-
loading
Avec photo

Directeur activite


Liste des meilleures ventes directeur activite

Cerizay (Deux Sèvres)
OBonjour, L’ INVENTAIRE ÉGLISE SAINT CLÉMENT de NANTES RÉVOLUTION - Inventaire de 1793 Par le curé originaire des Deux Sevres Pierre Jean Andrieux qui sera prêtre sous la révolution a Clisson et Nantes, également acheteur de bien nationaux, il sera également fait commissaire du district de Nantes et prendra en charge l’inventaire de l’église de St Clement à Nantes, Plusieurs notices historiques son consacrées à cet homme célèbre en Deux Sevres pour avoir acheté puis démoli l’église de Notre Dame de la Couldre à Parthenay et ses célèbres statues.... Se compose: De 3 feuilles 4 pages sont manuscrites la dernière feuille et vierge (reprennent de façon détaillées l’inventaire de cette église) Dimensions 34,5/21,5 cm L’autre papier, plus petit indique que le linge religieux trouvé en cette église remis au Citoyen Directeur du district 22/19cm Andrieux (Pierre Jean, l’aîné) 1754-1820. Prêtre, fils de Pierre et de Renée Picard, baptisé à Parthenay le 26 août 1754, chanoine de Saint-Laurent en 1780-1784. Prêtre, recteur de la Madeleine du Temple près Clisson en Bretagne, religieux de Malte, 1786-1792. Chapelain de la chapelle des Baudet en Sainte-Croix, 1786. Chapelain de la chapelle Saint-Blaise desservie à Saint-Laurent, 1787. Vicaire épiscopal de la Loire-Inférieure au moment de l'insurrection vendéenne, il se trouve à Parthenay et ne peut reprendre son poste. Se rend utile à Parthenay au Comité de sûreté générale, puis comme vice-président de ce comité. Lors de la première évacuation de Parthenay de la dite ville de Partenay, sa montre en or et sa valise contenant tous ses effets servant à son usage lui ont été enlevés par les brigands. Il se retire à Poitiers avec sa famille et s’y trouve encore en août 1793. Demeure à Chalandeau (Châtillon/Thouet) en 1794. Il est un des membres fondateurs du Cercle constitutionnel de Parthenay en 1797. Membre du conseil municipal en 1799-1803. Abdicataire en 1793, rescrit, revient à la communion laïque en 1803. Il est alors marié avec Marie Michelle Guilbeau (ancienne religieuse) et vit à Parthenay. En 1805: propriétaire et membre de la société d'agriculture des Deux-Sèvres, s'est livré avec succès depuis plusieurs années à de louables spéculations dans cet art et qu'il témoigne encore le zèle le plus actif pour obtenir d'avantageux résultats sur cette partie essentielle. Dépositaire d'un taureau suisse, il lui a fait couvrir ses vaches, il demande à s'en séparer. En 1809: Brouillon, portant la discorde avec lui. On ne lui reproche pourtant rien de contraire à la probité. Ses idées politiques paraissent plus républicaines que monarchiques. Maire de Châtillon/Thouet nommé le 18 juin 1813. Prête serment à Louis XVIII en 1814 et est destitué en 1816 par le préfet. Il est désigné par les électeurs de l’arrondissement pour siéger à la Chambre des représentants le 10 mai 1815 et quitte cette place après les Cent-Jours. En 1815, il est dit de lui: Prêtre marié avec une religieuse, député pendant l’interrègne, et tout-à-fait opposé au gouvernement royal. Il a eu de l'exaltation révolutionnaire, mais c'est un honnête homme; et se livrant tout entier à l'agriculture, c'est la que se porte toute l'activité de son imagination. Dans un autre document de 1815: Propriétaire et négociant à Parthenay, il ne fut jamais employé par le Gouvernement, mais il a toujours joui de l'estime de ses concitoyens et s'est distingué à toutes les époques par son patriotisme. C’est lui qui avait acheté l’église Notre-Dame-de-la-Coudre et qui commence à la faire démolir. Il décède à Parthenay le 21 juillet 1820. Les prêtres refusent de l’inhumer et il est enterré civilement avec oraison de M. Ledain.Membre du collège électoral et membre de la municipalité de Parthenay, part sur Paris et se charge de remettre des courriers à de hautes autorités parisiennes. Un courrier concerne le placement de Parthenay comme chef-lieu de département, signe "andrieux, Membre du Conseil Municipal
129 €
Voir le product
France (Toutes les villes)
Insigne de l' Ecole Militaire Préparatoire Africaine Marque: Drago G 1072 Etat: correct / / L'École des enfants de troupe de Saint-Louis-du-Sénégal fut créée en 1923, elle accueillit ses premiers élèves l'année suivante, au camp Oudeoud (camp El Hadj Omar) au quartier de Pointe nord à Saint-Louis. La mission assignée à cette école était de répondre aux besoins de l'Afrique-Occidentale française en cadres disposant d'une formation intellectuelle et technique. Le recrutement était ouvert aux fils de militaires en activité, aux chefs de cantons et autres notables. Aux élèves fut dispensé un enseignement primaire qui les conduisaient au certificat d'études primaires puis à l'enseignement primaire supérieur 1re et 2e année. À l'issue de cette formation, les élèves intégraient le peloton du 1er régiment de tirailleurs sénégalais. En 1926, un peloton spécifique à l'école fut créé. Les conditions de vie des Enfants de troupe étaient plutôt spartiates: nourris à l’ordinaire africain, ils couchaient sur des bas flancs, avec des nattes et une couverture. Leur tenue se composait d'une chéchia, d'une ceinture de flanelle rouge, et ils n’étaient pas chaussés. Des sous-officiers assuraient une discipline toute militaire. En 1938, l’École des enfants de troupe fut rattachée à la compagnie hors rang (C.H.R) et placée sous l’autorité de l’Officier commandant cette unité. L’école fut ensuite placée sous le commandement du capitaine Charles N’Tchoréré. Son passage marqua profondément l’école, son influence et sa légende continuent encore d’habiter l’école des enfants de troupe. À partir de 1940, l’enseignement fut dispensé sur place: quatre classes furent créées et installées dans l’école (cours élémentaire 2e année, cours moyen 1re et 2e années, cours supérieur 1re année). Des enseignants sont détachés à l’école, aux côtés de l’encadrement militaire. Le personnel enseignant se compose d’un directeur des études et d’un collège d’instituteurs. En 1944, une nouvelle classe fut ajoutée: le cours supérieur 2e année. Le commandement de l’école fut désormais confié, à un officier déchargé de toute autre fonction. Parmi les instituteurs figurait Mamadou Dia, ancien Premier Ministre du Sénégal. En 1946, l'école est transférée au camp de Dakhar Bango, qui prit, le 22 décembre 1992, le nom de camp DÉ Momar Gary, du nom du capitaine DÉ Momar Gary qui se trouvait être un ancien élève de l’école des enfants de troupe de Saint-Louis du Sénégal (E.E.T.S) en 1946. À partir de 1949, les classes primaires sont progressivement supprimées et remplacées par des classes de collège de 6e, 5e, 4e et 3e. En 1953, l’école présente, pour la première fois, des élèves au Brevet d'études du premier cycle du second degré (B.E.P.C), L’école des enfants de troupe de Saint-LOUIS (E.E.T.S) changea de statut et de nom à cette date pour s'appeler École militaire préparatoire africaine (E.M.P.A.) Charles N’Tchoréré, avec comme devise: « S’unir, servir toujours France-Afrique ». En juin 1973, l’école changea de nom pour la seconde fois: l’École militaire préparatoire africaine (E.M.P.A) devint le Prytanée militaire Charles N'Tchoréré de Saint-Louis (PMS) REGROUPEZ VOS ACHATS POUR ECONOMISER SUR LES FRAIS DE PORT En savoir plus Collaboration commerciale.
Voir le product

Petites annonces gratuites - acheter et vendre en France | CLASF - copyright ©2025 fr.clasf.com.