Gentilles rencontres éd

ANGEL, MON AMOUR de Barbara TAYLOR BRADFORD Ed. Belfond Très bon état Tous quatre orphelins, les héros du nouveau roman de Barbara Taylor se sont rencontrés adolescents, à la fin des années 1970. Paumés et en mal d'affection, ils se constituent "une famille", leur famille. Chacun sera toujours là pour les autres. Nous les retrouvons à l'âge adulte, ayant tous plus que brillamment réussi. Rosalind, dite Rosy et surnommée Angel pour sa générosité et son caractère d'"ange", est la styliste la plus recherchée de tout Hollywood. Mariée à un aristocrate français dont elle est séparée, sa vie sentimentale est un échec. Gavin acteur de génie, est quand à lui devenu la superstar du grand écran mais son mariage est également un fiasco. Ne serait-il pas toujours de Rosy, son premier amour ? Nell dirige sa propre agence internationale d'attachés de presse et tient secrète la relation qui l'unit à Kevin, le frère de Rosalind. Ce dernier, bien loin du brillant milieu du show-biz dans lequel évoluent ses amis, est policier à New York et appartient à une brigade spécialisée dans la lutte contre la mafia. Nell et Rosy tremblent en permanence, l'une pour son amant, l'autre pour son frère. Avec Angel, mon amour, Barbara Taylor Bradford se penche à nouveau avec passion sur les relations affective entre des êtres qui sont fait pour s'aimer et ne le savent peut-être pas. De Londres à Paris, de Ho Roman occasion à vendre à Bubry (56310): livres et bd à acheter dans le Morbihan (56)

Gens des Nuages J.M.G Le Clézio ed STOCK Résumé: De ce voyage vers la Saguia el Hamra, nous avions parlé depuis la première fois que nous nous sommes rencontrés. Les circonstances, nos occupations, nos préoccupations familiales, ainsi que la situation troublée dans laquelle se trouvait une grande partie du territoire des nomades Aroussiyine avaient rendu ce retour improbable, voire impossible. Et voici que d'un coup, alors que nous n'y songions plus, le voyage devint possible. Il était venu à nous quand nous ne l'espérions plus. Nous pouvions en parler d'une façon simple, comme s'il s'agissait de visiter une province lointaine. Entendre parler les Aroussiyine, les approcher, les toucher. De quoi vivaient-ils ? Avaient-ils toujours des troupeaux de chameaux et de chèvres, élevaient-ils toujours des autruches ? Combien étaient-ils ? Avaient-ils changé au cours des siècles, depuis que Sidi Ahmed el Aroussi avait fondé la tribu ? Nous voulions entendre résonner les noms que la mère de Jemia lui avait appris, comme une légende ancienne, et qui prenaient maintenant un sens différent, un sens vivant: les femmes bleues; l'assemblée du vendredi; les Chorfa, descendants du Prophète; les Aït Jmal, le Peuple du Chameau; les Ahel Mouzna, les Gens des nuages, à la poursuite de la pluie. Nous sommes partis sans réfléchir, sans savoir où nous allions, sans même être sûrs que nous y arriverions