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Chef service batiments adjoint


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Paris (Paris)
Lettre de Auguste-Nicolas Vaillant, capitaine commandant la corvette La Bonite, dans un voyage de circumnavigation en 1835 Adressée à M. Coulier 25 avril 1836 Dimensions: 195 x 260 mm environ Dans cette lettre, écrite depuis Montevideo (Paraguay) Vaillant communique à Coulier des renseignements sur les feux à éclipses de l'île de Raya et Santa Cruz. La lettre présente aussi une note manuscrite de Coulier: "Mr. le capitaine Vaillant, a fait le tour du monde commandant la corvette la Bonite; il a touché aux Canaries, à Rio, Valparaiso, Manille, Singapour, Calcutta, Pondichéry,  [...]" Auguste-Nicolas Vaillant (né le 2 juillet 1793 à Paris et décédé dans la même ville le 1er novembre 1858) est un vice-amiral, marin français qui fut également Ministre de la Marine. Méritant, en mars 1834, un témoignage de satisfaction pour avoir apporté des améliorations aux dispositions des mâtures, il est nommé au commandement de la Bonite avec laquelle il entreprend un voyage autour du monde dont les buts étaient à la fois scientifiques, politiques et commerciaux. Parti de Toulon en février 1835, il rentra à Brest en novembre 1837 après avoir visité le Brésil, la Plata, le Chili, le Pérou, les îles Hawaii, les Philippines, la Chine, l’Annam, la Cochinchine, la Malaisie, les Indes, La Réunion, Le Cap et Sainte-Hélène. Il en rapporte de très importants renseignements politiques et commerciaux, qui lui valent les remerciements du ministère des Affaires étrangères, et une masse d'observations scientifiques qui est publiée en dix volumes avec la collaboration des savants membres de l'expédition (Gaudichaud, Darondeau, Eydoux). Promu Capitaine de vaisseau en mai 1838, Vaillant commande l’année suivante la Cornaline et le fort de Saint-Jean d'Ulloa au Mexique. Commandant l'Atalante à la station du Brésil et de la Plata, chef d'état-major de l'amiral Dupotet, il commande un moment à Montevideo, entre en conflit avec son chef et rentra en France pour prendre en 1841 le commandement du Santi Pierri à la station du Levant. Membre adjoint du Conseil des travaux en avril 1845, préfet maritime de Rochefort en avril 1848, membre du Conseil d'Amirauté en juillet, contre-amiral en mai 1849, il est nommé en août commandant en second de l'escadre d'évolutions avec pavillon sur le Jemmapes. Ministre de la Marine de janvier à avril 1851, il est nommé en avril gouverneur Général des Antilles et commandant en chef de la division des Antilles et du Mexique. En septembre suivant, ses attributions administratives furent limitées à la Martinique. Revenu en France sur la Sybille en août 1853, membre titulaire du Conseil d'amirauté, il est promu vice-amiral en août 1854 et sollicite vainement un embarquement pour participer aux opérations de Crimée. Vaillant quitte le service actif en juillet 1858 et meurt à Paris le 1er novembre suivant. Il est inhumé au cimetière du Père-Lachaise (source: Wikipédia)
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Vannes (Morbihan)
breizh.antiques.art@gmail.com 06 47 07 70 65 34 Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne à partir de 1880). Frappée en 1929. Graveur:  G Prud'homme. Dimension: 68 mm. Poids:  159 g. Métal : bronze. Poinçon sur la tranche (mark on the edge) : corne d'abondance + bronze . Envoi rapide et soigné.   Ferdinand Jean Marie Foch est né dans une famille bourgeoise catholique à Tarbes. Ferdinand est le sixième des sept enfants2 de Bertrand Jules Napoléon Foch (1803-1880) et de Sophie Dupré (1812-1883). Son père est « percepteur » (fonction parallèle à celle de trésorier-payeur général) originaire du Comminges (Gascogne)3. Quant à sa mère, elle est la fille de Jacques-Romain Dupré (Loriol, 1771 - Argelès-de-Bigorre, 26 janvier 18524), retraité capitaine, chevalier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII), chevalier de l'Empire, et de Marie-Anne Ducot. Sophie avait un frère, le chevalier Germain Dupré (10 janvier 1811-« Argelès-de-Bigorre5 » - Montpellier, ✝ 11 décembre 1893), médecin et sénateur. Maison natale du maréchal Foch à Tarbes. Au gré des affectations administratives de son père, il effectue sa scolarité à Tarbes, à Rodez, ou à Lyon. Il fréquente les collèges jésuites de Saint-Étienne et Saint-Clément de Metz. Il est chassé de ce dernier établissement pendant la guerre de 1870, le collège étant occupé par un bataillon de Poméraniens. Il passe les concours à Nancy et en novembre 1871 il intègre l'École polytechnique. Le 5 novembre 1883, il se marie avec Julie Bienvenüe (1860-1950) à l'église Saint-Michel de Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor), une petite-cousine de Fulgence Bienvenüe, créateur du métro de Paris. Le couple aura quatre enfants6: Foch en uniforme de colonel du 35e régiment d'artillerie. Marie Foch (1885-1972), épouse de Paul Bécourt, capitaine au 26e bataillon de chasseurs (✝ 22 août 1914), mort pour la France à Joppécourt7 (Meurthe-et-Moselle) et postérité dont Jean Bécourt-Foch (1911-1944), compagnon de la Libération; Anne Foch (1887-1981), épouse d'Alex Fournier (1879-1929), postérité; Henry Fournier-Foch, colonel (1912-2006); Eugène Jules Germain Foch (19 juin 1888 à Montpellier - 30 juin 1888 à Montpellier); Germain Jules Louis Foch (23 décembre 1889 à Montpellier - 22 août 1914), aspirant au 131e régiment d'infanterie, mort pour la France à Ville-Houdlémont (Meurthe-et-Moselle)8 (On peut remarquer une tragique ironie de l'histoire, le général perd son fils et son gendre, tués à l'ennemi, le même jour, moins de trois semaines après le début du conflit). À la déclaration de guerre contre l'Allemagne, en 1870, il s'engage au 4e régiment d'infanterie qui ne combat pas. À la fin de la guerre franco-prussienne, il décide de rester dans l'armée et intègre l'École polytechnique, choisit l'École d'application de l'artillerie et du génie dont il sort en 1873 comme officier d'artillerie. Il est affecté comme lieutenant au 24e régiment d'artillerie à Tarbes. En 1876, il suit au sein de l'École de cavalerie de Saumur le stage des officiers d'artillerie montée. Le 30 septembre 1878, il devient capitaine. Il arrive à Paris le 24 septembre 1879 comme adjoint au service du personnel du dépôt central de l'artillerie. Il entre ensuite à l'École supérieure militaire comme élève, effectue en 1885 le stage de l'école au 16e corps d'armée et devient lui-même professeur à cette école de 1895 à 1901. Il y est professeur d'histoire militaire, de stratégie et tactique générale, et devient l'un des théoriciens français de l'offensive. Il se fait connaître par ses analyses critiques de la guerre franco-prussienne et des guerres napoléoniennes. Il poursuit son ascension dans l'armée: promu lieutenant-colonel en 1898, il est nommé colonel en 1903, chef de corps du 35e régiment d'artillerie à Vannes, puis général de brigade (1907). Il assume le commandement de l'École de Guerre de 1907 à 1911, année où il est nommé général de division; puis en 1913, général commandant de corps d'armée, à la tête du 20e corps d'armée de Nancy. Elizabeth Greenhalgh considère que les promotions de cet homme ambitieux sont davantage dues à ses qualités de diplomate et à son sens politique qu'à ses talents militaires puisqu'il fait son début de carrière comme officier d'État-major, fonction par ailleurs méprisée par les officiers du rang9. The stand is not for sale. Le support n'est pas à vendre. _______________________________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques
85 €
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Vannes (Morbihan)
breizh.antiques.art@gmail.com 06 47 07 70 65 29 Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne d'abondance à partir de 1880). Médaille frappée vers 1929. Belle patine, quelques petits traces d'oxydation sans gravité, ainsi que de petits chocs sur la tranche. Graveur: G Granger. Dimensions: 68 mm. Poids: 174 g. Métal:bronze. Poinçon sur la tranche (mark on the edge) : Corne d'abondance + bronze . Envoi rapide et soigné. Ferdinand Jean Marie Foch est né dans une famille bourgeoise catholique à Tarbes. Ferdinand est le sixième des sept enfants2 de Bertrand Jules Napoléon Foch (1803-1880) et de Sophie Dupré (1812-1883). Son père est « percepteur » (fonction parallèle à celle de trésorier-payeur général) originaire du Comminges (Gascogne)3. Quant à sa mère, elle est la fille de Jacques-Romain Dupré (Loriol, 1771 - Argelès-de-Bigorre, 26 janvier 18524), retraité capitaine, chevalier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII), chevalier de l'Empire, et de Marie-Anne Ducot. Sophie avait un frère, le chevalier Germain Dupré (10 janvier 1811-« Argelès-de-Bigorre5 » - Montpellier, ✝ 11 décembre 1893), médecin et sénateur. Maison natale du maréchal Foch à Tarbes. Au gré des affectations administratives de son père, il effectue sa scolarité à Tarbes, à Rodez, ou à Lyon. Il fréquente les collèges jésuites de Saint-Étienne et Saint-Clément de Metz. Il est chassé de ce dernier établissement pendant la guerre de 1870, le collège étant occupé par un bataillon de Poméraniens. Il passe les concours à Nancy et en novembre 1871 il intègre l'École polytechnique. Le 5 novembre 1883, il se marie avec Julie Bienvenüe (1860-1950) à l'église Saint-Michel de Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor), une petite-cousine de Fulgence Bienvenüe, créateur du métro de Paris. Le couple aura quatre enfants6: Foch en uniforme de colonel du 35e régiment d'artillerie.    Marie Foch (1885-1972), épouse de Paul Bécourt, capitaine au 26e bataillon de chasseurs (✝ 22 août 1914), mort pour la France à Joppécourt7 (Meurthe-et-Moselle) et postérité dont Jean Bécourt-Foch (1911-1944), compagnon de la Libération;     Anne Foch (1887-1981), épouse d'Alex Fournier (1879-1929), postérité; Henry Fournier-Foch, colonel (1912-2006);     Eugène Jules Germain Foch (19 juin 1888 à Montpellier - 30 juin 1888 à Montpellier);     Germain Jules Louis Foch (23 décembre 1889 à Montpellier - 22 août 1914), aspirant au 131e régiment d'infanterie, mort pour la France à Ville-Houdlémont (Meurthe-et-Moselle)8 (On peut remarquer une tragique ironie de l'histoire, le général perd son fils et son gendre, tués à l'ennemi, le même jour, moins de trois semaines après le début du conflit). À la déclaration de guerre contre l'Allemagne, en 1870, il s'engage au 4e régiment d'infanterie qui ne combat pas. À la fin de la guerre franco-prussienne, il décide de rester dans l'armée et intègre l'École polytechnique, choisit l'École d'application de l'artillerie et du génie dont il sort en 1873 comme officier d'artillerie. Il est affecté comme lieutenant au 24e régiment d'artillerie à Tarbes. En 1876, il suit au sein de l'École de cavalerie de Saumur le stage des officiers d'artillerie montée. Le 30 septembre 1878, il devient capitaine. Il arrive à Paris le 24 septembre 1879 comme adjoint au service du personnel du dépôt central de l'artillerie. Il entre ensuite à l'École supérieure militaire comme élève, effectue en 1885 le stage de l'école au 16e corps d'armée et devient lui-même professeur à cette école de 1895 à 1901. Il y est professeur d'histoire militaire, de stratégie et tactique générale, et devient l'un des théoriciens français de l'offensive. Il se fait connaître par ses analyses critiques de la guerre franco-prussienne et des guerres napoléoniennes. Il poursuit son ascension dans l'armée: promu lieutenant-colonel en 1898, il est nommé colonel en 1903, chef de corps du 35e régiment d'artillerie à Vannes, puis général de brigade (1907). Il assume le commandement de l'École de Guerre de 1907 à 1911, année où il est nommé général de division; puis en 1913, général commandant de corps d'armée, à la tête du 20e corps d'armée de Nancy. Elizabeth Greenhalgh considère que les promotions de cet homme ambitieux sont davantage dues à ses qualités de diplomate et à son sens politique qu'à ses talents militaires puisqu'il fait son début de carrière comme officier d'État-major, fonction par ailleurs méprisée par les officiers du rang. Le chevalet n'est pas à vendre. The stand is not for sale.   ____________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques
162 €
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France
Problemes economiques et sociaux contemporains - L'essentiel en 55 fiches - Categories B et A Rene Guimet Auteur: Rene Guimet Editeur: VUIBERT Broché: 176 pages Format: Broche Edition: VUIBERT Publication: 03/05/2010 Collection: Tempo concours Dimensions: 19 x 13 x 1 Langue: Francais Publier en: Français Languages d'origine: Français Tout le programme des problemes economiques et sociaux contemporains pour reussir les concours Adjoint des cadres hospitaliers; Attache d'administration hospitaliere; Chef de service de police municipale; Controleur des impots; Controleur du travail; Controleur du Tresor; Directeur d'hopital; Entree en IRA; Inspecteur des douanes, impots et Tresor; Redacteur territorial SAENES; Secretaire administratif. Pour augmenter vos chances de reussite l'essentiel a retenir, des schemas et des graphiques, les entrainements corriges et les complements sur internet. Super pour retrouver des bases oubliees Les fiches sont tres bien faites, elles vont a l'essentiel, niveau BAC pas plus par contre, donc penser a completer avec un ouvrage qui va plus loin Pour une 1er appproche des politiques economiques Livre tres complet et un format tres agreable pour ceux qui veulent demarret l'etudes des politiques economiques ou reviser cette matiere dans l'urgence avant les concours.   Les clients ayant acheté cet article ont également acheté Th?mes de culture g?n?rale - Economie, Politique et Social - Concours et examens 2015 Th?mes de culture g?n?rale - Sanitaire et Social - Concours et examens 2015 Les questions sociales aux concours - Edition 2014-2015 Classement: Livres > Thèmes > Etudes supérieures > Université > Droit - Sciences juridiques Mot Clef: Concours administratifs Droit Droit public Universitaire. Para-universitaire. Adulte
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