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Billet festival echos


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France
Br?ves de blog: Le nouvel ?ge de la conversation Pierre Assouline Auteur: Pierre Assouline Editeur: Editions Les Arènes Taschenbuch: 426 pages Format: Broché Publication: 11/09/2008 Collection: ESSAI Dimensions: 22,35 x 13,97 x 1,4 Langue: Français Publier en: Französisch Help ? Depuis quatre ans, Pierre Assouline met chaque jour en ligne un billet sur son blog, La République des livres. Ceux qu'il appelle " les intervenautes " réagissent. La conversation s'engage. Le journaliste-écrivain raconte cette expérience singulière: être l'hôte - et parfois la cible - de milliers d'anonymes qui rivalisent d'érudition, de mots d'esprit et de réparties, souvent avec humour, parfois avec violence. Son blog est devenu un salon littéraire à la dimension de la planète. Brèves de blog est la première anthologie de la Toile, réunissant 600 commentaires, parmi les meilleurs et les plus drôles. Echanges de haut vol, confidences, polémiques, jugements littéraires, y côtoient d'authentiques critiques inédites. Quatre cents pages de passions culturelles. Pierre Assouline est auteur de romans - Le Portrait, Lutétia, La Cliente... - et de biographies - Albert Londres, Gaston Gallimard, Georges Simenon... Ceci n'est pas un livre Faire la synthèse de 150.000 commentaires d'un blog en 600: c'est l'objectif de ce curieux bouquin, et de Mr Assouline qui se targue de tenir le premier salon littéraire du Web. L'ennui c'est que trop de commentaire tue le commentaire. ça devient inhumain. Une sorte de cyclone mou de la communication. On ne distingue quasi rien. D'ailleurs Pierre Assouline ne s'y trompe pas en évoquant "le pire le trou noir de la pensée en action"... On peut d'ailleurs s'interroger sur l'intérêt d'une telle initiative: Vendre sous forme papier une maigre compilation de ce qui est disponible in extenso 24h/24 gratuitement sur le Web: ça défie l'entendement. Au surplus, le risque est grand qu'on retienne surtout de ce blog, la cacophonie émanant de l'infernale meute aux basques de l'auteur, plutôt que la substance de ce qu'il écrit... Bloguons! L'ouvrage commence avec une préface de 40 pages d'Assouline sur le phénomène du blog il voit un nouvel âge de la conversation et si on peut rencontrer sur Internet le pire et le meilleur-, fines analyses et basses engueulades violentes-, son blog engendre des débats argumentés, presque impossibles en d'autres endroits. Les grandes polémiques historiques et littéraires suscitent le plus d'échos, comme la parution du Livre noir de la psychanalyse, Heidegger et le nazisme, la réédition de Mein Kampf, les Bienveillantes. L'apport d'idées sur le blog est incontestable avec la participation d'historiens, de passionnés ou d'érudits. Les 350 pages suivantes sont une anthologie des commentaires, classés par thème; P.Assouline en a choisi 600 sur 150 000. La présentation est assez pratique, le lecteur peut aller directement aux thèmes qui l'intéressent davantage en allant d'Addiction à Les Zadieux en passant par Hugo ou Modiano ou encore Traductions. Certains chapitres que j'ai particulièrement appréciés: Les avis sur les Bienveillantes de Littell et les traductions de Dostoïevski. L'hommage à Robert Laffont dans Editeur. Les débats sur Heidegger et Jünger, la réédition de Mein Kampf. Les passages sur Rome et Sainte-Beuve. Les Zadieux émouvants et comiques J'ai bien ri aussi:Les remarques dans la partie Comité de lecture, relatif à la blague d'un rédacteur en chef belge qui, ayant envoyé, à la veille de la foire du livre de Bruxelles, une copie des Chants de Malodoror à dix maisons d'édition, avait essuyé neuf refus et reçu une lettre d'Antoine Gallimard l'informant qu'il avait déjà ce livre dans la Pléiade. On réfléchit sur les raisons de l'incompétence de ces éditeurs. Commentaires: Quand Roico écrit que « Tous ces gens qui ont un avis sur tout » le fatigue, Voierie pense qu' « il faudrait créer des postes de videurs à l'entrée des blogs ». Dans Engrenage, ça chauffe: « Annibal, votre sottise n'a d'égale que votre malveillance... » « Si c'est la baston que tu me cherches, vieux Montaigne à cheval, tu vas me trouver, je te le jure devant le diable.» Je ne retrouve pas le passage mais un commentateur (de mémoire) en accuse un autre de lui avoir téléphoné la nuit, une engueulade arrive, on apprend par la suite que le gentil premier donne des nouvelles du second rentré à l'hôpital. On s'est réconcilié. Un ouvrage à lire pour mieux comprendre la vague du blog avec la préface et connaître davantage l'un des plus importants blogs de l'hexagone. Certains vous diront que le livre n'est pas utile car on peut tout avoir sur Internet gratuitement. Je répondrais qu'Assouline a sélectionné les commentaires; ainsi, le lecteur ne perdra pas de temps avec certains commentaires sans intérêt. Par ailleurs, la lecture sur papier reste plus confortable que la position derrière un ordinateur. la foire de la liberté c'est tres drole, tres amusant, tres comique, tres délirant ces commentaires produits jetés, spontanement,souvent âpres,insolents, des enseignants qui connaissent bien la littérature. et puis il y a de polémiques merveilleuses (heidegger ou pascal) et des emb D'autre ouvrages de Pierre Assouline Mot Clef: Faits de soci?t? France Critiques, analyses, essais Fremdsprachige B?cher Genres
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Toulouse (Haute Garonne)
Disque et pochette  comme neufs Envoi rapide et très bien protégé              LIVRAISON:  5€ via Mondial relay / 5,50€ via La Poste en lettre suivie paiement: Chèque ou virement / paypal ok si  via "envoi d'argent à un proche"(attendre message en fin de vente) MOI J'AIME LE MUSIC HALL (allusion à Brassens) Paroles et Musique: Charles Trenet © - 1955 - Raoul Breton Moi j'aime le music-hall Ses jongleurs, ses danseuses légères Et le public qui rigole Quand il voit des petits chiens blancs portant faux col Moi, j'aime tous les samedis Quand Paris allume ses lumières Prendre vers huit heures et demie Un billet pour être assis Au troisième rang pas trop loin Et déjà voilà le rideau rouge Qui bouge, qui bouge, bouge L'orchestre attaque un air ancien du temps de Mayol Bravo c'est drôle, c'est très drôle Ça c'est du bon souvenir Du muguet qui ne meure pas, cousine Ah ! comme elles poussaient des soupirs Les jeunes fillettes d'antan Du monde ou d'l'usine Qui sont devenues à présent De vieilles grand-mamans Ce fut vraiment Félix Mayol Le bourreau des coeurs de leur music-hall Mais depuis mille neuf cent Si les jongleurs n'ont pas changé Si les petits toutous frémissants Sont restés bien sages sans bouger Debout dans une pose peu commode Les chansons ont connu d'autres modes. Et s'il y a toujours Maurice Chevalier, Édith Piaf, Tino Rossi et Charles Trenet Il y a aussi et Dieu merci, Patachou, Brassens, Léo Ferré. Moi, j'aime le music-hall C'est le refuge des chanteurs poètes Ceux qui se montent pas du col Et qui restent pour ça de grandes gentilles vedettes Moi j'aime Juliette Gréco Mouloudji, Ulmer, les Frère Jacques J'aime à tous les échos Charles Aznavour, Gilbert Bécaud J'aime les boulevards de Paris Quand Yves Montand qui sourit Les chante et ça m'enchante J'adore aussi ces grands garçons De la chanson, Les Compagnons Ding, ding, dong Ça c'est du music-hall On dira tout c'qu'on peut en dire Mais ça restera toujours toujours l'école Où l'on apprend à mieux voir, Entendre, applaudir, à s'émouvoir En s'fendant de larmes ou de rire. Voilà pourquoi, la, do, mi, sol, J'aim'rai toujours le music-hall J'aim'rai toujours, toujours, toujours, Toujours, toujours, le music-hall.
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