-
loading
Avec photo

Membres externes comite


Liste des meilleures ventes membres externes comite

Sargé lès le Mans (Sarthe)
ENVOI EN LIVRE ET BROCHURES (POUR L'ETRANGER UNIQUEMENT) SUR DEMANDE EXPRESSE DE L'ACHETEUR ET SANS RECLAMATION. RARE BILLET DE LOTERIE  DU COMITE DE PATRONNAGE  DE LA PRESSE FRANCAISE "LOTERIE FRANCO-ESPAGNOLE"  VERS 1880 BILLET ILLUSTRES ET NUMEROTE EN ROUGE AVEC MENTION DES MEMBRES DU COMITE DE PATRONAGE DE LA PRESSE ET DE L'INDUSTRIE GRAVE PAR STERN ET IMPRIME PAR DUPONT: BILLET "AU PROFIT DES PAUVRES DE FRANCE ET DES INONDES DE MURCIE" OFFRANT NOTAMMENT UN GROS LOT A 100 000 FRANCS... TRES BON ETAT. PLIURES. FORMAT: 18,5 x 8,5 cm. 1 PAGE.  PEU COMMUN !!!
20 €
Voir le product
Ousse (Pyrénées Atlantiques)
Meurtre chez un éditeur J.B. Livingstone 1990 Prix: 2,00 € Livre en bon état, taché 4ème de couverture: L'édition est un monde féroce, surtout lorsqu'on est un écrivain médiocre à la solde d'un homme d'affaires peu scrupuleux... Un certain vendredi soir d'un mois de février exceptionnellement chaud, Antony Newfield, grand éditeur londonien est retrouvé mort dans son bureau. Découvreur de talents, provocateur et faiseur de scandales, Newfield régnait avec une telle impudence sur la production éditoriale anglaise qu'il rendait ses collègues fous de jalousie. A la stupéfaction générale, les six membres du comité de lecture, envié de tous les gens de plume, se déclarent incontinent tous coupables... Six criminels pour un seul crime, c'est le monde à l'envers, et si peu propice à la mesure que le seul qui apparaît capable de le remettre à l'endroit répond au nom de Higgins. L'ex-inspecteur chef coule des heures paisibles avec son chat Trafalgar dans sa demeure sise aux Slaughterers, un charmant village de Gloucestershire. Arraché à sa vie champêtre, il se lance bientôt dans l'opaque brouillard de Londres, sur la piste de l'assassin. La tâche est rude et la vérité peu diserte. Homme de sagesse s'il en fut, aussi sagace qu'incorruptible, Higgins réussira-t-il une nouvelle fois à résoudre les questions épineuses qui se posent à lui ? Mais surtout parviendra-t-il à mettre bon ordre dans ce petit monde étrangement confiné, où l'invention romanesque se vit au quotidien... Catégorie(s): Policier / Thriller Référence du livre: R07686 Pour retrouver tous mes livres tapez loccasiondelire dans la barre de recherche (ou ailleurs sur le net).
2 €
Voir le product
Montpellier (Hérault)
Carton d’Invitation vierge du Président et membres du comité de direction du Syndicat des Industries Aéronautiques, au 4 rue Galilée à Paris 8. Circa 1910.
12 €
Voir le product
Bordeaux (Gironde)
Médaille Francs-tireurs Deux-Sèvres 1870-71. État : "Occasion" Superbe médaille en laiton à la mémoire des francs-tireurs des Deux-Sèvres morts en défendant la France. Avers: Honneur et Patrie et le nom de 12 batailles Tevers: noms des membres du comité Pas courant du tout! Diamètre 42mm
100 €
Voir le product
France
breizh.antiques.art@gmail.com. http://stores.shop..fr/breizh-antiques 15 Médaille en bronze argenté. Avec sa boite. Graveur:  A déterminer . Dimension: 62 mm. Poids: 138 g. Métal: bronze. Poinçon sur la tranche (mark on the edge) : bronze + Balme . Envoi rapide et soigné. Le support utilisé pour présenter la médaille n'est pas à vendre. The stand used for the medal presented is not for sale.   ______________________________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Voves Pour les articles homonymes, voir Voves cendré. Cet article est une ébauche concernant une commune d'Eure-et-Loir. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) Le bandeau {{ébauche}} peut être enlevé et l’article évalué comme étant au stade Bon début quand il comporte assez de renseignements encyclopédiques concernant la commune. Si vous avez un doute, l'atelier de lecture du projet Communes de France est à votre disposition pour vous aider. Consultez également la page d'aide à la rédaction d'un article de commune. Voves Administration Pays  France Région Centre-Val de Loire Département Eure-et-Loir Arrondissement Chartres Canton Voves (chef-lieu) Intercommunalité Communauté de communes de la Beauce vovéenne Maire Mandat Marc Guerrini (UDI) 2014 -2020 Code postal 28150 Code commune 28422 Démographie Gentilé Vovéens Population municipale 3 091 hab. (2012) Densité 94 hab./km2 Géographie Coordonnées 48° 16′ 22″ Nord 1° 37′ 38″ Est Altitude Min. 139 m – Max. 156 m Superficie 32,98 km2 Localisation Géolocalisation sur la carte : France Voves * Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire * Voir sur la carte topographique d'Eure-et-Loir * Voir la carte administrative de France Liens Site web Site officiel modifier   Voves est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire. Ses habitants se nomment les Vovéens. Sommaire * 1 Géographie * 1.1 Lieux dits * 1.2 Communes limitrophes * 2 Histoire * 2.1 Paléolithique * 2.2 La fibule de Voves * 2.3 Les fortifications de Voves * 2.4 Maison du Temple de Voves * 2.5 Le camp de Voves (XXe siècle) * 2.5.1 Le camp aujourd'hui * 3 Blasonnement * 4 Politique et administration * 4.1 Tendances politiques et résultats * 4.2 Liste des maires * 5 Démographie * 6 Jumelages * 7 Lieux et monuments * 8 Personnalités liées à la commune * 9 Cadre de vie * 10 Articles connexes * 11 Liens externes * 12 Notes Géographie Lieux dits * Villarceaux * Foinville * Soignolles * Genonville * Yerville * Sazeray * Lhopiteau Communes limitrophes Carte de Voves et des communes limitrophes. Histoire Paléolithique Un diagnostic fait à Voves a livré une petite série lithique attribuable au paléolithique final. L’intérêt du site réside aussi dans la présence d’ossements d’aurochs, conservés au contact entre les limons et un niveau de marnes sous-jacent. La fibule de Voves Découverte en 1969 à l'occasion de travaux dans un jardin privé du quartier de la Poste, à 1,60 m de profondeur environ, cette fibule est en cuivre émaillé et a l'aspect d'une roue à huit rayons, au moyeu épais de 1,4 cm. Son diamètre est de 5,5 cm. Les couleurs sont encore très vives. Le moyeu est vert clair et bleu. Au-dessus, sont représentées des « fleurs», aux pétales bleu foncé et blancs dont le centre est turquoise. Elles sont prises dans une pâte vert clair. L'émail des rayons est alternativement bleu et rouge. Quant au contour du bijou, il est constitué d'une très fine mosaïque bleu foncé et blanche, sertie dans une pâte vert clair. Le travail est d'une minutie extraordinaire. La datation, en l'absence d'un contexte sérieux, est délicate. L’abbé Nouel, dans son ouvrage Les Origines gallo-romaines du Sud du Bassin parisien, a publié une fibule ornée d'émaux trouvée à Bazoches-les-Hautes (Eure-et-Loir), qu'il date du IIe ou IIIe siècle ap. J.-C., et qui présente de grandes ressemblances avec celle de Voves. Il s'agit, peut-être, d'une fabrication d'inspiration ou de tradition celtique, œuvre d'un atelier gaulois. Les fortifications de Voves Voves par Louis Boudan, 1696. « Vue du bourg de Voves. En Beauce, sur le grand chemin de Chartres à Orléans, a une lieu de Beauvillier. 1696 » Depuis le XIVe siècle, la présence continuelle de gens d’armes et d’arbalétriers dans la région de Chartres est attestée. En août 1387, le bourg de Voves était victime de brigandages, semble-t-il récurrent dans cette partie de la Beauce, à tel point que le roi de France, Charles VI envoya le Bègue de Villaines pour délivrer le bourg de ces brigands. Le chef de ces troupes de brigands n’était autre que Gaucher de Chartres, frère de Philippe, seigneur de Chartres et capitaine de Chartres en 1380. Après cette intervention, il rendit le fort de Voves avec tous les biens qui y étaient dans le cadre d’une transaction qui fut passée avec les chanoines et notamment Pierre Guette, chanoine nommé à la prébende de Voves en 1385. Il est cependant impossible de savoir si les fortifications de Voves furent rétablies telles qu’elles existaient avant leur destruction par Gaucher de Chartres même s’il est certain qu’elles n’existaient plus au commencement du règne de Louis XIII (en 1610). À cette époque, une effervescence régnait et une ligue imposante s’était formée contre la régente Marie de Médicis. La Beauce a été victime des dégradations commises durant les guerres de religion et de la ligue. En avril 1614, les habitants de Voves adressent une requête au Chapitre, seigneur temporel du bourg, pour demander le rétablissement des fortifications. La permission accordée le jour même par le Chapitre, fut aussitôt adressée au roi avec la requête des habitants et Louis XIII ne fit pas attendre sa sanction en envoyant des lettres-patentes octroyant de « faire clore, fermer et environner de fossés, murs, tours, tourelles, boulevers, ravins, esperons et ponts-levis le-dit bourg et village de Voves ». Pendant plusieurs décennies, le calme semble être revenu dans le bourg de Voves. En 1642, un premier incident, répertorié par le curé Gendron dans le registre de l’état-civil du bourg, eu lieu avec des soldats attaquant les habitants qui s’étaient réfugiés dans l’église pour se protéger. Seuls 39 maisons subsistèrent après un incendie. En janvier 1659, les habitants sont de nouveau victimes de la violence de gens d’armes. Ces derniers demandèrent la démolition des murailles, désarmèrent les habitants puis profanèrent l’église et la clôture du cimetière. Ils empêchèrent aussi le vicaire perpétuel de porter les sacrements aux malades. Début février 1659, une expertise eut lieu : la voûte de l’église menaçait de ruine, la clôture et les portes du cimetière avaient été démolies. On se contenta alors de faire à l’église les réparations indispensables et le bourg fut privé pour toujours de ses fortifications. Passionné par l’histoire de France, Roger de Gaignières (1644 -1715) amasse en près d’un demi-siècle une collection considérable de manuscrits historiques, de portraits et de documents originaux. Dans cette entreprise, Roger de Gaignières ne se contente pas de collectionner des documents existants, il en constitue une grande partie accompagné notamment par le copiste et dessinateur, Louis Boudan. Ils parcourent la France du nord afin de relever des tombeaux, des épitaphes et des vues topographiques. En 1696, Louis Boudan réalise cette très jolie estampe du bourg de Voves, ci-contre, dont on peut voir en avant-plan un moulin, puis le village encerclé par une enceinte de protection. L’église « de l’ange gardien, paroisse du bourg », majestueuse, est au centre de la vue. La partie iconographique de ce fonds qu’Henri Bouchot publie en 1891 dans son Inventaire des dessins exécutés pour Roger de Gaignières est conservée au département des Estampes et des Manuscrits de la BNF. Maison du Temple de Voves L'ancienne maison du Temple de Voves fut désignée, après que les Hospitaliers en eurent pris possession, sous le nom de maison de « l'Hopitau », ainsi qu'elle est mentionnée dans le procès-verbal de la visite prieurale de 1495  : « La ferme du Temple de Vausves, aujourd'hui l'Hopitau, où y a chappelle, fondée de saint Jehan, chargée tous les moys d'une messe et où a III ou IIII cens arpens de terre et maison pour le fermier et toute jurisdicion ». La maison de Voves fut détruite pendant les guerres du XVe siècle. Une partie des terres fut réunie à la maison de Sours, et une autre partie donnée à cens et à rente perpétuelle. Le camp de Voves (XXe siècle)  Inscrit MH (2004)1. Entre le 29 janvier 1939 et le 8 février, plus de 2 000 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant les troupes de Franco, arrivent en Eure-et-Loir. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (le camp de Lucé et la prison de Châteaudun rouverte pour l’occasion), 53 villages sont mis à contribution2, dont Voves3. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont désarmés et retenus dans le Sud de la France), sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré4. Une partie des réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, mais en décembre, 922 ont préféré rester et sont rassemblés à Dreux et Lucé5. Article détaillé : Retirada. Le camp de Voves 6 a été bâti en 1939 pour accueillir un centre d'instruction de la route. Il est utilisé en 1940 et 1941 par l'armée allemande pour le regroupement de prisonniers de guerre français. À la fin de 1941, les autorités françaises cherchent à déplacer le camp d'Aincourt, dans l'actuel département du Val-d'Oise, où sont internés depuis octobre 1940 des militants communistes de la région parisienne. C'est dans ce but que l'armée d'occupation accepte de restituer à l'administration française le camp de Voves. Le 5 janvier 1942, un premier groupe d'internés arrive d'Aincourt à Voves pour remettre les lieux en état. Durant les mois d'avril et de mai suivants, des arrivées massives marquent le début du fonctionnement réel du camp. Les premiers internés viennent non seulement du camp d'Aincourt mais aussi de ceux de Gaillon, dans l'Eure, et du camp de Châteaubriant, en Loire-Inférieure. D'autres transferts suivront, notamment en provenance des camps de Rouillé, dans la Vienne, d'Écrouves, en Meurthe-et-Moselle, et de Pithiviers, dans le Loiret. La grande majorité des internés est constituée de « politiques », principalement des militants et sympathisants communistes, mais quelques-uns sont, pour reprendre le vocabulaire de l'époque, des « indésirables », essentiellement des étrangers, et des « droits communs », trafiquants du marché noir ou repris de justice. L'histoire du camp est marquée par l'importance du rôle joué par la direction politique communiste, bien sûr clandestine, qui, dans le but de former des cadres politiques et militaires pour la Résistance, crée une véritable université et organise des représentations théâtrales et des compétitions sportives, mais aussi, de façon plus dramatique, par les prélèvements d'otages et les transferts d'internés vers les camps de concentration d'Auschwitz et de Mauthausen, enfin par plusieurs évasions spectaculaires. Dans la nuit du 5 au 6 mai 1944, quarante-deux internés s'évadent par un tunnel de cent quarante-huit mètres de long, creusé à partir de la baraque des douches et qui descend à deux mètres de profondeur pour passer sous la clôture du camp. Un détachement de SS prend alors le contrôle du camp et, le 9 mai, la totalité des internés est transférée au camp de Royallieu, puis, quelques semaines plus tard, dans le camp de concentration de Neuengamme, près de Hambourg. Il n'y aura que peu de survivants… D'août 1944 à 1947, le camp est à nouveau utilisé, cette fois pour accueillir des prisonniers de guerre allemands. Le camp aujourd'hui Le site du camp est aujourd'hui un lieu de mémoire, entretenu par un Comité du souvenir. Il regroupe une baraque musée, un Mémorial, un wagon du type de ceux ayant servi à la déportation des internés, divers souvenirs du camp et un arboretum. Blasonnement Les armoiries de Voves se blasonnent ainsi : D’azur au râteau levé d’argent, au moulin à vent d'or brochant sur le manche, accosté de deux gerbes de blé du même. Création Conseil Français d'Héraldique Politique et administration Tendances politiques et résultats Article connexe : Élections municipales de 2014 en Eure-et-Loir. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Liste des maires Liste des maires à partir de 1945 Période Identité Étiquette Qualité mai 1945 mai 1983 Roger Gommier     mai 1983 mai 2001 André Coeuret     mai 2001 mai 2008 Maryvonne Genin     2008 … Marc Guerrini UDI   Démographie            Évolution de la population  ] 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1 044 1 173 1 163 1 136 1 256 1 315 1 283 1 303 1 436            Évolution de la population  ], suite (1) 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1 468 1 514 1 670 1 845 1 736 1 913 1 960 1 996 2 023            Évolution de la population  ], suite (2) 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 2 021 2 070 2 081 1 903 2 019 2 070 2 017 2 161 2 110            Évolution de la population  ], suite (3) 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2012 2 352 2 506 2 619 2 834 2 785 2 928 2 910 2 910 3 091 De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes  ; pour les dates suivantes : population municipale. (Sources : Ldh/EHESS /Cassini jusqu'en 19997 puis Insee à partir de 20048.) Histogramme de l'évolution démographique Jumelages  Stroncone  (Italie) depuis le 14 juillet 2007 Lieux et monuments * Église Saint-Lubin (XIIe s., XVe s., XVIe s.). * Fontaine Saint-Lubin. * Dolmen (à proximité de la fontaine Saint-Lubin). * Site de l'ancien camp de prisonniers de guerre puis camp d'internement. Personnalités liées à la commune * Hugues Capet (né vers 939-941, mort en 996), roi des Francs  ; * François Gendron (1618-1688), vicaire de Voves (frère du curé Jacques Gendron), missionnaire au Mexique et dans les Indes où il acquit de grandes connaissances dans la flore ; guérisseur réputé notamment pour soigner les cancers, il fut choisi par Louis XIV pour soigner le cancer de sa mère Anne d'Autriche ; * Claude Deshayes-Gendron (1663-1750), docteur en médecine (petit-neveu de François Gendron) ; * Philippe Alliot (1954-), pilote automobile. Cadre de vie Ville fleurie : deux fleurs au Concours des villes et villages fleuris 9. Articles connexes * Liste des monuments historiques d'Eure-et-Loir * Liste des communes d'Eure-et-Loir * Liste des anciennes communes d'Eure-et-Loir Liens externes Sur les autres projets Wikimedia : * Voves, sur Wikimedia Commons * Voves, sur le Wiktionnaire * Site officiel * Voves sur le site de l'Insee Notes * ↑ « Ancien camp d'internement de Voves »  ], base Mérimée, ministère français de la Culture * ↑ Jeanine Sodigné-Loustau, « L'Accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre  ] », Matériaux pour l'histoire de notre temps. 1996, no 44. p. 43. * ↑ Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 46. * ↑ Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 43-44. * ↑ Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 47. * ↑ Stéphane Fourmas, Le centre de séjour surveillé de Voves (Eure-et-Loir), janvier 1942-mai 1944., mémoire de maîtrise d'Histoire, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne,‎ 1999, 220 p. * ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui  ] sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales. * ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006  ], 2008  ], 2012  ]. * ↑ Villes et villages fleuris - Eure-et-Loir  ]   v  · m Communes de la communauté de communes de la Beauce vovéenne   v  · m Communes du canton de Voves * Portail d’Eure-et-Loir * Portail des communes de France Catégories  : * Commune d'Eure-et-Loir * Commune du canton de Voves * Commune de la 4e circonscription d'Eure et Loir * Commune de l'arrondissement de Chartres | Menu de navigation * Créer un compte * Se connecter * Article * Discussion * Lire * Modifier * Modifier le code * Historique * Accueil * Portails thématiques * Article au hasard * Contact Contribuer * Débuter sur Wikipédia * Aide * Communauté * Modifications récentes * Faire un don Imprimer / exporter * Créer un livre * Télécharger comme PDF * Version imprimable Outils * Pages liées * Suivi des pages liées * Importer un fichier * Pages spéciales * Adresse de cette version * Information sur la page * Élément Wikidata * Citer cette page Autres langues * Български * ᨅᨔ ᨕᨘᨁᨗ * Català * Cebuano * Deutsch * English * Español * Euskara * Magyar * Bahasa Indonesia * Italiano * Malagasy * Bahasa Melayu * Nederlands * Occitan * Polski * Piemontèis * Português * Română * Slovenčina * Slovenščina * Svenska * Українська * Oʻzbekcha/ўзбекча * Tiếng Việt * Volapük * Winaray * 中文 * Bân-lâm-gú Modifier les liens * Dernière modification de cette page le 1 décembre 2015 à 17:42. * Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons paternité partage à l’identique; d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques. En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la licence. Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc., organisation de bienfaisance régie par le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des État Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques
39 €
Voir le product
Cerizay (Deux Sèvres)
OBonjour, L’ INVENTAIRE ÉGLISE SAINT CLÉMENT de NANTES RÉVOLUTION - Inventaire de 1793 Par le curé originaire des Deux Sevres Pierre Jean Andrieux qui sera prêtre sous la révolution a Clisson et Nantes, également acheteur de bien nationaux, il sera également fait commissaire du district de Nantes et prendra en charge l’inventaire de l’église de St Clement à Nantes, Plusieurs notices historiques son consacrées à cet homme célèbre en Deux Sevres pour avoir acheté puis démoli l’église de Notre Dame de la Couldre à Parthenay et ses célèbres statues.... Se compose: De 3 feuilles 4 pages sont manuscrites la dernière feuille et vierge (reprennent de façon détaillées l’inventaire de cette église) Dimensions 34,5/21,5 cm L’autre papier, plus petit indique que le linge religieux trouvé en cette église remis au Citoyen Directeur du district 22/19cm Andrieux (Pierre Jean, l’aîné) 1754-1820. Prêtre, fils de Pierre et de Renée Picard, baptisé à Parthenay le 26 août 1754, chanoine de Saint-Laurent en 1780-1784. Prêtre, recteur de la Madeleine du Temple près Clisson en Bretagne, religieux de Malte, 1786-1792. Chapelain de la chapelle des Baudet en Sainte-Croix, 1786. Chapelain de la chapelle Saint-Blaise desservie à Saint-Laurent, 1787. Vicaire épiscopal de la Loire-Inférieure au moment de l'insurrection vendéenne, il se trouve à Parthenay et ne peut reprendre son poste. Se rend utile à Parthenay au Comité de sûreté générale, puis comme vice-président de ce comité. Lors de la première évacuation de Parthenay de la dite ville de Partenay, sa montre en or et sa valise contenant tous ses effets servant à son usage lui ont été enlevés par les brigands. Il se retire à Poitiers avec sa famille et s’y trouve encore en août 1793. Demeure à Chalandeau (Châtillon/Thouet) en 1794. Il est un des membres fondateurs du Cercle constitutionnel de Parthenay en 1797. Membre du conseil municipal en 1799-1803. Abdicataire en 1793, rescrit, revient à la communion laïque en 1803. Il est alors marié avec Marie Michelle Guilbeau (ancienne religieuse) et vit à Parthenay. En 1805: propriétaire et membre de la société d'agriculture des Deux-Sèvres, s'est livré avec succès depuis plusieurs années à de louables spéculations dans cet art et qu'il témoigne encore le zèle le plus actif pour obtenir d'avantageux résultats sur cette partie essentielle. Dépositaire d'un taureau suisse, il lui a fait couvrir ses vaches, il demande à s'en séparer. En 1809: Brouillon, portant la discorde avec lui. On ne lui reproche pourtant rien de contraire à la probité. Ses idées politiques paraissent plus républicaines que monarchiques. Maire de Châtillon/Thouet nommé le 18 juin 1813. Prête serment à Louis XVIII en 1814 et est destitué en 1816 par le préfet. Il est désigné par les électeurs de l’arrondissement pour siéger à la Chambre des représentants le 10 mai 1815 et quitte cette place après les Cent-Jours. En 1815, il est dit de lui: Prêtre marié avec une religieuse, député pendant l’interrègne, et tout-à-fait opposé au gouvernement royal. Il a eu de l'exaltation révolutionnaire, mais c'est un honnête homme; et se livrant tout entier à l'agriculture, c'est la que se porte toute l'activité de son imagination. Dans un autre document de 1815: Propriétaire et négociant à Parthenay, il ne fut jamais employé par le Gouvernement, mais il a toujours joui de l'estime de ses concitoyens et s'est distingué à toutes les époques par son patriotisme. C’est lui qui avait acheté l’église Notre-Dame-de-la-Coudre et qui commence à la faire démolir. Il décède à Parthenay le 21 juillet 1820. Les prêtres refusent de l’inhumer et il est enterré civilement avec oraison de M. Ledain.Membre du collège électoral et membre de la municipalité de Parthenay, part sur Paris et se charge de remettre des courriers à de hautes autorités parisiennes. Un courrier concerne le placement de Parthenay comme chef-lieu de département, signe "andrieux, Membre du Conseil Municipal
129 €
Voir le product
France
breizh.antiques.art@gmail.com. http://stores.shop..fr/breizh-antiques A signaler des rousseurs, mouillures et petites déchirures dans les marges. Daté 1826 dans la planche. Annoté "La Châtre" au crayon en bas à droite. Feuille: 30 cm de large par 42 cm de haut. Gravure: 19 cm de large par 23 cm de haut. Artiste graveur: signé Jean-Baptiste MAUZAISSE (1784-1844) dans la planche. Imprimeur:à déterminer. Envoi rapide et soigné. ____________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Claude de La Châtre de La Maisonfort Pour les articles homonymes, voir La Châtre et Maisonfort. Pour les autres membres de la famille, voir Louis de La Châtre. Claude de La Châtre Baron de La Maisonfort Portrait du maréchal de La Châtre Naissance 1536 Décès 14 décembre 1614 (à 78 ans) à Genouilly (Cher) Origine  Royaume de France Allégeance  Royaume de France Ligue catholique Arme Cavalerie Dignité d'État Maréchal de France Années de service 1553 – 1610 Conflits Guerres de religion Distinctions Chevalier de l'ordre du Saint-Esprit Autres fonctions Gouverneur du Berry (1569-1588) modifier   Claude de La Châtre (1536 -1614), gouverneur du Berry (1569-1588), seigneur et baron de La Maisonfort, est un capitaine catholique des guerres de religion. Sommaire * 1 Biographie * 2 Armoiries * 3 Articles connexes * 4 Notes et références * 5 Liens externes Biographie Claude de La Châtre1 appartient à une vieille famille féodale du Berry. Élevé comme page d’Anne de Montmorency, il entre dans la compagnie du connétable au poste d'archer dès 1553. L'année suivante, il prend part à la bataille de Renty dans la cornette de son second fils Henri de Montmorency-Damville 2. En 1556 et 1557, La Châtre accompagne le duc de Guise en Piémont et en Lombardie, puis participe à la reprise de Calais (1558), dont il rédige une relation. Engagé dans le camp catholique pendant les guerres de religion, il se distingue à la bataille de Dreux en 1562. Introduit dans le conseil de guerre du roi et créé chevalier de l'ordre de Saint-Michel en 1566, il reçoit le commandement d'une compagnie de cinquante hommes d'armes en 1568 et entre au conseil d'État. Il devient, en 1569, gouverneur du Berry, par échange de sa charge dans le bailliage de Blois avec Gilles de Souvré, marquis de Courtanvaux. Pendant la troisième guerre de Religion, il rejoint l'armée du duc d'Anjou et participe aux batailles de Jarnac et de La Roche-L'Abeille, puis sauve Bourges d'une surprise protestante venue de Sancerre. En 1573, La Châtre est chargé de reprendre Sancerre, qui capitule après sept mois de siège. En 1575, il est envoyé à Londres en tant qu'ambassadeur extraordinaire afin de conforter l'entente entre la France et l'Angleterre. Il rejoint par la suite le parti des Malcontents, combat aux côtés du duc d'Alençon, puis l'accompagne dans son expédition aux Pays-Bas en tant que commandant de sa cavalerie légère. À la mort du duc d'Alençon en 1584, La Châtre se rapproche du duc de Guise et rallie la Ligue en 1585. Le 21 décembre 1585, il est reçu dans l'Ordre du Saint-Esprit. Durant l'automne 1587, il se distingue au cours de la campagne contre les reîtres, participant notamment au combat d'Auneau. En 1588, La Châtre est destitué par Henri III de sa charge de gouverneur du Berry. Après l'assassinat du roi, il refuse d’abord de reconnaître Henri IV et se saisit du Berry pour le parti de la Ligue3, tout en faisant partie de l'état-major de l'armée ligueuse commandée par le duc de Parme. En 1593, il est fait maréchal de France par le duc de Mayenne. Il fait finalement sa soumission en 1594, remet au roi les villes d’Orléans et de Bourges, en récompense de quoi il est confirmé dans ses charges de ma
49,5 €
Voir le product
La Chapelle Caro (Morbihan)
A Giorgio Vasari Aretino Storico Degli Artisti - Architetto e Pittore - 1511-1574 L'Ente Provinc. Le per il Turismo 1974 Gori & Zucchi R. Carboni - E. Scatragli Diamètre: 70 mm - Épaisseur: 4 mm Poids: 180 grammes contact@antikpapers.com ba320 -- Giorgio Vasari (30 juillet 1511 à Arezzo - 27 juin 1574 à Florence) est peintre, architecte et écrivain toscan. Son recueil biographique Les Vies des meilleurs peintres, sculpteurs et architectes, particulièrement sa seconde édition de 1568, est considéré comme une des publications fondatrices de l'histoire de l'art. Sommaire     1 Biographie     2 Citations à son propos     3 Les Vies des meilleurs peintres, sculpteurs et architectes     4 Œuvres     5 Bibliographie     6 Notes et références     7 Voir aussi         7.1 Articles connexes         7.2 Liens externes Biographie Le clocher-mur de la fraternité laïque à Arezzo Tableau généalogique de Vasari publié dans l'édition de Gaetano Milanesi (it), 18781 Né dans une famille modeste, sur la recommandation de son cousin Luca Signorelli, il devient l'élève de Guglielmo da Marsiglia, un peintre habile de vitraux. À 16 ans, le cardinal Silvio Passerini l'envoie poursuivre ses études à Florence, près d'Andrea del Sarto et de ses élèves Rosso Fiorentino et Jacopo Pontormo. Son éducation d'humaniste n'est pas négligée et il rencontre Michel-Ange dont le modèle de peinture l'a influencé. En 1529, il visite Rome et étudie les travaux de Raphaël et d'autres artistes de la Haute-Renaissance romaine. Ses propres peintures maniéristes ont été davantage admirées pendant sa vie qu'après. Il est employé par les maîtres des maisons de la famille Médicis à Florence et à Rome et il travaille aussi, entre autres, à Naples, à Arezzo. Plusieurs de ses travaux existent encore, du plus important, les peintures des murs et du plafond dans la grande Salle de Cosme Ier du Palazzo Vecchio à Florence, datant de 1555, aux fresques inachevées à l'intérieur de la vaste coupole du Duomo, terminées par Federigo Zuccaro et avec l'aide de Giovanni Balducci. Il organise la décoration du Studiolo de François Ier du Palazzo Vecchio, plutôt comme directeur des productions artistiques qui doivent y apparaître que comme artiste producteur d'œuvres. Sa production architecturale est plus importante que celle de peintre. La loggia des Offices allant du Palazzo Vecchio et débouchant sur l'Arno ouvrant une vue au bout de sa longue cour étroite est un morceau unique d'urbanisme qui fonctionne comme une place publique, le piazzale des Offices, unique rue de la Renaissance avec un seul traitement architectural. Il est, à partir de 1553, un proche des Médicis à Florence et fonde l'Académie de dessin de Florence en 1563, avec le grand-duc et Michel-Ange comme premiers directeurs de l'établissement et de trente-six artistes choisis comme membres. En mars 1565, il écrit, pour le mariage de François de Médicis et de Jeanne d’Autriche, la Mascarade de la généalogie des dieux, dont il publie le livret. La même année, il conçoit à Florence le Corridoio reliant le Palazzo Vecchio au Palais Pitti, le construit en cinq mois, commandité par Cosme Ier et inauguré pour le mariage de son fils François. Ce corridor permettra aux Médicis de circuler sans escorte et sans descendre dans la rue pour traverser l'Arno par le Ponte Vecchio, tout en admirant les nombreux tableaux qui l'ornent (beaucoup d'autoportraits depuis Léopold de Médicis) et la ville par ses fenêtres. Il rénove également les églises médiévales Santa Maria Novella et Santa Croce, et transforme le jubé et la chaire dans le goût maniériste de son temps. À Rome, Vasari travaille avec Giacomo Barozzi da Vignola et Bartolomeo Ammanati pour la Villa Giulia du pape Jules III. Vasari, qui aura été apprécié pendant toute sa vie, amasse une fortune considérable. En 1547, il se fait construire une maison à Arezzo (maintenant un musée qui lui est consacré), et consacre beaucoup de son temps et de son énergie à décorer les murs et les voûtes. Il est élu au conseil et priori municipal de sa ville natale, et est finalement élevé au titre suprême de gonfalonier. Écrivain également, il est l'auteur du précieux recueil intitulé Les Vies des plus excellents peintres, sculpteurs et architectes (Le Vite de' più eccellenti pittori, scultori e architettori) (1560-1570). Cet ouvrage est d'une importance majeure, car il pose les bases des premières approches méthodologiques de l'histoire de l'art - (approche historique et méthode biographique). Citations à son propos     « Ce fut un homme aimable, d'une belle figure, doué de quelques petits talents, de beaucoup d'adresse, et de persévérance, et d'une de ces âmes froides, très convenables pour faire son chemin dans le monde, et pour être un plat artiste. » — Vasari vu par Stendhal dans Histoire de la peinture en Italie     « Vasari, le Georges à tout faire de Michel-Ange, quinze siècles après le ministre d'Auguste, est le Mécène de la renommée. Il a fait et défait les réputations. Peintre détestable, architecte sans goût, juge sans équité, Jules Romain de la critique et de la Toscane, Vasari n'en est pas moins un des plus précieux Italiens de la Renaissance, et son livre un des trésors que l'on doit à l'Italie. » — André Suarès, Le Voyage du condottière, p. 362 Les Vies des meilleurs peintres, sculpteurs et architectes Couverture de Le Vite Article détaillé: Le Vite. Le Vite de' più eccellenti pittori, scultori e architettori (1550-1568). Édité une première fois en 1550, il fait l'objet d'une seconde édition en 1568. La première édition ne comportait, en réalité, que les vies des auteurs décédés durant l'écriture de son ouvrage. Pourtant une exception venait infirmer la règle, c'est celle de Michel-Ange qui y figurait déjà lors de la première édition. Giorgio Vasari y ordonne les artistes qui l'ont précédé ou qui lui sont contemporains dans une perspective historique. Il rassemble des données, tant sur les artistes que sur leurs œuvres (enquêtes biographiques, catalogues des œuvres, anecdotes et légendes). Il est le premier, dans Les Vies, à utiliser le terme Renaissance pour qualifier son époque (rinascimento de la bella maniera incarnée par Raphaël et Michel-Ange dont le but est l'imitation du travail des anciens et qui apparaît selon lui dans la seconde moitié du XIIe siècle). Cet ouvrage apparaît, aujourd'hui, comme un des éléments fondateurs de l'Histoire de l'art. C'est de Vasari que viendrait le terme « gothique », comparant l'étrange architecture du Moyen Âge avec la barbarie du peuple des Goths. Œuvres La Déposition de la Croix (vers 1550), au musée de la Chartreuse de Douai. Judith et Holofernes (vers 1554), Musée d'art de Saint-Louis, Saint-Louis     Déposition du Christ (1532), huile sur panneau, 144 × 113 cm, Arezzo, Maison natale de Vasari.     Sainte Famille avec saint Jean Baptiste et saint François d'Assise2, Musée des beaux-arts de Bordeaux.     Portrait de Laurent le magnifique (vers 1534), huile sur panneau, 90 × 72 cm, Galerie des Offices, Florence.     Portrait d'Alexandre de Médicis (vers 1534), huile sur panneau, 157 × 114 cm, Galerie des Offices, Florence.     Le Christ chez Marthe et Marie (1539-1540), huile sur panneau, 404 × 250,6 cm, Bologne, Pinacoteca Nazionale.     Déposition de la croix (1540 ca), huile sur toile, 311 × 210 cm, Camaldoli, Chiesa dei Santi Donato e Ilariano.     La Cène de Saint Grégoire le Grand (1540, huile sur panneau, 403 × 255 cm, Bologne, Pinacoteca Nazionale.     Allégorie de l'Immaculée conception (1541), huile sur panneau, 58 × 39 cm, Galerie des Offices, Florence.     La Tentation de saint Jérôme (vers 1541), huile sur panneau, 169 × 123 cm, Florence, Palais Pitti, Galerie Palatine.     La Sainte Famille avec sainte Anne (1541-1547), Musée de Grenoble.     La Sainte famille avec saint François (1542), huile sur toile, 184 × 125 cm, Los Angeles, County Museum of Art.     La Justice (1542), huile sur toile, Venise, Gallerie dell'Accademia.     Allégorie de la Justice, la Vérité et la rumeur (1543), huile sur panneau, 353 × 252 cm, Naples, Museo di Capodimonte.     Venus et Cupidon (vers 1543), huile sur panneau, 131 × 199 cm, Windsor, Royal Collection.     Le Pape Paul Farnèse dirige la construction de Saint Pierre (1544 ca), fresque, Rome, Palazzo della Cancelleria.     La Résurection du Christ (1545), huile sur panneau, 117 × 73 cm, Musée Capodimonte de Naples.     La Nativité (1546 ca), huile sur toile, Rome, Galerie Borghèse.     La Sainte Famille avec sainte Anne et saint Jean (vers 1546), huile sur toile, 82 × 60,5 cm, Vienne, Kunsthistorisches Museum.     La Déposition de la Croix (vers 1550), huile sur bois, 174 × 130 cm, musée de la Chartreuse de Douai     Judith décapite Holopherne (vers 1554), huile sur panneau, 108 × 79 cm, Musée d'art de Saint-Louis, Saint-Louis.     La Toilette de Venus (1558), huile sur toile, Stuttgart, Staatsgalerie.     La Lapidation de saint Étienne (vers 1560), huile sur toile, 300 × 163 cm, Musées du Vatican, Pinacoteca Vaticana.     Les Quatre Éléments (vers 1560), Florence, Palazzo Vecchio.     Les Travaux d'Hercule (vers 1560), Florence, Palazzo Vecchio.     L'Annonciation (1564-1567), bois, 216 × 166 cm, Musée du Louvre, Paris. Élément central du triptyque peint pour le maître autel de l'église de Santa Maria Novella d'Arezzo3.     Fresques de la Sala del Cinquecento (1565), Florence, Palazzo Vecchio.     Saint Luc peignant la Vierge (vers 1565), fresque, Florence, Chiesa della Santissima Annunziata.     Autoportrait (vers 1566-1568), huile sur panneau, 100,5 × 80 cm, galerie des autoportraits du Corridor de Vasari, musée des Offices, Florence.     Le Prophète Élisée, huile sur bois (1566), musée des Offices, Florence.     La Forge de Vulcain (1567-1568), musée des Offices, Florence.     Christ dans le jardin de Gestsemani (vers 1570), huile sur panneau, 143,5 × 127 cm, Tokyo, National Museum of Western Art.     L'Adoration des bergers (1570-1571), huile sur panneau, 131 × 69 cm, Chazen, Museum of Art.     Persée et Andromède (1570-1572), huile sur toile, 117 × 100 cm, Florence, Palazzo Vecchio.     Le Laboratoire de l'alchimiste (1570 ca), Florence, Palazzo Vecchio.     Couronnement de la Vierge nommée aussi Pala del Vasari, retable de 1571, 400 × 300 cm, chœur de l'église Sainte-Catherine de Livourne.     L'Incrédulité de saint Thomas (vers 1572), huile sur panneau, basilique Santa Croce de Florence     Le Jugement Dernier (1572-74), fresque, 4 000 m2, Florence, coupole de Santa Maria del Fiore.     Allégories (1545) fresques, Sacristie, Église Sainte Anne des Lombards, Naples     La Dernière Cène, Basilique Santa Croce de Florence)
34,31 €
Voir le product
France
BELLE GRAVURE  18 e 13.50 par 22 cm DOS SALI petites restaurations   Jean-Paul Rabaut Saint-Étienne dit Rabaut-Saint-Étienne, né à Nîmes  le 14 novembre  1743 et mort guillotiné à Paris  le 5  décembre  1793, député de l’Aube  à la Convention nationale. Rabaut Saint-Étienne devient député  du tiers état  de la sénéchaussée  de Nîmes  et de Beaucaire  aux États généraux. Il prêta le serment du Jeu de Paume  et est nommé commissaire pour les conférences. Il est élu président de l’Assemblée constituante  du 15 au 28 mars 1790  et participe à l’élaboration de la constitution de 1791. Il proposa plusieurs décrets relatifs à l’organisation de la garde nationale et de la gendarmerie nationale. On retiendra et réutilisera une maxime qu’il dit à la Constituante : « Notre histoire n’est pas notre code »2. L’Assemblée constituante ayant décrété qu’aucun de ses membres ne pourrait faire partie de l’Assemblée législative, il se consacra à l’écriture et rédigea un Précis de l’histoire de la Révolution. Élu dernier député de l’Aube à la Convention nationale, où il siégea sur les bancs des Girondins, il devint membre du Comité de l’agriculture. À la Convention, il dénonça la violation de la loi par la Commune de Paris  et proposa de déclarer le roi Louis XVI  coupable et de renvoyer au peuple l’application de la peine. Lors du procès du roi, il vota pour la culpabilité, pour la ratification du jugement du peuple, pour la détention pendant la guerre et le bannissement à la paix et pour le sursis. Rabaut Saint-Étienne devint président de l’Assemblée du 24 janvier au 7 février 1793. Il fut élu, le 15 mars 1793, membre de la Commission des Six  chargée de surveiller le tribunal extraordinaire. Il se prononça pour la mise en accusation de Marat. Le 21 mai, il fut nommé à la Commission extraordinaire des Douze, instituée pour la recherche des complots et des conspirations menaçant la représentation nationale et établit un rapport le 28 mai, justifiant l’arrestation d’Hébert. Il est arrêté le 2 juin avec les Girondins  et guillotiné le 15 frimaire  an II  (5 décembre 1793).   Le tarif du port tient compte de la confection sous pochette cartonnée et fourniture les informations seront fournies à l'acquéreur. En France le paiement s'effectue exclusivement par cheque sauf accord. Merci Créé par L'outil de mise en vente gratuit. Mettez vos objets en vente rapidement et en toute simplicité, et gérez vos annonces en cours.
6 €
Voir le product
Draveil (Essonne)
1794 ROBESPIERRE, MAXIMILIEN DE (1758-1794) – RARE DOCUMENT SIGNE (Régime de la terreur) Robespierre, Maximilien de (1758-1794) – document rare signé par l'avocat Français (du haut de la terreur) et homme politique, ainsi qu’un des personnages plus connus et les plus influents, associées à la révolution Française et à la terreur.  Document signé « Robespierre ».3PP. (deux feuilles adjacentes), vignette allégorique en haut, 8,25 x 12,5pouces, Paris 13. Floréal an 2 (1794 mai 2). En Français : « Extrait des Registres du Comité de Salut Public de la Convention Nationale ». Le décret sur l’organisation de l’école nationale de musique militaire« Ecole Nationale des trompettes ». Signé à l’issue par cinq membres importants du gouvernement révolutionnaire : Maximilien Robespierre, Lazare Carnot (1753-1823), Bertrand Barere (1755-1841), Georges Couthon(1755-1794) et Jean-Marie Collot d’Herbois.  Petits trous sur le bord gauche, usure du coin, sinon bon état. du haut de la terreur. Le 27 juillet, Robespierre est renversé et exécuté le lendemain. Très rare, aucun en vente  Est livré avec un certificat d’authenticité par Andreas Wiemer autographes historiques
4.900 €
Voir le product

Petites annonces gratuites - acheter et vendre en France | CLASF - copyright ©2024 fr.clasf.com.