Dave premier

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CD Album CD Code EAN: 5099748112521 Rubrique principale CD: CD Album Titre: Dave - Premier Album Genre musical: Chanson française Classification CDMail: Variétés internationales Référence fabricant CD: 751536 Classification Cd Primaire: Rock, Rap, variétés internationales Ressum: 2

LP US ORIGINAL sorti en 1964  The DAVE CLARK FIVE "GLAD ALL OVER" ALBUM PROMO COLLECTOR - RARE -  RÉFÉRENCE : EPIC LN 24093   Album Description Glad All Over est le premier album studio du groupe de rock anglais Dave Clark Five. Epic Records a sorti l’album en mars 1964 aux États-Unis pour capitaliser sur le succès de la chanson-titre des albums du même nom, et malgré la légende disant "Featuring Bits and Pieces", le single n’est devenu un succès que deux mois plus tard. L’album contient certaines de leurs chansons à succès comme "Glad All Over", "Bits and Pieces" et "Do You Love Me". Il s’agit d’une sortie de label Epic Records sur fond jaune. Cette sortie est une PROMOTION MONO avec le groupe avec des instruments. Glad All Over is the debut studio album by the English rock band the Dave Clark Five. Epic Records released the album in March 1964 in the United States to capitalize on the success of the albums' title track by the same name, and despite the caption saying "Featuring Bits and Pieces", the single did not become a hit until two months later. The album contains some of their hit songs like "Glad All Over", "Bits and Pieces" and "Do You Love Me". This is a yellow background Epic Records label release. This release is a PROMOTIONAL MONO release with the band with instruments. POCHETTE :  EX++ PRESSAGE : US VINYLE : MINT - EXCELLENTE ECOUTE  LABEL "MINT"   2005

Abba - Army Of Lovers - Sanne Salomonsen ABBA - The Tribute CD Polar ‎– 517 465-2 1992 Sweden EX/EX 1 –Army Of Lovers Hasta Manana Backing Vocals – Lilling Palmeklint, Malin Bäckström Engineer – Per Adebratt Keyboards, Programmed By – Anders Wollbeck Photography By – Carl-Johan Paulin Producer – Alexander Bard, Anders Wollbeck, Per Adebratt 3:15 2 –Sanne Salomonsen Knowing Me, Knowing You Backing Vocals – Peter Schiotz* Bass – Lars Danielsson Co-producer – Sanne Salomonsen Engineer – Flemming Rasmussen, Nikolej Steen* Guitar – Henrik Tvede Keyboards, Guitar, Drums, Programmed By, Backing Vocals – Nikolaj Steen Photography By – Robin Skjolborg* Producer – Nikolej Steen* Vocals – Sanne Salomonsen 4:08 3 –Pelle Almgren & Wow Liksom Does Your Mother Know Engineer – Carl Michael Herrlöfsson* Photography By – Anders Thessing Producer – Carl-Michael Herrlöfsson 4:03 4 –Freda' The Winner Takes It All Bass – Mats "Limbo" Lindberg Engineer – Martin Karaoglan Mixed By – Freda', Kaj Erixon Photography By – Jonas Linell Producer – Freda' 4:45 5 –Rob'N'Raz*, DLC Dancing Queen Backing Vocals – Paula Torro Engineer, Programmed By – DJ Chippe, DJ Lounge Executive-Producer – Jonas Siljemark Keyboards – Mr X (7) Keyboards, Programmed By [Additional] – DJ Lounge Mixed By – Lennart Östlund Performer [First Player] – DJ Spiken Photography By – Peter Gehrke Producer – Rob'n'Raz* 4:49 6 –Papa Dee Eagle Drums, Percussion, Backing Vocals – "Fluxy"* Engineer – John "Speedy" Tuitt* Keyboards, Bass, Backing Vocals – "Mafia"* Lead Vocals – Papa Dee Photography By – Mats Oskarsson* Producer – Dave "Fluxy" Heywood*, Leroy "Mafia" Heywood, Papa Dee 4:02 7 –Irma* The Name Of The Game Bass – Lars "Danmark" Danielsson* Drums, Percussion – Magnus Persson Engineer – Lennart Östlund Horn – Anna Axelsson Keyboards – Patrick Frisk Photography By – Christer Jansson (3) Producer – Billy Bolero Trombone – Nils Landgren Trumpet – Hans Dyvik, Leif Lindvall 4:32 8 –Sator Ring Ring Engineer – Peter Mark Photography By – Lennart Sjöberg Producer – Michael Ilbert, Sator 2:33 9 –Stonecake SOS Engineer – Stefan Glaumann Photography By – Christer Jansson (3) Producer – Jacob Hellner 3:41 10 –Beagle (3) Dum Dum Diddle Photography By – Peter Gehrke Producer – Beagle (3), Martin Hennel Recorded By, Mixed By – Martin Hennel 3:11 11 –Mats Ronander On And On And On Bass Guitar, Backing Vocals – Nalle Påhlsson Engineer – Lennart Östlund Instruments [The Rest] – Max Lorentz Lead Vocals, Lead Guitar – Mats Ronander Photography By – Magnus Reed Producer – Max Lorentz 4:20 12 –Electric Boys King Kong Song Engineer – Lennart Östlund Photography By – Peter Gehrke Producer – Conny Bloom 3:51 Un MAXI CD est un CD single avec un boitier plastique fin (Jewel case) ou digipack et avec de 1 à 5 titres (Track) (quelquefois plus). C'est le format Cd qui a remplacé le MAXI 45T vinyl.   °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° WELCOME TO THIS PAGE - BUY WITH CONFIDENCE !! BIENVENUE - ACHETEZ EN TOUTE CONFIANCE !! PORT GRATUIT POUR ARTICLES SUPPLEMENTAIRES !  (Vous ne payez le port que pour le premier article acheté) Free shipping for additional items !!  (You will pay postage only for the first item !! °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° Etat des disques: L'etat de la pochette est indiqué en premier. EX = Excellent etat La pochette peut avoir quelques très discrètes rayures et/ou des petits plis. Le CD montre des signes d'avoir été joué mais pratiquement comme neuf.  VG = tres bon etat La pochette présente des signes de manipulations évidents: extrémité légèrement cornée, étiquette du prix, plis. Mais aucun défaut majeur. Il se peut aussi qu'elle soit en parfaite

EXCEPTIONNEL ! made in USA ! ATLANTIC RHYTHM & BLUES coffret historique de 7 doubles LP. Les 14 LP sont dans un état exceptionnel, proche du neuf et dans leurs pochettes intérieur d'origine. Le coffret lui, présente des signes d'usure sans gravité pour les albums Superbes coffret de 7doubles albums. Ce coffret présente une véritable bible de références pour le néophyte (les connaisseurs chériront l'objet plus que le contenu). En 7 LP, ce coffret somptueux - et devenu rare -offre un panel de titres allant des origines du précieux label au tournant funk avant l'avènement du disco (The Spinners) au début des années 70. Le livret, fort intéressant, est doté d'une iconographie soignée et de précieuses informations sur les groupes présentés ainsi que les enregistrements (plus rien ne vous échappera !) Enfin, certains enregistrements chez Stax (Aretha Franklin, Booker T. & the MG's) figurent parmi la sélection. Un trésor unique, doublé d'une introduction typique. Une des dernières grandes compilations, échafaudée avec soin. Ce coffret de sept LP devrait faire partie de toute collection qui prétend prendre au sérieux la musique américaine - pas seulement le rock& roll ou le Rhythm & blues. Atlantic Records était l'un des dizaines de labels indépendants lancés après la guerre par des cadres et des producteurs néophytes, mais il était différent de la plupart des autres en ce sens que les gars qui le dirigeaient étaient honnêtes et aimaient vraiment la musique. Couplés à beaucoup de chance et à un bon jugement, les résultats retracent une bonne partie de l'histoire de la musique et de la culture populaire américaines. Le premier disque s'ouvre sur des coupes qui se situent quelque part à mi-chemin entre le jazz, le bop et la musique "race" (comme le terme était alors utilisé). Le deuxième disque est du R&B pur et distillé, le truc remplissant les ondes de la radio noire et les juke-box dans les "mauvais" quartiers de la ville en1952-54. Étonnamment, le matériel sur le disque trois, couvrant1955-57, n'est pas très différent du contenu ou du caractère du disque deux, malgré le fait qu'il couvre la période où les adolescents blancs commençaient à écouter et à acheter ces disques en grand nombre. Ce n'est qu'avec le disque quatre que l'on voit les conséquences de la fin des années 50 --Ray Charles dans ses derniers jours avec le label, juxtaposé aux Drifters dans leur incarnation post-1958 et au début de la relation de la société avec Stax/Volt Records. Le disque six (1965-67) est pratiquement un mini-hommage à Stax/Volt, rempli des faces les plus connues d' Eddie Floyd , Otis Redding , Sam & Dave et Booker T. &the MG's . Les disques sept et huit vont de la fin des années 60 et de l'apogée d' Aretha Franklin à une grande soul du début des années 70, dont Roberta Flack et les Spinners . IMPORTANT ! Pour l'expédition par Mondial Relay, j'ai besoin del’adresse de VOTRE commerce Mondial Relay, car indique defaçon aléatoire un point Relay qui n’est pas forcément le vôtre. Ainsi quevotre adresse mail ou votre N° de téléphone pourvous avertir de l’arrivée du colis. Bonne enchère.

CD 13 titres en très bon état. Envoi rapide et soigné. Réf. B3. Archive n'est pas vraiment un groupe. Plutôt une entité mutante à géométrie variable, une arborescence en perpétuelle évolution. Depuis leur apparition il y a plus d'une décennie, ce collectif britannique a en effet régulièrement fait table rase du passé, passant à travers différentes métamorphoses du trip-hop au rock progressif, des sonorités électro à d'autres plus organiques. Leur septième album «Controlling Crowds» est le résumé de tout cela, à la fois un retour aux sources et une synthèse de leurs influences. Manifeste de treize chansons divisé en trois chapitres, ce disque se présente comme une idéale passerelle entre Prodigy, Pink Floyd et le Massive Attack des origines. Avec un propos: En Français, « Controlling Crowds» signifie en effet contrôler les foules. Explications en substance de ses auteurs: «L'Histoire de l'humanité nous prouve que l'obsession de la domination et du contrôle de l'autre est toujours justifiée par les philosophies et les croyances. Le chaos de l'humanité est une chose magnifique. Mais est ce pour autant que cette beauté doit devenir uniformité ? La société occidentale est devenue déconnectée avec elle-même, centrée sur elle-même et méprisante avec l'environnement. Le progrès est trompeur: Nous possédons et produisons bien plus que nos besoins et nous nous laissons fasciner et écraser par ces conforts. Des facilités qui nous empêchent d'aborder la vie d'une façon simple et instinctive.» L'inspiration d'Archive pour ce «Controlling Crowds» résulte de ce constat, de la vision d'un monde où les hommes n'ont jamais été à la fois aussi libre et aussi subtilement manipulé. Maître en télescopages entre brutalité sonore et désirs romantiques, Archive fonce alors droit dans le mur du futurisme. Évoquant, par la seule force de sa musique, une foule d'images en cinémascope. Comme l'atteste le premier single extrait «Bullets» et son clip réalisé par les anglais d'Hello Charlie, une angoissante plongée dans un univers façon «Blair Witch Project» chantée par Pollard Berrier, membre du groupe vocal Bauchklang. Au centre de maelström règnent toujours le claviériste Darius Keeler et le spécialiste des effets sonores Danny Griffiths, pierres angulaires d'Archive depuis sa genèse. Entre leurs mains, la musique devient matière, les mots des slogans. A l'image du morceau d'introduction donnant son titre à l'album qui semble annoncer l'apocalypse avec ses rythmes industriels. Mais Archive sait aussi se faire caressant avec «Words on signs» où dominent une ligne de piano et la voix de Dave Pen. Avant de replonger dans les accélérations fulgurantes de « Dangertwist», le hip-hop vénéneux de «Quiet Time» asséné par Rosko John et les ambiances brumeuses de «Collapse/Collide» et de «Clones». Retour au rap tordu avec « Bastardised Ink», enchaîné avec le plus pop «Kings of speed». Place ensuite à la superbe ballade «Whore», porté par l'organe de Maria Q. Une trêve respectée dans «Chaos», abolie dans l'électro de «Razed to the ground» puis rétablie avec le bouquet final «Funeral» et sa ligne de basse hypnotique soulignée par une envolée de chour. Renouvellement, fidélité et retour au sources, donc, pour Archive qui se pose une nouvelle fois comme une formation aussi douée qu'inclassable. En savoir plus Collaboration commerciale.