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Brumaire louis bonaparte


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France (Toutes les villes)
Livres Philosophie Livres Code EAN: 9782369425137 Contributeur: Éditeur: Nouveau Monde Editions Disponibilité: Disponible Titre: Le 18 Brumaire De Louis Bonaparte Date: 27/04/2017 Ressum: 2 Livres Origine: Decitre Propriétaire: Decitre Livres / Format: Poche Livres / Période: Livre édité depuis 1980 Lieu de parution: Paris, France ClassificationDecitre 1: Philosophie ClassificationDecitre 2: Philosophes Livres / Collection: Chronos ClassificationDecitre 3: Marx
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Vignette / entête de l'Evêché de Cambrai 3 lignes autographes + signature Bel état de conservation Envoi soigné Informations complémentaires concernant le signataire de ce document: Louis Belmas naquit à Montréal en Languedoc. Son père, quoiqu'il fût commerçant, jouissait de l'estime et de la considération publiques. Louis, à peine âgé de quatre ans et demi, perdit cet excellent père et sa mère, la plus douce et la plus pieuse des mères, dans l'espace de six semaines. Ils laissaient huit enfants et une fortune très bornée. Belmas fut adopté par son parrain qui le reçut dans sa maison, et se chargea de l'élever. Il fut envoyé d'abord dans les écoles de sa petite ville natale, et commença bientôt ses études de latin au collège de Carcassonne. Là, depuis la sixième jusqu'à la rhétorique au collège de l'Esquille à Toulouse, ses succès furent brillants. On le nomma presque toujours le premier dans les concours publics. À la fin de 1772, il fut tonsuré par M. l'évêque de Carcassonne, qui lui donna, deux ans après, une bourse dans le séminaire de Toulouse. Les prêtres de l'Oratoire dirigeaient cette maison avec leur habileté connue. Il fit chez eux sa philosophie et sa théologie, toujours avec distinction, et reçut le grade de bachelier. Il retourna ensuite à Carcassonne, et fut ordonné prêtre le 22 décembre 1781. Nommé vicaire de Saint-Michel de Carcassonne, il remplit ces fonctions avec tant de succès qu'en 1782 il fut gratifié d'une prébende dans la collégiale Saint-Vincent de Montréal, et appelé par l'évêque, Chastenet de Puységur, à la direction du séminaire de Carcassonne. En 1786, ce prélat le nomma promoteur général du diocèse, et lui confia, sur la demande de Belmas, la cure de Carlipa. Louis Belmas fut appelé par le vœu général de la succursale de Carlipa à la cure de Castelnaudary, capitale du Lauraguais. Dans ce nouveau poste, il s'attira l'attachement et la confiance de ceux dont il partageait les opinions et protégea les démissionnaires contre l'exaltation des esprits. On l'appelait à Castelnaudary le Bon curé. Sa réputation de bonté s'étendit avec celle de ses talents supérieurs pour l'administration et pour la chaire, à ce point même qu'on le jugea bientôt digne de l'épiscopat. Il avait quarante-trois ans. Guillaume Besaucèle1, évêque constitutionnel de l'Aude, que ses infirmités et son grand âge mettaient dans l'impuissance de remplir ses fonctions, témoigna le désir d'avoir un coadjuteur. Suivant le régime en vigueur, il eut recours aux suffrages populaires qui tous se portèrent sur Belmas. Besancel mourut le 6 février 1801 et Belmas qui avait adhéré à la constitution civile du clergé devint évêque constitutionnel de l'Aude le 26 octobre 1800. Il fut sacré à Carcassonne durant la tenue d'un concile provincial où se trouvaient réunis onze évêques. Louis Belmas assista au concile dit national de Paris en 1801 : il y prit le titre d'évêque de Narbonne, ville qui, dans la démarcation de l'assemblée constituante, devait être la résidence de l'évêque de l'Aude. Louis Belmas prononça à la fin du concile un discours au sujet des conférences qui avaient été indiquées avec le clergé insermenté. Après le concordat de 1802, Fouché le fit comprendre dans le nombre des douze évêques constitutionnels qui furent nommés à de nouveaux sièges. On sait que plusieurs de ces prélats refusèrent de signer une rétractation que le légat leur demandait : ils déclarèrent seulement qu'ils renonçaient à la constitution civile du clergé, condamnée par le Saint-Siège. Louis Belmas fut de ce nombre. Lorsqu'enfin, grâce aux soins combinés du pape Pie VII et du Premier Consul Napoléon Bonaparte, le schisme de France se trouva éteint, Louis Belmas fut nommé, le 11 avril 1802, au siège de Cambrai redevenu simple évêché, soumis à la métropole de Paris. Il prêta serment le 18 du même mois, et fit son entrée à Cambrai le 6 juin suivant. Cambrai ne ressemblait plus à ce qu'elle était autrefois. Alors qu'une foule d'édifices religieux l'embellissaient et qu'elle était habitée par un clergé nombreux, la ville n'avait plus de pontife et la cathédrale était en ruines. Ses premiers soins furent d'organiser son diocèse qu'il trouva dénué de tout, et complètement à refaire : l'œuvre était immense et presque impossible : point d'union et de discipline dans son clergé, pas un seul établissement sacerdotal, nulles ressources pécuniaires. Loin de décourager le prélat, les obstacles donnèrent à son zèle plus d'activité et de puissance, il en appela de son désespoir à la charité des fidèles, et, sans aucun subside du gouvernement, conduisit ses projets à bonne fin. Belmas fit de l'abbatiale Saint-Aubert (depuis appelée église Saint-Géry), conservée pour un usage profane, sa cathédrale : mais, peu de temps après, il conféra ce titre à l'église du Saint-Sépulcre, et établit lui-même sa demeure dans l'ancienne abbaye de ce nom. Mgr Belmas apporta tous ses soins et toute sa sollicitude à réorganiser le culte divin, à réunir, à diriger, à soutenir ses prêtres dispersés. Il fut bientôt en état de construire, quoiqu'à grands frais, une vaste maison dont il fit le séminaire diocésain ; et plus tard, par des additions et des dispositions nouvelles, disposa l'ancien collège des jésuites pour devenir à son tour le grand séminaire et laisser place dans le premier édifice à l'école secondaire ecclésiastique. Lorsque le Pape vint à Paris pour le couronnement de Napoléon (2 décembre 1802), Louis Belmas donna une nouvelle garantie de ses sentiments, en signant un écrit qui lui fut présenté de la part de Pie VII, portant adhésion pleine et entière aux jugements du Saint-Siège sur les affaires ecclésiastiques de France. En 1804, le tombeau qui renfermait le corps de Fénelon ayant été retrouvé, les magistrats de Cambrai résolurent de transférer ces restes dans la chapelle de l'hospice de Sainte-Agnès. Or, la cérémonie qui fut projetée ressemblait plus à une fête païenne qu'à une solennité catholique : l'évêque déclara que ni lui ni son clergé ne pouvaient accepter la place qu'on leur avait assignée dans ce cortège si peu assorti à la dignité archiépiscopale. Il adressa ses réclamations à l'Empereur qui, après avoir pris connaissance de l'affaire, ordonna d'ajourner indéfiniment la cérémonie. Ce fut assez pour attirer sur le prélat le ressentiment et les injures, on essaya même de l'attaquer. Le tombeau, retardé par des difficultés sans nombre, ne fut terminé qu'à la seconde Restauration, et l'inauguration du monument eut lieu le 7 janvier 1826, sous la présidence de Monseigneur Belmas qui prononça en cette occasion un discours remarquable. Lorsque Napoléon Ier, qui s'était acquis une gloire réelle par le rétablissement du culte, arrêta et fit déporter à Savone Pie VII, un concile fut convoqué à Paris en 1811, pour apporter quelque remède aux maux que souffrait la religion en France. Mgr Belmas assista à ce concile, mais il ne parait pas avoir pris une part active aux conférences. Belmas fut maintenu évêque de Cambrai à la première Restauration et pendant les Cent-Jours. Louis Belmas appelait Napoléon son bienfaiteur, lequel l'avait fait baron de l'Empire. Il n'est pas étonnant alors de le trouver parmi les premiers à la cérémonie du Champ-de-Mai (1er juin 1815). Louis XVIII, revenu une seconde fois dans son royaume, fit son entrée à Cambrai le 26 juin 1815, mais le souvenir de la cérémonie du Champ-de-Mai, auquel le prélat avait assisté tout récemment, empêcha le monarque de descendre au palais épiscopal, il s'établit dans la maison d'un particulier. M. l'évêque de Cambrai s'était rendu à Paris pour solliciter la mise en liberté de quelques ecclésiastiques de son diocèse gravement compromis dans les Cent-Jours : grâce, sans doute, à son dévouement connu, il obtint ce qu'il désirait, et sa joie fut d'autant plus vive, qu'il arrachait les victimes à d'atroces vengeances. De pressantes instances lui furent faites pour l'engager à se démettre de son siège : pressions auxquelles il resta sourd. Lord Wellington avait pour Louis Belmas une estime toute particulière. On prétend que le vainqueur de Waterloo soutint très efficacement le courage et les droits du prélat dans lesdites circonstances. Un témoignage pareil n'était point suspect, Louis XVIII l'accueillit avec bonheur. Deux ans après, par lettres apostoliques, en date du 6 des calendes d'août 1817, le siège de Cambrai fut de nouveau, sur la demande de Louis XVIII, érigé en archevêché. Ces lettres faisaient suite au concordat du 11 juin 1817 qui résolut d'ériger Cambrai en archevêché, mais la cour de Rome ne voulait point récompenser Louis Belmas, en lui conférant un titre plus élevé. On lui proposa de se démettre : il n'y consentit qu'à condition qu'on lui donnerait un titre d'archevêché in partibus. Le pape ne souscrivit point à cette idée, et l'érection de l'archevêché de Cambrai fut ajournée (bulle d'octobre 1822). En 1827, Charles X, visitant les provinces du nord, arriva à Cambrai le 4 septembre, et voulut être logé au palais épiscopal. Le digne évêque ne négligea rien pour donner à son hôte des témoignages de respect et de dévouement. Mgr Belmas adhéra sans hésitation la révolution de 1830. Le roi Louis-Philippe Ier, se trouvant à Cambrai en 1832, accorda à notre évêque les insignes de Commandeur de la Légion d'honneur. Le Roi des Français lui proposa même l'archidiocèse d'Avignon. Le fidèle évêque de Cambrai refusa cette promotion. Jusqu'au dernier jour, Mgr Belmas traita les affaires de son diocèse avec la présence d'esprit, la facilité de travail qui le caractérisaient. Peu avant sa mort, il entendit encore la lecture de sa correspondance et il indiqua les réponses à faire. Il s'occupa des prochaines ordinations et fit expédier une lettre pour que sa mort n'apportât aucun retard à ceux qui dévoient être ordonnés. Une maladie longue, rendue plus grave par la vieillesse, l'emporta le 21 juillet 1841, après un épiscopat qui dura près de quarante ans. C'est M. le docteur Lenglet qui procéda à l'autopsie du corps de Mgr Belmas. Le cœur était dans un état tout à fait anormal. Des tuméfactions énormes, des désordres affreux se faisaient remarquer autour de ce viscère. Cependant, chose étrange, jamais le malade ne s'était plaint d'aucune douleur dans la région du cœur. Son oraison funèbre fut prononcée à Cambrai par M. Wicart, alors curé-doyen de Sainte-Catherine de Lille, depuis évêque de Fréjus. Cambrai offrit toutes les images d'un grand deuil, par suite du décès de Mgr Belmas. Trois fois par jour, à six heures du matin, à midi et à six heures du soir, toutes les cloches de la cathédrale et de l'église Saint-Géry sonnaient à grandes volées. D'heure en heure, un coup de canon fut tiré. Au palais épiscopal, se pressaient les fidèles qui venaient contempler une dernière fois les traits du prélat et prier pour lui. À la mort de Louis Belmas, le siège épiscopal de Cambrai est à nouveau érigé en archevêché par bulle du pape Grégoire XVI du 1er octobre 1841 au profit de Pierre Giraud. Source: wikipedia      ●   Bienvenue sur notre boutique   ●  Intégrez-nous dans votre liste de "vendeurs favoris" afin d'être régulièrement tenu informés de nos nouvelles mises en vente N´hésitez pas à consulter nos autres ventes afin de mutualiser les frais d´envoi   NOS FRAIS D'ENVOI PRINCIPES DE BASE:  nos prix incluent le port et le conditionnement  -  lots vendus   merci aux acheteurs qui choisissent un envoi "classique" sans suivi de ne pas porter réclamation si l'objet ne leur parvenait pas, ne pouvant être tenu responsable d'une perte par les services postaux  (Europe & other countries: letter with tracking number or registered letter) -  lots vendus de 20€ à 100€  :  envoi avec n° de suivi ou recommandé, au choix de l'acheteur  (Europe & other countries: letter with tracking number or registered letter) -  lots vendus > 100€  : envoi recommandé obligatoire (registered letter obligatory) L'acheteur aura donc le  choix  entre : 1 - lettre suivie: envoi avec un n° de suivi, mais sans assurance  2 - lettre verte "classique": envoi sans n° de suivi et sans assurance (juste pour la France) 3 - lettre recommandée: envoi avec suivi et avec assurance. 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France (Toutes les villes)
Livres Sciences politiques Livres Code EAN: 9782490073221 Contributeur: Éditeur: Editions Science Marxiste Disponibilité: Disponible Titre: Les Luttes De Classes En France 1848-1850 - Le 18 Brumaire De Louis Bonaparte Livres Origine: Decitre Propriétaire: Decitre Livres / Format: Beau livre Livres / Période: Livre édité depuis 1980 ClassificationDecitre 1: Sciences politiques ClassificationDecitre 2: Sciences politiques Livres / Collection: Bibliothèque Jeunes ClassificationDecitre 3: Histoire des idées politiques
10 €
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France (Toutes les villes)
BONAPARTE EN TERRE SAINTE 22 FEVRIER - 2 JUIN 1799 LA CAMPAGNE DE PALESTINE Par Jacques DEROGY et H. CARMEL EDITIONS FAYARD,  1992 FORMAT GRAND IN-8, BROCHE, 495 PAGES BIBLIOGRAPHIE. CHRONOLOGIE. INDEX.  ILLUSTRE DE 2 CARTES Récit historique critique des cent jours de BONAPARTE et de l’Armée d’Orient en Palestine du 22 février au 2 juin 1799 (entre les deux batailles, maritime et terrestre, d’Aboukir et avant le « retour » précipité de BONAPARTE en France accompagné d’une poignée de fidèles pour y accomplir son destin au 18 brumaire). La recherche des deux auteurs mêle la citation à la relation, le document et le commentaire, l’analyse et la synthèse, l’anecdotique et le factuel, le psychologique et le politique, les scènes de la vie privée et les comptes rendus de batailles, les témoignages et les mémoires, la légende et la démythification. Il a fallu dépouiller et consulter quelque quatre cents publications anciennes et modernes en français, anglais, arabe, hébreux, yiddish, araméen… « Le 22 février 1799, BONAPARTE franchit les colonnes de Rafah qui séparent symboliquement l’Afrique de l’Asie. Il les repassera en sens inverse le 22 juin, après l’échec sanglant du siège de Saint Jean d’Acre, vieille forteresse adossée à la mer et défendue par les alliés inattendus de DJEZZAR PACHA, l’émigré et ancien condisciple de BONAPARTE, LE PICARD de PHELIPPEAUX, le vizir juif HAÏM FARHI et le commodore britannique SIDNEY SMITH. Ces cent jours en Terre Sainte magnifiés par la victoire du Mont Thabor auront été entachés d’horreurs sans nombre -sacs et pillages, exécution massive  de prisonniers de guerre, échec militaire meurtrier du siège d’Acre, « euthanasie » des pestiférés de Jaffa, etc. que BONAPARTE, génie de la propagande saura transformer en épopée exotique à l’ombre des Lieux Saints dont va s’emparer l’imagerie populaire. Ces cent jours auront aussi bouleversé et marqué pour cent ans la vie du peuple juif. Au premier congrès sioniste de Bâle en 1897, Théodor HERZL l’inventeur du sionisme, se référera au précédent d’une déclaration de BONAPARTE sur le retour des Juifs en Palestine. Peu importe qu’il se soit agi d’un faux (comme les auteurs l’établissent preuves à l’appui): son empreinte aura modifié le cours de l’histoire de la nation juive.   L A CAMPAGNE DE BONAPARTE EN PALESTINE EDITION ORIGINALE:  EXEMPLAIRE DEDICACE PAR JACQUES DEROGY BON ETAT POSSIBILITE DE REGLEMENT EN PLUSIEURS FOIS SANS FRAIS: ME CONSULTER SI L'ETAT NE CONVIENT PAS, JE REPRENDS LE LIVRE Je mets en vente d'autres ouvrages sur NAPOLEON. Pour les trouver facilement, tapez C1 NAPOLEON dans le moteur de recherche de ce site
80 €
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France (Toutes les villes)
Livre Livres Code EAN: 9782262032814 Propriétaire: Decitre ClassificationDecitre 1: Histoire de France Titre: Le 18 Brumaire - Les Coups D'etat De Napoléon Bonaparte (Novembre-Décembre 1799) Disponibilité: Disponible ClassificationDecitre 2: Révolution et Empire Lieu de parution: Paris, France ClassificationDecitre 3: Consulat Livres / Format: Broché Livres Origine: Decitre Ressum: 2 Livres / Période: Livre édité depuis 1980
7,15 €
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Saint Jean en Royans (Drôme)
Gravure Bonaparte à la bataille d'Arcole 27 Brumaire an V Peint par Le Gras. Gravé à Milan par Longhi 1798   État : "Occasion" Dim totale H 74   L 54  en cm  au regard de la fragilité du cadre une remise en mains propre est préférable mais un envoi sans cadre et sans verre de protection est possible
60 €
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Ousse (Pyrénées Atlantiques)
Le feld-maréchal von Bonaparte Jean Dutourd Le Livre de Poche n°14263 1997 Prix: 1,50 € Livre en bon état 4ème de couverture: Il n'y a pas de fatalité dans l'Histoire: seulement des hasards. Que la Corse demeure italienne, que Louis XVI ait la bonne idée d'envoyer la troupe défendre la Bastille, et la face de l'Europe est changée. Napoléon meurt à Vienne dans la peau d'un feld-maréchal anobli, Louis XVI devient tout doucement un monarque constitutionnel... Un siècle et demi de guerres, les plus atroces de l'Histoire, nous est épargné. De même que les régimes de Staline ou Hitler, ces parvenus, ô combien plus nuisibles que les vieilles monarchies prudentes dont ils ont pris la place... Provocateur et sérieux, érudit et drôle, superbement écrit, ce petit livre qui prend à contre-pied les préjugés les mieux enracinés ("égalité, "démocratie", "progrès"...) provoquera le mépris des doctes et l'indignation des belles âmes. Les fidèles de Dutourd, quant à eux, y retrouveront la liverté d'esprit, l'anticonformisme, le style éblouissant d'un descendant de Saint-Simon et de Voltaire. Catégorie(s): Histoire (Histoire et Politique), Romans historiques Référence du livre: R09295 Pour retrouver tous mes livres tapez loccasiondelire dans la barre de recherche (ou ailleurs sur le net).
1,5 €
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Issoire (Puy de Dôme)
CDV Le prince Imperial Louis Napoléon Bonaparte Fils de l'empereur Napoléon III et l'impératrice Eugenie photo CHARLET et JACOBIN. Circa 1860 Type: tirage albuminé format: 6X10,5 État : Occasion Envoi gratuit lettre
79 €
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Paris (Paris)
Général CAVAIGNAC (Louis Eugène Cavaignac) – Lettre autographe signée (3) Louis Eugène Cavaignac (le « général Cavaignac » ;1802-1857), général et homme d'État français. Gouverneur d'Algérie (1848) puis président du Conseil des ministres chargé du pouvoir exécutif durant l'année1848. Candidat à l'élection présidentielle de 1848, il est battu par Louis-Napoléon Bonaparte. 3 lettres autographes signées adressées au général Henri Feray, gendre du Maréchal Bugeaud : - Lettre autographe signée, 1 page,; il espère voir le Colonel Feray le lendemain ; - lettre autographe signée, 1 page, « 11 septembre » ;lettre de remerciement et de compliment ; hommage à Mme la Maréchale ; - lettre autographe signée, 1 page ; Il lui annonce son départ et salue Madame La Maréchale. Bon état – envoi par courrier suivi
40 €
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Lyon (Rhône)
Lettre autographe signée duc de Bassano, en tête maison de l'empereur, service du grand chambellan Palais des tuilerie vendredi 23 avril Maret (Napoléon-Joseph-Hugues) duc de Bassano né et mort à Paris (1803 - 1898) fut secrétaire d'ambassade en Belgique sous Louis Philippe. Louis Bonaparte le nomma ministre auprès du roi des Belges (1851). Sénateur de l'empire (1852), il remplit jusqu'en 1870 la charge de grand chambellan du palais.
10 €
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Compiègne (Oise)
Lettre manuscrite de 1816 du Vice-Amiral Honoré GANTEAUME alors qu'il se trouve à Marseille. Il adresse un courrier dans lequel il fait part de sa prise de connaissance du passage du Comte d'Artois à Marseille. Il y est fait mention de: " son altesse Royale" " Quinze marins mentionnés dans la lettre de votre excellence" " Demande qu'il veut adresser à ce Prince" " Duc de Maillé" " Ministre de la Marine" " Je sais qu'ils ont tous fait plusieurs voyages en qualité d'officiers sur les bâtiments de commerce. Je juge qu'ils ont la pratique et l'expérience nécessaire pour commander ce bâtiment..." " Duc d'Angoulème" " Je prie votre excellence de bien vouloir agréer la nouvelle... " Document en très bon état sur un papier d'époque qui a été plié en plusieurs fois pour probablement être transmis. Lorsqu'on met le papier à la lumière, on distingue des motifs, notamment un blason représentant un chevalier et des lettres. Dimensions de la feuille: 32 X 20 cm Nombre de feuillets: 4 pages  Courrier manuscrit sur 2 feuillets. "Pour connaisseurs" - A déchiffrer Envoi par lettre recommandée avec AR assurance prévue R3  Qui est GANTEAUME ?? Nommé contre-amiral le 7 novembre 1798, il prend le commandement des forces navales se trouvant sur les côtes d’Égypte. Il  est au siège de Jaffa, de Saint-Jean d’Acre, aux combats de Gaza et du fort d’Aboukir. C’est lui qui ramène le général Bonaparte d’Égypte en France, sur la frégate la Muiron, en octobre 1799. Après Brumaire, Ganteaume est nommé Conseiller d’État, et il rejoint alors Brest, où il prend la tête de l’escadre de secours qui doit porter des renforts à l’armée d’Égypte. Il devrait appareiller en janvier 1801, mais ses hésitations le font rester bloqué deux mois dans Toulon. Lorsqu’il arrive près des côtes égyptiennes, il n’ose pas faire débarquer ses troupes, qu’il ramène à Toulon. Bonaparte lui garde cependant sa confiance, et sa carrière n’est pas stoppée. Il commande l’escadre de Méditerranée de 1800 à 1802, puis est nommé préfet maritime de Toulon en 1802, et enfin vice-amiral le 30 mai 1804. Nommé commandant de l’armée navale de l’Océan à Brest, avec le titre d’amiral, il ne parviendra pas à forcer le blocus anglais. Par deux fois, en 1806 et 1807, il assure l’intérim du ministère de la marine puis prend le commandement de la flotte de la Méditerranée de 1808 à 1810. En janvier 1808, il part de Toulon pour débloquer et ravitailler Corfou, bloqué par une escadre anglaise; après y avoir réussi, il est de retour le 10 avril, et est nommé inspecteur-général des côtes de l’Océan, le 18 avril. il quitte son commandement de l’armée navale le 8 juin 1810. Napoléon le fait comte d’Empire, le 11 juillet 1810 puis Chambellan de l’Empereur. Le 1er août 1811, il est nommé colonel commandant le bataillon des marins de la Garde.   Après avoir approuvé la déchéance de l’Empereur et s’être maintenu à l’écart lors des Cent-Jours, Ganteaume est fait Pair de France, le 17 août 1815, puis commandeur de l’Ordre de Saint-Louis le 3 mai 1816. Il votera pour la mort du maréchal Ney lors du procès de ce dernier. Antoine Ganteaume meurt à Aubagne, le 28 juillet 1818 Le 24-nov.-19 à 10:22:47 Paris, le vendeur a ajouté les informations suivantes: Sur la dernière photo vous avez un document de comparaison de la signature provenant des archives du Var
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Paris (Paris)
Félix Guillaume Gédouin, député au Corps législatif de l'an XIII à 1810, né à Nantes (Loire-Inférieure) le 30 mai 1760, mort à Nantes le 4 septembre 1830, appartenait à la magistrature. Procureur impérial à Nantes, il fut nommé (17 brumaire an XIII), parle Sénat conservateur, député de la Loire-Inférieure au Corps législatif, où il siégea jusqu'en 1810. Jacques Louis Dufeu, négociant à Nantes, il s'engage comme volontaire en 1792, devient capitaine et adjudant-général, et se trouve placé, pendant la guerre de l'Ouest, à la tête de la garde nationale de Nantes. Il devient député de la Loire-Inférieure au Corps législatif le 17 brumaire an XIII, puis à la Chambre des Cent-Jours le 12 mai 1815. Il était conseiller de préfecture à Nantes.
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Vannes (Morbihan)
breizh.antiques.art@gmail.com 06 47 07 70 65 24 Médaille en bronze doré. Graveur: A déterminer. Dimensions: 68 mm. Poids: 196 g. Métal: bronze. Poinçon sur la tranche (Mark on the edge): Aucun, tranche lisse. Envoi rapide et soigné. Le support utilisé pour présenter la médaille n'est pas à vendre. The stand used for the medal presented is not for sale.   _______________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Château de Sedan Château de Sedan Période ou style Médiéval Type Château fort Début construction 1424 Propriétaire initial Évrard II de La Marck Propriétaire actuel Municipalité de Sedan Protection  Classé MH (1965) Site web http://www.chateau-fort-sedan.fr/ Coordonnées 49° 42′ 07″ N 4° 56′ 58″ E 49° 42′ 07″ Nord 4° 56′ 58″ Est Pays  France Anciennes provinces de France Champagne Région Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine Département Ardennes Commune Sedan Géolocalisation sur la carte : Champagne-Ardenne modifier   Le château de Sedan ou château-haut est situé à Sedan sur un promontoire en bordure de Meuse autrefois flanqué de deux ruisseaux, le Bièvre et le Vra. C'est l'une des plus grandes forteresses d'origine médiévale d'Europe avec 35 000 m2 sur sept étages et des murs de plus de 7 m de large (le mur le plus épais avoisine les 27 m de large). Ce château fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 4 janvier 1965 1. Sommaire * 1 Histoire * 2 Circuit de visite * 3 Galerie * 4 Architecture * 5 Les Seigneurs et Princes de Sedan, ducs de Bouillon * 6 Évènements * 6.1 Le Grand tournoi de chevalerie * 6.2 Festival médiéval * 6.3 Visites nocturnes aux flambeaux * 7 Annexes * 7.1 Articles connexes * 7.2 Liens externes * 8 Sources * 8.1 Notes et références * 8.2 Bibliographie Histoire À l'origine du site se trouve un prieuré bénédictin dépendant de l'abbaye de Mouzon  : le prieuré Saint-Martin dont on peut voir les assises dans la cour du château. Ce prieuré est mentionné en 1306. Évrard de La Marck prend possession du site en 1424 par l'intermédiaire de son beau-frère Louis de Braquemont, apportant à son beau-frère la dot que son père (Guillaume de Braquemont) n'a jamais fourni. Il décida de construire un château de plan sensiblement triangulaire sur le site autour de l'église devenue chapelle castrale. Les fouilles ont montré que cette église avait dû être fondée au XIe siècle. Vers 1424, Évrard III de La Marck fait bâtir en six ans un manoir avec deux tours jumelles autour d'une église, un donjon résidentiel rectangulaire qui faisait déjà partie du prieuré et une tour ronde à l'ouest qui a été agrandie plus tard pour devenir la "Grosse tour". Les tours jumelles servant d'entrée au château étaient protégées par un châtelet constitué de deux petites tours rondes et d'une échauguette. Le plan de ce premier château peut paraître archaïque pour l'époque de sa construction et n'a pas encore vraiment pris en compte la défense contre l'artillerie. Lorsque Evrard meurt en 1440, son fils Jean de la Marck entreprend le renforcement de la forteresse mais c'est Robert II de La Marck, le petit-fils de Jean, qui réalisera les travaux les plus importants. En 1530, les fortifications du manoir sont modernisées par la construction du boulevard circulaire. Le logis princier est construit sur 100 mètres le long du rempart côté ville à partir de 1530. Le pavillon Renaissance dans le style de Philibert Delorme a été construit pour Robert IV de La Marck et son épouse Françoise de Brézé. Le logis du Gouverneur est édifié en 1536. Vers 1550 sont créées les terrasses à canons par remplissage en terre, entre les remparts et une nouvelle muraille prise sur la basse cour, augmentant l'épaisseur des courtines de 4,50 m à 26 m, jusqu'à un niveau égal à ceux dominant le site. 18 petits logis pour la troupe ont été créés dans ce remplissage. À partir de 1553 commence l'édification de deux bastions triangulaires sur le front nord-est, celui du Gouverneur terminé en 1557, et le bastion Fourchu en 1559. En 1572 ont été livrés les deux autres bastions, celui des Dames et le bastion du Roy. Des ouvrages à cornes ont été ajoutés à l'avant des bastions mais certains furent dynamités à la fin du XIXe siècle. Les archives permettent de nommer les ingénieurs ayant participé à la dernière campagne de construction des défenses de Sedan : Marin Fourre, qui est le concepteur initial, puis, en 1577, le Ferrarais Marc-Aurèle Pazin ou Marco Aurelio de Pasino, probablement l'auteur des "boulverts" et des bastions de l'enceinte urbaine, et enfin, après 1585, Jean Errard, de Bar-le-Duc. Le maréchal Turenne y nait en 1611. Il s'agit d'un des plus grands militaires, en compagnie de Napoléon Bonaparte, que l'histoire ait connu. La principauté est absorbée par la France après la bataille de la Marfée et à la suite de l'échec d'une nouvelle conspiration contre Richelieu menée par Cinq-Mars en 1642. Louis XIII fait emprisonner le prince de Sedan, Frédéric Maurice de La Tour d'Auvergne-Bouillon, puis remettre la principauté par traité. Le maréchal Fabert, messin de naissance, fut le premier gouverneur de Sedan pour le roi de France suite au rattachement de la principauté à la France. En 1650 il fit construire les magasins Fabert, accueillant aujourd'hui l'hôtel du château. Le château est transformé en garnison. En 1699, Vauban fait construire la porte « des Princes », adaptée aux progrès de l'artillerie. Il s'agit de la seule intervention de ce célèbre architecte, ce qui a laissé penser que la forteresse était de qualité. Lorsque Napoléon Bonaparte visite le château, en 1803, il fait transférer à Paris la collection d'armures des princes de Sedan à Paris. Certaines se trouvent aujourd'hui exposées au Musée de l'Armée. En 1822, l'église Saint-Martin est démolie pour installer un parc à boulets. Une plateforme d'artillerie est créée en 1828 au sommet des Tours jumelles. Encerclée par les armées prussienne et saxonne, le 1er septembre 1870 lors de la Bataille de Sedan, l'armée du camp de Châlons est défaite. Napoléon III fait hisser sur le château fort le drapeau blanc demandant la fin des hostilités. L'acte de capitulation est signé au Château de Bellevue entre Frénois et Glaire. L'Hôtel du Château Des essais de dynamite sont faits sur le bastion du Gouverneur en 1873. Autrefois le plus vaste du château-fort, ce bastion est aujourd'hui largement éventré. De janvier 1917 à novembre 1918, la citadelle va servir de camp pour des milliers de civils résistants français et belges condamnés aux travaux forcés par les autorités allemandes. Beaucoup y sont morts. Cédé par l’armée française à la ville en 1962, le château a fait l’objet de plusieurs campagnes de restauration. Aujourd'hui, le château est un haut-lieu touristique des Ardennes. Logeant un temps l'office de tourisme de la ville, celui-ci fut récemment déplacé dans un traversant reliant la rue du Ménil au Promenoir des prêtres présent au pied du château. On trouve également le musée à l'intérieur de ce château où s'y trouve depuis le printemps 2012, une maquette de la ville de Sedan au XIXe siècle, due en grande partie à Jean-Jacques Dromby. Une des salles de ce musée est dédiée à la guerre de 1870 et y est exposée une riche collection de casques prussiens et autres armes, ainsi que l'esquisse du panorama de Sedan par Ludwig Braun. Lors des rafales de vent (jusqu'à 110 km/h) dues aux orages du 14 juillet 2010, vers 16h20 la large toiture côté sud s'est en partie envolée mais aussi effondrée à l'endroit du spectacle de fauconnerie (haute-cour, ruines du prieuré Saint Martin) ne prenant (par chance) pas place ce jour-là (jour de relâche). Les collections du château, en partie conservées dans les combles de l'édifice, furent en grande partie sauvées grâce à l'aide spontanée du personnel du château et de bénévoles. La nouvelle toiture fut achevée pour la saison touristique 2012. Circuit de visite Le château fort de Sedan dispose d'un circuit de visite depuis l'année 1995 lorsque fut mis en place la visite Historium. Des mannequins de cire y furent placés, illustrant la vie au château à l'époque médiévale et au temps des princes. La scène la plus prestigieuse est celle du mariage de Charlotte de La Marck et Henri de La Tour d'Auvergne, placée dans le pavillon Renaissance. Depuis le printemps 2012, le château-fort de Sedan connaît une nouvelle jeunesse. Il se dote de nouveaux circuits (Mille ans d'histoire, Principauté), de nouveaux panneaux, d'une nouvelle entrée dans la cour du château-fort, d'une nouvelle salle multimédia etc. L'édifice attire chaque année près de 60 000 visiteurs. Galerie Architecture Le château de Sedan est une forteresse construite à partir de 1424 qui comporte quatre bastions défensifs construits au XVIe siècle, le bastion du Gouverneur, le bastion Fourchu, le bastion des Dames et le bastion du Roi. Le châtelet d'entrée comporte deux tours rondes qui étaient munies de hourds, d'une herse et d'une bretèche. L'ensemble de la forteresse est entouré de murs surmontés de courtines. Le logis seigneurial et le logis de la garde datent d'avant le milieu du XVIe siècle. Au début du XVIIe siècle, Henri de la Tour d’Auvergne a fait construire le Palais des Princes, appelé aussi le Château–Bas, et a déserté le logis de la forteresse. Les Seigneurs et Princes de Sedan, ducs de Bouillon Liste des princes de la Principauté de Sedan * Gérard III de Jauche (1210 – 1261) * Gérard IV de Jauche (1235 – 1293) * Guillaume de Jauche (1285-1340) * Marie de Jauche (1315 – 1387) * Hugues de Barbençon épouse Marie de Jauche Vers 1340 * Jean de Barbençon (enterré à Vireux-Molhain) 1344 – 1404 * Guillaume de Braquemont (1345-1420) épouse Marie de Campremy. Il achète le château en 1405 et est le frère de Robert de Bracquemont amiral de France et d'Espagne * Louis de Braquemont (1390-1424) épouse Isabelle Le Maréchal * Évrard II de La Marck-Arenberg (1365-1440) épouse Marie de Braquemont * Jean de La Marck (1406-1470) épouse Jeanne de Virnembourg * Robert I de La Marck (? – 1497) épouse Jeanne de Marley en 1449 * Robert II de La Marck (1460 – 1536) épouse Catherine de Croy en 1490 * Robert III de La Marck (1492-1536) épouse Guillemette de Sarrebruck en 1510 * Robert IV de La Marck (1512-1556) épouse Françoise de Brézé en 1539 * Henri-Robert de La Marck (1540-1574) épouse Françoise de Bourbon-Vendôme en 1559, 1er prince de Sedan * Guillaume-Robert de La Marck (1563-1588) * Charlotte de La Marck (1574-1594) épouse Henri de la Tour d’Auvergne en 1591 * Henri de la Tour d'Auvergne (1555-1623) épouse Élisabeth de Nassau * Frédéric-Maurice de La Tour d'Auvergne (1605-1652) épouse Eléonore-Fébronie de Bergh Évènements Le Grand tournoi de chevalerie Depuis une dizaine d'années le château-fort de Sedan accueille chaque été des tournois de chevalerie. Réalisés par une troupe en majorité slovaque (Normani), ces spectacles font la joie des petits et des grands. Festival médiéval Depuis 1996, le château-fort de Sedan accueille un festival médiéval de Sedan autour de la forteresse, le troisième week-end de mai. Succès populaire, près de 14 000 entrées payantes furent décomptées lors des dernières éditions. * Festival médiéval de 2011 * * * * * Visites nocturnes aux flambeaux Chaque été des visites originales, puisqu'aux flambeaux, sont organisées les vendredis et samedis soir. Annexes Articles connexes Sur les autres projets Wikimedia : * Château de Sedan, sur Wikimedia Commons * Comté de la Marck * Duché de Bouillon * Principauté de Sedan * Liste des monuments historiques des Ardennes Liens externes * Site officiel * http://www.tourisme-sedan.fr * Pict-Art : Château de Sedan Sources Notes et références * ↑ « Notice no PA00078518 », base Mérimée, ministère français de la Culture Bibliographie * Alain Sartelet, Le château fort de Sedan, Gueniot,‎ 2006 (ISBN  978-2-8782- 5380-1) * Jean-Marie Pérouse de Montclos, Le guide du Patrimoine: Champagne-Ardenne, Paris, Hachette,‎ 1995 (ISBN  978-2-01-020987-1), p. 328-331 * Jean Aversenq, Le château-fort de Sedan, Sedan, Imprimerie Balan-Sedan, 1993 (1979), 58 p. * Portail des châteaux de France * Portail des Ardennes * Portail des monuments historiques français Catégories  : * Château fort en Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine * Château des Ardennes * Château monument historique (France) * Monument historique des Ardennes * Monument historique classé en 1965 * Patrimoine du XVe siècle * Sedan Menu de navigation * Non connecté * Discussion * Contributions * Créer un compte * Se connecter * Article * Discussion * Lire * Modifier * Modifier le code * Historique * Accueil * Portails thématiques * Article au hasard * Contact Contribuer * Débuter sur Wikipédia * Aide * Communauté * Modifications récentes * Faire un don Outils * Pages liées * Suivi des pages liées * Importer un fichier * Pages spéciales * Adresse permanente * Information sur la page * Élément Wikidata * Citer cette page Imprimer / exporter * Créer un livre * Télécharger comme PDF * Version imprimable Dans d’autres projets * Wikimédia Commons Autres langues * Български * Deutsch * English * Español * Italiano * Nederlands * Modifier les liens * Dernière modification de cette page le 15 février 2016, à 19:41. * Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions; d’autres conditions peuvent s’appliquer. 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Ganges (Hérault)
Bouton des Equipages de la Flotte  "Modele 1872"  23 mm. État : "Occasion" POIDS: 4,5 Grammes - DIAMETRE: 23 mm - METAL: Bronze. fabricant: CORDIER FRERES PARIS Service de livraison: Lettre Suivie HISTORIQUE: HISTOIRE DE LA MARINE Armand Jean du Plessis de Richelieu crée la Marine royale en octobre 1626, sous le règne de Louis XIII. Sous la Révolution française, la marine devient nationale et l’ordonnance de l’Assemblée constituante du 24 octobre 1790 crée un pavillon français unique, associant le blanc historique de la France au bleu et rouge de la ville de Paris. Sur les bâtiments ce pavillon remplace les nombreux pavillons bleu et blanc de la marine marchande et le pavillon blanc des vaisseaux de guerre. Sous l’Empire (1804 -1815) la marine devient impériale. "Honneur-Patrie" constitue alors la devise du drapeau national et de la Légion d’honneur créée le 29 mai 1802 par le premier consul Napoléon Bonaparte pour récompenser les mérites, les talents et les vertus de militaires ou de civils. La seconde devise "Valeur-Discipline" apparaît aussi sur les drapeaux français à l’apogée du premier Empire en 1812. Sous la Monarchie de juillet (1830-1848) la devise "Le Roi, l’Honneur et la Patrie" s’inscrit au fronteau des vaisseaux. Placée à l’arrière près du quartier du commandement et tournée vers le milieu du navire, elle guide l’équipage dans ses missions. En 1848, les emblèmes royaux sont abolis et le mot "Roi" disparaît des fronteaux de dunette. Au moment de la seconde République (1848-1851), le drapeau français reprend la devise "Valeur-Discipline". Cette devise apparaît au revers de la médaille militaire, sous l’égide de Louis-Napoléon Bonaparte. Instituée par décret du 22 janvier 1852, la médaille récompense les meilleurs soldats et sous-officiers ayant accompli des services exceptionnels et ayant servi au moins 8 ans. La troisième République (1870-1940) instaure une solide tradition républicaine. Le 14 juillet 1880, la France célèbre officiellement sa première fête nationale. En présence du Président de la République Jules Grévy, le ministre de la guerre distribue aux différents régiments et corps de troupes de nouveaux drapeaux et étendards. La marine conserve le pavillon national bleu blanc rouge, symbole de l’appartenance républicaine. À cette époque, la devise "Honneur-Patrie" est inscrite sur des plaques scellées réglementairement aux parois les plus nobles des bâtiments. "Honneur" et "Patrie" trouvent leur place à l’avant du bateau. "Valeur" et "Discipline" viendront les compléter vers les années 1890 pour composer la devise qui unit aujourd'hui la Marine nationale. Sur les bâtiments actuels la devise apparaît le plus souvent près de la passerelle, siège du commandement.
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Vannes (Morbihan)
breizh.antiques.art@gmail.com 06 47 07 70 65 34 Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne d'abondance à partir de 1880). Médaille frappée en 1971. Graveur: Charles de Courcy. Dimension: 68 mm. Poids: 163 g. Métal: bronze. Poinçon sur la tranche (mark on the edge) :  Corne d'abondance + bronze + 1971. Envoi rapide et soigné. Georges Cadoudal, né à Brec'h le 1er janvier 1771 et mort guillotiné le 25 juin 1804 à Paris, est un général chouan, maréchal de France à titre posthume, commandant de l'Armée catholique et royale de Bretagne. Fils de paysans aisés, charismatique et doué d'une force herculéenne, Cadoudal est d'abord partisan de la Révolution française. Il s'en détache en 1791, après la constitution civile du clergé, puis prend les armes contre elle en 1793 pour s'opposer à la conscription lors de la levée en masse. À la suite de l'échec des rébellions paysannes en Bretagne, Cadoudal gagne la Vendée en juin. Capitaine dans les compagnies bretonnes sous les ordres de Bonchamps, il prend part aux batailles de la guerre de Vendée. Après la défaite des Vendéens à la deuxième bataille de Cholet et la mort de Bonchamps, il sert sous les ordres de Stofflet et participe à la Virée de Galerne. Il combat avec les Vendéens jusqu'à l'ultime bataille de Savenay. De retour dans le Morbihan, Cadoudal prend le commandement des troupes de Chouans qui se forment dans le pays d'Auray. Il refuse de signer le traité de la Mabilais et de reconnaître la République. Colonel en 1795, il se distingue lors de l'expédition de Quiberon, après la débacle de l'armée des émigrés, il parvient à sauver ses troupes des colonnes républicaines et est proclamé général par ses hommes. Commandant en chef de l'armée catholique et royale du Morbihan, Cadoudal prend le contrôle de presque toutes les campagnes du département tandis que les Républicains ne conservent plus que les villes. Défenseur d'une chouannerie populaire, il s'oppose à son chef, Joseph de Puisaye et à la domination des officiers émigrés. Il signe la paix en 1796, puis reprend la guerre en 1798. Il renonce à prendre Vannes mais il s'empare de plusieurs petites villes à l'automne 1799, avant d'être tenu en échec à la bataille du pont du Loc'h. Après avoir signé un traité, il refuse le grade de général dans l'armée républicaine et s'oppose au premier consul Napoléon Bonaparte. Fait lieutenant-général et commandant des troupes royales de Bretagne, il trouve refuge en Angleterre à la suite de l'attentat de la rue Saint-Nicaise à Paris en 1800 commis par deux de ses officiers. Cadoudal regagne Paris en 1804, il y organise un complot visant à capturer ou tuer le premier consul avec une troupe d'hommes armés tandis que le général Pichegru est chargé de prendre la tête du gouvernement et de proclamer Louis XVIII. La conspiration est déjouée par la police de Fouché et les conspirateurs sont arrêtés. Jugé avec le général Moreau, Cadoudal est condamné à mort le 11 juin et guillotiné à Paris le 25 juin 1804 avec onze autres royalistes. Sa famille est anoblie par Louis XVIII et il est fait Maréchal de France à tite posthume. Le chevalet n'est pas à vendre. The stand is not for sale.           ___________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques
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