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Autographe comte


Liste des meilleures ventes autographe comte

Metz (Moselle)
Autographe dimension 10/15   cm. Sur photo récente.    Autographe authentique de la main de la personnalité. Ni copier,ni reproduction.. État : Occasion Service de livraison : Lettre verte/Ecopli
3,99 €
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France
TINGUELY Jean autographe à Jean VARTIER + photo + article presse 1964 Archives personnelles de Jean VARTIER, journaliste puis rédacteur en Chef de l'Est Républicain. Autographe à l'occasion du banquet de la journée de la presse le 28 avril 1964 à Lausanne. La dédicace est sur la moitié du menu, l'autre partie ayant été probablement coupé par Jean VARTIER lors du classement du document. Commentaire autographe de Jean VARTIER. Photo originale prise par Jean VARTIER. L'article de presse a probablement été publié dans l'Est Républicain. Bel ensemble pour un artiste de renommée mondiale. Extrait de Wikipédia Jean Tinguely, né le 22 mai 1925 à Fribourg et mort le 30 août 1991 à Berne, est un sculpteur, peintre et dessinateur suisse. Parmi ses inventions les plus originales, on compte les Méta Matics ou sculptures animées dont il a commencé la réalisation en 1954 sous le nom de Méta-mecaniques qui étaient alors des tableaux animés électriquement. Les Méta Matics sont des machines à dessiner. Avec sa deuxième épouse, Niki de Saint Phalle, il a créé de gigantesques sculptures, dans des parcs de sculptures, notamment le Jardin des tarots en Toscane. Tinguely possédait le don d'attirer l’attention et d’établir ainsi une communication avec ses mécanismes détournés de leur sens et de leur finalité. Avec Euréka, une énorme machine conçue pour l’exposition nationale suisse de 1964, cette particularité est apparue comme une caractéristique essentielle de son art. Imprégné des œuvres de Marcel Duchamp (Ready-made ou objets usuels ironiquement promus œuvres d’art), il s’inscrit dans l’esprit dadaïste qui se manifeste par la provocation et la dérision souvent au cours de manifestations publiques. En 1959, son premier triomphe public a lieu lors de la Biennale de Paris, inaugurée par André Malraux, au musée d'art moderne de la ville de Paris, avec des machines produisant des peintures en série dont il a pu faire la démonstration devant le public. Il remet en question l’académisme de l’art créant des machines construites en partie avec des objets de récupération, sciemment imparfaites, s'opposant au culte de l'objet neuf et pratiquant le recyclage déjà utilisé avant lui par l'art brut. Ces matériaux de récupération auxquels il redonne vie en les animant avec des moteurs comptent parmi les innovations les plus vivantes de la sculpture du XXe siècle. Jean VARTIER Jean Vartier nous a quittés (copyright ecriVOSGES) Journaliste honoraire et historien érudit, notre confère Jean Vartier vient de s'éteindre. L'ancien journaliste et historien Jean Vartier vient de s'éteindre à Paris à l'âge de 74 ans. Natif de Rambervillers dans les Vosges, Jean Vartier avait mené de front une brillante carrière de journaliste à L'Est Républicain depuis 1950 et d'historien des régions du Grand Est. Après avoir longtemps vécu à Nancy, puis avoir été en poste à Pontarlier et Besançon, il avait rejoint en 1966 nos services parisiens où il devait terminer sa carrière. La chaleur du conteur Chroniqueur érudit, fin connaisseur de la vie locale de toute notre zone de diffusion et en particulier des questions agricoles, membre associé de l'Académie Stanislas, Jean Vartier était aussi un écrivain reconnu par ses pairs en littérature comme en histoire. On lui doit plus d'une quinzaine d'ouvrages. Son premier roman, paru en 1967 sous le titre Aux urnes citoyens devait être couronné par le prix Louis-Pergaud. Il renouera les fils de la narration inventive et picaresque en publiant près de trente ans plus tard son Lieutenant La Gazette, où se mêlaient fiction et souvenirs de sa jeunesse vosgienne. Sa production historique devait débuter vraiment en 1968 par la sortie de Sabbat, juges et sorciers, où il raconte quatre siècles de superstitions dans nos régions. Deux ans plus tard, il offre une étude totalement inédite sur Les Procès d'animaux du Moyen Age à nos jours, vaste saga des peurs paysannes, puis en 1972 une Histoire secrète de l'occupation en zone interdite, qui leva le voile sur une période particulièrement sombre de notre histoire régionale. Chroniqueur infatigable, il s'attelle à une Histoire de la Franche Comté et du pays de Montbéliard que publiera Hachette. 1973 est marquée par la parution de La Vie quotidienne en Lorraine au XIX° siècle, distinguée par le prix Erckmann-Chatrian. Et la même année sort en librairie son Histoire de notre Lorraine chez France Empire, une somme où Jean Vartier affirme son art du portrait. Se succèderont par la suite des livres consacrés à Allan Kardec et au mystificateur de la fin du XVIII° siècle, Alphonse de Fortia, et une Histoire de Nancy. Il s'attaquera avec le même bonheur d'écriture aux Histoires et légendes de la Lorraine mystérieuse, aux Dictons et proverbes de Lorraine et du Bassigny, et plus récemment dans la décennie 1990 aux Blasons populaires de France, où il s'amusa à décrypter les qualificatifs drolatiques appliqués aux habitants de nos terroirs. Comme l'écrivait notre confrère Roland Erbstein à l'occasion de la parution en 1994 de sa nouvelle Histoire de Lorraine, Jean Vartier fut sans cesse partagé entre l'érudition du chercheur et la chaleur du conteur de veillée, jamais à court de ces petites histoires qui font la grande. F. M., L'Est Républicain, lundi 5 novembre 2001.
149,99 €
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Compiègne (Oise)
Lettre manuscrite de 1816 du Vice-Amiral Honoré GANTEAUME alors qu'il se trouve à Marseille. Il adresse un courrier dans lequel il fait part de sa prise de connaissance du passage du Comte d'Artois à Marseille. Il y est fait mention de: " son altesse Royale" " Quinze marins mentionnés dans la lettre de votre excellence" " Demande qu'il veut adresser à ce Prince" " Duc de Maillé" " Ministre de la Marine" " Je sais qu'ils ont tous fait plusieurs voyages en qualité d'officiers sur les bâtiments de commerce. Je juge qu'ils ont la pratique et l'expérience nécessaire pour commander ce bâtiment..." " Duc d'Angoulème" " Je prie votre excellence de bien vouloir agréer la nouvelle... " Document en très bon état sur un papier d'époque qui a été plié en plusieurs fois pour probablement être transmis. Lorsqu'on met le papier à la lumière, on distingue des motifs, notamment un blason représentant un chevalier et des lettres. Dimensions de la feuille: 32 X 20 cm Nombre de feuillets: 4 pages  Courrier manuscrit sur 2 feuillets. "Pour connaisseurs" - A déchiffrer Envoi par lettre recommandée avec AR assurance prévue R3  Qui est GANTEAUME ?? Nommé contre-amiral le 7 novembre 1798, il prend le commandement des forces navales se trouvant sur les côtes d’Égypte. Il  est au siège de Jaffa, de Saint-Jean d’Acre, aux combats de Gaza et du fort d’Aboukir. C’est lui qui ramène le général Bonaparte d’Égypte en France, sur la frégate la Muiron, en octobre 1799. Après Brumaire, Ganteaume est nommé Conseiller d’État, et il rejoint alors Brest, où il prend la tête de l’escadre de secours qui doit porter des renforts à l’armée d’Égypte. Il devrait appareiller en janvier 1801, mais ses hésitations le font rester bloqué deux mois dans Toulon. Lorsqu’il arrive près des côtes égyptiennes, il n’ose pas faire débarquer ses troupes, qu’il ramène à Toulon. Bonaparte lui garde cependant sa confiance, et sa carrière n’est pas stoppée. Il commande l’escadre de Méditerranée de 1800 à 1802, puis est nommé préfet maritime de Toulon en 1802, et enfin vice-amiral le 30 mai 1804. Nommé commandant de l’armée navale de l’Océan à Brest, avec le titre d’amiral, il ne parviendra pas à forcer le blocus anglais. Par deux fois, en 1806 et 1807, il assure l’intérim du ministère de la marine puis prend le commandement de la flotte de la Méditerranée de 1808 à 1810. En janvier 1808, il part de Toulon pour débloquer et ravitailler Corfou, bloqué par une escadre anglaise; après y avoir réussi, il est de retour le 10 avril, et est nommé inspecteur-général des côtes de l’Océan, le 18 avril. il quitte son commandement de l’armée navale le 8 juin 1810. Napoléon le fait comte d’Empire, le 11 juillet 1810 puis Chambellan de l’Empereur. Le 1er août 1811, il est nommé colonel commandant le bataillon des marins de la Garde.   Après avoir approuvé la déchéance de l’Empereur et s’être maintenu à l’écart lors des Cent-Jours, Ganteaume est fait Pair de France, le 17 août 1815, puis commandeur de l’Ordre de Saint-Louis le 3 mai 1816. Il votera pour la mort du maréchal Ney lors du procès de ce dernier. Antoine Ganteaume meurt à Aubagne, le 28 juillet 1818 Le 24-nov.-19 à 10:22:47 Paris, le vendeur a ajouté les informations suivantes: Sur la dernière photo vous avez un document de comparaison de la signature provenant des archives du Var
150 €
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Nantes (Loire Atlantique)
Portrait en pied de Jacques Auguste de Thou mmée à l'époque issue du Plutarque Français (1835) format 17x27cm environs Maximilien de Béthune (duc de Sully)  Pour les articles homonymes, voir Sully. Maximilien de Béthune Le duc de Sully vers 1630. Titre Duc de Sully Autre titre Prince souverain d'Henrichemont et de Boisbelle Baron puis marquis de Rosny Marquis de Nogent-le-Rotrou Comte de Muret  et de Villebon Vicomte de Meaux Grade militaire Maréchal de France Conflits Guerres de religion Guerre franco-savoyarde Faits d'armes Bataille de Coutras Bataille d'Arques Bataille d'Ivry Siège d'Amiens Siège de Charbonnières Siège de Montmélian Distinctions Pair de France Autres fonctions Surintendant des finances  (1598) Grand maître de l'artillerie de France  (1599) Grand voyer de France (1599) Gouverneur de la Bastille  (1602) Surintendant des fortifications Biographie Dynastie Maison de Béthune Naissance 13 décembre  1559 château de Rosny-sur-Seine Décès 22 décembre  1641 au château de Villebon  (Eure-et-Loir) Père François de Béthune Mère Charlotte Dauvet Conjoint Anne de Courtenay Rachel de Cochefilet Enfants Maximilien François Marguerite Louise modifier   Maximilien de Béthune, duc de Sully, né à Rosny  le 13 décembre  1559  et mort à Villebon  le 22 décembre  1641, pair de France, maréchal de France, prince souverain d'Henrichemont et de Boisbelle, baron puis marquis de Rosny, marquis de Nogent-le-Rotrou, comte de Muret  et de Villebon, vicomte de Meaux, est un militaire protestant et un compagnon d'armes du roi Henri IV de France  dont il devint l'un des principaux conseillers. Sommaire   ]  * 1 Le compagnonnage avec le roi Henri de Navarre * 2 Le ministre * 3 La mise à l'écart * 4 Alliances et descendance * 5 Généalogie * 6 Voir aussi * 6.1 Bibliographie * 6.1.1 Sources manuscrites * 6.1.2 Sources imprimées * 6.1.3 Travaux historiques * 6.2 Articles connexes * 6.3 Liens externes * 7 Notes et références * 8 Chronologies Le compagnonnage avec le roi Henri de Navarre | modifier le code] Né le 13 décembre  1559  au château de Rosny-sur-Seine, il appartient à la branche cadette, peu fortunée et calviniste, d'une famille descendante des comtes souverains d'Artois, apparentée aux comtes de Flandres. Second fils de François de Béthune et de Charlotte Dauvet1, il devient l’héritier de la baronnie de Rosny à la mort de son frère aîné, Louis de Béthune, en 1578 2. En 1572, élève au collège de Bourgogne, à Paris, il échappe au massacre de la Saint-Barthélemy, et devient le compagnon du roi Henri III de Navarre, futur roi de France, qu'il suit dans toutes ses guerres. À ses côtés il se distingue par son intrépidité. En 1576, il combat dans les armées protestantes en Hollande pour récupérer la vicomté de Gand  dont il n'avait pu hériter de son parrain, un catholique  convaincu. En 1583, au château de Bontin, le seigneur de Rosny épouse Anne de Courtenay, une riche héritière. Des spéculations commerciales très heureuses, comme le commerce des chevaux pour l'armée, voire les dépouilles des villes prises par les Protestants l’enrichissent en peu de temps. En 1580, il devient chambellan ordinaire, puis membre du Conseil de Navarre. Il est chargé de négocier avec Henri III de France, afin de poursuivre une lutte commune contre la Ligue des Guise. Mais le traité de Nemours  en 1585  rapproche le roi de France des Guise aux dépens du roi de Navarre. En 1587, il combat à côté d'Henri de Navarre à Coutras, puis devant Paris, ensuite à Arques  en 1589, puis à Ivry  en 1590  où il est blessé. Il est de nouveau blessé à Chartres en 1591. Devenu veuf, il épouse en 1592  Rachel de Cochefilet, fille de Jacques de Cochefilet seigneur de Vaucelas. Entretemps le roi Henri III de France a été assassiné. Le ministre | modifier le code] En 1593, Sully conseille au nouveau roi de se convertir au catholicisme, afin de pacifier le royaume, mais refuse lui-même d’abjurer. Il négocie alors le ralliement de quelques chefs de la Ligue  (marquis de Villars, duc de Guise). Lors du siège d'Amiens  en 1597, il s'illustre à la tête de l’artillerie. Henri IV  comprend tardivement qu'il peut confier les finances du royaume à l'homme qui administre si bien ses propres affaires. Il le nomme en 1596 au Conseil des Finances puis, vers 1598, surintendant des finances. Sully remet alors de l'ordre dans les comptes, en créant en 1601, une Chambre de justice destinée à lutter contre les malversations financières. Sully a de brillants conseillers, comme l'économiste Barthélemy de Laffemas, qui développe les manufactures, l'artisanat, et donne un coup de pouce à l'histoire de la soie  par la plantation de millions de mûriers. * Note autographe de Sully sur l'assainissement de la monnaie, Archives nationales *   * Il fait rentrer un arriéré fiscal considérable, paie des dettes écrasantes (près de 30 millions de livres), suffit aux dépenses des guerres en Espagne  et en Savoie, et à l'achat des places qui restent encore aux mains des chefs ligueurs. En 1598, il fait annuler tous les anoblissements décrétés depuis 20 ans. Il supprime les petits offices  de finances et judiciaires. Il crée de grands approvisionnements de guerre, lutte contre l'abus et les prodigalités et amasse un trésor (300 000 livres tournois  par an, soit 4 millions d'euros actuels3) tout en diminuant les impôts. Il fait restituer au roi une partie du domaine royal qui avait été aliénée. L’arrivée en Europe des métaux précieux américains, depuis le début du siècle, a permis à Sully comme à ses prédécesseurs de bénéficier de rentrées fiscales, mais lui va équilibrer le budget et faire des économies. Il se fait nommer gouverneur de la Bastille  en 1602, où il entrepose une partie du trésor royal qui s'élève à 12 millions de livres. Aux environs du 25 août  1600, durant la guerre franco-savoyarde, le Roi Henri  avait envoyé le duc de Sully visiter plusieurs citadelles qui étaient investies. Sully vint coucher à Bourg-en-Bresse  où il fut bien accueilli par Biron. Le jour de son départ pour Lyon, Sully reçut un avis qu'un groupe de 200 hommes ennemis venaient d'arriver dans un château proche du lieu où il devait passer la nuit. Sully demanda à Biron de lui donner une escorte jusqu'à Lyon. Biron donna comme escorte ses propres gardes qui accompagnèrent Sully jusque Villars  où l'escorte le quitta. « Je fis recharger mes mulets et fis encore environ 4 lieues et ne m'arrêtai qu'à Vimy  ou je me crus en sûreté. Le doute que j'avais, que Biron avait entrepris de me livrer au duc de Savoie, se changea alors en certitude. Trois heures après que je fut parti de Villars, les 200 hommes vinrent fondre sur la maison ou ils croyaient que j'étais, et parurent très fâchés d'avoir manqué leur coup. »4. Le 29 août, Sully est à pied d’œuvre lors du siège du château de Charbonnières  en tant que grand maître de l'artillerie de France. La paulette  est instaurée en 1604, pour instituer l'hérédité des offices  et augmenter les recettes de l'État. En 1599, il est nommé Grand maître de l'artillerie de France  et Grand voyer de France, il contrôle alors toutes les voies de communication. Les routes principales sont retracées, remblayées, pavées. En prévision des besoins en constructions et de la marine, il fait planter des ormes  aux bords des routes (les fameux ormes de Sully). Il encourage surtout l'agriculture  en répétant une phrase devenue célèbre : « Labourage et pâturage sont les deux mamelles dont la France est alimentée, les vraies mines et trésors du Pérou5  ». Dans ce but, il proclame la liberté du commerce des grains, et abolit un grand nombre de péages  qui sont autant de barrières entre les provinces, il ouvre de grandes voies de communication, et il fait creuser plusieurs canaux, notamment le canal de Briare  qui relie la Seine  à la Loire, commencé en 1604  et terminé en 1642 6. Il va pousser les paysans à produire plus que nécessaire afin de vendre aux autres pays. Pour cela, il décide d'augmenter la surface cultivée en faisant assécher des marais. Afin de les protéger du fisc, il interdit la saisie des instruments de labour et accorde aux paysans une remise sur les arriérés de la taille. Il va aussi faire cesser la dévastation des forêts, étendre la culture de la vigne… Comme surintendant des fortifications  il fait établir un arsenal et fortifie les frontières. En 1606, il est nommé duc et pair  de Sully et acquiert, la même année, le château de Montrond, le rénove entièrement pour en faire la plus forte place du Berry. La mise à l'écart | modifier le code] Mémoires, édition originale de 1639 Il était devenu impopulaire, même parmi les protestants, et auprès des paysans qu'il avait dû accabler d'impôts pour faire face aux dépenses en vue de la guerre contre l'Espagne. Après l'assassinat d'Henri IV  en 1610, il est nommé membre du Conseil de régence et prépare le budget de 1611. En complet désaccord avec la régente Marie de Médicis, il démissionne de ses charges de surintendant des finances  et de gouverneur de la Bastille  (1611) ; il conserve cependant le gouvernement du Poitou. En 1616, il abandonne la majeure partie de ces fonctions et vivra désormais loin de la cour, d'abord sur ses terres de Sully  puis surtout en Quercy, tantôt à Figeac  et plus précisément à Capdenac-le-Haut tantôt sur sa seigneurie de Montricoux, à quelques lieues de Montauban. Il se consacre à la rédaction de ses mémoires, mais reste très actif sur le plan politique et religieux. Son fils François de Béthune, comte d'Orval  est le gouverneur de Figeac, place de sûreté calviniste. Ce dernier épouse Jacqueline de Caumont, fille du marquis de la Force, qui commande la défense militaire de Montauban en 1621. Cette même année, il est intervenu en conciliateur et a intercédé en modérateur dans les luttes entre les protestants français et la royauté, après les 96 jours du siège de Montauban  par Louis XIII, en 1627-1628, lors du siège de La Rochelle  et avant la reddition de Montauban. Proche du réseau diplomatique de Richelieu, il a été nommé maréchal de France en 1634. Il décède au château de Villebon  (Eure-et-Loir) le 22 décembre  1641. Son tombeau est à Nogent-le-Rotrou 7. *
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France (Toutes les villes)
Vends livre "La Terre racontée aux enfants" Yann Arthus-Bertrand, Hubert Comte, David Giraudon Editions La Martinière jeunesse ISBN 9,782732427935 2006 Format 26,0 x 32,0 x 1,2, 78 pages, 870 g Cartonné illustré Très bon état, autographe d'un des auteurs (l'écrivain Hubert Comte) en page de début Résumé: Après l'immense succès de La Terre vue du ciel, Yann Arthus-Bertrand s'adresse ici aux plus jeunes. Trente-quatre des plus belles photos qu'il a prises lors de ses voyages autour du monde ont été sélectionnées pour raconter la vie des hommes, leurs cultures, leurs croyances, mais aussi le quotidien des enfants. Un livre à la fois documentaire et poétique pour révéler aux enfants toute la magie et la beauté d'une Terre intrigante et étonnante. Mots-clés: Jeunesse, photo, planète, nature, écologie, environnement
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