-
loading
Avec photo

Frere louis


Liste des meilleures ventes frere louis

La Chapelle Caro (Morbihan)
Gravure ancienne représentant Romain Desèze Dimensions: 9,9 x 7,8 cm Dimensions support: 10,4 x 10 cm Raymond, comte de Sèze, ou plus communément Romain Desèze, est un magistrat et homme politique français né à Bordeaux le 26 septembre 1748 et mort à Paris le 2 mai 1828.Il est choisi pour être le conseil de Marie-Antoinette dans l'Affaire du collier de la reine, et fait acquitter Pierre-Victor de Besenval, accusé de haute trahison (1789). Il est désigné par le roi Louis XVI, au refus de Target, pour être adjoint à ses défenseurs Tronchet et Malesherbes. contact@antikpapers.com Sommaire     1 Biographie         1.1 Sa défense du roi Louis XVI devant la Convention en 1792         1.2 Témoignage du roi Louis XVI         1.3 Autres fonctions         1.4 Publications     2 Mariage et descendance de Raymond de Sèze     3 Notes et références     4 Sources     5 Voir aussi         5.1 Articles connexes         5.2 Liens externes Biographie D'une famille ancienne, il plaide d'abord dans sa ville natale, puis il est appelé à Paris par le ministre Vergennes, il défend à son début la cause des filles d'Helvétius. Il est choisi pour être le conseil de Marie-Antoinette dans l'Affaire du collier de la reine, et fait acquitter Pierre-Victor de Besenval, accusé de haute trahison (1789). Il est désigné par le roi Louis XVI, au refus de Target, pour être adjoint à ses défenseurs Tronchet et Malesherbes. Il plaide avec courage la défense du roi devant la Convention, le 26 décembre 1792. Il est par suite arrêté comme suspect dans sa maison de campagne de Brévannes, près de Corbeil, et détenu à la prison de la Force jusqu'au 31 janvier 1794, puis transféré dans une maison d'où il sort après le 9 thermidor an II (27 juillet 1794). En 1815, il est nommé président de la Cour de cassation et le 17 août 1815 pair de France. Il est élu à l'Académie française le 22 mai 1816 en remplacement de Jean-François Ducis (33e fauteuil), et fait comte le 31 août 1817 par le roi Louis XVIII. Son fils Étienne-Romain (1780-1862) lui succède à la Chambre des pairs2. Raymond de Sèze est franc-maçon, il appartient à la loge les Neuf Sœurs3, qui fut également celle de Voltaire. Il est le frère de Paul-Victor de Seze4 qui perpétue la branche dite « bourgeoise ». Celle-ci porte toujours les armoiries d'avant 1817 décrites ci-dessous. Son neveu, Aurélien, fût célèbre pour l'amitié amoureuse qui le lia dans sa jeunesse à Georges Sand. Il est enterré au cimetière du Père Lachaise (division 53). Tombe de Raymond de Seze (cimetière du Père Lachaise, division 53)     Armes de Raymond de Sèze     Avant 1817: D’azur, à trois tours d'argent, rangées en fasce, accompagnées en chef de deux étoiles d’or et en pointe d’un croissant de même (Armorial de Riestap)5     Après 1817: De gueules, au château de Temple d’argent, accompagné en chef de deux étoiles d’or et en pointe de seize fleurs-de-lis d’argent, 7, 6 et 3 (Armorial de Riestap)5 Sa défense du roi Louis XVI devant la Convention en 1792 Sur la demande de Tronchet et de Malesherbes, le roi accepte un nouveau conseil en la personne de Raymond de Sèze. Ce dernier est averti le 16 décembre 1792 et il se met au travail le 21. Dans la journée il lit les pièces du dossier et la nuit il rédige une plaidoirie. Le 25 décembre il présente son projet au roi et le 26 il plaide devant la Convention. Sa plaidoirie repose sur les points suivants:     incompétence de la Convention et illégalité de la procédure     justifications des grandes décisions du roi depuis la tenue des États généraux autour de l'idée que Louis XVI n'a jamais voulu le malheur de son peuple et qu'il n'a jamais voulu que le sang coule Enfin il s'exclame: « Citoyens, je vous parlerai ici avec la franchise d'un homme libre: je cherche parmi vous des juges et je n'y vois que des accusateurs. Vous voulez prononcer sur le sort de Louis; et vous avez déjà émis votre vœu ! Vous voulez prononcer sur le sort de Louis, et vos opinions parcourent l'Europe ! Louis sera donc le seul français pour lequel il n'existera aucune loi ni aucune forme ? Il n'aura ni les droits des citoyens, ni les prérogatives de roi. Il ne jouira ni de son ancienne condition, ni de la nouvelle. Quelle étrange et inconcevable destinée3 ! » Témoignage du roi Louis XVI « Je prie MM. de Malesherbes, Tronchet et de Seze4 de recevoir ici tous mes remerciements et l'expression de ma sensibilité pour tous les soins et les peines qu'ils se sont donnés pour moi3. » Autres fonctions Nommé par le roi Louis XVIII3:     Grand trésorier de l'ordre du Saint-Esprit     Président du collège électoral de la Gironde Nommé par le roi Charles X3:     Président du collège électoral de la Seine     Ministre d'Etat Publications     Réflexions sur l’établissement de la Caisse de Poissy, Paris: chez Prault, 1790, in-4°, 19 p.     Convention Nationale. Défense de Louis, prononcée à la Barre de la Convention Nationale, le Mercredi 26 Décembre 1792, l'an premier de la République, par le Citoyen Deseze, l'un de ses défenseurs officieux; Imprimé par ordre de la Convention Nationale, Paris: Imprimerie Nationale, 1792. In-8°,, 49, p. Mariage et descendance de Raymond de Sèze En l'église Saint-Nicolas de Graves, Raymond Desèze épouse le 12 mai 1780 Marguerite Brethous veuve Dumas. Celle-ci a 30 ans, elle est la fille d'Étienne Brethous et de Marie Ducercelier, elle a deux filles, Marie et Jenny. Les enfants du couple sont3:     Étienne-Romain de Sèze (1780-1862), premier président de Chambre et Pair de France, il épouse le 12 août 1822 Armande Bernard de Montebise âgée de 33 ans;     Adolphe de Sèze, maître des requêtes au Conseil d'État; il épouse Henriette Alexandrine Clara Morel de Foucaucourt, fille du baron Édouard Morel de Foucaucourt, colonel à l'État major;     Honorine de Sèze, épouse de Hubert Rohault de Fleury, d'abord lieutenant-colonel du Génie puis par la suite directeur de l'École polytechnique, général et pair de France. Notes et références     ↑ Le Grand Dictionnaire universel du XIXe siècle de Pierre Larousse précise: « Bien qu'il ait toujours porté ce prénom de Romain et qu'il l'ait lui-même transmis à son fils aîné, son acte de baptême ne lui donne que celui de Raymond. Son père, Jean Desèze, originaire de la petite ville de Saint-Émilion, ne prenait aucune qualification nobiliaire. Pourtant sa famille était ancienne et appartenait à la noblesse de robe. »     ↑ Raoul de Warren, Les Pairs de France au XIXe siècle, les Cahiers nobles, 1959: voir sous le numéro 426.     ↑ a, b, c, d, e et f André Sevin, de Seze: Défenseur du Roi (1748-1828), François-Xavier Guibert, coll. « Histoire », 31 décembre 1992, 413 p. (ISBN 978-2868392466), p. 55, 94, 215, 320, 329, 376, 385-386, 413.     ↑ a et b André Sevin, de Seze: Défenseur du Roi (1748-1828) - p.1, ndbp 1: « Nous écrivons ce nom sans accent parce que le défenseur de Louis XVI l'écrivait ainsi. Il attachait même une telle importance à cette graphie que nous le voyons, en 1827, demander au procureur général de « "s'occuper... au corps municipal des moyens de réparer le vice de l'étiquette de son nom dans la rue de Sèze, et du retranchement à faire de l'accent qu'on a mis mal à propos sur le premier e qui en dénature absolument la prononciation » (R. de S.). M. le comte de Sèze, héritier direct du nom, maintient néammoins l'accent parce que celui-ci figure sur les lettres d'anoblissement données par Louis XVIII à son illustre aïeul »     ↑ a et b http://www.euraldic.com/blas_se2.html: armorial de Rietstap Sources     « Desèze, Romain », dans Pierre Larousse, Grand dictionnaire universel du XIXe siècle, 15 vol., 1863-1890.     Marie-Nicolas Bouillet et Alexis Chassang (dir.), « De Sèze, Raym. » dans Dictionnaire universel d’histoire et de géographie, 1878 (Wikisource)     André Sevin, de Seze - Défenseur du Roi (1748-1828)     Jean de Viguerie, Louis XVI, le roi bienfaisant, éditions du Rocher, mars 2003, pages 392 à 396     « Raymond de Sèze », dans Robert et Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, 1889 Voir aussi Sur les autres projets Wikimedia:     Raymond de Sèze, sur Wikimedia Commons Articles connexes     Familles subsistantes de la noblesse française     Tour du Temple Liens externes     Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata: Fichier d'autorité international virtuel • International Standard Name Identifier • Bibliothèque nationale de France (données) • Système universitaire de documentation • Bibliothèque du Congrès • Gemeinsame Normdatei • WorldCat     Page biographique de Raymond de Sèze (Académie française)   Voir ce modèle. Raymond de Sèze   Voir ce modèle. Fauteuil 33 de l’Académie française   v · m ◀ Composition de l’Académie française au jour de son élection (22 mai 1816) ▶   v · m ◀ Composition de l’Académie française au jour de sa mort (2 mai 1828) ▶     Portail de la Révolution française Portail de la Révolution française Portail de la France au XIXe siècle Portail de la France au XIXe siècle Portail du droit français Portail du droit français Portail de l'Académie française Portail de l'Académie française Portail de la politique française Portail de la politique française Catégories:     Naissance à Bordeaux Membre de l'Académie françaisePair de France sous la RestaurationNaissance en septembre 1748Décès en mai 1828Décès à ParisPersonnalité de la Révolution françaiseAvocat français du XVIIIe sièclePremier président de la Cour de cassation françaisePersonnalité enterrée au cimetière du Père-Lachaise (division 53)Comte français du XIXe siècleFamille de SèzeOfficier de l'ordre du Saint-EspritCommandeur de la Légion d'honneurMinistre français d'ÉtatPersonnalité de la franc-maçonnerie française
26,10 €
Voir le product
Vannes (Morbihan)
breizh.antiques.art@gmail.com. http://stores.shop..fr/breizh-antiques 16 Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne à partir de 1880). Graveur: Charles Pillet. Dimension: 70 mm par 50 mm. Poids: 99 g. Métal: bronze. Poinçon sur la tranche (mark on the edge) : Corne d'abondance + bronze. Envoi rapide et soigné. Le support utilisé pour présenté la médaille n'est pas à vendre. The stand used for the medal presented is not for sale.   ____________________________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Louis Lépine Pour les articles homonymes, voir Lépine. Louis Lépine à la fin du XIXe siècle. Louis Lépine gouverneur de l'Algérie. Louis Lépine et Georges Clemenceau en 1908. Lépine candidat: extrait d'une caricature de L'Humanité du 28 mai 1913  : « Aujourd'hui, les électeurs de Chialvo m'appellent. Demain, toute la France m'appellera ». Louis Lépine en 1912. Louis Jean-Baptiste Lépine, né à Lyon le 6 août 1846 et mort à Paris le 10 novembre 1933, est un avocat et homme politique français, préfet de police de la Seine, inventeur de la brigade criminelle et du Concours Lépine. Sommaire * 1 Biographie * 2 Postérité * 3 Iconographie * 4 Notes * 5 Bibliographie * 6 Liens externes Biographie Ce fils d'un « teneur de livres » fait ses études à Lyon, Paris et Heidelberg. Il termine ses études de droit dans le quartier Latin quand éclate la guerre de 1870 au cours de laquelle il s'illustre et est décoré de la médaille militaire. À la fin de la guerre, il devient avocat, avant d'entamer une carrière dans l'administration : sous-préfet de Lapalisse, de Montbrison, de Langres et de Fontainebleau, puis préfet de l'Indre, de la Loire, puis de Seine-et-Oise. Alors qu'il est préfet de la Loire, le 6 décembre 1891, un coup de grisou au puits de la manufacture coûte la vie à 62 mineurs et jette la consternation dans Saint-Etienne. Il prend place dans la première benne descendue au secours des victimes et parcourt les galeries incendiées empestées encore d’un air méphitique. C’est à cette occasion qu’il reçoit la médaille d’or de sauvetage1. Il devient préfet de police de la Seine en 1893 et crée cette année-là un service centralisé de collecte des objets trouvés. Attaché aux traditions festives de la police parisienne, il fait partie des donateurs pour la restauration de la Promenade du Bœuf Gras en 1896, en versant 200 francs de sa cassette personnelle. De 1897 à 1899, il effectue une courte parenthèse comme Gouverneur général de l'Algérie, avant de redevenir préfet de police de la Seine. En 1901, pour lutter contre la crise qui touche les petits fabricants parisiens de jouets et de quincaillerie, il crée un concours-exposition qui deviendra plus tard le concours Lépine. Durant sa carrière de préfet de police de la Seine, il met en place la permanence dans les commissariats, équipe les gardiens de la paix en 1897 d'un bâton blanc2 et d'un sifflet à roulette, crée la brigade fluviale ainsi que les brigades cyclistes en 1901 (les hirondelles à moustache avec leur pèlerine)3  ; fait installer 500 avertisseurs téléphoniques, rouges pour alerter les pompiers, puis pour alerter police-secours ; réorganise la circulation en instaurant les passages piétons, les sens uniques et les sens giratoires et encourage les premiers développements de la police scientifique, crée les chiens sauveteurs, réalise un « coup médiatique » en 1908 en créant les « agents Berlitz » (formés à l'École de langues Berlitz, ils sont chargés de renseigner les touristes, se distinguant de leurs collègues par le port d'un brassard indiquant la langue maîtrisée)4. En 1909, il crée le musée de la Préfecture de Police et les Collections historiques de la Préfecture de police (archives de la police)5. C'est sous son autorité que, le 13 juin 1910 pendant la grève chez Sanyas & Popot, l'agent Gauthier frappe à tête l'ébéniste Henri Cler qui décèdera de ses blessures le 21 juin 1910  ; la mort de cet anarchiste provoque, le 26 juin 1910, une manifestation tournant à l'émeute que la police réprime dans le sang6. En 1912, il est élu membre de l'Académie des sciences morales et politiques. En 1913, il quitte la préfectorale et se consacre à la rédaction de ses mémoires (Mes souvenirs), qui sont publiés en 1929. Il se porte en mai 1913 candidat à Montbrison au siège de député laissé vacant par la mort de Claude Chialvo 7. Il choisit en 1914 de se présenter dans la Seine, mais il est battu. Postérité Il a donné son nom à une place Louis-Lépine dans le 4e arrondissement de Paris. En hommage à son travail à la tête de la police parisienne, la trente-deuxième promotion de commissaires de police issue de l'École nationale supérieure de la police, entrée en fonction en 1982, porte son nom. Son frère Raphaël Lépine, physiologiste de renom a connu une belle carrière professionnelle dans le domaine de la médecine expérimentale. Iconographie Une plaquette à l'effigie de Louis Lépine a été réalisée par le graveur Charles Pillet en 1912, sur commande de la Ville de Paris. Un exemplaire en est conservé au musée Carnavalet (ND 0268). Notes * ↑ http://www.concours-lepine.com/qui-est-le-concours-lepine/louis-lepine/  ] * ↑ BASTUM bâton  ] * ↑ Amicale Police et Patrimoine, « Agents cyclistes surnommés « hirondelles » »  ], sur amicale-police-patrimoine.fr (consulté le 25 août 2011) * ↑ Myriam Tsikounas, Imaginaires urbains du Paris romantique jusqu'à nos jours, Editions Le Manuscrit,‎ 2011 (lire en ligne  ]), p. 261 * ↑ Longtemps installées dans les locaux de la Préfecture de police de Paris, ces collections très riches sont à présent installées dans l'hôtel de police du 5e arrondissement. * ↑ Le goût de l'émeute, Manifestation et violence de rue dans Paris et sa banlieue à la « belle époque »  ], Anne Steiner, L'Échappée, 2012, (ISBN  978-29158303-9-2), p. 124-126 * ↑ « M. Lépine cherche une circonscription? », in L'Humanité, 27 mai 1913  ]] Bibliographie * Jacques Porot, Louis Lépine : préfet de police-témoin de son temps : 1846-1933, Paris, 1994 * Jean-Marc Berlière, Le Préfet Lépine : vers la naissance de la police moderne, Paris, 1993 Liens externes * Notices d’autorité  : Fichier d’autorité international virtuel  • International Standard Name Identifier  • Bibliothèque nationale de France  • Système universitaire de documentation * Notice biographique sur le site officiel du Concours Lépine * Acte de naissance de Louis Lépine   v  · m Préfets de police de Paris * Portail de Paris Catégories  : * Préfet de police de Paris * Préfet de Seine-et-Oise * Gouverneur de l'Algérie * Ancien député de la Loire (Troisième République) * Académie des sciences morales et politiques * Naissance en août 1846 * Naissance à Lyon * Décès en novembre 1933 * Décès à Paris * Décès à 87 ans * Police nationale (France) * Préfet de l'Indre * Préfet de la Loire * Sous-préfet | Menu de navigation * Créer un compte * Se connecter * Article * Discussion * Lire * Modifier * Modifier le code * Historique * Accueil * Portails thématiques * Article au hasard * Contact Contribuer * Débuter sur Wikipédia * Aide * Communauté * Modifications récentes * Faire un don Imprimer / exporter * Créer un livre * Télécharger comme PDF * Version imprimable Outils * Pages liées * Suivi des pages liées * Importer un fichier * Pages spéciales * Adresse de cette version * Information sur la page * Élément Wikidata * Citer cette page Autres langues * English * Esperanto * Svenska Modifier les liens * Dernière modification de cette page le 15 octobre 2015 à 14:03. * Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons paternité partage à l’identique; d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques. En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la licence. Wikipedia® est une m
76,5 €
Voir le product
France (Toutes les villes)
Couv, intérieur et texte en très bon état. Editions Pygmalion 2007
10 €
Voir le product
France
breizh.antiques.art@gmail.com. http://stores.shop..fr/breizh-antiques 15 Médaille en bronze argenté. Avec sa boite. Graveur:  A déterminer . Dimension: 62 mm. Poids: 138 g. Métal: bronze. Poinçon sur la tranche (mark on the edge) : bronze + Balme . Envoi rapide et soigné. Le support utilisé pour présenter la médaille n'est pas à vendre. The stand used for the medal presented is not for sale.   ______________________________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Voves Pour les articles homonymes, voir Voves cendré. Cet article est une ébauche concernant une commune d'Eure-et-Loir. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) Le bandeau {{ébauche}} peut être enlevé et l’article évalué comme étant au stade Bon début quand il comporte assez de renseignements encyclopédiques concernant la commune. Si vous avez un doute, l'atelier de lecture du projet Communes de France est à votre disposition pour vous aider. Consultez également la page d'aide à la rédaction d'un article de commune. Voves Administration Pays  France Région Centre-Val de Loire Département Eure-et-Loir Arrondissement Chartres Canton Voves (chef-lieu) Intercommunalité Communauté de communes de la Beauce vovéenne Maire Mandat Marc Guerrini (UDI) 2014 -2020 Code postal 28150 Code commune 28422 Démographie Gentilé Vovéens Population municipale 3 091 hab. (2012) Densité 94 hab./km2 Géographie Coordonnées 48° 16′ 22″ Nord 1° 37′ 38″ Est Altitude Min. 139 m – Max. 156 m Superficie 32,98 km2 Localisation Géolocalisation sur la carte : France Voves * Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire * Voir sur la carte topographique d'Eure-et-Loir * Voir la carte administrative de France Liens Site web Site officiel modifier   Voves est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire. Ses habitants se nomment les Vovéens. Sommaire * 1 Géographie * 1.1 Lieux dits * 1.2 Communes limitrophes * 2 Histoire * 2.1 Paléolithique * 2.2 La fibule de Voves * 2.3 Les fortifications de Voves * 2.4 Maison du Temple de Voves * 2.5 Le camp de Voves (XXe siècle) * 2.5.1 Le camp aujourd'hui * 3 Blasonnement * 4 Politique et administration * 4.1 Tendances politiques et résultats * 4.2 Liste des maires * 5 Démographie * 6 Jumelages * 7 Lieux et monuments * 8 Personnalités liées à la commune * 9 Cadre de vie * 10 Articles connexes * 11 Liens externes * 12 Notes Géographie Lieux dits * Villarceaux * Foinville * Soignolles * Genonville * Yerville * Sazeray * Lhopiteau Communes limitrophes Carte de Voves et des communes limitrophes. Histoire Paléolithique Un diagnostic fait à Voves a livré une petite série lithique attribuable au paléolithique final. L’intérêt du site réside aussi dans la présence d’ossements d’aurochs, conservés au contact entre les limons et un niveau de marnes sous-jacent. La fibule de Voves Découverte en 1969 à l'occasion de travaux dans un jardin privé du quartier de la Poste, à 1,60 m de profondeur environ, cette fibule est en cuivre émaillé et a l'aspect d'une roue à huit rayons, au moyeu épais de 1,4 cm. Son diamètre est de 5,5 cm. Les couleurs sont encore très vives. Le moyeu est vert clair et bleu. Au-dessus, sont représentées des « fleurs», aux pétales bleu foncé et blancs dont le centre est turquoise. Elles sont prises dans une pâte vert clair. L'émail des rayons est alternativement bleu et rouge. Quant au contour du bijou, il est constitué d'une très fine mosaïque bleu foncé et blanche, sertie dans une pâte vert clair. Le travail est d'une minutie extraordinaire. La datation, en l'absence d'un contexte sérieux, est délicate. L’abbé Nouel, dans son ouvrage Les Origines gallo-romaines du Sud du Bassin parisien, a publié une fibule ornée d'émaux trouvée à Bazoches-les-Hautes (Eure-et-Loir), qu'il date du IIe ou IIIe siècle ap. J.-C., et qui présente de grandes ressemblances avec celle de Voves. Il s'agit, peut-être, d'une fabrication d'inspiration ou de tradition celtique, œuvre d'un atelier gaulois. Les fortifications de Voves Voves par Louis Boudan, 1696. « Vue du bourg de Voves. En Beauce, sur le grand chemin de Chartres à Orléans, a une lieu de Beauvillier. 1696 » Depuis le XIVe siècle, la présence continuelle de gens d’armes et d’arbalétriers dans la région de Chartres est attestée. En août 1387, le bourg de Voves était victime de brigandages, semble-t-il récurrent dans cette partie de la Beauce, à tel point que le roi de France, Charles VI envoya le Bègue de Villaines pour délivrer le bourg de ces brigands. Le chef de ces troupes de brigands n’était autre que Gaucher de Chartres, frère de Philippe, seigneur de Chartres et capitaine de Chartres en 1380. Après cette intervention, il rendit le fort de Voves avec tous les biens qui y étaient dans le cadre d’une transaction qui fut passée avec les chanoines et notamment Pierre Guette, chanoine nommé à la prébende de Voves en 1385. Il est cependant impossible de savoir si les fortifications de Voves furent rétablies telles qu’elles existaient avant leur destruction par Gaucher de Chartres même s’il est certain qu’elles n’existaient plus au commencement du règne de Louis XIII (en 1610). À cette époque, une effervescence régnait et une ligue imposante s’était formée contre la régente Marie de Médicis. La Beauce a été victime des dégradations commises durant les guerres de religion et de la ligue. En avril 1614, les habitants de Voves adressent une requête au Chapitre, seigneur temporel du bourg, pour demander le rétablissement des fortifications. La permission accordée le jour même par le Chapitre, fut aussitôt adressée au roi avec la requête des habitants et Louis XIII ne fit pas attendre sa sanction en envoyant des lettres-patentes octroyant de « faire clore, fermer et environner de fossés, murs, tours, tourelles, boulevers, ravins, esperons et ponts-levis le-dit bourg et village de Voves ». Pendant plusieurs décennies, le calme semble être revenu dans le bourg de Voves. En 1642, un premier incident, répertorié par le curé Gendron dans le registre de l’état-civil du bourg, eu lieu avec des soldats attaquant les habitants qui s’étaient réfugiés dans l’église pour se protéger. Seuls 39 maisons subsistèrent après un incendie. En janvier 1659, les habitants sont de nouveau victimes de la violence de gens d’armes. Ces derniers demandèrent la démolition des murailles, désarmèrent les habitants puis profanèrent l’église et la clôture du cimetière. Ils empêchèrent aussi le vicaire perpétuel de porter les sacrements aux malades. Début février 1659, une expertise eut lieu : la voûte de l’église menaçait de ruine, la clôture et les portes du cimetière avaient été démolies. On se contenta alors de faire à l’église les réparations indispensables et le bourg fut privé pour toujours de ses fortifications. Passionné par l’histoire de France, Roger de Gaignières (1644 -1715) amasse en près d’un demi-siècle une collection considérable de manuscrits historiques, de portraits et de documents originaux. Dans cette entreprise, Roger de Gaignières ne se contente pas de collectionner des documents existants, il en constitue une grande partie accompagné notamment par le copiste et dessinateur, Louis Boudan. Ils parcourent la France du nord afin de relever des tombeaux, des épitaphes et des vues topographiques. En 1696, Louis Boudan réalise cette très jolie estampe du bourg de Voves, ci-contre, dont on peut voir en avant-plan un moulin, puis le village encerclé par une enceinte de protection. L’église « de l’ange gardien, paroisse du bourg », majestueuse, est au centre de la vue. La partie iconographique de ce fonds qu’Henri Bouchot publie en 1891 dans son Inventaire des dessins exécutés pour Roger de Gaignières est conservée au département des Estampes et des Manuscrits de la BNF. Maison du Temple de Voves L'ancienne maison du Temple de Voves fut désignée, après que les Hospitaliers en eurent pris possession, sous le nom de maison de « l'Hopitau », ainsi qu'elle est mentionnée dans le procès-verbal de la visite prieurale de 1495  : « La ferme du Temple de Vausves, aujourd'hui l'Hopitau, où y a chappelle, fondée de saint Jehan, chargée tous les moys d'une messe et où a III ou IIII cens arpens de terre et maison pour le fermier et toute jurisdicion ». La maison de Voves fut détruite pendant les guerres du XVe siècle. Une partie des terres fut réunie à la maison de Sours, et une autre partie donnée à cens et à rente perpétuelle. Le camp de Voves (XXe siècle)  Inscrit MH (2004)1. Entre le 29 janvier 1939 et le 8 février, plus de 2 000 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant les troupes de Franco, arrivent en Eure-et-Loir. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (le camp de Lucé et la prison de Châteaudun rouverte pour l’occasion), 53 villages sont mis à contribution2, dont Voves3. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont désarmés et retenus dans le Sud de la France), sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré4. Une partie des réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, mais en décembre, 922 ont préféré rester et sont rassemblés à Dreux et Lucé5. Article détaillé : Retirada. Le camp de Voves 6 a été bâti en 1939 pour accueillir un centre d'instruction de la route. Il est utilisé en 1940 et 1941 par l'armée allemande pour le regroupement de prisonniers de guerre français. À la fin de 1941, les autorités françaises cherchent à déplacer le camp d'Aincourt, dans l'actuel département du Val-d'Oise, où sont internés depuis octobre 1940 des militants communistes de la région parisienne. C'est dans ce but que l'armée d'occupation accepte de restituer à l'administration française le camp de Voves. Le 5 janvier 1942, un premier groupe d'internés arrive d'Aincourt à Voves pour remettre les lieux en état. Durant les mois d'avril et de mai suivants, des arrivées massives marquent le début du fonctionnement réel du camp. Les premiers internés viennent non seulement du camp d'Aincourt mais aussi de ceux de Gaillon, dans l'Eure, et du camp de Châteaubriant, en Loire-Inférieure. D'autres transferts suivront, notamment en provenance des camps de Rouillé, dans la Vienne, d'Écrouves, en Meurthe-et-Moselle, et de Pithiviers, dans le Loiret. La grande majorité des internés est constituée de « politiques », principalement des militants et sympathisants communistes, mais quelques-uns sont, pour reprendre le vocabulaire de l'époque, des « indésirables », essentiellement des étrangers, et des « droits communs », trafiquants du marché noir ou repris de justice. L'histoire du camp est marquée par l'importance du rôle joué par la direction politique communiste, bien sûr clandestine, qui, dans le but de former des cadres politiques et militaires pour la Résistance, crée une véritable université et organise des représentations théâtrales et des compétitions sportives, mais aussi, de façon plus dramatique, par les prélèvements d'otages et les transferts d'internés vers les camps de concentration d'Auschwitz et de Mauthausen, enfin par plusieurs évasions spectaculaires. Dans la nuit du 5 au 6 mai 1944, quarante-deux internés s'évadent par un tunnel de cent quarante-huit mètres de long, creusé à partir de la baraque des douches et qui descend à deux mètres de profondeur pour passer sous la clôture du camp. Un détachement de SS prend alors le contrôle du camp et, le 9 mai, la totalité des internés est transférée au camp de Royallieu, puis, quelques semaines plus tard, dans le camp de concentration de Neuengamme, près de Hambourg. Il n'y aura que peu de survivants… D'août 1944 à 1947, le camp est à nouveau utilisé, cette fois pour accueillir des prisonniers de guerre allemands. Le camp aujourd'hui Le site du camp est aujourd'hui un lieu de mémoire, entretenu par un Comité du souvenir. Il regroupe une baraque musée, un Mémorial, un wagon du type de ceux ayant servi à la déportation des internés, divers souvenirs du camp et un arboretum. Blasonnement Les armoiries de Voves se blasonnent ainsi : D’azur au râteau levé d’argent, au moulin à vent d'or brochant sur le manche, accosté de deux gerbes de blé du même. Création Conseil Français d'Héraldique Politique et administration Tendances politiques et résultats Article connexe : Élections municipales de 2014 en Eure-et-Loir. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Liste des maires Liste des maires à partir de 1945 Période Identité Étiquette Qualité mai 1945 mai 1983 Roger Gommier     mai 1983 mai 2001 André Coeuret     mai 2001 mai 2008 Maryvonne Genin     2008 … Marc Guerrini UDI   Démographie            Évolution de la population  ] 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1 044 1 173 1 163 1 136 1 256 1 315 1 283 1 303 1 436            Évolution de la population  ], suite (1) 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1 468 1 514 1 670 1 845 1 736 1 913 1 960 1 996 2 023            Évolution de la population  ], suite (2) 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 2 021 2 070 2 081 1 903 2 019 2 070 2 017 2 161 2 110            Évolution de la population  ], suite (3) 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2012 2 352 2 506 2 619 2 834 2 785 2 928 2 910 2 910 3 091 De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes  ; pour les dates suivantes : population municipale. (Sources : Ldh/EHESS /Cassini jusqu'en 19997 puis Insee à partir de 20048.) Histogramme de l'évolution démographique Jumelages  Stroncone  (Italie) depuis le 14 juillet 2007 Lieux et monuments * Église Saint-Lubin (XIIe s., XVe s., XVIe s.). * Fontaine Saint-Lubin. * Dolmen (à proximité de la fontaine Saint-Lubin). * Site de l'ancien camp de prisonniers de guerre puis camp d'internement. Personnalités liées à la commune * Hugues Capet (né vers 939-941, mort en 996), roi des Francs  ; * François Gendron (1618-1688), vicaire de Voves (frère du curé Jacques Gendron), missionnaire au Mexique et dans les Indes où il acquit de grandes connaissances dans la flore ; guérisseur réputé notamment pour soigner les cancers, il fut choisi par Louis XIV pour soigner le cancer de sa mère Anne d'Autriche ; * Claude Deshayes-Gendron (1663-1750), docteur en médecine (petit-neveu de François Gendron) ; * Philippe Alliot (1954-), pilote automobile. Cadre de vie Ville fleurie : deux fleurs au Concours des villes et villages fleuris 9. Articles connexes * Liste des monuments historiques d'Eure-et-Loir * Liste des communes d'Eure-et-Loir * Liste des anciennes communes d'Eure-et-Loir Liens externes Sur les autres projets Wikimedia : * Voves, sur Wikimedia Commons * Voves, sur le Wiktionnaire * Site officiel * Voves sur le site de l'Insee Notes * ↑ « Ancien camp d'internement de Voves »  ], base Mérimée, ministère français de la Culture * ↑ Jeanine Sodigné-Loustau, « L'Accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre  ] », Matériaux pour l'histoire de notre temps. 1996, no 44. p. 43. * ↑ Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 46. * ↑ Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 43-44. * ↑ Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 47. * ↑ Stéphane Fourmas, Le centre de séjour surveillé de Voves (Eure-et-Loir), janvier 1942-mai 1944., mémoire de maîtrise d'Histoire, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne,‎ 1999, 220 p. * ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui  ] sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales. * ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006  ], 2008  ], 2012  ]. * ↑ Villes et villages fleuris - Eure-et-Loir  ]   v  · m Communes de la communauté de communes de la Beauce vovéenne   v  · m Communes du canton de Voves * Portail d’Eure-et-Loir * Portail des communes de France Catégories  : * Commune d'Eure-et-Loir * Commune du canton de Voves * Commune de la 4e circonscription d'Eure et Loir * Commune de l'arrondissement de Chartres | Menu de navigation * Créer un compte * Se connecter * Article * Discussion * Lire * Modifier * Modifier le code * Historique * Accueil * Portails thématiques * Article au hasard * Contact Contribuer * Débuter sur Wikipédia * Aide * Communauté * Modifications récentes * Faire un don Imprimer / exporter * Créer un livre * Télécharger comme PDF * Version imprimable Outils * Pages liées * Suivi des pages liées * Importer un fichier * Pages spéciales * Adresse de cette version * Information sur la page * Élément Wikidata * Citer cette page Autres langues * Български * ᨅᨔ ᨕᨘᨁᨗ * Català * Cebuano * Deutsch * English * Español * Euskara * Magyar * Bahasa Indonesia * Italiano * Malagasy * Bahasa Melayu * Nederlands * Occitan * Polski * Piemontèis * Português * Română * Slovenčina * Slovenščina * Svenska * Українська * Oʻzbekcha/ўзбекча * Tiếng Việt * Volapük * Winaray * 中文 * Bân-lâm-gú Modifier les liens * Dernière modification de cette page le 1 décembre 2015 à 17:42. * Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons paternité partage à l’identique; d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques. En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la licence. Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc., organisation de bienfaisance régie par le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des État Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques
39 €
Voir le product
France
Aramis, le vaillant mousquetaire de la bande des quatre, connaît un secret mortel pour la monarchie: Louis XIV a un jumeau, vrai prétendant au trône. De peur que cet aîné ne dispute le royaume à son frère, Anne d'Autriche et Mazarin le font emprisonner sous un masque de fer. Or Aramis fomente un complot pour faire sortir le Masque de fer de prison et le placer sur le trône... Mais d'Artagnan va farouchement s'opposer à son ancien ami pour protéger son souverain... Louis XIV a-t-il eu un frère jumeau tenu prisonnier sous un masque de fer ? Entre l'histoire et la légende, un petit supplément au roman propose quelques éléments de réponse.. Poche:  158 pages Editeur :  Hachette Jeunesse;  Édition :  Nouvelle (27 août 2003) Collection :  Romans Langue :  Français ISBN-10:  2013220421 ISBN-13:  978-2013220422 Dimensions du produit:  18 x 0,9 x 12,5 cm
Voir le product
Tours (Indre et Loire)
ENCHERISSEURS SOYEZ LES BIENVENUS VOIR § COUTS POSTAUX MERCI D ATTENDRE LA DEMANDE DE PAIEMENT AVANT TOUT REGLEMENT ++++++++++++++++++++++  INTERNATIONAL BIDDERS WELCOME SEE PLEASE THE § SHIPPING COSTS THANK YOU TO WAIT THE PAYMENT REQUEST BEFORE ANY PAYMENT ++++++++++++++++++++       DISPERSION D UNE COLLECTION PRIVEE CONCERNANT DORE ET CHEVE AU MANS SARTHE ET PRESENTATION HISTORIQUE UNE IMMERSION DANS LE MONDE DES SCAPHANDRES ET SCAPHANDRIERS COURANT XIX° SIECLE FORMAT A4 LETTRE ENVELOPPE DOUBLE FEUILLET DE 4 PAGES A ETE PLIEE EN ENVELOPPE ETAT BON ETAT ===> Page 1 MANUFACTURE A CHARENTON LE PONT (SEINE) MAGASINS RUE THORIGNY N°4 CI DEVANT RUE DE RAMBUTEAU  15 EMPLOI GENERAL DU CAOUTCHOUC F.CASASSA Fournisseur de la Ville de Paris des Ponts et Chaussées dela Marine Impériale, des Chemins de fer Breveté S.G.D.G. de chaque coté,  marque de fabique F.CASASSA F.C. illustrée par une ancre de marine dans un écusson. Doit Mr Doré Paris le 8 juillet  1866 facture complète et signée Signature  lisible  "Casassa" ==> Page 2 RIEN   (suite de facture avec colonnes vierges) ==> Page 3 LETTRE PRE IMPRIMEE AVEC ENTETE CAOUTCHOUC MANUFACTURE ET ADRESSES  MANUFACTURE ET SIEGE et signature Casassa ===> Page 4  Adresse du pli Monsieur Doré Constructeur Mécanicien                  au Mans cachets postaux ronds à date et cachet manufacture de caoutchouc F.CASASSA en bleu                  DOCUMENT TRES RARE                                DOCUMENT EN BON ETAT                                                                   VOIR SCANS                                                                   VOIR HISTORIQUE                                                             1° CASASSA                                                              2° DORE CHEVE N HESITEZ PAS A ME DEMANDER DIRECTEMENT DES SCANS OU PRECISIONS COMPLEMENTAIRES à « topkapi9@gmail.com ».   FEEL FREE TO ASK INFORMATION AND SCANS DIRECTLY THROUGH « topkapi9@gmail.com”   FRAIS POSTAUX   * France METROPOLITAINE   ENVOI PAR LETTRE RECOMMANDEE AVEC GARANTIE R2  JUSQU A 153 EUROS  SOUS ENVELOPPE AVEC RENFORT CARTONNE COUT 6,50 EUROS MERCI D ATTENDRE MA DEMANDE DE PAIEMENT AVANT TOUT REGLEMENT  ++++> EN CAS DE DEMANDE DE PAIEMENT VIA  PAYPAL  ME CONTACTER / MERCI * POUR TOUTE AUTRE DESTINATION ME CONSULTER AVANT ACHAT   INTERNATIONAL BIDDERS WELCOME   SHIPPING COSTS REGISTERED LETTER  in AN ENVELOP WITH CARDBOARD REINFORCMENT PLEASE WAIT MY THE PAYMENT REQUEST BEFORE PAYMENT.    PLEASE ASK ME THE SHIPPING AND OTHER COSTS BEFORE BIDDING   HISTORIQUE                              HISTORIQUE 1° F.CASASSA ATTENTION PAS DE PHOTOS AUTORISEES PAR DANS LA PARTIE « DESCRIPTION / DOCUMENTATION » POUR VOIR LES PHOTOS ALLER DIRECETEMENT SUR LES SITES REFERENCES  SOURCES: http://www.pieds-lourds.com/Pages/fabricants.cfm?Pays=france Etablissements Casassa 24 rue Jacquart Pantin (Seine) Début du XXe siècle, mais pas de renseignement encore connu sur ce fabricant, ses casques, à 3 boulons et à crochet, étaient typiquement de brevets Denayrouze. La Marine Française en a adopté. Cité également  dans http://www.steinbach68.org/rollin/rollin.htm Cité également en recherche de brevet sous Full text of "Rapports du jury international: Troisieme Partie  1903 Imprimeire Nationale...                                                                           www.archive.org/stream/.../rapportsdujuryi00unkngoog_djvu.txt   F. Casassa fils et C", de Pantin (Seine) et de Paris, pour leur série très variée... Leurs modèles de casque respiratoire contre les fumées et de casque contre les...... bien   2°HISTORIQUE    DORE CHEVET LA SAGA  INDUSTRIELLE ET SOCIALE "CHEVE ETDORE CHAPPEE " © Guilhaine Faivre / 2013 LE LIEU Celle-ci se situe dans la Sarthe, département à vocation plutôt rurale mais les forges existent depuis des temps anciens et notamment celle de Saint- Jamme sur Sarthe lieudit Antoigné, village situé à 13 kms de la Ville du Mans. C’est ce site qui de viendra l’Usine CHAPPEE. L’EPOQUE Nous sommes à la fin du XVII° siècle et l’aventure industrielle de cette région va prendre son développement au cours de la période 1800-1900. L’ORIGINE Les Beaumanoirs de Lavardin sont les fondateurs des grosses forges d’Antoigné, forges exploitées avant 1618 UN LIEU ET DES RESSOURCES NATURELLES La rivière la Sarthe Des forêts alentour, la forêt de Lavardin, des bois de La Milesse et de La Bazoge, soit au total seulement 850 hectares affectés à la forge. Viendront s’y ajouter les bois et forêts d’Antoigné, Mézières, Neuville, Bonnétable, Tucé, Chérancé. En cas de besoin, les forgerons achètent par adjudication du bois dans les forêts domaniales de Sillé-le-Guillaume et de Perseigne. 1789 ET LES ANNEES SUIVANTES UNE PERIODE POUR LE MOINS TROUBLEE En 1798, la forge fut adjugée pour 2 010 000 francs à Nicolas Jacques Augustin Hébert de Hauteclerc, ingénieur des Ponts et Chaussées, originaire d’Alençon. Vont alors se succéder différents propriétaires et/ou gestionnaires (prennant en location les forges et les exploitant). Le dernier exploitant avant l’arrivée de Messieurs DORE et CHEVE est Isidore BUON qui fera faillite en 1848. LE CONTEXTE ECONOMIQUE Après la révolution, les méthodes de gestion restent identiques mais le contexte économique des forges évolue rapidement:   * une crise inhérente à deux facteurs: la médiocrité du minerai de fer local et les difficultés liées à son transport. * d´autres difficultés sont à surmonter: la concurrence des fers du Berry ou du Nivernais et celle d’établissements utilisant la houille à la manière anglaise et produisant fonte et fer à moindre coût, sans parler des fers étrangers (Suède et Espagne). L’ARRIVEE D UN NOUVEAU SOUFFLE SUR ANTOIGNE Tout d’abord Victor DORE, exemple d’ascension sociale. Fils de Louis DORE commis à la forge d’Antoigné et petit fils de Julien DORE fondeur de ce même établissement. Victor DORE nait le 9 septembre 1814 à Saint Jamme sur Sarthe. Il entre à 14 ans comme apprenti mouleur aux forges d’Antoigné et y devient maître fondeur. En 1841, il s’associé à Joseph CHEVE et les 2 hommes fondent la même année la fonderie de Saint Pavin des Champs dans la Sarthe. Elle a pour but la fonte des mêtaux de tourte sorte.Ils s’associent sous la forme de Société en Nom Collectif (S.N.C. sous la raison sociale « CHEVE DORE qui deviendra, 4 ans plus tard en 1845 « DORE CHEVE et Cie. La dynamique DORE –CHEVE est en marche. En 1854 Victor DORE et Joseph CHEVE signent le bail par lequel ils prennent la gestion d’Antoigné. Ils décident de redémarrer le haut fourneau. Les 2 usines vont alors bénéficier d’un très fort développement reposant sur des bouleversements économiques importants:   * le chemin de fer (inauguration de la gare du mans le 28 mai 1854) et toutes les fournitures qui s’y rapporte * le télégraphe (et la fourniture des fils et autres matériaux). Cela justifie la reconstruction du haut fourneau d’Antoigné et la création d’un atelier de moulerie. LA SEPARATION EN 1860, Victor DORE et Joseph CHEVE se séparent. JOSEPH CHEVE Joseph CHEVE, sur lequel on a peu de renseignements, crée alors en 1863 une fonderie et un laminoir de cuivre à l’AUNE Commune de Montreuil le Chétif. IL y travaillera avec son gendre Marcel HEDIN et y produit des planches, des barres à décolleter et du fil de laiton. En 1899, dans l’usine toute proche de la Gaudinière, il installeune fabrication semblable mais plus importante. Son premier directeur, Albert Lego installe une fonderie de laiton concurrente à Sceaux. ARMAND CHAPPEE Tout commence par un heureux mariage. Armand CHAPPEE épouse en 1850 la fille ainée de Victor DORE Armand CHAPPEE devient vite le plus proche collaborateur de Victor DORE, et cela d’autant plus que la séparation avec joseph CHEVE intervient en 1860. Un autre événement moins joyeux en 1860: le haut fourneau d’Antoigné est détruit par suite d’une incendie. Il sera remplacé par des cubilots et Saint Jamme sur Sarthe devient« fonderie de seconde fusion ». L’évolution est en marche. En 1867, Armand CHAPPEE renforce son rôle de direction dans les usines suite à la paralysie de son beau père. Armand CHAPPEE devient véritable directeur après le partage des biens entre les 2 sœurs DORE en 1875. En quelques années, les produits des Usines CHAPPEE d’Antoigné puis de Port Brillet (en 1882, CHAPPEE achète le site de Port Brillet à la Société PAILLARD DUCLERE) sont vendus dans la France entière et dans de nombreux pays étarngers. DECES DE VICTOR DORE Victor DORE décède en 1898. DECES D’ARMAND CHAPPEE Armand CHAPPE meurt en 1922. Le décès d’Armand Chappée entraîne la dissolution de la Société Chappée et fils et inaugure la création de la Société Anonyme des établissements Chappée par ses fils Louis et Julien et par ses petits-fils Pavin, Gervais et Benoît. Cette date de 1922 marque également le début de la guerre entre les héritiers. En 1895, il s’était associé avec ses 2 fils Jules et Louis mais ceux-ci ne pourront pas s’entendre après le décès de leur père sur la direction de l’entreprise. Peu de temps après le départ de Louis (le fils cadet qui travaillait de longue date avec son père dans l’entreprise) qui cède ses parts à son frère en 1926, L’entreprise est donc revendue à Jean Raty, gérant de la Société des hauts fourneaux de Saulnes en Lorraine qui crée la Société Générale de Fonderie. LA SOCIETE GENERALE DE FONDERIE Après la seconde guerre Mondiale, l’usine d’Antoigné, intégrée à la Générale de Fonderie, va pleinement profiter de la reconstruction et de l’augmentation du niveau de vie. Avec la généralisation du chauffage central, la production des radiateurs devient une excellente affaire. L’entreprise atteint 1800 personnes dans les années 60. Après la mécanisation des années 1959 et 60, la production de radiateurs, principale production de l’usine, peut atteindre 400 000 éléments par an et l’usine est en pleine expansion. Toutefois, à cette période, l’entreprise achète des usines tout azimut mais ne prend pas en compte le développement du chauffage électrique et les conséquences du premier choc pétrolier. L’usine va progressivement péricliter jusqu´à sa fermeture en 1984. Sources: Persée / Wikipédia / recherches sur Internet / Chambre de Commerce et d’Industrie de la Sarthe / documentation personnellle MERCI DE L’ INTERET QUE VOUS PORTEZ AUX DOCUMENTS QUE NOUS PRESENTONS SUR DELACAMPE N’ HESITEZ PAS A NOUS QUESTIONNER SI VOUS LE SOUHAITEZ,                          ET A VOIR N0S AUTRE DOCUMENTS PROPOSES SUR   ET DELCAMPE                                                                     *          *                                                                           * CHERS COLLECTIONNEURS ET CHERCHEURS JE  PROPOSE REGULIEREMENT SUR PSEUDO « pourquoipas37 » Lien : http://www..fr/sch/pourquoipas37/m.html?_nkw=&_armrs=1&_ipg=&_from= Et  SUR DELCAMPE PSEUD « Bonnes_encheres » Lien : http://www.delcampe.net/seller_sales.php?language=F&id_member=00763030 DES DOCUMENTS  DE COLLECTION SUR LES THEMES SUIVANTS: COMMERCE TRANSPORTS NAVIGATION  MARINE  INDUSTRIE BANQUE FINANCE   XVIII° ET XIX° SIECLE ET DIVERS DOMAINES PLUS COURANTS XX° MODE  PUBLICITE  ETC… N HESITEZ PAS A CONSULTER REGULIEREMENT  MON SITE OU A ME METTRE DANS VOS FAVORIS     DEAR COLLECTORS AND RESEARCHERS I REGULARELY OFFER ON SITE PSEUDO « pourquoipas37 » Lien : http://www..fr/sch/pourquoipas37/m.html?_nkw=&_armrs=1&_ipg=&_from= AND ALSO  ON DELCAMPE SITE PSEUDO « Bonnes_encheres » Lien : http://www.delcampe.net/seller_sales.php?language=F&id_member=00763030  DOCUMENTS OF  COLLECTION  ON THE FOLLOWING TOPICS: TRADE TRANSPORT INDUSTRY Maritime BANK FINANCIAL SERVICES XVIII and XIX CENTURY AND OTHER AREAS MOST COMMON XX° CENTURY MODE  ADVERTISING ETC... FEEL FREE TO  WATCH REGULARELY ING ON MY SITE OR PUT ME IN YOUR FAVOURITES     MERCI DE L’ ATTENTION QUE VOUS PORTEZ AUX DOCUMENTS QUE JE PRESENTE SUR. N'HESITEZ PAS A ME QUESTIONNER SI VOUS LE JUGEZ NECESSAIRE. J’ESSAIERAI DE VOUS REPONDRE LE PLUS PROMPTEMENT POSSIBLE.   ET N'HESITEZ PAS A REGARDER MES AUTRES DOCUMENTS SUR   BONNES CHANCES DANS VOS RECHERCHES et BONNES ENCHERES !!!   THANK YOU FOR THE ATTENTION  YOU BEAR TO DOCUMENTS THAT I PRESENT ON. DONT  HESITATE TO ASK ME IF YOU NEED SOME INFORMATION. I WILL TRY TO REPLY TO YOUR QUESTIONS AS SOON AS  AS POSSIBLE.    AND DO NOT HESITATE TO LOOK AT MY OTHER DOCUMENTS ON   GOOD LUCK IN YOUR RESEARCHS and GOOD AUCTION !!!
30 €
Voir le product
France
Photographie carte de visite vers 1870, d'après un portrait peint de Marie-Antoinette d' Autriche, Reine de France. Format:  10,4 x 6,3 cm.  Photographe: Ch. Jacotin, 37 bd de Strasbourg, Paris Bon état, fines tâches de rousseurs sur l'image et le support. Marie-Antoinette d'Autriche  Pour les articles homonymes, voir Marie-Antoinette  et Marie-Antoinette d'Autriche (homonymie). Marie-Antoinette d’Autriche Marie-Antoinette en 1783, par Élisabeth Vigée Le Brun. Titres Reine des Français 4  septembre  1791  — 10  août  1792 (11 mois et 6 jours) Données clés Prédécesseur Elle-même (reine de France et de Navarre) Successeur Joséphine de Beauharnais (impératrice des Français) Reine de France et de Navarre 10  mai  1774  — 4  septembre  1791 (17 ans, 3 mois et 24 jours) Données clés Prédécesseur Marie Leszczynska Successeur Elle-même (reine des Français) Dauphine de France 16 mai  1770  — 10  mai  1774 (3 ans, 11 mois et 24 jours) Données clés Prédécesseur Marie-Josèphe de Saxe Successeur Marie-Thérèse de France Biographie Titulature Archiduchesse d’Autriche Dynastie Maison de Habsbourg-Lorraine Nom de naissance Maria Antonia Josepha Johanna von Habsburg-Lothringen Surnom « L’Autrichienne » « Madame Déficit » Naissance 2 novembre  1755 Vienne  (Autriche) Décès 16  octobre  1793  (à 37 ans) Place de la Révolution  (Paris,France) Sépulture Nécropole de Saint-Denis Père François Ier du Saint-Empire Mère Marie-Thérèse d’Autriche Conjoint Louis XVI de France Enfants Marie-Thérèse de France Louis-Joseph de France Louis-Charles de France Sophie-Béatrice de France Religion Catholicisme Reines de France modifier Marie-Antoinette Josèphe Jeanne de Habsbourg-Lorraine (en allemand, Maria Antonia Josepha Johanna von Habsburg-Lothringen), archiduchesse  d’Autriche, princesse impériale, princesse royale de Hongrie  et de Bohême, (née le 2 novembre  1755  à Vienne  – morte le 16  octobre  1793  à Paris), fut la dernière reine de France  et de Navarre  (1774–1792), épouse de Louis XVI, roi de France et de Navarre. Fille de l'empereur François Ier du Saint-Empire, et de Marie-Thérèse d'Autriche, reine de Hongrie et de Bohême, elle était une lointaine descendante des rois de FranceHenri II  et Louis XIII, ainsi que l'arrière-petite-fille de Philippe, duc d’Orléans, frère deLouis XIV.vintage old II empire famille royale prince Noblesse Roi
15 €
Voir le product
Vannes (Morbihan)
breizh.antiques.art@gmail.com 06 47 07 70 65 24 Médaille en bronze doré. Graveur: A déterminer. Dimensions: 68 mm. Poids: 196 g. Métal: bronze. Poinçon sur la tranche (Mark on the edge): Aucun, tranche lisse. Envoi rapide et soigné. Le support utilisé pour présenter la médaille n'est pas à vendre. The stand used for the medal presented is not for sale.   _______________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Château de Sedan Château de Sedan Période ou style Médiéval Type Château fort Début construction 1424 Propriétaire initial Évrard II de La Marck Propriétaire actuel Municipalité de Sedan Protection  Classé MH (1965) Site web http://www.chateau-fort-sedan.fr/ Coordonnées 49° 42′ 07″ N 4° 56′ 58″ E 49° 42′ 07″ Nord 4° 56′ 58″ Est Pays  France Anciennes provinces de France Champagne Région Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine Département Ardennes Commune Sedan Géolocalisation sur la carte : Champagne-Ardenne modifier   Le château de Sedan ou château-haut est situé à Sedan sur un promontoire en bordure de Meuse autrefois flanqué de deux ruisseaux, le Bièvre et le Vra. C'est l'une des plus grandes forteresses d'origine médiévale d'Europe avec 35 000 m2 sur sept étages et des murs de plus de 7 m de large (le mur le plus épais avoisine les 27 m de large). Ce château fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 4 janvier 1965 1. Sommaire * 1 Histoire * 2 Circuit de visite * 3 Galerie * 4 Architecture * 5 Les Seigneurs et Princes de Sedan, ducs de Bouillon * 6 Évènements * 6.1 Le Grand tournoi de chevalerie * 6.2 Festival médiéval * 6.3 Visites nocturnes aux flambeaux * 7 Annexes * 7.1 Articles connexes * 7.2 Liens externes * 8 Sources * 8.1 Notes et références * 8.2 Bibliographie Histoire À l'origine du site se trouve un prieuré bénédictin dépendant de l'abbaye de Mouzon  : le prieuré Saint-Martin dont on peut voir les assises dans la cour du château. Ce prieuré est mentionné en 1306. Évrard de La Marck prend possession du site en 1424 par l'intermédiaire de son beau-frère Louis de Braquemont, apportant à son beau-frère la dot que son père (Guillaume de Braquemont) n'a jamais fourni. Il décida de construire un château de plan sensiblement triangulaire sur le site autour de l'église devenue chapelle castrale. Les fouilles ont montré que cette église avait dû être fondée au XIe siècle. Vers 1424, Évrard III de La Marck fait bâtir en six ans un manoir avec deux tours jumelles autour d'une église, un donjon résidentiel rectangulaire qui faisait déjà partie du prieuré et une tour ronde à l'ouest qui a été agrandie plus tard pour devenir la "Grosse tour". Les tours jumelles servant d'entrée au château étaient protégées par un châtelet constitué de deux petites tours rondes et d'une échauguette. Le plan de ce premier château peut paraître archaïque pour l'époque de sa construction et n'a pas encore vraiment pris en compte la défense contre l'artillerie. Lorsque Evrard meurt en 1440, son fils Jean de la Marck entreprend le renforcement de la forteresse mais c'est Robert II de La Marck, le petit-fils de Jean, qui réalisera les travaux les plus importants. En 1530, les fortifications du manoir sont modernisées par la construction du boulevard circulaire. Le logis princier est construit sur 100 mètres le long du rempart côté ville à partir de 1530. Le pavillon Renaissance dans le style de Philibert Delorme a été construit pour Robert IV de La Marck et son épouse Françoise de Brézé. Le logis du Gouverneur est édifié en 1536. Vers 1550 sont créées les terrasses à canons par remplissage en terre, entre les remparts et une nouvelle muraille prise sur la basse cour, augmentant l'épaisseur des courtines de 4,50 m à 26 m, jusqu'à un niveau égal à ceux dominant le site. 18 petits logis pour la troupe ont été créés dans ce remplissage. À partir de 1553 commence l'édification de deux bastions triangulaires sur le front nord-est, celui du Gouverneur terminé en 1557, et le bastion Fourchu en 1559. En 1572 ont été livrés les deux autres bastions, celui des Dames et le bastion du Roy. Des ouvrages à cornes ont été ajoutés à l'avant des bastions mais certains furent dynamités à la fin du XIXe siècle. Les archives permettent de nommer les ingénieurs ayant participé à la dernière campagne de construction des défenses de Sedan : Marin Fourre, qui est le concepteur initial, puis, en 1577, le Ferrarais Marc-Aurèle Pazin ou Marco Aurelio de Pasino, probablement l'auteur des "boulverts" et des bastions de l'enceinte urbaine, et enfin, après 1585, Jean Errard, de Bar-le-Duc. Le maréchal Turenne y nait en 1611. Il s'agit d'un des plus grands militaires, en compagnie de Napoléon Bonaparte, que l'histoire ait connu. La principauté est absorbée par la France après la bataille de la Marfée et à la suite de l'échec d'une nouvelle conspiration contre Richelieu menée par Cinq-Mars en 1642. Louis XIII fait emprisonner le prince de Sedan, Frédéric Maurice de La Tour d'Auvergne-Bouillon, puis remettre la principauté par traité. Le maréchal Fabert, messin de naissance, fut le premier gouverneur de Sedan pour le roi de France suite au rattachement de la principauté à la France. En 1650 il fit construire les magasins Fabert, accueillant aujourd'hui l'hôtel du château. Le château est transformé en garnison. En 1699, Vauban fait construire la porte « des Princes », adaptée aux progrès de l'artillerie. Il s'agit de la seule intervention de ce célèbre architecte, ce qui a laissé penser que la forteresse était de qualité. Lorsque Napoléon Bonaparte visite le château, en 1803, il fait transférer à Paris la collection d'armures des princes de Sedan à Paris. Certaines se trouvent aujourd'hui exposées au Musée de l'Armée. En 1822, l'église Saint-Martin est démolie pour installer un parc à boulets. Une plateforme d'artillerie est créée en 1828 au sommet des Tours jumelles. Encerclée par les armées prussienne et saxonne, le 1er septembre 1870 lors de la Bataille de Sedan, l'armée du camp de Châlons est défaite. Napoléon III fait hisser sur le château fort le drapeau blanc demandant la fin des hostilités. L'acte de capitulation est signé au Château de Bellevue entre Frénois et Glaire. L'Hôtel du Château Des essais de dynamite sont faits sur le bastion du Gouverneur en 1873. Autrefois le plus vaste du château-fort, ce bastion est aujourd'hui largement éventré. De janvier 1917 à novembre 1918, la citadelle va servir de camp pour des milliers de civils résistants français et belges condamnés aux travaux forcés par les autorités allemandes. Beaucoup y sont morts. Cédé par l’armée française à la ville en 1962, le château a fait l’objet de plusieurs campagnes de restauration. Aujourd'hui, le château est un haut-lieu touristique des Ardennes. Logeant un temps l'office de tourisme de la ville, celui-ci fut récemment déplacé dans un traversant reliant la rue du Ménil au Promenoir des prêtres présent au pied du château. On trouve également le musée à l'intérieur de ce château où s'y trouve depuis le printemps 2012, une maquette de la ville de Sedan au XIXe siècle, due en grande partie à Jean-Jacques Dromby. Une des salles de ce musée est dédiée à la guerre de 1870 et y est exposée une riche collection de casques prussiens et autres armes, ainsi que l'esquisse du panorama de Sedan par Ludwig Braun. Lors des rafales de vent (jusqu'à 110 km/h) dues aux orages du 14 juillet 2010, vers 16h20 la large toiture côté sud s'est en partie envolée mais aussi effondrée à l'endroit du spectacle de fauconnerie (haute-cour, ruines du prieuré Saint Martin) ne prenant (par chance) pas place ce jour-là (jour de relâche). Les collections du château, en partie conservées dans les combles de l'édifice, furent en grande partie sauvées grâce à l'aide spontanée du personnel du château et de bénévoles. La nouvelle toiture fut achevée pour la saison touristique 2012. Circuit de visite Le château fort de Sedan dispose d'un circuit de visite depuis l'année 1995 lorsque fut mis en place la visite Historium. Des mannequins de cire y furent placés, illustrant la vie au château à l'époque médiévale et au temps des princes. La scène la plus prestigieuse est celle du mariage de Charlotte de La Marck et Henri de La Tour d'Auvergne, placée dans le pavillon Renaissance. Depuis le printemps 2012, le château-fort de Sedan connaît une nouvelle jeunesse. Il se dote de nouveaux circuits (Mille ans d'histoire, Principauté), de nouveaux panneaux, d'une nouvelle entrée dans la cour du château-fort, d'une nouvelle salle multimédia etc. L'édifice attire chaque année près de 60 000 visiteurs. Galerie Architecture Le château de Sedan est une forteresse construite à partir de 1424 qui comporte quatre bastions défensifs construits au XVIe siècle, le bastion du Gouverneur, le bastion Fourchu, le bastion des Dames et le bastion du Roi. Le châtelet d'entrée comporte deux tours rondes qui étaient munies de hourds, d'une herse et d'une bretèche. L'ensemble de la forteresse est entouré de murs surmontés de courtines. Le logis seigneurial et le logis de la garde datent d'avant le milieu du XVIe siècle. Au début du XVIIe siècle, Henri de la Tour d’Auvergne a fait construire le Palais des Princes, appelé aussi le Château–Bas, et a déserté le logis de la forteresse. Les Seigneurs et Princes de Sedan, ducs de Bouillon Liste des princes de la Principauté de Sedan * Gérard III de Jauche (1210 – 1261) * Gérard IV de Jauche (1235 – 1293) * Guillaume de Jauche (1285-1340) * Marie de Jauche (1315 – 1387) * Hugues de Barbençon épouse Marie de Jauche Vers 1340 * Jean de Barbençon (enterré à Vireux-Molhain) 1344 – 1404 * Guillaume de Braquemont (1345-1420) épouse Marie de Campremy. Il achète le château en 1405 et est le frère de Robert de Bracquemont amiral de France et d'Espagne * Louis de Braquemont (1390-1424) épouse Isabelle Le Maréchal * Évrard II de La Marck-Arenberg (1365-1440) épouse Marie de Braquemont * Jean de La Marck (1406-1470) épouse Jeanne de Virnembourg * Robert I de La Marck (? – 1497) épouse Jeanne de Marley en 1449 * Robert II de La Marck (1460 – 1536) épouse Catherine de Croy en 1490 * Robert III de La Marck (1492-1536) épouse Guillemette de Sarrebruck en 1510 * Robert IV de La Marck (1512-1556) épouse Françoise de Brézé en 1539 * Henri-Robert de La Marck (1540-1574) épouse Françoise de Bourbon-Vendôme en 1559, 1er prince de Sedan * Guillaume-Robert de La Marck (1563-1588) * Charlotte de La Marck (1574-1594) épouse Henri de la Tour d’Auvergne en 1591 * Henri de la Tour d'Auvergne (1555-1623) épouse Élisabeth de Nassau * Frédéric-Maurice de La Tour d'Auvergne (1605-1652) épouse Eléonore-Fébronie de Bergh Évènements Le Grand tournoi de chevalerie Depuis une dizaine d'années le château-fort de Sedan accueille chaque été des tournois de chevalerie. Réalisés par une troupe en majorité slovaque (Normani), ces spectacles font la joie des petits et des grands. Festival médiéval Depuis 1996, le château-fort de Sedan accueille un festival médiéval de Sedan autour de la forteresse, le troisième week-end de mai. Succès populaire, près de 14 000 entrées payantes furent décomptées lors des dernières éditions. * Festival médiéval de 2011 * * * * * Visites nocturnes aux flambeaux Chaque été des visites originales, puisqu'aux flambeaux, sont organisées les vendredis et samedis soir. Annexes Articles connexes Sur les autres projets Wikimedia : * Château de Sedan, sur Wikimedia Commons * Comté de la Marck * Duché de Bouillon * Principauté de Sedan * Liste des monuments historiques des Ardennes Liens externes * Site officiel * http://www.tourisme-sedan.fr * Pict-Art : Château de Sedan Sources Notes et références * ↑ « Notice no PA00078518 », base Mérimée, ministère français de la Culture Bibliographie * Alain Sartelet, Le château fort de Sedan, Gueniot,‎ 2006 (ISBN  978-2-8782- 5380-1) * Jean-Marie Pérouse de Montclos, Le guide du Patrimoine: Champagne-Ardenne, Paris, Hachette,‎ 1995 (ISBN  978-2-01-020987-1), p. 328-331 * Jean Aversenq, Le château-fort de Sedan, Sedan, Imprimerie Balan-Sedan, 1993 (1979), 58 p. * Portail des châteaux de France * Portail des Ardennes * Portail des monuments historiques français Catégories  : * Château fort en Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine * Château des Ardennes * Château monument historique (France) * Monument historique des Ardennes * Monument historique classé en 1965 * Patrimoine du XVe siècle * Sedan Menu de navigation * Non connecté * Discussion * Contributions * Créer un compte * Se connecter * Article * Discussion * Lire * Modifier * Modifier le code * Historique * Accueil * Portails thématiques * Article au hasard * Contact Contribuer * Débuter sur Wikipédia * Aide * Communauté * Modifications récentes * Faire un don Outils * Pages liées * Suivi des pages liées * Importer un fichier * Pages spéciales * Adresse permanente * Information sur la page * Élément Wikidata * Citer cette page Imprimer / exporter * Créer un livre * Télécharger comme PDF * Version imprimable Dans d’autres projets * Wikimédia Commons Autres langues * Български * Deutsch * English * Español * Italiano * Nederlands * Modifier les liens * Dernière modification de cette page le 15 février 2016, à 19:41. * Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions; d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques. En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la licence. Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc., organisation de bienfaisance régie par le parag
58,5 €
Voir le product
Nantes (Loire Atlantique)
Portrait en pied de Jacques Auguste de Thou mmée à l'époque issue du Plutarque Français (1835) format 17x27cm environs Maximilien de Béthune (duc de Sully)  Pour les articles homonymes, voir Sully. Maximilien de Béthune Le duc de Sully vers 1630. Titre Duc de Sully Autre titre Prince souverain d'Henrichemont et de Boisbelle Baron puis marquis de Rosny Marquis de Nogent-le-Rotrou Comte de Muret  et de Villebon Vicomte de Meaux Grade militaire Maréchal de France Conflits Guerres de religion Guerre franco-savoyarde Faits d'armes Bataille de Coutras Bataille d'Arques Bataille d'Ivry Siège d'Amiens Siège de Charbonnières Siège de Montmélian Distinctions Pair de France Autres fonctions Surintendant des finances  (1598) Grand maître de l'artillerie de France  (1599) Grand voyer de France (1599) Gouverneur de la Bastille  (1602) Surintendant des fortifications Biographie Dynastie Maison de Béthune Naissance 13 décembre  1559 château de Rosny-sur-Seine Décès 22 décembre  1641 au château de Villebon  (Eure-et-Loir) Père François de Béthune Mère Charlotte Dauvet Conjoint Anne de Courtenay Rachel de Cochefilet Enfants Maximilien François Marguerite Louise modifier   Maximilien de Béthune, duc de Sully, né à Rosny  le 13 décembre  1559  et mort à Villebon  le 22 décembre  1641, pair de France, maréchal de France, prince souverain d'Henrichemont et de Boisbelle, baron puis marquis de Rosny, marquis de Nogent-le-Rotrou, comte de Muret  et de Villebon, vicomte de Meaux, est un militaire protestant et un compagnon d'armes du roi Henri IV de France  dont il devint l'un des principaux conseillers. Sommaire   ]  * 1 Le compagnonnage avec le roi Henri de Navarre * 2 Le ministre * 3 La mise à l'écart * 4 Alliances et descendance * 5 Généalogie * 6 Voir aussi * 6.1 Bibliographie * 6.1.1 Sources manuscrites * 6.1.2 Sources imprimées * 6.1.3 Travaux historiques * 6.2 Articles connexes * 6.3 Liens externes * 7 Notes et références * 8 Chronologies Le compagnonnage avec le roi Henri de Navarre | modifier le code] Né le 13 décembre  1559  au château de Rosny-sur-Seine, il appartient à la branche cadette, peu fortunée et calviniste, d'une famille descendante des comtes souverains d'Artois, apparentée aux comtes de Flandres. Second fils de François de Béthune et de Charlotte Dauvet1, il devient l’héritier de la baronnie de Rosny à la mort de son frère aîné, Louis de Béthune, en 1578 2. En 1572, élève au collège de Bourgogne, à Paris, il échappe au massacre de la Saint-Barthélemy, et devient le compagnon du roi Henri III de Navarre, futur roi de France, qu'il suit dans toutes ses guerres. À ses côtés il se distingue par son intrépidité. En 1576, il combat dans les armées protestantes en Hollande pour récupérer la vicomté de Gand  dont il n'avait pu hériter de son parrain, un catholique  convaincu. En 1583, au château de Bontin, le seigneur de Rosny épouse Anne de Courtenay, une riche héritière. Des spéculations commerciales très heureuses, comme le commerce des chevaux pour l'armée, voire les dépouilles des villes prises par les Protestants l’enrichissent en peu de temps. En 1580, il devient chambellan ordinaire, puis membre du Conseil de Navarre. Il est chargé de négocier avec Henri III de France, afin de poursuivre une lutte commune contre la Ligue des Guise. Mais le traité de Nemours  en 1585  rapproche le roi de France des Guise aux dépens du roi de Navarre. En 1587, il combat à côté d'Henri de Navarre à Coutras, puis devant Paris, ensuite à Arques  en 1589, puis à Ivry  en 1590  où il est blessé. Il est de nouveau blessé à Chartres en 1591. Devenu veuf, il épouse en 1592  Rachel de Cochefilet, fille de Jacques de Cochefilet seigneur de Vaucelas. Entretemps le roi Henri III de France a été assassiné. Le ministre | modifier le code] En 1593, Sully conseille au nouveau roi de se convertir au catholicisme, afin de pacifier le royaume, mais refuse lui-même d’abjurer. Il négocie alors le ralliement de quelques chefs de la Ligue  (marquis de Villars, duc de Guise). Lors du siège d'Amiens  en 1597, il s'illustre à la tête de l’artillerie. Henri IV  comprend tardivement qu'il peut confier les finances du royaume à l'homme qui administre si bien ses propres affaires. Il le nomme en 1596 au Conseil des Finances puis, vers 1598, surintendant des finances. Sully remet alors de l'ordre dans les comptes, en créant en 1601, une Chambre de justice destinée à lutter contre les malversations financières. Sully a de brillants conseillers, comme l'économiste Barthélemy de Laffemas, qui développe les manufactures, l'artisanat, et donne un coup de pouce à l'histoire de la soie  par la plantation de millions de mûriers. * Note autographe de Sully sur l'assainissement de la monnaie, Archives nationales *   * Il fait rentrer un arriéré fiscal considérable, paie des dettes écrasantes (près de 30 millions de livres), suffit aux dépenses des guerres en Espagne  et en Savoie, et à l'achat des places qui restent encore aux mains des chefs ligueurs. En 1598, il fait annuler tous les anoblissements décrétés depuis 20 ans. Il supprime les petits offices  de finances et judiciaires. Il crée de grands approvisionnements de guerre, lutte contre l'abus et les prodigalités et amasse un trésor (300 000 livres tournois  par an, soit 4 millions d'euros actuels3) tout en diminuant les impôts. Il fait restituer au roi une partie du domaine royal qui avait été aliénée. L’arrivée en Europe des métaux précieux américains, depuis le début du siècle, a permis à Sully comme à ses prédécesseurs de bénéficier de rentrées fiscales, mais lui va équilibrer le budget et faire des économies. Il se fait nommer gouverneur de la Bastille  en 1602, où il entrepose une partie du trésor royal qui s'élève à 12 millions de livres. Aux environs du 25 août  1600, durant la guerre franco-savoyarde, le Roi Henri  avait envoyé le duc de Sully visiter plusieurs citadelles qui étaient investies. Sully vint coucher à Bourg-en-Bresse  où il fut bien accueilli par Biron. Le jour de son départ pour Lyon, Sully reçut un avis qu'un groupe de 200 hommes ennemis venaient d'arriver dans un château proche du lieu où il devait passer la nuit. Sully demanda à Biron de lui donner une escorte jusqu'à Lyon. Biron donna comme escorte ses propres gardes qui accompagnèrent Sully jusque Villars  où l'escorte le quitta. « Je fis recharger mes mulets et fis encore environ 4 lieues et ne m'arrêtai qu'à Vimy  ou je me crus en sûreté. Le doute que j'avais, que Biron avait entrepris de me livrer au duc de Savoie, se changea alors en certitude. Trois heures après que je fut parti de Villars, les 200 hommes vinrent fondre sur la maison ou ils croyaient que j'étais, et parurent très fâchés d'avoir manqué leur coup. »4. Le 29 août, Sully est à pied d’œuvre lors du siège du château de Charbonnières  en tant que grand maître de l'artillerie de France. La paulette  est instaurée en 1604, pour instituer l'hérédité des offices  et augmenter les recettes de l'État. En 1599, il est nommé Grand maître de l'artillerie de France  et Grand voyer de France, il contrôle alors toutes les voies de communication. Les routes principales sont retracées, remblayées, pavées. En prévision des besoins en constructions et de la marine, il fait planter des ormes  aux bords des routes (les fameux ormes de Sully). Il encourage surtout l'agriculture  en répétant une phrase devenue célèbre : « Labourage et pâturage sont les deux mamelles dont la France est alimentée, les vraies mines et trésors du Pérou5  ». Dans ce but, il proclame la liberté du commerce des grains, et abolit un grand nombre de péages  qui sont autant de barrières entre les provinces, il ouvre de grandes voies de communication, et il fait creuser plusieurs canaux, notamment le canal de Briare  qui relie la Seine  à la Loire, commencé en 1604  et terminé en 1642 6. Il va pousser les paysans à produire plus que nécessaire afin de vendre aux autres pays. Pour cela, il décide d'augmenter la surface cultivée en faisant assécher des marais. Afin de les protéger du fisc, il interdit la saisie des instruments de labour et accorde aux paysans une remise sur les arriérés de la taille. Il va aussi faire cesser la dévastation des forêts, étendre la culture de la vigne… Comme surintendant des fortifications  il fait établir un arsenal et fortifie les frontières. En 1606, il est nommé duc et pair  de Sully et acquiert, la même année, le château de Montrond, le rénove entièrement pour en faire la plus forte place du Berry. La mise à l'écart | modifier le code] Mémoires, édition originale de 1639 Il était devenu impopulaire, même parmi les protestants, et auprès des paysans qu'il avait dû accabler d'impôts pour faire face aux dépenses en vue de la guerre contre l'Espagne. Après l'assassinat d'Henri IV  en 1610, il est nommé membre du Conseil de régence et prépare le budget de 1611. En complet désaccord avec la régente Marie de Médicis, il démissionne de ses charges de surintendant des finances  et de gouverneur de la Bastille  (1611) ; il conserve cependant le gouvernement du Poitou. En 1616, il abandonne la majeure partie de ces fonctions et vivra désormais loin de la cour, d'abord sur ses terres de Sully  puis surtout en Quercy, tantôt à Figeac  et plus précisément à Capdenac-le-Haut tantôt sur sa seigneurie de Montricoux, à quelques lieues de Montauban. Il se consacre à la rédaction de ses mémoires, mais reste très actif sur le plan politique et religieux. Son fils François de Béthune, comte d'Orval  est le gouverneur de Figeac, place de sûreté calviniste. Ce dernier épouse Jacqueline de Caumont, fille du marquis de la Force, qui commande la défense militaire de Montauban en 1621. Cette même année, il est intervenu en conciliateur et a intercédé en modérateur dans les luttes entre les protestants français et la royauté, après les 96 jours du siège de Montauban  par Louis XIII, en 1627-1628, lors du siège de La Rochelle  et avant la reddition de Montauban. Proche du réseau diplomatique de Richelieu, il a été nommé maréchal de France en 1634. Il décède au château de Villebon  (Eure-et-Loir) le 22 décembre  1641. Son tombeau est à Nogent-le-Rotrou 7. *
15 €
Voir le product
Vannes (Morbihan)
breizh.antiques.art@gmail.com 06 47 07 70 65 11.5 Dimensions: La planche: 24 cm par 17 cm. la feuille entière: 29 cm de hauteur par 21,5 cm de large. Graveur: Nicolas DE LARMESSIN (XVIII). Gravure originale d'époque XVII ème siècle, vers 1680. Edité chez P Bertrand, Paris. Gravure originale d'époque sur beau papier. Papier légèrement jauni, quelque rousseurs et mouillures éparses, petits déchirures ou manques sans gravité sur les bords. Envoi rapide et soigné. Léopold Ier de Habsbourg (né à Vienne en 1640, mort à Vienne le 5 mai 1705), roi de Hongrie, et roi de Bohême (1657), puis archiduc d'Autriche et élu empereur des Romains (1658). Fils cadet de Ferdinand III de Habsbourg et de Marie-Anne d'Autriche, infante d'Espagne, il était destiné à l'Église. Né pendant la Guerre de Trente Ans, il suit sa famille à Linz où sa mère, épuisée par le voyage, meurt en couches alors qu'il n'a que 6 ans. Les traités de Westphalie qui mettent fin à la guerre consacrent l'échec de la Maison de Habsbourg, accordant une indépendance complète aux princes souverains du Saint-Empire et donnant l'Alsace à la France. La mort de son frère aîné, déjà roi de Hongrie sous le nom de Ferdinand IV, le fait héritier du trône à 14 ans1. Son père meurt trois ans plus tard laissant l'adolescent de 17 ans gérer seul un héritage complexe. Élu empereur à 18 ans, il accueille les princes de Lorraine chassés de leurs duchés par les troupes de Louis XIV et se lie d'une grande amitié avec l'héritier du trône lorrain, le futur Charles V. Il soutient ce dernier, allant jusqu'à permettre son mariage avec sa sœur Éléonore, veuve du roi de Pologne. Pour leur épargner les ragots de la cour et leur permettre de vivre selon leur rang, Léopold donne à Charles le gouvernement de la province du Tyrol. Un souverain pacifique Au cours de son règne, l'empereur fut soutenu par le capucin Marc d'Aviano (béatifié en 2003). Mari fidèle et excellent musicien, il composa lui-même plusieurs œuvres. Souverain pacifique mais entouré d'ennemis, Léopold Ier passa une bonne partie de sa vie à faire la guerre. Avec l'Empire, il héritait une guerre avec la Suède à laquelle il mit fin dès 1660. Puis ce fut une première guerre contre les Turcs (1663-1664) mais qui se termina dès août 1664 par la victoire du généralissime Raimondo Montecuccoli à la bataille de Saint-Gothard sur la Raab — la seule où le roi de France ait jamais été allié des Habsbourg contre les Ottomans, et la conclusion d'une trêve de vingt ans concrétisée par la Paix de Vasvár. Après une victoire militaire pourtant décisive, ce traité permettait au Sultan de conserver ses conquêtes faites depuis 1660, notamment aux dépens de Pierre Zrinski, seigneur de Čakovec, qui y vit une trahison par l'empereur de ses engagements de défense en tant que Roi de Hongrie; en 1670, les seigneurs croates Pierre Zrinski et Franjo Kristof Frankopan (en) complotèrent avec les "malcontents de Hongrie" pour détacher des Habsbourg la couronne de Hongrie, la proposant au roi de Pologne, à Louis XIV et en désespoir de cause au Sultan lui-même. Ils furent exécutés en 1671 et leurs terres confisquées. À l'expiration de la trêve de Vásvar, les Ottomans repartirent en guerre et mirent le siège devant Vienne le 14 juillet 1683 sous la direction du Grand Vizir Kara Mustapha. L'armée de secours dirigée par le Duc Charles V de Lorraine et le Roi de Pologne Jean III Sobieski écrasa les assiégeants le 12 septembre 1683 à la Bataille du Kahlenberg. Ce fut le point de départ d'une "guerre de libération" qui devait se conclure en 1699 par le Traité de Paix de Karlowitz (en serbe Sremski Karlovci), qui rendait à la couronne de Hongrie ses possessions de Slavonie, Syrmie, Bácska et Banat, que Soliman le Magnifique avait conquises au XVIe siècle. Entre-temps, Léopold avait affermi la possession des Habsbourg sur cette couronne, en obtenant en 1687 à Presbourg (alors capitale de la Hongrie sous le nom allemand de Preßburg, hongrois de Pozsony, croate de Požun, aujourd'hui en slovaque Bratislava) que le roi de Hongrie ne soit plus choisi par une assemblée nobiliaire mais par voie héréditaire de primogéniture. En même temps, il faisait abolir l'article 31 de la Bulle d'or de 1222 qui autorisait la noblesse à se révolter contre le roi de Hongrie si celui-ci violait le droit. _____________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques
75,65 €
Voir le product
Vannes (Morbihan)
breizh.antiques.art@gmail.com 06 47 07 70 65 gboiteAetb(bois) Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne à partir de 1880). Avec sa boite. Graveur: Isabel de Selva. Dimension: 68 mm. Poids: 193 g. Métal: bronze. Poinçon tranche:   Corne d'abondance + bronze + 1981. Envoi rapide et soigné. Elle est d'origine alsacienne. Son père, Paul Louis Weiss (1867-1945), ingénieur des mines est un protestant alsacien dont les parents originaires de La Petite-Pierre se sont installés en Lorraine à Phalsbourg. Son grand-père, Georges-Émile Weiss est notaire. Il démissionne après l'annexion de l'Alsace-Lorraine en 1871. Paul Louis Weiss fait toute sa carrière dans l'industrie minière, dirigeant successivement plusieurs sociétés et finissant président de l'Union des mines. Sa mère, Jeanne Félicie Javal est la fille de l'ingénieur et médecin Émile Javal, un des inventeurs de l'orthoptique. La famille de sa mère, la famille Javal, est une riche famille alsacienne d'origine allemande, tchèque et juive1, installée à Seppois-le-Bas et très engagée dans la vie publique. Louise Weiss est l'ainée de six enfants2 (une de ses sœurs cadettes, Jenny Aubry - marié en première noce avec le docteur Alexandre Roudinesco; parents de l'historienne Elisabeth Roudinesco - sera connue comme psychanalyste et pédiatre; son frère Jacques, polytechnicien, inspecteur des finances, directeur de société de charbon et traducteur de livres spiritualistes). Elle passe sa jeunesse à Paris, élève, notamment, au collège Sévigné et au lycée Molière. Contre l'avis de son père, peu favorable à l'éducation des filles, Louise Weiss devient agrégée de lettres à 21 ans et diplômée d'Oxford. Elle refuse le poste d'enseignant qui lui est proposé puis se tourne vers le journalisme. Elle fréquente alors les exilés tchèques et slovaques à Paris quartier du 19e, Tomáš Masaryk, Edvard Beneš et Milan Stefanik et s'intéresse aux relations internationales. Le support  n'est pas à vendre. The stand  is not for sale.   ________________________________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques)
62,29 €
Voir le product
France
Mme CARETTE née Bouvet, MADEMOISELLE DE MONTPENSIER, préface de M. Octave Feuillet de l'Académie française, neuvième édition, Paris, Société d'éditions littéraires et artistiques librairie Paul Ollendorff,   1901, in-12° de 294 pages, relié demi parchemin. Biographie et extraits des mémoires de Mademoiselle de Montpensier ou la Grande Mademoiselle (1627-1693), fille de Gaston d'Orléans frère de Louis XIII, qui participa activement à la Fronde et fit tirer le canon de la Bastille contre les troupes du roi Louis XIV. État: Très bon, bon exemplaire. PAIEMENT ATTENDU DANS LA SEMAINE QUI SUIT LA VENTE SINON UN LITIGE SERA OUVERT.
Voir le product
Paris (Paris)
Carton d’invitation « La Collection Courtauld » Cézanne Manet Gaugin Renoir Degas Van Gogh Ed : Fondation Louis Vuitton, Paris. Format : 21x15 cm (fermé) / 42x15 cm (ouvert) Très bon état.   Carton d’invitation de l’exposition « La Collection Courtauld - le Parti de l’impressionnisme. » qui s’est tenue à la Fondation Louis Vuitton du Du 20 février au 17 juin 2019.   L'exposition présente la collection de l'industriel et mécène anglais Samuel Courtauld, l'une des plus significatives collections de peintres impressionnistes, rassemblés pour la première fois à Paris depuis 60 ans.   L’exposition témoigne de l’extrême exigence et de l’engagement artistique de Samuel Courtauld. Elle réunit quelque 110 œuvres – dont une soixantaine de peintures, mais aussi des œuvres graphiques, ayant toutes appartenu à Samuel Courtauld et majoritairement conservées à la Courtauld Gallery ou dans différentes collections publiques et privées internationales. Elle présente également un ensemble de dix aquarelles de J.M.W. Turner qui ont appartenu au frère de Samuel Courtauld, Sir Stephen Courtauld.   Pensez à regarder mes autres ventes : Livres photo, Nobuyoshi Araki, Daïdo Moriyama, Antoine d’Agata, Nan Goldin, Jeff Wall, Willy Ronis, Brassaï, Doisneau, Ed Ruscha, Arts, Arte povera, Photographie, Mode, Fashion, livres illustrés, littérature, littérature photographique, Arts africains, Yves Klein,...   Envoi rapide et très soigné. (Carton et papier bulle. Angles protégés). Possibilité de remise en main propre sur Paris.
14,89 €
Voir le product
France
Je recalcule les frais de port pour l'achat de plusieurs objets!! envoi groupé moins chèr   messe de la reconciliation:  raymond fau, michel wackenheim cantiques aujourd'hui: raymond fau, g de courrèges souviens-toi: jeunesse et action quel beau jour ce sera etc: léquipe internationale dévangelisation tout est possible a mon sauveur etc: léquipe internationale dévangelisation merci seigneur: léon guillou avec les hallel's singers soeur sourire: chants de lumière l'évangile chanté: rené robert, pierre van woerden le père école: no. 1, 4 et 5 donne moi la main mon frère: john littleton église en fête: blagnac dieu est amour: john littleton, dominique ombrie gloire au dieu du ciel: echos de la joie Strasbourg chorale Billy Graham Paris 1963 choeur mixte de saint genis: louis zbinden psalmodie et chants: moines de keur moussa (sénégal jái choisi de vivre alleluia seigneur etc.: francis lirola, ensemble joie de vivre melodie celeste: groupe mennonite belfortain, marcel graber-plessy un miracle de grace: j.j. zbinden, j.p. wildrianne, dorothy r. zbinden' l'évangile chanté: rené robert, pierre van woerden les murs de jericho etc: maison de la bible les petits chanteurs de lourdes old man river etc: john william comme j'ai toujours envie d'aimer: marc hamilton kyrie elei pop etc: choeurs de la new st paul's cathedral jesus est mon ami: la fondation Mon Rocher passant qui est tu?: guitaristes de l'EER le carillon de pont-main no 1 seigneur pour toi; jeunesse et action au-dela du ciel: dorothy zbinden, ken acheson echos de línstitut biblique 4x disque évangélique   38 disques   CONDITION: VOIR PHOTO   bon état à état raisonnable (cartons/covers traces d'usage)     N'oubliez pas d'aller voir mes autres objets !! Pour économiser sur les frais de port, pensez à grouper vos commandes. Envoi RAPIDE et SOIGNÉ !! Frais de port = montants arrondis, inclus expedition, emballage bien protégé, transport, etc. Mes livres ou objets sont généralement proposés avec l’envoi le plus économique, comme 'lettre' (ou international par 'livres-brochures'). Dans ce cas les livres/objets voyagent aux risques et périls de l’acheteur. Si vous souhaitez une livraison garantie avec suivi, merci de me contacter, avant paiement, pour opter pour le Colissimo ou le recommandé. Mes objets sont emballés très soigné, protection efficace,(voir mes evaluations) et mon adresse figure systématiquement au dos ét dans le paquet, puor le renvoi, en cas non distribuable. Dans le cas d’une livraison économique: je ne pourrai pas être tenue responsables de détérioration ou des pertes de la Poste.
7,94 €
Voir le product
Vannes (Morbihan)
breizh.antiques.art@gmail.com 06 47 07 70 65 34 Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne à partir de 1880). Frappée en 1929. Graveur:  G Prud'homme. Dimension: 68 mm. Poids:  159 g. Métal : bronze. Poinçon sur la tranche (mark on the edge) : corne d'abondance + bronze . Envoi rapide et soigné.   Ferdinand Jean Marie Foch est né dans une famille bourgeoise catholique à Tarbes. Ferdinand est le sixième des sept enfants2 de Bertrand Jules Napoléon Foch (1803-1880) et de Sophie Dupré (1812-1883). Son père est « percepteur » (fonction parallèle à celle de trésorier-payeur général) originaire du Comminges (Gascogne)3. Quant à sa mère, elle est la fille de Jacques-Romain Dupré (Loriol, 1771 - Argelès-de-Bigorre, 26 janvier 18524), retraité capitaine, chevalier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII), chevalier de l'Empire, et de Marie-Anne Ducot. Sophie avait un frère, le chevalier Germain Dupré (10 janvier 1811-« Argelès-de-Bigorre5 » - Montpellier, ✝ 11 décembre 1893), médecin et sénateur. Maison natale du maréchal Foch à Tarbes. Au gré des affectations administratives de son père, il effectue sa scolarité à Tarbes, à Rodez, ou à Lyon. Il fréquente les collèges jésuites de Saint-Étienne et Saint-Clément de Metz. Il est chassé de ce dernier établissement pendant la guerre de 1870, le collège étant occupé par un bataillon de Poméraniens. Il passe les concours à Nancy et en novembre 1871 il intègre l'École polytechnique. Le 5 novembre 1883, il se marie avec Julie Bienvenüe (1860-1950) à l'église Saint-Michel de Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor), une petite-cousine de Fulgence Bienvenüe, créateur du métro de Paris. Le couple aura quatre enfants6: Foch en uniforme de colonel du 35e régiment d'artillerie. Marie Foch (1885-1972), épouse de Paul Bécourt, capitaine au 26e bataillon de chasseurs (✝ 22 août 1914), mort pour la France à Joppécourt7 (Meurthe-et-Moselle) et postérité dont Jean Bécourt-Foch (1911-1944), compagnon de la Libération; Anne Foch (1887-1981), épouse d'Alex Fournier (1879-1929), postérité; Henry Fournier-Foch, colonel (1912-2006); Eugène Jules Germain Foch (19 juin 1888 à Montpellier - 30 juin 1888 à Montpellier); Germain Jules Louis Foch (23 décembre 1889 à Montpellier - 22 août 1914), aspirant au 131e régiment d'infanterie, mort pour la France à Ville-Houdlémont (Meurthe-et-Moselle)8 (On peut remarquer une tragique ironie de l'histoire, le général perd son fils et son gendre, tués à l'ennemi, le même jour, moins de trois semaines après le début du conflit). À la déclaration de guerre contre l'Allemagne, en 1870, il s'engage au 4e régiment d'infanterie qui ne combat pas. À la fin de la guerre franco-prussienne, il décide de rester dans l'armée et intègre l'École polytechnique, choisit l'École d'application de l'artillerie et du génie dont il sort en 1873 comme officier d'artillerie. Il est affecté comme lieutenant au 24e régiment d'artillerie à Tarbes. En 1876, il suit au sein de l'École de cavalerie de Saumur le stage des officiers d'artillerie montée. Le 30 septembre 1878, il devient capitaine. Il arrive à Paris le 24 septembre 1879 comme adjoint au service du personnel du dépôt central de l'artillerie. Il entre ensuite à l'École supérieure militaire comme élève, effectue en 1885 le stage de l'école au 16e corps d'armée et devient lui-même professeur à cette école de 1895 à 1901. Il y est professeur d'histoire militaire, de stratégie et tactique générale, et devient l'un des théoriciens français de l'offensive. Il se fait connaître par ses analyses critiques de la guerre franco-prussienne et des guerres napoléoniennes. Il poursuit son ascension dans l'armée: promu lieutenant-colonel en 1898, il est nommé colonel en 1903, chef de corps du 35e régiment d'artillerie à Vannes, puis général de brigade (1907). Il assume le commandement de l'École de Guerre de 1907 à 1911, année où il est nommé général de division; puis en 1913, général commandant de corps d'armée, à la tête du 20e corps d'armée de Nancy. Elizabeth Greenhalgh considère que les promotions de cet homme ambitieux sont davantage dues à ses qualités de diplomate et à son sens politique qu'à ses talents militaires puisqu'il fait son début de carrière comme officier d'État-major, fonction par ailleurs méprisée par les officiers du rang9. The stand is not for sale. Le support n'est pas à vendre. _______________________________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques
85 €
Voir le product
Vannes (Morbihan)
breizh.antiques.art@gmail.com 06 47 07 70 65 29 Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne d'abondance à partir de 1880). Médaille frappée vers 1929. Belle patine, quelques petits traces d'oxydation sans gravité, ainsi que de petits chocs sur la tranche. Graveur: G Granger. Dimensions: 68 mm. Poids: 174 g. Métal:bronze. Poinçon sur la tranche (mark on the edge) : Corne d'abondance + bronze . Envoi rapide et soigné. Ferdinand Jean Marie Foch est né dans une famille bourgeoise catholique à Tarbes. Ferdinand est le sixième des sept enfants2 de Bertrand Jules Napoléon Foch (1803-1880) et de Sophie Dupré (1812-1883). Son père est « percepteur » (fonction parallèle à celle de trésorier-payeur général) originaire du Comminges (Gascogne)3. Quant à sa mère, elle est la fille de Jacques-Romain Dupré (Loriol, 1771 - Argelès-de-Bigorre, 26 janvier 18524), retraité capitaine, chevalier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII), chevalier de l'Empire, et de Marie-Anne Ducot. Sophie avait un frère, le chevalier Germain Dupré (10 janvier 1811-« Argelès-de-Bigorre5 » - Montpellier, ✝ 11 décembre 1893), médecin et sénateur. Maison natale du maréchal Foch à Tarbes. Au gré des affectations administratives de son père, il effectue sa scolarité à Tarbes, à Rodez, ou à Lyon. Il fréquente les collèges jésuites de Saint-Étienne et Saint-Clément de Metz. Il est chassé de ce dernier établissement pendant la guerre de 1870, le collège étant occupé par un bataillon de Poméraniens. Il passe les concours à Nancy et en novembre 1871 il intègre l'École polytechnique. Le 5 novembre 1883, il se marie avec Julie Bienvenüe (1860-1950) à l'église Saint-Michel de Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor), une petite-cousine de Fulgence Bienvenüe, créateur du métro de Paris. Le couple aura quatre enfants6: Foch en uniforme de colonel du 35e régiment d'artillerie.    Marie Foch (1885-1972), épouse de Paul Bécourt, capitaine au 26e bataillon de chasseurs (✝ 22 août 1914), mort pour la France à Joppécourt7 (Meurthe-et-Moselle) et postérité dont Jean Bécourt-Foch (1911-1944), compagnon de la Libération;     Anne Foch (1887-1981), épouse d'Alex Fournier (1879-1929), postérité; Henry Fournier-Foch, colonel (1912-2006);     Eugène Jules Germain Foch (19 juin 1888 à Montpellier - 30 juin 1888 à Montpellier);     Germain Jules Louis Foch (23 décembre 1889 à Montpellier - 22 août 1914), aspirant au 131e régiment d'infanterie, mort pour la France à Ville-Houdlémont (Meurthe-et-Moselle)8 (On peut remarquer une tragique ironie de l'histoire, le général perd son fils et son gendre, tués à l'ennemi, le même jour, moins de trois semaines après le début du conflit). À la déclaration de guerre contre l'Allemagne, en 1870, il s'engage au 4e régiment d'infanterie qui ne combat pas. À la fin de la guerre franco-prussienne, il décide de rester dans l'armée et intègre l'École polytechnique, choisit l'École d'application de l'artillerie et du génie dont il sort en 1873 comme officier d'artillerie. Il est affecté comme lieutenant au 24e régiment d'artillerie à Tarbes. En 1876, il suit au sein de l'École de cavalerie de Saumur le stage des officiers d'artillerie montée. Le 30 septembre 1878, il devient capitaine. Il arrive à Paris le 24 septembre 1879 comme adjoint au service du personnel du dépôt central de l'artillerie. Il entre ensuite à l'École supérieure militaire comme élève, effectue en 1885 le stage de l'école au 16e corps d'armée et devient lui-même professeur à cette école de 1895 à 1901. Il y est professeur d'histoire militaire, de stratégie et tactique générale, et devient l'un des théoriciens français de l'offensive. Il se fait connaître par ses analyses critiques de la guerre franco-prussienne et des guerres napoléoniennes. Il poursuit son ascension dans l'armée: promu lieutenant-colonel en 1898, il est nommé colonel en 1903, chef de corps du 35e régiment d'artillerie à Vannes, puis général de brigade (1907). Il assume le commandement de l'École de Guerre de 1907 à 1911, année où il est nommé général de division; puis en 1913, général commandant de corps d'armée, à la tête du 20e corps d'armée de Nancy. Elizabeth Greenhalgh considère que les promotions de cet homme ambitieux sont davantage dues à ses qualités de diplomate et à son sens politique qu'à ses talents militaires puisqu'il fait son début de carrière comme officier d'État-major, fonction par ailleurs méprisée par les officiers du rang. Le chevalet n'est pas à vendre. The stand is not for sale.   ____________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques
162 €
Voir le product
France
marilivier Pour l'achat de 2 articles, ou plus, une réduction peut être proposée, en fonction du coût d'expédition.    Questionnez-nous avant de finaliser l'achat.  Histoire de la philosophie 2 - la philosophie moderne 4 - Le XIXe siècle après 1850, le XXe siècle. Index général. par Émile Bréhier (12 avril 1876, Bar-le-Duc — 3 février 1952, Paris) écrivain, philosophe et historien français. Il est surtout connu pour ses travaux sur l'histoire de la philosophie. Il est le frère de Louis Bréhier, historien de l'art.     Paris: Presses universitaires de France, (1944), reliure pleine toile, paginé 907-1206, 13.5x21.5cm Exemplaire de bibliothèque (université Censier)   -  Bon état, jaunissement habituel, dos insolé   D'autres ouvrages dans la boutique:  Bréhier Les informations, sauf mention contraire, sont extraites de Wikipedia ou de la Bibliothèque Nationale - Pour les départements/pays/territoires d'outre-mer, les bases militaires, merci de nous demander le montant des frais de port. - Les envois à l'étranger sont effectués en colis économique, sans suivi, (parfois très lent, de 2 jours à 6 semaines).   - Envoi prioritaire, suivi ou recommandé, sur demande, avec le surcoût postal en plus. - Merci de préciser le nom et adresse de votre "Relay" en même temps que le paiement, sinon l'envoi est effectué vers le Relay par défaut, c'est à dire celui indiqué comme étant le plus proche de votre adresse.
Voir le product
France
marilivier Pour l'achat de 2 articles, ou plus, une réduction peut être proposée, en fonction du coût d'expédition.    Questionnez-nous avant de finaliser l'achat.  Histoire de la philosophie 1er fascicule supplémentaire, La Philosophie en Orient par Paul Masson-Oursel (1882-1956) par Émile Bréhier (12 avril 1876, Bar-le-Duc — 3 février 1952, Paris) écrivain, philosophe et historien français. Il est surtout connu pour ses travaux sur l'histoire de la philosophie. Il est le frère de Louis Bréhier, historien de l'art.     Paris: Presses universitaires de France, (1957), reliure 1/2 toile, XII-184 pages, 13.5x21.5cm Exemplaire de bibliothèque (université Censier)   -  Bon état, dos un peu insolé     D'autres ouvrages dans la boutique:  Bréhier Les informations, sauf mention contraire, sont extraites de Wikipedia ou de la Bibliothèque Nationale - Pour les départements/pays/territoires d'outre-mer, les bases militaires, merci de nous demander le montant des frais de port. - Les envois à l'étranger sont effectués en colis économique, sans suivi, (parfois très lent, de 2 jours à 6 semaines).   - Envoi prioritaire, suivi ou recommandé, sur demande, avec le surcoût postal en plus. - Merci de préciser le nom et adresse de votre "Relay" en même temps que le paiement, sinon l'envoi est effectué vers le Relay par défaut, c'est à dire celui indiqué comme étant le plus proche de votre adresse.
Voir le product
France
marilivier Pour l'achat de 2 articles, ou plus, une réduction peut être proposée, en fonction du coût d'expédition.    Questionnez-nous avant de finaliser l'achat.  Histoire de la philosophie 2 - la philosophie moderne 3 - Le XIXe siècle. Période des systèmes (1800-1850) bibliographie mise à jour par Lucien Jerphagnon et Pierre-Maxime Schuhl par Émile Bréhier (12 avril 1876, Bar-le-Duc — 3 février 1952, Paris) écrivain, philosophe et historien français. Il est surtout connu pour ses travaux sur l'histoire de la philosophie. Il est le frère de Louis Bréhier, historien de l'art.     Paris: Presses universitaires de France, (1968), reliure pleine toile, paginé 505-788, 13.5x21.5cm Exemplaire de bibliothèque (université Censier)   -  Bon état       D'autres ouvrages dans la boutique:  Bréhier Les informations, sauf mention contraire, sont extraites de Wikipedia ou de la Bibliothèque Nationale - Pour les départements/pays/territoires d'outre-mer, les bases militaires, merci de nous demander le montant des frais de port. - Les envois à l'étranger sont effectués en colis économique, sans suivi, (parfois très lent, de 2 jours à 6 semaines).   - Envoi prioritaire, suivi ou recommandé, sur demande, avec le surcoût postal en plus. - Merci de préciser le nom et adresse de votre "Relay" en même temps que le paiement, sinon l'envoi est effectué vers le Relay par défaut, c'est à dire celui indiqué comme étant le plus proche de votre adresse.
Voir le product
France
marilivier Pour l'achat de 2 articles, ou plus, une réduction peut être proposée, en fonction du coût d'expédition.    Questionnez-nous avant de finaliser l'achat.  Histoire de la philosophie 2 - la philosophie moderne 4 - Le XIXe siècle après 1850, le XXe siècle. Index général - bibliographie mise à jour par Lucien Jerphagnon et Pierre-Maxime Schuhl par Émile Bréhier (12 avril 1876, Bar-le-Duc — 3 février 1952, Paris) écrivain, philosophe et historien français. Il est surtout connu pour ses travaux sur l'histoire de la philosophie. Il est le frère de Louis Bréhier, historien de l'art.     Paris: Presses universitaires de France, (1968), reliure pleine toile, paginé 789-1064, 13.5x21.5cm Exemplaire de bibliothèque (université Censier)   -  Bon état   D'autres ouvrages dans la boutique:  Bréhier Les informations, sauf mention contraire, sont extraites de Wikipedia ou de la Bibliothèque Nationale - Pour les départements/pays/territoires d'outre-mer, les bases militaires, merci de nous demander le montant des frais de port. - Les envois à l'étranger sont effectués en colis économique, sans suivi, (parfois très lent, de 2 jours à 6 semaines).   - Envoi prioritaire, suivi ou recommandé, sur demande, avec le surcoût postal en plus. - Merci de préciser le nom et adresse de votre "Relay" en même temps que le paiement, sinon l'envoi est effectué vers le Relay par défaut, c'est à dire celui indiqué comme étant le plus proche de votre adresse.
Voir le product
France
marilivier Pour l'achat de 2 articles, ou plus, une réduction peut être proposée, en fonction du coût d'expédition.    Questionnez-nous avant de finaliser l'achat.  Histoire de la philosophie 2e fascicule supplémentaire, La Philosophie byzantine, par Basile Tatakis (1897-1986) Émile Bréhier (12 avril 1876, Bar-le-Duc — 3 février 1952, Paris) écrivain, philosophe et historien français. Il est surtout connu pour ses travaux sur l'histoire de la philosophie. Il est le frère de Louis Bréhier, historien de l'art.     Paris: Presses universitaires de France, (1959), reliure pleine toile, XII-324 pages, 13.5x21.5cm Exemplaire de bibliothèque (université Censier)   -  Bon état, dos insolé      D'autres ouvrages dans la boutique:  Bréhier Les informations, sauf mention contraire, sont extraites de Wikipedia ou de la Bibliothèque Nationale - Pour les départements/pays/territoires d'outre-mer, les bases militaires, merci de nous demander le montant des frais de port. - Les envois à l'étranger sont effectués en colis économique, sans suivi, (parfois très lent, de 2 jours à 6 semaines).   - Envoi prioritaire, suivi ou recommandé, sur demande, avec le surcoût postal en plus. - Merci de préciser le nom et adresse de votre "Relay" en même temps que le paiement, sinon l'envoi est effectué vers le Relay par défaut, c'est à dire celui indiqué comme étant le plus proche de votre adresse.
Voir le product
France
marilivier Pour l'achat de 2 articles, ou plus, une réduction peut être proposée, en fonction du coût d'expédition.    Questionnez-nous avant de finaliser l'achat.  Histoire de la philosophie 2 - la philosophie moderne 2 - XVIIIe siècle  Bibliographie mise à jour par Pierre-Maxime Schuhl et André-Louis Leroy par Émile Bréhier (12 avril 1876, Bar-le-Duc — 3 février 1952, Paris) écrivain, philosophe et historien français. Il est surtout connu pour ses travaux sur l'histoire de la philosophie. Il est le frère de Louis Bréhier, historien de l'art.     Paris: Presses universitaires de France, (1962), reliure 1/2 toile, paginé 275-506 et IV, 13.5x21.5cm Exemplaire de bibliothèque (université Censier)   -  Bon état, petits défauts d'usage à la reliure   D'autres ouvrages dans la boutique:  Bréhier Les informations, sauf mention contraire, sont extraites de Wikipedia ou de la Bibliothèque Nationale - Pour les départements/pays/territoires d'outre-mer, les bases militaires, merci de nous demander le montant des frais de port. - Les envois à l'étranger sont effectués en colis économique, sans suivi, (parfois très lent, de 2 jours à 6 semaines).   - Envoi prioritaire, suivi ou recommandé, sur demande, avec le surcoût postal en plus. - Merci de préciser le nom et adresse de votre "Relay" en même temps que le paiement, sinon l'envoi est effectué vers le Relay par défaut, c'est à dire celui indiqué comme étant le plus proche de votre adresse.
Voir le product
France
marilivier Pour l'achat de 2 articles, ou plus, une réduction peut être proposée, en fonction du coût d'expédition.    Questionnez-nous avant de finaliser l'achat.  Histoire de la philosophie 2 - la philosophie moderne 3 - Le XIXe siècle. Période des systèmes (1800-1850) par Émile Bréhier (12 avril 1876, Bar-le-Duc — 3 février 1952, Paris) écrivain, philosophe et historien français. Il est surtout connu pour ses travaux sur l'histoire de la philosophie. Il est le frère de Louis Bréhier, historien de l'art.     Paris: Presses universitaires de France, (1940), reliure pleine toile, paginé 573-912, 13.5x21.5cm Exemplaire de bibliothèque (université Censier)   -  Bon état, dos légèrement insolé   D'autres ouvrages dans la boutique:  Bréhier Les informations, sauf mention contraire, sont extraites de Wikipedia ou de la Bibliothèque Nationale - Pour les départements/pays/territoires d'outre-mer, les bases militaires, merci de nous demander le montant des frais de port. - Les envois à l'étranger sont effectués en colis économique, sans suivi, (parfois très lent, de 2 jours à 6 semaines).   - Envoi prioritaire, suivi ou recommandé, sur demande, avec le surcoût postal en plus. - Merci de préciser le nom et adresse de votre "Relay" en même temps que le paiement, sinon l'envoi est effectué vers le Relay par défaut, c'est à dire celui indiqué comme étant le plus proche de votre adresse.
Voir le product
France
marilivier Pour l'achat de 2 articles, ou plus, une réduction peut être proposée, en fonction du coût d'expédition.    Questionnez-nous avant de finaliser l'achat.  Histoire de la philosphie L'Antiquité et le Moyen âge Période hellénistique et romaine Bibliographie mise à jour par Pierre-Maxime Schuhl par Émile Bréhier (12 avril 1876, Bar-le-Duc — 3 février 1952, Paris) écrivain, philosophe et historien français. Il est surtout connu pour ses travaux sur l'histoire de la philosophie. Il est le frère de Louis Bréhier, historien de l'art.     Paris: Presses universitaires de France, (1967), reliure pleine toile, paginé 231-464, 13.5x21.5cm Exemplaire de bibliothèque (université Censier)   -  Bon état        D'autres ouvrages dans la boutique:  Bréhier Les informations, sauf mention contraire, sont extraites de Wikipedia ou de la Bibliothèque Nationale - Pour les départements/pays/territoires d'outre-mer, les bases militaires, merci de nous demander le montant des frais de port. - Les envois à l'étranger sont effectués en colis économique, sans suivi, (parfois très lent, de 2 jours à 6 semaines).   - Envoi prioritaire, suivi ou recommandé, sur demande, avec le surcoût postal en plus. - Merci de préciser le nom et adresse de votre "Relay" en même temps que le paiement, sinon l'envoi est effectué vers le Relay par défaut, c'est à dire celui indiqué comme étant le plus proche de votre adresse.
Voir le product
France
marilivier Pour l'achat de 2 articles, ou plus, une réduction peut être proposée, en fonction du coût d'expédition.    Questionnez-nous avant de finaliser l'achat.  Histoire de la philosphie L'Antiquité et le Moyen âge 3 - Moyen âge et Renaissance Bibliographie mise à jour par Maurice de Gandillac, avec la collaboration de E. Jeauneau, P. Michaud-Quantin, H. Védrine et J. Schlanger par Émile Bréhier (12 avril 1876, Bar-le-Duc — 3 février 1952, Paris) écrivain, philosophe et historien français. Il est surtout connu pour ses travaux sur l'histoire de la philosophie. Il est le frère de Louis Bréhier, historien de l'art.     Paris: Presses universitaires de France, (1967), reliure pleine toile, paginé 465-704, 13.5x21.5cm Exemplaire de bibliothèque (université Censier)   -  Bon état    D'autres ouvrages dans la boutique:  Bréhier Les informations, sauf mention contraire, sont extraites de Wikipedia ou de la Bibliothèque Nationale - Pour les départements/pays/territoires d'outre-mer, les bases militaires, merci de nous demander le montant des frais de port. - Les envois à l'étranger sont effectués en colis économique, sans suivi, (parfois très lent, de 2 jours à 6 semaines).   - Envoi prioritaire, suivi ou recommandé, sur demande, avec le surcoût postal en plus. - Merci de préciser le nom et adresse de votre "Relay" en même temps que le paiement, sinon l'envoi est effectué vers le Relay par défaut, c'est à dire celui indiqué comme étant le plus proche de votre adresse.
Voir le product
France
marilivier Pour l'achat de 2 articles, ou plus, une réduction peut être proposée, en fonction du coût d'expédition.    Questionnez-nous avant de finaliser l'achat.  Histoire de la philosophie 2 - la philosophie moderne 1 - XVIIe et XVIIIe siècles par Émile Bréhier (12 avril 1876, Bar-le-Duc — 3 février 1952, Paris) écrivain, philosophe et historien français. Il est surtout connu pour ses travaux sur l'histoire de la philosophie. Il est le frère de Louis Bréhier, historien de l'art.     Paris: Presses universitaires de France, (1941), reliure pleine toile, 581 pages, 13.5x21.5cm Exemplaire de bibliothèque (université Censier)   -  Bon état, jaunissement habituel       D'autres ouvrages dans la boutique:  Bréhier Les informations, sauf mention contraire, sont extraites de Wikipedia ou de la Bibliothèque Nationale - Pour les départements/pays/territoires d'outre-mer, les bases militaires, merci de nous demander le montant des frais de port. - Les envois à l'étranger sont effectués en colis économique, sans suivi, (parfois très lent, de 2 jours à 6 semaines).   - Envoi prioritaire, suivi ou recommandé, sur demande, avec le surcoût postal en plus. - Merci de préciser le nom et adresse de votre "Relay" en même temps que le paiement, sinon l'envoi est effectué vers le Relay par défaut, c'est à dire celui indiqué comme étant le plus proche de votre adresse.
Voir le product
Paris (Paris)
L'écrivain français Voltaire d'après un dessin [PA0121] Catégorie: CDV > portraits > Hommes et Femmes de lettre Année: Circa 1860 Type: Tirage albuminé Format (cm): 6,5x10,5 CDV vintage albumen carte de visite, François-Marie Arouet, dit Voltaire, né le 21 novembre 1694 à Paris où il est mort le 30 mai 1778, est un écrivain et philosophe qui a marqué le XVIIIe siècle et qui occupe une place particulière dans la mémoire collective française et internationale. Figure emblématique de la France des Lumières, chef de file du parti philosophique, son nom reste attaché à son combat contre « l’Infâme », nom qu’il donne au fanatisme religieux, et pour la tolérance et la liberté de penser. Déiste en dehors des religions constituées, son objectif politique est celui d’une monarchie modérée et libérale, éclairée par les « philosophes ». Intellectuel engagé au service de la vérité et de la justice, il prend, sur le tard, seul et en se servant de son immense notoriété, la défense des victimes de l’intolérance religieuse et de l’arbitraire dans des affaires qu’il a rendues célèbres (Calas, Sirven, chevalier de La Barre, comte de Lally). De son immense œuvre littéraire, on lit aujourd’hui essentiellement ses contes et romans, où se concentre le meilleur de l'écrivain – la fantaisie, la finesse du trait, le bonheur de l’écriture, l’esprit du philosophe –, mais aussi les Lettres philosophiques, le Dictionnaire philosophique et sa prodigieuse correspondance, plus de 21 000 lettres retrouvées. Son théâtre, ses poésies épiques, ses œuvres historiques, qui firent de lui l’un des écrivains français les plus célèbres au XVIIIe siècle, sont aujourd’hui largement négligées ou ignorées. Tout au long de sa vie, Voltaire fréquente les Grands et courtise les monarques, sans dissimuler son dédain pour le peuple, mais il est aussi en butte aux interventions du pouvoir, qui l’embastille et le contraint à l’exil en Angleterre ou à l’écart de Paris. En 1749, après la mort d’Émilie du Châtelet, avec laquelle il a entretenu une liaison houleuse de quinze ans, il part pour la cour de Prusse, mais, déçu dans ses espoirs de jouer un grand rôle auprès de Frédéric II à Berlin, se brouille avec lui après trois ans et quitte Berlin en 1753. Il se réfugie un peu plus tard aux Délices, près de Genève, avant d’acquérir en 1759 un domaine à Ferney, sur la frontière franco-genevoise, à l’abri des puissants. Il ne reviendra à Paris qu’en 1778, ovationné par le peuple après une absence de près de vingt-huit ans. Il y meurt à 83 ans. Voltaire aime le confort, les plaisirs de la table et de la conversation, qu’il considère, avec le théâtre, comme l’une des formes les plus abouties de la vie en société. Soucieux de son aisance matérielle qui garantit sa liberté et son indépendance, il acquiert une fortune considérable dans des opérations spéculatives qui préfigurent les grandes spéculations boursières sous Louis XVI et dans la vente de ses ouvrages, ce qui lui permet de s’installer en 1759 au château de Ferney et d'y vivre sur un grand pied, tenant table et porte ouvertes. Le pèlerinage à Ferney fait partie en 1770-1775 du périple de formation de l’élite européenne éclairée. Investissant ses capitaux, il fait du village misérable de Ferney une petite ville prospère. Généreux, d'humeur gaie, il est néanmoins chicanier et parfois féroce et mesquin avec ses adversaires comme Jean-Jacques Rousseau ou Crébillon1. Considéré par la Révolution française – avec Jean-Jacques Rousseau, son frère ennemi – comme un précurseur, il entre au Panthéon en 1791, le deuxième après Mirabeau. Célébré par la IIIe République (dès 1870, à Paris, un boulevard et une place portent son nom, puis un quai, une rue, un lycée, une station de métro…), il a nourri, au XIXe siècle, les passions antagonistes des adversaires et des défenseurs de la laïcité de l’État et de l’école publique, et, au-delà, de l’esprit des Lumières. Articles connexes qui peuvent vous intéresser Le dramaturge allemand Au
Voir le product
France
marilivier Pour l'achat de 2 articles, ou plus, une réduction peut être proposée, en fonction du coût d'expédition.    Questionnez-nous avant de finaliser l'achat.  Histoire de la philosophie 2e fascicule supplémentaire, La Philosophie byzantine, par Basile Tatakis (1897-1986) Émile Bréhier (12 avril 1876, Bar-le-Duc — 3 février 1952, Paris) écrivain, philosophe et historien français. Il est surtout connu pour ses travaux sur l'histoire de la philosophie. Il est le frère de Louis Bréhier, historien de l'art.     Paris: Presses universitaires de France, (1959), reliure pleine toile, XII-324 pages, 13.5x21.5cm Exemplaire de bibliothèque (université Censier)   -  Bon état, dos un peu insolé       D'autres ouvrages dans la boutique:  Bréhier Les informations, sauf mention contraire, sont extraites de Wikipedia ou de la Bibliothèque Nationale - Pour les départements/pays/territoires d'outre-mer, les bases militaires, merci de nous demander le montant des frais de port. - Les envois à l'étranger sont effectués en colis économique, sans suivi, (parfois très lent, de 2 jours à 6 semaines).   - Envoi prioritaire, suivi ou recommandé, sur demande, avec le surcoût postal en plus. - Merci de préciser le nom et adresse de votre "Relay" en même temps que le paiement, sinon l'envoi est effectué vers le Relay par défaut, c'est à dire celui indiqué comme étant le plus proche de votre adresse.
Voir le product
Neuilly sur Marne (Seine St Denis)
LOT DE 29 X 33 TOURS ! Franck POURCEL, Sacha DISTEL, VECHUREN LUTER MIREILLE Voici la liste des 33 tours: - Franck POURCEL et son grand orchestre - Julio IGLESIAS,  mes chansons en français - Musette des faubourgs - 1ère D.F.L. - Michel FUGAIN, un enfant dans la ville - Manitas de Plata, hommages - Franck POURCEL, grand orchestre - Sacha DISTEL, et nous aussi mon frère - Sacha DISTEL à l'Olympia - La grande parade du Musette - Claude LUTER et son orchestre - J.S BACH, les six concerts brandebourgeois - Franck POURCEL et son grand orchestre - Mireille MATHIEU, la demoiselle d'Orléans - Les classiques du Musette, Louis GORCHIA son accordéon et son orchestre - Les plus beaux tangos du monde - Nuits à la Havane - Blues in the air - Vive l'accordéon, Emile CARRARA et son grand orchestre - 20 ans de ritournelle - André VERCHUREN joue Vincent SCOTTO - Une soirée au musette, Emile DECOTTY - André VERCHUREN - Marcel AMONT - Nuit de NOEL au village - André DASSARY - Valses d'aujourd'hui - Nuit d'amour à Grenade - Les opérettes marseillaises de Vincent SCOTTO, arènes joyeuses 3 de la marine Remise en mains propres à Meaux 77. Pas d'envoi pour cette vente.
24,89 €
Voir le product
Neuilly sur Marne (Seine St Denis)
LOT DE 29 X 33 TOURS ! Franck POURCEL, Sacha DISTEL, VECHUREN LUTER MIREILLE Voici la liste des 33 tours: - Franck POURCEL et son grand orchestre - Julio IGLESIAS,  mes chansons en français - Musette des faubourgs - 1ère D.F.L. - Michel FUGAIN, un enfant dans la ville - Manitas de Plata, hommages - Franck POURCEL, grand orchestre - Sacha DISTEL, et nous aussi mon frère - Sacha DISTEL à l'Olympia - La grande parade du Musette - Claude LUTER et son orchestre - J.S BACH, les six concerts brandebourgeois - Franck POURCEL et son grand orchestre - Mireille MATHIEU, la demoiselle d'Orléans - Les classiques du Musette, Louis GORCHIA son accordéon et son orchestre - Les plus beaux tangos du monde - Nuits à la Havane - Blues in the air - Vive l'accordéon, Emile CARRARA et son grand orchestre - 20 ans de ritournelle - André VERCHUREN joue Vincent SCOTTO - Une soirée au musette, Emile DECOTTY - André VERCHUREN - Marcel AMONT - Nuit de NOEL au village - André DASSARY - Valses d'aujourd'hui - Nuit d'amour à Grenade - Les opérettes marseillaises de Vincent SCOTTO, arènes joyeuses 3 de la marine Remise en mains propres à Meaux 77. Pas d'envoi pour cette vente. ref perso: suite succession
24,89 €
Voir le product

Petites annonces gratuites - acheter et vendre en France | CLASF - copyright ©2024 fr.clasf.com.