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Maréchal doria gouverneur


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Paris (Paris)
[Louis XIV] Louis de Crevant Maréchal d’Humières – document signé – Commission de garde des armes en Provence Louis de CREVANT Louis de Crevant, premier duc d'Humières (1628-1694), militaire français, maréchal de France en 1668, Pair, grand maître et capitaine général de l’artillerie de France, chevalier des Ordres du Roi, Gouverneur et Lieutenant général de la province de Flandres, Gouverneur particulier des villes de Lille, Compiègne et Général de ses armées. Document signé « Humières », 21 mai 1692, 1 page, dimensions 39 x 25 cm, contreseing par le secrétaire général de l’artillerie, sceau sous papier. Document en partie imprimé concernant la commission de garde et entretien des armes, munitions et artillerie en Provence. « Le maréchal duc de Humières Pair, grand maître et capitaine général de l’artillerie de France, chevalier des Ordres du Roi, Gouverneur et Lieutenant général de la province de Flandres, Gouverneur particulier des villes de Lille, Compiègne et Général de ses armées…désirant que les canons, poudres, boulets, armes et munitions de guerre étant dans les magasins de Saorgio [Saorge en Provence] en Provence …soient conservées et entretenues en tel état que le requiert le bien et service du Roi…vous commettons pour exercer l’office de garde de l’Artillerie, veiller sur les pièces d’artillerie, armes…de faire inventaire, de rendre compte suivant les ordonnances et règlements de sa Majesté… » Beau document - envoi par courrier recommandé
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Vannes (Morbihan)
breizh.antiques.art@gmail.com 06 47 07 70 65 24 Médaille en bronze doré. Graveur: A déterminer. Dimensions: 68 mm. Poids: 196 g. Métal: bronze. Poinçon sur la tranche (Mark on the edge): Aucun, tranche lisse. Envoi rapide et soigné. Le support utilisé pour présenter la médaille n'est pas à vendre. The stand used for the medal presented is not for sale.   _______________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Château de Sedan Château de Sedan Période ou style Médiéval Type Château fort Début construction 1424 Propriétaire initial Évrard II de La Marck Propriétaire actuel Municipalité de Sedan Protection  Classé MH (1965) Site web http://www.chateau-fort-sedan.fr/ Coordonnées 49° 42′ 07″ N 4° 56′ 58″ E 49° 42′ 07″ Nord 4° 56′ 58″ Est Pays  France Anciennes provinces de France Champagne Région Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine Département Ardennes Commune Sedan Géolocalisation sur la carte : Champagne-Ardenne modifier   Le château de Sedan ou château-haut est situé à Sedan sur un promontoire en bordure de Meuse autrefois flanqué de deux ruisseaux, le Bièvre et le Vra. C'est l'une des plus grandes forteresses d'origine médiévale d'Europe avec 35 000 m2 sur sept étages et des murs de plus de 7 m de large (le mur le plus épais avoisine les 27 m de large). Ce château fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 4 janvier 1965 1. Sommaire * 1 Histoire * 2 Circuit de visite * 3 Galerie * 4 Architecture * 5 Les Seigneurs et Princes de Sedan, ducs de Bouillon * 6 Évènements * 6.1 Le Grand tournoi de chevalerie * 6.2 Festival médiéval * 6.3 Visites nocturnes aux flambeaux * 7 Annexes * 7.1 Articles connexes * 7.2 Liens externes * 8 Sources * 8.1 Notes et références * 8.2 Bibliographie Histoire À l'origine du site se trouve un prieuré bénédictin dépendant de l'abbaye de Mouzon  : le prieuré Saint-Martin dont on peut voir les assises dans la cour du château. Ce prieuré est mentionné en 1306. Évrard de La Marck prend possession du site en 1424 par l'intermédiaire de son beau-frère Louis de Braquemont, apportant à son beau-frère la dot que son père (Guillaume de Braquemont) n'a jamais fourni. Il décida de construire un château de plan sensiblement triangulaire sur le site autour de l'église devenue chapelle castrale. Les fouilles ont montré que cette église avait dû être fondée au XIe siècle. Vers 1424, Évrard III de La Marck fait bâtir en six ans un manoir avec deux tours jumelles autour d'une église, un donjon résidentiel rectangulaire qui faisait déjà partie du prieuré et une tour ronde à l'ouest qui a été agrandie plus tard pour devenir la "Grosse tour". Les tours jumelles servant d'entrée au château étaient protégées par un châtelet constitué de deux petites tours rondes et d'une échauguette. Le plan de ce premier château peut paraître archaïque pour l'époque de sa construction et n'a pas encore vraiment pris en compte la défense contre l'artillerie. Lorsque Evrard meurt en 1440, son fils Jean de la Marck entreprend le renforcement de la forteresse mais c'est Robert II de La Marck, le petit-fils de Jean, qui réalisera les travaux les plus importants. En 1530, les fortifications du manoir sont modernisées par la construction du boulevard circulaire. Le logis princier est construit sur 100 mètres le long du rempart côté ville à partir de 1530. Le pavillon Renaissance dans le style de Philibert Delorme a été construit pour Robert IV de La Marck et son épouse Françoise de Brézé. Le logis du Gouverneur est édifié en 1536. Vers 1550 sont créées les terrasses à canons par remplissage en terre, entre les remparts et une nouvelle muraille prise sur la basse cour, augmentant l'épaisseur des courtines de 4,50 m à 26 m, jusqu'à un niveau égal à ceux dominant le site. 18 petits logis pour la troupe ont été créés dans ce remplissage. À partir de 1553 commence l'édification de deux bastions triangulaires sur le front nord-est, celui du Gouverneur terminé en 1557, et le bastion Fourchu en 1559. En 1572 ont été livrés les deux autres bastions, celui des Dames et le bastion du Roy. Des ouvrages à cornes ont été ajoutés à l'avant des bastions mais certains furent dynamités à la fin du XIXe siècle. Les archives permettent de nommer les ingénieurs ayant participé à la dernière campagne de construction des défenses de Sedan : Marin Fourre, qui est le concepteur initial, puis, en 1577, le Ferrarais Marc-Aurèle Pazin ou Marco Aurelio de Pasino, probablement l'auteur des "boulverts" et des bastions de l'enceinte urbaine, et enfin, après 1585, Jean Errard, de Bar-le-Duc. Le maréchal Turenne y nait en 1611. Il s'agit d'un des plus grands militaires, en compagnie de Napoléon Bonaparte, que l'histoire ait connu. La principauté est absorbée par la France après la bataille de la Marfée et à la suite de l'échec d'une nouvelle conspiration contre Richelieu menée par Cinq-Mars en 1642. Louis XIII fait emprisonner le prince de Sedan, Frédéric Maurice de La Tour d'Auvergne-Bouillon, puis remettre la principauté par traité. Le maréchal Fabert, messin de naissance, fut le premier gouverneur de Sedan pour le roi de France suite au rattachement de la principauté à la France. En 1650 il fit construire les magasins Fabert, accueillant aujourd'hui l'hôtel du château. Le château est transformé en garnison. En 1699, Vauban fait construire la porte « des Princes », adaptée aux progrès de l'artillerie. Il s'agit de la seule intervention de ce célèbre architecte, ce qui a laissé penser que la forteresse était de qualité. Lorsque Napoléon Bonaparte visite le château, en 1803, il fait transférer à Paris la collection d'armures des princes de Sedan à Paris. Certaines se trouvent aujourd'hui exposées au Musée de l'Armée. En 1822, l'église Saint-Martin est démolie pour installer un parc à boulets. Une plateforme d'artillerie est créée en 1828 au sommet des Tours jumelles. Encerclée par les armées prussienne et saxonne, le 1er septembre 1870 lors de la Bataille de Sedan, l'armée du camp de Châlons est défaite. Napoléon III fait hisser sur le château fort le drapeau blanc demandant la fin des hostilités. L'acte de capitulation est signé au Château de Bellevue entre Frénois et Glaire. L'Hôtel du Château Des essais de dynamite sont faits sur le bastion du Gouverneur en 1873. Autrefois le plus vaste du château-fort, ce bastion est aujourd'hui largement éventré. De janvier 1917 à novembre 1918, la citadelle va servir de camp pour des milliers de civils résistants français et belges condamnés aux travaux forcés par les autorités allemandes. Beaucoup y sont morts. Cédé par l’armée française à la ville en 1962, le château a fait l’objet de plusieurs campagnes de restauration. Aujourd'hui, le château est un haut-lieu touristique des Ardennes. Logeant un temps l'office de tourisme de la ville, celui-ci fut récemment déplacé dans un traversant reliant la rue du Ménil au Promenoir des prêtres présent au pied du château. On trouve également le musée à l'intérieur de ce château où s'y trouve depuis le printemps 2012, une maquette de la ville de Sedan au XIXe siècle, due en grande partie à Jean-Jacques Dromby. Une des salles de ce musée est dédiée à la guerre de 1870 et y est exposée une riche collection de casques prussiens et autres armes, ainsi que l'esquisse du panorama de Sedan par Ludwig Braun. Lors des rafales de vent (jusqu'à 110 km/h) dues aux orages du 14 juillet 2010, vers 16h20 la large toiture côté sud s'est en partie envolée mais aussi effondrée à l'endroit du spectacle de fauconnerie (haute-cour, ruines du prieuré Saint Martin) ne prenant (par chance) pas place ce jour-là (jour de relâche). Les collections du château, en partie conservées dans les combles de l'édifice, furent en grande partie sauvées grâce à l'aide spontanée du personnel du château et de bénévoles. La nouvelle toiture fut achevée pour la saison touristique 2012. Circuit de visite Le château fort de Sedan dispose d'un circuit de visite depuis l'année 1995 lorsque fut mis en place la visite Historium. Des mannequins de cire y furent placés, illustrant la vie au château à l'époque médiévale et au temps des princes. La scène la plus prestigieuse est celle du mariage de Charlotte de La Marck et Henri de La Tour d'Auvergne, placée dans le pavillon Renaissance. Depuis le printemps 2012, le château-fort de Sedan connaît une nouvelle jeunesse. Il se dote de nouveaux circuits (Mille ans d'histoire, Principauté), de nouveaux panneaux, d'une nouvelle entrée dans la cour du château-fort, d'une nouvelle salle multimédia etc. L'édifice attire chaque année près de 60 000 visiteurs. Galerie Architecture Le château de Sedan est une forteresse construite à partir de 1424 qui comporte quatre bastions défensifs construits au XVIe siècle, le bastion du Gouverneur, le bastion Fourchu, le bastion des Dames et le bastion du Roi. Le châtelet d'entrée comporte deux tours rondes qui étaient munies de hourds, d'une herse et d'une bretèche. L'ensemble de la forteresse est entouré de murs surmontés de courtines. Le logis seigneurial et le logis de la garde datent d'avant le milieu du XVIe siècle. Au début du XVIIe siècle, Henri de la Tour d’Auvergne a fait construire le Palais des Princes, appelé aussi le Château–Bas, et a déserté le logis de la forteresse. Les Seigneurs et Princes de Sedan, ducs de Bouillon Liste des princes de la Principauté de Sedan * Gérard III de Jauche (1210 – 1261) * Gérard IV de Jauche (1235 – 1293) * Guillaume de Jauche (1285-1340) * Marie de Jauche (1315 – 1387) * Hugues de Barbençon épouse Marie de Jauche Vers 1340 * Jean de Barbençon (enterré à Vireux-Molhain) 1344 – 1404 * Guillaume de Braquemont (1345-1420) épouse Marie de Campremy. Il achète le château en 1405 et est le frère de Robert de Bracquemont amiral de France et d'Espagne * Louis de Braquemont (1390-1424) épouse Isabelle Le Maréchal * Évrard II de La Marck-Arenberg (1365-1440) épouse Marie de Braquemont * Jean de La Marck (1406-1470) épouse Jeanne de Virnembourg * Robert I de La Marck (? – 1497) épouse Jeanne de Marley en 1449 * Robert II de La Marck (1460 – 1536) épouse Catherine de Croy en 1490 * Robert III de La Marck (1492-1536) épouse Guillemette de Sarrebruck en 1510 * Robert IV de La Marck (1512-1556) épouse Françoise de Brézé en 1539 * Henri-Robert de La Marck (1540-1574) épouse Françoise de Bourbon-Vendôme en 1559, 1er prince de Sedan * Guillaume-Robert de La Marck (1563-1588) * Charlotte de La Marck (1574-1594) épouse Henri de la Tour d’Auvergne en 1591 * Henri de la Tour d'Auvergne (1555-1623) épouse Élisabeth de Nassau * Frédéric-Maurice de La Tour d'Auvergne (1605-1652) épouse Eléonore-Fébronie de Bergh Évènements Le Grand tournoi de chevalerie Depuis une dizaine d'années le château-fort de Sedan accueille chaque été des tournois de chevalerie. Réalisés par une troupe en majorité slovaque (Normani), ces spectacles font la joie des petits et des grands. Festival médiéval Depuis 1996, le château-fort de Sedan accueille un festival médiéval de Sedan autour de la forteresse, le troisième week-end de mai. Succès populaire, près de 14 000 entrées payantes furent décomptées lors des dernières éditions. * Festival médiéval de 2011 * * * * * Visites nocturnes aux flambeaux Chaque été des visites originales, puisqu'aux flambeaux, sont organisées les vendredis et samedis soir. Annexes Articles connexes Sur les autres projets Wikimedia : * Château de Sedan, sur Wikimedia Commons * Comté de la Marck * Duché de Bouillon * Principauté de Sedan * Liste des monuments historiques des Ardennes Liens externes * Site officiel * http://www.tourisme-sedan.fr * Pict-Art : Château de Sedan Sources Notes et références * ↑ « Notice no PA00078518 », base Mérimée, ministère français de la Culture Bibliographie * Alain Sartelet, Le château fort de Sedan, Gueniot,‎ 2006 (ISBN  978-2-8782- 5380-1) * Jean-Marie Pérouse de Montclos, Le guide du Patrimoine: Champagne-Ardenne, Paris, Hachette,‎ 1995 (ISBN  978-2-01-020987-1), p. 328-331 * Jean Aversenq, Le château-fort de Sedan, Sedan, Imprimerie Balan-Sedan, 1993 (1979), 58 p. * Portail des châteaux de France * Portail des Ardennes * Portail des monuments historiques français Catégories  : * Château fort en Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine * Château des Ardennes * Château monument historique (France) * Monument historique des Ardennes * Monument historique classé en 1965 * Patrimoine du XVe siècle * Sedan Menu de navigation * Non connecté * Discussion * Contributions * Créer un compte * Se connecter * Article * Discussion * Lire * Modifier * Modifier le code * Historique * Accueil * Portails thématiques * Article au hasard * Contact Contribuer * Débuter sur Wikipédia * Aide * Communauté * Modifications récentes * Faire un don Outils * Pages liées * Suivi des pages liées * Importer un fichier * Pages spéciales * Adresse permanente * Information sur la page * Élément Wikidata * Citer cette page Imprimer / exporter * Créer un livre * Télécharger comme PDF * Version imprimable Dans d’autres projets * Wikimédia Commons Autres langues * Български * Deutsch * English * Español * Italiano * Nederlands * Modifier les liens * Dernière modification de cette page le 15 février 2016, à 19:41. * Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions; d’autres conditions peuvent s’appliquer. 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breizh.antiques.art@gmail.com. http://stores.shop..fr/breizh-antiques A signaler des rousseurs, mouillures et petites déchirures dans les marges. Daté 1826 dans la planche. Annoté "La Châtre" au crayon en bas à droite. Feuille: 30 cm de large par 42 cm de haut. Gravure: 19 cm de large par 23 cm de haut. Artiste graveur: signé Jean-Baptiste MAUZAISSE (1784-1844) dans la planche. Imprimeur:à déterminer. Envoi rapide et soigné. ____________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Claude de La Châtre de La Maisonfort Pour les articles homonymes, voir La Châtre et Maisonfort. Pour les autres membres de la famille, voir Louis de La Châtre. Claude de La Châtre Baron de La Maisonfort Portrait du maréchal de La Châtre Naissance 1536 Décès 14 décembre 1614 (à 78 ans) à Genouilly (Cher) Origine  Royaume de France Allégeance  Royaume de France Ligue catholique Arme Cavalerie Dignité d'État Maréchal de France Années de service 1553 – 1610 Conflits Guerres de religion Distinctions Chevalier de l'ordre du Saint-Esprit Autres fonctions Gouverneur du Berry (1569-1588) modifier   Claude de La Châtre (1536 -1614), gouverneur du Berry (1569-1588), seigneur et baron de La Maisonfort, est un capitaine catholique des guerres de religion. Sommaire * 1 Biographie * 2 Armoiries * 3 Articles connexes * 4 Notes et références * 5 Liens externes Biographie Claude de La Châtre1 appartient à une vieille famille féodale du Berry. Élevé comme page d’Anne de Montmorency, il entre dans la compagnie du connétable au poste d'archer dès 1553. L'année suivante, il prend part à la bataille de Renty dans la cornette de son second fils Henri de Montmorency-Damville 2. En 1556 et 1557, La Châtre accompagne le duc de Guise en Piémont et en Lombardie, puis participe à la reprise de Calais (1558), dont il rédige une relation. Engagé dans le camp catholique pendant les guerres de religion, il se distingue à la bataille de Dreux en 1562. Introduit dans le conseil de guerre du roi et créé chevalier de l'ordre de Saint-Michel en 1566, il reçoit le commandement d'une compagnie de cinquante hommes d'armes en 1568 et entre au conseil d'État. Il devient, en 1569, gouverneur du Berry, par échange de sa charge dans le bailliage de Blois avec Gilles de Souvré, marquis de Courtanvaux. Pendant la troisième guerre de Religion, il rejoint l'armée du duc d'Anjou et participe aux batailles de Jarnac et de La Roche-L'Abeille, puis sauve Bourges d'une surprise protestante venue de Sancerre. En 1573, La Châtre est chargé de reprendre Sancerre, qui capitule après sept mois de siège. En 1575, il est envoyé à Londres en tant qu'ambassadeur extraordinaire afin de conforter l'entente entre la France et l'Angleterre. Il rejoint par la suite le parti des Malcontents, combat aux côtés du duc d'Alençon, puis l'accompagne dans son expédition aux Pays-Bas en tant que commandant de sa cavalerie légère. À la mort du duc d'Alençon en 1584, La Châtre se rapproche du duc de Guise et rallie la Ligue en 1585. Le 21 décembre 1585, il est reçu dans l'Ordre du Saint-Esprit. Durant l'automne 1587, il se distingue au cours de la campagne contre les reîtres, participant notamment au combat d'Auneau. En 1588, La Châtre est destitué par Henri III de sa charge de gouverneur du Berry. Après l'assassinat du roi, il refuse d’abord de reconnaître Henri IV et se saisit du Berry pour le parti de la Ligue3, tout en faisant partie de l'état-major de l'armée ligueuse commandée par le duc de Parme. En 1593, il est fait maréchal de France par le duc de Mayenne. Il fait finalement sa soumission en 1594, remet au roi les villes d’Orléans et de Bourges, en récompense de quoi il est confirmé dans ses charges de ma
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Portrait en pied de Jacques Auguste de Thou mmée à l'époque issue du Plutarque Français (1835) format 17x27cm environs Maximilien de Béthune (duc de Sully)  Pour les articles homonymes, voir Sully. Maximilien de Béthune Le duc de Sully vers 1630. Titre Duc de Sully Autre titre Prince souverain d'Henrichemont et de Boisbelle Baron puis marquis de Rosny Marquis de Nogent-le-Rotrou Comte de Muret  et de Villebon Vicomte de Meaux Grade militaire Maréchal de France Conflits Guerres de religion Guerre franco-savoyarde Faits d'armes Bataille de Coutras Bataille d'Arques Bataille d'Ivry Siège d'Amiens Siège de Charbonnières Siège de Montmélian Distinctions Pair de France Autres fonctions Surintendant des finances  (1598) Grand maître de l'artillerie de France  (1599) Grand voyer de France (1599) Gouverneur de la Bastille  (1602) Surintendant des fortifications Biographie Dynastie Maison de Béthune Naissance 13 décembre  1559 château de Rosny-sur-Seine Décès 22 décembre  1641 au château de Villebon  (Eure-et-Loir) Père François de Béthune Mère Charlotte Dauvet Conjoint Anne de Courtenay Rachel de Cochefilet Enfants Maximilien François Marguerite Louise modifier   Maximilien de Béthune, duc de Sully, né à Rosny  le 13 décembre  1559  et mort à Villebon  le 22 décembre  1641, pair de France, maréchal de France, prince souverain d'Henrichemont et de Boisbelle, baron puis marquis de Rosny, marquis de Nogent-le-Rotrou, comte de Muret  et de Villebon, vicomte de Meaux, est un militaire protestant et un compagnon d'armes du roi Henri IV de France  dont il devint l'un des principaux conseillers. Sommaire   ]  * 1 Le compagnonnage avec le roi Henri de Navarre * 2 Le ministre * 3 La mise à l'écart * 4 Alliances et descendance * 5 Généalogie * 6 Voir aussi * 6.1 Bibliographie * 6.1.1 Sources manuscrites * 6.1.2 Sources imprimées * 6.1.3 Travaux historiques * 6.2 Articles connexes * 6.3 Liens externes * 7 Notes et références * 8 Chronologies Le compagnonnage avec le roi Henri de Navarre | modifier le code] Né le 13 décembre  1559  au château de Rosny-sur-Seine, il appartient à la branche cadette, peu fortunée et calviniste, d'une famille descendante des comtes souverains d'Artois, apparentée aux comtes de Flandres. Second fils de François de Béthune et de Charlotte Dauvet1, il devient l’héritier de la baronnie de Rosny à la mort de son frère aîné, Louis de Béthune, en 1578 2. En 1572, élève au collège de Bourgogne, à Paris, il échappe au massacre de la Saint-Barthélemy, et devient le compagnon du roi Henri III de Navarre, futur roi de France, qu'il suit dans toutes ses guerres. À ses côtés il se distingue par son intrépidité. En 1576, il combat dans les armées protestantes en Hollande pour récupérer la vicomté de Gand  dont il n'avait pu hériter de son parrain, un catholique  convaincu. En 1583, au château de Bontin, le seigneur de Rosny épouse Anne de Courtenay, une riche héritière. Des spéculations commerciales très heureuses, comme le commerce des chevaux pour l'armée, voire les dépouilles des villes prises par les Protestants l’enrichissent en peu de temps. En 1580, il devient chambellan ordinaire, puis membre du Conseil de Navarre. Il est chargé de négocier avec Henri III de France, afin de poursuivre une lutte commune contre la Ligue des Guise. Mais le traité de Nemours  en 1585  rapproche le roi de France des Guise aux dépens du roi de Navarre. En 1587, il combat à côté d'Henri de Navarre à Coutras, puis devant Paris, ensuite à Arques  en 1589, puis à Ivry  en 1590  où il est blessé. Il est de nouveau blessé à Chartres en 1591. Devenu veuf, il épouse en 1592  Rachel de Cochefilet, fille de Jacques de Cochefilet seigneur de Vaucelas. Entretemps le roi Henri III de France a été assassiné. Le ministre | modifier le code] En 1593, Sully conseille au nouveau roi de se convertir au catholicisme, afin de pacifier le royaume, mais refuse lui-même d’abjurer. Il négocie alors le ralliement de quelques chefs de la Ligue  (marquis de Villars, duc de Guise). Lors du siège d'Amiens  en 1597, il s'illustre à la tête de l’artillerie. Henri IV  comprend tardivement qu'il peut confier les finances du royaume à l'homme qui administre si bien ses propres affaires. Il le nomme en 1596 au Conseil des Finances puis, vers 1598, surintendant des finances. Sully remet alors de l'ordre dans les comptes, en créant en 1601, une Chambre de justice destinée à lutter contre les malversations financières. Sully a de brillants conseillers, comme l'économiste Barthélemy de Laffemas, qui développe les manufactures, l'artisanat, et donne un coup de pouce à l'histoire de la soie  par la plantation de millions de mûriers. * Note autographe de Sully sur l'assainissement de la monnaie, Archives nationales *   * Il fait rentrer un arriéré fiscal considérable, paie des dettes écrasantes (près de 30 millions de livres), suffit aux dépenses des guerres en Espagne  et en Savoie, et à l'achat des places qui restent encore aux mains des chefs ligueurs. En 1598, il fait annuler tous les anoblissements décrétés depuis 20 ans. Il supprime les petits offices  de finances et judiciaires. Il crée de grands approvisionnements de guerre, lutte contre l'abus et les prodigalités et amasse un trésor (300 000 livres tournois  par an, soit 4 millions d'euros actuels3) tout en diminuant les impôts. Il fait restituer au roi une partie du domaine royal qui avait été aliénée. L’arrivée en Europe des métaux précieux américains, depuis le début du siècle, a permis à Sully comme à ses prédécesseurs de bénéficier de rentrées fiscales, mais lui va équilibrer le budget et faire des économies. Il se fait nommer gouverneur de la Bastille  en 1602, où il entrepose une partie du trésor royal qui s'élève à 12 millions de livres. Aux environs du 25 août  1600, durant la guerre franco-savoyarde, le Roi Henri  avait envoyé le duc de Sully visiter plusieurs citadelles qui étaient investies. Sully vint coucher à Bourg-en-Bresse  où il fut bien accueilli par Biron. Le jour de son départ pour Lyon, Sully reçut un avis qu'un groupe de 200 hommes ennemis venaient d'arriver dans un château proche du lieu où il devait passer la nuit. Sully demanda à Biron de lui donner une escorte jusqu'à Lyon. Biron donna comme escorte ses propres gardes qui accompagnèrent Sully jusque Villars  où l'escorte le quitta. « Je fis recharger mes mulets et fis encore environ 4 lieues et ne m'arrêtai qu'à Vimy  ou je me crus en sûreté. Le doute que j'avais, que Biron avait entrepris de me livrer au duc de Savoie, se changea alors en certitude. Trois heures après que je fut parti de Villars, les 200 hommes vinrent fondre sur la maison ou ils croyaient que j'étais, et parurent très fâchés d'avoir manqué leur coup. »4. Le 29 août, Sully est à pied d’œuvre lors du siège du château de Charbonnières  en tant que grand maître de l'artillerie de France. La paulette  est instaurée en 1604, pour instituer l'hérédité des offices  et augmenter les recettes de l'État. En 1599, il est nommé Grand maître de l'artillerie de France  et Grand voyer de France, il contrôle alors toutes les voies de communication. Les routes principales sont retracées, remblayées, pavées. En prévision des besoins en constructions et de la marine, il fait planter des ormes  aux bords des routes (les fameux ormes de Sully). Il encourage surtout l'agriculture  en répétant une phrase devenue célèbre : « Labourage et pâturage sont les deux mamelles dont la France est alimentée, les vraies mines et trésors du Pérou5  ». Dans ce but, il proclame la liberté du commerce des grains, et abolit un grand nombre de péages  qui sont autant de barrières entre les provinces, il ouvre de grandes voies de communication, et il fait creuser plusieurs canaux, notamment le canal de Briare  qui relie la Seine  à la Loire, commencé en 1604  et terminé en 1642 6. Il va pousser les paysans à produire plus que nécessaire afin de vendre aux autres pays. Pour cela, il décide d'augmenter la surface cultivée en faisant assécher des marais. Afin de les protéger du fisc, il interdit la saisie des instruments de labour et accorde aux paysans une remise sur les arriérés de la taille. Il va aussi faire cesser la dévastation des forêts, étendre la culture de la vigne… Comme surintendant des fortifications  il fait établir un arsenal et fortifie les frontières. En 1606, il est nommé duc et pair  de Sully et acquiert, la même année, le château de Montrond, le rénove entièrement pour en faire la plus forte place du Berry. La mise à l'écart | modifier le code] Mémoires, édition originale de 1639 Il était devenu impopulaire, même parmi les protestants, et auprès des paysans qu'il avait dû accabler d'impôts pour faire face aux dépenses en vue de la guerre contre l'Espagne. Après l'assassinat d'Henri IV  en 1610, il est nommé membre du Conseil de régence et prépare le budget de 1611. En complet désaccord avec la régente Marie de Médicis, il démissionne de ses charges de surintendant des finances  et de gouverneur de la Bastille  (1611) ; il conserve cependant le gouvernement du Poitou. En 1616, il abandonne la majeure partie de ces fonctions et vivra désormais loin de la cour, d'abord sur ses terres de Sully  puis surtout en Quercy, tantôt à Figeac  et plus précisément à Capdenac-le-Haut tantôt sur sa seigneurie de Montricoux, à quelques lieues de Montauban. Il se consacre à la rédaction de ses mémoires, mais reste très actif sur le plan politique et religieux. Son fils François de Béthune, comte d'Orval  est le gouverneur de Figeac, place de sûreté calviniste. Ce dernier épouse Jacqueline de Caumont, fille du marquis de la Force, qui commande la défense militaire de Montauban en 1621. Cette même année, il est intervenu en conciliateur et a intercédé en modérateur dans les luttes entre les protestants français et la royauté, après les 96 jours du siège de Montauban  par Louis XIII, en 1627-1628, lors du siège de La Rochelle  et avant la reddition de Montauban. Proche du réseau diplomatique de Richelieu, il a été nommé maréchal de France en 1634. Il décède au château de Villebon  (Eure-et-Loir) le 22 décembre  1641. Son tombeau est à Nogent-le-Rotrou 7. *
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Angers (Maine et Loire)
Lithographie XIX°de Roubaud, Général Randon uniforme Armée Afrique, Algérie, Portrait du Général RANDON, né en 1795 et mort en 1871. - Militaire et homme politique français, élevé au grade de Maréchal de France, gouverneur   de l'Algérie de 1851 à 1858 lithographie du XIX° siècle par Benjamin Roubaud, Gihaut frères éditeurs à Paris petites taches et salissures,fines pliures, dos jauni Dimension exterieure:31,4x22,9 cm  click on photos to enlarge cliquer sur les photos pour les agrandir  JE SUIS UN PROFESSIONNEL INSTALLÉ DEPUIS 1983     AUTHENTICITE GARANTIE  ENVOI SOIGNÉ    N'hésitez pas à consulter mes autres annonces pour d'autres gravures anciennes.     I AM A PROFESSIONAL INSTALLED SINCE 1983     AUTHENTICITY GUARANTEED PROPERLY SEND      Feel free to check my other ads for other engravings.  _gsrx_vers_524 (GS 6.6.4 (524))
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Paris (Paris)
Général CAVAIGNAC (Louis Eugène Cavaignac) – Lettre autographe signée (3) Louis Eugène Cavaignac (le « général Cavaignac » ;1802-1857), général et homme d'État français. Gouverneur d'Algérie (1848) puis président du Conseil des ministres chargé du pouvoir exécutif durant l'année1848. Candidat à l'élection présidentielle de 1848, il est battu par Louis-Napoléon Bonaparte. 3 lettres autographes signées adressées au général Henri Feray, gendre du Maréchal Bugeaud : - Lettre autographe signée, 1 page,; il espère voir le Colonel Feray le lendemain ; - lettre autographe signée, 1 page, « 11 septembre » ;lettre de remerciement et de compliment ; hommage à Mme la Maréchale ; - lettre autographe signée, 1 page ; Il lui annonce son départ et salue Madame La Maréchale. Bon état – envoi par courrier suivi
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