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Dictionnaire biographique artistes


Liste des meilleures ventes dictionnaire biographique artistes

France (Toutes les villes)
Livre Livres Code EAN: 9782350910871 Titre: Dictionnaire Biographique des Artistes II - la Grande Histoire de L'art Tome 23 Livres / Format: Broché Livres / Période: Livre édité depuis 1980 Livres / Taille: Grand, + de 1kg
5,5 €
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Livre Livres Code EAN: 9782906278493 ISBN: 2906278491 Disponibilité: Disponible Titre: Dictionnaire Biographique De La Haute Loire Ressum: 1 Livres Origine: Decitre Propriétaire: Decitre Livres / Format: Beau livre Livres / Période: Livre édité depuis 1980 Lieu de parution: Polignac, France ClassificationDecitre 1: Littérature française
28 €
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Livre Livres Code EAN: 9782035054135 ISBN: 2035054133 Propriétaire: Decitre ClassificationDecitre 1: Beaux arts Titre: Nouveau Dictionnaire Des Artistes Contemporains Disponibilité: Disponible ClassificationDecitre 2: Mouvements artistiques Lieu de parution: Paris Cedex 06, France ClassificationDecitre 3: Art contemporain Livres / Format: Broché Classification Titelive Secondaire: Arts Et Spectacle:Monographie / Histoire De L'Art / Essais / Dictionnaires Classification Titelive Primaire: Arts et Spectacles Livres Origine: Decitre Ressum: 2 Livres / Période: Livre édité depuis 1980
3,83 €
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France (Toutes les villes)
Livre Livres Code EAN: 9782035080219 ISBN: 2035080215 Propriétaire: Decitre ClassificationDecitre 1: Beaux arts Titre: Petit Dictionnaire Des Artistes Modernes Disponibilité: Disponible ClassificationDecitre 2: Histoire de l'art Lieu de parution: Paris Cedex 06, France Livres / Collection: Comprendre & Reconnaître ClassificationDecitre 3: Dictionnaires d'art Livres / Format: Broché Classification Titelive Secondaire: Arts Et Spectacle:Monographie / Histoire De L'Art / Essais / Dictionnaires Classification Titelive Primaire: Arts et Spectacles Livres Origine: Decitre Ressum: 1 Livres / Période: Livre édité depuis 1980
4,80 €
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Titre : Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne, tomes 1, 2, 3 et 4. Auteurs : Alphonse-Victor Angot, Ferdinand Gaugain Langue : Français Éditeur : manutention (Mayenne) 1986 4 volumes In8 relié Silvertex vert titres doré
270 €
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Livre Livres Code EAN: 9782864103660 ISBN: 2864103664 Propriétaire: Decitre Livres Origine: Decitre ClassificationDecitre 1: Régionalisme Ressum: 2 Livres / Période: Livre édité depuis 1980 Titre: Dictionnaire Historique Et Biographique Du Comté De Nice Disponibilité: Disponible Lieu de parution: Nice, France Date: 01/01/2002 Livres / Format: Broché
30 €
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WHO'S WHO  IN  FRANCE DICTIONNAIRE BIOGRAPHIQUE 1985 - 1986 Très bon état pour ce célèbre ouvrage sauf trace  marquée sur reliure. Format 30,5  x  22 1503 pages + nombreuses pages sans N° RÉDUCTION  des frais de port pour tous achats groupés. Pour vous fournir des frais de port avantageux cet objet et livré en  Point relais  (avec MONDIAL RELAY.)  Merci de nous indiquer le  Point Relais  de votre choix en consultant leur site.   Si vous préférez une livraison  plus rapide & à domicile  vous pouvez le faire en choisissant La poste.   For international please contact us.  
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France (Toutes les villes)
Livres Beaux arts Livres Code EAN: 9782909034270 ISBN: 2909034275 Propriétaire: Decitre ClassificationDecitre 1: Beaux arts Titre: Les Artistes De L'algérie - Dictionnaire Des Peintres, Sculpteurs, Graveurs 1830-1962 Disponibilité: Disponible ClassificationDecitre 2: Histoire de l'art Lieu de parution: Paris, France ClassificationDecitre 3: Dictionnaires d'art Contributeur: Éditeur: Bernard Giovanangeli Editeur Livres / Format: Relié Classification Titelive Secondaire: Arts Et Spectacle:Monographie / Histoire De L'Art / Essais / Dictionnaires Classification Titelive Primaire: Arts et Spectacles Livres Origine: Decitre Ressum: 2 Livres / Période: Livre édité depuis 1980
45 €
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France
Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Pictures below and english translation 下面的照片。. Photographies au -dessous. * Médaille Marcel Cachin Homme politique SFIO Fides Spes par Muller Medal 铜牌. * Medal Marcel Cachin Politician SFIO Fides Spes by Muller Medal 铜牌 MEDAILLE Medalla Medaglia Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne à partir de 1880)  . 1987 Belle frappe. En bon état . Quelques rayures et oxydations minimes. Vous pouvez consulter attentivement les photos ci-dessous merci Graveur: Muller. Avers: Profil M Cachin (Photo) Revers :Allégorie de la foi et l'espérance.  (Photo) Dimension: 68 mm. Poids: 172 g. Métal: Bronze Poinçon tranche: Corne + bronze + 1987 . Vous pouvez consulter notre boutique pour consulter nos nombreuses autres médailles. Reduction des frais d'envoi pour les achats groupés Photos ci-dessous. Médaille de bronze en la Monnaie de Paris (ailes de Poinçon des actions de 1880). 1987 Belle frappe. Regardez bien l'âge. QUELQUES RAYURES oxydations et basse. Vous pouvez les les photos ci-Dessous entreprise de consultation attentivement Graveur: Muller. Moyenne: 1000 profil Cachin (Photo) Retour: Allégorie de la foi et espérance l'. (Photo) Dimensions: 68 mm. Poids: 172 g. Métal: Bronze Poinçon tranche: Bronze corne + + 1987. You can visit our shop to see our many other medals. Reduction of shipping for bulk purchases Photos below. Envoi rapide et soigné.   ____________________________________________________________ More photos ? Contact us Pour des photos supplémentaires contactez nous par email   breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 45 21 05 48 Abroad: 0033 645 210 548 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Marcel Cachin Aller à: Navigation, rechercher Marcel Cachin Fonctions Parlementaire français Député 1914 -1936 puis 1945 -1958 Sénateur 1936 -1940 Gouvernement IIIe République -IVe République Groupe politique SFIO (1914 -1921) SFIC (1921 -1958) Biographie Date de naissance 20  septembre  1869 Date de décès 12  février  1958 Résidence Seine modifier   Gilles, Marcel Cachin né à Paimpol 1 2, le 20  septembre  1869, et mort à Choisy-le-Roi, le 12  février  1958) est un homme politique français. Sommaire * 1 Biographie * 1.1 Jeunesse, formation et débuts professionnels * 1.2 Parcours politique * 1.3 Famille * 1.4 Hommage * 2 Élections présidentielles * 3 Source * 4 Lien externe * 5 Références Biographie Jeunesse, formation et débuts professionnels Il est le fils de Marcel Cachin, un gendarme, et de Marie-Louise Le Gallou, fileuse de lin. Après des études au lycée Saint-Charles de Saint-Brieuc et à celui de Rennes, il suit les cours de la faculté des lettres de Bordeaux et passe sa licence en 1893. Il est professeur de philosophie à Bordeaux pendant quinze ans. Toute sa vie, il fut très attaché au breton « langue de la paysannerie et du prolétariat breton ». Parcours politique Dès 1891, Marcel Cachin adhère au Parti ouvrier français de Jules Guesde. Il participe aux congrès socialistes d'Amsterdam (1904) et de Paris (1905), ce dernier prononçant la création de la SFIO qu'il rejoint. Élu député de 1914 à 1932, il se rallie à la politique d'union nationale pendant la Première Guerre mondiale, et soutient donc la guerre. Il est envoyé en mission en Russie en 1917. En 1920, lors du congrès de Tours, il est l'un des fondateurs du Parti communiste français et fait partie de la majorité approuvant la révolution russe et le bolchévisme. Il adhère alors à la IIIe Internationale. En 1923, il est emprisonné pour ses prises de position contre l'occupation de la Ruhr et la présence française au Maroc. En 1936, il est l'un des piliers du Front populaire. Refusant de désavouer le pacte germano-soviétique et suivant la ligne du Parti, il est déchu de ses fonctions politiques en 1940. Pendant l'Occupation, confronté à la question des premiers otages suite aux attentats perpétrés contre les soldats allemands, il rédige une lettre dans laquelle il condamne les attentats individuels contre l'armée allemande. Des extraits de cette lettre sont repris par le Parti ouvrier et paysan français, parti composé d'anciens élus du Parti communiste français dans un but de propagande pour la Collaboration3. Il ne sera pas inquiété à la Libération pour cet écrit. Il mène, pendant la guerre, une existence clandestine dans son village natal puis en région parisienne. Après la Libération, il reprend ses activités jusqu'à sa mort en 1958. Directeur de L'Humanité (1918 -1958), il est membre du bureau politique du Parti communiste français (1923 -1958) et sénateur (1935), puis député de la Seine (1946). Après la guerre, il est député doyen de l'Assemblée nationale, et ce jusqu'à sa mort. À l'âge de 88 ans, il est le premier étranger à être décoré de l'ordre de Lénine. Il est inhumé au cimetière du Père-Lachaise, à Paris. Famille Sa fille Marcelle Cachin (1911 -1998) épousa Paul Hertzog, chirurgien. Elle-même médecin, elle était membre du parti communiste et député. Sa petite-fille, Françoise Cachin (1936 -2011), était historienne d'art et conservateur de musée. Hommage Plusieurs groupes scolaires portent son nom, notamment à Bezons, Villejuif, Orly, Échirolles, Vitry-sur-Seine, Champigny-sur-Marne, Choisy-le-Roi ou Romainville Élections présidentielles * 1931, candidat pour le PCF et obtient 10 voix sur 901 au premier tour (soit 1,1 % des suffrages), puis 11 voix sur 893 au second tour (soit 1,23 % des suffrages). * 1932, candidat pour le PCF, obtient 8 voix sur 826 (soit 0,96 % des suffrages). * 1939, candidat pour le PCF, obtient 74 voix sur 916 (soit 8,07 % des suffrages). * Présidentielle de 1953, candidat pour le PCF, obtient 113 voix sur 928 (soit 12,18 % des suffrages) Source * Jean-Loup Avril, Mille Bretons, dictionnaire biographique, Éditions Les Portes du large, Saint-Jacques-de-la-Lande, 2002. (ISBN 2-914612-10-9) * Les Carnets de Marcel Cachin, 1906-1947, Paris, CNRS Éditions, 1997, 1270 p. Présentation par Denis Peschanski, Yves Santamaria et Serge Wolikow. Lien externe * Fiche sur le site du Sénat Références * ↑ http://www.plourivo.fr/pages/personnages_histoire.php  ] * ↑ Registres paroissiaux http://sallevirtuelle.cotesdarmor.fr/EC/ecx/consult.aspx?image=090025535936517  ] * ↑ L'affaire Cachin  ], rene.merle.charles.antonin.over-blog.com, 23 août 2012
45,65 €
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La Chapelle Caro (Morbihan)
A Giorgio Vasari Aretino Storico Degli Artisti - Architetto e Pittore - 1511-1574 L'Ente Provinc. Le per il Turismo 1974 Gori & Zucchi R. Carboni - E. Scatragli Diamètre: 70 mm - Épaisseur: 4 mm Poids: 180 grammes contact@antikpapers.com ba320 -- Giorgio Vasari (30 juillet 1511 à Arezzo - 27 juin 1574 à Florence) est peintre, architecte et écrivain toscan. Son recueil biographique Les Vies des meilleurs peintres, sculpteurs et architectes, particulièrement sa seconde édition de 1568, est considéré comme une des publications fondatrices de l'histoire de l'art. Sommaire     1 Biographie     2 Citations à son propos     3 Les Vies des meilleurs peintres, sculpteurs et architectes     4 Œuvres     5 Bibliographie     6 Notes et références     7 Voir aussi         7.1 Articles connexes         7.2 Liens externes Biographie Le clocher-mur de la fraternité laïque à Arezzo Tableau généalogique de Vasari publié dans l'édition de Gaetano Milanesi (it), 18781 Né dans une famille modeste, sur la recommandation de son cousin Luca Signorelli, il devient l'élève de Guglielmo da Marsiglia, un peintre habile de vitraux. À 16 ans, le cardinal Silvio Passerini l'envoie poursuivre ses études à Florence, près d'Andrea del Sarto et de ses élèves Rosso Fiorentino et Jacopo Pontormo. Son éducation d'humaniste n'est pas négligée et il rencontre Michel-Ange dont le modèle de peinture l'a influencé. En 1529, il visite Rome et étudie les travaux de Raphaël et d'autres artistes de la Haute-Renaissance romaine. Ses propres peintures maniéristes ont été davantage admirées pendant sa vie qu'après. Il est employé par les maîtres des maisons de la famille Médicis à Florence et à Rome et il travaille aussi, entre autres, à Naples, à Arezzo. Plusieurs de ses travaux existent encore, du plus important, les peintures des murs et du plafond dans la grande Salle de Cosme Ier du Palazzo Vecchio à Florence, datant de 1555, aux fresques inachevées à l'intérieur de la vaste coupole du Duomo, terminées par Federigo Zuccaro et avec l'aide de Giovanni Balducci. Il organise la décoration du Studiolo de François Ier du Palazzo Vecchio, plutôt comme directeur des productions artistiques qui doivent y apparaître que comme artiste producteur d'œuvres. Sa production architecturale est plus importante que celle de peintre. La loggia des Offices allant du Palazzo Vecchio et débouchant sur l'Arno ouvrant une vue au bout de sa longue cour étroite est un morceau unique d'urbanisme qui fonctionne comme une place publique, le piazzale des Offices, unique rue de la Renaissance avec un seul traitement architectural. Il est, à partir de 1553, un proche des Médicis à Florence et fonde l'Académie de dessin de Florence en 1563, avec le grand-duc et Michel-Ange comme premiers directeurs de l'établissement et de trente-six artistes choisis comme membres. En mars 1565, il écrit, pour le mariage de François de Médicis et de Jeanne d’Autriche, la Mascarade de la généalogie des dieux, dont il publie le livret. La même année, il conçoit à Florence le Corridoio reliant le Palazzo Vecchio au Palais Pitti, le construit en cinq mois, commandité par Cosme Ier et inauguré pour le mariage de son fils François. Ce corridor permettra aux Médicis de circuler sans escorte et sans descendre dans la rue pour traverser l'Arno par le Ponte Vecchio, tout en admirant les nombreux tableaux qui l'ornent (beaucoup d'autoportraits depuis Léopold de Médicis) et la ville par ses fenêtres. Il rénove également les églises médiévales Santa Maria Novella et Santa Croce, et transforme le jubé et la chaire dans le goût maniériste de son temps. À Rome, Vasari travaille avec Giacomo Barozzi da Vignola et Bartolomeo Ammanati pour la Villa Giulia du pape Jules III. Vasari, qui aura été apprécié pendant toute sa vie, amasse une fortune considérable. En 1547, il se fait construire une maison à Arezzo (maintenant un musée qui lui est consacré), et consacre beaucoup de son temps et de son énergie à décorer les murs et les voûtes. Il est élu au conseil et priori municipal de sa ville natale, et est finalement élevé au titre suprême de gonfalonier. Écrivain également, il est l'auteur du précieux recueil intitulé Les Vies des plus excellents peintres, sculpteurs et architectes (Le Vite de' più eccellenti pittori, scultori e architettori) (1560-1570). Cet ouvrage est d'une importance majeure, car il pose les bases des premières approches méthodologiques de l'histoire de l'art - (approche historique et méthode biographique). Citations à son propos     « Ce fut un homme aimable, d'une belle figure, doué de quelques petits talents, de beaucoup d'adresse, et de persévérance, et d'une de ces âmes froides, très convenables pour faire son chemin dans le monde, et pour être un plat artiste. » — Vasari vu par Stendhal dans Histoire de la peinture en Italie     « Vasari, le Georges à tout faire de Michel-Ange, quinze siècles après le ministre d'Auguste, est le Mécène de la renommée. Il a fait et défait les réputations. Peintre détestable, architecte sans goût, juge sans équité, Jules Romain de la critique et de la Toscane, Vasari n'en est pas moins un des plus précieux Italiens de la Renaissance, et son livre un des trésors que l'on doit à l'Italie. » — André Suarès, Le Voyage du condottière, p. 362 Les Vies des meilleurs peintres, sculpteurs et architectes Couverture de Le Vite Article détaillé: Le Vite. Le Vite de' più eccellenti pittori, scultori e architettori (1550-1568). Édité une première fois en 1550, il fait l'objet d'une seconde édition en 1568. La première édition ne comportait, en réalité, que les vies des auteurs décédés durant l'écriture de son ouvrage. Pourtant une exception venait infirmer la règle, c'est celle de Michel-Ange qui y figurait déjà lors de la première édition. Giorgio Vasari y ordonne les artistes qui l'ont précédé ou qui lui sont contemporains dans une perspective historique. Il rassemble des données, tant sur les artistes que sur leurs œuvres (enquêtes biographiques, catalogues des œuvres, anecdotes et légendes). Il est le premier, dans Les Vies, à utiliser le terme Renaissance pour qualifier son époque (rinascimento de la bella maniera incarnée par Raphaël et Michel-Ange dont le but est l'imitation du travail des anciens et qui apparaît selon lui dans la seconde moitié du XIIe siècle). Cet ouvrage apparaît, aujourd'hui, comme un des éléments fondateurs de l'Histoire de l'art. C'est de Vasari que viendrait le terme « gothique », comparant l'étrange architecture du Moyen Âge avec la barbarie du peuple des Goths. Œuvres La Déposition de la Croix (vers 1550), au musée de la Chartreuse de Douai. Judith et Holofernes (vers 1554), Musée d'art de Saint-Louis, Saint-Louis     Déposition du Christ (1532), huile sur panneau, 144 × 113 cm, Arezzo, Maison natale de Vasari.     Sainte Famille avec saint Jean Baptiste et saint François d'Assise2, Musée des beaux-arts de Bordeaux.     Portrait de Laurent le magnifique (vers 1534), huile sur panneau, 90 × 72 cm, Galerie des Offices, Florence.     Portrait d'Alexandre de Médicis (vers 1534), huile sur panneau, 157 × 114 cm, Galerie des Offices, Florence.     Le Christ chez Marthe et Marie (1539-1540), huile sur panneau, 404 × 250,6 cm, Bologne, Pinacoteca Nazionale.     Déposition de la croix (1540 ca), huile sur toile, 311 × 210 cm, Camaldoli, Chiesa dei Santi Donato e Ilariano.     La Cène de Saint Grégoire le Grand (1540, huile sur panneau, 403 × 255 cm, Bologne, Pinacoteca Nazionale.     Allégorie de l'Immaculée conception (1541), huile sur panneau, 58 × 39 cm, Galerie des Offices, Florence.     La Tentation de saint Jérôme (vers 1541), huile sur panneau, 169 × 123 cm, Florence, Palais Pitti, Galerie Palatine.     La Sainte Famille avec sainte Anne (1541-1547), Musée de Grenoble.     La Sainte famille avec saint François (1542), huile sur toile, 184 × 125 cm, Los Angeles, County Museum of Art.     La Justice (1542), huile sur toile, Venise, Gallerie dell'Accademia.     Allégorie de la Justice, la Vérité et la rumeur (1543), huile sur panneau, 353 × 252 cm, Naples, Museo di Capodimonte.     Venus et Cupidon (vers 1543), huile sur panneau, 131 × 199 cm, Windsor, Royal Collection.     Le Pape Paul Farnèse dirige la construction de Saint Pierre (1544 ca), fresque, Rome, Palazzo della Cancelleria.     La Résurection du Christ (1545), huile sur panneau, 117 × 73 cm, Musée Capodimonte de Naples.     La Nativité (1546 ca), huile sur toile, Rome, Galerie Borghèse.     La Sainte Famille avec sainte Anne et saint Jean (vers 1546), huile sur toile, 82 × 60,5 cm, Vienne, Kunsthistorisches Museum.     La Déposition de la Croix (vers 1550), huile sur bois, 174 × 130 cm, musée de la Chartreuse de Douai     Judith décapite Holopherne (vers 1554), huile sur panneau, 108 × 79 cm, Musée d'art de Saint-Louis, Saint-Louis.     La Toilette de Venus (1558), huile sur toile, Stuttgart, Staatsgalerie.     La Lapidation de saint Étienne (vers 1560), huile sur toile, 300 × 163 cm, Musées du Vatican, Pinacoteca Vaticana.     Les Quatre Éléments (vers 1560), Florence, Palazzo Vecchio.     Les Travaux d'Hercule (vers 1560), Florence, Palazzo Vecchio.     L'Annonciation (1564-1567), bois, 216 × 166 cm, Musée du Louvre, Paris. Élément central du triptyque peint pour le maître autel de l'église de Santa Maria Novella d'Arezzo3.     Fresques de la Sala del Cinquecento (1565), Florence, Palazzo Vecchio.     Saint Luc peignant la Vierge (vers 1565), fresque, Florence, Chiesa della Santissima Annunziata.     Autoportrait (vers 1566-1568), huile sur panneau, 100,5 × 80 cm, galerie des autoportraits du Corridor de Vasari, musée des Offices, Florence.     Le Prophète Élisée, huile sur bois (1566), musée des Offices, Florence.     La Forge de Vulcain (1567-1568), musée des Offices, Florence.     Christ dans le jardin de Gestsemani (vers 1570), huile sur panneau, 143,5 × 127 cm, Tokyo, National Museum of Western Art.     L'Adoration des bergers (1570-1571), huile sur panneau, 131 × 69 cm, Chazen, Museum of Art.     Persée et Andromède (1570-1572), huile sur toile, 117 × 100 cm, Florence, Palazzo Vecchio.     Le Laboratoire de l'alchimiste (1570 ca), Florence, Palazzo Vecchio.     Couronnement de la Vierge nommée aussi Pala del Vasari, retable de 1571, 400 × 300 cm, chœur de l'église Sainte-Catherine de Livourne.     L'Incrédulité de saint Thomas (vers 1572), huile sur panneau, basilique Santa Croce de Florence     Le Jugement Dernier (1572-74), fresque, 4 000 m2, Florence, coupole de Santa Maria del Fiore.     Allégories (1545) fresques, Sacristie, Église Sainte Anne des Lombards, Naples     La Dernière Cène, Basilique Santa Croce de Florence)
34,31 €
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La Chapelle Caro (Morbihan)
Gravure ancienne représentant Romain Desèze Dimensions: 9,9 x 7,8 cm Dimensions support: 10,4 x 10 cm Raymond, comte de Sèze, ou plus communément Romain Desèze, est un magistrat et homme politique français né à Bordeaux le 26 septembre 1748 et mort à Paris le 2 mai 1828.Il est choisi pour être le conseil de Marie-Antoinette dans l'Affaire du collier de la reine, et fait acquitter Pierre-Victor de Besenval, accusé de haute trahison (1789). Il est désigné par le roi Louis XVI, au refus de Target, pour être adjoint à ses défenseurs Tronchet et Malesherbes. contact@antikpapers.com Sommaire     1 Biographie         1.1 Sa défense du roi Louis XVI devant la Convention en 1792         1.2 Témoignage du roi Louis XVI         1.3 Autres fonctions         1.4 Publications     2 Mariage et descendance de Raymond de Sèze     3 Notes et références     4 Sources     5 Voir aussi         5.1 Articles connexes         5.2 Liens externes Biographie D'une famille ancienne, il plaide d'abord dans sa ville natale, puis il est appelé à Paris par le ministre Vergennes, il défend à son début la cause des filles d'Helvétius. Il est choisi pour être le conseil de Marie-Antoinette dans l'Affaire du collier de la reine, et fait acquitter Pierre-Victor de Besenval, accusé de haute trahison (1789). Il est désigné par le roi Louis XVI, au refus de Target, pour être adjoint à ses défenseurs Tronchet et Malesherbes. Il plaide avec courage la défense du roi devant la Convention, le 26 décembre 1792. Il est par suite arrêté comme suspect dans sa maison de campagne de Brévannes, près de Corbeil, et détenu à la prison de la Force jusqu'au 31 janvier 1794, puis transféré dans une maison d'où il sort après le 9 thermidor an II (27 juillet 1794). En 1815, il est nommé président de la Cour de cassation et le 17 août 1815 pair de France. Il est élu à l'Académie française le 22 mai 1816 en remplacement de Jean-François Ducis (33e fauteuil), et fait comte le 31 août 1817 par le roi Louis XVIII. Son fils Étienne-Romain (1780-1862) lui succède à la Chambre des pairs2. Raymond de Sèze est franc-maçon, il appartient à la loge les Neuf Sœurs3, qui fut également celle de Voltaire. Il est le frère de Paul-Victor de Seze4 qui perpétue la branche dite « bourgeoise ». Celle-ci porte toujours les armoiries d'avant 1817 décrites ci-dessous. Son neveu, Aurélien, fût célèbre pour l'amitié amoureuse qui le lia dans sa jeunesse à Georges Sand. Il est enterré au cimetière du Père Lachaise (division 53). Tombe de Raymond de Seze (cimetière du Père Lachaise, division 53)     Armes de Raymond de Sèze     Avant 1817: D’azur, à trois tours d'argent, rangées en fasce, accompagnées en chef de deux étoiles d’or et en pointe d’un croissant de même (Armorial de Riestap)5     Après 1817: De gueules, au château de Temple d’argent, accompagné en chef de deux étoiles d’or et en pointe de seize fleurs-de-lis d’argent, 7, 6 et 3 (Armorial de Riestap)5 Sa défense du roi Louis XVI devant la Convention en 1792 Sur la demande de Tronchet et de Malesherbes, le roi accepte un nouveau conseil en la personne de Raymond de Sèze. Ce dernier est averti le 16 décembre 1792 et il se met au travail le 21. Dans la journée il lit les pièces du dossier et la nuit il rédige une plaidoirie. Le 25 décembre il présente son projet au roi et le 26 il plaide devant la Convention. Sa plaidoirie repose sur les points suivants:     incompétence de la Convention et illégalité de la procédure     justifications des grandes décisions du roi depuis la tenue des États généraux autour de l'idée que Louis XVI n'a jamais voulu le malheur de son peuple et qu'il n'a jamais voulu que le sang coule Enfin il s'exclame: « Citoyens, je vous parlerai ici avec la franchise d'un homme libre: je cherche parmi vous des juges et je n'y vois que des accusateurs. Vous voulez prononcer sur le sort de Louis; et vous avez déjà émis votre vœu ! Vous voulez prononcer sur le sort de Louis, et vos opinions parcourent l'Europe ! Louis sera donc le seul français pour lequel il n'existera aucune loi ni aucune forme ? Il n'aura ni les droits des citoyens, ni les prérogatives de roi. Il ne jouira ni de son ancienne condition, ni de la nouvelle. Quelle étrange et inconcevable destinée3 ! » Témoignage du roi Louis XVI « Je prie MM. de Malesherbes, Tronchet et de Seze4 de recevoir ici tous mes remerciements et l'expression de ma sensibilité pour tous les soins et les peines qu'ils se sont donnés pour moi3. » Autres fonctions Nommé par le roi Louis XVIII3:     Grand trésorier de l'ordre du Saint-Esprit     Président du collège électoral de la Gironde Nommé par le roi Charles X3:     Président du collège électoral de la Seine     Ministre d'Etat Publications     Réflexions sur l’établissement de la Caisse de Poissy, Paris: chez Prault, 1790, in-4°, 19 p.     Convention Nationale. Défense de Louis, prononcée à la Barre de la Convention Nationale, le Mercredi 26 Décembre 1792, l'an premier de la République, par le Citoyen Deseze, l'un de ses défenseurs officieux; Imprimé par ordre de la Convention Nationale, Paris: Imprimerie Nationale, 1792. In-8°,, 49, p. Mariage et descendance de Raymond de Sèze En l'église Saint-Nicolas de Graves, Raymond Desèze épouse le 12 mai 1780 Marguerite Brethous veuve Dumas. Celle-ci a 30 ans, elle est la fille d'Étienne Brethous et de Marie Ducercelier, elle a deux filles, Marie et Jenny. Les enfants du couple sont3:     Étienne-Romain de Sèze (1780-1862), premier président de Chambre et Pair de France, il épouse le 12 août 1822 Armande Bernard de Montebise âgée de 33 ans;     Adolphe de Sèze, maître des requêtes au Conseil d'État; il épouse Henriette Alexandrine Clara Morel de Foucaucourt, fille du baron Édouard Morel de Foucaucourt, colonel à l'État major;     Honorine de Sèze, épouse de Hubert Rohault de Fleury, d'abord lieutenant-colonel du Génie puis par la suite directeur de l'École polytechnique, général et pair de France. Notes et références     ↑ Le Grand Dictionnaire universel du XIXe siècle de Pierre Larousse précise: « Bien qu'il ait toujours porté ce prénom de Romain et qu'il l'ait lui-même transmis à son fils aîné, son acte de baptême ne lui donne que celui de Raymond. Son père, Jean Desèze, originaire de la petite ville de Saint-Émilion, ne prenait aucune qualification nobiliaire. Pourtant sa famille était ancienne et appartenait à la noblesse de robe. »     ↑ Raoul de Warren, Les Pairs de France au XIXe siècle, les Cahiers nobles, 1959: voir sous le numéro 426.     ↑ a, b, c, d, e et f André Sevin, de Seze: Défenseur du Roi (1748-1828), François-Xavier Guibert, coll. « Histoire », 31 décembre 1992, 413 p. (ISBN 978-2868392466), p. 55, 94, 215, 320, 329, 376, 385-386, 413.     ↑ a et b André Sevin, de Seze: Défenseur du Roi (1748-1828) - p.1, ndbp 1: « Nous écrivons ce nom sans accent parce que le défenseur de Louis XVI l'écrivait ainsi. Il attachait même une telle importance à cette graphie que nous le voyons, en 1827, demander au procureur général de « "s'occuper... au corps municipal des moyens de réparer le vice de l'étiquette de son nom dans la rue de Sèze, et du retranchement à faire de l'accent qu'on a mis mal à propos sur le premier e qui en dénature absolument la prononciation » (R. de S.). M. le comte de Sèze, héritier direct du nom, maintient néammoins l'accent parce que celui-ci figure sur les lettres d'anoblissement données par Louis XVIII à son illustre aïeul »     ↑ a et b http://www.euraldic.com/blas_se2.html: armorial de Rietstap Sources     « Desèze, Romain », dans Pierre Larousse, Grand dictionnaire universel du XIXe siècle, 15 vol., 1863-1890.     Marie-Nicolas Bouillet et Alexis Chassang (dir.), « De Sèze, Raym. » dans Dictionnaire universel d’histoire et de géographie, 1878 (Wikisource)     André Sevin, de Seze - Défenseur du Roi (1748-1828)     Jean de Viguerie, Louis XVI, le roi bienfaisant, éditions du Rocher, mars 2003, pages 392 à 396     « Raymond de Sèze », dans Robert et Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, 1889 Voir aussi Sur les autres projets Wikimedia:     Raymond de Sèze, sur Wikimedia Commons Articles connexes     Familles subsistantes de la noblesse française     Tour du Temple Liens externes     Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata: Fichier d'autorité international virtuel • International Standard Name Identifier • Bibliothèque nationale de France (données) • Système universitaire de documentation • Bibliothèque du Congrès • Gemeinsame Normdatei • WorldCat     Page biographique de Raymond de Sèze (Académie française)   Voir ce modèle. Raymond de Sèze   Voir ce modèle. Fauteuil 33 de l’Académie française   v · m ◀ Composition de l’Académie française au jour de son élection (22 mai 1816) ▶   v · m ◀ Composition de l’Académie française au jour de sa mort (2 mai 1828) ▶     Portail de la Révolution française Portail de la Révolution française Portail de la France au XIXe siècle Portail de la France au XIXe siècle Portail du droit français Portail du droit français Portail de l'Académie française Portail de l'Académie française Portail de la politique française Portail de la politique française Catégories:     Naissance à Bordeaux Membre de l'Académie françaisePair de France sous la RestaurationNaissance en septembre 1748Décès en mai 1828Décès à ParisPersonnalité de la Révolution françaiseAvocat français du XVIIIe sièclePremier président de la Cour de cassation françaisePersonnalité enterrée au cimetière du Père-Lachaise (division 53)Comte français du XIXe siècleFamille de SèzeOfficier de l'ordre du Saint-EspritCommandeur de la Légion d'honneurMinistre français d'ÉtatPersonnalité de la franc-maçonnerie française
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Vannes (Morbihan)
Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Pictures below and english translation . Photographies au -dessus. Médaille Camaret-sur-Aigues par M.LVaucluse Provence  241g 80mm medal 铜牌. QG MEDAILLE Medalla Medaglia Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne à partir de 1880). 1970. Quelques rayures et oxydations minimes. consultez attentivement les photos ci-dessous merci Graveur: M L  Avers: (Photographie) Revers :(Photographie). Dimension: 80  mm. Poids:  241 g. Métal: bronze . Poinçon: Corne + bronze + 1970. Vous pouvez consulter notre boutique pour consulter nos nombreuses autres médailles. Reduction des frais d'envoi pour les achats groupés Photos ci-dessus. ----------------- Bronze medal of the Paris Mint (Punch horn from 1880). 1970. Some scratches and minor oxidation. look carefully at the pictures below thank you Writer: M L   Avers (Photography) Reverse: (photography). Dimension: 80 mm. Weight: 241 g. Metal: bronze. Stamp: Bronze Horn + + 1970... ------------------------------ You can visit our shop to see our many other medals. Reduction of shipping for bulk purchases Photos above. Envoi rapide et soigné. ____________________________________________________________ More photos ? Contact us Pour des photos supplémentaires contactez nous par email   breizh.antiques.art@gmail.com 0033 (0) 645210548 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antique. Camaret-sur-Aigues Pour les articles homonymes, voir Camaret.  Camaret-sur-Aygues redirige ici. Camaret-sur-Aigues Place de l'église Blason Administration Pays  France Région Provence-Alpes-Côte d'Azur Département Vaucluse Arrondissement Avignon Canton Orange-Est Intercommunalité Communauté de communes Aygues Ouvèze en Provence Maire Mandat Philippe de Beauregard (FN) 2014 -2020 Code postal 84850 Code commune 84029 Démographie Gentilé Camaretois Population municipale 4 596 hab. (2011) Densité 262 hab./km2 Géographie Coordonnées 44° 09′ 51″ Nord 4° 52′ 28″ Est    Altitude 72 m (min. : 56 m) (max. : 97 m) Superficie 17,53 km2 Localisation Géolocalisation sur la carte : France Camaret-sur-Aigues * Voir sur la carte administrative du Vaucluse * Voir sur la carte topographique du Vaucluse * Voir la carte administrative de France Liens Site web http://www.camaret.org modifier   Camaret-sur-Aigues est une commune française, située dans le département de Vaucluse en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Sommaire * 1 Dénomination * 2 Géographie * 2.1 Accès et transports * 2.2 Relief * 2.3 Géologie * 2.4 Sismicité * 2.5 Hydrographie * 2.6 Climat * 3 Histoire * 3.1 Antiquité * 3.2 Moyen Âge * 3.3 Renaissance * 3.4 Période moderne * 3.5 Période contemporaine * 3.6 Toponymie * 3.7 Héraldique * 4 Politique et administration * 4.1 Tendances politiques et résultats * 4.2 Liste des maires * 4.3 Intercommunalité * 4.4 Fiscalité * 5 Démographie * 6 Économie * 6.1 Agriculture * 6.2 Industrie * 6.3 Tourisme * 7 Équipements et services * 7.1 Enseignement * 7.2 Sports * 7.3 Santé * 8 Vie locale * 8.1 Cultes * 8.2 Écologie et recyclage * 9 Lieux et monuments * 10 Notes et références * 10.1 Jumelages * 10.2 Notes * 10.3 Références * 11 Bibliographie * 12 Pour approfondir * 12.1 Articles connexes * 12.2 Liens externes Dénomination Le nom officiel de la commune, défini par le Code officiel géographique de l'INSEE, est Camaret-sur-Aigues. Toutefois, il est parfois fait usage, sans aucun caractère officiel, de l'appellation « Camaret-sur-Aygues ». Géographie La commune de Camaret-sur-Aigues est située à 6,5 kilomètres au nord-est de la ville d'Orange. Accès et transports Les routes départementales 23, 93 et 975 arrivent au bourg alors que la route départementale 43 le contourne par l'ouest. L'autoroute la plus proche est l'autoroute A7. Relief La commune est relativement plate avec une différence de 41 mètres seulement entre le point le plus haut de la commune, à l'extrême est de celle-ci, et le point le plus bas, situé à l'ouest-sud-ouest du bourg, en bordure de commune, au niveau de la mayre de Raphaëlis. Géologie Le sol est principalement constitué d'alluvions quaternaires. Sismicité Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments1. Hydrographie L'Aygues, lieu de baignades L'Aygues passe au nord du bourg. Plusieurs canaux (canal de Carpentras et canal du moulin) et petits cours d'eau comme les mayres de Mourelette, de Raphaëlis, d'Ancione passent aussi sur la commune. Climat La commune, située dans la zone d’influence du climat méditerranéen, est soumise à un rythme à quatre temps : deux saisons sèches, dont une brève en hiver, une très longue et accentuée en été  ; deux saisons pluvieuses, en automne, avec des pluies abondantes sinon torrentielles, et au printemps. Les étés sont chauds et secs, liés à la remontée en altitude des anticyclones subtropicaux, entrecoupés d’épisodes orageux parfois violents. Les hivers sont doux. Les précipitations sont peu fréquentes et la neige rare2. Depuis 2009, la ville d'Orange dispose d'une station météorologique en ville3. Données météorologiques d'Orange de 1961 à 1990 Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne (°C) 1,3 2,6 4,4 7,2 10,8 14,4 17 16,3 13,8 9,7 4,9 1,9 8,7 Température moyenne (°C) 5,4 6,9 9,4 12,5 16,4 20,2 23,3 22,5 19,4 14,7 9,1 5,7 13,8 Température maximale moyenne (°C) 9,4 11,3 14,4 17,8 22,1 26,1 29,6 28,8 25 19,7 13,3 9,5 18,9 Ensoleillement (h) 132 137,1 192,5 230,4 264,6 298,9 345,3 310,7 237,6 187,1 135,2 123,8 2 595,3 Précipitations (mm) 44,4 57,5 61,1 58,9 72,4 43,6 27,8 56,3 67,6 97,4 57,7 48,9 693,4 Source : 4 Diagramme climatique J F M A M J J A S O N D       9.4 1.3 44.4       11.3 2.6 57.5       14.4 4.4 61.1       17.8 7.2 58.9       22.1 10.8 72.4       26.1 14.4 43.6       29.6 17 27.8       28.8 16.3 56.3       25 13.8 67.6       19.7 9.7 97.4       13.3 4.9 57.7       9.5 1.9 48.9 Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm Vaucluse Canton d'Orange moyenne nationale Ensoleillement 2 595 h/an 2 800 h/an 1 973 h/an Pluie 693 mm/an 700 mm/an (sur 80 jours) 770 mm/an Neige 4 j/an 14 j/an Vent 110 j/an essentiellement du Mistral Orage 23 j/an 22 j/an Brouillard 31 j/an 40 j/an Mois Jan Fev Mar Avr Mai Jui Jui Aou Sep Oct Nov Dec Records de températures minimales °C (Année) -13,4 (1985) -14,5 (1956) -9,7 (2005) -2,9 (1970) 1,3 (1979) 5,7 (1984) 9,0 (1953) 8,3 (1974) 3,1 (1974) -1,1 (1973) -5,4 (1952) -14,4 (1962) Records de températures maximales °C (Année) 20,3 (2002) 23,0 (1960) 27,2 (1990) 30,7 (2005) 34,5 (2001) 38,1 (2003) 40,7 (1983) 42,6 (2003) 35,1 (1966) 29,6 (1985) 24,6 (1970) 20,2 (1983) Source: http://www.linternaute.com/ville/ville/climat/25721/orange.shtml Histoire Antiquité Au cours du XIXe siècle, des fouilles avaient découvert du numéraire, des urnes funéraires, des lampes à huile, des vases dits lacrymatoires et des miroirs d'argent poli. Une pierre tumulaire épigraphe intégrée dans la façade d'une maison avait été descellée et vendue. Elle portait l'inscription S. P. SEVERIUS SIBI ET SVIS VIVUS FECIT. Avaient aussi été répertoriés des vestiges d'un aqueduc qui fournissait Orange en eau de source5. Au cours du XXe siècle, des fouilles menées plus scientifiquement, ont permis de retrouver au quartier des Marelles un fragment d'autel épigraphe, et trois sépultures à tegulæ sur le site des Garriguettes6. Moyen Âge Porte des remparts médiévaux Durant tout le bas Moyen Âge et jusqu'à la Révolution, Camaret dépendit de la baronnie de Sérignan. Elle avait d'abord appartenu à la principauté d'Orange puisque Raymond VII de Toulouse, comte de Provence, l'avait donné en fief, dès 1237, à Raymond des Baux. Ce fief fut donné comme dot à Tiburge d'Orange lors de son mariage avec Adhémar de Poitiers, comte de Valentinois. Celle-ci, en 1324, accorda l'élection de deux syndics pour représenter la communauté. Leurs successeurs, le 7 mai  1416, signèrent un prix fait pour que fussent édifiés de nouveaux remparts5. Le chevalier Guillaume Fabri fut coseigneur de Camaret-sur-Aigues jusqu'à ce qu'il fût condamné au chapitre des Lattes7. En 1346, ce fut l'ancien Baile de Pélissanne (1345), Raymond Martini qui fut chargé de vendre ses biens. Vers 1346, Guillaume d'Orange fut seigneur de Camaret et de Sérignan. Noble et puissant, Jean de Baux, sire de Camaret et de Sérignan eut à son service comme juge ordinaire de ses deux terres, en 1369, un noble bachelier, originaire d'Orange, Bérenger Sadoyrani, juge d'Arles (1372) et de Sisteron (1387)8. Renaissance En 1495, le Conseil de Ville obtint de la baronnie l'autorisation que chaque habitant puisse puisse cultiver une éminée de jardin exempte de dîme sur les fruits et les herbages5. Les guerres de religions sévirent pendant une décennie. Camaret ayant été pris par les religionnaires, le 5 janvier  1563 6, le capitaine pontifical Fabrice Serbelloni vient mettre le siège. Après quatre jours de canonnade, ses troupes investirent le village et passèrent par le fil de l'épée 100 prisonniers. Une nouvelle attaques des calvinistes de Nyons eut lieu en 1573. Mais leur homme de main qui devait leur ouvrir les portes fut démasqué et ils se retirèrent. Il n'en fut pas de même deux ans plus tard. Le 3 mai  1375, les huguenots d'Orange forcèrent la place mais durent rapidement se retirer face aux troupes envoyées par le cardinal d'Armagnac9. Ces attaques ont permis de savoir qu'en 1565, les remparts s'ouvraient par trois portes : la Grande Porte ou Portail Bérenguier, dite aussi des Ursulines ; la Porte Jaubert ou Portalet ; la Porte Carbonnel. Celles du Portail et de Carbonnel étaient précédées d'un pont levis. Les affrontements finis, deux autres portes furent ouvertes, celle de la Brèche et celle de la Tour10. Ce fut en 1599 que les deux syndics du village changèrent leur titre pour prendre celui de consul5. Période moderne Le 12 août 1793 fut créé le département de Vaucluse, constitué des districts d'Avignon et de Carpentras, mais aussi de ceux d'Apt et d'Orange, qui appartenaient aux Bouches-du-Rhône, ainsi que du canton de Sault, qui appartenait aux Basses-Alpes. Article détaillé : Histoire de Vaucluse. Dans le milieu du XIXe siècle, le village, grâce à l'irrigation, avait diversifié son agriculture avec maraîchage, huile d'olive, mûriers pour l'élevage des vers à soie et safran. Toute une petite et moyenne industrie, liée à la force motrice de l'eau, s'était développée : blanchisserie, moulins à farine, fabrique de chapeaux et moulinage de la soie5. Période contemporaine Camaret, grâce à l'implantation, de la coopérative agricole « La cabanon » s'est acquis la réputation de capitale nationale de la tomate de conserve11. Toponymie La forme la plus ancienne est de Camareto, attestée en 1137. Ce toponyme suggère un thème pré-celtique *kam-ar avec le sens de hauteur arrondie12. Héraldique Article détaillé : Armorial des communes de Vaucluse. Les armes peuvent se blasonner ainsi : D'or à l'ormeau arraché de sinople, chargé de trois oranges de gueules ordonnées 2 et 1, au chef du même chargé de la lettre C capitale du champ.13 Politique et administration Tendances politiques et résultats Article connexe : Élections municipales de 2014 dans le Vaucluse. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Liste des maires Hôtel de Ville Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 1983 2008 Paul Durieu 14 UMP   mars 2008 mars 2014 Marlène Thibaud 14 PS   Les données manquantes sont à compléter. Intercommunalité La commune fait partie de la Communauté de communes Aygues Ouvèze en Provence. Celle-ci a été créée le 31  décembre  1992. Fiscalité L'imposition des ménages et des entreprises à Camaret-sur-Aigues en 200915 Taxe part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale Taxe d'habitation (TH) 7,73 % 0,00 % 7,55 % 0,00 % Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 20,44 % 0,00 % 10,20 % 2,36 % Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 57,11 % 0,00 % 28,96 % 8,85 % Taxe professionnelle (TP) 00,00 % 17,85 % 13,00 % 3,84 % La Part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable. La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 201016). Démographie En 2011, la commune comptait 4 596 habitants. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans, contrairement aux autres communes qui ont une enquête par sondage chaque annéeNote 1,Note 2.            Évolution de la population  ] 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 2 020 2 035 2 121 2 228 2 216 2 288 2 289 2 430 2 553            Évolution de la population  ], suite (1) 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 2 625 2 595 2 498 2 401 2 278 2 053 1 965 1 890 1 738            Évolution de la population  ], suite (2) 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1 633 1 700 1 785 1 523 1 544 1 562 1 516 1 500 1 581            Évolution de la population  ], suite (3) 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 - 1 794 1 955 2 255 2 468 3 121 3 553 4 207 4 596 - De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes  ; pour les dates suivantes : population municipale. (Sources : Ldh/EHESS /Cassini jusqu'en 199917 puis Insee à partir de 200418.) Histogramme de l'évolution démographique Économie Agriculture Vue aérienne du terroir de Camaret et Sérignan-du-Comtat Au cours du XIXe siècle, face à un Plan de Dieu « plaine presque inculte », les autorités et les élus pensèrent utile et judicieux d'envisager son irrigation sans considérer qu'il y avait là un terroir viticole de première importance5. Aujourd'hui, le vignoble de la commune produit des vins Côtes-du-rhône villages classés en plan-de-dieu (AOC), au même titre que Jonquières, Travaillan et Violès. Les vins qui ne sont pas en appellation d'origine contrôlée peuvent revendiquer, après agrément, le label Vin de pays de la Principauté d'Orange Industrie L'entreprise agro-alimentaire Conserves de Provence, premier opérateur français de production de tomate transformée, a été racheté en 2004 par le groupe chinois Xinjiang Chalkis Co.Ltd qui s'est porté acquéreur de 55 % des parts 19; le reste appartenant à la SA Le Cabanon, ancienne coopérative agricole, pour 7 millions d'euros20, en 200421 qui est propriétaire de l'usine de Camaret20. Depuis, la majorité des tomates qui passent par l'usine sont importées de Chine20,22. L'accord de vente stipulait que la production chinoise représenterait les deux tiers de l'activité des Conserves de Provence dans un premier temps, avant d'augmenter progressivement tout en garantissant pendant 10 ans l'écoulement de la production des agriculteurs français de la coopérative21. Tourisme Comme beaucoup d'autres communes viticoles du Vaucluse, l'œnotourisme est présent dans l'économie locale. Ce n'est cependant pas la seule forme de tourisme, en particulier grâce à sa proximité d'Orange et de ses monuments et festival, mais aussi du mont Ventoux, d'Avignon, etc. Équipements et services Enseignement Quatre écoles primaires : - trois publiques : La Souleïado (maternelle); Frédéric Mistral (CP, CE1, CE2) ; Les Amandiers23 (CE2, CM1, CM2) - une privée : Saint-Andéol Ensuite les élèves vont au collège Arausio Orange 24 puis le lycée Polyvalent régional de l'Arc, toujours à Orange25. Sports L'on trouve plusieurs clubs à vocation sportive (Football, motoball, volleyball, handball, basketball, twirling bâton) sur la commune. Plusieurs stades, tennis, etc. Santé La communes disposent d'une pharmacie, ainsi que de médecins, dentistes, infirmiers et kinésithérapeutes. Il n'y a, par contre, pas d'hôpital, le plus proche étant sur Orange. Intérieur de l'église paroissiale de Camaret Vie locale Cultes La paroisse catholique de Camaret fait partie du Doyenné d'Orange -Bollène 26. Placée sous le vocable de saint Andéol, elle date du début du XVe siècle et a été totalement restaurée en 1780 10. Dans l'édifice religieux précédant, se trouvait une vierge noire. Lors d'une visite épiscopale de l'évêque d'Orange, François de Roussel de Tilly, en 1780, elle horrifia le prélat qui fut choqué par son indécence. Il avait constaté que la Vierge ne tenait pas son fils dans ses bras mais sur son giron. Il ordonna que cette statue romane fut brûlée et que ces cendres fussent enterrées dans le cimetière10. Écologie et recyclage La collecte et le traitement des déchets des ménages et déchets assimilés, la gestion de l'assainissement collectif, la lutte contre les nuisances sonores, le contrôle de la qualité de l'air et la protection et mise en valeur de l'environnement font partie des compétences de la Communauté de communes Aygues Ouvèze en Provence. Lieux et monuments * Église paroissiale "Saint-Andéol", XVIe siècle, située au cœur du bourg. * Chapelle Saint-Cœur-de-Marie, proche du cimetière, à l'ouest du bourg. * Chapelle Saint-Andéol, derrière a Mairie * Le Ravelin : Ancienne porte des remparts, surmonté d'un campanile et d'une horloge * La Tour Sarrazine (XIIIe siècle) * Chapelle Saint-Cœur-de-Marie * Le Ravelin * La Tour Sarrazine * Chapelle Saint-Andéol Notes et références Jumelages *  Travacò Siccomario  (Italie) Notes * ↑ Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par la loi no 2002-276 du 27 février 2002  ], dite « loi de démocratie de proximité » relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V « des opérations de recensement », afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises. Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006. * ↑ Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, et afin de permettre une comparaison correcte entre des recensements espacés d’une période de cinq ans, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant aux années 2006, 2011, 2016, etc., ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee. Références * ↑ Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48 * ↑ La climatologie du Vaucluse  ] * ↑ Station météo d'Orange  ] * ↑ Relevés météorologiques d'Orange, (Vaucluse), de 1961 à 1990  ] * ↑ a, b, c, d, e et f Jules Courtet, op. cit., p. 114. * ↑ a et b Robert Bailly, op. cit., p. 124. * ↑ AD du 13, série B1593f131v. * ↑ Chiffoleau, Les justices, p.289 * ↑ Jules Courtet, op. cit., p. 115. * ↑ a, b et c Robert Bailly, op. cit., p. 125. * ↑ Patrick Saletta (sous la direction de), Haute Provence et Vaucluse - Les Carnets du Patrimoine, Les Guides Masson, Paris, 2000, p. 207. * ↑ Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Éd. Larousse, 1968, p. 1725. * ↑ Armorial des communes du Vaucluse * ↑ a et b ledauphine.com - Camaret-sur-Aygues : Marlène Thibaud détrône Paul Durieu  ] * ↑ « Impots locaux à Camaret-sur-Aigues »  ], taxes.com * ↑ Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010  ] (Légifrance) * ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui  ] sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales. * ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006  ], 2011  ] * ↑ Les tomates de Provence passées au chinois  ], Commerce international, 2 juillet 2004 * ↑ a, b et c La Tomate globale  ], CQFD n°25, 15 juillet 2005 * ↑ a et b Pierre Haski, Les Chinois croquent la tomate transformée française  ], Libération, 12 avril 2004 * ↑ 86 : Chalkis ou la mondialisation expliquée aux enfants. Comédie géographique en quatre actes  ], Café-géo, « Les lettres de Cassandre », par Pierre Gentelle, 15 décembre 2008 * ↑ Site de l'école Les Amandiers de Camaret  ] * ↑ « Carte scolaire du Vaucluse »  ], Conseil Général de Vaucluse * ↑ « Site du lycée de l'Arc »  ], Académie Aix-Marseille,‎ 2010 * ↑ Diocèses en Vaucluse  ] Bibliographie * Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique du département du Vaucluse, Avignon, 1876. * Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, Éd. A. Barthélemy, Avignon, 1986. (ISBN  2903044279) Pour approfondir Sur les autres projets Wikimedia : * Camaret-sur-Aigues, sur Wikimedia Commons Articles connexes * Liste des communes de Vaucluse * Plan de Dieu (Vaucluse) Liens externes * Site officiel de la ville de Camaret-sur-Aigues   v  · d  · m Communes de la communauté de communes Aygues Ouvèze en Provence   v  · d  · m Communes du canton d’Orange-Est   v  · d  · m Communes de Vaucluse * Portail de Vaucluse * Portail des communes de France Catégories  : * Commune de Vaucluse * Ancien chef-lieu de canton de la Drôme * Ancien chef-lieu de canton des Bouches-du-Rhône | Menu de navigation * Créer un compte * Se connecter * Article * Discussion * Lire * Modifier * Modifier le code * Historique * Accueil * Portails thématiques * Article au hasard * Contact Contribuer * Débuter sur Wikipédia * Aide * Communauté * Modifications récentes * Faire un don Imprimer / exporter * Créer un livre * Télécharger comme PDF * Version imprimable Outils * Pages liées * Suivi des pages liées * Importer un fichier * Pages spéciales * Adresse de cette version * Information sur la page * Élément sur Wikidata * Citer cette page Autres langues * Català * Cebuano * Deutsch * English * Español * Euskara * Italiano * Latina * Lumbaart * Malagasy * Bahasa Melayu * Nederlands * Occitan * Polski * Piemontèis * Português * Română * Русский * Srpskohrvatski / српскохрватски * Simple English * Slovenčina * Српски / srpski * Svenska * Українська * Tiếng Việt * Volapük * Winaray * 中文 Modifier les liens * Dernière modification de cette page le 26 mai 2014 à 17:31. * Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons paternité partage à l’identique; d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques. En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la licence. Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc., organisation de bienfaisance régie par le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des États-Unis.
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b'"'Nélie Jacquemart – Artiste et collectionneuse de la Belle Époqueb'"' est un beau livre publié par les éditions Vendémiaire, disponible chez Decitre. Ce livre est classifié dans la catégorie b'"'Beaux Artsb'"' selon notre système de classification Decitre. Il s'agit d'un essai biographique consacré à Nélie Jacquemart (1841-1912), artiste peintre et collectionneuse d'art de la fin du XIXe siècle. Ce livre compte 428 pages au format beau livre (20.1 x 14.6 cm) et a une épaisseur de 3.6 cm et une longueur de 20.1 cm. Il a été publié initialement depuis 1980. Le livre comporte également des illustrations qui rendent plus vivantes les descriptions des œuvres d'art mentionnées dans le texte. Nélie Jacquemart était une artiste peintre talentueuse qui a vécu durant la période de la Belle Époque en France. Elle a été mariée au banquier Paul Durand-Ruel, qui était lui-même un grand collectionneur d'art. Ensemble, ils ont formé une importante collection d'arts impressionnistes, comprenant des œuvres de Monet, Renoir, Degas, Manet, Cézanne et bien d'autres artistes majeurs de cette époque. Ce livre explore la vie et l'œuvre de Nélie Jacquemart ainsi que sa contribution importante au monde de l'art pendant cette époque historique. Les lecteurs apprendront comment Nélie a appris la peinture auprès de son père, un portraitiste réputé, et comment elle a développé son propre style inspiré par les impressionnistes. Ils découvriront aussi comment elle a contribué à promouvoir l'œuvre de ces artistes impressionnistes grâce à son mariage avec Durand-Ruel et sa propre collection d'arts impressionnistes. Le livre offre également des informations intéressantes sur les événements culturels et sociaux de cette époque ainsi que sur les personnalités clés de la scène artistique de Paris pendant cette période. Ce beau livre b'"'Nélie Jacquemart – Artiste et collectionneuse de la Belle Époqueb'"' est idéal pour tous ceux qui sont intéressés par l'histoire de l'art ou par la période de la Belle Époque en France. Il offre une perspective unique sur ce temps grâce aux descriptions vivaces des œuvres d'art mentionnées dans le texte ainsi qu'à travers les vies des personnes clés impliquées dans ce monde artistique. Avec sa qualité exceptionnelle et sa longueur importante, ce livre est certainement un ajout précieux aux collections personnelles ou bibliothèques spécialisées. En savoir plus
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Vannes (Morbihan)
Consulter nos évaluations Ajouter cette boutique à mes favoris * MOBILIER * SIEGES * LUMINAIRES / BOUGEOIRS * ART DE LA TABLE * PORCELAINE FAÏENCE * ARGENTERIE * MIROIRS / CADRES * SCULPTURES * PEINTURES / ARTS GRAPHIQUES * HORLOGERIE * BIJOUX ANCIENS * VERRERIE / CRISTALLERIE * OBJETS RELIGIEUX * OBJETS DE VITRINE * OBJETS DE COLLECTION * OBJETS ASIATIQUES * OBJETS DU MAGHREB * ARCHITECTURE Fusain par Auguste Pointelin Paysage du Jura arbres et rivière 19e Fusain signé Auguste Pointelin*, représentant un paysage au crépuscule de la Combe jurassienne, avec un arbre au bord d'une petite rivière, d'époque XIXème siècle. Ce fusain est en bon état. Il est signé en bas à gauche. A signaler: légères pliures sur le bord. *Auguste Emmanuel Pointelin (1839-1933) dit Auguste Pointelin, est un peintre français dont l'œuvre dépeint principalement les paysages du Jura. Né de parents limonadiers-vignerons, il décide adolescent de devenir peintre. Élève au collège d’Arbois, Auguste Pointelin suit l'enseignement du professeur de dessin arboisien Victor Maire. Sur les conseils de son maître, Pointelin devient professeur et choisit les mathématiques. Il est tout d'abord répétiteur au Lycée de Douai puis, à partir de 1871, professeur de mathématiques au collège d'Avesnes-sur-Helpe dans le Nord. En 1865, Pointelin se rend à Paris afin de visiter le Salon des artistes français. Enthousiasmé et sûr d'y trouver un jour sa place, il y expose effectivement l’année suivante, en 1866, deux toiles. En confrontant ainsi ses premiers essais aux toiles des autres artistes du Salon, il juge ses tableaux "d'une convention stérile" et n'expose à nouveau qu'en 1869. En 1870, il épouse à Paris, Marie Adelina Durand et n'expose pas pendant 3 ans. Pointelin mène une double vie: professeur de mathématiques pendant près de 20 ans dans le Nord et peintre du Jura, il ne cesse de peindre de souvenir les paysages franc-comtois et suit une carrière "semi-officielle", exposant régulièrement de 1874 jusqu'à sa mort, et récoltant prix et récompenses au cours des années mais restant en marge des cercles artistiques et des courants picturaux majeurs. Ne cédant ni au courant réaliste, ni à l’idéal rustique des peintres de Barbizon, ni aux tentations coloristes des impressionnistes, son originalité est révélée dans son grand tableau de 1876, Sur un plateau du Jura. Récompensé au Salon par une mention honorable, et aujourd’hui conservé au musée de Dole, il surprend par la taille et l’austérité de ce paysage dénudé et inhabité. A la suite de ce succès et sur la recommandation de Louis Pasteur, le tableau est acheté par l'Etat. Jules Grévy, président de la République, son ami, l’aida en lui faisant acheter officiellement des œuvres, qu’il offrait en cadeau aux personnalités en déplacement officiel à l’Elysée. Préférant l'heure indécise entre chien et loup et les aubes incertaines, il devient pour le public et la critique le "peintre des crépuscules". Dans ses pastels, les impressions colorées donnent à ses paysages d'élection une lumière plus tendre. Il expose son premier pastel au Salon de 1878 et celui-ci est tout de suite remarqué par la critique. Le renouveau du pastel, porté par des artistes très différents les uns des autres, comme Redon ou Degas, se concrétise en 1885 par la création de la Société de Pastellistes français, mais Pointelin ne participera jamais à leurs expositions. Pointelin explorera toutes les possibilités de ce medium jusqu'à la fin de sa vie, comme le fusain, ne semblant privilégier aucune technique au cours de sa carrière. Pointelin créée une atmosphère lumineuse où la solitude mène le spectateur à une rêverie méditative. Dans les dernières années, il parvient à une représentation synthétique du paysage indiqué seulement dans des grandes lignes, et les tons plus austères, qui touche à l'abstraction. En 1897, Pointelin revient dans le Jura et s’installe à Mont-sous-Vaudrey, tout en conservant son atelier et son domicile parisiens. Sa vie artistique parisienne n'en continue pas moins et jusqu’à sa mort en 1933, il peint, dessine et expose régulièrement au Salon. En 1899, à l’occasion de ses 60 ans, une exposition rétrospective est organisée à la galerie des Artistes modernes, 19 rue Caumartin. (Voir aussi Dictionnaire des Petits Maîtres de la Peinture de G.Schurr et P. Cabanne). Les oeuvres de Pointelin que nous mettons en vente viennent de la descendance du fils illégitime du Président Grévy, ami de l'artiste. Artiste très bien côté sur ArtPrice Nous mettons de nombreuses autres oeuvres de Pointelin en vente sur le site.: 50 cm x 36,5 cm Référence:
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