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Hachoir dumas aine


Liste des meilleures ventes hachoir dumas aine

Saumur (Maine et Loire)
2 anciens couteaux de poche pliants Etat comme sur les photos.  Le plus grand des deux, sans marquage visible, est en très bon état fonctionnel.  L'autre, 32 Dumas Aine a "du jeu" dans la lame. Envoi gratuit. Paiement par chèque préférable. N'hésitez pas à consulter mes autres annonces..!
20,5 €
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Coignières (Yvelines)
Les Cuirassés " Dunkerque & Strasbourg " Par le spécialiste incontesté du cuirassé Robert Dumas Couverture de Pierre Boucheix Editions Marines & Réalisations Format 26,5 x 24,5 cm  118 pages   Strasbourg Comme son aîné de la classe Dunkerque, le Dunkerque, le Strasbourg était un navire de ligne dont le déplacement "Washington" 26 500 tonnes et le calibre de l'artillerie principale de 330 mm étaient nettement inférieurs aux limites fixées par le traité de Washington de 1922 à 35 000 tonnes et 406 mm. Sa vitesse maximale de plus de 29,5 nœuds, était en revanche très supérieure à celle des cuirassés les plus puissants construits après 1920. Commandé en 1934, lancé en 1936, entré en service en 1939, il avait été conçu pour surclasser les « cuirassés de poche » allemands de la classe Deutschland, au moment où les négociations préparatoires au second traité naval de Londres semblaient devoir conduire à une limitation du déplacement des cuirassés et de leur artillerie principale nettement plus draconiennes que celles fixées par le traité de Washington de 1922. Avec la reprise de la course aux armements navals, en 1936-1937, ce fut le dernier navire de ligne de la Marine française de moins de 35 000 tonnes. Il fut suivi des cuirassés Richelieu (1940) et Jean Bart (mis à flot en mars 1940, mais entré en service en 1955 seulement). À l'automne 1939, il n'eut pas l'occasion d'intercepter les « cuirassés de poche » allemands, alors qu'il avait été conçu pour les affronter. À Mers el-Kebir, le 3 juillet 1940, il échappa à des cuirassés britanniques auxquels on n'avait jamais pensé qu'il devrait se confronter. Lorsque les Allemands, après l'occupation de la zone libre, qui suivit les débarquements alliés en Afrique du Nord, tentèrent de saisir les navires français restés sous le contrôle des autorités de Vichy, il fut sabordé à Toulon, le 27 novembre 1942. Il finit bombardé, et son épave coulée par des bombardements alliés, en août 1944 Dunkerque Le Dunkerque a été la première unité d'une classe de bâtiments de ligne français mise en service à la fin des années 1930, la classe Dunkerque. Sa principale caractéristique était de se situer nettement en deçà des limites posées par le traité de Washington de 1922, en termes de déplacement et de calibre de l'artillerie principale des cuirassés. Remarquable par la disposition de son artillerie principale de 330 mm, en deux tourelles quadruples à l'avant, sa vitesse d'environ 30 nœuds, et sa silhouette comportant une grande plage avant, il avait été conçu au début des années 1930 en réponse au Panzerschiffe (navire blindé) allemand de classe Deutschland, pendant la courte période où l'on a pu croire que la limitation des armements navals conduirait à des limites de déplacement et de calibre draconiennes. La course aux armements navals ayant repris de plus belle, avant même sa mise en service, en 1937, le Dunkerque et son similaire, le Strasbourg, se sont retrouvés les derniers cuirassés français de moins de 35 000 tonnes. Pendant l'hiver 1939-1940, le Dunkerque n'eut pas la chance d'intercepter les « cuirassés de poche » allemands, alors qu'il avait été conçu pour les affronter. À Mers el-Kebir, en juillet 1940 il fut gravement endommagé par la Royal Navy, alors qu'il n'avait pas été envisagé qu'il dût, un jour, en affronter les bâtiments. Lorsque les Allemands, ayant envahi la zone libre, tentèrent de saisir les navires contrôlés par les autorités de Vichy, il est sabordé à Toulon, le 27 novembre 1942   Livre en excellent état, protégé par une jaquette
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France
Aramis, le vaillant mousquetaire de la bande des quatre, connaît un secret mortel pour la monarchie: Louis XIV a un jumeau, vrai prétendant au trône. De peur que cet aîné ne dispute le royaume à son frère, Anne d'Autriche et Mazarin le font emprisonner sous un masque de fer. Or Aramis fomente un complot pour faire sortir le Masque de fer de prison et le placer sur le trône... Mais d'Artagnan va farouchement s'opposer à son ancien ami pour protéger son souverain... Louis XIV a-t-il eu un frère jumeau tenu prisonnier sous un masque de fer ? Entre l'histoire et la légende, un petit supplément au roman propose quelques éléments de réponse.. Poche:  158 pages Editeur :  Hachette Jeunesse;  Édition :  Nouvelle (27 août 2003) Collection :  Romans Langue :  Français ISBN-10:  2013220421 ISBN-13:  978-2013220422 Dimensions du produit:  18 x 0,9 x 12,5 cm
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La Chapelle Caro (Morbihan)
Gravure ancienne représentant Romain Desèze Dimensions: 9,9 x 7,8 cm Dimensions support: 10,4 x 10 cm Raymond, comte de Sèze, ou plus communément Romain Desèze, est un magistrat et homme politique français né à Bordeaux le 26 septembre 1748 et mort à Paris le 2 mai 1828.Il est choisi pour être le conseil de Marie-Antoinette dans l'Affaire du collier de la reine, et fait acquitter Pierre-Victor de Besenval, accusé de haute trahison (1789). Il est désigné par le roi Louis XVI, au refus de Target, pour être adjoint à ses défenseurs Tronchet et Malesherbes. contact@antikpapers.com Sommaire     1 Biographie         1.1 Sa défense du roi Louis XVI devant la Convention en 1792         1.2 Témoignage du roi Louis XVI         1.3 Autres fonctions         1.4 Publications     2 Mariage et descendance de Raymond de Sèze     3 Notes et références     4 Sources     5 Voir aussi         5.1 Articles connexes         5.2 Liens externes Biographie D'une famille ancienne, il plaide d'abord dans sa ville natale, puis il est appelé à Paris par le ministre Vergennes, il défend à son début la cause des filles d'Helvétius. Il est choisi pour être le conseil de Marie-Antoinette dans l'Affaire du collier de la reine, et fait acquitter Pierre-Victor de Besenval, accusé de haute trahison (1789). Il est désigné par le roi Louis XVI, au refus de Target, pour être adjoint à ses défenseurs Tronchet et Malesherbes. Il plaide avec courage la défense du roi devant la Convention, le 26 décembre 1792. Il est par suite arrêté comme suspect dans sa maison de campagne de Brévannes, près de Corbeil, et détenu à la prison de la Force jusqu'au 31 janvier 1794, puis transféré dans une maison d'où il sort après le 9 thermidor an II (27 juillet 1794). En 1815, il est nommé président de la Cour de cassation et le 17 août 1815 pair de France. Il est élu à l'Académie française le 22 mai 1816 en remplacement de Jean-François Ducis (33e fauteuil), et fait comte le 31 août 1817 par le roi Louis XVIII. Son fils Étienne-Romain (1780-1862) lui succède à la Chambre des pairs2. Raymond de Sèze est franc-maçon, il appartient à la loge les Neuf Sœurs3, qui fut également celle de Voltaire. Il est le frère de Paul-Victor de Seze4 qui perpétue la branche dite « bourgeoise ». Celle-ci porte toujours les armoiries d'avant 1817 décrites ci-dessous. Son neveu, Aurélien, fût célèbre pour l'amitié amoureuse qui le lia dans sa jeunesse à Georges Sand. Il est enterré au cimetière du Père Lachaise (division 53). Tombe de Raymond de Seze (cimetière du Père Lachaise, division 53)     Armes de Raymond de Sèze     Avant 1817: D’azur, à trois tours d'argent, rangées en fasce, accompagnées en chef de deux étoiles d’or et en pointe d’un croissant de même (Armorial de Riestap)5     Après 1817: De gueules, au château de Temple d’argent, accompagné en chef de deux étoiles d’or et en pointe de seize fleurs-de-lis d’argent, 7, 6 et 3 (Armorial de Riestap)5 Sa défense du roi Louis XVI devant la Convention en 1792 Sur la demande de Tronchet et de Malesherbes, le roi accepte un nouveau conseil en la personne de Raymond de Sèze. Ce dernier est averti le 16 décembre 1792 et il se met au travail le 21. Dans la journée il lit les pièces du dossier et la nuit il rédige une plaidoirie. Le 25 décembre il présente son projet au roi et le 26 il plaide devant la Convention. Sa plaidoirie repose sur les points suivants:     incompétence de la Convention et illégalité de la procédure     justifications des grandes décisions du roi depuis la tenue des États généraux autour de l'idée que Louis XVI n'a jamais voulu le malheur de son peuple et qu'il n'a jamais voulu que le sang coule Enfin il s'exclame: « Citoyens, je vous parlerai ici avec la franchise d'un homme libre: je cherche parmi vous des juges et je n'y vois que des accusateurs. Vous voulez prononcer sur le sort de Louis; et vous avez déjà émis votre vœu ! Vous voulez prononcer sur le sort de Louis, et vos opinions parcourent l'Europe ! Louis sera donc le seul français pour lequel il n'existera aucune loi ni aucune forme ? Il n'aura ni les droits des citoyens, ni les prérogatives de roi. Il ne jouira ni de son ancienne condition, ni de la nouvelle. Quelle étrange et inconcevable destinée3 ! » Témoignage du roi Louis XVI « Je prie MM. de Malesherbes, Tronchet et de Seze4 de recevoir ici tous mes remerciements et l'expression de ma sensibilité pour tous les soins et les peines qu'ils se sont donnés pour moi3. » Autres fonctions Nommé par le roi Louis XVIII3:     Grand trésorier de l'ordre du Saint-Esprit     Président du collège électoral de la Gironde Nommé par le roi Charles X3:     Président du collège électoral de la Seine     Ministre d'Etat Publications     Réflexions sur l’établissement de la Caisse de Poissy, Paris: chez Prault, 1790, in-4°, 19 p.     Convention Nationale. Défense de Louis, prononcée à la Barre de la Convention Nationale, le Mercredi 26 Décembre 1792, l'an premier de la République, par le Citoyen Deseze, l'un de ses défenseurs officieux; Imprimé par ordre de la Convention Nationale, Paris: Imprimerie Nationale, 1792. In-8°,, 49, p. Mariage et descendance de Raymond de Sèze En l'église Saint-Nicolas de Graves, Raymond Desèze épouse le 12 mai 1780 Marguerite Brethous veuve Dumas. Celle-ci a 30 ans, elle est la fille d'Étienne Brethous et de Marie Ducercelier, elle a deux filles, Marie et Jenny. Les enfants du couple sont3:     Étienne-Romain de Sèze (1780-1862), premier président de Chambre et Pair de France, il épouse le 12 août 1822 Armande Bernard de Montebise âgée de 33 ans;     Adolphe de Sèze, maître des requêtes au Conseil d'État; il épouse Henriette Alexandrine Clara Morel de Foucaucourt, fille du baron Édouard Morel de Foucaucourt, colonel à l'État major;     Honorine de Sèze, épouse de Hubert Rohault de Fleury, d'abord lieutenant-colonel du Génie puis par la suite directeur de l'École polytechnique, général et pair de France. Notes et références     ↑ Le Grand Dictionnaire universel du XIXe siècle de Pierre Larousse précise: « Bien qu'il ait toujours porté ce prénom de Romain et qu'il l'ait lui-même transmis à son fils aîné, son acte de baptême ne lui donne que celui de Raymond. Son père, Jean Desèze, originaire de la petite ville de Saint-Émilion, ne prenait aucune qualification nobiliaire. Pourtant sa famille était ancienne et appartenait à la noblesse de robe. »     ↑ Raoul de Warren, Les Pairs de France au XIXe siècle, les Cahiers nobles, 1959: voir sous le numéro 426.     ↑ a, b, c, d, e et f André Sevin, de Seze: Défenseur du Roi (1748-1828), François-Xavier Guibert, coll. « Histoire », 31 décembre 1992, 413 p. (ISBN 978-2868392466), p. 55, 94, 215, 320, 329, 376, 385-386, 413.     ↑ a et b André Sevin, de Seze: Défenseur du Roi (1748-1828) - p.1, ndbp 1: « Nous écrivons ce nom sans accent parce que le défenseur de Louis XVI l'écrivait ainsi. Il attachait même une telle importance à cette graphie que nous le voyons, en 1827, demander au procureur général de « "s'occuper... au corps municipal des moyens de réparer le vice de l'étiquette de son nom dans la rue de Sèze, et du retranchement à faire de l'accent qu'on a mis mal à propos sur le premier e qui en dénature absolument la prononciation » (R. de S.). M. le comte de Sèze, héritier direct du nom, maintient néammoins l'accent parce que celui-ci figure sur les lettres d'anoblissement données par Louis XVIII à son illustre aïeul »     ↑ a et b http://www.euraldic.com/blas_se2.html: armorial de Rietstap Sources     « Desèze, Romain », dans Pierre Larousse, Grand dictionnaire universel du XIXe siècle, 15 vol., 1863-1890.     Marie-Nicolas Bouillet et Alexis Chassang (dir.), « De Sèze, Raym. » dans Dictionnaire universel d’histoire et de géographie, 1878 (Wikisource)     André Sevin, de Seze - Défenseur du Roi (1748-1828)     Jean de Viguerie, Louis XVI, le roi bienfaisant, éditions du Rocher, mars 2003, pages 392 à 396     « Raymond de Sèze », dans Robert et Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, 1889 Voir aussi Sur les autres projets Wikimedia:     Raymond de Sèze, sur Wikimedia Commons Articles connexes     Familles subsistantes de la noblesse française     Tour du Temple Liens externes     Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata: Fichier d'autorité international virtuel • International Standard Name Identifier • Bibliothèque nationale de France (données) • Système universitaire de documentation • Bibliothèque du Congrès • Gemeinsame Normdatei • WorldCat     Page biographique de Raymond de Sèze (Académie française)   Voir ce modèle. Raymond de Sèze   Voir ce modèle. Fauteuil 33 de l’Académie française   v · m ◀ Composition de l’Académie française au jour de son élection (22 mai 1816) ▶   v · m ◀ Composition de l’Académie française au jour de sa mort (2 mai 1828) ▶     Portail de la Révolution française Portail de la Révolution française Portail de la France au XIXe siècle Portail de la France au XIXe siècle Portail du droit français Portail du droit français Portail de l'Académie française Portail de l'Académie française Portail de la politique française Portail de la politique française Catégories:     Naissance à Bordeaux Membre de l'Académie françaisePair de France sous la RestaurationNaissance en septembre 1748Décès en mai 1828Décès à ParisPersonnalité de la Révolution françaiseAvocat français du XVIIIe sièclePremier président de la Cour de cassation françaisePersonnalité enterrée au cimetière du Père-Lachaise (division 53)Comte français du XIXe siècleFamille de SèzeOfficier de l'ordre du Saint-EspritCommandeur de la Légion d'honneurMinistre français d'ÉtatPersonnalité de la franc-maçonnerie française
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