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Napoleon 1804


Liste des meilleures ventes napoleon 1804

Gif sur Yvette (Essonne)
Coupelle en métal argenté à fonds de médaille Napoléon 1804 Empire Français, frise de lauriers. Au dos mention Relais de l'Empereur Montélimar. Bel état d'usage. D 8,5 cm Médaille 4 cm. H 1 cm. A prendre sur place ou envoi Colissimo ou point relais sur demande. Collection occasion à vendre à Gif-sur-Yvette (91190)
25 €
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France (Toutes les villes)
L’IMPERATRICE JOSEPHINE 1804 - 1814 Par Joseph TURQUAN EDITIONS TALLANDIER, 1929 BROCHE, 312 PAGES. BIBLIOGRAPHIE ILLUSTRE DE 18 REPRODUCTIONS DE GRAVURES H-T. « J’ai voulu faire voir ce que fut JOSEPHINE sous le diadème impérial et après que des raisons politiques eussent déterminé NAPOLEON à se démarier d’avec elle pour épouser une princesse capable de lui donner des héritiers. Il ne faut pas voir dans ce travail un parti pris de rabaisser, pour le vain et médiocre plaisir de saper la réputation d’une femme, cette sainte de contrebande que l’on a, par esprit de dénigrement contre NAPOLEON, trop souvent présenté comme une victime de l’arbitraire et des caprices de son impérial mari. Il n’y faut voir que le souci de la vérité historique. L’Impératrice JOSEPHINE avait été, jusqu’ici, offerte à l’admiration des masses, comme le modèle achevé de toutes les vertus: je la montre telle qu’elle fut. Je n’ai pas la prétention de croire que cet ouvrage contribue à faire changer les opinions généralement reçues. Mais est-ce un motif pour ne pas essayer, toujours et quand même, de faire triompher la vérité ? JOSEPHINE mourut à la Malmaison à 52 ans en 1814, dans une sorte de grandeur, veillée par le plus puissant souverain de l’Europe, le Tzar, qui était devenu son ami. Elle mourut à temps; l’Empereur NAPOLEON, lui, n’eut pas le même bonheur. On a remarqué que, pour que rien ne manquât au caractère de prédestination observé dans la vie de JOSEPHINE, le jour de sa mort fut le jour de la conclusion définitive du traité qui détruisait l’œuvre de son ancien mari et une partie de l’œuvre de la Révolution au bénéfice de la maison de BOURBON. JOSEPHINE eut cette singulière fortune d’être, après sa mort, prônée et vénérée plus que tout autre femme: l’histoire impartiale ne pouvait cependant admettre un tel jugement. » J. TURQUAN UNE HISTOIRE QUI SE VEUT ELOIGNEE DES LEGENDES ET DES COMPLAISANCES. JOSEPHINE IMPERATRICE ET REINE 1804 -1814 DU SACRE AU DIVORCE ET A LA TOMBE EDITION ORIGINALE. BEL EXEMPLAIRE SUR PAPIER ALFA BON ETAT, PAIEMENT EN PLUSIEURS FOIS SANS FRAIS POSSIBLE: ME CONTACTER Je mets en vente quelques oeuvres sur NAPOLEON. Pour les trouver facilement, tapez C1 NAPOLEON dans le moteur de recherche de ce site
80 €
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Lyon (Rhône)
Ier Empire, 1804–1814 5 Francs Napoléon Ier 1811 Q Perpignan Revers Empire TB + Année: 1811 Pays: France Valeur Faciale: 5 Francs Alphabet: Région: Nombre: Poinçon: Référence: Graveur: Nicolas-Antoine Brenet Personnage: Napoléon Ier Etat: TB Lot: Date d'Emission: Nombre de coupons: Signature: Catégories de la boutique - Action-Titre-Share - Billet Etranger - Billet Français - Carte Postale - Divers - Décoration Militaire - Euro - Jeton - Jeton touristique MP - Librairie - Medaille - Pièce Etrangére - Pièces Française - Royale - Timbre - Timbre Monnaie - V République - Autre Contactez-nous pour toute question.
102 €
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France (Toutes les villes)
Livre Livres Code EAN: 5222070328166 ISBN: 2070328163 Classification Titelive Secondaire: Poche Histoire Classification Titelive Primaire: Histoire Disponibilité: Disponible Titre: Le Sacre De Napoléon - 2 Décembre 1804 Date: 01/04/1994 Livres / N° de collection: 59 Livres Origine: Decitre Propriétaire: Decitre Livres / Format: Poche Livres / Période: Livre édité depuis 1980 Lieu de parution: Paris, France ClassificationDecitre 1: Histoire de France ClassificationDecitre 2: Révolution et Empire Livres / Collection: FOLIO HISTOIRE ClassificationDecitre 3: Napoléon
1,25 €
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Lyon (Rhône)
SCEAU 1 / Sceau Napoléon, empereur des Français, roi d'Italie protecteur de la confédération du Rhin SCEAU 2/ Sceau Napoléon, empereur des Français sur le trône impérial, lors de la cérémonie du sacre, il a dans la main droite le sceptre de Charlemagne qui aurait appartenu à Charles V. Il représente Charlemagne tenant dans une main la fleur de lys et le globe impérial dans l'autre main il y a un autre sceptre la main de justice. Ce 4 décembre 1804, il est revêtu d'un manteau de pourpre semé d'abeilles, du grand collier de la légion d'honneur et l'aigle de Jupiter selon le modèle Romain. Provenance: 1951 Archives Nationales tirées dans les moules de la collection des sceaux portant sur au revers la marque (le n°) de provenance D141 Napoléon sur le trône. (Plâtre patiné, état voir les photos, ø 12 cm, ép. 8 mm. Expédition gratuite FRANCE métropolitaine Pour Lyon enlèvement rue Barrier 69006. (Le support n'est pas expédié) Collection occasion à vendre à Lyon (69006)
60 €
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Brive la Gaillarde (Corrèze)
Boites d'allumettes anciennes boni. 12 pièces complètes. Lot 12ABN.. État : Occasion Service de livraison : Colissimo. Voir les photos. Ford T un peu décollée. Allumettes présentes. Napoléon: Le général Bonaparte. Les armes et la maison natale de Napoléon. Bonaparte lieutenant d'artillerie. L'empereur. Arcole 1796. Incendie de Moscou. Austerlitz 1805. Les adieux de Fontainebleau. Waterloo 1815. Les pyramides 1798. Le sacre 1804. Allumettes présentes. No sale abroad. 12/09/2021
14 €
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Antibes (Alpes Maritimes)
Superbe Tabatière à l'état de neuf...vers 1804...1812. Manufacture impériale de Sèvres. Hauteur 10,5 cm. largeur 6,2 cm. Expertisée par "Galtier" en 1988. C'est une pièce de collection... (superbe).
800 €
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France
http://stores.shop..fr/breizh-antiques 13 Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne à partir de 1880). Numérotée sur la tranche 100 / 500. En bonze florentin. Graveur: M R . Dimensions: 84 mm. Poids: 247 g. Métal: bronze . Poinçon sur la tranche:  Corne d'abondance + bronze (br flo) + 100 / 500. Envoi rapide et soigné. The stand is not for sale. Le support n'est pas à vendre.   ______________________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Georges Cadoudal Georges Cadoudal Georges Cadoudal, peinture de Paul Amable Coutan, 1827. Surnom Général Georges Gédéon Naissance 1er janvier 1771 Brech Décès 25 juin 1804 (à 33 ans) Paris Origine Français, Breton Allégeance Chouan Dignité d'État Maréchal de France Années de service 1793 – 1804 Conflits Guerre de Vendée Chouannerie Commandement Division d'Auray Armée catholique et royale du Morbihan Armée catholique et royale de Bretagne Faits d'armes Bataille de Nantes Bataille de Cholet Virée de Galerne Siège de Granville Siège d'Angers Bataille du Mans Bataille de Savenay Bataille de Grand-Champ Bataille de Floranges Expédition de Quiberon Combat d'Elven Bataille du Mont-Guéhenno Bataille du pont du Loc'h Distinctions Grand-Croix de Saint-Louis Anoblissement posthume Famille Famille de Cadoudal modifier   Georges Cadoudal, né à Brec'h le 1er janvier 1771 et mort guillotiné le 25 juin 1804 à Paris, est un général chouan, maréchal de France à titre posthume, commandant de l'Armée catholique et royale de Bretagne. Fils de paysans aisés, charismatique et doué d'une force herculéenne, Cadoudal est d'abord partisan de la Révolution française. Il s'en détache en 1791, après la constitution civile du clergé, puis prend les armes contre elle en 1793 pour s'opposer à la conscription lors de la levée en masse. À la suite de l'échec des rébellions paysannes en Bretagne, Cadoudal gagne la Vendée en juin. Capitaine dans les compagnies bretonnes sous les ordres de Bonchamps, il prend part aux batailles de la guerre de Vendée. Après la défaite des Vendéens à la deuxième bataille de Cholet et la mort de Bonchamps, il sert sous les ordres de Stofflet et participe à la Virée de Galerne. Il combat avec les Vendéens jusqu'à l'ultime bataille de Savenay. De retour dans le Morbihan, Cadoudal prend le commandement des troupes de Chouans qui se forment dans le pays d'Auray. Il refuse de signer le traité de la Mabilais et de reconnaître la République. Colonel en 1795, il se distingue lors de l'expédition de Quiberon, après la débacle de l'armée des émigrés, il parvient à sauver ses troupes des colonnes républicaines et est proclamé général par ses hommes. Commandant en chef de l'armée catholique et royale du Morbihan, Cadoudal prend le contrôle de presque toutes les campagnes du département tandis que les Républicains ne conservent plus que les villes. Défenseur d'une chouannerie populaire, il s'oppose à son chef, Joseph de Puisaye et à la domination des officiers émigrés. Il signe la paix en 1796, puis reprend la guerre en 1798. Il renonce à prendre Vannes mais il s'empare de plusieurs petites villes à l'automne 1799, avant d'être tenu en échec à la bataille du pont du Loc'h. Après avoir signé un traité, il refuse le grade de général dans l'armée républicaine et s'oppose au premier consul Napoléon Bonaparte. Fait Lieutenant-général et commandant des troupes royales de Bretagne, il trouve refuge en Angleterre à la suite de l'attentat de la rue Saint-Nicaise à Paris en 1800 commis par deux de ses officiers. Cadoudal regagne Paris en 1804, il y organise un complot visant à capturer ou tuer le premier consul avec une troupe d'hommes armés tandis que le général Pichegru est chargé
126 €
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France
Du Code noir au Code civil Jalons pour l'histoire du droit en Guadeloupe, perspectives comparees avec la Martinique, la Guyane et la Republique d'Haiti Collectif Jacques Adelaide-Merlande Celine Ronsseray Jeremy Richard Didier Destouches Dominique-Aime Mignot Gerard Gabriel Marion Auteur: Collectif Jacques Adelaide-Merlande Celine Ronsseray Jeremy Richard Didier Destouches Dominique-Aime Mignot Gerard Gabriel Marion Editeur: Editions L'Harmattan Broché: 320 pages Format: Broche Createur: Sous la direction de Jean-Francois Niort Preface Henri Bangou Preface Frederic Regent Edition: HARMATTAN Publication: 19/10/2007 Dimensions: 24 x 15 x 2 Langue: Francais Publier en: Français Languages d'origine: Français C'est fin 1805 que le Code civil des Francais, cree le 21 mars 1804, entre en application a la Guadeloupe, a la Martinique et en Guyane. Presente comme un fruit de la Revolution francaise, bati sur les principes d'egalite et de liberte civiles, le Code civil, officiellement baptise Code Napoleon de 1807 a 1815 et de 1852 a 1870, ne modifie pourtant en rien l'ordre colonial, restaure ou confirme depuis 1802, a savoir l'esclavage de la plus grande partie de la population et la segregation juridique des libres de couleur. Le Code civil, traduction de la reaction alors a l'oeuvre en metropole a travers le regime napoleonien mais qui fut plus considerable encore aux colonies par la negation des acquis et principes revolutionnaires, a donc cohabite pendant un demi-siecle avec le Code noir et la segregation infligee aux libres de couleur, instituant un regime juridique specifiquement colonial a la Guadeloupe. En ce sens l'histoire coloniale eclaire d'une facon particuliere l'histoire nationale, et conduit a nuancer de nouveau le mythe d'un Code civil democratique et revolutionnaire, qui sevit encore parfois de nos jours. Apres l'abolition de 1848, comment les populations affranchies ont-elles ete integrees a l'ordre civil ? Comment ont-elles acquis un etat civil, notamment un patronyme ? Plus largement, comment les modeles juridiques francais vehicules par le Code civil, specialement celui de la famille, se sont-ils imposes a la realite sociologique des populations sorties de la servitude ? Enfin, quelles pistes comparatives peut-on tracer avec les autres D.O.M. (Martinique, Guyane) et la Republique d'Haiti ? Voila quelques questions auxquelles tente de repondre cet ouvrage. C'est fin 1805 que le Code civil des Francais, cree le 21 mars 1804, entre en application a la Guadeloupe, a la Martinique et en Guyane. Presente comme un fruit de la Revolution francaise, bati sur les principes d'egalite et de liberte civiles, le Code civil, officiellement baptise Code Napoleon de 1807 a 1815 et de 1852 a 1870, ne modifie pourtant en rien l'ordre colonial, restaure ou confirme depuis 1802, a savoir l'esclavage de la plus grande partie de la population et la segregation juridique des libres de couleur. Le Code civil, traduction de la reaction alors a l'oeuvre en metropole a travers le regime napoleonien mais qui fut plus considerable encore aux colonies par la negation des acquis et principes revolutionnaires, a donc cohabite pendant un demi-siecle avec le Code noir et la segregation infligee aux libres de couleur, instituant un regime juridique specifiquement colonial a la Guadeloupe. En ce sens l'histoire coloniale eclaire d'une facon particuliere l'histoire nationale, et conduit a nuancer de nouveau le mythe d'un Code civil democratique et revolutionnaire, qui sevit encore parfois de nos jours. Apres l'abolition de 1848, comment les populations affranchies ont-elles ete integrees a l'ordre civil ? Comment ont-elles acquis un etat civil, notamment un patronyme ? Plus largement, comment les modeles juridiques francais vehicules par le Code civil, specialement celui de la famille, se sont-ils imposes a la realite sociologique des populations sorties de la servitude ? Enfin, quelles pistes comparatives peut-on tracer avec les autres D.O.M. (Martinique, Guyane) et la Republique d'Haiti ? Voila quelques questions auxquelles tente de repondre cet ouvrage.   Les clients ayant acheté cet article ont également acheté Le Code Noir Classement: Livres > Thèmes > Etudes supérieures > Université > Droit - Sciences juridiques Mot Clef: Droit Histoire du droit Philosophie du droit
58,16 €
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Vannes (Morbihan)
breizh.antiques.art@gmail.com 06 47 07 70 65 34 Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne d'abondance à partir de 1880). Médaille frappée en 1971. Graveur: Charles de Courcy. Dimension: 68 mm. Poids: 163 g. Métal: bronze. Poinçon sur la tranche (mark on the edge) :  Corne d'abondance + bronze + 1971. Envoi rapide et soigné. Georges Cadoudal, né à Brec'h le 1er janvier 1771 et mort guillotiné le 25 juin 1804 à Paris, est un général chouan, maréchal de France à titre posthume, commandant de l'Armée catholique et royale de Bretagne. Fils de paysans aisés, charismatique et doué d'une force herculéenne, Cadoudal est d'abord partisan de la Révolution française. Il s'en détache en 1791, après la constitution civile du clergé, puis prend les armes contre elle en 1793 pour s'opposer à la conscription lors de la levée en masse. À la suite de l'échec des rébellions paysannes en Bretagne, Cadoudal gagne la Vendée en juin. Capitaine dans les compagnies bretonnes sous les ordres de Bonchamps, il prend part aux batailles de la guerre de Vendée. Après la défaite des Vendéens à la deuxième bataille de Cholet et la mort de Bonchamps, il sert sous les ordres de Stofflet et participe à la Virée de Galerne. Il combat avec les Vendéens jusqu'à l'ultime bataille de Savenay. De retour dans le Morbihan, Cadoudal prend le commandement des troupes de Chouans qui se forment dans le pays d'Auray. Il refuse de signer le traité de la Mabilais et de reconnaître la République. Colonel en 1795, il se distingue lors de l'expédition de Quiberon, après la débacle de l'armée des émigrés, il parvient à sauver ses troupes des colonnes républicaines et est proclamé général par ses hommes. Commandant en chef de l'armée catholique et royale du Morbihan, Cadoudal prend le contrôle de presque toutes les campagnes du département tandis que les Républicains ne conservent plus que les villes. Défenseur d'une chouannerie populaire, il s'oppose à son chef, Joseph de Puisaye et à la domination des officiers émigrés. Il signe la paix en 1796, puis reprend la guerre en 1798. Il renonce à prendre Vannes mais il s'empare de plusieurs petites villes à l'automne 1799, avant d'être tenu en échec à la bataille du pont du Loc'h. Après avoir signé un traité, il refuse le grade de général dans l'armée républicaine et s'oppose au premier consul Napoléon Bonaparte. Fait lieutenant-général et commandant des troupes royales de Bretagne, il trouve refuge en Angleterre à la suite de l'attentat de la rue Saint-Nicaise à Paris en 1800 commis par deux de ses officiers. Cadoudal regagne Paris en 1804, il y organise un complot visant à capturer ou tuer le premier consul avec une troupe d'hommes armés tandis que le général Pichegru est chargé de prendre la tête du gouvernement et de proclamer Louis XVIII. La conspiration est déjouée par la police de Fouché et les conspirateurs sont arrêtés. Jugé avec le général Moreau, Cadoudal est condamné à mort le 11 juin et guillotiné à Paris le 25 juin 1804 avec onze autres royalistes. Sa famille est anoblie par Louis XVIII et il est fait Maréchal de France à tite posthume. Le chevalet n'est pas à vendre. The stand is not for sale.           ___________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques
85 €
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Lyon (Rhône)
Merci pour votre visite. Ci-dessous le descriptif de l'objet en vente. En bas de page, retrouvez tous les détails de nos conditions de vente et de livraison. Merci d'en prendre connaissance avant d'enchérir. N'hésitez pas à nous poser vos questions.  Thank you for your visit. Below is the description of the item for sale. At the bottom, find all the details of our conditions of sale and delivery. Thank you to become acquainted before bidding. Feel free to ask us questions.  ●  Louis BELMAS --  (Montréal Languedoc 1757 -- 1841)   ●   Homme d'église français des xviiie siècle et xixe siècle. P.A.S - Cambrai, 20 août 1828 1p. in-8 oblong. (13x20 cm env.) Document fractionné en 2 parties: en effet les partie haute et basse ont dû être préalablement découpées, puis assemblées (point de colle au centre - voir photo). Vignette / entête de l'Evêché de Cambrai 3 lignes autographes + signature Bel état de conservation Envoi soigné Informations complémentaires concernant le signataire de ce document: Louis Belmas naquit à Montréal en Languedoc. Son père, quoiqu'il fût commerçant, jouissait de l'estime et de la considération publiques. Louis, à peine âgé de quatre ans et demi, perdit cet excellent père et sa mère, la plus douce et la plus pieuse des mères, dans l'espace de six semaines. Ils laissaient huit enfants et une fortune très bornée. Belmas fut adopté par son parrain qui le reçut dans sa maison, et se chargea de l'élever. Il fut envoyé d'abord dans les écoles de sa petite ville natale, et commença bientôt ses études de latin au collège de Carcassonne. Là, depuis la sixième jusqu'à la rhétorique au collège de l'Esquille à Toulouse, ses succès furent brillants. On le nomma presque toujours le premier dans les concours publics. À la fin de 1772, il fut tonsuré par M. l'évêque de Carcassonne, qui lui donna, deux ans après, une bourse dans le séminaire de Toulouse. Les prêtres de l'Oratoire dirigeaient cette maison avec leur habileté connue. Il fit chez eux sa philosophie et sa théologie, toujours avec distinction, et reçut le grade de bachelier. Il retourna ensuite à Carcassonne, et fut ordonné prêtre le 22 décembre 1781. Nommé vicaire de Saint-Michel de Carcassonne, il remplit ces fonctions avec tant de succès qu'en 1782 il fut gratifié d'une prébende dans la collégiale Saint-Vincent de Montréal, et appelé par l'évêque, Chastenet de Puységur, à la direction du séminaire de Carcassonne. En 1786, ce prélat le nomma promoteur général du diocèse, et lui confia, sur la demande de Belmas, la cure de Carlipa. Louis Belmas fut appelé par le vœu général de la succursale de Carlipa à la cure de Castelnaudary, capitale du Lauraguais. Dans ce nouveau poste, il s'attira l'attachement et la confiance de ceux dont il partageait les opinions et protégea les démissionnaires contre l'exaltation des esprits. On l'appelait à Castelnaudary le Bon curé. Sa réputation de bonté s'étendit avec celle de ses talents supérieurs pour l'administration et pour la chaire, à ce point même qu'on le jugea bientôt digne de l'épiscopat. Il avait quarante-trois ans. Guillaume Besaucèle1, évêque constitutionnel de l'Aude, que ses infirmités et son grand âge mettaient dans l'impuissance de remplir ses fonctions, témoigna le désir d'avoir un coadjuteur. Suivant le régime en vigueur, il eut recours aux suffrages populaires qui tous se portèrent sur Belmas. Besancel mourut le 6 février 1801 et Belmas qui avait adhéré à la constitution civile du clergé devint évêque constitutionnel de l'Aude le 26 octobre 1800. Il fut sacré à Carcassonne durant la tenue d'un concile provincial où se trouvaient réunis onze évêques. Louis Belmas assista au concile dit national de Paris en 1801 : il y prit le titre d'évêque de Narbonne, ville qui, dans la démarcation de l'assemblée constituante, devait être la résidence de l'évêque de l'Aude. Louis Belmas prononça à la fin du concile un discours au sujet des conférences qui avaient été indiquées avec le clergé insermenté. Après le concordat de 1802, Fouché le fit comprendre dans le nombre des douze évêques constitutionnels qui furent nommés à de nouveaux sièges. On sait que plusieurs de ces prélats refusèrent de signer une rétractation que le légat leur demandait : ils déclarèrent seulement qu'ils renonçaient à la constitution civile du clergé, condamnée par le Saint-Siège. Louis Belmas fut de ce nombre. Lorsqu'enfin, grâce aux soins combinés du pape Pie VII et du Premier Consul Napoléon Bonaparte, le schisme de France se trouva éteint, Louis Belmas fut nommé, le 11 avril 1802, au siège de Cambrai redevenu simple évêché, soumis à la métropole de Paris. Il prêta serment le 18 du même mois, et fit son entrée à Cambrai le 6 juin suivant. Cambrai ne ressemblait plus à ce qu'elle était autrefois. Alors qu'une foule d'édifices religieux l'embellissaient et qu'elle était habitée par un clergé nombreux, la ville n'avait plus de pontife et la cathédrale était en ruines. Ses premiers soins furent d'organiser son diocèse qu'il trouva dénué de tout, et complètement à refaire : l'œuvre était immense et presque impossible : point d'union et de discipline dans son clergé, pas un seul établissement sacerdotal, nulles ressources pécuniaires. Loin de décourager le prélat, les obstacles donnèrent à son zèle plus d'activité et de puissance, il en appela de son désespoir à la charité des fidèles, et, sans aucun subside du gouvernement, conduisit ses projets à bonne fin. Belmas fit de l'abbatiale Saint-Aubert (depuis appelée église Saint-Géry), conservée pour un usage profane, sa cathédrale : mais, peu de temps après, il conféra ce titre à l'église du Saint-Sépulcre, et établit lui-même sa demeure dans l'ancienne abbaye de ce nom. Mgr Belmas apporta tous ses soins et toute sa sollicitude à réorganiser le culte divin, à réunir, à diriger, à soutenir ses prêtres dispersés. Il fut bientôt en état de construire, quoiqu'à grands frais, une vaste maison dont il fit le séminaire diocésain ; et plus tard, par des additions et des dispositions nouvelles, disposa l'ancien collège des jésuites pour devenir à son tour le grand séminaire et laisser place dans le premier édifice à l'école secondaire ecclésiastique. Lorsque le Pape vint à Paris pour le couronnement de Napoléon (2 décembre 1802), Louis Belmas donna une nouvelle garantie de ses sentiments, en signant un écrit qui lui fut présenté de la part de Pie VII, portant adhésion pleine et entière aux jugements du Saint-Siège sur les affaires ecclésiastiques de France. En 1804, le tombeau qui renfermait le corps de Fénelon ayant été retrouvé, les magistrats de Cambrai résolurent de transférer ces restes dans la chapelle de l'hospice de Sainte-Agnès. Or, la cérémonie qui fut projetée ressemblait plus à une fête païenne qu'à une solennité catholique : l'évêque déclara que ni lui ni son clergé ne pouvaient accepter la place qu'on leur avait assignée dans ce cortège si peu assorti à la dignité archiépiscopale. Il adressa ses réclamations à l'Empereur qui, après avoir pris connaissance de l'affaire, ordonna d'ajourner indéfiniment la cérémonie. Ce fut assez pour attirer sur le prélat le ressentiment et les injures, on essaya même de l'attaquer. Le tombeau, retardé par des difficultés sans nombre, ne fut terminé qu'à la seconde Restauration, et l'inauguration du monument eut lieu le 7 janvier 1826, sous la présidence de Monseigneur Belmas qui prononça en cette occasion un discours remarquable. Lorsque Napoléon Ier, qui s'était acquis une gloire réelle par le rétablissement du culte, arrêta et fit déporter à Savone Pie VII, un concile fut convoqué à Paris en 1811, pour apporter quelque remède aux maux que souffrait la religion en France. Mgr Belmas assista à ce concile, mais il ne parait pas avoir pris une part active aux conférences. Belmas fut maintenu évêque de Cambrai à la première Restauration et pendant les Cent-Jours. Louis Belmas appelait Napoléon son bienfaiteur, lequel l'avait fait baron de l'Empire. Il n'est pas étonnant alors de le trouver parmi les premiers à la cérémonie du Champ-de-Mai (1er juin 1815). Louis XVIII, revenu une seconde fois dans son royaume, fit son entrée à Cambrai le 26 juin 1815, mais le souvenir de la cérémonie du Champ-de-Mai, auquel le prélat avait assisté tout récemment, empêcha le monarque de descendre au palais épiscopal, il s'établit dans la maison d'un particulier. M. l'évêque de Cambrai s'était rendu à Paris pour solliciter la mise en liberté de quelques ecclésiastiques de son diocèse gravement compromis dans les Cent-Jours : grâce, sans doute, à son dévouement connu, il obtint ce qu'il désirait, et sa joie fut d'autant plus vive, qu'il arrachait les victimes à d'atroces vengeances. De pressantes instances lui furent faites pour l'engager à se démettre de son siège : pressions auxquelles il resta sourd. Lord Wellington avait pour Louis Belmas une estime toute particulière. On prétend que le vainqueur de Waterloo soutint très efficacement le courage et les droits du prélat dans lesdites circonstances. Un témoignage pareil n'était point suspect, Louis XVIII l'accueillit avec bonheur. Deux ans après, par lettres apostoliques, en date du 6 des calendes d'août 1817, le siège de Cambrai fut de nouveau, sur la demande de Louis XVIII, érigé en archevêché. Ces lettres faisaient suite au concordat du 11 juin 1817 qui résolut d'ériger Cambrai en archevêché, mais la cour de Rome ne voulait point récompenser Louis Belmas, en lui conférant un titre plus élevé. On lui proposa de se démettre : il n'y consentit qu'à condition qu'on lui donnerait un titre d'archevêché in partibus. Le pape ne souscrivit point à cette idée, et l'érection de l'archevêché de Cambrai fut ajournée (bulle d'octobre 1822). En 1827, Charles X, visitant les provinces du nord, arriva à Cambrai le 4 septembre, et voulut être logé au palais épiscopal. Le digne évêque ne négligea rien pour donner à son hôte des témoignages de respect et de dévouement. Mgr Belmas adhéra sans hésitation la révolution de 1830. Le roi Louis-Philippe Ier, se trouvant à Cambrai en 1832, accorda à notre évêque les insignes de Commandeur de la Légion d'honneur. Le Roi des Français lui proposa même l'archidiocèse d'Avignon. Le fidèle évêque de Cambrai refusa cette promotion. Jusqu'au dernier jour, Mgr Belmas traita les affaires de son diocèse avec la présence d'esprit, la facilité de travail qui le caractérisaient. Peu avant sa mort, il entendit encore la lecture de sa correspondance et il indiqua les réponses à faire. Il s'occupa des prochaines ordinations et fit expédier une lettre pour que sa mort n'apportât aucun retard à ceux qui dévoient être ordonnés. Une maladie longue, rendue plus grave par la vieillesse, l'emporta le 21 juillet 1841, après un épiscopat qui dura près de quarante ans. C'est M. le docteur Lenglet qui procéda à l'autopsie du corps de Mgr Belmas. Le cœur était dans un état tout à fait anormal. Des tuméfactions énormes, des désordres affreux se faisaient remarquer autour de ce viscère. Cependant, chose étrange, jamais le malade ne s'était plaint d'aucune douleur dans la région du cœur. Son oraison funèbre fut prononcée à Cambrai par M. Wicart, alors curé-doyen de Sainte-Catherine de Lille, depuis évêque de Fréjus. Cambrai offrit toutes les images d'un grand deuil, par suite du décès de Mgr Belmas. Trois fois par jour, à six heures du matin, à midi et à six heures du soir, toutes les cloches de la cathédrale et de l'église Saint-Géry sonnaient à grandes volées. D'heure en heure, un coup de canon fut tiré. Au palais épiscopal, se pressaient les fidèles qui venaient contempler une dernière fois les traits du prélat et prier pour lui. À la mort de Louis Belmas, le siège épiscopal de Cambrai est à nouveau érigé en archevêché par bulle du pape Grégoire XVI du 1er octobre 1841 au profit de Pierre Giraud. Source: wikipedia      ●   Bienvenue sur notre boutique   ●  Intégrez-nous dans votre liste de "vendeurs favoris" afin d'être régulièrement tenu informés de nos nouvelles mises en vente N´hésitez pas à consulter nos autres ventes afin de mutualiser les frais d´envoi   NOS FRAIS D'ENVOI PRINCIPES DE BASE:  nos prix incluent le port et le conditionnement  -  lots vendus   merci aux acheteurs qui choisissent un envoi "classique" sans suivi de ne pas porter réclamation si l'objet ne leur parvenait pas, ne pouvant être tenu responsable d'une perte par les services postaux  (Europe & other countries: letter with tracking number or registered letter) -  lots vendus de 20€ à 100€  :  envoi avec n° de suivi ou recommandé, au choix de l'acheteur  (Europe & other countries: letter with tracking number or registered letter) -  lots vendus > 100€  : envoi recommandé obligatoire (registered letter obligatory) L'acheteur aura donc le  choix  entre : 1 - lettre suivie: envoi avec un n° de suivi, mais sans assurance  2 - lettre verte "classique": envoi sans n° de suivi et sans assurance (juste pour la France) 3 - lettre recommandée: envoi avec suivi et avec assurance. 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Compiègne (Oise)
Lettre manuscrite de 1816 du Vice-Amiral Honoré GANTEAUME alors qu'il se trouve à Marseille. Il adresse un courrier dans lequel il fait part de sa prise de connaissance du passage du Comte d'Artois à Marseille. Il y est fait mention de: " son altesse Royale" " Quinze marins mentionnés dans la lettre de votre excellence" " Demande qu'il veut adresser à ce Prince" " Duc de Maillé" " Ministre de la Marine" " Je sais qu'ils ont tous fait plusieurs voyages en qualité d'officiers sur les bâtiments de commerce. Je juge qu'ils ont la pratique et l'expérience nécessaire pour commander ce bâtiment..." " Duc d'Angoulème" " Je prie votre excellence de bien vouloir agréer la nouvelle... " Document en très bon état sur un papier d'époque qui a été plié en plusieurs fois pour probablement être transmis. Lorsqu'on met le papier à la lumière, on distingue des motifs, notamment un blason représentant un chevalier et des lettres. Dimensions de la feuille: 32 X 20 cm Nombre de feuillets: 4 pages  Courrier manuscrit sur 2 feuillets. "Pour connaisseurs" - A déchiffrer Envoi par lettre recommandée avec AR assurance prévue R3  Qui est GANTEAUME ?? Nommé contre-amiral le 7 novembre 1798, il prend le commandement des forces navales se trouvant sur les côtes d’Égypte. Il  est au siège de Jaffa, de Saint-Jean d’Acre, aux combats de Gaza et du fort d’Aboukir. C’est lui qui ramène le général Bonaparte d’Égypte en France, sur la frégate la Muiron, en octobre 1799. Après Brumaire, Ganteaume est nommé Conseiller d’État, et il rejoint alors Brest, où il prend la tête de l’escadre de secours qui doit porter des renforts à l’armée d’Égypte. Il devrait appareiller en janvier 1801, mais ses hésitations le font rester bloqué deux mois dans Toulon. Lorsqu’il arrive près des côtes égyptiennes, il n’ose pas faire débarquer ses troupes, qu’il ramène à Toulon. Bonaparte lui garde cependant sa confiance, et sa carrière n’est pas stoppée. Il commande l’escadre de Méditerranée de 1800 à 1802, puis est nommé préfet maritime de Toulon en 1802, et enfin vice-amiral le 30 mai 1804. Nommé commandant de l’armée navale de l’Océan à Brest, avec le titre d’amiral, il ne parviendra pas à forcer le blocus anglais. Par deux fois, en 1806 et 1807, il assure l’intérim du ministère de la marine puis prend le commandement de la flotte de la Méditerranée de 1808 à 1810. En janvier 1808, il part de Toulon pour débloquer et ravitailler Corfou, bloqué par une escadre anglaise; après y avoir réussi, il est de retour le 10 avril, et est nommé inspecteur-général des côtes de l’Océan, le 18 avril. il quitte son commandement de l’armée navale le 8 juin 1810. Napoléon le fait comte d’Empire, le 11 juillet 1810 puis Chambellan de l’Empereur. Le 1er août 1811, il est nommé colonel commandant le bataillon des marins de la Garde.   Après avoir approuvé la déchéance de l’Empereur et s’être maintenu à l’écart lors des Cent-Jours, Ganteaume est fait Pair de France, le 17 août 1815, puis commandeur de l’Ordre de Saint-Louis le 3 mai 1816. Il votera pour la mort du maréchal Ney lors du procès de ce dernier. Antoine Ganteaume meurt à Aubagne, le 28 juillet 1818 Le 24-nov.-19 à 10:22:47 Paris, le vendeur a ajouté les informations suivantes: Sur la dernière photo vous avez un document de comparaison de la signature provenant des archives du Var
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Ganges (Hérault)
Bouton des Equipages de la Flotte  "Modele 1872"  23 mm. État : "Occasion" POIDS: 4,5 Grammes - DIAMETRE: 23 mm - METAL: Bronze. fabricant: CORDIER FRERES PARIS Service de livraison: Lettre Suivie HISTORIQUE: HISTOIRE DE LA MARINE Armand Jean du Plessis de Richelieu crée la Marine royale en octobre 1626, sous le règne de Louis XIII. Sous la Révolution française, la marine devient nationale et l’ordonnance de l’Assemblée constituante du 24 octobre 1790 crée un pavillon français unique, associant le blanc historique de la France au bleu et rouge de la ville de Paris. Sur les bâtiments ce pavillon remplace les nombreux pavillons bleu et blanc de la marine marchande et le pavillon blanc des vaisseaux de guerre. Sous l’Empire (1804 -1815) la marine devient impériale. "Honneur-Patrie" constitue alors la devise du drapeau national et de la Légion d’honneur créée le 29 mai 1802 par le premier consul Napoléon Bonaparte pour récompenser les mérites, les talents et les vertus de militaires ou de civils. La seconde devise "Valeur-Discipline" apparaît aussi sur les drapeaux français à l’apogée du premier Empire en 1812. Sous la Monarchie de juillet (1830-1848) la devise "Le Roi, l’Honneur et la Patrie" s’inscrit au fronteau des vaisseaux. Placée à l’arrière près du quartier du commandement et tournée vers le milieu du navire, elle guide l’équipage dans ses missions. En 1848, les emblèmes royaux sont abolis et le mot "Roi" disparaît des fronteaux de dunette. Au moment de la seconde République (1848-1851), le drapeau français reprend la devise "Valeur-Discipline". Cette devise apparaît au revers de la médaille militaire, sous l’égide de Louis-Napoléon Bonaparte. Instituée par décret du 22 janvier 1852, la médaille récompense les meilleurs soldats et sous-officiers ayant accompli des services exceptionnels et ayant servi au moins 8 ans. La troisième République (1870-1940) instaure une solide tradition républicaine. Le 14 juillet 1880, la France célèbre officiellement sa première fête nationale. En présence du Président de la République Jules Grévy, le ministre de la guerre distribue aux différents régiments et corps de troupes de nouveaux drapeaux et étendards. La marine conserve le pavillon national bleu blanc rouge, symbole de l’appartenance républicaine. À cette époque, la devise "Honneur-Patrie" est inscrite sur des plaques scellées réglementairement aux parois les plus nobles des bâtiments. "Honneur" et "Patrie" trouvent leur place à l’avant du bateau. "Valeur" et "Discipline" viendront les compléter vers les années 1890 pour composer la devise qui unit aujourd'hui la Marine nationale. Sur les bâtiments actuels la devise apparaît le plus souvent près de la passerelle, siège du commandement.
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