Chef projet confirmé
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Choisissez la robustesse des poêles AUBECQ ! AUBECQ, est une marque française fondée en 1917. Guidée par l’innovation, la qualité et le design, l’ambition de la marque est d’offrir à ses clients l’excellence en cuisine. Enseigne reconnue par les professionnels, AUBECQ propose des batteries de cuisson uniques, aux technologies brevetées, et toutes compatibles avec l’induction. 1 x Art culinaire GRAND CHEF n°1 Caractéristiques Couleur: Gris Matière: Inox Poignée longue surélevée en fonte d'inox, ne chauffe pas Fond bimatière ARTECH (Inox/Aluminium) capsulé thermo frappé pour permettre une répartition homogène de la chaleur. Compatible tous feux y compris induction Conçu et développé en France Dimensions Longueur: 20 cm 1 x Art culinaire GRAND CHEF n°2 Caractéristiques Couleur: Gris Matière: Inox Poignée longue surélevée en fonte d'inox, ne chauffe pas Fond bimatière ARTECH (Inox/Aluminium) capsulé thermo frappé pour permettre une répartition homogène de la chaleur. Compatible tous feux y compris induction Conçu et développé en France Dimensions Longueur: 30 cm Spécificités Inox: l'acier inoxydable dit inox est reconnu pour sa grande résistance aux chocs, au vieillissement ainsi qu'à la corrosion. Il possède la meilleure résistance au feu de tous les matériaux métalliques. Il est aussi hygiénique et facile d'entretien. Sa résistance à la corrosion lui permet de résister aux agressions des graisses alimentaires et vous pouvez le passer au lave-vaisselle. Pour finir, l'inox est recyclable à l'infini: inaltérable, il n'a aucun impact sur l'environnement. Livraison Le délai de livraison de ce produit vous sera confirmé dans votre panier. Lors de la livraison, il est conseillé de vérifier que le bon nombre de colis a été livré. Colis 1 x Art culinaire GRAND CHEF n°1 Longueur Largeur Hauteur Poids Colis n°1 41 cm 32 cm 26 cm 5 kg 1 x Art culinaire GRAND CHEF n°2 Longueur Largeur Hauteur Poids Colis n°1 54 cm 38 cm 37 cm 10 kg
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Adoptez ces couteaux ZENN dans votre quotidien, vous ne le regretterez pas ! Ces couteaux ZENN répondent aux usages culinaires exigeants: précision de coupe, solidité et confort en main pour un geste maîtrisé. Caractéristiques Couleur: Noir Lame japonaise Lame pleine soie Dimensions Couteau de chef: lame 20 cm Couteau Santoku: lame 17 cm Couteau à pain: lame 20 cm Livraison Le délai de livraison de ce produit vous sera confirmé dans votre panier. Réf. 135805
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Traditionnels, ces couteaux SURNATURAL vous seront toujours utiles en cuisine ! Ces couteaux SURNATURAL vous permettront d'être précis dans la coupe de vos aliments et deviendront un indispensable. Pour une panoplie complète, n'hésitez pas à associer ces couteaux aux couteaux Santoku et tout usage de la même collection. Caractéristiques Couleur: Argent Lame japonaise Pleine soie Dimensions Couteau du chef: lame 20 cm Couteau à pain: lame 20 cm Livraison Le délai de livraison de ce produit vous sera confirmé dans votre panier. Réf. 135813
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Optez pour la robustesse des casseroles AUBECQ ! AUBECQ, est une marque française fondée en 1917. Guidée par l’innovation, la qualité et le design, l’ambition de la marque est d’offrir à ses clients l’excellence en cuisine. Enseigne reconnue par les professionnels, AUBECQ propose des batteries de cuisson uniques, aux technologies brevetées, et toutes compatibles avec l’induction. Caractéristiques Couleur: Gris Graduation intérieure pour une facilité d'usage. Poignée longue surélevée en fonte d'inox, ne chauffe pas Fond bimatière ARTECH (Inox/Aluminium) capsulé thermo frappé pour permettre une répartition homogène de la chaleur. Compatible tous feux y compris induction Conçu et développé en France Dimensions Longueur: 14 cm Livraison Le délai de livraison de ce produit vous sera confirmé dans votre panier. Colis Longueur Largeur Hauteur Poids Colis n°1 34 cm 25 cm 23 cm 3 kg
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Choisissez la robustesse des poêles AUBECQ ! AUBECQ, est une marque française fondée en 1917. Guidée par l’innovation, la qualité et le design, l’ambition de la marque est d’offrir à ses clients l’excellence en cuisine. Enseigne reconnue par les professionnels, AUBECQ propose des batteries de cuisson uniques, aux technologies brevetées, et toutes compatibles avec l’induction. Caractéristiques Couleur: Gris Matière: Inox Poignée longue surélevée en fonte d'inox, ne chauffe pas Fond bimatière ARTECH (Inox/Aluminium) capsulé thermo frappé pour permettre une répartition homogène de la chaleur. Compatible tous feux y compris induction Conçu et développé en France Dimensions Longueur: 20 cm Spécificités Inox: l'acier inoxydable dit inox est reconnu pour sa grande résistance aux chocs, au vieillissement ainsi qu'à la corrosion. Il possède la meilleure résistance au feu de tous les matériaux métalliques. Il est aussi hygiénique et facile d'entretien. Sa résistance à la corrosion lui permet de résister aux agressions des graisses alimentaires et vous pouvez le passer au lave-vaisselle. Pour finir, l'inox est recyclable à l'infini: inaltérable, il n'a aucun impact sur l'environnement. Livraison Le délai de livraison de ce produit vous sera confirmé dans votre panier. Colis Longueur Largeur Hauteur Poids Colis n°1 41 cm 32 cm 26 cm 5 kg
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Choisissez la robustesse des poêles AUBECQ ! AUBECQ, est une marque française fondée en 1917. Guidée par l’innovation, la qualité et le design, l’ambition de la marque est d’offrir à ses clients l’excellence en cuisine. Enseigne reconnue par les professionnels, AUBECQ propose des batteries de cuisson uniques, aux technologies brevetées, et toutes compatibles avec l’induction. Caractéristiques Couleur: Gris Matière: Inox Poignée longue surélevée en fonte d'inox, ne chauffe pas Fond bimatière ARTECH (Inox/Aluminium) capsulé thermo frappé pour permettre une répartition homogène de la chaleur. Compatible tous feux y compris induction Conçu et développé en France Dimensions Longueur: 30 cm Spécificités Inox: l'acier inoxydable dit inox est reconnu pour sa grande résistance aux chocs, au vieillissement ainsi qu'à la corrosion. Il possède la meilleure résistance au feu de tous les matériaux métalliques. Il est aussi hygiénique et facile d'entretien. Sa résistance à la corrosion lui permet de résister aux agressions des graisses alimentaires et vous pouvez le passer au lave-vaisselle. Pour finir, l'inox est recyclable à l'infini: inaltérable, il n'a aucun impact sur l'environnement. Livraison Le délai de livraison de ce produit vous sera confirmé dans votre panier. Colis Longueur Largeur Hauteur Poids Colis n°1 54 cm 38 cm 37 cm 10 kg
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Choisissez la robustesse des poêles AUBECQ ! AUBECQ, est une marque française fondée en 1917. Guidée par l’innovation, la qualité et le design, l’ambition de la marque est d’offrir à ses clients l’excellence en cuisine. Enseigne reconnue par les professionnels, AUBECQ propose des batteries de cuisson uniques, aux technologies brevetées, et toutes compatibles avec l’induction. Caractéristiques Couleur: Gris Matière: Inox Graduation intérieure pour une facilité d'usage. Poignée longue surélevée en fonte d'inox, ne chauffe pas Fond bimatière ARTECH (Inox/Aluminium) capsulé thermo frappé pour permettre une répartition homogène de la chaleur. Compatible tous feux y compris induction Conçu et développé en France Dimensions Longueur: 30 cm Spécificités Inox: l'acier inoxydable dit inox est reconnu pour sa grande résistance aux chocs, au vieillissement ainsi qu'à la corrosion. Il possède la meilleure résistance au feu de tous les matériaux métalliques. Il est aussi hygiénique et facile d'entretien. Sa résistance à la corrosion lui permet de résister aux agressions des graisses alimentaires et vous pouvez le passer au lave-vaisselle. Pour finir, l'inox est recyclable à l'infini: inaltérable, il n'a aucun impact sur l'environnement. Livraison Le délai de livraison de ce produit vous sera confirmé dans votre panier. Colis Longueur Largeur Hauteur Poids Colis n°1 53 cm 37 cm 35 cm 10 kg
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Gravures des fondations des piles 5. 6, 7 et 8 du pont d’Orléans Gravures de 87 x 60 cm Sur les plans de Jean Hupeau, le suivi est le fait de Robert Soyer Les piles 5 et 6 sont faites en 1753, les 7 et 8 sont faites en 1754. Elles sont plus difficiles avec l’obligation de pieux plus longs. La rue Royale qui relie le pont au centre sera construite après la construction du pont et reste un axe central menant à la place de Jeanne d’arc A prendre à Tours ou expédition par mondial relay sous protection optimisée pour 8 €, règlement par chèque ou virement bancaire E.U. shipping pack link tracking number and insurance included, only bank transfer (paypal possible, add 4 €). Non european country, contact me Le vieux pont dit des tourelles avaient 19 arches et était gênant pour la naviguation et devenu vétuste. On décide de construire un pont de pierre. En 1748 on charge Soyer de sa conduite sous les ordres de Pitrou. Mais ce Pitrou meurt en 1750 alors que le projet est fait mais non réalisé. Ce projet sera remis en cause par Jean Hupeau son successeur qui consulte Soyer. Robert Soyer, 1717 - 1802, est ingénieur des ponts et chaussées français, qui s’est principalement illustré dans la construction du pont George V à Orléans, où il finit sa carrière comme Inspecteur général des turcies et levées. Ingénieur à la généralité de Tours, il est informé en 1748, par une lettre de Daniel-Charles Trudaine, qu'il est chargé de la conduite des travaux du pont d'Orléans, sous les ordres de Robert Pitrou. Après le décès de celui-ci, il est placé sous les ordres de Jean Hupeau jusqu'à la fin des travaux. Son manuscrit est donc un précieux document qui témoigne des méthodes de construction des ponts au XVIII e siècle, du degré d'évolution de l'art de l'ingénieur et de son rôle sur le chantier. L'ingénieur analyse et calcule le coût des différentes opérations, il établit les barèmes de temps et s'engage sur la voie française de l'organisation du travail de l'époque industrielle. Il veille au respect des plans et des devis qui sont les pièces contractuelles. Et si des difficultés se présentent, comme l'affaissement d'une pile, il doit imaginer une solution. C'est Robert Soyer qui suggère l'allègement des reins, établit les plans et les propose à son chef Jean Hupeau. Il est cependant clair que l'art de l'ingénieur n'a guère de base scientifique. Mais Robert Soyer prend des notes et illustre l'idée que le progrès technique est à base d'observations, d'expériences anarchiques et d'imagination. Et ce sont des observations consignées avec soin, combinées à la volonté de mathématisation du savoir de l'ingénieur, qui permettront, à la fin du XVIII e siècle, le passage à l'univers de la machine et de la précision. Ayant achevé sa mission au Pont d'Orléans et obtenu la réception de l'ouvrage, Robert Soyer, qui appréciait la vie orléanaise, obtint le privilège de demeurer dans cette région. Il y termina sa carrière comme Inspecteur général des turcies et levées si importantes le long de la Loire. Jean Hupeau, 1710- 1763, est un architecte et ingénieur des ponts et chaussées qui s’est illustré dans différents projets de différents ponts, dont le pont Royal d’ Orléans. Il a été successivement nommé en 1731 ingénieur de la généralité de Riom et plus tard de la généralité de Soissons. En 1742, il est nommé inspecteur des ponts et chaussées, et en 1754, premier ingénieur en remplacement de Germain Boffrand. L'art de Hupeau est reconnu. Il sera reçu académicien à l' Académie royale d'architecture en 1757. Il est mort en 1763 à la suite d'une longue maladie. En 1750, il rédigea le projet mis à exécution pour le pont d'Orléans. Le pont sera construit à 49 toises au-dessous de la tête d'aval de l'ancien pont; ceci permet de tracer, en parfait alignement, la Rue Royale qui débouche place du Martroi et, au sud, l'avenue Dauphine. Le plan de circulation est harmonieux. Il remet en cause le projet de Robert Pitrou et propose une disposition permettant des économies : ce sera 9 arches au lieu de 11, et une longueur de 165 toises au lieu de 189. Il adapte parfaitement l'ouvrage à sa destination et à son site. Il a le sens de l’esthétisme. Il retient le rapport cinq entre la portée des voûtes et la largeur des piles en majorant légèrement (5,5), il admet la forme des piles en nefs de bateau qui réduit le frottement des eaux et adopte le dessin en anses de panier à trois centres, pour les voûtes, parce que cela fait chanter les points d'appui. Pour les rampes, il choisit la valeur minimale. Le résultat est d'une grande noblesse et d'une simplicité qui l'engage à supprimer, en cours de travaux, l'obélisque prévu au devis. Les pavillons, les façades de la Rue Royale, également de sa main, sont de la même facture. Mais, alors que la réception du Pont Royal à Orléans devait être faite un an après leur entière perfection, les difficultés rencontrées conduisent à un report de deux années de cette échéance. Ainsi le constructeur Jean Hupeau qui décédait en 1763 à Paris laissait à son successeur le soin de réceptionner son œuvre majeure. Robert Soyer, 1717 - 1802, est ingénieur des ponts et chaussées français, qui s’est principalement illustré dans la construction du pont George V à Orléans, où il finit sa carrière comme Inspecteur général des turcies et levées. Ingénieur à la généralité de Tours, il est informé en 1748, par une lettre de Daniel-Charles Trudaine, qu'il est chargé de la conduite des travaux du pont d'Orléans, sous les ordres de Robert Pitrou. Après le décès de celui-ci, il est placé sous les ordres de Jean Hupeau jusqu'à la fin des travaux. Son manuscrit est donc un précieux document qui témoigne des méthodes de construction des ponts au XVIII e siècle, du degré d'évolution de l'art de l'ingénieur et de son rôle sur le chantier. L'ingénieur analyse et calcule le coût des différentes opérations, il établit les barèmes de temps et s'engage sur la voie française de l'organisation du travail de l'époque industrielle. Il veille au respect des plans et des devis qui sont les pièces contractuelles. Et si des difficultés se présentent, comme l'affaissement d'une pile, il doit imaginer une solution. C'est Robert Soyer qui suggère l'allègement des reins, établit les plans et les propose à son chef Jean Hupeau. Il est cependant clair que l'art de l'ingénieur n'a guère de base scientifique. Mais Robert Soyer prend des notes et illustre l'idée que le progrès technique est à base d'observations, d'expériences anarchiques et d'imagination. Et ce sont des observations consignées avec soin, combinées à la volonté de mathématisation du savoir de l'ingénieur, qui permettront, à la fin du XVIII e siècle, le passage à l'univers de la machine et de la précision. Ayant achevé sa mission au Pont d'Orléans et obtenu la réception de l'ouvrage, Robert Soyer, qui appréciait la vie orléanaise, obtint le privilège de demeurer dans cette région. Il y termina sa carrière comme Inspecteur général des turcies et levées si importantes le long de la Loire. Après de multiples problèmes le pont est terminé en juillet 1760 et sera inauguré par la marquise de Pompadour. Les humoristes du moment affirment l’incontestable solidité de l’ouvrage malgré les ennuis durand la construction puisque le pont a supporté…le plus lourd fardeau de France !
200 €
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Gravures des fondations des piles 5. 6, 7 et 8 du pont d’Orléans Gravures de 87 x 60 cm Sur les plans de Jean Hupeau, le suivi est le fait de Robert Soyer Les piles 5 et 6 sont faites en 1753, les 7 et 8 sont faites en 1754. Elles sont plus difficiles avec l’obligation de pieux plus longs. La rue Royale qui relie le pont au centre sera construite après la construction du pont et reste un axe central menant à la place de Jeanne d’arc A prendre à Tours ou expédition par mondial relay sous protection optimisée pour 8 €, règlement par chèque ou virement bancaire E.U. shipping pack link tracking number and insurance included, only bank transfer (paypal possible, add 4 €). Non european country, contact me Le vieux pont dit des tourelles avaient 19 arches et était gênant pour la naviguation et devenu vétuste. On décide de construire un pont de pierre. En 1748 on charge Soyer de sa conduite sous les ordres de Pitrou. Mais ce Pitrou meurt en 1750 alors que le projet est fait mais non réalisé. Ce projet sera remis en cause par Jean Hupeau son successeur qui consulte Soyer. Robert Soyer, 1717 - 1802, est ingénieur des ponts et chaussées français, qui s’est principalement illustré dans la construction du pont George V à Orléans, où il finit sa carrière comme Inspecteur général des turcies et levées. Ingénieur à la généralité de Tours, il est informé en 1748, par une lettre de Daniel-Charles Trudaine, qu'il est chargé de la conduite des travaux du pont d'Orléans, sous les ordres de Robert Pitrou. Après le décès de celui-ci, il est placé sous les ordres de Jean Hupeau jusqu'à la fin des travaux. Son manuscrit est donc un précieux document qui témoigne des méthodes de construction des ponts au XVIII e siècle, du degré d'évolution de l'art de l'ingénieur et de son rôle sur le chantier. L'ingénieur analyse et calcule le coût des différentes opérations, il établit les barèmes de temps et s'engage sur la voie française de l'organisation du travail de l'époque industrielle. Il veille au respect des plans et des devis qui sont les pièces contractuelles. Et si des difficultés se présentent, comme l'affaissement d'une pile, il doit imaginer une solution. C'est Robert Soyer qui suggère l'allègement des reins, établit les plans et les propose à son chef Jean Hupeau. Il est cependant clair que l'art de l'ingénieur n'a guère de base scientifique. Mais Robert Soyer prend des notes et illustre l'idée que le progrès technique est à base d'observations, d'expériences anarchiques et d'imagination. Et ce sont des observations consignées avec soin, combinées à la volonté de mathématisation du savoir de l'ingénieur, qui permettront, à la fin du XVIII e siècle, le passage à l'univers de la machine et de la précision. Ayant achevé sa mission au Pont d'Orléans et obtenu la réception de l'ouvrage, Robert Soyer, qui appréciait la vie orléanaise, obtint le privilège de demeurer dans cette région. Il y termina sa carrière comme Inspecteur général des turcies et levées si importantes le long de la Loire. Jean Hupeau, 1710- 1763, est un architecte et ingénieur des ponts et chaussées qui s’est illustré dans différents projets de différents ponts, dont le pont Royal d’ Orléans. Il a été successivement nommé en 1731 ingénieur de la généralité de Riom et plus tard de la généralité de Soissons. En 1742, il est nommé inspecteur des ponts et chaussées, et en 1754, premier ingénieur en remplacement de Germain Boffrand. L'art de Hupeau est reconnu. Il sera reçu académicien à l' Académie royale d'architecture en 1757. Il est mort en 1763 à la suite d'une longue maladie. En 1750, il rédigea le projet mis à exécution pour le pont d'Orléans. Le pont sera construit à 49 toises au-dessous de la tête d'aval de l'ancien pont; ceci permet de tracer, en parfait alignement, la Rue Royale qui débouche place du Martroi et, au sud, l'avenue Dauphine. Le plan de circulation est harmonieux. Il remet en cause le projet de Robert Pitrou et propose une disposition permettant des économies : ce sera 9 arches au lieu de 11, et une longueur de 165 toises au lieu de 189. Il adapte parfaitement l'ouvrage à sa destination et à son site. Il a le sens de l’esthétisme. Il retient le rapport cinq entre la portée des voûtes et la largeur des piles en majorant légèrement (5,5), il admet la forme des piles en nefs de bateau qui réduit le frottement des eaux et adopte le dessin en anses de panier à trois centres, pour les voûtes, parce que cela fait chanter les points d'appui. Pour les rampes, il choisit la valeur minimale. Le résultat est d'une grande noblesse et d'une simplicité qui l'engage à supprimer, en cours de travaux, l'obélisque prévu au devis. Les pavillons, les façades de la Rue Royale, également de sa main, sont de la même facture. Mais, alors que la réception du Pont Royal à Orléans devait être faite un an après leur entière perfection, les difficultés rencontrées conduisent à un report de deux années de cette échéance. Ainsi le constructeur Jean Hupeau qui décédait en 1763 à Paris laissait à son successeur le soin de réceptionner son œuvre majeure. Robert Soyer, 1717 - 1802, est ingénieur des ponts et chaussées français, qui s’est principalement illustré dans la construction du pont George V à Orléans, où il finit sa carrière comme Inspecteur général des turcies et levées. Ingénieur à la généralité de Tours, il est informé en 1748, par une lettre de Daniel-Charles Trudaine, qu'il est chargé de la conduite des travaux du pont d'Orléans, sous les ordres de Robert Pitrou. Après le décès de celui-ci, il est placé sous les ordres de Jean Hupeau jusqu'à la fin des travaux. Son manuscrit est donc un précieux document qui témoigne des méthodes de construction des ponts au XVIII e siècle, du degré d'évolution de l'art de l'ingénieur et de son rôle sur le chantier. L'ingénieur analyse et calcule le coût des différentes opérations, il établit les barèmes de temps et s'engage sur la voie française de l'organisation du travail de l'époque industrielle. Il veille au respect des plans et des devis qui sont les pièces contractuelles. Et si des difficultés se présentent, comme l'affaissement d'une pile, il doit imaginer une solution. C'est Robert Soyer qui suggère l'allègement des reins, établit les plans et les propose à son chef Jean Hupeau. Il est cependant clair que l'art de l'ingénieur n'a guère de base scientifique. Mais Robert Soyer prend des notes et illustre l'idée que le progrès technique est à base d'observations, d'expériences anarchiques et d'imagination. Et ce sont des observations consignées avec soin, combinées à la volonté de mathématisation du savoir de l'ingénieur, qui permettront, à la fin du XVIII e siècle, le passage à l'univers de la machine et de la précision. Ayant achevé sa mission au Pont d'Orléans et obtenu la réception de l'ouvrage, Robert Soyer, qui appréciait la vie orléanaise, obtint le privilège de demeurer dans cette région. Il y termina sa carrière comme Inspecteur général des turcies et levées si importantes le long de la Loire. Après de multiples problèmes le pont est terminé en juillet 1760 et sera inauguré par la marquise de Pompadour. Les humoristes du moment affirment l’incontestable solidité de l’ouvrage malgré les ennuis durand la construction puisque le pont a supporté…le plus lourd fardeau de France ! Expédition par mondial relay sous bonnes protections épaises et assurance. Règlement par chèque ou virement bancaire. paypal possible (+3 €) Shipping packlink mondial relay, insurance and tracking number included, bank transfer (paypal possible add 5 €) Non european country contact me
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Gravures des fondations des piles 5. 6, 7 et 8 du pont d’Orléans Gravures de 87 x 60 cm Sur les plans de Jean Hupeau, le suivi est le fait de Robert Soyer Les piles 5 et 6 sont faites en 1753, les 7 et 8 sont faites en 1754. Elles sont plus difficiles avec l’obligation de pieux plus longs. La rue Royale qui relie le pont au centre sera construite après la construction du pont et reste un axe central menant à la place de Jeanne d’arc A prendre à Tours ou expédition par mondial relay sous protection optimisée pour 8 €, règlement par chèque ou virement bancaire E.U. shipping pack link tracking number and insurance included, only bank transfer (paypal possible, add 4 €). Non european country, contact me Le vieux pont dit des tourelles avaient 19 arches et était gênant pour la naviguation et devenu vétuste. On décide de construire un pont de pierre. En 1748 on charge Soyer de sa conduite sous les ordres de Pitrou. Mais ce Pitrou meurt en 1750 alors que le projet est fait mais non réalisé. Ce projet sera remis en cause par Jean Hupeau son successeur qui consulte Soyer. Robert Soyer, 1717 - 1802, est ingénieur des ponts et chaussées français, qui s’est principalement illustré dans la construction du pont George V à Orléans, où il finit sa carrière comme Inspecteur général des turcies et levées. Ingénieur à la généralité de Tours, il est informé en 1748, par une lettre de Daniel-Charles Trudaine, qu'il est chargé de la conduite des travaux du pont d'Orléans, sous les ordres de Robert Pitrou. Après le décès de celui-ci, il est placé sous les ordres de Jean Hupeau jusqu'à la fin des travaux. Son manuscrit est donc un précieux document qui témoigne des méthodes de construction des ponts au XVIII e siècle, du degré d'évolution de l'art de l'ingénieur et de son rôle sur le chantier. L'ingénieur analyse et calcule le coût des différentes opérations, il établit les barèmes de temps et s'engage sur la voie française de l'organisation du travail de l'époque industrielle. Il veille au respect des plans et des devis qui sont les pièces contractuelles. Et si des difficultés se présentent, comme l'affaissement d'une pile, il doit imaginer une solution. C'est Robert Soyer qui suggère l'allègement des reins, établit les plans et les propose à son chef Jean Hupeau. Il est cependant clair que l'art de l'ingénieur n'a guère de base scientifique. Mais Robert Soyer prend des notes et illustre l'idée que le progrès technique est à base d'observations, d'expériences anarchiques et d'imagination. Et ce sont des observations consignées avec soin, combinées à la volonté de mathématisation du savoir de l'ingénieur, qui permettront, à la fin du XVIII e siècle, le passage à l'univers de la machine et de la précision. Ayant achevé sa mission au Pont d'Orléans et obtenu la réception de l'ouvrage, Robert Soyer, qui appréciait la vie orléanaise, obtint le privilège de demeurer dans cette région. Il y termina sa carrière comme Inspecteur général des turcies et levées si importantes le long de la Loire. Jean Hupeau, 1710- 1763, est un architecte et ingénieur des ponts et chaussées qui s’est illustré dans différents projets de différents ponts, dont le pont Royal d’ Orléans. Il a été successivement nommé en 1731 ingénieur de la généralité de Riom et plus tard de la généralité de Soissons. En 1742, il est nommé inspecteur des ponts et chaussées, et en 1754, premier ingénieur en remplacement de Germain Boffrand. L'art de Hupeau est reconnu. Il sera reçu académicien à l' Académie royale d'architecture en 1757. Il est mort en 1763 à la suite d'une longue maladie. En 1750, il rédigea le projet mis à exécution pour le pont d'Orléans. Le pont sera construit à 49 toises au-dessous de la tête d'aval de l'ancien pont; ceci permet de tracer, en parfait alignement, la Rue Royale qui débouche place du Martroi et, au sud, l'avenue Dauphine. Le plan de circulation est harmonieux. Il remet en cause le projet de Robert Pitrou et propose une disposition permettant des économies : ce sera 9 arches au lieu de 11, et une longueur de 165 toises au lieu de 189. Il adapte parfaitement l'ouvrage à sa destination et à son site. Il a le sens de l’esthétisme. Il retient le rapport cinq entre la portée des voûtes et la largeur des piles en majorant légèrement (5,5), il admet la forme des piles en nefs de bateau qui réduit le frottement des eaux et adopte le dessin en anses de panier à trois centres, pour les voûtes, parce que cela fait chanter les points d'appui. Pour les rampes, il choisit la valeur minimale. Le résultat est d'une grande noblesse et d'une simplicité qui l'engage à supprimer, en cours de travaux, l'obélisque prévu au devis. Les pavillons, les façades de la Rue Royale, également de sa main, sont de la même facture. Mais, alors que la réception du Pont Royal à Orléans devait être faite un an après leur entière perfection, les difficultés rencontrées conduisent à un report de deux années de cette échéance. Ainsi le constructeur Jean Hupeau qui décédait en 1763 à Paris laissait à son successeur le soin de réceptionner son œuvre majeure. Robert Soyer, 1717 - 1802, est ingénieur des ponts et chaussées français, qui s’est principalement illustré dans la construction du pont George V à Orléans, où il finit sa carrière comme Inspecteur général des turcies et levées. Ingénieur à la généralité de Tours, il est informé en 1748, par une lettre de Daniel-Charles Trudaine, qu'il est chargé de la conduite des travaux du pont d'Orléans, sous les ordres de Robert Pitrou. Après le décès de celui-ci, il est placé sous les ordres de Jean Hupeau jusqu'à la fin des travaux. Son manuscrit est donc un précieux document qui témoigne des méthodes de construction des ponts au XVIII e siècle, du degré d'évolution de l'art de l'ingénieur et de son rôle sur le chantier. L'ingénieur analyse et calcule le coût des différentes opérations, il établit les barèmes de temps et s'engage sur la voie française de l'organisation du travail de l'époque industrielle. Il veille au respect des plans et des devis qui sont les pièces contractuelles. Et si des difficultés se présentent, comme l'affaissement d'une pile, il doit imaginer une solution. C'est Robert Soyer qui suggère l'allègement des reins, établit les plans et les propose à son chef Jean Hupeau. Il est cependant clair que l'art de l'ingénieur n'a guère de base scientifique. Mais Robert Soyer prend des notes et illustre l'idée que le progrès technique est à base d'observations, d'expériences anarchiques et d'imagination. Et ce sont des observations consignées avec soin, combinées à la volonté de mathématisation du savoir de l'ingénieur, qui permettront, à la fin du XVIII e siècle, le passage à l'univers de la machine et de la précision. Ayant achevé sa mission au Pont d'Orléans et obtenu la réception de l'ouvrage, Robert Soyer, qui appréciait la vie orléanaise, obtint le privilège de demeurer dans cette région. Il y termina sa carrière comme Inspecteur général des turcies et levées si importantes le long de la Loire. Après de multiples problèmes le pont est terminé en juillet 1760 et sera inauguré par la marquise de Pompadour. Les humoristes du moment affirment l’incontestable solidité de l’ouvrage malgré les ennuis durand la construction puisque le pont a supporté…le plus lourd fardeau de France ! Expédition par mondial relay sous bonnes protections épaises et assurance. Règlement par chèque ou virement bancaire. paypal possible (+3 €) Shipping packlink mondial relay, insurance and tracking number included, bank transfer (from euro zone paypal possible add 5 €) Non european country contact me
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Optez pour cette sauteuse revêtue AUBECQ: parfaite pour devenir un vrai chef ! AUBECQ, est une marque française fondée en 1917. Guidée par l’innovation, la qualité et le design, l’ambition de la marque est d’offrir à ses clients l’excellence en cuisine. Enseigne reconnue par les professionnels, AUBECQ propose des batteries de cuisson uniques, aux technologies brevetées, et toutes compatibles avec l’induction. Caractéristiques Couleur: Gris Matière: Inox Avec couvercle Poignée longue surélevée en fonte d'inox. Ne chauffe pas Revêtement autograph2 de Dupont. Fond bimatière ARTECH (Inox/Aluminium) capsulé thermo frappé pour permettre une répartition homogène de la chaleur. Compatible tous feux y compris induction Conçu et développé en France Dimensions Longueur: 28 cm Spécificités Inox: l'acier inoxydable dit inox est reconnu pour sa grande résistance aux chocs, au vieillissement ainsi qu'à la corrosion. Il possède la meilleure résistance au feu de tous les matériaux métalliques. Il est aussi hygiénique et facile d'entretien. Sa résistance à la corrosion lui permet de résister aux agressions des graisses alimentaires et vous pouvez le passer au lave-vaisselle. Pour finir, l'inox est recyclable à l'infini: inaltérable, il n'a aucun impact sur l'environnement. Livraison Le délai de livraison de ce produit vous sera confirmé dans votre panier. Colis Longueur Largeur Hauteur Poids Colis n°1 55 cm 54 cm 32 cm 15 kg
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Optez pour cette sauteuse revêtue AUBECQ: parfaite pour devenir un vrai chef ! AUBECQ, est une marque française fondée en 1917. Guidée par l’innovation, la qualité et le design, l’ambition de la marque est d’offrir à ses clients l’excellence en cuisine. Enseigne reconnue par les professionnels, AUBECQ propose des batteries de cuisson uniques, aux technologies brevetées, et toutes compatibles avec l’induction. Caractéristiques Couleur: Gris Matière: Inox Avec couvercle Poignée longue surélevée en fonte d'inox. Ne chauffe pas Revêtement autograph2 de Dupont. Fond bimatière ARTECH (Inox/Aluminium) capsulé thermo frappé pour permettre une répartition homogène de la chaleur. Compatible tous feux y compris induction Conçu et développé en France Dimensions Longueur: 24 cm Spécificités Inox: l'acier inoxydable dit inox est reconnu pour sa grande résistance aux chocs, au vieillissement ainsi qu'à la corrosion. Il possède la meilleure résistance au feu de tous les matériaux métalliques. Il est aussi hygiénique et facile d'entretien. Sa résistance à la corrosion lui permet de résister aux agressions des graisses alimentaires et vous pouvez le passer au lave-vaisselle. Pour finir, l'inox est recyclable à l'infini: inaltérable, il n'a aucun impact sur l'environnement. Livraison Le délai de livraison de ce produit vous sera confirmé dans votre panier. Colis Longueur Largeur Hauteur Poids Colis n°1 48 cm 46 cm 29 cm 11 kg
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Traditionnel, ce lot de couteaux SURNATURAL vous sera toujours utile en cuisine ! Ce lot de 2 couteaux SURNATURAL vous permettra d'être précis dans la coupe de vos aliments et deviendra un indispensable. Pour une panoplie complète, n'hésitez pas à associer ces couteaux aux couteaux de chef et à pain de la même collection. Caractéristiques Couleur: Argent Lame japonaise Pleine soie Dimensions Couteau Santoku: lame 17 cm Couteau tout usage: lame 13 cm Livraison Le délai de livraison de ce produit vous sera confirmé dans votre panier. Réf. 135811
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Adoptez ces couteaux ZENN dans votre quotidien, vous ne le regretterez pas ! Ces couteaux ZENN répondent aux usages culinaires exigeants: précision de coupe, solidité et confort en main pour un geste maîtrisé. Caractéristiques Couleur: Noir Lame japonaise Lame pleine soie Dimensions Couteau de chef: lame 20 cm Couteau Santoku: lame 17 cm Couteau à pain: lame 20 cm Livraison Le délai de livraison de ce produit vous sera confirmé dans votre panier. Réf. 135807
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Adoptez ces couteaux ZENN dans votre quotidien, vous ne le regretterez pas ! Ces couteaux ZENN répondent aux usages culinaires exigeants: précision de coupe, solidité et confort en main pour un geste maîtrisé. Caractéristiques Couleur: Noir Lame japonaise Lame pleine soie Dimensions Couteau de chef: lame 20 cm Couteau Santoku: lame 17 cm Couteau à pain: lame 20 cm Livraison Le délai de livraison de ce produit vous sera confirmé dans votre panier. Réf. 135809
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