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Avis décès


Liste des meilleures ventes avis décès

France
Avis de Décès de Léonard Honoré Gustave Meunié - Doyen des Notaires Honoraires de Paris, Président de la Société de Secours Mutuels du Quartier Notre Dame des Champs, Titulaire Médaille 1870/71 - décédé le 3 Octobre 1927 à Bois Giroult (Eure)AVD4 / état correct, quelques marques, petites pliures, envoi protégé Insolite Insolites Tranche de poids: 0 à 100 g
28 €
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France
Avis de Décès de François Monget - Colonel directeur du Génie à Lyon, Chevalier de la Légion d'Honneur, Officier du Nicham Itchikar, Commandeur de l'Ordre de Saint Stanislas de Russie décédé à Lyon le 2 janvier 1913AVD13/ Format 20x26 cm, 1 feuillet, état correct, petites marques, envoi protégé Insolite Insolites Tranche de poids: 0 à 100 g
30 €
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France
Avis de Décès de Jean Bouchard - Président du tribunal de commerce, conseiller municipal, Président du comité cantonal des pupilles de la nation, membre correspondant de la Chambre de Commerce de Beaune, Ancien Maire de Saint Jean de Losne, ancien conseiller d'arrondissement, ancien conseiller général - décédé le 7 mars 1933 à Saint Jean de LosneAVD24/ Format 20x26 cm, 1 feuillet, format enveloppe, bon état, petites marques, envoi protégé Insolite Insolites Tranche de poids: 0 à 100 g
20 €
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France
AVD6 / bon état petites marques, petites pliures, déchirures en bas du document, envoi protégé Insolite Insolites Tranche de poids: 0 à 100 g
28 €
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France
AVD14/ Format 20x26 cm, 1 feuillet, état correct, petites marques, envoi protégé Insolite Insolites Tranche de poids: 0 à 100 g
30 €
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Caen (Calvados)
Avis de décès d'un soldat Allemand mort en 1944. Johann Hofmarksrichter, obergefreiter de la FLAK, Luftwaffe, Mort le 3 juin 1944 à Plaisir Grignon (Yvelines) et enterré au cimetière de Versailles. Publié par la famille, envoyé aux proches et aux amis du défunt, ces avis de décès présentent souvent la photo du soldat, sa date de naissance et de mort. C'est souvent la dernière trace publique du soldat, beaucoup ayant été portés disparus et n'ont donc pas de sépulture
12 €
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Caen (Calvados)
Avis de décès d'un officier Allemand mort en 1943. Franz Rahofer, Leutnant dans un gebirsjäger regiment, Mort le 13 juillet 1943 en Union Soviétique, à la pointe de ses troupes, secteur de Mourmansk . Publié par la famille, envoyé aux proches et aux amis du défunt, ces avis de décès présentent souvent la photo du soldat, sa date de naissance et de mort. C'est souvent la dernière trace publique du soldat, beaucoup ayant été portés disparus et n'ont donc pas de sépulture
15 €
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Caen (Calvados)
Avis de décès d'un soldat Allemand mort en 1942. Josef Sommerer, artilleur dans une batterie de FLAK, Mort le 26 juin 1942 dans un accident, et enterré au cimetière de Mont de Huisne (Manche). Publié par la famille, envoyé aux proches et aux amis du défunt, ces avis de décès présentent souvent la photo du soldat, sa date de naissance et de mort. C'est souvent la dernière trace publique du soldat, beaucoup ayant été portés disparus et n'ont donc pas de sépulture
12 €
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Wattrelos (Nord)
Bandeau (50 x 60 cms) avis de décès de VERREZ Victoire Sophie 17 09 1870 dans sa 75éme année. Fille de feu ALEXIS ancien maître tonnelier à LILLE. Paroisse St MAURICE Plié en 8.
20 €
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Aschères le Marché (Loiret)
ANCIEN FAIRE PART DE DECES 1945 - MONSIEUR MAURICE HULIN Soldat au 1er regiment de cavalerie etrangere, mort pour la france a l'age de 17 ans a pinach (allemagne) Eglise saint louis a vincennes, cimetiere de noisiel Familles citées: hulin, fellis, babault, goumaux, briere, travers, perdigeon, vereahgen  27x21cm avec un timbre collé un peu salie Sur certaines photos, il pourrait y avoir au milieu une tache noire. c'est mon appareil photo qui a un defaut, elle ne se trouve donc pas sur le faire part...
5 €
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Caen (Calvados)
Avis de décès d'un soldat Allemand mort en 1944. Johann Bornschlegel ,  obergefreiter dans une Panzer Division,  mort le 09 mai 1944 1944 dans le secteur de Kowel (Ukraine) . Publié par la famille, envoyé aux proches et aux amis du défunt, ces avis de décès présentent souvent la photo du soldat, sa date de naissance et de mort. C'est souvent la dernière trace publique du soldat, beaucoup ayant été portés disparus et n'ont donc pas de sépulture
20 €
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Caen (Calvados)
Avis de décès d'un soldat Allemand mort en 1943. Simon Dinkl ,  soldat dans une Panzer division,  mort le 25 Octobre 1943 . Le document du Volksbund présenté ici est celui qui se rapproche le plus du soldat, mais je ne garantis pas que ce soit le document exact le concernant. Publié par la famille, envoyé aux proches et aux amis du défunt, ces avis de décès présentent souvent la photo du soldat, sa date de naissance et de mort. C'est souvent la dernière trace publique du soldat, beaucoup ayant été portés disparus et n'ont donc pas de sépulture
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Caen (Calvados)
Avis de décès d'un soldat Allemand mort en 1940 . Johann Pongratz,  obergefreiter, mort le 07 juillet 1944 dans le secteur de Bordeaux et enterré au cimetière de  Berneuil . Publié par la famille, envoyé aux proches et aux amis du défunt, ces avis de décès présentent souvent la photo du soldat, sa date de naissance et de mort. C'est souvent la dernière trace publique du soldat, beaucoup ayant été portés disparus et n'ont donc pas de sépulture.
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Nantes (Loire Atlantique)
Portrait en pied de Jacques Auguste de Thou mmée à l'époque issue du Plutarque Français (1835) format 17x27cm environs Maximilien de Béthune (duc de Sully)  Pour les articles homonymes, voir Sully. Maximilien de Béthune Le duc de Sully vers 1630. Titre Duc de Sully Autre titre Prince souverain d'Henrichemont et de Boisbelle Baron puis marquis de Rosny Marquis de Nogent-le-Rotrou Comte de Muret  et de Villebon Vicomte de Meaux Grade militaire Maréchal de France Conflits Guerres de religion Guerre franco-savoyarde Faits d'armes Bataille de Coutras Bataille d'Arques Bataille d'Ivry Siège d'Amiens Siège de Charbonnières Siège de Montmélian Distinctions Pair de France Autres fonctions Surintendant des finances  (1598) Grand maître de l'artillerie de France  (1599) Grand voyer de France (1599) Gouverneur de la Bastille  (1602) Surintendant des fortifications Biographie Dynastie Maison de Béthune Naissance 13 décembre  1559 château de Rosny-sur-Seine Décès 22 décembre  1641 au château de Villebon  (Eure-et-Loir) Père François de Béthune Mère Charlotte Dauvet Conjoint Anne de Courtenay Rachel de Cochefilet Enfants Maximilien François Marguerite Louise modifier   Maximilien de Béthune, duc de Sully, né à Rosny  le 13 décembre  1559  et mort à Villebon  le 22 décembre  1641, pair de France, maréchal de France, prince souverain d'Henrichemont et de Boisbelle, baron puis marquis de Rosny, marquis de Nogent-le-Rotrou, comte de Muret  et de Villebon, vicomte de Meaux, est un militaire protestant et un compagnon d'armes du roi Henri IV de France  dont il devint l'un des principaux conseillers. Sommaire   ]  * 1 Le compagnonnage avec le roi Henri de Navarre * 2 Le ministre * 3 La mise à l'écart * 4 Alliances et descendance * 5 Généalogie * 6 Voir aussi * 6.1 Bibliographie * 6.1.1 Sources manuscrites * 6.1.2 Sources imprimées * 6.1.3 Travaux historiques * 6.2 Articles connexes * 6.3 Liens externes * 7 Notes et références * 8 Chronologies Le compagnonnage avec le roi Henri de Navarre | modifier le code] Né le 13 décembre  1559  au château de Rosny-sur-Seine, il appartient à la branche cadette, peu fortunée et calviniste, d'une famille descendante des comtes souverains d'Artois, apparentée aux comtes de Flandres. Second fils de François de Béthune et de Charlotte Dauvet1, il devient l’héritier de la baronnie de Rosny à la mort de son frère aîné, Louis de Béthune, en 1578 2. En 1572, élève au collège de Bourgogne, à Paris, il échappe au massacre de la Saint-Barthélemy, et devient le compagnon du roi Henri III de Navarre, futur roi de France, qu'il suit dans toutes ses guerres. À ses côtés il se distingue par son intrépidité. En 1576, il combat dans les armées protestantes en Hollande pour récupérer la vicomté de Gand  dont il n'avait pu hériter de son parrain, un catholique  convaincu. En 1583, au château de Bontin, le seigneur de Rosny épouse Anne de Courtenay, une riche héritière. Des spéculations commerciales très heureuses, comme le commerce des chevaux pour l'armée, voire les dépouilles des villes prises par les Protestants l’enrichissent en peu de temps. En 1580, il devient chambellan ordinaire, puis membre du Conseil de Navarre. Il est chargé de négocier avec Henri III de France, afin de poursuivre une lutte commune contre la Ligue des Guise. Mais le traité de Nemours  en 1585  rapproche le roi de France des Guise aux dépens du roi de Navarre. En 1587, il combat à côté d'Henri de Navarre à Coutras, puis devant Paris, ensuite à Arques  en 1589, puis à Ivry  en 1590  où il est blessé. Il est de nouveau blessé à Chartres en 1591. Devenu veuf, il épouse en 1592  Rachel de Cochefilet, fille de Jacques de Cochefilet seigneur de Vaucelas. Entretemps le roi Henri III de France a été assassiné. Le ministre | modifier le code] En 1593, Sully conseille au nouveau roi de se convertir au catholicisme, afin de pacifier le royaume, mais refuse lui-même d’abjurer. Il négocie alors le ralliement de quelques chefs de la Ligue  (marquis de Villars, duc de Guise). Lors du siège d'Amiens  en 1597, il s'illustre à la tête de l’artillerie. Henri IV  comprend tardivement qu'il peut confier les finances du royaume à l'homme qui administre si bien ses propres affaires. Il le nomme en 1596 au Conseil des Finances puis, vers 1598, surintendant des finances. Sully remet alors de l'ordre dans les comptes, en créant en 1601, une Chambre de justice destinée à lutter contre les malversations financières. Sully a de brillants conseillers, comme l'économiste Barthélemy de Laffemas, qui développe les manufactures, l'artisanat, et donne un coup de pouce à l'histoire de la soie  par la plantation de millions de mûriers. * Note autographe de Sully sur l'assainissement de la monnaie, Archives nationales *   * Il fait rentrer un arriéré fiscal considérable, paie des dettes écrasantes (près de 30 millions de livres), suffit aux dépenses des guerres en Espagne  et en Savoie, et à l'achat des places qui restent encore aux mains des chefs ligueurs. En 1598, il fait annuler tous les anoblissements décrétés depuis 20 ans. Il supprime les petits offices  de finances et judiciaires. Il crée de grands approvisionnements de guerre, lutte contre l'abus et les prodigalités et amasse un trésor (300 000 livres tournois  par an, soit 4 millions d'euros actuels3) tout en diminuant les impôts. Il fait restituer au roi une partie du domaine royal qui avait été aliénée. L’arrivée en Europe des métaux précieux américains, depuis le début du siècle, a permis à Sully comme à ses prédécesseurs de bénéficier de rentrées fiscales, mais lui va équilibrer le budget et faire des économies. Il se fait nommer gouverneur de la Bastille  en 1602, où il entrepose une partie du trésor royal qui s'élève à 12 millions de livres. Aux environs du 25 août  1600, durant la guerre franco-savoyarde, le Roi Henri  avait envoyé le duc de Sully visiter plusieurs citadelles qui étaient investies. Sully vint coucher à Bourg-en-Bresse  où il fut bien accueilli par Biron. Le jour de son départ pour Lyon, Sully reçut un avis qu'un groupe de 200 hommes ennemis venaient d'arriver dans un château proche du lieu où il devait passer la nuit. Sully demanda à Biron de lui donner une escorte jusqu'à Lyon. Biron donna comme escorte ses propres gardes qui accompagnèrent Sully jusque Villars  où l'escorte le quitta. « Je fis recharger mes mulets et fis encore environ 4 lieues et ne m'arrêtai qu'à Vimy  ou je me crus en sûreté. Le doute que j'avais, que Biron avait entrepris de me livrer au duc de Savoie, se changea alors en certitude. Trois heures après que je fut parti de Villars, les 200 hommes vinrent fondre sur la maison ou ils croyaient que j'étais, et parurent très fâchés d'avoir manqué leur coup. »4. Le 29 août, Sully est à pied d’œuvre lors du siège du château de Charbonnières  en tant que grand maître de l'artillerie de France. La paulette  est instaurée en 1604, pour instituer l'hérédité des offices  et augmenter les recettes de l'État. En 1599, il est nommé Grand maître de l'artillerie de France  et Grand voyer de France, il contrôle alors toutes les voies de communication. Les routes principales sont retracées, remblayées, pavées. En prévision des besoins en constructions et de la marine, il fait planter des ormes  aux bords des routes (les fameux ormes de Sully). Il encourage surtout l'agriculture  en répétant une phrase devenue célèbre : « Labourage et pâturage sont les deux mamelles dont la France est alimentée, les vraies mines et trésors du Pérou5  ». Dans ce but, il proclame la liberté du commerce des grains, et abolit un grand nombre de péages  qui sont autant de barrières entre les provinces, il ouvre de grandes voies de communication, et il fait creuser plusieurs canaux, notamment le canal de Briare  qui relie la Seine  à la Loire, commencé en 1604  et terminé en 1642 6. Il va pousser les paysans à produire plus que nécessaire afin de vendre aux autres pays. Pour cela, il décide d'augmenter la surface cultivée en faisant assécher des marais. Afin de les protéger du fisc, il interdit la saisie des instruments de labour et accorde aux paysans une remise sur les arriérés de la taille. Il va aussi faire cesser la dévastation des forêts, étendre la culture de la vigne… Comme surintendant des fortifications  il fait établir un arsenal et fortifie les frontières. En 1606, il est nommé duc et pair  de Sully et acquiert, la même année, le château de Montrond, le rénove entièrement pour en faire la plus forte place du Berry. La mise à l'écart | modifier le code] Mémoires, édition originale de 1639 Il était devenu impopulaire, même parmi les protestants, et auprès des paysans qu'il avait dû accabler d'impôts pour faire face aux dépenses en vue de la guerre contre l'Espagne. Après l'assassinat d'Henri IV  en 1610, il est nommé membre du Conseil de régence et prépare le budget de 1611. En complet désaccord avec la régente Marie de Médicis, il démissionne de ses charges de surintendant des finances  et de gouverneur de la Bastille  (1611) ; il conserve cependant le gouvernement du Poitou. En 1616, il abandonne la majeure partie de ces fonctions et vivra désormais loin de la cour, d'abord sur ses terres de Sully  puis surtout en Quercy, tantôt à Figeac  et plus précisément à Capdenac-le-Haut tantôt sur sa seigneurie de Montricoux, à quelques lieues de Montauban. Il se consacre à la rédaction de ses mémoires, mais reste très actif sur le plan politique et religieux. Son fils François de Béthune, comte d'Orval  est le gouverneur de Figeac, place de sûreté calviniste. Ce dernier épouse Jacqueline de Caumont, fille du marquis de la Force, qui commande la défense militaire de Montauban en 1621. Cette même année, il est intervenu en conciliateur et a intercédé en modérateur dans les luttes entre les protestants français et la royauté, après les 96 jours du siège de Montauban  par Louis XIII, en 1627-1628, lors du siège de La Rochelle  et avant la reddition de Montauban. Proche du réseau diplomatique de Richelieu, il a été nommé maréchal de France en 1634. Il décède au château de Villebon  (Eure-et-Loir) le 22 décembre  1641. Son tombeau est à Nogent-le-Rotrou 7. *
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