de Robert Soyer Les piles 5 et 6 sont faites en 1753, les 7 et 8 sont faites en 1754. Elles sont plus difficiles avec l’obligation de pieux plus longs. La rue Royale qui relie le pont au centre sera construite après la construction du pont et reste un axe central menant à la place de Jeanne d’arc A prendre à Tours ou expédition par mondial relay sous protection optimisée pour 8 €, règlement par chèque ou virement bancaire E.U. shipping pack link tracking number and insurance included, only bank transfer (paypal possible, add 4 €). Non european country, contact me Le vieux pont dit des tourelles avaient 19 arches et était gênant pour la naviguation et devenu vétuste. On décide de construire un pont de pierre. En 1748 on charge Soyer de sa conduite sous les ordres de Pitrou. Mais ce Pitrou meurt en 1750 alors que le projet est fait mais non réalisé. Ce projet sera remis en cause par Jean Hupeau son successeur qui consulte Soyer. Robert Soyer, 1717 - 1802, est ingénieur des ponts et chaussées français, qui s’est principalement illustré dans la construction du pont George V à Orléans, où il finit sa carrière comme Inspecteur général des turcies et levées. Ingénieur à la généralité de Tours, il est informé en 1748, par une lettre de Daniel-Charles Trudaine, qu'il est chargé de la conduite des travaux du pont d'Orléans, sous les ordres de Robert Pitrou. Après le décès de celui-ci, il est placé sous les ordres de Jean Hupeau jusqu'à la fin des travaux. Son manuscrit est donc un précieux document qui témoigne des méthodes de construction des ponts au XVIII e siècle, du degré d'évolution de l'art de l'ingénieur et de son rôle sur le chantier. L'ingénieur analyse et calcule le coût des différentes opérations, il établit les barèmes de temps et s'engage sur la voie française de l'organisation du travail de l'époque industrielle. Il veille au respect des plans et des devis qui sont les pièces contractuelles. Et si des difficultés se présentent, comme l'affaissement d'une pile, il doit imaginer une solution. C'est Robert Soyer qui suggère l'allègement des reins, établit les plans et les propose à son chef Jean Hupeau. Il est cependant clair que l'art de l'ingénieur n'a guère de base scientifique. Mais Robert Soyer prend des notes et illustre l'idée que le progrès technique est à base d'observations, d'expériences anarchiques et d'imagination. Et ce sont des observations consignées avec soin, combinées à la volonté de mathématisation du savoir de l'ingénieur, qui permettront, à la fin du XVIII e siècle, le passage à l'univers de la machine et de la précision. Ayant achevé sa mission au Pont d'Orléans et obtenu la réception de l'ouvrage, Robert Soyer, qui appréciait la vie orléanaise, obtint le privilège de demeurer dans cette région. Il y termina sa carrière comme Inspecteur général des turcies et levées si importantes le long de la Loire. Jean Hupeau, 1710- 1763, est un architecte et ingénieur des ponts et chaussées qui s’est illustré dans différents projets de différents ponts, dont le pont Royal d’ Orléans. Il a été successivement nommé en 1731 ingénieur de la généralité de Riom et plus tard de la généralité de Soissons. En 1742, il est nommé inspecteur des ponts et chaussées, et en 1754, premier ingénieur en remplacement de Germain Boffrand. L'art de Hupeau est reconnu. Il sera reçu académicien à l' Académie royale d'architecture en 1757. Il est mort en 1763 à la suite d'une longue maladie. En 1750, il rédigea le projet mis à exécution pour le pont d'Orléans. Le pont sera construit à 49 toises au-dessous de la tête d'aval de l'ancien pont; ceci permet de tracer, en parfait alignement, la Rue Royale qui débouche place du Martroi et, au sud, l'avenue Dauphine. Le plan de circulation est harmonieux. Il remet en cause le projet de Robert Pitrou et propose une disposition permettant des économies : ce sera 9 arches au lieu de 11, et une longueur de 165 toises au lieu de 189. Il adapte parfaitement l'ouvrage à sa destination et à son site. Il a le sens de l’esthétisme. Il retient le rapport cinq entre la portée des voûtes et la largeur des piles en majorant légèrement (5,5), il admet la forme des piles en nefs de bateau qui réduit le frottement des eaux et adopte le dessin en anses de panier à trois centres, pour les voûtes, parce que cela fait chanter les points d'appui. Pour les rampes, il choisit la valeur minimale. Le résultat est d'une grande noblesse et d'une simplicité qui l'engage à supprimer, en cours de travaux, l'obélisque prévu au devis. Les pavillons, les façades de la Rue Royale, également de sa main, sont de la même facture. Mais, alors que la réception du Pont Royal à Orléans devait être faite un an après leur entière perfection, les difficultés rencontrées conduisent à un report de deux années de cette échéance. Ainsi le constructeur Jean Hupeau qui décédait en 1763 à Paris laissait à son successeur le soin de réceptionner son œuvre majeure. Robert Soyer, 1717 - 1802, est ingénieur des ponts et chaussées français, qui s’est principalement illustré dans la construction du pont George V à Orléans, où il finit sa carrière comme Inspecteur général des turcies et levées. Ingénieur à la généralité de Tours, il est informé en 1748, par une lettre de Daniel-Charles Trudaine, qu'il est chargé de la conduite des travaux du pont d'Orléans, sous les ordres de Robert Pitrou. Après le décès de celui-ci, il est placé sous les ordres de Jean Hupeau jusqu'à la fin des travaux. Son manuscrit est donc un précieux document qui témoigne des méthodes de construction des ponts au XVIII e siècle, du degré d'évolution de l'art de l'ingénieur et de son rôle sur le chantier. L'ingénieur analyse et calcule le coût des différentes opérations, il établit les barèmes de temps et s'engage sur la voie française de l'organisation du travail de l'époque industrielle. Il veille au respect des plans et des devis qui sont les pièces contractuelles. Et si des difficultés se présentent, comme l'affaissement d'une pile, il doit imaginer une solution. C'est Robert Soyer qui suggère l'allègement des reins, établit les plans et les propose à son chef Jean Hupeau. Il est cependant clair que l'art de l'ingénieur n'a guère de base scientifique. Mais Robert Soyer prend des notes et illustre l'idée que le progrès technique est à base d'observations, d'expériences anarchiques et d'imagination. Et ce sont des observations consignées avec soin, combinées à la volonté de mathématisation du savoir de l'ingénieur, qui permettront, à la fin du XVIII e siècle, le passage à l'univers de la machine et de la précision. Ayant achevé sa mission au Pont d'Orléans et obtenu la réception de l'ouvrage, Robert Soyer, qui appréciait la vie orléanaise, obtint le privilège de demeurer dans cette région. Il y termina sa carrière comme Inspecteur général des turcies et levées si importantes le long de la Loire. Après de multiples problèmes le pont est terminé en juillet 1760 et sera inauguré par la marquise de Pompadour. Les humoristes du moment affirment l’incontestable solidité de l’ouvrage malgré les ennuis durand la construction puisque le pont a supporté…le plus lourd fardeau de France !
200 €
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Ce projet sera remis en cause par Jean Hupeau son successeur qui consulte Soyer. Robert Soyer, 1717 - 1802, est ingénieur des ponts et chaussées français, qui s’est principalement illustré dans la construction du pont George V à Orléans, où il finit sa carrière comme Inspecteur général des turcies et levées. Ingénieur à la généralité de Tours, il est informé en 1748, par une lettre de Daniel-Charles Trudaine, qu'il est chargé de la conduite des travaux du pont d'Orléans, sous les ordres de Robert Pitrou. Après le décès de celui-ci, il est placé sous les ordres de Jean Hupeau jusqu'à la fin des travaux. Son manuscrit est donc un précieux document qui témoigne des méthodes de construction des ponts au XVIII e siècle, du degré d'évolution de l'art de l'ingénieur et de son rôle sur le chantier. L'ingénieur analyse et calcule le coût des différentes opérations, il établit les barèmes de temps et s'engage sur la voie française de l'organisation du travail de l'époque industrielle. Il veille au respect des plans et des devis qui sont les pièces contractuelles. Et si des difficultés se présentent, comme l'affaissement d'une pile, il doit imaginer une solution. C'est Robert Soyer qui suggère l'allègement des reins, établit les plans et les propose à son chef Jean Hupeau. Il est cependant clair que l'art de l'ingénieur n'a guère de base scientifique. Mais Robert Soyer prend des notes et illustre l'idée que le progrès technique est à base d'observations, d'expériences anarchiques et d'imagination. Et ce sont des observations consignées avec soin, combinées à la volonté de mathématisation du savoir de l'ingénieur, qui permettront, à la fin du XVIII e siècle, le passage à l'univers de la machine et de la précision. Ayant achevé sa mission au Pont d'Orléans et obtenu la réception de l'ouvrage, Robert Soyer, qui appréciait la vie orléanaise, obtint le privilège de demeurer dans cette région. Il y termina sa carrière comme Inspecteur général des turcies et levées si importantes le long de la Loire. Jean Hupeau, 1710- 1763, est un architecte et ingénieur des ponts et chaussées qui s’est illustré dans différents projets de différents ponts, dont le pont Royal d’ Orléans. Il a été successivement nommé en 1731 ingénieur de la généralité de Riom et plus tard de la généralité de Soissons. En 1742, il est nommé inspecteur des ponts et chaussées, et en 1754, premier ingénieur en remplacement de Germain Boffrand. L'art de Hupeau est reconnu. Il sera reçu académicien à l' Académie royale d'architecture en 1757. Il est mort en 1763 à la suite d'une longue maladie. En 1750, il rédigea le projet mis à exécution pour le pont d'Orléans. Le pont sera construit à 49 toises au-dessous de la tête d'aval de l'ancien pont; ceci permet de tracer, en parfait alignement, la Rue Royale qui débouche place du Martroi et, au sud, l'avenue Dauphine. Le plan de circulation est harmonieux. Il remet en cause le projet de Robert Pitrou et propose une disposition permettant des économies : ce sera 9 arches au lieu de 11, et une longueur de 165 toises au lieu de 189. Il adapte parfaitement l'ouvrage à sa destination et à son site. Il a le sens de l’esthétisme. Il retient le rapport cinq entre la portée des voûtes et la largeur des piles en majorant légèrement (5,5), il admet la forme des piles en nefs de bateau qui réduit le frottement des eaux et adopte le dessin en anses de panier à trois centres, pour les voûtes, parce que cela fait chanter les points d'appui. Pour les rampes, il choisit la valeur minimale. Le résultat est d'une grande noblesse et d'une simplicité qui l'engage à supprimer, en cours de travaux, l'obélisque prévu au devis. Les pavillons, les façades de la Rue Royale, également de sa main, sont de la même facture. Mais, alors que la réception du Pont Royal à Orléans devait être faite un an après leur entière perfection, les difficultés rencontrées conduisent à un report de deux années de cette échéance. Ainsi le constructeur Jean Hupeau qui décédait en 1763 à Paris laissait à son successeur le soin de réceptionner son œuvre majeure. Robert Soyer, 1717 - 1802, est ingénieur des ponts et chaussées français, qui s’est principalement illustré dans la construction du pont George V à Orléans, où il finit sa carrière comme Inspecteur général des turcies et levées. Ingénieur à la généralité de Tours, il est informé en 1748, par une lettre de Daniel-Charles Trudaine, qu'il est chargé de la conduite des travaux du pont d'Orléans, sous les ordres de Robert Pitrou. Après le décès de celui-ci, il est placé sous les ordres de Jean Hupeau jusqu'à la fin des travaux. Son manuscrit est donc un précieux document qui témoigne des méthodes de construction des ponts au XVIII e siècle, du degré d'évolution de l'art de l'ingénieur et de son rôle sur le chantier. L'ingénieur analyse et calcule le coût des différentes opérations, il établit les barèmes de temps et s'engage sur la voie française de l'organisation du travail de l'époque industrielle. Il veille au respect des plans et des devis qui sont les pièces contractuelles. Et si des difficultés se présentent, comme l'affaissement d'une pile, il doit imaginer une solution. C'est Robert Soyer qui suggère l'allègement des reins, établit les plans et les propose à son chef Jean Hupeau. Il est cependant clair que l'art de l'ingénieur n'a guère de base scientifique. Mais Robert Soyer prend des notes et illustre l'idée que le progrès technique est à base d'observations, d'expériences anarchiques et d'imagination. Et ce sont des observations consignées avec soin, combinées à la volonté de mathématisation du savoir de l'ingénieur, qui permettront, à la fin du XVIII e siècle, le passage à l'univers de la machine et de la précision. Ayant achevé sa mission au Pont d'Orléans et obtenu la réception de l'ouvrage, Robert Soyer, qui appréciait la vie orléanaise, obtint le privilège de demeurer dans cette région. Il y termina sa carrière comme Inspecteur général des turcies et levées si importantes le long de la Loire. Après de multiples problèmes le pont est terminé en juillet 1760 et sera inauguré par la marquise de Pompadour. Les humoristes du moment affirment l’incontestable solidité de l’ouvrage malgré les ennuis durand la construction puisque le pont a supporté…le plus lourd fardeau de France ! Expédition par mondial relay sous bonnes protections épaises et assurance. 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Il veille au respect des plans et des devis qui sont les pièces contractuelles. Et si des difficultés se présentent, comme l'affaissement d'une pile, il doit imaginer une solution. C'est Robert Soyer qui suggère l'allègement des reins, établit les plans et les propose à son chef Jean Hupeau. Il est cependant clair que l'art de l'ingénieur n'a guère de base scientifique. Mais Robert Soyer prend des notes et illustre l'idée que le progrès technique est à base d'observations, d'expériences anarchiques et d'imagination. Et ce sont des observations consignées avec soin, combinées à la volonté de mathématisation du savoir de l'ingénieur, qui permettront, à la fin du XVIII e siècle, le passage à l'univers de la machine et de la précision. Ayant achevé sa mission au Pont d'Orléans et obtenu la réception de l'ouvrage, Robert Soyer, qui appréciait la vie orléanaise, obtint le privilège de demeurer dans cette région. Il y termina sa carrière comme Inspecteur général des turcies et levées si importantes le long de la Loire. Jean Hupeau, 1710- 1763, est un architecte et ingénieur des ponts et chaussées qui s’est illustré dans différents projets de différents ponts, dont le pont Royal d’ Orléans. Il a été successivement nommé en 1731 ingénieur de la généralité de Riom et plus tard de la généralité de Soissons. En 1742, il est nommé inspecteur des ponts et chaussées, et en 1754, premier ingénieur en remplacement de Germain Boffrand. L'art de Hupeau est reconnu. Il sera reçu académicien à l' Académie royale d'architecture en 1757. Il est mort en 1763 à la suite d'une longue maladie. En 1750, il rédigea le projet mis à exécution pour le pont d'Orléans. Le pont sera construit à 49 toises au-dessous de la tête d'aval de l'ancien pont; ceci permet de tracer, en parfait alignement, la Rue Royale qui débouche place du Martroi et, au sud, l'avenue Dauphine. Le plan de circulation est harmonieux. Il remet en cause le projet de Robert Pitrou et propose une disposition permettant des économies : ce sera 9 arches au lieu de 11, et une longueur de 165 toises au lieu de 189. Il adapte parfaitement l'ouvrage à sa destination et à son site. Il a le sens de l’esthétisme. Il retient le rapport cinq entre la portée des voûtes et la largeur des piles en majorant légèrement (5,5), il admet la forme des piles en nefs de bateau qui réduit le frottement des eaux et adopte le dessin en anses de panier à trois centres, pour les voûtes, parce que cela fait chanter les points d'appui. Pour les rampes, il choisit la valeur minimale. Le résultat est d'une grande noblesse et d'une simplicité qui l'engage à supprimer, en cours de travaux, l'obélisque prévu au devis. Les pavillons, les façades de la Rue Royale, également de sa main, sont de la même facture. 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Livre art de l’ingénieur, de l’inventeur, de l’architecte. Picon 1997 Edition le moniteur centre Georges Pompidou Très bon état, nombreuses photos et illustrations noir/blanc et couleur Dictionnaire des ingénieurs, entrepreneurs, inventeurs, architectes. 598 pages, 24 x 31 x 4.8 cm, 3,6 kg, présence de la jaquette L’objectif est de démentir les oppositions entre l’ingénieur qui est le savant et l’architecte qui est l’artiste. C’est en format luxe une référence avec détails techniques et explications multiples pour ce qui est de la construction d’immeubles, de ponts et de divers bâtiments avec des points de vue d’ingénieurs et d’architectes dans les 200 dernières années. Si vous souhaitez plus de photos, contactez-moii. A prendre à Tours centre ou expédition mondial relay sous bonnes protections de cartons en plusieurs épaisseurs.
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Corbeau Elément d'architecture intérieure embout de poutre France XIV XVe siècle érosion sur la tête du lion Le corbeau est un support formant saillie sur le parement d'un mur intégré pendant la construction, il soutient une corniche, un bandeau, une poutre, un linteau de cheminée. Les architectes des époques romane puis gothique s'en servent avec succès. Ce corbeau en bois de chêne blond, porte la trace de l'emplacement des chevilles de fixation à la poutre dont il était le support. oeuvre d'un imagier plus que de huchier est expressive, elle se compose d'un décor architectural remarquable représentant un lion à la crinière épaisse, allongé la gueule ouverte, les oreilles fines, la dentition puissante et la langue pendante. Le regard est puissant. les parties antérieures sont ornées de décors régionaux Le fantastique et la symbolique du lion: royauté, noblesse, église Il fait peut-être référence à une oeuvre littéraire médiévale, à un récit populaire... L'état de conservation s'explique par sa position élevée à l'intérieur d'un bâtiment (chateau belle demeure église) un témoignage artistique de première importance. 41cmx11cmx7.5cm 1495gr
2.000 €
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Transformateur pour LED, Driver de LED à tension constante Mean Well ODLV-45A-24 ODLV-45A-24 45.12 W 0 - 1.88 A 24 V/DC Spot LEDODLV-45A-24 Appareil indépendant Protection contre la surcharge par coupure, auto recovery Protection contre les courts-circuits et la surcharge Circuit de commutation PFC intégré Faible puissance absorbée à vide Pour applications d'éclairage et applications LED Les alimentations à tension constante des séries ODLV-45 à construction fermée ont un boîtier en plastique, correspondent à la classe de protection II IP67 et disposent d'un circuit de commutation PFC intégré, une fonction de variation 2 en 1 et une sortie de tension auxiliaire. Les blocs d'alimentation sont adaptés pour les bandes LED, éclairage intérieur LED, décoration à LED et éclairage d'architecture. Les blocs d'alimentation à LED des séries IDLV de bloc d'alimentation MEAN WELL sont de 12V, 24V, 36V, 48V et 60V Tension de sortie à partir de disponible immédiatement. Ce texte a été traduit par une machine. Équipement: Boîtier en plastique IP67 · Tension de sortie fixe · Modèle variable et sortie de tension auxiliaire · Sortie PWM de 1 kHz · EN61000-3-2 Classe B, EN55015, EN61347-1, TÜV, EN61347-2-13 Données techniques: Classe de protection: II · Connexion (composants): bornes à vis · Couleur: gris, bleu · Courant de sortie (max.): 1.88 A · Courant de sortie (min.): 0 A · Dimensions produit, hauteur: 28.5 mm · Dimensions produit, largeur: 77 mm · Entrées: 1 · Indice de protection: IP67 · Longueur: 111 mm · Modèle de driver LED: à tension constante · Nbr. de sorties: 1 x · Nombre d'entrées: 1 x · Plage de puissance: 45.12 W (max) · Poids: 420 g · Puissance (max.): 45.12 W · Spécificités pour commande de LED: montage sur des surfaces inflammables, homologué pour les meubles, circuit PFC, dimmable, protection contre les surcharges, surtention · Température (max.): +85 °C · Température (min.): -20 °C · Tension d'entrée (max.): 295 V/AC · Tension d'entrée (min.): 95 V/AC · Tension de fonctionnement: 230 V/AC · Tension de sortie maximale: 24 V/DC · Type de produit: Transformateur pour LED Remarque: Informations importantes ! Lors du choix de votre driver de LED / transformateur de LED, veillez à ne pas prendre une puissance trop faible par rapport à votre appareil. Choisissez un driver de LED / transformateur de LED d'une puissance supérieure (env. 33%) en Watts. Pour déterminer la charge du driver de LED, il ne faut pas tenir compte de l'indication de puissance (en Watts) du fabricant mais de la consommation de courant réelle (en Ampères) de la LED. Il faut prendre en considération que le courant de démarrage est nettement plus élevé.
41,97 €
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Située au cœur du célèbre village de Vilamoura, à quelques minutes à pied du célèbre port de plaisance et des nombreux terrains de golf également célèbres, cette belle propriété de 4 chambres, répartie sur 3 étages, a été construite dans le but de maintenir une architecture alliant harmonieusement la Méditerranée traditionnelle, utilisant des matériaux traditionnels et sophistiqués, et bien sûr, offrant toutes les commodités nécessaires pour un style de vie avec raffinement et bien-être. Le rez-de-chaussée de la maison se compose d'un espace commun spacieux, comprenant la salle à manger et le salon, une cuisine moderne entièrement équipée avec des équipements AEG, deux chambres, une chambre est en suite avec baignoire et une autre salle de bains équipée une douche d'hydromassage. Au sous-sol, avec une façade avant donnant sur le jardin, nous avons l'espace jacuzzi, une salle de bain spacieuse avec douche d'hydromassage, une grande pièce supplémentaire avec de grands placards aux murs, le garage 2 voitures et la buanderie. La maison dispose au premier étage d'un appartement indépendant de deux chambres avec une kitchenette entièrement équipée, un coin repas, un salon et une salle de bains avec douche et une grande terrasse. Belle opportunité d'intégrer cet appartement dans la maison, en éliminant la kitchenette, en reformulant toute la surface du premier étage en 3 grandes suites. Le jardin privé autour de la maison avec 640 m2, offre une atmosphère détendue avec un barbecue et la possibilité de construire une piscine, bien que sa construction ait été approuvée, elle n'a jamais été construite selon les critères du propriétaire, en raison de la proximité des plages de Vilamoura et Quarteira. Il suffit de comparer les prix de l'immobilier dans la même zone et vous pouvez voir à quel point cette opportunité d'investissement est attrayante. Grand potentiel locatif pour les vacances.
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ANNONAY, quartier résidentiel Tènement immobilier en pierres de plus de 400m² + Bâtiment industriel de 1200m² + Appentis de 60m². Terrain de 37 000m² avec parking, clos. Construction de qualité, électricité aux normes, chauffage gaz de ville Très belle architecture, Possibilité de créer plusieurs entrées indépendantes. Voir divisions possibles Idéal pour loft, maison d’habitation, local professionnel, industriel, salle de réception, voir plus… Réf 30507 Prix 780 000 euros LCDI Le Comptoir de L'immobilier Denis MOLARD 07 87 41 64 66 Agent Mandataire Indépendant RCS de Aubenas, n°349513051 LCDI Réseau National Immobilier Vous souhaitez être rappelé plus tard pour ce bien ?, Envoyez: "RAPPEL réf 30507" par SMS au 07 87 41 64 66 Honoraires à la charge du vendeur Référence à rappeler: 29107_30507 ------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------ Informations complémentaires: - Honoraires à la charge du vendeur - Lien vers nos barèmes: http://www.lcdimmo.com/mentions-legales.html
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Pessac (Gironde)
Meuble tv pour ecran plat jusqu'a 55'. Très bon état Couleurs: Pieds: noir Pied central: alu massif très résistant Tablettes: noir fumées verre trempé Le meuble est destiné à accueillir les écrans plasma de 17 à 55'' soit, les téléviseurs de 43,18 à 127 cm. Ce meuble se présente sous la forme d'un mat à étagères. Sa construction de haute qualité et son architecture ouverte optimisent la circulation d'air et assurent la robustesse nécessaire au support des plus grands téléviseurs. Enfin, le mat pourra dissimuler les câblages pour conserver un design parfait et une grande harmonie des lignes.Tablette en verre trempé intégrée: 88,9 x 43,18 cm - supporte jusqu'à 22,68 kg A venir chercher sur place
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Gant L'architecture du confort dialogue avec la technologie du mouvement assisté. C'est ainsi que sont nés Glove et Kensington, la dernière génération de canapés qui, par un simple changement d'inclinaison, redéfinissent les espaces et les moments du quotidien. Avec eux, le bien-être devient un jeu de variations. Dans la version électrique, le mécanisme de double inclinaison vous permet de régler confortablement les sièges et les appuis-tête. Dans la version fixe, les appuis-tête peuvent être inclinés manuellement dans 15 positions. La liberté de composition est totale: les éléments motorisés et fixes, en effet, peuvent être combinés à volonté pour créer des canapés pour chaque besoin. La constante est la certitude de la plus haute qualité de construction Felis, associée à une classe de design contemporain THIS SOFA IS PRODUCED AND PACKAGED ENTIRELY IN ITALY
3.817,19 €
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KENSINGTON L'architecture du confort dialogue avec la technologie du mouvement assisté. C'est ainsi que sont nés Glove et Kensington, la dernière génération de canapés qui, par un simple changement d'inclinaison, redéfinissent les espaces et les moments du quotidien. Avec eux, le bien-être devient un jeu de variations. Dans la version électrique, le mécanisme de double inclinaison vous permet de régler confortablement les sièges et les appuis-tête. Dans la version fixe, les appuis-tête peuvent être inclinés manuellement dans 15 positions. La liberté de composition est totale: les éléments motorisés et fixes, en effet, peuvent être combinés à volonté pour créer des canapés pour chaque besoin. La constante est la certitude de la plus haute qualité de construction Felis, associée à une classe de design contemporain THIS SOFA IS PRODUCED AND PACKAGED ENTIRELY IN ITALY
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BC GROUPE, spécialiste des solutions de construction innovantes, est ravi de présenter sa gamme récemment enrichie de châssis pour portes coulissantes, conçue pour répondre aux besoins spécifiques de flexibilité et d'espace de ses clients. Ces châssis sont l'incarnation de la modernité et de la fonctionnalité, parfaitement adaptés aux habitations contemporaines où l'espace est à la fois un luxe et une nécessité. Caractéristiques des châssis pour portes coulissantes: - Design épuré et esthétique: Chaque châssis est conçu pour s'intégrer harmonieusement dans l'architecture de votre espace, offrant une apparence élégante et moderne. - Rétractabilité: Les portes peuvent se glisser et s'enfiler discrètement dans le châssis, réduisant ainsi l'empreinte visuelle et maximisant l'utilisation de l'espace. - Durabilité: Fabriqués avec des matériaux de haute qualité, les châssis sont conçus pour résister au temps et à l'usage quotidien, garantissant une longévité et une fiabilité inégalées. - Facilité d'installation: Les châssis sont livrés prêts à l'emploi et peuvent être facilement intégrés dans n'importe quelle cloison, que ce soit en plaques de plâtre ou à enduire. - Kit de finition: Pour une intégration parfaite et une finition professionnelle, le kit de finition est conçu pour définir la dimension du passage et peut être personnalisé grâce à sa finition en MDF plaqués en tanganika à peindre. - Accessibilité: Avec différentes tailles disponibles, il y a une solution pour chaque configuration spatiale, qu'il s'agisse d'espaces étroits ou spacieux. - Anti-poussière: Chaque kit de finition est équipé d'un balai anti-poussière pour maintenir l'intégrité de l'espace et assurer une clôture hermétique. Modèles et dimensions disponibles: - 700 X 2030 X 100: Idéale pour les petits espaces, cette dimension permet d'ouvrir une porte sans gâcher l'aspect de la pièce. - 800 X 2030 X 100: Une option plus spacieuse, parfaite pour les salles de bain ou les chambres où l'entrée/sortie des pièces nécessite plus d'espace. - 900 X 2030 X 100: La solution complète pour les grands espaces ou les entrées principales, offrant un passage confortable et élégant. Kit de finition: - 1000 x 2100 x 100: Ce kit de finition est l'accessoire idéal pour personnaliser et compléter les châssis, offrant la possibilité de définir la hauteur et la largeur de passage selon vos préférences. BC GROUPE s'engage à offrir un service client de qualité, en vous proposant un devis gratuitement et sans engagement. Notre équipe d'experts est à votre disposition pour répondre à toutes vos questions et vous accompagner dans le choix des solutions les mieux adaptées à vos besoins. N'hésitez pas à nous contacter pour transformer votre espace de manière esthétique et fonctionnelle.
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