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Arthur premier janvier envoi


Liste des meilleures ventes arthur premier janvier envoi

Ousse (Pyrénées Atlantiques)
Le premier janvier 1920 Arthur Conte 1976 Prix: 1,50 € Livre en bon état Catégorie(s): Romans historiques Référence du livre: R08462 Pour retrouver tous mes livres tapez loccasiondelire dans la barre de recherche (ou ailleurs sur le net).
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France (Toutes les villes)
éditeur plon 436 pages,dimension 24cm sur 15,5cm trés bon état
6,5 €
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Port de Bouc (Bouches du Rhône)
Reliure du premier trimestre 1931 du journal quotidien Le Radical de Marseille, 2ème édition, format des journaux 41x58 cm, reliure demi-tissu, plats cartonnés, reliure solide, collationné complet du N° 22.129 du 1er Janvier au n° 22.153 du 25 Janvier 1931 puis du n° 22.514 (inversion de chiffres dans la numérotation) du 26 Janvier au n° 22.577 du 31 Mars 1931, soit un total de 89 numéros, 4 à 6 pages par numéro, quelques déchirures de pages en bordure sans manque, une petite mouillure sur le bord supérieur des pages des derniers numéros, les pages sont moins jaunes que sur les photos, bon état. Poids 5 kg. Une mine d'informations politiques, d'actualités, rubrique nécrologique (généalogie),de publicités, sports, de renseignements sur Marseille (chronique marseillaise), la Provence, les lignes maritimes, les colonies et le monde à cette époque. Très rare ensemble ! Mots-clé: Histoire du 20ème siècle, Parti socialiste. Port avec assurance gratuit pour la France, Belgique et Luxembourg en Point Relais. En colissimo pour la France 20 € (tarif minoré). Royaume uni, Allemagne, Pays Bas, Espagne (sauf Canaries), Portugal, Autriche: 12 €, reste de l' Union européenne et Suisse 40 €. Envoi sitôt réception du règlement. Remise en mains propres possible.
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France (Toutes les villes)
  LA RONDE DES MOTS       Premier livre de lecture courante         Auteur: Vincent Pernice Illustrations: Catherine Guery Éditions Fernand Nathan Format 16 cm x 22 cm 96 pages Copyright © Éditions Fernand Nathan 1979 Dépôt légal janvier 1983 État: couverture usée et frottée. Tampon "HOMMAGE DE L'ÉDITEUR" en page de garde également. Sinon bon état. Les pages sont très belles.   Pour la France, possibilité d'expédier en colissimo à la demande. En dehors de la France, l'envoi est fait au tarif "Livres et brochures"  ou colissimo international à la demande.    
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Paris (Paris)
Disque Vinyl Philips / Stéréo ‎ 9101 181 / Phonogram S.A 1978. 33 tours au format 30 cm. Couverture dépliante avec photo d'Alice Liddell qui inspira Lewis Carroll pour le personnage de ses romans. Pochette intérieure avec courte biographie de Charles Lutwidge Dodgson dit Lewis Carroll, accompagnée d'illustrations par Arthur Rakham, John Tenniel et Lewis Carroll. Adaptation d'après Lewis Carroll, racontée par François Wertheimer  avec le concours de Nadine Dey dans le rôle d’Alice et Christophe Frank, Patrick Le Fur, Philippe Chatiliez. Musique par François Wertheimer, Luc Bertin, et Yves " Slim " Batteux. Pochette en bel état général, avec petits frottis aux coins et infimes rousseurs. Disque en état magnifique, proche du neuf. Disque en état parfait, probablement jamais écouté. Rare premier pressage. BONJOUR, MES PRIX SONT FERMES ET DÉFINITIFS, IL EST DONC INUTILE DE M'ÉCRIRE POUR MARCHANDER, IL NE SERA PAS RÉPONDU À CE TYPE DE MESSAGE. JE SIGNALE QUE JE N'AI PAS LE TEMPS DE FOURNIR D'AUTRES PHOTOS POUR MES DESCRIPTIONS QUI SONT LE PLUS PRÉCISES POSSIBLES.   MES OFFRES SONT TOUTES EN ACHAT IMMÉDIAT AVEC RÈGLEMENT PAR PAYPAL, SOUHAITÉ. LES CHÈQUES NE SONT UNIQUEMENT ACCEPTÉS QU'APRÈS MON ACCORD PRÉALABLE. TOUT ENVOI A L’ÉTRANGER SE FERA UNIQUEMENT EN EXPORT SUIVI OU COLISSIMO. TOUT ENCHÉRISSEUR AYANT " 0 " ÉVALUATIONS EST OBLIGÉ DE ME CONTACTER AU PRÉALABLE, SINON SES ACHATS SERONT REFUSÉS, SAUF EN CAS DE PAIEMENT IMMÉDIAT VIA PAYPAL.  A PARTIR DU 1er JANVIER 2020 LES ENVOIS SERONT MAJORÉS DE 1,9 % ET SUITE AUX NOUVELLES TAXES MISES EN PLACE PAR LE GOUVERNEMENT AMÉRICAIN, ET À CAUSE DU BREXIT, LES ENVOIS SERONT MAJORÉS DE 7,50 € SUPPLÉMENTAIRES POUR LES ÉTATS-UNIS, ET DE 4,90 € POUR LE ROYAUME-UNI. EN CAS DE REMBOURSEMENT LE RETOUR DOIT ÊTRE EFFECTUÉ AVEC UN NUMÉRO DE SUIVI, A LA CHARGE DE L'ACHETEUR.
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* Boutique * Contact * Favoris * Evaluations * Page perso Categories de la Boutique * Variete Francaise & Quebecoise * Classique Baroque Romantique * CD Enfants Berceuses Comptines * Musiques du Monde Afrique Nova * Relaxation Humour Karaoke Easy * Humour & Textes lus, Parodies * Film Serie TV Comedie Musicale * Gospel & Spiritual Gospel Song * Jazz Latin Manouche Cool Swing * Rock Chretien Pop Louange Fete * Pop Rock Variete Disco Britpop * Country Blues Folk Songwriter * Soul R&B Stax Funk Blues * Hard Rock Metal Progressif * Inde Alternatif Punck Gothique * Techno Electro House Trance * Rap Hip-Hop Gangsta Rap Coast * Nouveautes * Autres Musiques * Import Musique * Promotion du Jour en Musique * A Offrir Idees Cadeaux * A Offrir Edition Coffret * A Offrir Edition Compilation Infos Contact Contactez-nous Description Concertos Du Xxeme Siecle Compilation Asv Living Era CONCERTOS DU 20E. SIÈCLE Notes Foundation P.O./David Snell/...Works Tomasi/Mayuzumi 4 concertos du XXeme siecle indispensables !!! Je ne sais pas dans quel ordre classer ces quatre concertos de maitres de la Musique de notre siecle ! Jonh Williams, Germaine Tailleferre, Henri Tomasi ou T.Mayuzumi. Xylophone, Harpe,tuba (!)... nous voici face a un bouquet de chefs d'oeuvres de l'Art Moderne en musique. La qualite son est exceptionnelle, les interpretes rares voici une approche de tres grande actualite de quatre des plus beaux concertos du XXeme siecle - pas plus, pas moins - A conseiller a tous ceux qui ont des difficultes avec la musique du XXeme siecle ! Ces artistes sont les meilleurs avocats que la Musique puissent connaitre !!! Pour le Concertino pour harpe de Germaine Tailleferre, et le Concerto pour saxophone d'Henri Tomasi, bien interpretes Germaine Tailleferre est nee a Saint-Maur-des-Fosses (Val-de-Marne) en 1892. Elle entre tres tot au Conservatoire de Paris, ou elle rencontre a partir de 1912 Arthur Honegger (1892-1955), Darius Milhaud (1892-1974) et Georges Auric (1899-1983), et commence a frequenter, dans le milieu artistique de Montmartre et de Montparnasse, les poetes Guillaume Apollinaire et Paul Fort, et les peintres Marie Laurencin, Fernand Leger, Pablo Picasso et Amedeo Modigliani, et le sculpteur Emmanuel Centore. Le premier concert des « Nouveaux Jeunes » dont font partie Louis Durey (1888-1979) et Francis Poulenc (1899-1963) a lieu le 15 janvier 1918, dans un atelier de l'un des peintres, le critique musical Henri Collet baptisant peu apres ces six compositeurs le « Groupe de six ». Germaine Tailleferre se liera d'amitie avec Maurice Ravel (1875-1937) entre 1920 et 1930, et residera aux Etats-Unis entre 1942 et 1946. Elle est morte a Paris en 1983. Parmi ses oeuvres importantes, on peut citer une Sonate pour Harpe, une Sonate pour clarinette solo, « la Nouvelle Cythere » et deux Sonates pour deux pianos, deux Sonates pour violon et piano, un Trio pour violon, violoncelle et piano, un Quatuor a cordes, une « Sonate champetre » pour hautbois, clarinette, basson et piano, une « Partita » pour hautbois, clarinette, basson et cordes, un Concertino pour harpe, un Concertino pour flute, piano et orchestre a cordes, le premier Concerto pour piano, un Concerto grosso pour deux pianos, quatuor de saxophones, huit voix solistes et orchestre, un Concerto pour violon et orchestre, un Concerto pour deux guitares et orchestre, le « Concerto de la fidelite » pour soprano et orchestre, une Suite pour orchestre de chambre, une Symphonietta pour trompette, tympani et cordes, la « Cantate du Narcisse » sur un texte de Paul Valery, les Ballet « Le Marchand d'oiseaux » et « Parisiana », deux Operas comiques « Il etait un petit navire » d'apres un texte de Henri Jeanson, et « Zoulaina », un Opera « La Petite Sirene » d'apres un texte de Philippe Soupault, un Opera de chambre « Le Maitre » d'apres un texte d'Eugene Ionesco, ainsi que des Melodies. Gabriella Dall'Olio, harpe. Henri Tomasi est ne
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breizh.antiques.art@gmail.com. http://stores.shop..fr/breizh-antiques 15 Médaille en bronze argenté. Avec sa boite. Graveur:  A déterminer . Dimension: 62 mm. Poids: 138 g. Métal: bronze. Poinçon sur la tranche (mark on the edge) : bronze + Balme . Envoi rapide et soigné. Le support utilisé pour présenter la médaille n'est pas à vendre. The stand used for the medal presented is not for sale.   ______________________________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Voves Pour les articles homonymes, voir Voves cendré. Cet article est une ébauche concernant une commune d'Eure-et-Loir. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) Le bandeau {{ébauche}} peut être enlevé et l’article évalué comme étant au stade Bon début quand il comporte assez de renseignements encyclopédiques concernant la commune. Si vous avez un doute, l'atelier de lecture du projet Communes de France est à votre disposition pour vous aider. Consultez également la page d'aide à la rédaction d'un article de commune. Voves Administration Pays  France Région Centre-Val de Loire Département Eure-et-Loir Arrondissement Chartres Canton Voves (chef-lieu) Intercommunalité Communauté de communes de la Beauce vovéenne Maire Mandat Marc Guerrini (UDI) 2014 -2020 Code postal 28150 Code commune 28422 Démographie Gentilé Vovéens Population municipale 3 091 hab. (2012) Densité 94 hab./km2 Géographie Coordonnées 48° 16′ 22″ Nord 1° 37′ 38″ Est Altitude Min. 139 m – Max. 156 m Superficie 32,98 km2 Localisation Géolocalisation sur la carte : France Voves * Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire * Voir sur la carte topographique d'Eure-et-Loir * Voir la carte administrative de France Liens Site web Site officiel modifier   Voves est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire. Ses habitants se nomment les Vovéens. Sommaire * 1 Géographie * 1.1 Lieux dits * 1.2 Communes limitrophes * 2 Histoire * 2.1 Paléolithique * 2.2 La fibule de Voves * 2.3 Les fortifications de Voves * 2.4 Maison du Temple de Voves * 2.5 Le camp de Voves (XXe siècle) * 2.5.1 Le camp aujourd'hui * 3 Blasonnement * 4 Politique et administration * 4.1 Tendances politiques et résultats * 4.2 Liste des maires * 5 Démographie * 6 Jumelages * 7 Lieux et monuments * 8 Personnalités liées à la commune * 9 Cadre de vie * 10 Articles connexes * 11 Liens externes * 12 Notes Géographie Lieux dits * Villarceaux * Foinville * Soignolles * Genonville * Yerville * Sazeray * Lhopiteau Communes limitrophes Carte de Voves et des communes limitrophes. Histoire Paléolithique Un diagnostic fait à Voves a livré une petite série lithique attribuable au paléolithique final. L’intérêt du site réside aussi dans la présence d’ossements d’aurochs, conservés au contact entre les limons et un niveau de marnes sous-jacent. La fibule de Voves Découverte en 1969 à l'occasion de travaux dans un jardin privé du quartier de la Poste, à 1,60 m de profondeur environ, cette fibule est en cuivre émaillé et a l'aspect d'une roue à huit rayons, au moyeu épais de 1,4 cm. Son diamètre est de 5,5 cm. Les couleurs sont encore très vives. Le moyeu est vert clair et bleu. Au-dessus, sont représentées des « fleurs», aux pétales bleu foncé et blancs dont le centre est turquoise. Elles sont prises dans une pâte vert clair. L'émail des rayons est alternativement bleu et rouge. Quant au contour du bijou, il est constitué d'une très fine mosaïque bleu foncé et blanche, sertie dans une pâte vert clair. Le travail est d'une minutie extraordinaire. La datation, en l'absence d'un contexte sérieux, est délicate. L’abbé Nouel, dans son ouvrage Les Origines gallo-romaines du Sud du Bassin parisien, a publié une fibule ornée d'émaux trouvée à Bazoches-les-Hautes (Eure-et-Loir), qu'il date du IIe ou IIIe siècle ap. J.-C., et qui présente de grandes ressemblances avec celle de Voves. Il s'agit, peut-être, d'une fabrication d'inspiration ou de tradition celtique, œuvre d'un atelier gaulois. Les fortifications de Voves Voves par Louis Boudan, 1696. « Vue du bourg de Voves. En Beauce, sur le grand chemin de Chartres à Orléans, a une lieu de Beauvillier. 1696 » Depuis le XIVe siècle, la présence continuelle de gens d’armes et d’arbalétriers dans la région de Chartres est attestée. En août 1387, le bourg de Voves était victime de brigandages, semble-t-il récurrent dans cette partie de la Beauce, à tel point que le roi de France, Charles VI envoya le Bègue de Villaines pour délivrer le bourg de ces brigands. Le chef de ces troupes de brigands n’était autre que Gaucher de Chartres, frère de Philippe, seigneur de Chartres et capitaine de Chartres en 1380. Après cette intervention, il rendit le fort de Voves avec tous les biens qui y étaient dans le cadre d’une transaction qui fut passée avec les chanoines et notamment Pierre Guette, chanoine nommé à la prébende de Voves en 1385. Il est cependant impossible de savoir si les fortifications de Voves furent rétablies telles qu’elles existaient avant leur destruction par Gaucher de Chartres même s’il est certain qu’elles n’existaient plus au commencement du règne de Louis XIII (en 1610). À cette époque, une effervescence régnait et une ligue imposante s’était formée contre la régente Marie de Médicis. La Beauce a été victime des dégradations commises durant les guerres de religion et de la ligue. En avril 1614, les habitants de Voves adressent une requête au Chapitre, seigneur temporel du bourg, pour demander le rétablissement des fortifications. La permission accordée le jour même par le Chapitre, fut aussitôt adressée au roi avec la requête des habitants et Louis XIII ne fit pas attendre sa sanction en envoyant des lettres-patentes octroyant de « faire clore, fermer et environner de fossés, murs, tours, tourelles, boulevers, ravins, esperons et ponts-levis le-dit bourg et village de Voves ». Pendant plusieurs décennies, le calme semble être revenu dans le bourg de Voves. En 1642, un premier incident, répertorié par le curé Gendron dans le registre de l’état-civil du bourg, eu lieu avec des soldats attaquant les habitants qui s’étaient réfugiés dans l’église pour se protéger. Seuls 39 maisons subsistèrent après un incendie. En janvier 1659, les habitants sont de nouveau victimes de la violence de gens d’armes. Ces derniers demandèrent la démolition des murailles, désarmèrent les habitants puis profanèrent l’église et la clôture du cimetière. Ils empêchèrent aussi le vicaire perpétuel de porter les sacrements aux malades. Début février 1659, une expertise eut lieu : la voûte de l’église menaçait de ruine, la clôture et les portes du cimetière avaient été démolies. On se contenta alors de faire à l’église les réparations indispensables et le bourg fut privé pour toujours de ses fortifications. Passionné par l’histoire de France, Roger de Gaignières (1644 -1715) amasse en près d’un demi-siècle une collection considérable de manuscrits historiques, de portraits et de documents originaux. Dans cette entreprise, Roger de Gaignières ne se contente pas de collectionner des documents existants, il en constitue une grande partie accompagné notamment par le copiste et dessinateur, Louis Boudan. Ils parcourent la France du nord afin de relever des tombeaux, des épitaphes et des vues topographiques. En 1696, Louis Boudan réalise cette très jolie estampe du bourg de Voves, ci-contre, dont on peut voir en avant-plan un moulin, puis le village encerclé par une enceinte de protection. L’église « de l’ange gardien, paroisse du bourg », majestueuse, est au centre de la vue. La partie iconographique de ce fonds qu’Henri Bouchot publie en 1891 dans son Inventaire des dessins exécutés pour Roger de Gaignières est conservée au département des Estampes et des Manuscrits de la BNF. Maison du Temple de Voves L'ancienne maison du Temple de Voves fut désignée, après que les Hospitaliers en eurent pris possession, sous le nom de maison de « l'Hopitau », ainsi qu'elle est mentionnée dans le procès-verbal de la visite prieurale de 1495  : « La ferme du Temple de Vausves, aujourd'hui l'Hopitau, où y a chappelle, fondée de saint Jehan, chargée tous les moys d'une messe et où a III ou IIII cens arpens de terre et maison pour le fermier et toute jurisdicion ». La maison de Voves fut détruite pendant les guerres du XVe siècle. Une partie des terres fut réunie à la maison de Sours, et une autre partie donnée à cens et à rente perpétuelle. Le camp de Voves (XXe siècle)  Inscrit MH (2004)1. Entre le 29 janvier 1939 et le 8 février, plus de 2 000 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant les troupes de Franco, arrivent en Eure-et-Loir. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (le camp de Lucé et la prison de Châteaudun rouverte pour l’occasion), 53 villages sont mis à contribution2, dont Voves3. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont désarmés et retenus dans le Sud de la France), sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré4. Une partie des réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, mais en décembre, 922 ont préféré rester et sont rassemblés à Dreux et Lucé5. Article détaillé : Retirada. Le camp de Voves 6 a été bâti en 1939 pour accueillir un centre d'instruction de la route. Il est utilisé en 1940 et 1941 par l'armée allemande pour le regroupement de prisonniers de guerre français. À la fin de 1941, les autorités françaises cherchent à déplacer le camp d'Aincourt, dans l'actuel département du Val-d'Oise, où sont internés depuis octobre 1940 des militants communistes de la région parisienne. C'est dans ce but que l'armée d'occupation accepte de restituer à l'administration française le camp de Voves. Le 5 janvier 1942, un premier groupe d'internés arrive d'Aincourt à Voves pour remettre les lieux en état. Durant les mois d'avril et de mai suivants, des arrivées massives marquent le début du fonctionnement réel du camp. Les premiers internés viennent non seulement du camp d'Aincourt mais aussi de ceux de Gaillon, dans l'Eure, et du camp de Châteaubriant, en Loire-Inférieure. D'autres transferts suivront, notamment en provenance des camps de Rouillé, dans la Vienne, d'Écrouves, en Meurthe-et-Moselle, et de Pithiviers, dans le Loiret. La grande majorité des internés est constituée de « politiques », principalement des militants et sympathisants communistes, mais quelques-uns sont, pour reprendre le vocabulaire de l'époque, des « indésirables », essentiellement des étrangers, et des « droits communs », trafiquants du marché noir ou repris de justice. L'histoire du camp est marquée par l'importance du rôle joué par la direction politique communiste, bien sûr clandestine, qui, dans le but de former des cadres politiques et militaires pour la Résistance, crée une véritable université et organise des représentations théâtrales et des compétitions sportives, mais aussi, de façon plus dramatique, par les prélèvements d'otages et les transferts d'internés vers les camps de concentration d'Auschwitz et de Mauthausen, enfin par plusieurs évasions spectaculaires. Dans la nuit du 5 au 6 mai 1944, quarante-deux internés s'évadent par un tunnel de cent quarante-huit mètres de long, creusé à partir de la baraque des douches et qui descend à deux mètres de profondeur pour passer sous la clôture du camp. Un détachement de SS prend alors le contrôle du camp et, le 9 mai, la totalité des internés est transférée au camp de Royallieu, puis, quelques semaines plus tard, dans le camp de concentration de Neuengamme, près de Hambourg. Il n'y aura que peu de survivants… D'août 1944 à 1947, le camp est à nouveau utilisé, cette fois pour accueillir des prisonniers de guerre allemands. Le camp aujourd'hui Le site du camp est aujourd'hui un lieu de mémoire, entretenu par un Comité du souvenir. Il regroupe une baraque musée, un Mémorial, un wagon du type de ceux ayant servi à la déportation des internés, divers souvenirs du camp et un arboretum. Blasonnement Les armoiries de Voves se blasonnent ainsi : D’azur au râteau levé d’argent, au moulin à vent d'or brochant sur le manche, accosté de deux gerbes de blé du même. Création Conseil Français d'Héraldique Politique et administration Tendances politiques et résultats Article connexe : Élections municipales de 2014 en Eure-et-Loir. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Liste des maires Liste des maires à partir de 1945 Période Identité Étiquette Qualité mai 1945 mai 1983 Roger Gommier     mai 1983 mai 2001 André Coeuret     mai 2001 mai 2008 Maryvonne Genin     2008 … Marc Guerrini UDI   Démographie            Évolution de la population  ] 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1 044 1 173 1 163 1 136 1 256 1 315 1 283 1 303 1 436            Évolution de la population  ], suite (1) 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1 468 1 514 1 670 1 845 1 736 1 913 1 960 1 996 2 023            Évolution de la population  ], suite (2) 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 2 021 2 070 2 081 1 903 2 019 2 070 2 017 2 161 2 110            Évolution de la population  ], suite (3) 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2012 2 352 2 506 2 619 2 834 2 785 2 928 2 910 2 910 3 091 De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes  ; pour les dates suivantes : population municipale. (Sources : Ldh/EHESS /Cassini jusqu'en 19997 puis Insee à partir de 20048.) Histogramme de l'évolution démographique Jumelages  Stroncone  (Italie) depuis le 14 juillet 2007 Lieux et monuments * Église Saint-Lubin (XIIe s., XVe s., XVIe s.). * Fontaine Saint-Lubin. * Dolmen (à proximité de la fontaine Saint-Lubin). * Site de l'ancien camp de prisonniers de guerre puis camp d'internement. Personnalités liées à la commune * Hugues Capet (né vers 939-941, mort en 996), roi des Francs  ; * François Gendron (1618-1688), vicaire de Voves (frère du curé Jacques Gendron), missionnaire au Mexique et dans les Indes où il acquit de grandes connaissances dans la flore ; guérisseur réputé notamment pour soigner les cancers, il fut choisi par Louis XIV pour soigner le cancer de sa mère Anne d'Autriche ; * Claude Deshayes-Gendron (1663-1750), docteur en médecine (petit-neveu de François Gendron) ; * Philippe Alliot (1954-), pilote automobile. Cadre de vie Ville fleurie : deux fleurs au Concours des villes et villages fleuris 9. Articles connexes * Liste des monuments historiques d'Eure-et-Loir * Liste des communes d'Eure-et-Loir * Liste des anciennes communes d'Eure-et-Loir Liens externes Sur les autres projets Wikimedia : * Voves, sur Wikimedia Commons * Voves, sur le Wiktionnaire * Site officiel * Voves sur le site de l'Insee Notes * ↑ « Ancien camp d'internement de Voves »  ], base Mérimée, ministère français de la Culture * ↑ Jeanine Sodigné-Loustau, « L'Accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre  ] », Matériaux pour l'histoire de notre temps. 1996, no 44. p. 43. * ↑ Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 46. * ↑ Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 43-44. * ↑ Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 47. * ↑ Stéphane Fourmas, Le centre de séjour surveillé de Voves (Eure-et-Loir), janvier 1942-mai 1944., mémoire de maîtrise d'Histoire, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne,‎ 1999, 220 p. * ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui  ] sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales. * ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006  ], 2008  ], 2012  ]. * ↑ Villes et villages fleuris - Eure-et-Loir  ]   v  · m Communes de la communauté de communes de la Beauce vovéenne   v  · m Communes du canton de Voves * Portail d’Eure-et-Loir * Portail des communes de France Catégories  : * Commune d'Eure-et-Loir * Commune du canton de Voves * Commune de la 4e circonscription d'Eure et Loir * Commune de l'arrondissement de Chartres | Menu de navigation * Créer un compte * Se connecter * Article * Discussion * Lire * Modifier * Modifier le code * Historique * Accueil * Portails thématiques * Article au hasard * Contact Contribuer * Débuter sur Wikipédia * Aide * Communauté * Modifications récentes * Faire un don Imprimer / exporter * Créer un livre * Télécharger comme PDF * Version imprimable Outils * Pages liées * Suivi des pages liées * Importer un fichier * Pages spéciales * Adresse de cette version * Information sur la page * Élément Wikidata * Citer cette page Autres langues * Български * ᨅᨔ ᨕᨘᨁᨗ * Català * Cebuano * Deutsch * English * Español * Euskara * Magyar * Bahasa Indonesia * Italiano * Malagasy * Bahasa Melayu * Nederlands * Occitan * Polski * Piemontèis * Português * Română * Slovenčina * Slovenščina * Svenska * Українська * Oʻzbekcha/ўзбекча * Tiếng Việt * Volapük * Winaray * 中文 * Bân-lâm-gú Modifier les liens * Dernière modification de cette page le 1 décembre 2015 à 17:42. * Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons paternité partage à l’identique; d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques. En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la licence. Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc., organisation de bienfaisance régie par le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des État Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques
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http://stores.shop..fr/breizh-antiques 13 Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne à partir de 1880). 1986. Graveur: Jean Delpech peintre de la marine, une petite ancre après sa signature au bas de l'avers en atteste. Dimensions: 69 mm. Poids: 180 g. Métal: bronze . Poinçon sur la tranche:  Corne d'abondance + bronze + 1986. Envoi rapide et soigné. The stand is not for sale. Le support n'est pas à vendre.   ______________________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Classe Le Redoutable Pour les articles homonymes, voir Le Redoutable. Cet article est une ébauche concernant les sous-marins, le domaine militaire, la France et le nucléaire. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants. Consultez la liste des tâches à accomplir en page de discussion. Classe Le Redoutable SNLE Le Redoutable Caractéristiques techniques Type SNLE Longueur 128,7 m Maître-bau 10,6 m Tirant d'eau 10 m Tirant d'air 11 m Déplacement 8 080 t en surface, 8 920 t en plongée Propulsion * 1 réacteur à eau pressurisée de 100 MW * 1 groupe turboréducteur * 1 hélice à 5 puis 7 puis 11 pales * 1 moteur électrique auxiliaire alimentée par 2 diesel -alternateurs SEMT-Pielstick 8 PA V 185 de 750 kW chacun (combustible embarqué pour une autonomie de 5 000 nautiques) Vitesse 25 nœuds (46,3 km/h) en plongée Profondeur 300 m Caractéristiques militaires Armement 16 MSBS 4 tubes lance-torpilles de 533 mm avec 18 torpilles DTCN L5, DTCN F17 et missiles Exocet Autres caractéristiques Électronique * 1 radar de navigation Thomson CSF DRUA 33 (bande I) * 1 sonar passif/actif d'étrave (antennes sur les flancs) Thomson Sintra DSUX 21 multifonctions * 1 sonar passif basse fréquences télémètre acoustique DUXX 5 * 1 flûte ETBF (écoute très basse fréquence) DSUV 61 B * 1 détecteur de radar Thomson CSF ARUR 13 Équipage 135 hommes Histoire Constructeurs DCN, Cherbourg A servi dans  Marine nationale française Période de construction 1964 - 1985 Période de service 1971 - 2008 Navires construits 6 Navires désarmés 6 classe Le Triomphant modifier   Chambre des torpilles de la Classe Le Redoutable avec la DTCN L5 La classe Le Redoutable est le nom de la première classe de sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (SNLE) de la marine nationale française. Elle tire son nom du sous-marin tête de série, Le Redoutable. Ils dépendaient de la Force océanique stratégique (FOST) et sont remplacés par les sous-marins de nouvelle génération de la classe Le Triomphant à partir des années 1990. Sommaire * 1 Présentation * 2 Technologie * 3 Liste des navires * 4 Notes et références * 5 Annexes * 5.1 Articles connexes * 5.2 Liens externes Présentation La décision de doter la France d'une série de sous-marins nucléaires lanceurs d'engins, comme composants de la « force de frappe  », se concrétise le 2 mars 1963, avec la signature de la commande du premier SNLE. La construction de ce nouveau type de matériel débute fin 1964 à Cherbourg. Il s'agit de créer un sous-marin de plus de 9 000 tonnes, équipé d'un système de propulsion nucléaire et qui de plus, doit être capable de tirer des missiles à têtes nucléaires. Le Redoutable, premier exemplaire de cette classe, est lancé le 29 mars 1967 à Cherbourg en présence du général de Gaulle 1 et avec comme commandant le capitaine de frégate Louzeau ; il a été admis au service actif le 1er décembre 1971 au sein de la Force océanique stratégique sous le commandement de l'amiral Louzeau. À son admission au service actif, il est équipé de 16 missiles mer-sol balistiques M1 (450 kt sur 2 000 km), puis M2 à partir de 1974, puis de missiles M20 comportant chacun une tête nucléaire d'une mégatonne et d'une portée supérieure à 3 000 km. La tranche réacteur est longue d'environ 8 mètres et à un poids de 700 tonnes. Retirés du service entre 1991 et 2008, ils sont en cours de démantèlement à Cherbourg sous la responsabilité de la Direction générale de l'Armement 2. Technologie Les quatre premiers de ces six sous-marins étaient à l'origine de la classe Redoutable puis refondus pour recevoir les missiles M4 et mis au niveau de L'Inflexible. Leur coque est en acier 80 HLES (haute élasticité) qui leur permet de plonger à 300 mètres. Certains ont reçu le système d'aide au commandement SEAO/OPSMER. Liste des navires En tout, six SNLE ont été construits : Sous-marins nucléaires lanceurs d'engins construits Nom Immatriculation Date de lancement Mise en service Décommissionné Le Redoutable S 611 29 mars 1967 1er décembre 1971 13 décembre 1991 Le Terrible S 612 12 décembre 1969 1er janvier 1973 1er juillet 1996 Le Foudroyant S 610 4 décembre 1971 6 juin 1974 30 avril 1998 L'Indomptable S 613 17 septembre 1974 23 décembre 1976 avril 2005 Le Tonnant S 614 17 septembre 1977 3 avril 1980 16 décembre 1999 L'Inflexible S 615 23 juin 1982 1er avril 1985 14 janvier 2008 Notes et références * ↑ « Lancement du Redoutable à Cherbourg »  ], sur ina.fr. * ↑ « Où en est le démantèlement des anciens SNLE français ? »  ], sur Mer et Marine,‎ 30 juillet 2013 (consulté le 9 janvier 2014) Annexes Sur les autres projets Wikimedia : * Classe Le Redoutable, sur Wikimedia Commons Articles connexes * Liste des classes de sous-marin français * Liste des navires de la marine nationale française * Le roman documentaire Le jour ne se lève pas pour nous de Robert Merle qui décrit minutieusement la vie à bord du SNLE L'Inflexible lors d'une patrouille opérationnelle Liens externes * (fr) L'historique des vecteurs mer sol balistiques stratégiques * (fr) Le Redoutable, photos sur le site : Les Sous-marins * Le Redoutable sur netmarine.net   v  · m Classe Le Redoutable   v  · m Force de dissuasion nucléaire française   v  · m Anciens navires de la marine française * Portail des sous-marins * Portail de l’armée et de l’histoire militaire françaises * Portail du nucléaire Catégorie  : * Classe Le Redoutable | Menu de navigation * Créer un compte * Se connecter * Article * Discussion * Lire * Modifier * Modifier le code * Historique * Accueil * Portails thématiques * Article au hasard * Contact Contribuer * Débuter sur Wikipédia * Aide * Communauté * Modifications récentes * Faire un don Imprimer / exporter * Créer un livre * Télécharger comme PDF * Version imprimable Outils * Pages liées * Suivi des pages liées * Importer un fichier * Pages spéciales * Adresse de cette version * Information sur la page * Élément Wikidata * Citer cette page Autres langues * Čeština * Deutsch * English * Español * فارسی * Suomi * Italiano * 日本語 * 한국어 * Polski * Русский * Українська Modifier les liens * Dernière modification de cette page le 2 juillet 2015 à 12:08. * Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons paternité partage à l’identique; d’autres conditions peuvent s’appliquer. 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Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Pictures below and english translation 下面的照片。. Photographies au -dessous. Médaille 6 ème VI arrondissement Saint-Germain-des-Prés par Delannoy Medal 铜牌. -------- --- MEDAILLE Medalla Medaglia Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne à partir de 1880). Rayures et oxydations. consultez attentivement les photos ci-dessous merci Graveur: Delannoy . Avers:   (Photo) Revers :  (Photo) Dimension:68 mm Poids:149 g Métal: Bronze. Poinçon tranche: Corne + Bronze + . Vous pouvez consulter notre boutique pour consulter nos nombreuses autres médailles. Reduction des frais d'envoi pour les achats groupés Photos ci-dessous. Bronze medal of the Paris Mint (Punch horn from 1880).   Scratches and oxidation. look carefully at the pictures below thank you Engraver: Delannoy. Obverse: (Photo) Reverse: (Photo) Dimension: 68 mm Weight: 149 g Metal: Bronze. Slice Stamp: Bronze Horn + +. You can visit our shop to see our many other medals. Reduction of shipping for bulk purchases Photos below. Envoi rapide et soigné.                       ____________________________________________________________ More photos ? Contact us Pour des photos supplémentaires contactez nous par email   breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 45 21 05 48 Abroad: 0033 645 210 548 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques 6e arrondissement de Paris Aller à: Navigation, rechercher Pour les articles homonymes, voir Ancien 6e arrondissement de Paris et 6e arrondissement. Cet article est une ébauche concernant Paris et l'administration territoriale. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants. 6e arrondissement de Paris « arrondissement du Luxembourg » 16e 17e 18e 19e 20e 12e 13e 5e 6e 7e 14e 15e 8e 2e 3e 4e 1er 9e 10e 11e Hauts-de-Seine Seine-Saint-Denis Val-de-Marne Administration Pays  France Ville Paris Quartiers administratifs Monnaie (21) Odéon (22) Notre-Dame-des-Champs (23) Saint-Germain-des-Prés (24) Maire Mandat Jean-Pierre Lecoq 2008 - 2014 Code postal 75006 Code Insee 75106 Démographie Population 43 880 hab. (2011 1) Densité 20 409 hab./km2 Géographie Coordonnées 48° 51′ 02″ Nord 2° 19′ 58″ Est    Altitude Min. 29 m – Max. 57 m Superficie 2,15 km2 Localisation Géolocalisation sur la carte : France 6e arrondissement de Paris * Voir sur la carte Paris administrative modifier   Le 6e arrondissement de Paris se situe au centre de la ville, sur la rive gauche de la Seine. Aux termes de l'article R2512-1 du Code général des collectivités territoriales (partie réglementaire), il porte également le nom d'« arrondissement du Luxembourg »2, mais cette appellation est rarement employée dans la vie courante. Sommaire * 1 Histoire * 2 Géographie * 3 Quartiers administratifs * 4 Politique * 4.1 Au niveau municipal * 4.2 Au niveau législatif * 4.2.1 De 1958 à 1986 * 4.2.2 De 1988 à 2012 * 4.2.3 À partir de 2012 * 4.3 Au niveau national * 5 Démographie * 5.1 Population par quartier * 6 Principaux édifices * 6.1 Cinémas et théâtres * 6.2 Lieux de culte catholique * 6.3 Enseignement secondaire * 6.4 Enseignement supérieur * 7 Principales artères * 8 Transports en commun * 9 Points remarquables * 10 Personnages célèbres * 10.1 Personnages célèbres nés dans l'arrondissement * 10.2 Personnages célèbres liés à l'arrondissement * 11 Notes et références * 12 Liens externes Histoire Les limites actuelles du 6e arrondissement datent de 1860, à la suite de la loi du 16  juin  1859 donnant lieu à un nouveau découpage de Paris en 20 arrondissements. Elles comprennent la plus grande partie de l'ancien 11e arrondissement et une petite partie du 10e. Géographie On y trouve notamment le quartier touristique de Saint-Germain-des-Prés et le jardin du Luxembourg, dans lequel se trouve le Sénat. Si le 6e concentre un peu moins d'établissements universitaires que le 5e voisin, il réunit des institutions culturelles prestigieuses telles que l'Institut de France, le Théâtre de l'Odéon ou l'École des beaux-arts. Toutefois, c'est d'abord un arrondissement résidentiel aisé, le plus cher de la ville pour le prix de l'immobilier au mètre carré3. Il est bordé à l'ouest par le 7e arrondissement, au nord par la Seine et le 1er arrondissement, au sud par les 14e arrondissement et 15e arrondissement, et à l'est par le 5e arrondissement. Les premières habitations au bord de la Seine datent de l'époque romaine, mais le quartier ne s'est étendu au sud qu'à partir du XIXe siècle. Quartiers administratifs Les quartiers du 6e arrondissement * Quartier de la Monnaie (21e quartier de Paris) * Quartier de l'Odéon (22e quartier de Paris) * Quartier Notre-Dame-des-Champs (23e quartier de Paris) * Quartier Saint-Germain-des-Prés (24e quartier de Paris) Politique Au niveau municipal Liste des maires successifs depuis 1983 Élection Identité Parti Notes 1983 Pierre Bas RPR Élu en 1983. 1989 François Collet RPR Élu en 1989, mort en cours de mandat. 1994 Jean-Pierre Lecoq RPR /UMP Élu en 1994 en remplacement de François Collet, puis en 1995, 2001 et 2008. Jean-Pierre Lecoq (UMP), conseiller municipal depuis 1983, est maire du 6e arrondissement depuis octobre 1994, date à laquelle il a succédé à François Collet, mort en cours de mandat. Jean-Pierre Lecoq a été confirmé à cette fonction par les électeurs en juin 1995 et réélu lors des élections municipales de mars  2001 avec 57,84 % des suffrages et lors des élections municipales de mars 2008 avec 56,04 % des voix. Depuis mars 2008, les trois conseillers de Paris élus au titre du 6e arrondissement sont Jean-Pierre Lecoq et Geneviève Bertrand (pour la liste UMP-Nouveau Centre) ainsi que Romain Lévy (pour la liste PS-PCF-MRC). Au niveau législatif De 1958 à 1986 Le 6e arrondissement a constitué une circonscription législative unique (la 4e) de 1958 à 1986. Les députés de la circonscription furent alors Jean Albert-Sorel (1958-1962) puis le gaulliste Pierre Bas (1962-1986). De 1988 à 2012 Depuis 1988, à la suite du redécoupage électoral effectué lors du rétablissement du scrutin majoritaire, brièvement supprimé en 1986, le 6e arrondissement se partage entre deux circonscriptions législatives : * La partie sud du 6e arrondissement et la totalité du 5e arrondissement constituent la 2e circonscription, où est élu député Jean Tiberi, maire du 5e jusqu'en 1995 et depuis 2001, et maire de Paris de 1995 à 2001. * La partie nord du 6e arrondissement et la totalité du 7e arrondissement constituent la 3e circonscription, dont les députés ont été Édouard Frédéric-Dupont de 1988 à mars 1993, Michel Roussin de mars à mai 1993 et Martine Aurillac depuis mai 1993. Jean-Pierre Lecoq, maire du 6e, est son suppléant depuis 1997. À partir de 2012 Le quartier Notre-Dame-des-Champs fait partie de la 11e circonscription de Paris avec la plus grande partie du 14e arrondissement, tandis que les trois autres quartiers font partie de la 2e circonscription avec la totalité du 5e arrondissement et trois quartiers du 7e arrondissement. Au niveau national Le score de plus de 61 % réalisé par Nicolas Sarkozy au deuxième tour de l'élection présidentielle traduit l'ancrage traditionnel à droite de cet arrondissement qui constitue l'un de ses meilleurs bastions à Paris. Démographie Mairie du 6e arrondissement - 78 rue Bonaparte En 2006, on dénombrait une population de 45 278 habitants sur 215 hectares, soit une densité moyenne de 21 060 hab/km2. Année (recensement national) Population Densité (hab. par km2) 1861 95 031 1866 99 115 1872 90 288 41 994 1911 (pic de population) 102 993 47 815 1954 88 200 41 023 1962 80 262 37 262 1968 70 891 32 911 1975 56 331 26 152 1982 48 905 22 704 1990 47 891 22 234 1999 44 919 20 854 2006 45 278 21 060 Population par quartier * Population du quartier de la Monnaie (superficie : ? hectares) Année Population Densité (hab. par km²) Croissance annuelle depuis le dernier recensement 1861 21 817 création * Population du quartier de l'Odéon (superficie : ? hectares) Année Population Densité (hab. par km²) Croissance annuelle depuis le dernier recensement 1861 21 079 création * Population du quartier Notre-Dame-des-Champs (superficie : ? hectares) Année Population Densité (hab. par km²) Croissance annuelle depuis le dernier recensement 1861 29 031 création * Population du quartier Saint-Germain-des-Prés (superficie : ? hectares) Année Population Densité (hab. par km²) Croissance annuelle depuis le dernier recensement 1861 17 657 création Principaux édifices Sénat dans le palais du jardin du Luxembourg. Institut de France depuis le musée du Louvre face au pont des Arts. ENA à Paris, ancienne École nationale de la France d'outre-mer * L'École nationale de la France d'outre-mer, actuellement, le nouveau site de l'avenue de l'Observatoire à Paris, accueille dans ses anciens locaux, depuis fin janvier 2007 toutes les activités parisiennes de l'ENA (le service des cycles courts et la direction des relations internationales) tandis que tous les autres services de l'école sont concentrés à Strasbourg. Les cours des élèves en formation permanente dans des cycles pédagogiques de moins d'un mois ont donc encore lieu à Paris. * Institut de France * Palais du Luxembourg - Sénat * Jardin du Luxembourg * Théâtre de l'Odéon * Hôtel des Monnaies * Couvent des Cordeliers * Pont Neuf * Passerelle des Arts Cinémas et théâtres Le 6e est un arrondissement bien doté en cinémas et théâtres. * L'Action Christine * L'Arlequin * Le Bretagne * Le Lucernaire * Le MK2 Hautefeuille * Le MK2 Odéon * Le MK2 Parnasse * Le Nouvel Odéon * Le Saint-André-des-Arts * Le Saint-Germain-des-Prés * Les 3 Luxembourg * L'UGC Danton * L'UGC Odéon * L'UGC Montparnasse * L'UGC Rotonde * Théâtre de l'Odéon * Théâtre du Vieux -Colombier * Théâtre du Lucernaire * Poche Montparnasse * Espace de Nesle Lieux de culte catholique Part du 6e arrondissement, avec l'église Saint-Sulpice en premier plan. * Église Saint-Germain-des-Prés * Église Saint-Sulpice * Église Saint-Joseph-des-Carmes * Église Notre-Dame-des-Champs Enseignement secondaire * Collège Stanislas (lycée) * Collège et lycée Notre-Dame de Sion * Lycée Montaigne * Lycée Saint-Louis * Lycée Fénelon * École alsacienne Enseignement supérieur * École des beaux-arts * École des hautes études en sciences sociales * École nationale supérieure des mines de Paris * Faculté de médecine de Paris * Institut catholique de Paris * Institut de préparation à l'administration et à la gestion * Institut Universitaire Saint-Pie X * Université Paris-1 Panthéon-Sorbonne (centre Michelet) * Université Paris II Panthéon-Assas * Université Paris Descartes * École Grégoire-Ferrandi Principales artères Plan du VIe arrondissement Article détaillé : Liste des voies du 6e arrondissement de Paris. * Rue d'Assas * Rue Auguste-Comte * Rue des Beaux-Arts * Rue Bonaparte * Rue du Cherche-Midi * Rue Dauphine * Rue Dupin * Rue de Fleurus * Rue du Four * Rue Guynemer * Quai Malaquais * Rue Mazarine * Rue de Médicis * Boulevard du Montparnasse * Rue Notre-Dame-des-Champs * Boulevard Raspail * Rue de Rennes * Rue Saint-André-des-Arts * Boulevard Saint-Germain * Boulevard Saint-Michel * Rue des Saints-Pères * Rue de Seine * Rue de Sèvres * Rue de Tournon * Rue de Vaugirard Transports en commun * (Saint-Michel, Odéon, Saint-Germain-des-Prés, Saint-Sulpice, Saint-Placide, Montparnasse – Bienvenüe et Vavin). * (Montparnasse – Bienvenüe). * (Duroc, Vaneau, Sèvres - Babylone, Mabillon et Odéon). * (Sèvres – Babylone, Rennes, Notre-Dame-des-Champs et Montparnasse – Bienvenüe). * (Duroc et Montparnasse – Bienvenüe). Points remarquables * Bistro Le Polidor * Café Le Procope * Café Les Deux Magots * Café de Flore * Brasserie Lipp * Café-restaurant La Palette * Pont Neuf, pont Saint-Michel, pont des Arts, pont du Carrousel * L'hôtel Lutetia, à l'angle du boulevard Raspail et de la rue de Sèvres * Restaurant gastronomique Hélène Darroze, 4 rue d'Assas (deux étoiles Michelin) Personnages célèbres Personnages célèbres nés dans l'arrondissement * Edouard Manet peintre Personnages célèbres liés à l'arrondissement * Roland Barthes sémiologue, critique littéraire et écrivain * Georges Dumézil linguiste * Julia Kristeva universitaire, théoricienne de la littérature * Bruno Latour philosophe * Patrice Maniglier philosophe * Marie Gil critique littéraire, écrivain * Catherine Deneuve actrice * Madeleine Castaing antiquaire, décoratrice * Léon Foucault physicien, astronome * Lionel Jospin homme politique * Jean-Paul Sartre philosophe * Simone de Beauvoir écrivain * Gérard Philipe acteur, metteur en scène * Philippe Risoli animateur, chanteur * Alice Saunier-Seité universitaire et femme politique française, conseiller de Paris. * Jean-Marc Restoux candidat SDF municipales 2008 * Marguerite Duras écrivaine, dramaturge, scénariste, réalisatrice Notes et références * ↑ Population légale Insee au 1er janvier 2014 (population au 1er janvier 2011)  ]. * ↑ Source : article R2512-1  ] du Code général des collectivités territoriales (partie réglementaire), sur Légifrance. * ↑ Pour les appartements anciens, entre 1997 et 2006. En moyenne trimestrielle, seul le 7e a parfois dépassé le 6e durant cette période (source chambre des notaires de Paris paris.notaires.fr  ]) Liens externes Sur les autres projets Wikimedia : * 6e arrondissement de Paris, sur Wikimedia Commons * le 6e arrondissement de Paris, sur Wikivoyage * Site officiel de la mairie * Balade photo et historique dans le 6e - Photos des années 1900 à nos jours   v  · d  · m Arrondissements de Paris Actuels 1er (Louvre) · 2e (Bourse) · 3e (Temple) · 4e (Hôtel-de-Ville) · 5e (Panthéon) · 6e (Luxembourg) · 7e (Palais-Bourbon) · 8e (Élysée) · 9e (Opéra) · 10e (Entrepôt) · 11e (Popincourt) · 12e (Reuilly) · 13e (Gobelins) · 14e (Observatoire) · 15e (Vaugirard) · 16e (Passy) · 17e (Batignolles-Monceau) · 18e (Buttes-Montmartre) · 19e (Buttes-Chaumont) · 20e (Ménilmontant) Anciens Anciens · 1er · 2e · 3e · 4e · 5e · 6e · 7e · 8e · 9e · 10e · 11e · 12e * Portail de Paris Catégorie  : * 6e arrondissement de Paris | Menu de navigation * Créer un compte * Connexion * Article * Discussion * Lire * Modifier * Modifier le code * Afficher l'historique * Accueil * Portails thématiques * Index alphabétique * Article au hasard * Contacter Wikipédia Contribuer * Premiers pas * Aide * Communauté * Modifications récentes * Faire un don Imprimer / exporter Outils Autres langues * Беларуская * Català * Čeština * Dansk * Deutsch * English * Esperanto * Español * Euskara * Suomi * עברית * Italiano * 日本語 * Latina * Bahasa Melayu * Nederlands * Norsk bokmål * Occitan * Polski * Português * Русский * Slovenčina * Українська * Tiếng Việt * 中文 * Bân-lâm-gú * Modifier les liens * Dernière modification de cette page le 6 janvier 2014 à 05:32. * Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons paternité partage à l’identique; d’autres conditions peuvent s’appliquer. 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Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Pictures below and english translation . Photographies au -dessus. Médaille Camaret-sur-Aigues par M.LVaucluse Provence  241g 80mm medal 铜牌. QG MEDAILLE Medalla Medaglia Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne à partir de 1880). 1970. Quelques rayures et oxydations minimes. consultez attentivement les photos ci-dessous merci Graveur: M L  Avers: (Photographie) Revers :(Photographie). Dimension: 80  mm. Poids:  241 g. Métal: bronze . Poinçon: Corne + bronze + 1970. Vous pouvez consulter notre boutique pour consulter nos nombreuses autres médailles. Reduction des frais d'envoi pour les achats groupés Photos ci-dessus. ----------------- Bronze medal of the Paris Mint (Punch horn from 1880). 1970. Some scratches and minor oxidation. look carefully at the pictures below thank you Writer: M L   Avers (Photography) Reverse: (photography). Dimension: 80 mm. Weight: 241 g. Metal: bronze. Stamp: Bronze Horn + + 1970... ------------------------------ You can visit our shop to see our many other medals. Reduction of shipping for bulk purchases Photos above. Envoi rapide et soigné. ____________________________________________________________ More photos ? Contact us Pour des photos supplémentaires contactez nous par email   breizh.antiques.art@gmail.com 0033 (0) 645210548 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antique. Camaret-sur-Aigues Pour les articles homonymes, voir Camaret.  Camaret-sur-Aygues redirige ici. Camaret-sur-Aigues Place de l'église Blason Administration Pays  France Région Provence-Alpes-Côte d'Azur Département Vaucluse Arrondissement Avignon Canton Orange-Est Intercommunalité Communauté de communes Aygues Ouvèze en Provence Maire Mandat Philippe de Beauregard (FN) 2014 -2020 Code postal 84850 Code commune 84029 Démographie Gentilé Camaretois Population municipale 4 596 hab. (2011) Densité 262 hab./km2 Géographie Coordonnées 44° 09′ 51″ Nord 4° 52′ 28″ Est    Altitude 72 m (min. : 56 m) (max. : 97 m) Superficie 17,53 km2 Localisation Géolocalisation sur la carte : France Camaret-sur-Aigues * Voir sur la carte administrative du Vaucluse * Voir sur la carte topographique du Vaucluse * Voir la carte administrative de France Liens Site web http://www.camaret.org modifier   Camaret-sur-Aigues est une commune française, située dans le département de Vaucluse en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Sommaire * 1 Dénomination * 2 Géographie * 2.1 Accès et transports * 2.2 Relief * 2.3 Géologie * 2.4 Sismicité * 2.5 Hydrographie * 2.6 Climat * 3 Histoire * 3.1 Antiquité * 3.2 Moyen Âge * 3.3 Renaissance * 3.4 Période moderne * 3.5 Période contemporaine * 3.6 Toponymie * 3.7 Héraldique * 4 Politique et administration * 4.1 Tendances politiques et résultats * 4.2 Liste des maires * 4.3 Intercommunalité * 4.4 Fiscalité * 5 Démographie * 6 Économie * 6.1 Agriculture * 6.2 Industrie * 6.3 Tourisme * 7 Équipements et services * 7.1 Enseignement * 7.2 Sports * 7.3 Santé * 8 Vie locale * 8.1 Cultes * 8.2 Écologie et recyclage * 9 Lieux et monuments * 10 Notes et références * 10.1 Jumelages * 10.2 Notes * 10.3 Références * 11 Bibliographie * 12 Pour approfondir * 12.1 Articles connexes * 12.2 Liens externes Dénomination Le nom officiel de la commune, défini par le Code officiel géographique de l'INSEE, est Camaret-sur-Aigues. Toutefois, il est parfois fait usage, sans aucun caractère officiel, de l'appellation « Camaret-sur-Aygues ». Géographie La commune de Camaret-sur-Aigues est située à 6,5 kilomètres au nord-est de la ville d'Orange. Accès et transports Les routes départementales 23, 93 et 975 arrivent au bourg alors que la route départementale 43 le contourne par l'ouest. L'autoroute la plus proche est l'autoroute A7. Relief La commune est relativement plate avec une différence de 41 mètres seulement entre le point le plus haut de la commune, à l'extrême est de celle-ci, et le point le plus bas, situé à l'ouest-sud-ouest du bourg, en bordure de commune, au niveau de la mayre de Raphaëlis. Géologie Le sol est principalement constitué d'alluvions quaternaires. Sismicité Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments1. Hydrographie L'Aygues, lieu de baignades L'Aygues passe au nord du bourg. Plusieurs canaux (canal de Carpentras et canal du moulin) et petits cours d'eau comme les mayres de Mourelette, de Raphaëlis, d'Ancione passent aussi sur la commune. Climat La commune, située dans la zone d’influence du climat méditerranéen, est soumise à un rythme à quatre temps : deux saisons sèches, dont une brève en hiver, une très longue et accentuée en été  ; deux saisons pluvieuses, en automne, avec des pluies abondantes sinon torrentielles, et au printemps. Les étés sont chauds et secs, liés à la remontée en altitude des anticyclones subtropicaux, entrecoupés d’épisodes orageux parfois violents. Les hivers sont doux. Les précipitations sont peu fréquentes et la neige rare2. Depuis 2009, la ville d'Orange dispose d'une station météorologique en ville3. Données météorologiques d'Orange de 1961 à 1990 Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne (°C) 1,3 2,6 4,4 7,2 10,8 14,4 17 16,3 13,8 9,7 4,9 1,9 8,7 Température moyenne (°C) 5,4 6,9 9,4 12,5 16,4 20,2 23,3 22,5 19,4 14,7 9,1 5,7 13,8 Température maximale moyenne (°C) 9,4 11,3 14,4 17,8 22,1 26,1 29,6 28,8 25 19,7 13,3 9,5 18,9 Ensoleillement (h) 132 137,1 192,5 230,4 264,6 298,9 345,3 310,7 237,6 187,1 135,2 123,8 2 595,3 Précipitations (mm) 44,4 57,5 61,1 58,9 72,4 43,6 27,8 56,3 67,6 97,4 57,7 48,9 693,4 Source : 4 Diagramme climatique J F M A M J J A S O N D       9.4 1.3 44.4       11.3 2.6 57.5       14.4 4.4 61.1       17.8 7.2 58.9       22.1 10.8 72.4       26.1 14.4 43.6       29.6 17 27.8       28.8 16.3 56.3       25 13.8 67.6       19.7 9.7 97.4       13.3 4.9 57.7       9.5 1.9 48.9 Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm Vaucluse Canton d'Orange moyenne nationale Ensoleillement 2 595 h/an 2 800 h/an 1 973 h/an Pluie 693 mm/an 700 mm/an (sur 80 jours) 770 mm/an Neige 4 j/an 14 j/an Vent 110 j/an essentiellement du Mistral Orage 23 j/an 22 j/an Brouillard 31 j/an 40 j/an Mois Jan Fev Mar Avr Mai Jui Jui Aou Sep Oct Nov Dec Records de températures minimales °C (Année) -13,4 (1985) -14,5 (1956) -9,7 (2005) -2,9 (1970) 1,3 (1979) 5,7 (1984) 9,0 (1953) 8,3 (1974) 3,1 (1974) -1,1 (1973) -5,4 (1952) -14,4 (1962) Records de températures maximales °C (Année) 20,3 (2002) 23,0 (1960) 27,2 (1990) 30,7 (2005) 34,5 (2001) 38,1 (2003) 40,7 (1983) 42,6 (2003) 35,1 (1966) 29,6 (1985) 24,6 (1970) 20,2 (1983) Source: http://www.linternaute.com/ville/ville/climat/25721/orange.shtml Histoire Antiquité Au cours du XIXe siècle, des fouilles avaient découvert du numéraire, des urnes funéraires, des lampes à huile, des vases dits lacrymatoires et des miroirs d'argent poli. Une pierre tumulaire épigraphe intégrée dans la façade d'une maison avait été descellée et vendue. Elle portait l'inscription S. P. SEVERIUS SIBI ET SVIS VIVUS FECIT. Avaient aussi été répertoriés des vestiges d'un aqueduc qui fournissait Orange en eau de source5. Au cours du XXe siècle, des fouilles menées plus scientifiquement, ont permis de retrouver au quartier des Marelles un fragment d'autel épigraphe, et trois sépultures à tegulæ sur le site des Garriguettes6. Moyen Âge Porte des remparts médiévaux Durant tout le bas Moyen Âge et jusqu'à la Révolution, Camaret dépendit de la baronnie de Sérignan. Elle avait d'abord appartenu à la principauté d'Orange puisque Raymond VII de Toulouse, comte de Provence, l'avait donné en fief, dès 1237, à Raymond des Baux. Ce fief fut donné comme dot à Tiburge d'Orange lors de son mariage avec Adhémar de Poitiers, comte de Valentinois. Celle-ci, en 1324, accorda l'élection de deux syndics pour représenter la communauté. Leurs successeurs, le 7 mai  1416, signèrent un prix fait pour que fussent édifiés de nouveaux remparts5. Le chevalier Guillaume Fabri fut coseigneur de Camaret-sur-Aigues jusqu'à ce qu'il fût condamné au chapitre des Lattes7. En 1346, ce fut l'ancien Baile de Pélissanne (1345), Raymond Martini qui fut chargé de vendre ses biens. Vers 1346, Guillaume d'Orange fut seigneur de Camaret et de Sérignan. Noble et puissant, Jean de Baux, sire de Camaret et de Sérignan eut à son service comme juge ordinaire de ses deux terres, en 1369, un noble bachelier, originaire d'Orange, Bérenger Sadoyrani, juge d'Arles (1372) et de Sisteron (1387)8. Renaissance En 1495, le Conseil de Ville obtint de la baronnie l'autorisation que chaque habitant puisse puisse cultiver une éminée de jardin exempte de dîme sur les fruits et les herbages5. Les guerres de religions sévirent pendant une décennie. Camaret ayant été pris par les religionnaires, le 5 janvier  1563 6, le capitaine pontifical Fabrice Serbelloni vient mettre le siège. Après quatre jours de canonnade, ses troupes investirent le village et passèrent par le fil de l'épée 100 prisonniers. Une nouvelle attaques des calvinistes de Nyons eut lieu en 1573. Mais leur homme de main qui devait leur ouvrir les portes fut démasqué et ils se retirèrent. Il n'en fut pas de même deux ans plus tard. Le 3 mai  1375, les huguenots d'Orange forcèrent la place mais durent rapidement se retirer face aux troupes envoyées par le cardinal d'Armagnac9. Ces attaques ont permis de savoir qu'en 1565, les remparts s'ouvraient par trois portes : la Grande Porte ou Portail Bérenguier, dite aussi des Ursulines ; la Porte Jaubert ou Portalet ; la Porte Carbonnel. Celles du Portail et de Carbonnel étaient précédées d'un pont levis. Les affrontements finis, deux autres portes furent ouvertes, celle de la Brèche et celle de la Tour10. Ce fut en 1599 que les deux syndics du village changèrent leur titre pour prendre celui de consul5. Période moderne Le 12 août 1793 fut créé le département de Vaucluse, constitué des districts d'Avignon et de Carpentras, mais aussi de ceux d'Apt et d'Orange, qui appartenaient aux Bouches-du-Rhône, ainsi que du canton de Sault, qui appartenait aux Basses-Alpes. Article détaillé : Histoire de Vaucluse. Dans le milieu du XIXe siècle, le village, grâce à l'irrigation, avait diversifié son agriculture avec maraîchage, huile d'olive, mûriers pour l'élevage des vers à soie et safran. Toute une petite et moyenne industrie, liée à la force motrice de l'eau, s'était développée : blanchisserie, moulins à farine, fabrique de chapeaux et moulinage de la soie5. Période contemporaine Camaret, grâce à l'implantation, de la coopérative agricole « La cabanon » s'est acquis la réputation de capitale nationale de la tomate de conserve11. Toponymie La forme la plus ancienne est de Camareto, attestée en 1137. Ce toponyme suggère un thème pré-celtique *kam-ar avec le sens de hauteur arrondie12. Héraldique Article détaillé : Armorial des communes de Vaucluse. Les armes peuvent se blasonner ainsi : D'or à l'ormeau arraché de sinople, chargé de trois oranges de gueules ordonnées 2 et 1, au chef du même chargé de la lettre C capitale du champ.13 Politique et administration Tendances politiques et résultats Article connexe : Élections municipales de 2014 dans le Vaucluse. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Liste des maires Hôtel de Ville Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 1983 2008 Paul Durieu 14 UMP   mars 2008 mars 2014 Marlène Thibaud 14 PS   Les données manquantes sont à compléter. Intercommunalité La commune fait partie de la Communauté de communes Aygues Ouvèze en Provence. Celle-ci a été créée le 31  décembre  1992. Fiscalité L'imposition des ménages et des entreprises à Camaret-sur-Aigues en 200915 Taxe part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale Taxe d'habitation (TH) 7,73 % 0,00 % 7,55 % 0,00 % Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 20,44 % 0,00 % 10,20 % 2,36 % Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 57,11 % 0,00 % 28,96 % 8,85 % Taxe professionnelle (TP) 00,00 % 17,85 % 13,00 % 3,84 % La Part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable. La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 201016). Démographie En 2011, la commune comptait 4 596 habitants. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans, contrairement aux autres communes qui ont une enquête par sondage chaque annéeNote 1,Note 2.            Évolution de la population  ] 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 2 020 2 035 2 121 2 228 2 216 2 288 2 289 2 430 2 553            Évolution de la population  ], suite (1) 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 2 625 2 595 2 498 2 401 2 278 2 053 1 965 1 890 1 738            Évolution de la population  ], suite (2) 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1 633 1 700 1 785 1 523 1 544 1 562 1 516 1 500 1 581            Évolution de la population  ], suite (3) 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 - 1 794 1 955 2 255 2 468 3 121 3 553 4 207 4 596 - De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes  ; pour les dates suivantes : population municipale. (Sources : Ldh/EHESS /Cassini jusqu'en 199917 puis Insee à partir de 200418.) Histogramme de l'évolution démographique Économie Agriculture Vue aérienne du terroir de Camaret et Sérignan-du-Comtat Au cours du XIXe siècle, face à un Plan de Dieu « plaine presque inculte », les autorités et les élus pensèrent utile et judicieux d'envisager son irrigation sans considérer qu'il y avait là un terroir viticole de première importance5. Aujourd'hui, le vignoble de la commune produit des vins Côtes-du-rhône villages classés en plan-de-dieu (AOC), au même titre que Jonquières, Travaillan et Violès. Les vins qui ne sont pas en appellation d'origine contrôlée peuvent revendiquer, après agrément, le label Vin de pays de la Principauté d'Orange Industrie L'entreprise agro-alimentaire Conserves de Provence, premier opérateur français de production de tomate transformée, a été racheté en 2004 par le groupe chinois Xinjiang Chalkis Co.Ltd qui s'est porté acquéreur de 55 % des parts 19; le reste appartenant à la SA Le Cabanon, ancienne coopérative agricole, pour 7 millions d'euros20, en 200421 qui est propriétaire de l'usine de Camaret20. Depuis, la majorité des tomates qui passent par l'usine sont importées de Chine20,22. L'accord de vente stipulait que la production chinoise représenterait les deux tiers de l'activité des Conserves de Provence dans un premier temps, avant d'augmenter progressivement tout en garantissant pendant 10 ans l'écoulement de la production des agriculteurs français de la coopérative21. Tourisme Comme beaucoup d'autres communes viticoles du Vaucluse, l'œnotourisme est présent dans l'économie locale. Ce n'est cependant pas la seule forme de tourisme, en particulier grâce à sa proximité d'Orange et de ses monuments et festival, mais aussi du mont Ventoux, d'Avignon, etc. Équipements et services Enseignement Quatre écoles primaires : - trois publiques : La Souleïado (maternelle); Frédéric Mistral (CP, CE1, CE2) ; Les Amandiers23 (CE2, CM1, CM2) - une privée : Saint-Andéol Ensuite les élèves vont au collège Arausio Orange 24 puis le lycée Polyvalent régional de l'Arc, toujours à Orange25. Sports L'on trouve plusieurs clubs à vocation sportive (Football, motoball, volleyball, handball, basketball, twirling bâton) sur la commune. Plusieurs stades, tennis, etc. Santé La communes disposent d'une pharmacie, ainsi que de médecins, dentistes, infirmiers et kinésithérapeutes. Il n'y a, par contre, pas d'hôpital, le plus proche étant sur Orange. Intérieur de l'église paroissiale de Camaret Vie locale Cultes La paroisse catholique de Camaret fait partie du Doyenné d'Orange -Bollène 26. Placée sous le vocable de saint Andéol, elle date du début du XVe siècle et a été totalement restaurée en 1780 10. Dans l'édifice religieux précédant, se trouvait une vierge noire. Lors d'une visite épiscopale de l'évêque d'Orange, François de Roussel de Tilly, en 1780, elle horrifia le prélat qui fut choqué par son indécence. Il avait constaté que la Vierge ne tenait pas son fils dans ses bras mais sur son giron. Il ordonna que cette statue romane fut brûlée et que ces cendres fussent enterrées dans le cimetière10. Écologie et recyclage La collecte et le traitement des déchets des ménages et déchets assimilés, la gestion de l'assainissement collectif, la lutte contre les nuisances sonores, le contrôle de la qualité de l'air et la protection et mise en valeur de l'environnement font partie des compétences de la Communauté de communes Aygues Ouvèze en Provence. Lieux et monuments * Église paroissiale "Saint-Andéol", XVIe siècle, située au cœur du bourg. * Chapelle Saint-Cœur-de-Marie, proche du cimetière, à l'ouest du bourg. * Chapelle Saint-Andéol, derrière a Mairie * Le Ravelin : Ancienne porte des remparts, surmonté d'un campanile et d'une horloge * La Tour Sarrazine (XIIIe siècle) * Chapelle Saint-Cœur-de-Marie * Le Ravelin * La Tour Sarrazine * Chapelle Saint-Andéol Notes et références Jumelages *  Travacò Siccomario  (Italie) Notes * ↑ Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par la loi no 2002-276 du 27 février 2002  ], dite « loi de démocratie de proximité » relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V « des opérations de recensement », afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises. Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006. * ↑ Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, et afin de permettre une comparaison correcte entre des recensements espacés d’une période de cinq ans, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant aux années 2006, 2011, 2016, etc., ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee. Références * ↑ Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48 * ↑ La climatologie du Vaucluse  ] * ↑ Station météo d'Orange  ] * ↑ Relevés météorologiques d'Orange, (Vaucluse), de 1961 à 1990  ] * ↑ a, b, c, d, e et f Jules Courtet, op. cit., p. 114. * ↑ a et b Robert Bailly, op. cit., p. 124. * ↑ AD du 13, série B1593f131v. * ↑ Chiffoleau, Les justices, p.289 * ↑ Jules Courtet, op. cit., p. 115. * ↑ a, b et c Robert Bailly, op. cit., p. 125. * ↑ Patrick Saletta (sous la direction de), Haute Provence et Vaucluse - Les Carnets du Patrimoine, Les Guides Masson, Paris, 2000, p. 207. * ↑ Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Éd. Larousse, 1968, p. 1725. * ↑ Armorial des communes du Vaucluse * ↑ a et b ledauphine.com - Camaret-sur-Aygues : Marlène Thibaud détrône Paul Durieu  ] * ↑ « Impots locaux à Camaret-sur-Aigues »  ], taxes.com * ↑ Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010  ] (Légifrance) * ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui  ] sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales. * ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006  ], 2011  ] * ↑ Les tomates de Provence passées au chinois  ], Commerce international, 2 juillet 2004 * ↑ a, b et c La Tomate globale  ], CQFD n°25, 15 juillet 2005 * ↑ a et b Pierre Haski, Les Chinois croquent la tomate transformée française  ], Libération, 12 avril 2004 * ↑ 86 : Chalkis ou la mondialisation expliquée aux enfants. Comédie géographique en quatre actes  ], Café-géo, « Les lettres de Cassandre », par Pierre Gentelle, 15 décembre 2008 * ↑ Site de l'école Les Amandiers de Camaret  ] * ↑ « Carte scolaire du Vaucluse »  ], Conseil Général de Vaucluse * ↑ « Site du lycée de l'Arc »  ], Académie Aix-Marseille,‎ 2010 * ↑ Diocèses en Vaucluse  ] Bibliographie * Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique du département du Vaucluse, Avignon, 1876. * Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, Éd. A. Barthélemy, Avignon, 1986. (ISBN  2903044279) Pour approfondir Sur les autres projets Wikimedia : * Camaret-sur-Aigues, sur Wikimedia Commons Articles connexes * Liste des communes de Vaucluse * Plan de Dieu (Vaucluse) Liens externes * Site officiel de la ville de Camaret-sur-Aigues   v  · d  · m Communes de la communauté de communes Aygues Ouvèze en Provence   v  · d  · m Communes du canton d’Orange-Est   v  · d  · m Communes de Vaucluse * Portail de Vaucluse * Portail des communes de France Catégories  : * Commune de Vaucluse * Ancien chef-lieu de canton de la Drôme * Ancien chef-lieu de canton des Bouches-du-Rhône | Menu de navigation * Créer un compte * Se connecter * Article * Discussion * Lire * Modifier * Modifier le code * Historique * Accueil * Portails thématiques * Article au hasard * Contact Contribuer * Débuter sur Wikipédia * Aide * Communauté * Modifications récentes * Faire un don Imprimer / exporter * Créer un livre * Télécharger comme PDF * Version imprimable Outils * Pages liées * Suivi des pages liées * Importer un fichier * Pages spéciales * Adresse de cette version * Information sur la page * Élément sur Wikidata * Citer cette page Autres langues * Català * Cebuano * Deutsch * English * Español * Euskara * Italiano * Latina * Lumbaart * Malagasy * Bahasa Melayu * Nederlands * Occitan * Polski * Piemontèis * Português * Română * Русский * Srpskohrvatski / српскохрватски * Simple English * Slovenčina * Српски / srpski * Svenska * Українська * Tiếng Việt * Volapük * Winaray * 中文 Modifier les liens * Dernière modification de cette page le 26 mai 2014 à 17:31. * Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons paternité partage à l’identique; d’autres conditions peuvent s’appliquer. 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Vignette / entête de l'Evêché de Cambrai 3 lignes autographes + signature Bel état de conservation Envoi soigné Informations complémentaires concernant le signataire de ce document: Louis Belmas naquit à Montréal en Languedoc. Son père, quoiqu'il fût commerçant, jouissait de l'estime et de la considération publiques. Louis, à peine âgé de quatre ans et demi, perdit cet excellent père et sa mère, la plus douce et la plus pieuse des mères, dans l'espace de six semaines. Ils laissaient huit enfants et une fortune très bornée. Belmas fut adopté par son parrain qui le reçut dans sa maison, et se chargea de l'élever. Il fut envoyé d'abord dans les écoles de sa petite ville natale, et commença bientôt ses études de latin au collège de Carcassonne. Là, depuis la sixième jusqu'à la rhétorique au collège de l'Esquille à Toulouse, ses succès furent brillants. On le nomma presque toujours le premier dans les concours publics. À la fin de 1772, il fut tonsuré par M. l'évêque de Carcassonne, qui lui donna, deux ans après, une bourse dans le séminaire de Toulouse. Les prêtres de l'Oratoire dirigeaient cette maison avec leur habileté connue. Il fit chez eux sa philosophie et sa théologie, toujours avec distinction, et reçut le grade de bachelier. Il retourna ensuite à Carcassonne, et fut ordonné prêtre le 22 décembre 1781. Nommé vicaire de Saint-Michel de Carcassonne, il remplit ces fonctions avec tant de succès qu'en 1782 il fut gratifié d'une prébende dans la collégiale Saint-Vincent de Montréal, et appelé par l'évêque, Chastenet de Puységur, à la direction du séminaire de Carcassonne. En 1786, ce prélat le nomma promoteur général du diocèse, et lui confia, sur la demande de Belmas, la cure de Carlipa. Louis Belmas fut appelé par le vœu général de la succursale de Carlipa à la cure de Castelnaudary, capitale du Lauraguais. Dans ce nouveau poste, il s'attira l'attachement et la confiance de ceux dont il partageait les opinions et protégea les démissionnaires contre l'exaltation des esprits. On l'appelait à Castelnaudary le Bon curé. Sa réputation de bonté s'étendit avec celle de ses talents supérieurs pour l'administration et pour la chaire, à ce point même qu'on le jugea bientôt digne de l'épiscopat. Il avait quarante-trois ans. Guillaume Besaucèle1, évêque constitutionnel de l'Aude, que ses infirmités et son grand âge mettaient dans l'impuissance de remplir ses fonctions, témoigna le désir d'avoir un coadjuteur. Suivant le régime en vigueur, il eut recours aux suffrages populaires qui tous se portèrent sur Belmas. Besancel mourut le 6 février 1801 et Belmas qui avait adhéré à la constitution civile du clergé devint évêque constitutionnel de l'Aude le 26 octobre 1800. Il fut sacré à Carcassonne durant la tenue d'un concile provincial où se trouvaient réunis onze évêques. Louis Belmas assista au concile dit national de Paris en 1801 : il y prit le titre d'évêque de Narbonne, ville qui, dans la démarcation de l'assemblée constituante, devait être la résidence de l'évêque de l'Aude. Louis Belmas prononça à la fin du concile un discours au sujet des conférences qui avaient été indiquées avec le clergé insermenté. Après le concordat de 1802, Fouché le fit comprendre dans le nombre des douze évêques constitutionnels qui furent nommés à de nouveaux sièges. On sait que plusieurs de ces prélats refusèrent de signer une rétractation que le légat leur demandait : ils déclarèrent seulement qu'ils renonçaient à la constitution civile du clergé, condamnée par le Saint-Siège. Louis Belmas fut de ce nombre. Lorsqu'enfin, grâce aux soins combinés du pape Pie VII et du Premier Consul Napoléon Bonaparte, le schisme de France se trouva éteint, Louis Belmas fut nommé, le 11 avril 1802, au siège de Cambrai redevenu simple évêché, soumis à la métropole de Paris. Il prêta serment le 18 du même mois, et fit son entrée à Cambrai le 6 juin suivant. Cambrai ne ressemblait plus à ce qu'elle était autrefois. Alors qu'une foule d'édifices religieux l'embellissaient et qu'elle était habitée par un clergé nombreux, la ville n'avait plus de pontife et la cathédrale était en ruines. Ses premiers soins furent d'organiser son diocèse qu'il trouva dénué de tout, et complètement à refaire : l'œuvre était immense et presque impossible : point d'union et de discipline dans son clergé, pas un seul établissement sacerdotal, nulles ressources pécuniaires. Loin de décourager le prélat, les obstacles donnèrent à son zèle plus d'activité et de puissance, il en appela de son désespoir à la charité des fidèles, et, sans aucun subside du gouvernement, conduisit ses projets à bonne fin. Belmas fit de l'abbatiale Saint-Aubert (depuis appelée église Saint-Géry), conservée pour un usage profane, sa cathédrale : mais, peu de temps après, il conféra ce titre à l'église du Saint-Sépulcre, et établit lui-même sa demeure dans l'ancienne abbaye de ce nom. Mgr Belmas apporta tous ses soins et toute sa sollicitude à réorganiser le culte divin, à réunir, à diriger, à soutenir ses prêtres dispersés. Il fut bientôt en état de construire, quoiqu'à grands frais, une vaste maison dont il fit le séminaire diocésain ; et plus tard, par des additions et des dispositions nouvelles, disposa l'ancien collège des jésuites pour devenir à son tour le grand séminaire et laisser place dans le premier édifice à l'école secondaire ecclésiastique. Lorsque le Pape vint à Paris pour le couronnement de Napoléon (2 décembre 1802), Louis Belmas donna une nouvelle garantie de ses sentiments, en signant un écrit qui lui fut présenté de la part de Pie VII, portant adhésion pleine et entière aux jugements du Saint-Siège sur les affaires ecclésiastiques de France. En 1804, le tombeau qui renfermait le corps de Fénelon ayant été retrouvé, les magistrats de Cambrai résolurent de transférer ces restes dans la chapelle de l'hospice de Sainte-Agnès. Or, la cérémonie qui fut projetée ressemblait plus à une fête païenne qu'à une solennité catholique : l'évêque déclara que ni lui ni son clergé ne pouvaient accepter la place qu'on leur avait assignée dans ce cortège si peu assorti à la dignité archiépiscopale. Il adressa ses réclamations à l'Empereur qui, après avoir pris connaissance de l'affaire, ordonna d'ajourner indéfiniment la cérémonie. Ce fut assez pour attirer sur le prélat le ressentiment et les injures, on essaya même de l'attaquer. Le tombeau, retardé par des difficultés sans nombre, ne fut terminé qu'à la seconde Restauration, et l'inauguration du monument eut lieu le 7 janvier 1826, sous la présidence de Monseigneur Belmas qui prononça en cette occasion un discours remarquable. Lorsque Napoléon Ier, qui s'était acquis une gloire réelle par le rétablissement du culte, arrêta et fit déporter à Savone Pie VII, un concile fut convoqué à Paris en 1811, pour apporter quelque remède aux maux que souffrait la religion en France. Mgr Belmas assista à ce concile, mais il ne parait pas avoir pris une part active aux conférences. Belmas fut maintenu évêque de Cambrai à la première Restauration et pendant les Cent-Jours. Louis Belmas appelait Napoléon son bienfaiteur, lequel l'avait fait baron de l'Empire. Il n'est pas étonnant alors de le trouver parmi les premiers à la cérémonie du Champ-de-Mai (1er juin 1815). Louis XVIII, revenu une seconde fois dans son royaume, fit son entrée à Cambrai le 26 juin 1815, mais le souvenir de la cérémonie du Champ-de-Mai, auquel le prélat avait assisté tout récemment, empêcha le monarque de descendre au palais épiscopal, il s'établit dans la maison d'un particulier. M. l'évêque de Cambrai s'était rendu à Paris pour solliciter la mise en liberté de quelques ecclésiastiques de son diocèse gravement compromis dans les Cent-Jours : grâce, sans doute, à son dévouement connu, il obtint ce qu'il désirait, et sa joie fut d'autant plus vive, qu'il arrachait les victimes à d'atroces vengeances. De pressantes instances lui furent faites pour l'engager à se démettre de son siège : pressions auxquelles il resta sourd. Lord Wellington avait pour Louis Belmas une estime toute particulière. On prétend que le vainqueur de Waterloo soutint très efficacement le courage et les droits du prélat dans lesdites circonstances. Un témoignage pareil n'était point suspect, Louis XVIII l'accueillit avec bonheur. Deux ans après, par lettres apostoliques, en date du 6 des calendes d'août 1817, le siège de Cambrai fut de nouveau, sur la demande de Louis XVIII, érigé en archevêché. Ces lettres faisaient suite au concordat du 11 juin 1817 qui résolut d'ériger Cambrai en archevêché, mais la cour de Rome ne voulait point récompenser Louis Belmas, en lui conférant un titre plus élevé. On lui proposa de se démettre : il n'y consentit qu'à condition qu'on lui donnerait un titre d'archevêché in partibus. Le pape ne souscrivit point à cette idée, et l'érection de l'archevêché de Cambrai fut ajournée (bulle d'octobre 1822). En 1827, Charles X, visitant les provinces du nord, arriva à Cambrai le 4 septembre, et voulut être logé au palais épiscopal. Le digne évêque ne négligea rien pour donner à son hôte des témoignages de respect et de dévouement. Mgr Belmas adhéra sans hésitation la révolution de 1830. Le roi Louis-Philippe Ier, se trouvant à Cambrai en 1832, accorda à notre évêque les insignes de Commandeur de la Légion d'honneur. Le Roi des Français lui proposa même l'archidiocèse d'Avignon. Le fidèle évêque de Cambrai refusa cette promotion. Jusqu'au dernier jour, Mgr Belmas traita les affaires de son diocèse avec la présence d'esprit, la facilité de travail qui le caractérisaient. Peu avant sa mort, il entendit encore la lecture de sa correspondance et il indiqua les réponses à faire. Il s'occupa des prochaines ordinations et fit expédier une lettre pour que sa mort n'apportât aucun retard à ceux qui dévoient être ordonnés. Une maladie longue, rendue plus grave par la vieillesse, l'emporta le 21 juillet 1841, après un épiscopat qui dura près de quarante ans. C'est M. le docteur Lenglet qui procéda à l'autopsie du corps de Mgr Belmas. Le cœur était dans un état tout à fait anormal. Des tuméfactions énormes, des désordres affreux se faisaient remarquer autour de ce viscère. Cependant, chose étrange, jamais le malade ne s'était plaint d'aucune douleur dans la région du cœur. Son oraison funèbre fut prononcée à Cambrai par M. Wicart, alors curé-doyen de Sainte-Catherine de Lille, depuis évêque de Fréjus. Cambrai offrit toutes les images d'un grand deuil, par suite du décès de Mgr Belmas. Trois fois par jour, à six heures du matin, à midi et à six heures du soir, toutes les cloches de la cathédrale et de l'église Saint-Géry sonnaient à grandes volées. D'heure en heure, un coup de canon fut tiré. Au palais épiscopal, se pressaient les fidèles qui venaient contempler une dernière fois les traits du prélat et prier pour lui. À la mort de Louis Belmas, le siège épiscopal de Cambrai est à nouveau érigé en archevêché par bulle du pape Grégoire XVI du 1er octobre 1841 au profit de Pierre Giraud. Source: wikipedia      ●   Bienvenue sur notre boutique   ●  Intégrez-nous dans votre liste de "vendeurs favoris" afin d'être régulièrement tenu informés de nos nouvelles mises en vente N´hésitez pas à consulter nos autres ventes afin de mutualiser les frais d´envoi   NOS FRAIS D'ENVOI PRINCIPES DE BASE:  nos prix incluent le port et le conditionnement  -  lots vendus   merci aux acheteurs qui choisissent un envoi "classique" sans suivi de ne pas porter réclamation si l'objet ne leur parvenait pas, ne pouvant être tenu responsable d'une perte par les services postaux  (Europe & other countries: letter with tracking number or registered letter) -  lots vendus de 20€ à 100€  :  envoi avec n° de suivi ou recommandé, au choix de l'acheteur  (Europe & other countries: letter with tracking number or registered letter) -  lots vendus > 100€  : envoi recommandé obligatoire (registered letter obligatory) L'acheteur aura donc le  choix  entre : 1 - lettre suivie: envoi avec un n° de suivi, mais sans assurance  2 - lettre verte "classique": envoi sans n° de suivi et sans assurance (juste pour la France) 3 - lettre recommandée: envoi avec suivi et avec assurance. 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http://stores.shop..fr/breizh-antiques 13 Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne à partir de 1880). Numérotée sur la tranche 100 / 500. En bonze florentin. Graveur: M R . Dimensions: 84 mm. Poids: 247 g. Métal: bronze . Poinçon sur la tranche:  Corne d'abondance + bronze (br flo) + 100 / 500. Envoi rapide et soigné. The stand is not for sale. Le support n'est pas à vendre.   ______________________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Georges Cadoudal Georges Cadoudal Georges Cadoudal, peinture de Paul Amable Coutan, 1827. Surnom Général Georges Gédéon Naissance 1er janvier 1771 Brech Décès 25 juin 1804 (à 33 ans) Paris Origine Français, Breton Allégeance Chouan Dignité d'État Maréchal de France Années de service 1793 – 1804 Conflits Guerre de Vendée Chouannerie Commandement Division d'Auray Armée catholique et royale du Morbihan Armée catholique et royale de Bretagne Faits d'armes Bataille de Nantes Bataille de Cholet Virée de Galerne Siège de Granville Siège d'Angers Bataille du Mans Bataille de Savenay Bataille de Grand-Champ Bataille de Floranges Expédition de Quiberon Combat d'Elven Bataille du Mont-Guéhenno Bataille du pont du Loc'h Distinctions Grand-Croix de Saint-Louis Anoblissement posthume Famille Famille de Cadoudal modifier   Georges Cadoudal, né à Brec'h le 1er janvier 1771 et mort guillotiné le 25 juin 1804 à Paris, est un général chouan, maréchal de France à titre posthume, commandant de l'Armée catholique et royale de Bretagne. Fils de paysans aisés, charismatique et doué d'une force herculéenne, Cadoudal est d'abord partisan de la Révolution française. Il s'en détache en 1791, après la constitution civile du clergé, puis prend les armes contre elle en 1793 pour s'opposer à la conscription lors de la levée en masse. À la suite de l'échec des rébellions paysannes en Bretagne, Cadoudal gagne la Vendée en juin. Capitaine dans les compagnies bretonnes sous les ordres de Bonchamps, il prend part aux batailles de la guerre de Vendée. Après la défaite des Vendéens à la deuxième bataille de Cholet et la mort de Bonchamps, il sert sous les ordres de Stofflet et participe à la Virée de Galerne. Il combat avec les Vendéens jusqu'à l'ultime bataille de Savenay. De retour dans le Morbihan, Cadoudal prend le commandement des troupes de Chouans qui se forment dans le pays d'Auray. Il refuse de signer le traité de la Mabilais et de reconnaître la République. Colonel en 1795, il se distingue lors de l'expédition de Quiberon, après la débacle de l'armée des émigrés, il parvient à sauver ses troupes des colonnes républicaines et est proclamé général par ses hommes. Commandant en chef de l'armée catholique et royale du Morbihan, Cadoudal prend le contrôle de presque toutes les campagnes du département tandis que les Républicains ne conservent plus que les villes. Défenseur d'une chouannerie populaire, il s'oppose à son chef, Joseph de Puisaye et à la domination des officiers émigrés. Il signe la paix en 1796, puis reprend la guerre en 1798. Il renonce à prendre Vannes mais il s'empare de plusieurs petites villes à l'automne 1799, avant d'être tenu en échec à la bataille du pont du Loc'h. Après avoir signé un traité, il refuse le grade de général dans l'armée républicaine et s'oppose au premier consul Napoléon Bonaparte. Fait Lieutenant-général et commandant des troupes royales de Bretagne, il trouve refuge en Angleterre à la suite de l'attentat de la rue Saint-Nicaise à Paris en 1800 commis par deux de ses officiers. Cadoudal regagne Paris en 1804, il y organise un complot visant à capturer ou tuer le premier consul avec une troupe d'hommes armés tandis que le général Pichegru est chargé
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Vannes (Morbihan)
breizh.antiques.art@gmail.com 06 47 07 70 65 24 Médaille en bronze doré. Graveur: A déterminer. Dimensions: 68 mm. Poids: 196 g. Métal: bronze. Poinçon sur la tranche (Mark on the edge): Aucun, tranche lisse. Envoi rapide et soigné. Le support utilisé pour présenter la médaille n'est pas à vendre. The stand used for the medal presented is not for sale.   _______________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Château de Sedan Château de Sedan Période ou style Médiéval Type Château fort Début construction 1424 Propriétaire initial Évrard II de La Marck Propriétaire actuel Municipalité de Sedan Protection  Classé MH (1965) Site web http://www.chateau-fort-sedan.fr/ Coordonnées 49° 42′ 07″ N 4° 56′ 58″ E 49° 42′ 07″ Nord 4° 56′ 58″ Est Pays  France Anciennes provinces de France Champagne Région Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine Département Ardennes Commune Sedan Géolocalisation sur la carte : Champagne-Ardenne modifier   Le château de Sedan ou château-haut est situé à Sedan sur un promontoire en bordure de Meuse autrefois flanqué de deux ruisseaux, le Bièvre et le Vra. C'est l'une des plus grandes forteresses d'origine médiévale d'Europe avec 35 000 m2 sur sept étages et des murs de plus de 7 m de large (le mur le plus épais avoisine les 27 m de large). Ce château fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 4 janvier 1965 1. Sommaire * 1 Histoire * 2 Circuit de visite * 3 Galerie * 4 Architecture * 5 Les Seigneurs et Princes de Sedan, ducs de Bouillon * 6 Évènements * 6.1 Le Grand tournoi de chevalerie * 6.2 Festival médiéval * 6.3 Visites nocturnes aux flambeaux * 7 Annexes * 7.1 Articles connexes * 7.2 Liens externes * 8 Sources * 8.1 Notes et références * 8.2 Bibliographie Histoire À l'origine du site se trouve un prieuré bénédictin dépendant de l'abbaye de Mouzon  : le prieuré Saint-Martin dont on peut voir les assises dans la cour du château. Ce prieuré est mentionné en 1306. Évrard de La Marck prend possession du site en 1424 par l'intermédiaire de son beau-frère Louis de Braquemont, apportant à son beau-frère la dot que son père (Guillaume de Braquemont) n'a jamais fourni. Il décida de construire un château de plan sensiblement triangulaire sur le site autour de l'église devenue chapelle castrale. Les fouilles ont montré que cette église avait dû être fondée au XIe siècle. Vers 1424, Évrard III de La Marck fait bâtir en six ans un manoir avec deux tours jumelles autour d'une église, un donjon résidentiel rectangulaire qui faisait déjà partie du prieuré et une tour ronde à l'ouest qui a été agrandie plus tard pour devenir la "Grosse tour". Les tours jumelles servant d'entrée au château étaient protégées par un châtelet constitué de deux petites tours rondes et d'une échauguette. Le plan de ce premier château peut paraître archaïque pour l'époque de sa construction et n'a pas encore vraiment pris en compte la défense contre l'artillerie. Lorsque Evrard meurt en 1440, son fils Jean de la Marck entreprend le renforcement de la forteresse mais c'est Robert II de La Marck, le petit-fils de Jean, qui réalisera les travaux les plus importants. En 1530, les fortifications du manoir sont modernisées par la construction du boulevard circulaire. Le logis princier est construit sur 100 mètres le long du rempart côté ville à partir de 1530. Le pavillon Renaissance dans le style de Philibert Delorme a été construit pour Robert IV de La Marck et son épouse Françoise de Brézé. Le logis du Gouverneur est édifié en 1536. Vers 1550 sont créées les terrasses à canons par remplissage en terre, entre les remparts et une nouvelle muraille prise sur la basse cour, augmentant l'épaisseur des courtines de 4,50 m à 26 m, jusqu'à un niveau égal à ceux dominant le site. 18 petits logis pour la troupe ont été créés dans ce remplissage. À partir de 1553 commence l'édification de deux bastions triangulaires sur le front nord-est, celui du Gouverneur terminé en 1557, et le bastion Fourchu en 1559. En 1572 ont été livrés les deux autres bastions, celui des Dames et le bastion du Roy. Des ouvrages à cornes ont été ajoutés à l'avant des bastions mais certains furent dynamités à la fin du XIXe siècle. Les archives permettent de nommer les ingénieurs ayant participé à la dernière campagne de construction des défenses de Sedan : Marin Fourre, qui est le concepteur initial, puis, en 1577, le Ferrarais Marc-Aurèle Pazin ou Marco Aurelio de Pasino, probablement l'auteur des "boulverts" et des bastions de l'enceinte urbaine, et enfin, après 1585, Jean Errard, de Bar-le-Duc. Le maréchal Turenne y nait en 1611. Il s'agit d'un des plus grands militaires, en compagnie de Napoléon Bonaparte, que l'histoire ait connu. La principauté est absorbée par la France après la bataille de la Marfée et à la suite de l'échec d'une nouvelle conspiration contre Richelieu menée par Cinq-Mars en 1642. Louis XIII fait emprisonner le prince de Sedan, Frédéric Maurice de La Tour d'Auvergne-Bouillon, puis remettre la principauté par traité. Le maréchal Fabert, messin de naissance, fut le premier gouverneur de Sedan pour le roi de France suite au rattachement de la principauté à la France. En 1650 il fit construire les magasins Fabert, accueillant aujourd'hui l'hôtel du château. Le château est transformé en garnison. En 1699, Vauban fait construire la porte « des Princes », adaptée aux progrès de l'artillerie. Il s'agit de la seule intervention de ce célèbre architecte, ce qui a laissé penser que la forteresse était de qualité. Lorsque Napoléon Bonaparte visite le château, en 1803, il fait transférer à Paris la collection d'armures des princes de Sedan à Paris. Certaines se trouvent aujourd'hui exposées au Musée de l'Armée. En 1822, l'église Saint-Martin est démolie pour installer un parc à boulets. Une plateforme d'artillerie est créée en 1828 au sommet des Tours jumelles. Encerclée par les armées prussienne et saxonne, le 1er septembre 1870 lors de la Bataille de Sedan, l'armée du camp de Châlons est défaite. Napoléon III fait hisser sur le château fort le drapeau blanc demandant la fin des hostilités. L'acte de capitulation est signé au Château de Bellevue entre Frénois et Glaire. L'Hôtel du Château Des essais de dynamite sont faits sur le bastion du Gouverneur en 1873. Autrefois le plus vaste du château-fort, ce bastion est aujourd'hui largement éventré. De janvier 1917 à novembre 1918, la citadelle va servir de camp pour des milliers de civils résistants français et belges condamnés aux travaux forcés par les autorités allemandes. Beaucoup y sont morts. Cédé par l’armée française à la ville en 1962, le château a fait l’objet de plusieurs campagnes de restauration. Aujourd'hui, le château est un haut-lieu touristique des Ardennes. Logeant un temps l'office de tourisme de la ville, celui-ci fut récemment déplacé dans un traversant reliant la rue du Ménil au Promenoir des prêtres présent au pied du château. On trouve également le musée à l'intérieur de ce château où s'y trouve depuis le printemps 2012, une maquette de la ville de Sedan au XIXe siècle, due en grande partie à Jean-Jacques Dromby. Une des salles de ce musée est dédiée à la guerre de 1870 et y est exposée une riche collection de casques prussiens et autres armes, ainsi que l'esquisse du panorama de Sedan par Ludwig Braun. Lors des rafales de vent (jusqu'à 110 km/h) dues aux orages du 14 juillet 2010, vers 16h20 la large toiture côté sud s'est en partie envolée mais aussi effondrée à l'endroit du spectacle de fauconnerie (haute-cour, ruines du prieuré Saint Martin) ne prenant (par chance) pas place ce jour-là (jour de relâche). Les collections du château, en partie conservées dans les combles de l'édifice, furent en grande partie sauvées grâce à l'aide spontanée du personnel du château et de bénévoles. La nouvelle toiture fut achevée pour la saison touristique 2012. Circuit de visite Le château fort de Sedan dispose d'un circuit de visite depuis l'année 1995 lorsque fut mis en place la visite Historium. Des mannequins de cire y furent placés, illustrant la vie au château à l'époque médiévale et au temps des princes. La scène la plus prestigieuse est celle du mariage de Charlotte de La Marck et Henri de La Tour d'Auvergne, placée dans le pavillon Renaissance. Depuis le printemps 2012, le château-fort de Sedan connaît une nouvelle jeunesse. Il se dote de nouveaux circuits (Mille ans d'histoire, Principauté), de nouveaux panneaux, d'une nouvelle entrée dans la cour du château-fort, d'une nouvelle salle multimédia etc. L'édifice attire chaque année près de 60 000 visiteurs. Galerie Architecture Le château de Sedan est une forteresse construite à partir de 1424 qui comporte quatre bastions défensifs construits au XVIe siècle, le bastion du Gouverneur, le bastion Fourchu, le bastion des Dames et le bastion du Roi. Le châtelet d'entrée comporte deux tours rondes qui étaient munies de hourds, d'une herse et d'une bretèche. L'ensemble de la forteresse est entouré de murs surmontés de courtines. Le logis seigneurial et le logis de la garde datent d'avant le milieu du XVIe siècle. Au début du XVIIe siècle, Henri de la Tour d’Auvergne a fait construire le Palais des Princes, appelé aussi le Château–Bas, et a déserté le logis de la forteresse. Les Seigneurs et Princes de Sedan, ducs de Bouillon Liste des princes de la Principauté de Sedan * Gérard III de Jauche (1210 – 1261) * Gérard IV de Jauche (1235 – 1293) * Guillaume de Jauche (1285-1340) * Marie de Jauche (1315 – 1387) * Hugues de Barbençon épouse Marie de Jauche Vers 1340 * Jean de Barbençon (enterré à Vireux-Molhain) 1344 – 1404 * Guillaume de Braquemont (1345-1420) épouse Marie de Campremy. Il achète le château en 1405 et est le frère de Robert de Bracquemont amiral de France et d'Espagne * Louis de Braquemont (1390-1424) épouse Isabelle Le Maréchal * Évrard II de La Marck-Arenberg (1365-1440) épouse Marie de Braquemont * Jean de La Marck (1406-1470) épouse Jeanne de Virnembourg * Robert I de La Marck (? – 1497) épouse Jeanne de Marley en 1449 * Robert II de La Marck (1460 – 1536) épouse Catherine de Croy en 1490 * Robert III de La Marck (1492-1536) épouse Guillemette de Sarrebruck en 1510 * Robert IV de La Marck (1512-1556) épouse Françoise de Brézé en 1539 * Henri-Robert de La Marck (1540-1574) épouse Françoise de Bourbon-Vendôme en 1559, 1er prince de Sedan * Guillaume-Robert de La Marck (1563-1588) * Charlotte de La Marck (1574-1594) épouse Henri de la Tour d’Auvergne en 1591 * Henri de la Tour d'Auvergne (1555-1623) épouse Élisabeth de Nassau * Frédéric-Maurice de La Tour d'Auvergne (1605-1652) épouse Eléonore-Fébronie de Bergh Évènements Le Grand tournoi de chevalerie Depuis une dizaine d'années le château-fort de Sedan accueille chaque été des tournois de chevalerie. Réalisés par une troupe en majorité slovaque (Normani), ces spectacles font la joie des petits et des grands. Festival médiéval Depuis 1996, le château-fort de Sedan accueille un festival médiéval de Sedan autour de la forteresse, le troisième week-end de mai. Succès populaire, près de 14 000 entrées payantes furent décomptées lors des dernières éditions. * Festival médiéval de 2011 * * * * * Visites nocturnes aux flambeaux Chaque été des visites originales, puisqu'aux flambeaux, sont organisées les vendredis et samedis soir. Annexes Articles connexes Sur les autres projets Wikimedia : * Château de Sedan, sur Wikimedia Commons * Comté de la Marck * Duché de Bouillon * Principauté de Sedan * Liste des monuments historiques des Ardennes Liens externes * Site officiel * http://www.tourisme-sedan.fr * Pict-Art : Château de Sedan Sources Notes et références * ↑ « Notice no PA00078518 », base Mérimée, ministère français de la Culture Bibliographie * Alain Sartelet, Le château fort de Sedan, Gueniot,‎ 2006 (ISBN  978-2-8782- 5380-1) * Jean-Marie Pérouse de Montclos, Le guide du Patrimoine: Champagne-Ardenne, Paris, Hachette,‎ 1995 (ISBN  978-2-01-020987-1), p. 328-331 * Jean Aversenq, Le château-fort de Sedan, Sedan, Imprimerie Balan-Sedan, 1993 (1979), 58 p. * Portail des châteaux de France * Portail des Ardennes * Portail des monuments historiques français Catégories  : * Château fort en Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine * Château des Ardennes * Château monument historique (France) * Monument historique des Ardennes * Monument historique classé en 1965 * Patrimoine du XVe siècle * Sedan Menu de navigation * Non connecté * Discussion * Contributions * Créer un compte * Se connecter * Article * Discussion * Lire * Modifier * Modifier le code * Historique * Accueil * Portails thématiques * Article au hasard * Contact Contribuer * Débuter sur Wikipédia * Aide * Communauté * Modifications récentes * Faire un don Outils * Pages liées * Suivi des pages liées * Importer un fichier * Pages spéciales * Adresse permanente * Information sur la page * Élément Wikidata * Citer cette page Imprimer / exporter * Créer un livre * Télécharger comme PDF * Version imprimable Dans d’autres projets * Wikimédia Commons Autres langues * Български * Deutsch * English * Español * Italiano * Nederlands * Modifier les liens * Dernière modification de cette page le 15 février 2016, à 19:41. * Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions; d’autres conditions peuvent s’appliquer. 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Vinyle 45t SP 7’’ sur lequel figurent 2 BOF d’ Ennio MORRICONE A :  Bande Originale du Film « A L’AUBE DU 5ème JOUR » B :  Bande Originale du Film « LE CARNAVAL DES TRUANDS »   45t édité chez RCA Victor en 1973 (Vinyl, 7", Single, 45 RPM) Le thème du film « A L’AUBE DU 5ème JOUR » a également servi de générique à l’émission « ITALIQUES », émission de télévision politique et culturelle française produite et présentée par Marc Gilbert de 1971 à 1974. Après l'arrivée d'Arthur Conte, le générique est modifié, le 19 janvier 1973. C'est Ennio Morricone qui réalise la musique en reprenant le thème Lontano, qu'il a composé pour la bande originale du film À l'aube du cinquième jour (Dio è con noi ou Gott mit uns) de Giuliano Montaldo. Jean-Michel Folon - qui illustre régulièrement les articles du New York Times - se charge de créer un dessin animé où des personnages bleus s'envolent avec les livres. Source Wikipedia   Face A:     Bande Sonore Originale du Film « A L’AUBE DU 5ème JOUR » musique composée et dirigée par Ennio Morricone Face B:     Bande Sonore Originale du Film « LE CARNAVAL DES TRUANDS » musique composée et dirigée par Ennio Morricone   Référ.:  RCA Victor - 41 094 RCA, 6 Rond-Point des Champs Elysées - Paris Pressage  France - SACEM Edité en 1973 Code Prix : N Imp. : A.R.E.A.C.E.M. - B-11 - Made in France   Pochette en excellent état - ni écriture, ni déchirure, aucune tranche ouverte - quelques légères pliures - légère usure le long des arêtes - léger marquage à l’emplacement du vinyle - légères salissures au verso - ces défauts restent tout à fait mineurs et l’ensemble conserve un excellent aspect général compte tenu de son ancienneté Disque en très bon état - quelques légères griffures de surface - quelques très légers craquements ponctuels mais l’écoute globale de l’ensemble des 2 faces reste d’excellente qualité     Paiement par chèque ou Paypal   Livraison en Relais Mondial Relais - envoi suivi:  Tarif France + Belgique + Luxembourg : - De 1 à 30 disques :  4,70 €    -   Au-delà, me consulter --------------------------------------------------------------------------- Par la Poste :   Tarif Ecopli (SANS Suivi) : Tarif France : - 1 disque: 2,50 € à partir de 2 disques, envoi en Lettre Suivie, Colissimo ou Mondial Relay   Tarif Lettre Prioritaire (SANS Suivi) : Tarif France : - 1 disque: 2,70 € à partir de  2 disques, envoi en Lettre Suivie, Colissimo ou Mondial Relay   Tarif Lettre Suivie : Tarif France : - 1 disque: 3,00 € - De  2 à 4 disques: 4,90 € - De  5 à 7 disques: 7,00 € à partir de  8 disques, envoi en Colissimo ou Mondial Relay     Livraison Colissimo suivi : Tarifs France : - De  1 à 4 disques: 6,10 € - De  5 à 7 disques: 7,30 € - De  8 à 10 disques: 8,25 € - De  11 à 15 disques: 9,00 € - De  16 à 30 disques: 10,00 € ----------------------------------------------------------------------------- Possibilité de retirer à Tourcoing sans frais
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