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Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Pictures below and english translation . Photographies au -dessus. Médaille Camaret-sur-Aigues par M.LVaucluse Provence  241g 80mm medal 铜牌. QG MEDAILLE Medalla Medaglia Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne à partir de 1880). 1970. Quelques rayures et oxydations minimes. consultez attentivement les photos ci-dessous merci Graveur: M L  Avers: (Photographie) Revers :(Photographie). Dimension: 80  mm. Poids:  241 g. Métal: bronze . Poinçon: Corne + bronze + 1970. Vous pouvez consulter notre boutique pour consulter nos nombreuses autres médailles. Reduction des frais d'envoi pour les achats groupés Photos ci-dessus. ----------------- Bronze medal of the Paris Mint (Punch horn from 1880). 1970. Some scratches and minor oxidation. look carefully at the pictures below thank you Writer: M L   Avers (Photography) Reverse: (photography). Dimension: 80 mm. Weight: 241 g. Metal: bronze. Stamp: Bronze Horn + + 1970... ------------------------------ You can visit our shop to see our many other medals. Reduction of shipping for bulk purchases Photos above. Envoi rapide et soigné. ____________________________________________________________ More photos ? Contact us Pour des photos supplémentaires contactez nous par email   breizh.antiques.art@gmail.com 0033 (0) 645210548 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antique. Camaret-sur-Aigues Pour les articles homonymes, voir Camaret.  Camaret-sur-Aygues redirige ici. Camaret-sur-Aigues Place de l'église Blason Administration Pays  France Région Provence-Alpes-Côte d'Azur Département Vaucluse Arrondissement Avignon Canton Orange-Est Intercommunalité Communauté de communes Aygues Ouvèze en Provence Maire Mandat Philippe de Beauregard (FN) 2014 -2020 Code postal 84850 Code commune 84029 Démographie Gentilé Camaretois Population municipale 4 596 hab. (2011) Densité 262 hab./km2 Géographie Coordonnées 44° 09′ 51″ Nord 4° 52′ 28″ Est    Altitude 72 m (min. : 56 m) (max. : 97 m) Superficie 17,53 km2 Localisation Géolocalisation sur la carte : France Camaret-sur-Aigues * Voir sur la carte administrative du Vaucluse * Voir sur la carte topographique du Vaucluse * Voir la carte administrative de France Liens Site web http://www.camaret.org modifier   Camaret-sur-Aigues est une commune française, située dans le département de Vaucluse en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Sommaire * 1 Dénomination * 2 Géographie * 2.1 Accès et transports * 2.2 Relief * 2.3 Géologie * 2.4 Sismicité * 2.5 Hydrographie * 2.6 Climat * 3 Histoire * 3.1 Antiquité * 3.2 Moyen Âge * 3.3 Renaissance * 3.4 Période moderne * 3.5 Période contemporaine * 3.6 Toponymie * 3.7 Héraldique * 4 Politique et administration * 4.1 Tendances politiques et résultats * 4.2 Liste des maires * 4.3 Intercommunalité * 4.4 Fiscalité * 5 Démographie * 6 Économie * 6.1 Agriculture * 6.2 Industrie * 6.3 Tourisme * 7 Équipements et services * 7.1 Enseignement * 7.2 Sports * 7.3 Santé * 8 Vie locale * 8.1 Cultes * 8.2 Écologie et recyclage * 9 Lieux et monuments * 10 Notes et références * 10.1 Jumelages * 10.2 Notes * 10.3 Références * 11 Bibliographie * 12 Pour approfondir * 12.1 Articles connexes * 12.2 Liens externes Dénomination Le nom officiel de la commune, défini par le Code officiel géographique de l'INSEE, est Camaret-sur-Aigues. Toutefois, il est parfois fait usage, sans aucun caractère officiel, de l'appellation « Camaret-sur-Aygues ». Géographie La commune de Camaret-sur-Aigues est située à 6,5 kilomètres au nord-est de la ville d'Orange. Accès et transports Les routes départementales 23, 93 et 975 arrivent au bourg alors que la route départementale 43 le contourne par l'ouest. L'autoroute la plus proche est l'autoroute A7. Relief La commune est relativement plate avec une différence de 41 mètres seulement entre le point le plus haut de la commune, à l'extrême est de celle-ci, et le point le plus bas, situé à l'ouest-sud-ouest du bourg, en bordure de commune, au niveau de la mayre de Raphaëlis. Géologie Le sol est principalement constitué d'alluvions quaternaires. Sismicité Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments1. Hydrographie L'Aygues, lieu de baignades L'Aygues passe au nord du bourg. Plusieurs canaux (canal de Carpentras et canal du moulin) et petits cours d'eau comme les mayres de Mourelette, de Raphaëlis, d'Ancione passent aussi sur la commune. Climat La commune, située dans la zone d’influence du climat méditerranéen, est soumise à un rythme à quatre temps : deux saisons sèches, dont une brève en hiver, une très longue et accentuée en été  ; deux saisons pluvieuses, en automne, avec des pluies abondantes sinon torrentielles, et au printemps. Les étés sont chauds et secs, liés à la remontée en altitude des anticyclones subtropicaux, entrecoupés d’épisodes orageux parfois violents. Les hivers sont doux. Les précipitations sont peu fréquentes et la neige rare2. Depuis 2009, la ville d'Orange dispose d'une station météorologique en ville3. Données météorologiques d'Orange de 1961 à 1990 Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne (°C) 1,3 2,6 4,4 7,2 10,8 14,4 17 16,3 13,8 9,7 4,9 1,9 8,7 Température moyenne (°C) 5,4 6,9 9,4 12,5 16,4 20,2 23,3 22,5 19,4 14,7 9,1 5,7 13,8 Température maximale moyenne (°C) 9,4 11,3 14,4 17,8 22,1 26,1 29,6 28,8 25 19,7 13,3 9,5 18,9 Ensoleillement (h) 132 137,1 192,5 230,4 264,6 298,9 345,3 310,7 237,6 187,1 135,2 123,8 2 595,3 Précipitations (mm) 44,4 57,5 61,1 58,9 72,4 43,6 27,8 56,3 67,6 97,4 57,7 48,9 693,4 Source : 4 Diagramme climatique J F M A M J J A S O N D       9.4 1.3 44.4       11.3 2.6 57.5       14.4 4.4 61.1       17.8 7.2 58.9       22.1 10.8 72.4       26.1 14.4 43.6       29.6 17 27.8       28.8 16.3 56.3       25 13.8 67.6       19.7 9.7 97.4       13.3 4.9 57.7       9.5 1.9 48.9 Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm Vaucluse Canton d'Orange moyenne nationale Ensoleillement 2 595 h/an 2 800 h/an 1 973 h/an Pluie 693 mm/an 700 mm/an (sur 80 jours) 770 mm/an Neige 4 j/an 14 j/an Vent 110 j/an essentiellement du Mistral Orage 23 j/an 22 j/an Brouillard 31 j/an 40 j/an Mois Jan Fev Mar Avr Mai Jui Jui Aou Sep Oct Nov Dec Records de températures minimales °C (Année) -13,4 (1985) -14,5 (1956) -9,7 (2005) -2,9 (1970) 1,3 (1979) 5,7 (1984) 9,0 (1953) 8,3 (1974) 3,1 (1974) -1,1 (1973) -5,4 (1952) -14,4 (1962) Records de températures maximales °C (Année) 20,3 (2002) 23,0 (1960) 27,2 (1990) 30,7 (2005) 34,5 (2001) 38,1 (2003) 40,7 (1983) 42,6 (2003) 35,1 (1966) 29,6 (1985) 24,6 (1970) 20,2 (1983) Source: http://www.linternaute.com/ville/ville/climat/25721/orange.shtml Histoire Antiquité Au cours du XIXe siècle, des fouilles avaient découvert du numéraire, des urnes funéraires, des lampes à huile, des vases dits lacrymatoires et des miroirs d'argent poli. Une pierre tumulaire épigraphe intégrée dans la façade d'une maison avait été descellée et vendue. Elle portait l'inscription S. P. SEVERIUS SIBI ET SVIS VIVUS FECIT. Avaient aussi été répertoriés des vestiges d'un aqueduc qui fournissait Orange en eau de source5. Au cours du XXe siècle, des fouilles menées plus scientifiquement, ont permis de retrouver au quartier des Marelles un fragment d'autel épigraphe, et trois sépultures à tegulæ sur le site des Garriguettes6. Moyen Âge Porte des remparts médiévaux Durant tout le bas Moyen Âge et jusqu'à la Révolution, Camaret dépendit de la baronnie de Sérignan. Elle avait d'abord appartenu à la principauté d'Orange puisque Raymond VII de Toulouse, comte de Provence, l'avait donné en fief, dès 1237, à Raymond des Baux. Ce fief fut donné comme dot à Tiburge d'Orange lors de son mariage avec Adhémar de Poitiers, comte de Valentinois. Celle-ci, en 1324, accorda l'élection de deux syndics pour représenter la communauté. Leurs successeurs, le 7 mai  1416, signèrent un prix fait pour que fussent édifiés de nouveaux remparts5. Le chevalier Guillaume Fabri fut coseigneur de Camaret-sur-Aigues jusqu'à ce qu'il fût condamné au chapitre des Lattes7. En 1346, ce fut l'ancien Baile de Pélissanne (1345), Raymond Martini qui fut chargé de vendre ses biens. Vers 1346, Guillaume d'Orange fut seigneur de Camaret et de Sérignan. Noble et puissant, Jean de Baux, sire de Camaret et de Sérignan eut à son service comme juge ordinaire de ses deux terres, en 1369, un noble bachelier, originaire d'Orange, Bérenger Sadoyrani, juge d'Arles (1372) et de Sisteron (1387)8. Renaissance En 1495, le Conseil de Ville obtint de la baronnie l'autorisation que chaque habitant puisse puisse cultiver une éminée de jardin exempte de dîme sur les fruits et les herbages5. Les guerres de religions sévirent pendant une décennie. Camaret ayant été pris par les religionnaires, le 5 janvier  1563 6, le capitaine pontifical Fabrice Serbelloni vient mettre le siège. Après quatre jours de canonnade, ses troupes investirent le village et passèrent par le fil de l'épée 100 prisonniers. Une nouvelle attaques des calvinistes de Nyons eut lieu en 1573. Mais leur homme de main qui devait leur ouvrir les portes fut démasqué et ils se retirèrent. Il n'en fut pas de même deux ans plus tard. Le 3 mai  1375, les huguenots d'Orange forcèrent la place mais durent rapidement se retirer face aux troupes envoyées par le cardinal d'Armagnac9. Ces attaques ont permis de savoir qu'en 1565, les remparts s'ouvraient par trois portes : la Grande Porte ou Portail Bérenguier, dite aussi des Ursulines ; la Porte Jaubert ou Portalet ; la Porte Carbonnel. Celles du Portail et de Carbonnel étaient précédées d'un pont levis. Les affrontements finis, deux autres portes furent ouvertes, celle de la Brèche et celle de la Tour10. Ce fut en 1599 que les deux syndics du village changèrent leur titre pour prendre celui de consul5. Période moderne Le 12 août 1793 fut créé le département de Vaucluse, constitué des districts d'Avignon et de Carpentras, mais aussi de ceux d'Apt et d'Orange, qui appartenaient aux Bouches-du-Rhône, ainsi que du canton de Sault, qui appartenait aux Basses-Alpes. Article détaillé : Histoire de Vaucluse. Dans le milieu du XIXe siècle, le village, grâce à l'irrigation, avait diversifié son agriculture avec maraîchage, huile d'olive, mûriers pour l'élevage des vers à soie et safran. Toute une petite et moyenne industrie, liée à la force motrice de l'eau, s'était développée : blanchisserie, moulins à farine, fabrique de chapeaux et moulinage de la soie5. Période contemporaine Camaret, grâce à l'implantation, de la coopérative agricole « La cabanon » s'est acquis la réputation de capitale nationale de la tomate de conserve11. Toponymie La forme la plus ancienne est de Camareto, attestée en 1137. Ce toponyme suggère un thème pré-celtique *kam-ar avec le sens de hauteur arrondie12. Héraldique Article détaillé : Armorial des communes de Vaucluse. Les armes peuvent se blasonner ainsi : D'or à l'ormeau arraché de sinople, chargé de trois oranges de gueules ordonnées 2 et 1, au chef du même chargé de la lettre C capitale du champ.13 Politique et administration Tendances politiques et résultats Article connexe : Élections municipales de 2014 dans le Vaucluse. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Liste des maires Hôtel de Ville Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 1983 2008 Paul Durieu 14 UMP   mars 2008 mars 2014 Marlène Thibaud 14 PS   Les données manquantes sont à compléter. Intercommunalité La commune fait partie de la Communauté de communes Aygues Ouvèze en Provence. Celle-ci a été créée le 31  décembre  1992. Fiscalité L'imposition des ménages et des entreprises à Camaret-sur-Aigues en 200915 Taxe part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale Taxe d'habitation (TH) 7,73 % 0,00 % 7,55 % 0,00 % Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 20,44 % 0,00 % 10,20 % 2,36 % Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 57,11 % 0,00 % 28,96 % 8,85 % Taxe professionnelle (TP) 00,00 % 17,85 % 13,00 % 3,84 % La Part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable. La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 201016). Démographie En 2011, la commune comptait 4 596 habitants. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans, contrairement aux autres communes qui ont une enquête par sondage chaque annéeNote 1,Note 2.            Évolution de la population  ] 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 2 020 2 035 2 121 2 228 2 216 2 288 2 289 2 430 2 553            Évolution de la population  ], suite (1) 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 2 625 2 595 2 498 2 401 2 278 2 053 1 965 1 890 1 738            Évolution de la population  ], suite (2) 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1 633 1 700 1 785 1 523 1 544 1 562 1 516 1 500 1 581            Évolution de la population  ], suite (3) 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 - 1 794 1 955 2 255 2 468 3 121 3 553 4 207 4 596 - De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes  ; pour les dates suivantes : population municipale. (Sources : Ldh/EHESS /Cassini jusqu'en 199917 puis Insee à partir de 200418.) Histogramme de l'évolution démographique Économie Agriculture Vue aérienne du terroir de Camaret et Sérignan-du-Comtat Au cours du XIXe siècle, face à un Plan de Dieu « plaine presque inculte », les autorités et les élus pensèrent utile et judicieux d'envisager son irrigation sans considérer qu'il y avait là un terroir viticole de première importance5. Aujourd'hui, le vignoble de la commune produit des vins Côtes-du-rhône villages classés en plan-de-dieu (AOC), au même titre que Jonquières, Travaillan et Violès. Les vins qui ne sont pas en appellation d'origine contrôlée peuvent revendiquer, après agrément, le label Vin de pays de la Principauté d'Orange Industrie L'entreprise agro-alimentaire Conserves de Provence, premier opérateur français de production de tomate transformée, a été racheté en 2004 par le groupe chinois Xinjiang Chalkis Co.Ltd qui s'est porté acquéreur de 55 % des parts 19; le reste appartenant à la SA Le Cabanon, ancienne coopérative agricole, pour 7 millions d'euros20, en 200421 qui est propriétaire de l'usine de Camaret20. Depuis, la majorité des tomates qui passent par l'usine sont importées de Chine20,22. L'accord de vente stipulait que la production chinoise représenterait les deux tiers de l'activité des Conserves de Provence dans un premier temps, avant d'augmenter progressivement tout en garantissant pendant 10 ans l'écoulement de la production des agriculteurs français de la coopérative21. Tourisme Comme beaucoup d'autres communes viticoles du Vaucluse, l'œnotourisme est présent dans l'économie locale. Ce n'est cependant pas la seule forme de tourisme, en particulier grâce à sa proximité d'Orange et de ses monuments et festival, mais aussi du mont Ventoux, d'Avignon, etc. Équipements et services Enseignement Quatre écoles primaires : - trois publiques : La Souleïado (maternelle); Frédéric Mistral (CP, CE1, CE2) ; Les Amandiers23 (CE2, CM1, CM2) - une privée : Saint-Andéol Ensuite les élèves vont au collège Arausio Orange 24 puis le lycée Polyvalent régional de l'Arc, toujours à Orange25. Sports L'on trouve plusieurs clubs à vocation sportive (Football, motoball, volleyball, handball, basketball, twirling bâton) sur la commune. Plusieurs stades, tennis, etc. Santé La communes disposent d'une pharmacie, ainsi que de médecins, dentistes, infirmiers et kinésithérapeutes. Il n'y a, par contre, pas d'hôpital, le plus proche étant sur Orange. Intérieur de l'église paroissiale de Camaret Vie locale Cultes La paroisse catholique de Camaret fait partie du Doyenné d'Orange -Bollène 26. Placée sous le vocable de saint Andéol, elle date du début du XVe siècle et a été totalement restaurée en 1780 10. Dans l'édifice religieux précédant, se trouvait une vierge noire. Lors d'une visite épiscopale de l'évêque d'Orange, François de Roussel de Tilly, en 1780, elle horrifia le prélat qui fut choqué par son indécence. Il avait constaté que la Vierge ne tenait pas son fils dans ses bras mais sur son giron. Il ordonna que cette statue romane fut brûlée et que ces cendres fussent enterrées dans le cimetière10. Écologie et recyclage La collecte et le traitement des déchets des ménages et déchets assimilés, la gestion de l'assainissement collectif, la lutte contre les nuisances sonores, le contrôle de la qualité de l'air et la protection et mise en valeur de l'environnement font partie des compétences de la Communauté de communes Aygues Ouvèze en Provence. Lieux et monuments * Église paroissiale "Saint-Andéol", XVIe siècle, située au cœur du bourg. * Chapelle Saint-Cœur-de-Marie, proche du cimetière, à l'ouest du bourg. * Chapelle Saint-Andéol, derrière a Mairie * Le Ravelin : Ancienne porte des remparts, surmonté d'un campanile et d'une horloge * La Tour Sarrazine (XIIIe siècle) * Chapelle Saint-Cœur-de-Marie * Le Ravelin * La Tour Sarrazine * Chapelle Saint-Andéol Notes et références Jumelages *  Travacò Siccomario  (Italie) Notes * ↑ Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par la loi no 2002-276 du 27 février 2002  ], dite « loi de démocratie de proximité » relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V « des opérations de recensement », afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises. Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006. * ↑ Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, et afin de permettre une comparaison correcte entre des recensements espacés d’une période de cinq ans, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant aux années 2006, 2011, 2016, etc., ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee. Références * ↑ Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48 * ↑ La climatologie du Vaucluse  ] * ↑ Station météo d'Orange  ] * ↑ Relevés météorologiques d'Orange, (Vaucluse), de 1961 à 1990  ] * ↑ a, b, c, d, e et f Jules Courtet, op. cit., p. 114. * ↑ a et b Robert Bailly, op. cit., p. 124. * ↑ AD du 13, série B1593f131v. * ↑ Chiffoleau, Les justices, p.289 * ↑ Jules Courtet, op. cit., p. 115. * ↑ a, b et c Robert Bailly, op. cit., p. 125. * ↑ Patrick Saletta (sous la direction de), Haute Provence et Vaucluse - Les Carnets du Patrimoine, Les Guides Masson, Paris, 2000, p. 207. * ↑ Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Éd. Larousse, 1968, p. 1725. * ↑ Armorial des communes du Vaucluse * ↑ a et b ledauphine.com - Camaret-sur-Aygues : Marlène Thibaud détrône Paul Durieu  ] * ↑ « Impots locaux à Camaret-sur-Aigues »  ], taxes.com * ↑ Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010  ] (Légifrance) * ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui  ] sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales. * ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006  ], 2011  ] * ↑ Les tomates de Provence passées au chinois  ], Commerce international, 2 juillet 2004 * ↑ a, b et c La Tomate globale  ], CQFD n°25, 15 juillet 2005 * ↑ a et b Pierre Haski, Les Chinois croquent la tomate transformée française  ], Libération, 12 avril 2004 * ↑ 86 : Chalkis ou la mondialisation expliquée aux enfants. Comédie géographique en quatre actes  ], Café-géo, « Les lettres de Cassandre », par Pierre Gentelle, 15 décembre 2008 * ↑ Site de l'école Les Amandiers de Camaret  ] * ↑ « Carte scolaire du Vaucluse »  ], Conseil Général de Vaucluse * ↑ « Site du lycée de l'Arc »  ], Académie Aix-Marseille,‎ 2010 * ↑ Diocèses en Vaucluse  ] Bibliographie * Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique du département du Vaucluse, Avignon, 1876. * Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, Éd. A. Barthélemy, Avignon, 1986. (ISBN  2903044279) Pour approfondir Sur les autres projets Wikimedia : * Camaret-sur-Aigues, sur Wikimedia Commons Articles connexes * Liste des communes de Vaucluse * Plan de Dieu (Vaucluse) Liens externes * Site officiel de la ville de Camaret-sur-Aigues   v  · d  · m Communes de la communauté de communes Aygues Ouvèze en Provence   v  · d  · m Communes du canton d’Orange-Est   v  · d  · m Communes de Vaucluse * Portail de Vaucluse * Portail des communes de France Catégories  : * Commune de Vaucluse * Ancien chef-lieu de canton de la Drôme * Ancien chef-lieu de canton des Bouches-du-Rhône | Menu de navigation * Créer un compte * Se connecter * Article * Discussion * Lire * Modifier * Modifier le code * Historique * Accueil * Portails thématiques * Article au hasard * Contact Contribuer * Débuter sur Wikipédia * Aide * Communauté * Modifications récentes * Faire un don Imprimer / exporter * Créer un livre * Télécharger comme PDF * Version imprimable Outils * Pages liées * Suivi des pages liées * Importer un fichier * Pages spéciales * Adresse de cette version * Information sur la page * Élément sur Wikidata * Citer cette page Autres langues * Català * Cebuano * Deutsch * English * Español * Euskara * Italiano * Latina * Lumbaart * Malagasy * Bahasa Melayu * Nederlands * Occitan * Polski * Piemontèis * Português * Română * Русский * Srpskohrvatski / српскохрватски * Simple English * Slovenčina * Српски / srpski * Svenska * Українська * Tiếng Việt * Volapük * Winaray * 中文 Modifier les liens * Dernière modification de cette page le 26 mai 2014 à 17:31. * Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons paternité partage à l’identique; d’autres conditions peuvent s’appliquer. 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breizh.antiques.art@gmail.com. http://stores.shop..fr/breizh-antiques 15 Médaille en bronze argenté. Avec sa boite. Graveur:  A déterminer . Dimension: 62 mm. Poids: 138 g. Métal: bronze. Poinçon sur la tranche (mark on the edge) : bronze + Balme . Envoi rapide et soigné. Le support utilisé pour présenter la médaille n'est pas à vendre. The stand used for the medal presented is not for sale.   ______________________________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Voves Pour les articles homonymes, voir Voves cendré. Cet article est une ébauche concernant une commune d'Eure-et-Loir. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) Le bandeau {{ébauche}} peut être enlevé et l’article évalué comme étant au stade Bon début quand il comporte assez de renseignements encyclopédiques concernant la commune. Si vous avez un doute, l'atelier de lecture du projet Communes de France est à votre disposition pour vous aider. Consultez également la page d'aide à la rédaction d'un article de commune. Voves Administration Pays  France Région Centre-Val de Loire Département Eure-et-Loir Arrondissement Chartres Canton Voves (chef-lieu) Intercommunalité Communauté de communes de la Beauce vovéenne Maire Mandat Marc Guerrini (UDI) 2014 -2020 Code postal 28150 Code commune 28422 Démographie Gentilé Vovéens Population municipale 3 091 hab. (2012) Densité 94 hab./km2 Géographie Coordonnées 48° 16′ 22″ Nord 1° 37′ 38″ Est Altitude Min. 139 m – Max. 156 m Superficie 32,98 km2 Localisation Géolocalisation sur la carte : France Voves * Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire * Voir sur la carte topographique d'Eure-et-Loir * Voir la carte administrative de France Liens Site web Site officiel modifier   Voves est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire. Ses habitants se nomment les Vovéens. Sommaire * 1 Géographie * 1.1 Lieux dits * 1.2 Communes limitrophes * 2 Histoire * 2.1 Paléolithique * 2.2 La fibule de Voves * 2.3 Les fortifications de Voves * 2.4 Maison du Temple de Voves * 2.5 Le camp de Voves (XXe siècle) * 2.5.1 Le camp aujourd'hui * 3 Blasonnement * 4 Politique et administration * 4.1 Tendances politiques et résultats * 4.2 Liste des maires * 5 Démographie * 6 Jumelages * 7 Lieux et monuments * 8 Personnalités liées à la commune * 9 Cadre de vie * 10 Articles connexes * 11 Liens externes * 12 Notes Géographie Lieux dits * Villarceaux * Foinville * Soignolles * Genonville * Yerville * Sazeray * Lhopiteau Communes limitrophes Carte de Voves et des communes limitrophes. Histoire Paléolithique Un diagnostic fait à Voves a livré une petite série lithique attribuable au paléolithique final. L’intérêt du site réside aussi dans la présence d’ossements d’aurochs, conservés au contact entre les limons et un niveau de marnes sous-jacent. La fibule de Voves Découverte en 1969 à l'occasion de travaux dans un jardin privé du quartier de la Poste, à 1,60 m de profondeur environ, cette fibule est en cuivre émaillé et a l'aspect d'une roue à huit rayons, au moyeu épais de 1,4 cm. Son diamètre est de 5,5 cm. Les couleurs sont encore très vives. Le moyeu est vert clair et bleu. Au-dessus, sont représentées des « fleurs», aux pétales bleu foncé et blancs dont le centre est turquoise. Elles sont prises dans une pâte vert clair. L'émail des rayons est alternativement bleu et rouge. Quant au contour du bijou, il est constitué d'une très fine mosaïque bleu foncé et blanche, sertie dans une pâte vert clair. Le travail est d'une minutie extraordinaire. La datation, en l'absence d'un contexte sérieux, est délicate. L’abbé Nouel, dans son ouvrage Les Origines gallo-romaines du Sud du Bassin parisien, a publié une fibule ornée d'émaux trouvée à Bazoches-les-Hautes (Eure-et-Loir), qu'il date du IIe ou IIIe siècle ap. J.-C., et qui présente de grandes ressemblances avec celle de Voves. Il s'agit, peut-être, d'une fabrication d'inspiration ou de tradition celtique, œuvre d'un atelier gaulois. Les fortifications de Voves Voves par Louis Boudan, 1696. « Vue du bourg de Voves. En Beauce, sur le grand chemin de Chartres à Orléans, a une lieu de Beauvillier. 1696 » Depuis le XIVe siècle, la présence continuelle de gens d’armes et d’arbalétriers dans la région de Chartres est attestée. En août 1387, le bourg de Voves était victime de brigandages, semble-t-il récurrent dans cette partie de la Beauce, à tel point que le roi de France, Charles VI envoya le Bègue de Villaines pour délivrer le bourg de ces brigands. Le chef de ces troupes de brigands n’était autre que Gaucher de Chartres, frère de Philippe, seigneur de Chartres et capitaine de Chartres en 1380. Après cette intervention, il rendit le fort de Voves avec tous les biens qui y étaient dans le cadre d’une transaction qui fut passée avec les chanoines et notamment Pierre Guette, chanoine nommé à la prébende de Voves en 1385. Il est cependant impossible de savoir si les fortifications de Voves furent rétablies telles qu’elles existaient avant leur destruction par Gaucher de Chartres même s’il est certain qu’elles n’existaient plus au commencement du règne de Louis XIII (en 1610). À cette époque, une effervescence régnait et une ligue imposante s’était formée contre la régente Marie de Médicis. La Beauce a été victime des dégradations commises durant les guerres de religion et de la ligue. En avril 1614, les habitants de Voves adressent une requête au Chapitre, seigneur temporel du bourg, pour demander le rétablissement des fortifications. La permission accordée le jour même par le Chapitre, fut aussitôt adressée au roi avec la requête des habitants et Louis XIII ne fit pas attendre sa sanction en envoyant des lettres-patentes octroyant de « faire clore, fermer et environner de fossés, murs, tours, tourelles, boulevers, ravins, esperons et ponts-levis le-dit bourg et village de Voves ». Pendant plusieurs décennies, le calme semble être revenu dans le bourg de Voves. En 1642, un premier incident, répertorié par le curé Gendron dans le registre de l’état-civil du bourg, eu lieu avec des soldats attaquant les habitants qui s’étaient réfugiés dans l’église pour se protéger. Seuls 39 maisons subsistèrent après un incendie. En janvier 1659, les habitants sont de nouveau victimes de la violence de gens d’armes. Ces derniers demandèrent la démolition des murailles, désarmèrent les habitants puis profanèrent l’église et la clôture du cimetière. Ils empêchèrent aussi le vicaire perpétuel de porter les sacrements aux malades. Début février 1659, une expertise eut lieu : la voûte de l’église menaçait de ruine, la clôture et les portes du cimetière avaient été démolies. On se contenta alors de faire à l’église les réparations indispensables et le bourg fut privé pour toujours de ses fortifications. Passionné par l’histoire de France, Roger de Gaignières (1644 -1715) amasse en près d’un demi-siècle une collection considérable de manuscrits historiques, de portraits et de documents originaux. Dans cette entreprise, Roger de Gaignières ne se contente pas de collectionner des documents existants, il en constitue une grande partie accompagné notamment par le copiste et dessinateur, Louis Boudan. Ils parcourent la France du nord afin de relever des tombeaux, des épitaphes et des vues topographiques. En 1696, Louis Boudan réalise cette très jolie estampe du bourg de Voves, ci-contre, dont on peut voir en avant-plan un moulin, puis le village encerclé par une enceinte de protection. L’église « de l’ange gardien, paroisse du bourg », majestueuse, est au centre de la vue. La partie iconographique de ce fonds qu’Henri Bouchot publie en 1891 dans son Inventaire des dessins exécutés pour Roger de Gaignières est conservée au département des Estampes et des Manuscrits de la BNF. Maison du Temple de Voves L'ancienne maison du Temple de Voves fut désignée, après que les Hospitaliers en eurent pris possession, sous le nom de maison de « l'Hopitau », ainsi qu'elle est mentionnée dans le procès-verbal de la visite prieurale de 1495  : « La ferme du Temple de Vausves, aujourd'hui l'Hopitau, où y a chappelle, fondée de saint Jehan, chargée tous les moys d'une messe et où a III ou IIII cens arpens de terre et maison pour le fermier et toute jurisdicion ». La maison de Voves fut détruite pendant les guerres du XVe siècle. Une partie des terres fut réunie à la maison de Sours, et une autre partie donnée à cens et à rente perpétuelle. Le camp de Voves (XXe siècle)  Inscrit MH (2004)1. Entre le 29 janvier 1939 et le 8 février, plus de 2 000 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant les troupes de Franco, arrivent en Eure-et-Loir. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (le camp de Lucé et la prison de Châteaudun rouverte pour l’occasion), 53 villages sont mis à contribution2, dont Voves3. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont désarmés et retenus dans le Sud de la France), sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré4. Une partie des réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, mais en décembre, 922 ont préféré rester et sont rassemblés à Dreux et Lucé5. Article détaillé : Retirada. Le camp de Voves 6 a été bâti en 1939 pour accueillir un centre d'instruction de la route. Il est utilisé en 1940 et 1941 par l'armée allemande pour le regroupement de prisonniers de guerre français. À la fin de 1941, les autorités françaises cherchent à déplacer le camp d'Aincourt, dans l'actuel département du Val-d'Oise, où sont internés depuis octobre 1940 des militants communistes de la région parisienne. C'est dans ce but que l'armée d'occupation accepte de restituer à l'administration française le camp de Voves. Le 5 janvier 1942, un premier groupe d'internés arrive d'Aincourt à Voves pour remettre les lieux en état. Durant les mois d'avril et de mai suivants, des arrivées massives marquent le début du fonctionnement réel du camp. Les premiers internés viennent non seulement du camp d'Aincourt mais aussi de ceux de Gaillon, dans l'Eure, et du camp de Châteaubriant, en Loire-Inférieure. D'autres transferts suivront, notamment en provenance des camps de Rouillé, dans la Vienne, d'Écrouves, en Meurthe-et-Moselle, et de Pithiviers, dans le Loiret. La grande majorité des internés est constituée de « politiques », principalement des militants et sympathisants communistes, mais quelques-uns sont, pour reprendre le vocabulaire de l'époque, des « indésirables », essentiellement des étrangers, et des « droits communs », trafiquants du marché noir ou repris de justice. L'histoire du camp est marquée par l'importance du rôle joué par la direction politique communiste, bien sûr clandestine, qui, dans le but de former des cadres politiques et militaires pour la Résistance, crée une véritable université et organise des représentations théâtrales et des compétitions sportives, mais aussi, de façon plus dramatique, par les prélèvements d'otages et les transferts d'internés vers les camps de concentration d'Auschwitz et de Mauthausen, enfin par plusieurs évasions spectaculaires. Dans la nuit du 5 au 6 mai 1944, quarante-deux internés s'évadent par un tunnel de cent quarante-huit mètres de long, creusé à partir de la baraque des douches et qui descend à deux mètres de profondeur pour passer sous la clôture du camp. Un détachement de SS prend alors le contrôle du camp et, le 9 mai, la totalité des internés est transférée au camp de Royallieu, puis, quelques semaines plus tard, dans le camp de concentration de Neuengamme, près de Hambourg. Il n'y aura que peu de survivants… D'août 1944 à 1947, le camp est à nouveau utilisé, cette fois pour accueillir des prisonniers de guerre allemands. Le camp aujourd'hui Le site du camp est aujourd'hui un lieu de mémoire, entretenu par un Comité du souvenir. Il regroupe une baraque musée, un Mémorial, un wagon du type de ceux ayant servi à la déportation des internés, divers souvenirs du camp et un arboretum. Blasonnement Les armoiries de Voves se blasonnent ainsi : D’azur au râteau levé d’argent, au moulin à vent d'or brochant sur le manche, accosté de deux gerbes de blé du même. Création Conseil Français d'Héraldique Politique et administration Tendances politiques et résultats Article connexe : Élections municipales de 2014 en Eure-et-Loir. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Liste des maires Liste des maires à partir de 1945 Période Identité Étiquette Qualité mai 1945 mai 1983 Roger Gommier     mai 1983 mai 2001 André Coeuret     mai 2001 mai 2008 Maryvonne Genin     2008 … Marc Guerrini UDI   Démographie            Évolution de la population  ] 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1 044 1 173 1 163 1 136 1 256 1 315 1 283 1 303 1 436            Évolution de la population  ], suite (1) 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1 468 1 514 1 670 1 845 1 736 1 913 1 960 1 996 2 023            Évolution de la population  ], suite (2) 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 2 021 2 070 2 081 1 903 2 019 2 070 2 017 2 161 2 110            Évolution de la population  ], suite (3) 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2012 2 352 2 506 2 619 2 834 2 785 2 928 2 910 2 910 3 091 De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes  ; pour les dates suivantes : population municipale. (Sources : Ldh/EHESS /Cassini jusqu'en 19997 puis Insee à partir de 20048.) Histogramme de l'évolution démographique Jumelages  Stroncone  (Italie) depuis le 14 juillet 2007 Lieux et monuments * Église Saint-Lubin (XIIe s., XVe s., XVIe s.). * Fontaine Saint-Lubin. * Dolmen (à proximité de la fontaine Saint-Lubin). * Site de l'ancien camp de prisonniers de guerre puis camp d'internement. Personnalités liées à la commune * Hugues Capet (né vers 939-941, mort en 996), roi des Francs  ; * François Gendron (1618-1688), vicaire de Voves (frère du curé Jacques Gendron), missionnaire au Mexique et dans les Indes où il acquit de grandes connaissances dans la flore ; guérisseur réputé notamment pour soigner les cancers, il fut choisi par Louis XIV pour soigner le cancer de sa mère Anne d'Autriche ; * Claude Deshayes-Gendron (1663-1750), docteur en médecine (petit-neveu de François Gendron) ; * Philippe Alliot (1954-), pilote automobile. Cadre de vie Ville fleurie : deux fleurs au Concours des villes et villages fleuris 9. Articles connexes * Liste des monuments historiques d'Eure-et-Loir * Liste des communes d'Eure-et-Loir * Liste des anciennes communes d'Eure-et-Loir Liens externes Sur les autres projets Wikimedia : * Voves, sur Wikimedia Commons * Voves, sur le Wiktionnaire * Site officiel * Voves sur le site de l'Insee Notes * ↑ « Ancien camp d'internement de Voves »  ], base Mérimée, ministère français de la Culture * ↑ Jeanine Sodigné-Loustau, « L'Accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre  ] », Matériaux pour l'histoire de notre temps. 1996, no 44. p. 43. * ↑ Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 46. * ↑ Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 43-44. * ↑ Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 47. * ↑ Stéphane Fourmas, Le centre de séjour surveillé de Voves (Eure-et-Loir), janvier 1942-mai 1944., mémoire de maîtrise d'Histoire, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne,‎ 1999, 220 p. * ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui  ] sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales. * ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006  ], 2008  ], 2012  ]. * ↑ Villes et villages fleuris - Eure-et-Loir  ]   v  · m Communes de la communauté de communes de la Beauce vovéenne   v  · m Communes du canton de Voves * Portail d’Eure-et-Loir * Portail des communes de France Catégories  : * Commune d'Eure-et-Loir * Commune du canton de Voves * Commune de la 4e circonscription d'Eure et Loir * Commune de l'arrondissement de Chartres | Menu de navigation * Créer un compte * Se connecter * Article * Discussion * Lire * Modifier * Modifier le code * Historique * Accueil * Portails thématiques * Article au hasard * Contact Contribuer * Débuter sur Wikipédia * Aide * Communauté * Modifications récentes * Faire un don Imprimer / exporter * Créer un livre * Télécharger comme PDF * Version imprimable Outils * Pages liées * Suivi des pages liées * Importer un fichier * Pages spéciales * Adresse de cette version * Information sur la page * Élément Wikidata * Citer cette page Autres langues * Български * ᨅᨔ ᨕᨘᨁᨗ * Català * Cebuano * Deutsch * English * Español * Euskara * Magyar * Bahasa Indonesia * Italiano * Malagasy * Bahasa Melayu * Nederlands * Occitan * Polski * Piemontèis * Português * Română * Slovenčina * Slovenščina * Svenska * Українська * Oʻzbekcha/ўзбекча * Tiếng Việt * Volapük * Winaray * 中文 * Bân-lâm-gú Modifier les liens * Dernière modification de cette page le 1 décembre 2015 à 17:42. * Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons paternité partage à l’identique; d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques. En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la licence. Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc., organisation de bienfaisance régie par le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des État Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques
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breizh.antiques.art@gmail.com 06 47 07 70 65 24 Médaille en bronze doré. Graveur: A déterminer. Dimensions: 68 mm. Poids: 196 g. Métal: bronze. Poinçon sur la tranche (Mark on the edge): Aucun, tranche lisse. Envoi rapide et soigné. Le support utilisé pour présenter la médaille n'est pas à vendre. The stand used for the medal presented is not for sale.   _______________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Château de Sedan Château de Sedan Période ou style Médiéval Type Château fort Début construction 1424 Propriétaire initial Évrard II de La Marck Propriétaire actuel Municipalité de Sedan Protection  Classé MH (1965) Site web http://www.chateau-fort-sedan.fr/ Coordonnées 49° 42′ 07″ N 4° 56′ 58″ E 49° 42′ 07″ Nord 4° 56′ 58″ Est Pays  France Anciennes provinces de France Champagne Région Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine Département Ardennes Commune Sedan Géolocalisation sur la carte : Champagne-Ardenne modifier   Le château de Sedan ou château-haut est situé à Sedan sur un promontoire en bordure de Meuse autrefois flanqué de deux ruisseaux, le Bièvre et le Vra. C'est l'une des plus grandes forteresses d'origine médiévale d'Europe avec 35 000 m2 sur sept étages et des murs de plus de 7 m de large (le mur le plus épais avoisine les 27 m de large). Ce château fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 4 janvier 1965 1. Sommaire * 1 Histoire * 2 Circuit de visite * 3 Galerie * 4 Architecture * 5 Les Seigneurs et Princes de Sedan, ducs de Bouillon * 6 Évènements * 6.1 Le Grand tournoi de chevalerie * 6.2 Festival médiéval * 6.3 Visites nocturnes aux flambeaux * 7 Annexes * 7.1 Articles connexes * 7.2 Liens externes * 8 Sources * 8.1 Notes et références * 8.2 Bibliographie Histoire À l'origine du site se trouve un prieuré bénédictin dépendant de l'abbaye de Mouzon  : le prieuré Saint-Martin dont on peut voir les assises dans la cour du château. Ce prieuré est mentionné en 1306. Évrard de La Marck prend possession du site en 1424 par l'intermédiaire de son beau-frère Louis de Braquemont, apportant à son beau-frère la dot que son père (Guillaume de Braquemont) n'a jamais fourni. Il décida de construire un château de plan sensiblement triangulaire sur le site autour de l'église devenue chapelle castrale. Les fouilles ont montré que cette église avait dû être fondée au XIe siècle. Vers 1424, Évrard III de La Marck fait bâtir en six ans un manoir avec deux tours jumelles autour d'une église, un donjon résidentiel rectangulaire qui faisait déjà partie du prieuré et une tour ronde à l'ouest qui a été agrandie plus tard pour devenir la "Grosse tour". Les tours jumelles servant d'entrée au château étaient protégées par un châtelet constitué de deux petites tours rondes et d'une échauguette. Le plan de ce premier château peut paraître archaïque pour l'époque de sa construction et n'a pas encore vraiment pris en compte la défense contre l'artillerie. Lorsque Evrard meurt en 1440, son fils Jean de la Marck entreprend le renforcement de la forteresse mais c'est Robert II de La Marck, le petit-fils de Jean, qui réalisera les travaux les plus importants. En 1530, les fortifications du manoir sont modernisées par la construction du boulevard circulaire. Le logis princier est construit sur 100 mètres le long du rempart côté ville à partir de 1530. Le pavillon Renaissance dans le style de Philibert Delorme a été construit pour Robert IV de La Marck et son épouse Françoise de Brézé. Le logis du Gouverneur est édifié en 1536. Vers 1550 sont créées les terrasses à canons par remplissage en terre, entre les remparts et une nouvelle muraille prise sur la basse cour, augmentant l'épaisseur des courtines de 4,50 m à 26 m, jusqu'à un niveau égal à ceux dominant le site. 18 petits logis pour la troupe ont été créés dans ce remplissage. À partir de 1553 commence l'édification de deux bastions triangulaires sur le front nord-est, celui du Gouverneur terminé en 1557, et le bastion Fourchu en 1559. En 1572 ont été livrés les deux autres bastions, celui des Dames et le bastion du Roy. Des ouvrages à cornes ont été ajoutés à l'avant des bastions mais certains furent dynamités à la fin du XIXe siècle. Les archives permettent de nommer les ingénieurs ayant participé à la dernière campagne de construction des défenses de Sedan : Marin Fourre, qui est le concepteur initial, puis, en 1577, le Ferrarais Marc-Aurèle Pazin ou Marco Aurelio de Pasino, probablement l'auteur des "boulverts" et des bastions de l'enceinte urbaine, et enfin, après 1585, Jean Errard, de Bar-le-Duc. Le maréchal Turenne y nait en 1611. Il s'agit d'un des plus grands militaires, en compagnie de Napoléon Bonaparte, que l'histoire ait connu. La principauté est absorbée par la France après la bataille de la Marfée et à la suite de l'échec d'une nouvelle conspiration contre Richelieu menée par Cinq-Mars en 1642. Louis XIII fait emprisonner le prince de Sedan, Frédéric Maurice de La Tour d'Auvergne-Bouillon, puis remettre la principauté par traité. Le maréchal Fabert, messin de naissance, fut le premier gouverneur de Sedan pour le roi de France suite au rattachement de la principauté à la France. En 1650 il fit construire les magasins Fabert, accueillant aujourd'hui l'hôtel du château. Le château est transformé en garnison. En 1699, Vauban fait construire la porte « des Princes », adaptée aux progrès de l'artillerie. Il s'agit de la seule intervention de ce célèbre architecte, ce qui a laissé penser que la forteresse était de qualité. Lorsque Napoléon Bonaparte visite le château, en 1803, il fait transférer à Paris la collection d'armures des princes de Sedan à Paris. Certaines se trouvent aujourd'hui exposées au Musée de l'Armée. En 1822, l'église Saint-Martin est démolie pour installer un parc à boulets. Une plateforme d'artillerie est créée en 1828 au sommet des Tours jumelles. Encerclée par les armées prussienne et saxonne, le 1er septembre 1870 lors de la Bataille de Sedan, l'armée du camp de Châlons est défaite. Napoléon III fait hisser sur le château fort le drapeau blanc demandant la fin des hostilités. L'acte de capitulation est signé au Château de Bellevue entre Frénois et Glaire. L'Hôtel du Château Des essais de dynamite sont faits sur le bastion du Gouverneur en 1873. Autrefois le plus vaste du château-fort, ce bastion est aujourd'hui largement éventré. De janvier 1917 à novembre 1918, la citadelle va servir de camp pour des milliers de civils résistants français et belges condamnés aux travaux forcés par les autorités allemandes. Beaucoup y sont morts. Cédé par l’armée française à la ville en 1962, le château a fait l’objet de plusieurs campagnes de restauration. Aujourd'hui, le château est un haut-lieu touristique des Ardennes. Logeant un temps l'office de tourisme de la ville, celui-ci fut récemment déplacé dans un traversant reliant la rue du Ménil au Promenoir des prêtres présent au pied du château. On trouve également le musée à l'intérieur de ce château où s'y trouve depuis le printemps 2012, une maquette de la ville de Sedan au XIXe siècle, due en grande partie à Jean-Jacques Dromby. Une des salles de ce musée est dédiée à la guerre de 1870 et y est exposée une riche collection de casques prussiens et autres armes, ainsi que l'esquisse du panorama de Sedan par Ludwig Braun. Lors des rafales de vent (jusqu'à 110 km/h) dues aux orages du 14 juillet 2010, vers 16h20 la large toiture côté sud s'est en partie envolée mais aussi effondrée à l'endroit du spectacle de fauconnerie (haute-cour, ruines du prieuré Saint Martin) ne prenant (par chance) pas place ce jour-là (jour de relâche). Les collections du château, en partie conservées dans les combles de l'édifice, furent en grande partie sauvées grâce à l'aide spontanée du personnel du château et de bénévoles. La nouvelle toiture fut achevée pour la saison touristique 2012. Circuit de visite Le château fort de Sedan dispose d'un circuit de visite depuis l'année 1995 lorsque fut mis en place la visite Historium. Des mannequins de cire y furent placés, illustrant la vie au château à l'époque médiévale et au temps des princes. La scène la plus prestigieuse est celle du mariage de Charlotte de La Marck et Henri de La Tour d'Auvergne, placée dans le pavillon Renaissance. Depuis le printemps 2012, le château-fort de Sedan connaît une nouvelle jeunesse. Il se dote de nouveaux circuits (Mille ans d'histoire, Principauté), de nouveaux panneaux, d'une nouvelle entrée dans la cour du château-fort, d'une nouvelle salle multimédia etc. L'édifice attire chaque année près de 60 000 visiteurs. Galerie Architecture Le château de Sedan est une forteresse construite à partir de 1424 qui comporte quatre bastions défensifs construits au XVIe siècle, le bastion du Gouverneur, le bastion Fourchu, le bastion des Dames et le bastion du Roi. Le châtelet d'entrée comporte deux tours rondes qui étaient munies de hourds, d'une herse et d'une bretèche. L'ensemble de la forteresse est entouré de murs surmontés de courtines. Le logis seigneurial et le logis de la garde datent d'avant le milieu du XVIe siècle. Au début du XVIIe siècle, Henri de la Tour d’Auvergne a fait construire le Palais des Princes, appelé aussi le Château–Bas, et a déserté le logis de la forteresse. Les Seigneurs et Princes de Sedan, ducs de Bouillon Liste des princes de la Principauté de Sedan * Gérard III de Jauche (1210 – 1261) * Gérard IV de Jauche (1235 – 1293) * Guillaume de Jauche (1285-1340) * Marie de Jauche (1315 – 1387) * Hugues de Barbençon épouse Marie de Jauche Vers 1340 * Jean de Barbençon (enterré à Vireux-Molhain) 1344 – 1404 * Guillaume de Braquemont (1345-1420) épouse Marie de Campremy. Il achète le château en 1405 et est le frère de Robert de Bracquemont amiral de France et d'Espagne * Louis de Braquemont (1390-1424) épouse Isabelle Le Maréchal * Évrard II de La Marck-Arenberg (1365-1440) épouse Marie de Braquemont * Jean de La Marck (1406-1470) épouse Jeanne de Virnembourg * Robert I de La Marck (? – 1497) épouse Jeanne de Marley en 1449 * Robert II de La Marck (1460 – 1536) épouse Catherine de Croy en 1490 * Robert III de La Marck (1492-1536) épouse Guillemette de Sarrebruck en 1510 * Robert IV de La Marck (1512-1556) épouse Françoise de Brézé en 1539 * Henri-Robert de La Marck (1540-1574) épouse Françoise de Bourbon-Vendôme en 1559, 1er prince de Sedan * Guillaume-Robert de La Marck (1563-1588) * Charlotte de La Marck (1574-1594) épouse Henri de la Tour d’Auvergne en 1591 * Henri de la Tour d'Auvergne (1555-1623) épouse Élisabeth de Nassau * Frédéric-Maurice de La Tour d'Auvergne (1605-1652) épouse Eléonore-Fébronie de Bergh Évènements Le Grand tournoi de chevalerie Depuis une dizaine d'années le château-fort de Sedan accueille chaque été des tournois de chevalerie. Réalisés par une troupe en majorité slovaque (Normani), ces spectacles font la joie des petits et des grands. Festival médiéval Depuis 1996, le château-fort de Sedan accueille un festival médiéval de Sedan autour de la forteresse, le troisième week-end de mai. Succès populaire, près de 14 000 entrées payantes furent décomptées lors des dernières éditions. * Festival médiéval de 2011 * * * * * Visites nocturnes aux flambeaux Chaque été des visites originales, puisqu'aux flambeaux, sont organisées les vendredis et samedis soir. Annexes Articles connexes Sur les autres projets Wikimedia : * Château de Sedan, sur Wikimedia Commons * Comté de la Marck * Duché de Bouillon * Principauté de Sedan * Liste des monuments historiques des Ardennes Liens externes * Site officiel * http://www.tourisme-sedan.fr * Pict-Art : Château de Sedan Sources Notes et références * ↑ « Notice no PA00078518 », base Mérimée, ministère français de la Culture Bibliographie * Alain Sartelet, Le château fort de Sedan, Gueniot,‎ 2006 (ISBN  978-2-8782- 5380-1) * Jean-Marie Pérouse de Montclos, Le guide du Patrimoine: Champagne-Ardenne, Paris, Hachette,‎ 1995 (ISBN  978-2-01-020987-1), p. 328-331 * Jean Aversenq, Le château-fort de Sedan, Sedan, Imprimerie Balan-Sedan, 1993 (1979), 58 p. * Portail des châteaux de France * Portail des Ardennes * Portail des monuments historiques français Catégories  : * Château fort en Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine * Château des Ardennes * Château monument historique (France) * Monument historique des Ardennes * Monument historique classé en 1965 * Patrimoine du XVe siècle * Sedan Menu de navigation * Non connecté * Discussion * Contributions * Créer un compte * Se connecter * Article * Discussion * Lire * Modifier * Modifier le code * Historique * Accueil * Portails thématiques * Article au hasard * Contact Contribuer * Débuter sur Wikipédia * Aide * Communauté * Modifications récentes * Faire un don Outils * Pages liées * Suivi des pages liées * Importer un fichier * Pages spéciales * Adresse permanente * Information sur la page * Élément Wikidata * Citer cette page Imprimer / exporter * Créer un livre * Télécharger comme PDF * Version imprimable Dans d’autres projets * Wikimédia Commons Autres langues * Български * Deutsch * English * Español * Italiano * Nederlands * Modifier les liens * Dernière modification de cette page le 15 février 2016, à 19:41. * Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions; d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques. En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la licence. Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc., organisation de bienfaisance régie par le parag
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Xavier Darasse Interprète Franz Liszt ‎– Les Trois Grandes Pièces D'Orgue Label: Erato ‎– EDO 221 Série: L'Encyclopedie De L'Orgue – 21, L'Orgue D'Europe centrale –, L'Âge Romantique Et Symphonique –, 2e Période: Les Grands Romantiques –  Format: Vinyl, LP, Stereo  Country: France Sortie:   Genre: Classical Style: Romantic Tracklist  A1–Franz LisztPrélude Et Fugue Sur Le Nom de BACHA2–Franz LisztVariations Sur "Weinen, Klagen, Sorgen, Zagen"–Franz LisztFantaisie Sur Le Choral Du Prophète "Ad Nos. Ad Salutarem Ondam"B1–ModeratoB2–AnimandoB3–Tempo GiustoB4–AdagioB5–Allegro DecisoB6–FugaB7–Allegro Con BrioB8–Vivace MoltoB9–AdagioB10–Maestoso Sociétés, etc. - Recorded At – Basilique Saint-Sernin De Toulouse Crédits - Composed By – Franz Liszt - Engineer [Prise De Son] – Peter Willemoës - Liner Notes – Xavier Darasse - Organ [Orgue Cavaillé-Coll, Saint Sernin, Toulouse] – Xavier Darasse (tracks: A, B) Xavier Darasse, né le 3 septembre 1934 à Toulouse et mort le 24 novembre 1992 à Toulouse, est un organiste et compositeur français. Une rue de Toulouse porte son nom (31500). Le festival international Toulouse les Orgues organise tous les 3 ans en son honneur le concours international d'orgue Xavier Darasse. Né dans une famille musicienne (sa mère était organiste), Xavier Darasse fut l'élève au Conservatoire national de musique de Paris de Maurice Duruflé, Rolande Falcinelli, Jean Rivier et Olivier Messiaen. En parallèle d'une carrière d'organiste concertiste, il fut professeur au conservatoire de Toulouse puis au Conservatoire national supérieur de musique de Lyon, la classe d'orgue étant « délocalisée » à Toulouse. Son répertoire s'étend de la musique ancienne au répertoire contemporain. En 1976, après un grave accident de la route, au cours duquel il perdit le bras droit (qu'on lui re-greffa avec succès sans qu'il pût pour autant récupérer sa motricité), il dut mettre fin à sa carrière de concertiste. Il se consacra dès lors à l'enseignement de l'orgue, ainsi qu'à la composition, avec entre autres Instants éclatés en 1983 pour l’Orchestre national du Capitole de Toulouse. Il fut nommé directeur du Conservatoire national supérieur de musique de Paris en 1991. Il mourut prématurément des suites d'un cancer en 1992, laissant inachevé un opéra adapté du Portrait de Dorian Gray d'Oscar Wilde. Xavier Darasse a écouté l’orgue de façon nouvelle. Il y privilégia le souffle (continu ou interrompu), le discours articulé (l’importance du toucher et de l’articulation digitale), et les registres et couleurs (l’héritage de son professeur d’analyse, Olivier Messiaen). Xavier Darasse a été durant sa courte carrière, l'un des organistes les plus éclectiques de sa génération, sensible autant à la musique ancienne dont il connaissait les arcanes, qu'à la musique contemporaine pour orgue dont il fut l'un des grands promoteurs. Il enregistra en effet sur l'orgue de Robert Boisseau de l'église Notre-Dame de Royan l'un des premiers disques de musique « contemporaine » pour orgue tout à la fin des années 1960 (œuvres de Luis de Pablo et de lui-même). Très lié avec Antoine Tisné et Iannis Xenakis, il créa en Allemagne et en France la seule œuvre de ce dernier pour orgue: Gmeeoorh (1974).
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breizh.antiques.art@gmail.com 06 47 07 70 65 chem3 Dimension: 46 cm par 30 cm. A signaler quelques salissures, pliures, traces de scotch ou petits manques, comme indiqué sur la photo . Envoi rapide et soigné. ____________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Gabriel Loire Gabriel Loire Naissance 21 avril 1904 Pouancé Décès 25 décembre 1996 (à 92 ans) Chartres Nationalité Français Activité Peintre modifier - modifier le code - modifier Wikidata Gabriel Loire, né le 21 avril 1904 à Pouancé (Maine-et-Loire) et mort le 27 décembre 1996 à Chartres, est un artiste, peintre et maître-verrier français. Il est connu pour les très nombreux vitraux qu’il a exécutés à travers le monde. L'atelier qu'il a fondé à Lèves est aujourd'hui sous la direction de Jacques Loire son fils, et de ses petits-fils Hervé et Bruno Loire. Sommaire * 1 Biographie * 2 Techniques * 3 Œuvre * 3.1 France * 3.2 Allemagne * 3.3 Chili * 3.4 États-Unis * 3.5 Grande-Bretagne * 3.6 Japon * 3.7 Afrique du Sud * 4 Bibliographie * 5 Références * 6 Voir aussi * 6.1 Articles connexes * 6.2 Liens externes Biographie Gabriel Loire naît à Pouancé, en Maine-et-Loire, en 1904, troisième d'une famille de quatre enfants. La famille tient une tannerie dans le village. Il fait ses études au collège de Combrée, et les poursuit à Angers, en droit, puis en commerce, afin de se libérer du temps pour prendre des cours aux Beaux-arts1. À Angers, dans la cathédrale Saint-Maurice, il fait la rencontre de George Merklen, maître-verrier à Angers, qui le convainc d'utiliser le vitrail comme sujet de thèse. Avec l'aide de Merklen et du chanoine archiviste d'Angers, George Loire obtient son diplôme en 19242. Après son service militaire et la mort de Merklen, il se rend en 1926 à Chartres sous les conseils du révérend Père Banzet, jésuite de l'université d'Angers, qui l'oriente vers Yves Delaporte, chanoine et spécialiste de la cathédrale de Chartres. En 1926, il vient s’installer à Chartres où il travaillera chez Charles Lorin. Il fonde en 1946 ses propres ateliers dans cette même ville. Techniques Il utilise aussi bien la technique traditionnelle au plomb que des techniques modernes utilisant le béton qu’il a étudiées auprès du mouvement Bauhaus ou le thermoformage. Son œuvre est considérable. Il a installé par exemple des vitraux dans environ 450 édifices en France, 25 en Grande-Bretagne, 18 en Allemagne etc. Œuvre Liste non exhaustive France * Église de la Madeleine, à Pouancé, sa ville natale. * Église Saint-Laurent, à La Bresse (88), 1952 : un des projets les plus complets et les plus aboutis de Gabriel Loire dans les Vosges, puisqu'on y trouve, en plus des vitraux, l'ensemble du mobilier (lustres, confessionnaux, garniture d'autel, autels latéraux, chemin de croix, tentures - non retrouvées). La série de vitraux raconte les grandes tragédies de la ville : incendie d'une vallée durant la Guerre des Six Deniers (une guerre déclenchée sous le prétexte que la ville de Mulhouse devait six deniers à un meunier des alentours), massacres de la Guerre de Trente ans, épidémie de peste qui a décimé la population en 1635, massacre des résistants et destruction de La Bresse de septembre à novembre 1944. * Église Saint-Lazare de Lèves, près de Chartres, où sont situés les ateliers Loire. Un mur entier en dalles de verre a été réalisé par Gabriel Loire en 1955 lors de la reconstruction de l'église qui fut presque entièrement détruite lors des combats du 16 août 1944. * Église Saint-Hilaire de Mainvilliers, également près de Chartres et limitrophe de Lèves. * Église Notre-Dame-au-Cierge à Épinal (1958 à 1959, technique utilisée : dalle) : série de vitraux d’une surface totale de 668 m2 dont la pièce principale est d’une surface de 180 m2 d’un seul tenant. Ce vitrail représentant la vie de la Vierge Marie. * Église Sainte-Walburge à Xertigny (1951 à 1952) 8 baies (surfaces totale 64 m2, technique utilisée : plomb) représentant les saints de la région des Vosges (Jeanne d’Arc, Saint Pierre Fourier, Saint Romary, Saint Arnould, Saint Amé, Saint Del, Saint Guérin, Saint Blaise). Les vitraux ont été installés lors de la reconstruction de l’église qui fut détruite par un incendie pendant l’offensive allemande en 1940. L’artiste a représenté, l’église en feu sur le vitrail de Jeanne d’Arc. Les flammes du bûcher de la pucelle se mêlant aux flammes de l’église. Il a également réalisé, le chemin de croix (pierre) et des meubles. * Église Notre-Dame de Pitié à Kervignac  : l’œuvre est composée de 106 panneaux de 1,30 m de haut par 0,60 m de large qui relatent la vie de la Vierge Marie et du Christ. * Église Saint-Martin à Marck-en-Calaisis  : vitraux de verre et de béton, dans un style abstrait, 84 panneaux placés autour de la voûte, inspirés par le thème du partage du manteau de saint Martin (couleurs chaudes d'un côté et froides de l'autre), et 14 panneaux représentant les stations du Chemin de Croix, chaque station étant figurée de manière symbolique. Le montage s'est fait à Lèves dans ses ateliers, et posé à Marck en juin 1962. * Chapelle du Bon-Sauveur de Caen. * Chapelle du Juniorat (oblats de Marie immaculée) à Pontmain (Mayenne France). Avec un Christ Byzantin en ogive d'une modernité saisissante.. Et très nombreux vitraux qui méritent le voyage. * Église Notre-Dame de l'Assomption de Rânes (Orne) - verrière Ste Rosalie et verrière ND du Chêne, années 1950-60 Francis Delorge, ancien séminariste. * Notre Dame de Consolation à Hyères détruite en 1944, reconstruite et consacrée en juillet 1955, vitraux et béton * Chapelle du Pensionnat Jean-Baptiste-de-La-Salle à Rouen, 1951 à 1956. * Église Notre-Dame de Vimoutiers (Orne) - année 1954- remplacement de tous les vitraux détruits en 1944 à la Libération de la France. * Église Notre-Dame-de-la-Légion-d'honneur (Maine-et-Loire), 1860. Allemagne Église commémorative de l’empereur Guillaume Ier * Église du souvenir de Berlin (Kaiser-Wilhelm-Gedächtniskirche) à Berlin (1960 à 1963) : surface totale de 2 183 m2, technique : dalle. * Couvent de la Sainte-Croix à Püttlingen (Sarre), conçu par l’architecte hongrois Lehoczky, c’est le seul monastère de rédemptoristines en Allemagne. Chili * Basilique Notre-Dame de Lourdes à Santiago du Chili (achèvement : 1960) : 50 baies (technique : dalle, surface totale : 652 m2, restauration partielle par J.Loire en 1988). Il a également réalisé plusieurs mosaïques murales et le chemin de croix (1952) États-Unis Dallas, Texas, Chapelle de Thanks-Giving Square, Le toit de la chapelle forme une spirale recouverte par les vitraux (70 baies surface totale : 70 m2, technique : dalle, 1976) * Grace Cathedral à San Francisco (1967) (Technique : dalle, 25 baies, surface totale de 170 m2) * Chapelle de Thanks-Giving Square à Dallas Grande-Bretagne * Cathédrale de Salisbury, chapelle de la trinité (1980, technique : plomb) : le vitrail d’une surface de 34 m2 est dédié aux prisonniers de conscience. Japon * Musée d’art moderne d’Hakone (1973), tour de la symphonie (technique : dalle, surface totale : 336 m2). Afrique du Sud "Christ in Triumph over Darkness and Evil", la cathédrale St. George, Le Cap * La cathédrale St. George, Le Cap Bibliographie * Véronique Debendère et Xavier Debendère, Gabriel Loire : l'œuvre d'une vie, 1904-1996, Paris, Somogy,‎ 2004, 190 p. (ISBN  978-2-8505-6850-3, OCLC  59010635). * Le chemin de croix - publié chez l'auteur en 1933 - ouvrage illustré par G. Loire sur les Saintes Écritures en relation au thème du chemin de croix Références * ↑ Charles W. et Joan C. Pratt, Gabriel Loire; Les vitraux/stained glass, Centre International du Vitrail, 1996, p. 24 * ↑ Pratt, op. cit. p. 25 Voir aussi Articles connexes * Atelier Lorin * Vitrail * Dana Roman Liens externes * Notices d'autorité  : Fichier d'autorité international virtuel  • International Standard Name Identifier  • Union List of Artist Names  • Bibliothèque nationale de France  • Système universitaire de documentation  • Bibliothèque du Congrès  • Gemeinsame Normdatei  • WorldCat Sur les autres projets Wikimedia : * Gabriel Loire, sur Wikimedia Commons * Site des ateliers Loire. Le site comporte notamment l’inventaire exhaustif des œuvres de Gabriel Loire. * Centre international du vitrail * Vitrail : technique et fabrication, film de 1957 réalisé à Lèves et Chartres par André Rioton (durée : 15 min), lien vers le site Mémoire de Ciclic, "Mémoire, les images d’archives en région Centre". * Portail de l’Anjou et de Maine-et-Loire * Portail d’Eure-et-Loir Catégories  : * Maître verrier français * Peintre de vitraux * Naissance en avril 1904 * Naissance en Maine-et-Loire * Décès en décembre 1996 * Décès à Chartres | Menu de navigation * Non connecté * Discussion * Contributions * Créer un compte * Se connecter * Article * Discussion * Lire * Modifier * Modifier le code * Historique * Accueil * Portails thématiques * Article au hasard * Contact Contribuer * Débuter sur Wikipédia * Aide * Communauté * Modifications récentes * Faire un don Outils * Pages liées * Suivi des pages liées * Importer un fichier * Pages spéciales * Adresse permanente * Information sur la page * Élément Wikidata * Citer cette page Imprimer / exporter * Créer un livre * Télécharger comme PDF * Version imprimable Dans d’autres projets * Wikimédia Commons Autres langues * Deutsch * English * Svenska Modifier les liens * Dernière modification de cette page le 31 janvier 2016, à 17:44. * Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons paternité partage à l’identique; d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques. En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la licence. Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc., organisation de bienfaisance régie par le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des États-Unis.
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breizh.antiques.art@gmail.com 06 47 07 70 65 A Dimensions:13 cm par 6 cm Plaque stéréoscopique. _______________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Jardin d'acclimatation (Paris) Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (février 2010). Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références  » (modifier l'article, comment ajouter mes sources ?). Cet article concerne le jardin botanique colonial. Pour le roman de Yves Navarre, voir Le Jardin d'acclimatation. Jardin d’acclimatation Le jardin coréen du jardin d'acclimatation. Géographie Pays France Commune Paris Quartier 16e arrondissement Superficie 19 ha Caractéristiques Création 1860 Type Jardin scientifique puis d'agrément Gestion Lien Internet http://www.jardindacclimatation.fr/ Localisation Coordonnées 48° 52′ 39″ Nord 2° 15′ 47″ Est Géolocalisation sur la carte : Paris modifier   Le jardin d’acclimatation de Paris est un parc de loisirs et d'agrément. S'étendant sur 19 hectares, il est situé entre la porte de Neuilly et la porte des Sablons à la lisière du bois de Boulogne, longeant le boulevard Maurice-Barrès (Neuilly-sur-Seine). Sommaire * 1 Histoire * 1.1 Création * 1.2 Entre le jardin scientifique et le parc de loisirs * 1.2.1 Le jardin zoologique * 1.2.2 Le jardin ethnologique * 1.3 La reconversion * 2 Gestion * 3 Accès * 4 Film tourné au Jardin d'acclimatation * 5 Notes et références * 6 Annexes * 6.1 Documentation * 6.2 Article connexe * 6.3 Liens externes Histoire Création La transformation du Bois de Boulogne en 1852 a engendré la création d'un jardin d'acclimatation à l'entrée du Bois à l'initiative de la Société impériale zoologique d'acclimatation 1, fondée le 10 février 1854 par le zoologiste Isidore Geoffroy Saint-Hilaire. Cette société savante avait pour but de contribuer à l'introduction et à l'acclimatation d'espèces animales exotiques à des fins agricoles, commerciales ou de loisir. Le 26 mars 1858, cette société obtient de la ville de Paris la concession d'un espace de quinze hectares à la bordure nord du bois de Boulogne pour y installer un « jardin d'agrément et d'exposition d'animaux utiles de tous pays ». Cette zone était en cours d'aménagement depuis 1855. La société confie en juillet 1859 à l'architecte Gabriel Davioud et au paysagiste Jean-Pierre Barillet-Deschamps la poursuite des travaux. Dans le même temps, le 25 août 1859, elle obtient de Napoléon III la concession de quatre hectares supplémentaires 2. Le jardin est inauguré par Napoléon III le 6 octobre 1860 après quinze mois de travaux. Dès son ouverture le 9 octobre, l'exotisme est bien présent : on trouve des ours, une girafe, des chameaux, des kangourous, des bananiers et des bambous 3. En octobre 1861, un aquarium y est ouvert4. En 1866, le jardin compte plus de 110 000 animaux. En 1867 y sont exposés les 12 Bœufs Gras du Carnaval de Paris, dont 6 défileront dans le grand cortège de la promenade du Bœuf Gras 5. * le Jardin d'Acclimatation en 1860, gravure d'A.Provost. * L'aquarium (1863). * Plan général du Jardin d'Acclimatation en 1868. Entre le jardin scientifique et le parc de loisirs Bien qu'il s'en soit peu à peu éloigné, le jardin d'acclimatation a longtemps gardé une dimension de loisir scientifique et d'éducation des familles. Dès 1900, on voit s'y tenir des conférences (sur l’hygiène, les voyages, la médecine, l’acclimatation, avec photos projetées sur écran), concerts, épreuves sportives, cinéma en plein air, cirque, en même temps que s'y installent des manèges pour enfants. Le jardin zoologique Le jardin ferme ses portes au public pendant la guerre de 1870. Le Bois, interdit au public, est utilisé pour installer des troupeaux qui serviront à nourrir la population en prévision d'un siège. Du 4 au 9 septembre, certains animaux sont évacués vers des parcs zoologiques à l'étranger mais très vite les moyens de transport sont paralysés et Paris est assiégée. L'hiver est particulièrement rude et le rationnement ne suffit plus : les derniers animaux pensionnaires du jardin, y compris les éléphants Castor et Pollux, sont abattus pour nourrir les Parisiens. À la fin du siège, il ne reste plus un seul animal6. Le jardin fût complètement restauré en 1872. Grâce aux donations, parmi lesquels deux éléphants dons du roi d'Italie, la faune se reconstitue par la suite. Jusqu'en 1877, les termes de la concession sont globalement respectés : les animaux sont surtout des animaux « utiles ». Les bêtes curieuses, comme les girafes et les éléphants sont néanmoins présentes dès les origines. Tous les animaux disparaîtront dans les années 1950. Le jardin ethnologique Les Indiens Kalinas de Guyane, « exposés » en 1892. L'exposition d'êtres humains présentés comme des « sauvages » est un fait avéré de longue date sur ce site. En 1877, Carl Hagenbeck propose à la vue des Parisiens une petite troupe de Nubiens. Pendant un quart de siècle, ce sont vingt-deux expositions d'êtres humains qui sont organisées7. Il s'agit majoritairement d'Africains, même si l'on trouve aussi des Indiens, des Lapons ou des Cosaques. Les troupes présentées le sont parfois en même temps que des animaux issus de la même région. Ces « exhibitions de sauvages » alimentèrent dès le XIXe siècle de vifs débats car les hommes étaient confinés derrière les grilles de la grande pelouse, comme les animaux dans leurs cages voisines8. Le jardin devient pendant cette période un des hauts lieux de l'anthropologie à Paris. Pendant le quart de siècle qui suit, le rythme de ces exhibitions ralentit : on n'en compte qu'une dizaine entre 1903 et 1931, date de la dernière exposition humaine. Elles prennent en revanche un tour plus nettement colonial, les tribus exposées étant sélectionnées dans diverses contrées de l'empire colonial français  : Sénégal, Afrique du Nord, Nouvelle-Calédonie, etc9. La reconversion En 1929, le territoire du Jardin, propriété privée de la ville de Paris, est transféré de la commune de Neuilly-sur-Seine au 16e arrondissement de Paris. Sous la pression des riverains, la vocation du jardin change profondément dans les années 1950. En 1952, le jardin devient principalement un « parc de promenades, de loisirs de plein air dont les attractions doivent avoir un caractère instructif, sportif et familial. » Un castelet de Guignol est ouvert, les fauves disparaissent et la fête foraine est réduite. Dans les années 1960, le jardin est réaménagé et le musée national des arts et traditions populaires est implanté en 1969 dans un nouveau bâtiment de type moderne spécialement construit sur son terrain, avant de fermer en 2005. La petite ferme est ouverte en 1971, le théâtre en 1973, le musée en Herbe en 1975. Le chapiteau de Silvia Monfort s'y installe pour deux ans en 1978. * Un magnolia à l'entrée de la « rivière enchantée ». * Musée en Herbe. * Un lophophore resplendissant. * Une île de la rivière enchantée * Montagnes russes Tacot Express La fin du XXe siècle et les années 2000 voient néanmoins de nouveaux changements. Le jardin s'orientalise en acquérant une maison de thé, un pont laqué de noir, puis un jardin coréen qui symbolise l'amitié entre Paris et Séoul. En 1999, l'Exploradôme est fondé par Goéry Delacôte 10. Mais les dernières activités scientifiques disparaissent avec la disparition du musée en herbe, dont les subventions sont supprimées en 2009-201011. Le bowling du jardin d'acclimatation est rasé pour accueillir en 2014 le bâtiment de la Fondation Louis-Vuitton, dessiné par l'architecte Frank Gehry. En parallèle, les édifices datant du Second Empire sont rénovés (ainsi que des belvédères et allées construites, comme à l'origine du jardin), des ateliers pour les enfants créés, le Wi-Fi gratuit installé et une boucle de 3,5 km pour les joggeurs dessinée12. Hippolyte Romain, directeur artistique du Jardin d’acclimatation et spécialiste de la Chine, y a aménagé et décoré une maison du Thé13. Gestion Logotype du jardin d'acclimatation. Dès les origines, le jardin a connu un système de concessions renouvelées à intervalle à peu près régulier. Lors de son ouverture, le conseil d'administration du jardin était tenu par la Société impériale zoologique d'acclimatation : Geoffroy Saint-Hilaire en était le président sous le patronage du prince impérial. Le fils du savant était directeur adjoint et assurait l'administration effective. La société conserva sa concession qui fut régulièrement renouvelée jusqu'en 1952. À cette date, la SARL Maillot Maurice-Barrès qui fait partie du groupe Boussac, obtient de la Ville de Paris la concession du Jardin d'Acclimatation jusqu'alors dévolue à la Société du Jardin Zoologique d’Acclimatation. Cette concession est accordée en contrepartie d’une redevance et d’un engagement d’investissement de cinquante millions de francs. Selon les termes du contrat le Jardin d'acclimatation doit devenir principalement « un parc de promenades, de loisirs de plein air dont les attractions doivent avoir un caractère instructif, sportif et familial ». Boussac obtient le renouvellement de la concession qu'il conserve jusqu'à sa disparition. Après le rachat de cette société par le groupe LVMH de Bernard Arnault en 1984, c'est ce dernier qui hérite de la concession. LVMH obtient la concession pour une durée de 20 ans le 6 décembre 1995, moyennant une redevance forfaitaire de 10 000 francs par mois, et réalise un plan d’aménagement renouant avec les principes fondateurs des jardins paysagers du XIXe siècle14. Bernard Arnault, patron du groupe de luxe obtient en 2006, dans des conditions contestées15, l'autorisation de construire un bâtiment pour abriter sa fondation pour l'art contemporain (Fondation d'entreprise Louis Vuitton, réplique à celle de son concurrent François Pinault, installée à Venise). Le bâtiment de plus de quarante mètres de haut, conçu par l'architecte Frank Gehry, devrait être inauguré en 2014. L'annulation du permis de construire par le tribunal administratif qui a été obtenue par une association de défense des espaces verts aurait dû retarder cette échéance16 mais, en juin 2012, la cour administrative d’appel de Paris a validé le permis de construire accordé par la Ville de Paris, un permis de construire délivré sur un site classé et a priori inconstructible après modification du plan local d’urbanisme 17. La direction du parc, après avoir décidé la fermeture du Bowling, du manège des papillons, de deux restaurants et des bateaux téléguidés et fait en partie détruire l'allée Alphand, a publié un communiqué dans lequel elle dément « toute intention de fermer ni les manèges ni le parc dans son ensemble. » * Un ours brun. * Un magnolia à l'entrée de la « rivière enchantée ». * Horloge florale. * Terrasse d'une buvette. Accès Le jardin est desservi par la ligne à la station Les Sablons. Jusqu'à la mise en service du prolongement de la ligne, il était desservi par la station Porte Maillot qui était le terminus de la ligne, d'où le petit train acheminait les visiteurs à l'entrée du jardin. Film tourné au Jardin d'acclimatation * La nuit sera longue, moyen métrage de et avec Olivier Torres (2003), qui conte la journée d'un père divorcé et de son fils au parc en plein hiver. Notes et références * ↑ Actuellement Société nationale de protection de la nature (SNPN). * ↑ Jean-Michel Bergougniou, Rémi Clignet et Philippe David, Villages noirs et autres visiteurs africains et malgaches en France et en Europe : 1870-1940, Paris, Karthala, 2001, p. 52. * ↑ Ngimbi Kalumvueziko, Le pygmée congolais exposé dans un zoo américain, Editions L'Harmattan,‎ 2011, p. 29. * ↑ Site du jardin d'acclimatation.  ]. * ↑ Illustration du  ] Petit Journal, 26 février 1867, p. 2, 1re et 2e colonnes. * ↑ Henri Corbel, Petite histoire du Bois de Boulogne, Albin Michel, 1931, p. 157-169 * ↑ Bergougniou, Clignet et David, op. cit., p. 54. * ↑ Bergougniou, Clignet et David, op. cit., p. 61. * ↑ Bergougniou, Clignet et David, op. cit., tableau synoptique des expositions p. 69. * ↑ (en) « Speech by HE Bernard Emié, French Ambassador to the United Kingdom at the ceremony to award the insignia of Officier in the Ordre national de la Légion d'Honneur to Goéry Delacôte, Chief Executive of the "At-Bristol" science centre »  ], Ambassador's Activities, French Embassy in the UK (consulté le 8 juin 2012). * ↑ « Ce qui est certain, c’est que le musée a été sommé de déménager dans Paris intra muros il y a plus de trois ans par la mairie, au motif que son public n’était pas assez parisien. Or, affirme Sylvie Girardet, celle-ci ne les a jamais aidés à trouver un nouveau lieu et trouve à redire sur les locaux qu’ils occupent depuis l’année dernière dans le 1er arrondissement. Pire, c’est au moment où le musée s’évertue à répondre "aux demandes de la ville" et à s’adapter à son nouvel environnement tout en poursuivant des activités au jardin d’acclimatation qu’elle reçoit l’estocade. » in « Musée en herbe : 75 000 gamins passent à la trappe »  ], L'Humanité du 20 juillet 2009. * ↑ Caroline Sallé, « Comment la Fondation Louis-Vuitton reconfigure le Jardin d'acclimatation », in Le Figaro, mercredi 28 novembre 2012, p. 13. * ↑  ] * ↑ « Audit du Jardin d'acclimatation », Rapport de l'Inspection Générale de la Mairie de Paris, no 12-11,‎ octobre 2013, p. 3 (lire en ligne  ]) * ↑ Un soupçon de conflit d'intérêt pèse sur cette autorisation dans la mesure où l'adjoint à la culture de la ville de Paris et le président de la société d'exploitation du jardin sont tous deux des employés de LVMH. * ↑ « La Fondation LVMH arrêtée en pleins travaux »  ] dans Le Parisien du 22 janvier 2011. * ↑ « Le jardin d'acclimatation menacé »  ] sur le site historia.fr consulté le 18 novembre 2012. Annexes Documentation * Pierre-Henri-Louis-Dominique Vavasseur Guide du promeneur au Jardin zoologique d'acclimatation, éditeur : au Jardin zoologique d'acclimatation, Paris 1865, In-16, 194 p., carte en couleurs. Article connexe Sur les autres projets Wikimedia : * Jardin d’Acclimatation, sur Wikimedia Commons * Ligne du jardin d’acclimatation Liens externes * Site officiel   v  · m Principaux espaces verts de Paris Bois Boulogne · Vincennes Parcs André-Citroën · Bagatelle · Belleville · Bercy · Butte du Chapeau-Rouge · Buttes-Chaumont · Champ-de-Mars · Choisy · Clichy-Batignolles · Floral · Georges-Brassens · Kellermann · Monceau · Montsouris · Passy · Sainte-Périne · Suzanne-Lenglen · Villette Jardins et squares Acclimatation · Alexandre-et-René-Parodi · Alexandre-Soljenitsyne · Algérie · Arènes de Lutèce · Atlantique · Avenue Foch · Batignolles · Belleville - Julien-Lacroix · Brancion · Carlo-Sarrabezolles · Champs-Élysées · Charles-Péguy · Claude-Bernard · Clos Feuquières · Docteur Calmette · Emmanuel-Fleury · Éole · Épinettes · Gare-de-Charonne · Grands explorateurs · Intendant · Jean-XXIII · Léon-Frapié · Léon-Serpollet · Louis XIII · Louise-Michel · Lucien-Fontanarosa · Luxembourg · Moulin-de-la-Pointe · Naturel · Nelson-Mandela (ex. Halles) · Palais-Royal · Plantes · Poètes · Port de l'Arsenal · Port de la Tournelle · Porte de Saint-Cloud · Porte de Vincennes · Ranelagh · René-Le Gall · Reuilly-Paul-Pernin · Riquet · Roquette · Rosny-Aîné · Saint-Éloi · Sainte-Odile · Saint-Lambert · Salamandre · Samuel-de-Champlain · Sarah-Bernhardt · Serment-de-Koufra · Séverine · Tino-Rossi · Trocadéro · Tuileries · Villemin Autres Coulée verte René-Dumont · Esplanade des Invalides · Esplanade Gaston-Monnerville · Mail Émile-Bollaert · Promenade Bernard-Lafay · Promenade Pereire · Petite Ceinture du 13e · Petite Ceinture du 15e · Petite Ceinture du 16e * Portail de la botanique * Portail de la zoologie * Portail de l’anthropologie * Portail des parcs de loisirs * Portail de l’architecture et de l’urbanisme * Portail de Paris Catégories  : * Espace vert du 16e arrondissement de Paris * Parc de loisirs d'Île-de-France * Parc d'attractions * Parc zoologique en France * Fondation en 1860 * Bois de Boulogne * Parc de loisirs en France | Menu de navigation * Non connecté * Discussion * Contributions * Créer un compte * Se connecter * Article * Discussion * Lire * Modifier * Modifier le code * Historique * Accueil * Portails thématiques * Article au hasard * Contact Contribuer * Débuter sur Wikipédia * Aide * Communauté * Modifications récentes * Faire un don Imprimer / exporter * Créer un livre * Télécharger comme PDF * Version imprimable Autres projets * Wikimedia Commons Outils * Pages liées * Suivi des pages liées * Importer un fichier * Pages spéciales * Adresse permanente * Information sur la page * Élément Wikidata * Citer cette page Autres langues * Čeština * Dansk * English * Esperanto * Español * 日本語 * Português Modifier les liens * Dernière modification de cette page le 20 février 2016, à 09:06. * Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons paternité partage à l’identique; d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques. En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la licence. Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc., organisation de bienfaisance régie par le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des États-Unis.
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Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Pictures below and english translation 下面的照片。. Photographies au -dessous. Médaille 2 ème II arrondissement Capucines Café de Madrid par Delannoy Medal 铜牌. -------- --- MEDAILLE Medalla Medaglia Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne à partir de 1880). 1967. Rayures et oxydations. consultez attentivement les photos ci-dessous merci Graveur: Delannoy . Avers:   (Photo) Revers :  (Photo) Dimension:68 mm Poids:166 g Métal: Bronze. Poinçon tranche: Corne + Bronze + 1967 . Vous pouvez consulter notre boutique pour consulter nos nombreuses autres médailles. Reduction des frais d'envoi pour les achats groupés Photos ci-dessous. Bronze medal of the Paris Mint (Punch horn from 1880). 1967. Scratches and oxidation. look carefully at the pictures below thank you Engraver: Delannoy. Obverse: (Photo) Reverse: (Photo) Dimension: 68 mm Weight: 166 g Metal: Bronze. Slice Stamp: Bronze Horn + + 1967.. 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Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants. 2e arrondissement de Paris « arrondissement de la Bourse » 16e 17e 18e 19e 20e 12e 13e 5e 6e 7e 14e 15e 8e 2e 3e 4e 1er 9e 10e 11e Hauts-de-Seine Seine-Saint-Denis Val-de-Marne Administration Pays  France Ville Paris Quartiers administratifs Gaillon (5) Vivienne (6) Mail (7) Bonne-Nouvelle (8) Maire Mandat Jacques Boutault 2008 - 2014 Code postal 75002 Code Insee 75102 Démographie Population 22 927 hab. (2011 1) Densité 23 159 hab./km2 Géographie Coordonnées 48° 52′ 01″ Nord 2° 20′ 26″ Est    Altitude Min. 33 m – Max. 46 m Superficie 0,99 km2 Localisation Géolocalisation sur la carte : France 2e arrondissement de Paris * Voir sur la carte Paris administrative modifier   Le 2e arrondissement de Paris est le produit de l'extension de Paris aux XVe et XVIe siècles. Les premières habitations urbaines datent cependant du XIVe siècle. Ainsi, l'enceinte de Charles V (1371 - 1380) s'étendait déjà jusqu'à la rue d'Aboukir. Au XVIe siècle, la ville s'étend jusqu'au niveau actuel des Grands Boulevards, enceinte de Louis XIII (1617 - 1643). Les principaux édifices sont aujourd'hui les anciens sièges de la Bourse et de la Bibliothèque nationale de France (BNF) - Site Richelieu / Louvois. Aux termes de l'article R2512-1 du Code général des collectivités territoriales (partie règlementaire), il porte également le nom d'« arrondissement de la Bourse »2, mais cette appellation est rarement employée dans la vie courante. Sommaire * 1 Histoire * 1.1 Limites de l'arrondissement * 2 Administration * 2.1 Mairie d'arrondissement * 2.2 Conseillers de Paris du 2e arrondissement * 2.3 Députés * 2.4 Politique nationale * 3 Démographie * 4 Géographie * 4.1 Quartiers administratifs * 4.2 Principales rues et voies * 5 Bâtiments et installations * 5.1 Monuments et lieux remarquables * 5.2 Bâtiments importants * 5.3 Hôpitaux * 5.4 Établissements scolaires et universitaires * 5.5 Lieux de cultes * 5.6 Complexes sportifs * 5.7 Espaces verts * 5.7.1 Jardins * 5.7.2 Squares * 5.8 Marchés * 6 Économie et tourisme * 7 Culture * 7.1 Musées * 7.2 Cinéma * 7.3 Théâtre * 7.4 Arts * 8 Personnages célèbres de l'arrondissement * 9 Transports en commun * 9.1 Réseau ferré * 9.2 Bus * 9.3 Vélib' * 10 Littérature * 11 Notes et références * 11.1 Notes * 11.2 Références * 12 Lien externe Histoire Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Limites de l'arrondissement Les limites actuelles du 2e arrondissement datent de 1860, à la suite de la loi du 16  juin  1859 donnant lieu à un nouveau découpage de Paris en 20 arrondissements. Elles comprennent une partie de l'ancien 2e arrondissement, une partie de l'ancien 3e et une partie de l'ancien 5e. Administration Mairie d'arrondissement Article détaillé : Mairie du 2e arrondissement. Liste des maires successifs Élection Identité Parti Notes Liste des maires successifs de 1860 à 1977   1983 Alain Dumait UDF Élu en 1983. 1989 Benoîte Taffin UDF Élue en 1989 et 1995. 2001 Jacques Boutault Les Verts / Europe Écologie Élu en 2001 et 2008. Conseillers de Paris du 2e arrondissement Le 2e arrondissement de Paris envoie trois élus au Conseil de Paris. Depuis mars 2008, ceux-ci sont Jacques Boutault (EELVA), Pierre Schapira (PS) et Sylvie Wieviorka (PS). Le Conseil d'arrondissement comprend 13 sièges. Députés Articles détaillés : 2e circonscription (1958-1986), 1re circonscription (1988-2012) et 1re circonscription (depuis 2012). Le 2e arrondissement est inclus dans la deuxième circonscription de Paris de 1958 à 1986, comprenant aussi le 3e arrondissement. À partir de 1988, il fait partie de la 1re circonscription avec les 1er, 3e et 4e arrondissements. À compter de la XIVe législature, le 2e arrondissement reste intégré à la première circonscription avec les 1er et 8e arrondissements et la plus grande partie du 9e. Depuis 1958, les députés couvrant le 2e arrondissement ont été Michel Junot (1958-1962), Jean Sainteny (1962-1963), Amédée Brousset (1963-1967), Jacques Dominati (1967-1978), Abel Thomas (1978-1981), Pierre Dabezies (1981), à nouveau Jacques Dominati (1982-1993), puis Laurent Dominati (1993-2002) et Martine Billard (2002-2012). L'actuel député, depuis le 17 juin 2012, est Pierre Lellouche (UMP). Politique nationale Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Démographie En 2009, la population était de 21 417 habitants pour 99,1 hectares, soit une densité moyenne de 21 633 hab./km2. L'arrondissement représente environ 1 % de la population parisienne. Année (recensement national) Population Densité (hab. par km2) 1861 (pic de population)note 5 81 609 82 267 1872 73 578 74 321 1936 41 780 42 202 1954 43 857 44 300 1962 40 864 41 194 1968 35 357 35 642 1975 26 328 26 540 1982 21 203 21 374 1990 20 738 20 905 1999 19 585 19 743 2006 21 259 21 474 2009 21 417 21 633 Voir aussi la démographie des quartiers : Gaillon, Vivienne, Mail et Bonne-Nouvelle. Géographie Quartiers administratifs Les quartiers administratifs du 2e arrondissement. Comme chaque arrondissement parisien, le 2e est divisé en 4 quartiers administratifs  : * Quartier Gaillon (5e quartier de Paris) * Quartier Vivienne (6e quartier de Paris) * Quartier du Mail (7e quartier de Paris) * Quartier de Bonne-Nouvelle (8e quartier de Paris) Principales rues et voies Plan du 2e arrondissement Article détaillé : Liste des voies du 2e arrondissement de Paris. * Rue Sainte-Anne * Rue de la Paix * Rue Montorgueil * Avenue de l'Opéra * Rue du Quatre-Septembre * Rue Réaumur * Rue Montmartre * Rue du Faubourg-Montmartre * Rue Saint-Denis * Rue Saint-Sauveur * Rue du Sentier * Rue de Richelieu * Rue d'Uzès * Rue Poissonnière * Rue Notre-Dame-des-Victoires * Rue d'Aboukir * Rue Léopold-Bellan * Rue du Louvre * Rue de Turbigo * Rue Étienne-Marcel * Rue Saint-Augustin * Rue des Petits-Champs * Boulevard des Capucines * Boulevard des Italiens * Boulevard Montmartre * Boulevard Poissonnière * Boulevard de Bonne-Nouvelle * Boulevard de Sébastopol * Rue des Capucines * Rue de la Banque (siège de la mairie du 2e) Bâtiments et installations Monuments et lieux remarquables Article détaillé : Liste des monuments historiques du 2e arrondissement de Paris. * Palais Brongniart qui abrita la Bourse de Paris, œuvre de l'architecte Alexandre-Théodore Brongniart * Siège du Crédit lyonnais, boulevard des Italiens * Palais Berlitz, qui a remplacé le pavillon de Hanovre, boulevard des Italiens * Opéra-Comique, place Boieldieu * Basilique Notre-Dame-des-Victoires * Mairie du 2e arrondissement, 8 rue de la Banque. Bâtiments importants * Agence France-Presse, place de la Bourse * Le Centorial, rue du Quatre-Septembre * l'autorité des marchés Financiers, 17 place de la Bourse Hôpitaux Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Établissements scolaires et universitaires Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Lieux de cultes Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Complexes sportifs Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Espaces verts Jardins Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Squares Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Marchés Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Économie et tourisme Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Culture Musées Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Cinéma * Le Grand Rex * Gaumont Opéra Théâtre Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! * théâtre des Bouffes-Parisiens * théâtre de la Michodière Arts Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Personnages célèbres de l'arrondissement * Jules-Théophile Boucher (1847-1924), comédien, sociétaire de la Comédie française, vécut 14 rue Beauregard à la fin de sa vie. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Transports en commun Réseau ferré * (Opéra, Quatre-Septembre, Bourse, Sentier et Réaumur - Sébastopol). * (Strasbourg - Saint-Denis, Réaumur - Sébastopol et Étienne Marcel). * (Opéra). * (Opéra, Richelieu - Drouot, Grands Boulevards, Bonne-Nouvelle et Strasbourg - Saint-Denis). * (Richelieu - Drouot, Grands Boulevards, Bonne-Nouvelle et Strasbourg - Saint-Denis). Bus Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Vélib' Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Littérature Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Notes et références Notes * ↑ Nommé en 1860, il démissionne en 1863, à la suite d'un conflit avec la préfecture. Il est ensuite député de la Seine de 1871 à 19763 * ↑ En fonction jusqu'au 4 septembre 1970. Il est ensuite député de la Indre de 1871 à 19764 * ↑ Né à Rochefort, mort à Paris le 26 août 1907, président fondateur de l'École d'horlogerie de Paris5. * ↑ Élu le 17 octobre 1944 après avoir présidé le comité local de libération du 2e arrondissement. Il est mort en 20016. * ↑ La population maximum du 2e arrondissement fut en réalité atteinte avant 1861. Cependant, l'arrondissement ayant été créé en 1860, l'on ne dispose pas de données fiables avant cette date. Références * ↑ Population légale Insee au 1er janvier 2014 (population au 1er janvier 2011)  ]. * ↑ Source : article R2512-1  ] du Code général des collectivités territoriales (partie réglementaire), sur Légifrance. * ↑ Notice biographique  ] sur le site de l'Assemblée nationale * ↑ Notice biographique  ] sur le site de l'Assemblée nationale * ↑ Bulletin de la Société des archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis  ], 1907 * ↑ 60e anniversaire de la Libération de Paris  ] Lien externe Sur les autres projets Wikimedia : * le 2e arrondissement de Paris, sur Wikimedia Commons * le 2e arrondissement de Paris, sur Wikivoyage * Site officiel de la mairie   v  · d  · m Arrondissements de Paris Actuels 1er (Louvre) · 2e (Bourse) · 3e (Temple) · 4e (Hôtel-de-Ville) · 5e (Panthéon) · 6e (Luxembourg) · 7e (Palais-Bourbon) · 8e (Élysée) · 9e (Opéra) · 10e (Entrepôt) · 11e (Popincourt) · 12e (Reuilly) · 13e (Gobelins) · 14e (Observatoire) · 15e (Vaugirard) · 16e (Passy) · 17e (Batignolles-Monceau) · 18e (Buttes-Montmartre) · 19e (Buttes-Chaumont) · 20e (Ménilmontant) Anciens Anciens · 1er · 2e · 3e · 4e · 5e · 6e · 7e · 8e · 9e · 10e · 11e · 12e * Portail de Paris Catégorie  : * 2e arrondissement de Paris | Menu de navigation * Créer un compte * Connexion * Article * Discussion * Lire * Modifier * Modifier le code * Afficher l'historique * Accueil * Portails thématiques * Index alphabétique * Article au hasard * Contacter Wikipédia Contribuer * Premiers pas * Aide * Communauté * Modifications récentes * Faire un don Imprimer / exporter Outils Autres langues * Беларуская * Bosanski * Català * Čeština * Dansk * Deutsch * English * Esperanto * Español * Euskara * Suomi * עברית * Italiano * 日本語 * Latina * Bahasa Melayu * Nederlands * Norsk bokmål * Occitan * Polski * Português * Русский * Slovenčina * Svenska * Українська * Tiếng Việt * 中文 * Bân-lâm-gú * Modifier les liens * Dernière modification de cette page le 6 janvier 2014 à 05:32. * Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons paternité partage à l’identique; d’autres conditions peuvent s’appliquer. 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breizh.antiques.art@gmail.com. http://stores.shop..fr/breizh-antiques A signaler des rousseurs et quelques petites déchirures dans la marge . Feuille: 30 cm de large par 42 cm de haut. Gravure: 15,5 cm de large par 21 cm de haut. Vers 1825. Portrait de Anne-Antoine-Jules de Clermont-Tonnerre. Artiste graveur: signé dans la planche  Jean-Baptiste MAUZAISSE (1784-1844). Imprimeur: A déterminer. Epoque: XIX ème siècle. Envoi rapide et soigné. _____________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Anne-Antoine-Jules de Clermont-Tonnerre (Redirigé depuis Anne Antoine Jules de Clermont-Tonnerre) Cet article est une ébauche concernant le catholicisme et une personnalité française. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants. Anne-Antoine-Jules de Clermont-Tonnerre Biographie Naissance 1er janvier 1749 Paris (France) Décès 21 février 1830 Toulouse (France) Cardinal de l’Église catholique Créé cardinal 2 décembre 1822 par le pape Pie VII Titre cardinalice Cardinal-prêtre de la Sainte-Trinité-des-Monts Évêque de l’Église catholique Consécration épiscopale 14 avril 1782 par le card. Alexandre Angélique de Talleyrand-Périgord Fonctions épiscopales Évêque de Châlons Archevêque de Toulouse (en) Notice sur www.catholic-hierarchy.org modifier   Anne Antoine Jules de Clermont-Tonnerre, né le 1er janvier 1749 à Paris et mort le 21 février 1830 à Toulouse, fut homme d'Église, évêque, archevêque et cardinal français, puis Duc et pair de France. Sommaire * 1 Biographie * 1.1 Origines et jeunesse * 1.2 Épiscopat et exil * 1.3 Cardinalat * 2 Voir aussi * 2.1 Articles connexes * 2.2 Source Biographie Origines et jeunesse Deuxième fils de Jules Charles Henri, Duc de Clermont-Tonnerre et de Marie Anne Julie Le Tonnelier de Breteuil. Après des études de théologie à La Sorbonne, à l'issue desquelles il est reçu docteur, il devient vicaire général de Besançon pendant cinq ans. Abbé de Montier-en-Der, dans le diocèse de Châlons. Député du second ordre de l'Assemblée du Clergé en 1772, il devient membre de l'Académie de Besançon, en 1779. Dans son discours d'investiture, faisant l'éloge de la presse écrite, il proclame Johannes Gutenberg bienfaiteur de l'humanité. Épiscopat et exil Le 25 février 1782, il est ordonné évêque de Châlons-en-Champagne. Sa candidature ayant été présentée par le Roi de France le 23 décembre 1781. Consacré le 14 avril 1782, au noviciat dominicain de Paris, par Alexandre Angélique de Talleyrand-Périgord, archevêque de Reims, assisté de César-Guillaume de La Luzerne, évêque de Langres, et par Louis-Apollinaire de la Tour du Pin-Montauban, évêque de Nancy. Duc et pair de France, il est élu député des États généraux, le 25 mars 1789 par le bailliage de Châlons-sur-Marne. À cette occasion, il proteste contre les décrets de la Constitution relatifs au clergé, signe l'Exposition des principes et s'exile ensuite en Allemagne. Conformément au Concordat de 1801, il présente sa démission du gouvernement pastoral de son diocèse le 15 décembre 1801 et rentra en France. Il est à nouveau pair de France le 4 juin 1814. Il retourne à Châlons en 1817 mais le diocèse, qui avait été supprimé en 1801, ne sera pas immédiatement rétabli. Le 28 août 1820, il est nommé archevêque de Toulouse. Cardinalat Lors du consistoire du 2 décembre 1822, il est élevé au rang de cardinal-prêtre par Pie VII. Il reçoit sa barrette rouge de cardinal le 20 novembre 1823 et le titre cardinalice de SS. Trinità al Monte Pincio le 24 novembre 1823. Il participe au conclave de 1823 (qui élit Léon XII) et reçoit, la même année le titre de Duc de Clermont-Tonnerre et de pair de France. Il participe également au conclave de 1829 (qui élit Pie VIII). Il meurt le 21 février 1830 à Toulouse. Son corps est exposé et il est enterré dans le chœur de la cathédrale Saint-Étienne de Toulouse (caveau nord). Il est avec le cardinal Anne Louis Henri de La Fare, archevêque de Sens, un des seuls survivants parmi les membres de l'épiscopat de l'Ancien Régime. Voir aussi Articles connexes * Liste des cardinaux créés par Pie VII * Liste des évêques et archevêques de Toulouse Source * Anne-Antoine-Jules de Clermont-Tonnerre sur fiu.edu * Portait sur le site de l' Assemblée nationale * Notices d’autorité  : Fichier d’autorité international virtuel  • International Standard Name Identifier  • Bibliothèque nationale de France  • Système universitaire de documentation   Anne-Antoine-Jules de Clermont-Tonnerre Précédé par Suivi par Antoine-Eléonore-Léon Le Clerc de Juigné de Neuchelles Évêque de Châlons (Comte et pair) (1782 -1801) Nicolas Diot Évêque constitutionnel * Portail du catholicisme * Portail du XVIIIe siècle * Portail de la Révolution française * Portail du Vatican * Portail de la France au XIXe siècle * Portail de la politique française * Portail Cités en Champagne Catégories  : * Pair de France sous la Restauration * Pair ecclésiastique * Personnalité liée à Toulouse * Député français du clergé en 1789-1791 * Évêque de Châlons * Archevêque de Toulouse * Cardinal français * Cardinal créé par Pie VII * Duc de Clermont-Tonnerre * Commandeur de l'ordre du Saint-Esprit * Académie des Jeux floraux * Naissance à Paris * Naissance en janvier 1749 * Décès à Toulouse * Décès en février 1830 | Menu de navigation * Créer un compte * Se connecter * Article * Discussion * Lire * Modifier * Modifier le code * Historique * Accueil * Portails thématiques * Article au hasard * Contact Contribuer * Débuter sur Wikipédia * Aide * Communauté * Modifications récentes * Faire un don Imprimer / exporter * Créer un livre * Télécharger comme PDF * Version imprimable Outils * Pages liées * Suivi des pages liées * Importer un fichier * Pages spéciales * Adresse de cette version * Information sur la page * Élément Wikidata * Citer cette page Autres langues * Deutsch * Italiano * Norsk bokmål * Slovenščina Modifier les liens * Dernière modification de cette page le 3 juin 2015 à 06:23. * Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons paternité partage à l’identique; d’autres conditions peuvent s’appliquer. 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France
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Montigny lès Cormeilles (Val D'Oise)
Pierre Groscolas ‎– Pierre Groscolas Label: Trema ‎– 50504, Trema ‎– 50.504 Format: Vinyl, LP, Album Country: France Sortie: 1974 Genre: Pop Style: Chanson, Ballad, Disco TracklistMasquer Crédits A1Elise2:51A2Un Jour Pas Comme Les Autres3:21A3Qu' As Tu Fait De Ma Vie2:27A4Jamais Le Ciel Ne Fut Si BleuArranged By – Roger Loubet3:27A5C' Est Facile A Dire2:47A6Tu Vas Devenir Musicien2:12B1Ma Jeunesse Au Fond De L' Eau3:28B2Vite Vite On Part2:56B3Maintenant Ou Jamais2:44B4Lady Lay2:57B5A Bientôt2:25 Extrait: https://youtu.be/zYJRc7M2dK4 Record condition: SLEEVE (pochette) NM / RECORD (disque) NM   ACHETEZ PLUSIEURS DISQUES ET ÉCONOMISEZ LES FRAIS DE PORT. Demandez-moi les tarifs. Attendre ma facture pour payer en cas d'achat multiple   CHECK MY OTHER RECORDS FOR SALE, COMBINED AND SAVE ON SHIPPING FEES. Ask me for rates. Wait for invoice to pay in case of multiple buys   GRADING   M  Mint Actually almost impossible to find a Mint second hand disc unless it’s sealed or it’s brand new. Neuf Quasi impossible pour un disque d’occasion sauf si le disque est scellé ou si c’est une nouveauté.   NM Near Mint The record may have been played but it is almost mint. Only most minimal deterioration in sound quality. The sleeve is almost mint. Quasi Neuf Disque et pochette sont en état quasi neufs, jamais ou très peu joués et manipulés. Ils comportent le minimum de trace d’usure possible.   EX Excellent The record shows some signs of having been played, but still plays perfectly. The vinyl may have some tiny wear or marks, but nothing major and nothing that affects play. The cover could show only slight wear and/or creasing but it’s still close to mint. Excellent Le disque a déjà été écouté plusieurs fois. Mais il passe toujours comme neuf. Si il y a des micro rayures, elles sont sans conséquences et quasi invisbles. La pochette est splendide, quelques signes manipulations, petites pliures, rien d’important quasi neuve   VG+ Very Good+ The record have been played many times, show wear, small marks or light scratches but nothing deep. It still plays very well. The cover shows some wear, light creasing, maybe tiny tears or pen marks. Overall this is the condition of Most of records sold in second hand. Très Bon+ Disque a déjà été écouté, il peut y avoir des petites rayures, peut craquer très légèrement, mais l’écoute reste très satisfaisante. La Pochette est usée, petites écritures ou pliures mais très correcte. La plus part des disques d’occasions sont dans cette condition.   VG Very Good The record shows non-deep scratches, surface marks,wear and displays some surface noise. But still very playable. The cover shows wear, creasing, maybe spine splits, BB/cut hole, pen marks or small tears. It may be great but with an inner sleeve or an insert missing. Très bon Le disque a été beaucoup écouté. Il y a des rayures et il craque. Néanmoins l’écoute reste satisfaisante sans être optimale. La pochette est usée, un poil déchirée, des grosses écritures. C’est aussi la note pour une pochette superbe mais ou il manque l’insert ou autre chose.   G Good The record displays considerable surface noise, visible but non-deep scratches, but still it’s playable and enjoyable and it does not jump.The cover shows strong wear, creasing, spine splits, cut out hole, pen marks or tears but is still in one piece. Bon Le disque comporte beaucoup de rayures il craque beaucoup. Néanmoins il ne saute pas et il n’est pas rayé. L’écoute est toujours possible. La pochette est très usée, voir un peu déchirée, elle comporte des écritures néanmoins elle est toujours entière. Attention !!! Si paiement par chèque, envoi après encaissement définitif sur le compte. Venez voir mes autres ventes...Me demander pour les frais de port achats groupés  ATTENTION !!! Bi
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Paris (Paris)
J.S. Bach*, Jean Guillou ‎– L'Offrande Musicale Label: Philips ‎– Ⓐ835 793 LY, Philips ‎– 835 793 LY Série: Collection Trésors Classiques –  Format: Vinyl, LP, Stereo, Gatefold  Country: France Sortie:   Genre: Classical Style: Baroque Tracklist  L'Offrande Musicale BWV 1079(56:27)A1Fuga (Ricercata) a 3A2Canon PerpetuusA3Canon a 2 - Quaerendo InvenietisA4Canon a 4A5Canon a 2A6Canin In UnisonoA7Canon Per Motum ContrariumA8Canon Per Augmentationem In Motu ContrarioA9Canon Per TonosA10Canon Per PerpetuusA11Fuga Canonica In EpidiapenteB1Sonate En Trio (Largo-Allegro-Andante Allegro)B2Fuga (Ricarcata) a 6 Sociétés, etc. - Recorded At – Lutherkirche Berlin-Schöneberg Crédits - Arranged By [Adaption à l'orgue de] – Jean Guillou - Composed By – J.S. Bach*  - Organ – Jean Guillou - Sleeve Notes – Louis Cognet Notes Jean Guillou aux Grandes Orgues Kleuker de la Lutherkirche de Berlin. Jean Victor Arthur Guillou, né le 18 avril 1930 à Angers (France) et mort le 26 janvier 2019 à Paris, est un organiste, pianiste, compositeur et improvisateur français. Né à Angers, Jean Guillou y est, dès l’âge de 12 ans, titulaire de l’orgue de l’église Saint-Serge. Il fait ses études au Conservatoire national de musique de Paris où il fut l’élève de Marcel Dupré (orgue), Maurice Duruflé (harmonie) et Olivier Messiaen (analyse). Dès 1955, il est nommé professeur d’orgue et de composition à l’Instituto di Musica Sacra de Lisbonne. Il s’installe ensuite à Berlin en 1958, pour revenir enfin à Paris où il succède à André Marchal comme titulaire des grandes orgues de l'église Saint-Eustache en 1963. En 1977, il est à l'orgue pour l'enregistrement du Te deum de Berlioz sous la direction de Daniel Barenboim, puis de la troisième symphonie de Camille Saint-Saëns en 1984 sous la direction de Edo de Waart. Après 52 ans de service bénévole, seulement interrompu entre 1977 et 1989 pour les travaux de construction du nouvel orgue, il a été nommé par la paroisse « Organiste titulaire émérite » le 22 septembre 2014. Il aura souvent joué les dimanches à Saint-Eustache, jusqu'à la Semaine sainte de 2015 (il est alors âgé de 85 ans). Sa carrière de concertiste virtuose le conduit à donner des récitals d'orgue et aussi de piano dans le monde entier. C’est ainsi qu’il est l'interprète, entre autres, des sonates pour piano de Julius Reubke, de Franz Liszt ainsi que ses propres œuvres. Il a aussi inauguré le piano-pédalier « Borgato » en 2002, ayant donné lieu à l'édition d'un CD chez Universal-Philips. Jean Guillou - qui avait donné son dernier concert le 21 octobre 2018 à Munich - meurt le 26 janvier 2019 à Paris. Ses obsèques ont lieu le 5 février suivant à la cathédrale Notre-Dame de Paris. Il est enterré au Cimetière du Père-Lachaise (chemin du Quinconce). Comme compositeur, il faut signaler en particulier, parmi sa centaine d'œuvres, celles pour orgue, telles que la Toccata (op. 9 de 1962), La Chapelle des abîmes (op. 26 de 1973), les Scènes d’enfant (op. 28 de 1974), Hypérion ou la Rhétorique du feu (op. 45 de 1988) et Regard (op. 77 de 2011). Il a écrit également de la musique de chambre, des œuvres pour orchestre, dont la monumentale Judith-Symphonie, ainsi que pour instruments solistes (trompette, marimba, flûte, violon, flûte de Pan, clarinette…) et orgue parmi lesquelles Alice au Pays de l'Orgue, les 10 Colloques, ses 8 Concertos pour Orgue et Orchestre parmi lesquels le Concerto 2000 et aussi la Révolte des Orgues pour 8 Orgues positifs, un grand orgue, des percussions et un chef, composition qui, après de multiples représentations dans des églises en Europe depuis sa création en 2007, a été jouée dans les philharmonies de Munich, de Cologne et de Berlin en 2011 et 2012, dans le grand auditorium de Tenerife en 2015 et à l'Philharmonie de l'Elbe à Hambourg en 2018. La grande partie de son œuvre musicale est publiée par Schott Music. Sa disco
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Paris (Paris)
Jean Langlais ‎– Huit Chants De Bretagnes Et Improvisation Sur Le Thème Adoromp Holl Label: Arion ‎– ARN 36 331 Format: Vinyl, LP, Album, Stereo  Country: France Sortie: 1976 Genre: Classical, Folk, World, & Country Style: Contemporary, Celtic Tracklist  Face 11Ar Paradoz (Le Paradis)2:382Lavaromp Ar Chapeled2:483Angelus4:554Nouel Brezonek (Noël Breton)3:175Jezuz, Va Zalver Benniget5:08Face 26Jezuz, Lavar D'eomp Pedi2:457Itron Varia Rumengol (Aux Lys, Avec Leurs Feuilles Argentées)4:358Sonjit Den Faziet (Pensez A L'éternité)4:289Improvisation Sur Le Thème Adoromp Holl9:52 Sociétés, etc. - Distributed By – CBS Disques - Printed By – Glory, Asnières Crédits - Design – Jacques Butterfass - Liner Notes – Joël-Marie Fauquet - Recorded By, Photography By – Claude Morel Notes On back cover: Jean Langlais aux grandes orgues Cavaillé-Coll de Sainte-Clotilde Jean Langlais, né le 15 février 1907 à La Fontenelle, mort le 8 mai 1991 à Paris, est un organiste, improvisateur, pédagogue et compositeur français. Aveugle dès l'âge de deux ans, il fait des études à l'Institut national des jeunes aveugles de Paris. Il y apprend le violon, le piano, l'écriture et l'orgue avec André Marchal. Admis en 1927 dans la classe d'orgue de Marcel Dupré au Conservatoire de musique et de déclamation. Il y reçoit en 1930 le premier prix d'orgue puis il se perfectionne dans l'art de l'improvisation grégorienne avec Charles Tournemire et suit les cours de composition de Paul Dukas au Conservatoire, devenu Conservatoire national de musique et d'art dramatique, en même temps que Jehan Alain (1934-1935). En 1931 il remporte le Grand Prix d'Exécution et d’Improvisation des Amis de l’Orgue. Succédant à Gaston Litaize à l'orgue de l'église Notre-Dame-de-la-Croix de Ménilmontant, il est, pendant 10 ans, organiste titulaire de l'orgue de l'église Saint-Pierre de Montrouge à Paris. Organiste de 1945 à 1987 à l'orgue de la basilique Sainte-Clotilde de Paris, orgue rendu célèbre par César Franck et Charles Tournemire, il enseigne à son tour à l'Institut des Jeunes Aveugles et à la Schola Cantorum. Improvisateur réputé, il fut aussi un compositeur prolifique. Si la musique d'orgue et la musique liturgique constituent la part la plus importante de son catalogue, il consacra une part de son activité à la musique instrumentale et vocale profane. Il donna aussi beaucoup de concerts, notamment 300 récitals aux États-Unis entre 1952 et 1981. Les nombreuses pages d'orgue qu'il a composées lui valurent la célébrité dans le monde musical. On a parfois souligné, à tort, la ressemblance de sa musique avec celle de Paul Hindemith, un compositeur dont il n'aimait pas l'harmonie. On peut plutôt estimer que sa filiation spirituelle vient en droite ligne de ses prédécesseurs à Sainte-Clotilde, César Franck et Charles Tournemire. Une rue lui est dédiée à La Richardais où il possédait une maison de vacances. Il a formé nombre d'élèves venus de tous pays, parmi lesquels George Baker, Lynne Davis, Ann Labounsky, Susan Ferré, Kathleen Thomersonn (États-Unis), Jean Overduin (Canada), Ewald Kooiman (Pays-Bas), Wolfgang Sieber (Suisse), Thomas Daniel Schlee (Autriche) et, pour la France, Pierre Cogen (organiste honoraire de Sainte-Clotilde à Paris), Jean-Baptiste Courtois (organiste titulaire de Saint-Gervais à Paris), Marie-Bernadette Dufourcet-Hakim (professeur à l'Université Michel-de-Montaigne de Bordeaux), Marie-Agnès Grall-Menet (organiste titulaire de Saint-Nicolas du Chardonnet à Paris) à qui il a dédié son premier Prélude et Fugue opus no 1, Naji Hakim (compositeur), Marie-Louise Jaquet-Langlais, sa deuxième épouse (musicologue), Odile Jutten (organiste titulaire de la cathédrale d'Evreux), Michelle Leclerc, etc. Il est enterré à Escalquens, près de Toulouse, avec sa première femme Janette et sa fille Janine. Le Grand Orgue de la Basilique Sainte-Clotilde est un des chef
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Paris (Paris)
Jean-Sébastien Bach* - André Stricker ‎– "De L'Exécution Des Agréments Dans LES CHORALS ORNÉS" - "Du Phrasé Et De L'Articulation Dans LES HUIT PETITS PRÉLUDES ET FUGUES" Label: Arion ‎– ARN 36368 Format: Vinyl, LP, Album  Country: France Sortie:   Genre: Classical Style: Baroque, Choral Tracklist  Les Chorals OrnésA1Liebster Jesu, Wir Sind Hier BWV 731 (Bien-Aimé Jésus, Nous Sommes Là)2:27A2Herzlich Tut Mich Verlangen BWV 727 (de Tout Coeur J'aspire à Une Fin Heureuse)2:36A3Ich Ruf Zu Dir, Herr Jesu Christ BWV 639 (je Crie Vers Toi, Seigneur Jésus-Christ)2:38A4Wer Nur Den Lieben Gott Lässt Walten BWV 691 (Celui qui laisse régner le Bon Dieu)3:40A5Herr Jesu Christ, Dich Zu Uns Wend BWV 709 (Seigneur Jésus Christ, Tourne Toi Vers Nous)3:15A6Jesu, Meine Zuversicht BWV 728 (Jésus Est Ma Sûreté)1:53A7Wenn Wir In Höchsten Nöten Sein BWV 641 (Quand Nous Sommes Dans La Plus Grande Détresse)2:11A8O Mensch, Bewein Dein Sünde Gross BWV 622 (O Homme, Pleure Tes Grands Péchés)6:46Les Huit Petits Préludes Et FuguesB1Prélude Et Fugue n° 1 En Do Majeur BWV 5532:12B2Prélude Et Fugue n° 2 En Ré Mineur BWV 5543:05B3Prélude Et Fugue n° 3 En Mi Mineur BWV 5553:25B4Prélude Et Fugue n° 4 En Fa Majeur BWV 5562:31B5Prélude Et Fugue n° 5 En Sol Majeur BWV 5573:08B6Prélude Et Fugue n° 6 En Sol Mineur BWV 5583:49B7Prélude Et Fugue n° 7 En La Mineur BWV 5592:30B8Prélude Et Fugue n° 8 En Si Bémol Majeur BWV 5603:50 Sociétés, etc. - Phonographic Copyright (p) – Arion - Distributed By – CBS Disques - Recorded At – L'Eglise Saint-Léon de Strasbourg Crédits - Composed By – Johann Sebastian Bach - Engineer – Claude Morel - Organ – André Stricker - Technician – Monique Vaysse André Stricker a étudié au Conservatoire national de Strasbourg, où il a obtenu le 1er prix d'orgue, de piano et d'harmonie respectivement. De 1954 à 1972, il a été professeur de musique au Collège protestant de Strasbourg, puis de 1972 à 1996 au Conservatoire de Strasbourg. De 1960 à 1967, il est également organiste et cantor de l'église Saint-Guillaume de Strasbourg. Stricker a enregistré plusieurs CD de musique d'orgue baroque et a composé pour divers instruments et instrumentations. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) André Stricker studierte am Nationalkonservatorium Straßburg, wo er jeweils einen 1. Preis für Orgel, Klavier und Harmonie errang. 1954 bis 1972 war er Professor für Musik an der protestantischen Hochschule Straßburg, 1972 bis 1996 am Konservatorium in Straßburg. 1960 bis 1967 war er zudem Organist und Kantor der Kirche St. Guillaume in Straßburg. Stricker spielte verschiedene CDs mit barocker Orgelmusik ein und komponierte für verschiedene Instrumente und Besetzungen. Cet instrument, logé dans un buffet parfaitement rectangulaire à caissons, a été construit par Gaston Kern, et inauguré le 06/02/1972.  --- L'orgue Ibach --- Historique En 1925, l'église du Schluthfeld fut dotée du mobilier de Haguenau, Collège des Missions africaines (à l'époque le "Knaben Besserungs und Erziehungsanstalt"), qui incluait un petit orgue Ibach (I/P? 4j). [IHOA] Toujours en 1925 (en fait à l'occasion du déménagement) Edmond-Alexandre Roethinger compléta l'orgue en ajoutant un second manuel. [IHOA] Composition, 1925 Grand-orgue, 54 n. (C-f''') Geigenpricipal 8' Flaut major 8' Prestant 4' Trompette 8' Récit expressif, 54 n. (C-f''') Bourdon 8' Aeoline 8' Voix céleste 8' Pédale, 27 n. (C-f') Soubasse 16' [IHOA] Il existe une photo de cet instrument. Visuellement, il n'était pas dépourvu d'originalité: le corps central (à l'évidence la partie "Ibach") était constitué de trois plates faces en arcs plein-cintre (celle du milieu légèrement plus haute), les larges boiseries blanches dessinant des volutes. Cet élément central était encadré de deux toure
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