Observations peinture pierre

Peinture sur pierre sous verre thème Madone de Botticelli. État : Occasion en bon état pour décoration intérieure Possibilité d'enlèvement sur Paris 11

Peinture 100% étanche, anti infiltration DIP ETANCH. Adhère directement sans sous-couche sur plâtre, carrelage, pierre, bois, mélaminé, métal. La peinture étanche multi-supports, est un revêtement élastique polyvalent à base de résines acryliques. La solution idéale pour décorer tout votre intérieur en le protégeant de l'humidité et des infiltrations. - Haute lessivabilité et durabilité. - Résistance extrême aux projections répétées d'eau, de produits d'hygiène (shampooing, gels douche, savons?) et d'entretien. - Film flexible très résistant aux écarts de température: eaux chaudes/eaux froides (10°C/40°C). CARACTERISTIQUES: Aspect: satin. Nettoyage: eau sitôt après usage. Rendement: +/- 10m² par litre Séchage entre 2 couches: 6h.  La résistance optimale de la peinture 100% étanche est de 2 semaines.. DOMAINE D'UTILISATION: Les supports doivent être sains, propres et secs, avant toute application (se reporter à l'emballage du produit pour une bonne préparation). Emplacement: A l'intérieur, pièces humides. Destination: murs, boiseries, faïences et douches. Outils: Rouleau à poils mi-long 9 à 12 mm et/ou pinceau. ***IMPORTANT*** Les teintes sur le nuancier sont approximatives, et dépendent de la qualité ainsi que la luminosité de votre écran.

Numéro de maison / plaque de maison "Blanc" Moulage de pierre, 15 x 15 cm,  poids: 1kg, épaisseur environ 2.5 cm. Moulage de pierre, 2 pierres reconstituées moulées et colorées dans la masse. La gravure est taillée à la main. Pour 1 ou 2 chiffres maximum. Aucune peinture, ni vernis, ni résine, incorporation d'une pierre reconstituée noire dans une pierre reconstituée blanche.

Grande peinture huile sur toile école Lyonnaise signée Clovis Terraire Clovis TERRAIRE excelle à rendre la grisaille brumeuse des bords de la Saône et du Rhône.... Il se fait aussi une spécialité des vaches au pâturage.... Il obtient le prix Rosa-Bohnheur au Salon en 1927 (Pierre Cabanne- Gérald Schurr in Dictionnaire des Petits Maîtres de la Peinture (1820-1920)) signée en bas à gauche joli encadrement doré petit accident au centre époque 1901 (daté). dimensions h66 x 78 x 10 Décoration unique/collector à vendre à Broye (71190)

Description Peinture murale de très haute qualité, mate, 100% acrylique. Bonne résistance aux intempéries, perméable à la vapeur deau et excellente résistance au frottement. Excellente couverture et écoulement optimal pour une belle finition lisse. Conçu pour une finition durable des murs extérieurs et des murs intérieurs dans les zones humides. Pour lintérieur et lextérieur. Informations techniques Utilisation: intérieur et extérieur Type de peinture: à base deau (acrylique) Classe de résistance au frottement: 1 Durabilité en extérieur: 6 à 8 ans Application le: Béton, pierre et maçonnerie Couleur: blanc Rendement par litre: 9m²/L

Aérosol bombe de peinture acrylique tous supports PINTY PLUS EVOLUTION P151 Or 400mL Peinture acrylique Pintyplus Evolution pour un séchage ultra-rapide. Pour les applications extérieures et intérieures. Garantit une excellente protection, une finition lisse et uniforme. Adhère à toutes les surfaces: bois, métal, pierre, papier, carton, plastique rigide, etc. Séchage total en 15 minutes Rendement un bombe 400mL = 2m2 En savoir plus Collaboration commerciale.

Série de 3 nains en pierre reconstituée hauteur : 21 cm, 27 cm, 29 cm peinture effacée Sending for 5,25 € by Mondial relay for Germany, Austria, Belgium, Spain, Italy, Luxembourg, Netherlands, Portugal and United Kingdom. Envoi pour 5,25 € par Mondial relay pour Allemagne, Autriche, Belgique, Espagne, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Portugal et Royaume-Uni. Economy shipping worldwide by Happy Post insured and tracked: contact me for quote Suivez-moi sur instagram : opaline_et_barbotine

LIVRAISON GRATUITE PARIS ET IDF..! Très belle console des 70'S de la fameuse collection iconique Villa d'Este du célèbre designer Français Pierre Vandel.. Structure en fer couleur verte mouchetée, surmontée par 2 plateaux en vette clair, dont celui du haut épais de 18mm, à biseautage en cascade aux bords. Extremités des pieds et feuilles en laiton. En très bel état, sans coups, aucun éclats sur les verres ni sur la peinture, juste quelques rayures d'usage classiques sur le plateau du haut mais rien de bien visible. Idéal dans une entrée, dans le salon pour y poser l'écran plat, statues, lampes ou dans une chambre.. Résolument design et intemporelle, elle brillera dans votre intérieur par son élégance, son originalité et son exclusivité.. Idéal avec du Roche Bobois Ligne Roset Knoll Roméo Starck Artifort Vitra Cassina Cinna Maison Charles Ramsay Bagues Jansen.. Dimensions Longueur 110 Largeur 35 Hauteur 74 Hauteur plateau bas 34 Epaisseur verre haut 18mm Epaisseur verre bas 7mm Console cotée à 750€ en moyenne Livraison gratuite sur Paris et IDF..! Meubles à vendre à Créteil (94000)

Ancienne statue en pierre: Alerte par Petrilly largeur 54cm profondeur 20cm hauteur 54cm petits accrocs sur les oreilles et museau (petite touche de peinture) Bon état général

Caractéristiques: ABAT-JOUR EN CIMENT: Lustre décoratif créatif, avec un matériau en ciment comme abat-jour, lumière douce et romantique, montrant un tempérament élégant. PLAFOND EN FER FORGÉ: Le lustre du salon du couloir utilise un plafond plus épais, simple et sûr. Le panneau de plafond en peinture épaissie est résistant à la corrosion, à la rouille et durable. INTERFACE E27: L'éclairage de la chambre dispose d'une interface E27 pratique. Peut être connecté à des ampoules ordinaires et à des ampoules LED, facile à utiliser et à démonter. AVANTAGE: Le lustre industriel rétro est décoré de ciment coloré pour l'abat-jour, élégant et beau, la hauteur du plafond peut être ajustée, convient à toutes sortes de décorations pour la maison. Caractéristiques: Nom: Lustre en ciment pour bars et restaurants Source lumineuse: vis E27 (pas de source lumineuse) Tension: 110 V ~ 220 V (inclus) Matériau: fer + ciment coloré Zone d'irradiation: 10㎡-15㎡ Hauteur réglable: 1 (m) / 39 pouces Couleur: noir, bleu, rouge, blanc Processus: raffinage, peinture, matte Source de lumière applicable: ampoule à incandescence, ampoule LED Dimensions: diamètre 13 cm/5 pouces, hauteur 14 cm/5,5 pouces Lieux applicables: couloirs, salons, chambres, salles d'étude, couloirs, salles à manger, entrées, etc.

Gravures des fondations des piles 5. 6, 7 et 8 du pont d’Orléans Gravures de 87 x 60 cm Sur les plans de Jean Hupeau, le suivi est le fait de Robert Soyer   Les piles   5 et 6 sont faites en 1753, les 7 et 8 sont faites en 1754. Elles sont plus difficiles avec l’obligation de pieux plus longs. La rue Royale qui relie le pont au centre sera construite après la construction du pont et reste un axe central menant à la place de Jeanne d’arc A prendre à Tours ou expédition par mondial relay sous protection optimisée pour 8 €, règlement par chèque ou virement bancaire E.U. shipping pack link tracking number and insurance included, only bank transfer (paypal possible, add 4 €). Non european country, contact me Le vieux pont dit des tourelles avaient 19 arches et était gênant pour la naviguation et devenu vétuste. On décide de construire un pont de pierre. En 1748 on charge Soyer de sa conduite sous les ordres de Pitrou. Mais ce Pitrou meurt en 1750 alors que le projet est fait mais non réalisé. Ce projet sera remis en cause par Jean Hupeau son successeur qui consulte Soyer. Robert Soyer, 1717 - 1802, est  ingénieur des ponts et chaussées   français, qui s’est principalement illustré dans la construction du  pont George V  à  Orléans, où il finit sa carrière comme  Inspecteur général des turcies et levées. Ingénieur à la  généralité de Tours, il est informé en 1748, par une lettre de  Daniel-Charles Trudaine, qu'il est chargé de la conduite des travaux du  pont d'Orléans, sous les ordres de  Robert Pitrou. Après le décès de celui-ci, il est placé sous les ordres de  Jean Hupeau  jusqu'à la fin des travaux. Son manuscrit est donc un précieux document qui témoigne des méthodes de construction des ponts au  XVIII e  siècle, du degré d'évolution de l'art de l'ingénieur et de son rôle sur le chantier. L'ingénieur analyse et calcule le coût des différentes opérations, il établit les barèmes de temps et s'engage sur la voie française de l'organisation du travail de l'époque industrielle. Il veille au respect des plans et des devis qui sont les pièces contractuelles. Et si des difficultés se présentent, comme l'affaissement d'une pile, il doit imaginer une solution. C'est Robert Soyer qui suggère l'allègement des reins, établit les plans et les propose à son chef  Jean Hupeau. Il est cependant clair que l'art de l'ingénieur n'a guère de base scientifique. Mais Robert Soyer prend des notes et illustre l'idée que le progrès technique est à base d'observations, d'expériences anarchiques et d'imagination. Et ce sont des observations consignées avec soin, combinées à la volonté de mathématisation du savoir de l'ingénieur, qui permettront, à la fin du  XVIII e  siècle, le passage   à l'univers de la machine et de la précision. Ayant achevé sa mission au  Pont d'Orléans  et obtenu la réception de l'ouvrage, Robert Soyer, qui appréciait la vie orléanaise, obtint le privilège de demeurer dans cette région. Il y termina sa carrière comme  Inspecteur général des turcies et levées si importantes le long de la Loire.   Jean Hupeau, 1710- 1763, est un  architecte  et  ingénieur des ponts et chaussées qui s’est illustré dans différents projets de différents ponts, dont le  pont Royal  d’ Orléans. Il a été successivement nommé en  1731  ingénieur de la  généralité de Riom  et plus tard de la  généralité de Soissons. En 1742, il est nommé inspecteur des ponts et chaussées, et en  1754, premier ingénieur en remplacement de  Germain Boffrand. L'art de Hupeau est reconnu. Il sera reçu académicien à l' Académie royale d'architecture  en 1757. Il est mort en 1763   à la suite d'une longue maladie. En  1750, il rédigea le projet mis à exécution pour le pont d'Orléans. Le pont sera construit à 49 toises au-dessous de la tête d'aval de l'ancien pont; ceci permet de tracer, en parfait alignement, la Rue Royale qui débouche place du Martroi et, au sud, l'avenue Dauphine. Le plan de circulation est harmonieux. Il remet en cause le projet de Robert Pitrou et propose une disposition permettant des économies : ce sera 9 arches au lieu de 11, et une longueur de 165 toises au lieu de 189. Il adapte parfaitement l'ouvrage à sa destination et à son site. Il a le sens de l’esthétisme.   Il retient le rapport cinq entre la portée des voûtes et la largeur des piles en majorant légèrement (5,5), il admet la forme des piles en nefs de bateau qui réduit le frottement des eaux et adopte le dessin en anses de panier à trois centres, pour les voûtes, parce que cela fait chanter les points d'appui. Pour les rampes, il choisit la valeur minimale. Le résultat est d'une grande noblesse et d'une simplicité qui l'engage à supprimer, en cours de travaux, l'obélisque prévu au devis. Les pavillons, les façades de la Rue Royale, également de sa main, sont de la même facture. Mais, alors que la réception du  Pont Royal  à  Orléans  devait être faite un an après leur entière perfection, les difficultés rencontrées conduisent à un report de deux années de cette échéance. Ainsi le constructeur Jean Hupeau qui décédait en  1763  à  Paris  laissait à son successeur le soin de réceptionner son œuvre majeure. Robert Soyer, 1717 - 1802, est  ingénieur des ponts et chaussées   français, qui s’est principalement illustré dans la construction du  pont George V  à  Orléans, où il finit sa carrière comme  Inspecteur général des turcies et levées. Ingénieur à la  généralité de Tours, il est informé en 1748, par une lettre de  Daniel-Charles Trudaine, qu'il est chargé de la conduite des travaux du  pont d'Orléans, sous les ordres de  Robert Pitrou. Après le décès de celui-ci, il est placé sous les ordres de  Jean Hupeau  jusqu'à la fin des travaux. Son manuscrit est donc un précieux document qui témoigne des méthodes de construction des ponts au  XVIII e  siècle, du degré d'évolution de l'art de l'ingénieur et de son rôle sur le chantier. L'ingénieur analyse et calcule le coût des différentes opérations, il établit les barèmes de temps et s'engage sur la voie française de l'organisation du travail de l'époque industrielle. Il veille au respect des plans et des devis qui sont les pièces contractuelles. Et si des difficultés se présentent, comme l'affaissement d'une pile, il doit imaginer une solution. C'est Robert Soyer qui suggère l'allègement des reins, établit les plans et les propose à son chef  Jean Hupeau. Il est cependant clair que l'art de l'ingénieur n'a guère de base scientifique. Mais Robert Soyer prend des notes et illustre l'idée que le progrès technique est à base d'observations, d'expériences anarchiques et d'imagination. Et ce sont des observations consignées avec soin, combinées à la volonté de mathématisation du savoir de l'ingénieur, qui permettront, à la fin du  XVIII e  siècle, le passage   à l'univers de la machine et de la précision. Ayant achevé sa mission au  Pont d'Orléans  et obtenu la réception de l'ouvrage, Robert Soyer, qui appréciait la vie orléanaise, obtint le privilège de demeurer dans cette région. Il y termina sa carrière comme  Inspecteur général des turcies et levées si importantes le long de la Loire. Après de multiples problèmes le pont est terminé en juillet 1760 et sera inauguré par la marquise de Pompadour. Les humoristes du moment affirment l’incontestable solidité de l’ouvrage malgré les ennuis durand la construction puisque le pont a supporté…le plus lourd fardeau de France !

Gravures des fondations des piles 5. 6, 7 et 8 du pont d’Orléans Gravures de 87 x 60 cm Sur les plans de Jean Hupeau, le suivi est le fait de Robert Soyer   Les piles   5 et 6 sont faites en 1753, les 7 et 8 sont faites en 1754. Elles sont plus difficiles avec l’obligation de pieux plus longs. La rue Royale qui relie le pont au centre sera construite après la construction du pont et reste un axe central menant à la place de Jeanne d’arc A prendre à Tours ou expédition par mondial relay sous protection optimisée pour 8 €, règlement par chèque ou virement bancaire E.U. shipping pack link tracking number and insurance included, only bank transfer (paypal possible, add 4 €). Non european country, contact me Le vieux pont dit des tourelles avaient 19 arches et était gênant pour la naviguation et devenu vétuste. On décide de construire un pont de pierre. En 1748 on charge Soyer de sa conduite sous les ordres de Pitrou. Mais ce Pitrou meurt en 1750 alors que le projet est fait mais non réalisé. Ce projet sera remis en cause par Jean Hupeau son successeur qui consulte Soyer. Robert Soyer, 1717 - 1802, est  ingénieur des ponts et chaussées   français, qui s’est principalement illustré dans la construction du  pont George V  à  Orléans, où il finit sa carrière comme  Inspecteur général des turcies et levées. Ingénieur à la  généralité de Tours, il est informé en 1748, par une lettre de  Daniel-Charles Trudaine, qu'il est chargé de la conduite des travaux du  pont d'Orléans, sous les ordres de  Robert Pitrou. Après le décès de celui-ci, il est placé sous les ordres de  Jean Hupeau  jusqu'à la fin des travaux. Son manuscrit est donc un précieux document qui témoigne des méthodes de construction des ponts au  XVIII e  siècle, du degré d'évolution de l'art de l'ingénieur et de son rôle sur le chantier. L'ingénieur analyse et calcule le coût des différentes opérations, il établit les barèmes de temps et s'engage sur la voie française de l'organisation du travail de l'époque industrielle. Il veille au respect des plans et des devis qui sont les pièces contractuelles. Et si des difficultés se présentent, comme l'affaissement d'une pile, il doit imaginer une solution. C'est Robert Soyer qui suggère l'allègement des reins, établit les plans et les propose à son chef  Jean Hupeau. Il est cependant clair que l'art de l'ingénieur n'a guère de base scientifique. Mais Robert Soyer prend des notes et illustre l'idée que le progrès technique est à base d'observations, d'expériences anarchiques et d'imagination. Et ce sont des observations consignées avec soin, combinées à la volonté de mathématisation du savoir de l'ingénieur, qui permettront, à la fin du  XVIII e  siècle, le passage   à l'univers de la machine et de la précision. Ayant achevé sa mission au  Pont d'Orléans  et obtenu la réception de l'ouvrage, Robert Soyer, qui appréciait la vie orléanaise, obtint le privilège de demeurer dans cette région. Il y termina sa carrière comme  Inspecteur général des turcies et levées si importantes le long de la Loire. Jean Hupeau, 1710- 1763, est un  architecte  et  ingénieur des ponts et chaussées qui s’est illustré dans différents projets de différents ponts, dont le  pont Royal  d’ Orléans. Il a été successivement nommé en  1731  ingénieur de la  généralité de Riom  et plus tard de la  généralité de Soissons. En 1742, il est nommé inspecteur des ponts et chaussées, et en  1754, premier ingénieur en remplacement de  Germain Boffrand. L'art de Hupeau est reconnu. Il sera reçu académicien à l' Académie royale d'architecture  en 1757. Il est mort en 1763   à la suite d'une longue maladie. En  1750, il rédigea le projet mis à exécution pour le pont d'Orléans. Le pont sera construit à 49 toises au-dessous de la tête d'aval de l'ancien pont; ceci permet de tracer, en parfait alignement, la Rue Royale qui débouche place du Martroi et, au sud, l'avenue Dauphine. Le plan de circulation est harmonieux. Il remet en cause le projet de Robert Pitrou et propose une disposition permettant des économies : ce sera 9 arches au lieu de 11, et une longueur de 165 toises au lieu de 189. Il adapte parfaitement l'ouvrage à sa destination et à son site. Il a le sens de l’esthétisme.   Il retient le rapport cinq entre la portée des voûtes et la largeur des piles en majorant légèrement (5,5), il admet la forme des piles en nefs de bateau qui réduit le frottement des eaux et adopte le dessin en anses de panier à trois centres, pour les voûtes, parce que cela fait chanter les points d'appui. Pour les rampes, il choisit la valeur minimale. Le résultat est d'une grande noblesse et d'une simplicité qui l'engage à supprimer, en cours de travaux, l'obélisque prévu au devis. Les pavillons, les façades de la Rue Royale, également de sa main, sont de la même facture. Mais, alors que la réception du  Pont Royal  à  Orléans  devait être faite un an après leur entière perfection, les difficultés rencontrées conduisent à un report de deux années de cette échéance. Ainsi le constructeur Jean Hupeau qui décédait en  1763  à  Paris  laissait à son successeur le soin de réceptionner son œuvre majeure. Robert Soyer, 1717 - 1802, est  ingénieur des ponts et chaussées   français, qui s’est principalement illustré dans la construction du  pont George V  à  Orléans, où il finit sa carrière comme  Inspecteur général des turcies et levées. Ingénieur à la  généralité de Tours, il est informé en 1748, par une lettre de  Daniel-Charles Trudaine, qu'il est chargé de la conduite des travaux du  pont d'Orléans, sous les ordres de  Robert Pitrou. Après le décès de celui-ci, il est placé sous les ordres de  Jean Hupeau  jusqu'à la fin des travaux. Son manuscrit est donc un précieux document qui témoigne des méthodes de construction des ponts au  XVIII e  siècle, du degré d'évolution de l'art de l'ingénieur et de son rôle sur le chantier. L'ingénieur analyse et calcule le coût des différentes opérations, il établit les barèmes de temps et s'engage sur la voie française de l'organisation du travail de l'époque industrielle. Il veille au respect des plans et des devis qui sont les pièces contractuelles. Et si des difficultés se présentent, comme l'affaissement d'une pile, il doit imaginer une solution. C'est Robert Soyer qui suggère l'allègement des reins, établit les plans et les propose à son chef  Jean Hupeau. Il est cependant clair que l'art de l'ingénieur n'a guère de base scientifique. Mais Robert Soyer prend des notes et illustre l'idée que le progrès technique est à base d'observations, d'expériences anarchiques et d'imagination. Et ce sont des observations consignées avec soin, combinées à la volonté de mathématisation du savoir de l'ingénieur, qui permettront, à la fin du  XVIII e  siècle, le passage   à l'univers de la machine et de la précision. Ayant achevé sa mission au  Pont d'Orléans  et obtenu la réception de l'ouvrage, Robert Soyer, qui appréciait la vie orléanaise, obtint le privilège de demeurer dans cette région. Il y termina sa carrière comme  Inspecteur général des turcies et levées si importantes le long de la Loire. Après de multiples problèmes le pont est terminé en juillet 1760 et sera inauguré par la marquise de Pompadour. Les humoristes du moment affirment l’incontestable solidité de l’ouvrage malgré les ennuis durand la construction puisque le pont a supporté…le plus lourd fardeau de France ! Expédition par mondial relay sous bonnes protections épaises et assurance. Règlement par chèque ou virement bancaire. paypal possible (+3 €) Shipping packlink mondial relay, insurance and tracking number included, bank transfer (paypal possible add 5 €) Non european country contact me

Gravures des fondations des piles 5. 6, 7 et 8 du pont d’Orléans Gravures de 87 x 60 cm Sur les plans de Jean Hupeau, le suivi est le fait de Robert Soyer   Les piles   5 et 6 sont faites en 1753, les 7 et 8 sont faites en 1754. Elles sont plus difficiles avec l’obligation de pieux plus longs. La rue Royale qui relie le pont au centre sera construite après la construction du pont et reste un axe central menant à la place de Jeanne d’arc A prendre à Tours ou expédition par mondial relay sous protection optimisée pour 8 €, règlement par chèque ou virement bancaire E.U. shipping pack link tracking number and insurance included, only bank transfer (paypal possible, add 4 €). Non european country, contact me Le vieux pont dit des tourelles avaient 19 arches et était gênant pour la naviguation et devenu vétuste. On décide de construire un pont de pierre. En 1748 on charge Soyer de sa conduite sous les ordres de Pitrou. Mais ce Pitrou meurt en 1750 alors que le projet est fait mais non réalisé. Ce projet sera remis en cause par Jean Hupeau son successeur qui consulte Soyer. Robert Soyer, 1717 - 1802, est  ingénieur des ponts et chaussées   français, qui s’est principalement illustré dans la construction du  pont George V  à  Orléans, où il finit sa carrière comme  Inspecteur général des turcies et levées. Ingénieur à la  généralité de Tours, il est informé en 1748, par une lettre de  Daniel-Charles Trudaine, qu'il est chargé de la conduite des travaux du  pont d'Orléans, sous les ordres de  Robert Pitrou. Après le décès de celui-ci, il est placé sous les ordres de  Jean Hupeau  jusqu'à la fin des travaux. Son manuscrit est donc un précieux document qui témoigne des méthodes de construction des ponts au  XVIII e  siècle, du degré d'évolution de l'art de l'ingénieur et de son rôle sur le chantier. L'ingénieur analyse et calcule le coût des différentes opérations, il établit les barèmes de temps et s'engage sur la voie française de l'organisation du travail de l'époque industrielle. Il veille au respect des plans et des devis qui sont les pièces contractuelles. Et si des difficultés se présentent, comme l'affaissement d'une pile, il doit imaginer une solution. C'est Robert Soyer qui suggère l'allègement des reins, établit les plans et les propose à son chef  Jean Hupeau. Il est cependant clair que l'art de l'ingénieur n'a guère de base scientifique. Mais Robert Soyer prend des notes et illustre l'idée que le progrès technique est à base d'observations, d'expériences anarchiques et d'imagination. Et ce sont des observations consignées avec soin, combinées à la volonté de mathématisation du savoir de l'ingénieur, qui permettront, à la fin du  XVIII e  siècle, le passage   à l'univers de la machine et de la précision. Ayant achevé sa mission au  Pont d'Orléans  et obtenu la réception de l'ouvrage, Robert Soyer, qui appréciait la vie orléanaise, obtint le privilège de demeurer dans cette région. Il y termina sa carrière comme  Inspecteur général des turcies et levées si importantes le long de la Loire. Jean Hupeau, 1710- 1763, est un  architecte  et  ingénieur des ponts et chaussées qui s’est illustré dans différents projets de différents ponts, dont le  pont Royal  d’ Orléans. Il a été successivement nommé en  1731  ingénieur de la  généralité de Riom  et plus tard de la  généralité de Soissons. En 1742, il est nommé inspecteur des ponts et chaussées, et en  1754, premier ingénieur en remplacement de  Germain Boffrand. L'art de Hupeau est reconnu. Il sera reçu académicien à l' Académie royale d'architecture  en 1757. Il est mort en 1763   à la suite d'une longue maladie. En  1750, il rédigea le projet mis à exécution pour le pont d'Orléans. Le pont sera construit à 49 toises au-dessous de la tête d'aval de l'ancien pont; ceci permet de tracer, en parfait alignement, la Rue Royale qui débouche place du Martroi et, au sud, l'avenue Dauphine. Le plan de circulation est harmonieux. Il remet en cause le projet de Robert Pitrou et propose une disposition permettant des économies : ce sera 9 arches au lieu de 11, et une longueur de 165 toises au lieu de 189. Il adapte parfaitement l'ouvrage à sa destination et à son site. Il a le sens de l’esthétisme.   Il retient le rapport cinq entre la portée des voûtes et la largeur des piles en majorant légèrement (5,5), il admet la forme des piles en nefs de bateau qui réduit le frottement des eaux et adopte le dessin en anses de panier à trois centres, pour les voûtes, parce que cela fait chanter les points d'appui. Pour les rampes, il choisit la valeur minimale. Le résultat est d'une grande noblesse et d'une simplicité qui l'engage à supprimer, en cours de travaux, l'obélisque prévu au devis. Les pavillons, les façades de la Rue Royale, également de sa main, sont de la même facture. Mais, alors que la réception du  Pont Royal  à  Orléans  devait être faite un an après leur entière perfection, les difficultés rencontrées conduisent à un report de deux années de cette échéance. Ainsi le constructeur Jean Hupeau qui décédait en  1763  à  Paris  laissait à son successeur le soin de réceptionner son œuvre majeure. Robert Soyer, 1717 - 1802, est  ingénieur des ponts et chaussées   français, qui s’est principalement illustré dans la construction du  pont George V  à  Orléans, où il finit sa carrière comme  Inspecteur général des turcies et levées. Ingénieur à la  généralité de Tours, il est informé en 1748, par une lettre de  Daniel-Charles Trudaine, qu'il est chargé de la conduite des travaux du  pont d'Orléans, sous les ordres de  Robert Pitrou. Après le décès de celui-ci, il est placé sous les ordres de  Jean Hupeau  jusqu'à la fin des travaux. Son manuscrit est donc un précieux document qui témoigne des méthodes de construction des ponts au  XVIII e  siècle, du degré d'évolution de l'art de l'ingénieur et de son rôle sur le chantier. L'ingénieur analyse et calcule le coût des différentes opérations, il établit les barèmes de temps et s'engage sur la voie française de l'organisation du travail de l'époque industrielle. Il veille au respect des plans et des devis qui sont les pièces contractuelles. Et si des difficultés se présentent, comme l'affaissement d'une pile, il doit imaginer une solution. C'est Robert Soyer qui suggère l'allègement des reins, établit les plans et les propose à son chef  Jean Hupeau. Il est cependant clair que l'art de l'ingénieur n'a guère de base scientifique. Mais Robert Soyer prend des notes et illustre l'idée que le progrès technique est à base d'observations, d'expériences anarchiques et d'imagination. Et ce sont des observations consignées avec soin, combinées à la volonté de mathématisation du savoir de l'ingénieur, qui permettront, à la fin du  XVIII e  siècle, le passage   à l'univers de la machine et de la précision. Ayant achevé sa mission au  Pont d'Orléans  et obtenu la réception de l'ouvrage, Robert Soyer, qui appréciait la vie orléanaise, obtint le privilège de demeurer dans cette région. Il y termina sa carrière comme  Inspecteur général des turcies et levées si importantes le long de la Loire. Après de multiples problèmes le pont est terminé en juillet 1760 et sera inauguré par la marquise de Pompadour. Les humoristes du moment affirment l’incontestable solidité de l’ouvrage malgré les ennuis durand la construction puisque le pont a supporté…le plus lourd fardeau de France ! Expédition par mondial relay sous bonnes protections épaises et assurance. Règlement par chèque ou virement bancaire. paypal possible (+3 €) Shipping packlink mondial relay, insurance and tracking number included, bank transfer (from euro zone paypal possible add 5 €) Non european country contact me

La Qualité au Service de la Satisfaction Client DAN-BAT est une société opérant dans le secteur du BTP dans le second œuvre, elle est spécialisée dans la pose de Carrelage, de Faïence, de Marbre, de Dalle, de Pierre, de Peinture, de Tapisserie, de Parquet et de Dalle Vinyle. A l’écoute de ses clients, dynamique et fort d’une expérience de plus de 15 ans DAN-BAT est à votre service. Nos engagements: -La qualité -Le respect des délais et des contreparties -La confiance -Le respect des facteurs internes et externes du chantier -Notre réactivité -Le respect des règles du métier (DTU) Notre savoir-faire, notre professionnalisme, notre écoute, notre expérience, notre sérieux seront vous combler. Nous proposons nos services pour particuliers, entreprises, sous-traitance et divers dans les domaines suivants: -Pose de tous types de carrelages, de faïences, de marbres, toutes tailles, tous formats sur murs et sols intérieurs et extérieurs -Pose collée ou pose scellée -Pose d'opus incertum -Pose de carrelage teak -Pose de pavés -Pose de plaquettes de parement -Pose de pierre naturelle, marbre, ardoise, granit -Pose de listels, frises, de mosaïques -Pose de galets -Pose de dalles -Pose de dallettes -Pose de plinthes droite, de plinthes à gorge -Pose de carrelage biseauté ("Type métro") -Pose de tablier de baignoire, trappe, de socle, de paillasse, de tapis de sol -Marche et contremarche -Chape talochée -Ragréage -Piscine -Natte de drainage, isolant phonique, natte de désolidarisation -Terre cuite -Travertin -Carreaux de ciment -Crédence -Application primaire d'accrochage, imperméabilisation -Les profilés, les baguettes, les nez de marches, les joints de fractionnement -Pose siphon ou caniveau -Douche à l'italienne -Pose de Parquet -Pose de Dalle Vinyle -Peinture Intérieure et Extérieure -Tapisserie Notre entreprise est agrée assurance décennale et responsabilité civile professionnelle. Devis détaillé gratuit et déplacement gratuit. Travail soigné et de qualité avec matériel professionnel et équipe compétente et expérimentée. Pour des surfaces de 1 M² à 5 000 M² et plus. Tout moyen de paiement accepté. Fourniture des matières premières selon votre demande (Carreaux, colle, joint, peinture, parquet etc.) Exemple de prix: Pose Carrelage Taille Inférieure à 45 X 45 + Jointoiement + Colle Grise + Joint Gris = 25, 00 € H.T / M² Pose Carrelage Taille Supérieure à 45 X 45 + Jointoiement + Double Encollage + Colle Grise + Joint Gris = 35, 00 € H.T / M² Dans l’attente d’un premier rendez-vous je reste à votre disposition pour toutes questions. Bien Cordialement, M. David Kiremit Chargé d'Affaires 06 49 65 16 20 danbatcarrelage@gmail.com http://www.danbat.fr/ LE +: GARANTIE DECENNALE, TVA 7%, QUALITE DE TRAVAIL, SERIEUX, DEVIS GRATUIT Mots Clés: carrelage, revêtement, pierre naturelle, sol, pose collée, pose scellée, plinthes, douche, ragréage, piscine, ciment, crédence, chape, revêtement de sol, escalier, primaire d’accrochage, devis, diagonale, droite, damier, calepinage, quinconce, chantier, travaux, colle mortier, mortier, balcon, baignoire, joint, UPEC, faïence, grès cérame, encollage, jointoiement, BTP, construction, artisan carreleur, peinture, tapisserie, parquet, dalle vinyle

Hachette de coffreur Marque REVEX Prix : 17 Euros   Dimensions: L 22,5 cm   H 12,5 cm   (tranchant)   Talon 2, 8 X 2 cm    manche L 35, 2 cm   3 X 2 cm Poids 990 g  Hachette polyvalente permettant de tailler les bois, d'enfoncer et de retirer des pointes pour réaliser un coffrage, Encoche sur le taillant pour arracher les pointes.  L’étiquette de la marque est encore lisible.  Lame en Acier,    Manche en bois Massif Frêne ??  Longueur manche 35 cm     Manche Droit de 3cm  X 2cm,  forme ovale,  Manche avec coin évitant à celui-ci de se désemmancher.   L’outil peut être utilisé de suite avec un petit aiguisage, avec une pierre à affuter.    Observations : Très bon état général.    Traces d usures, trace d oxydations du métal  du à l age et à la corrosion mais aucune trace  de rouille.    L’ancien propriétaire a placé de la colle à bois avant l’emmanchement, ce qui fortifie la tenue de l’outil sur le manche (c’est cela le « blanc » dépassant du manche sous et sur l’outil.    Autres photos disponibles sur simple demande.  Paiement de préférence en liquide, par chèque, sur le site, par Paypal  L acheteur peut venir chercher l objet à TOULON VAR, ou le recevoir par courrier mais les frais de port sont à la charge de l acheteur.  Prix par Mondial Relay 6, 50 € pour 2 Kg Prix par colissimo 10, 90 € pour 2 Kg Il peut varier en plus ou en moins suivant le poids lors de l emballage mais comprend tout. Rentabiliser le port en groupant vos achats.    Si achats multiples (albums, BD, ou autres), ne payer qu après m avoir contacté par message pour réévaluer le poids et donc le port  Merci.                                         Attendre réponse par Email avant d effectuer le paiement,  (Vérification du port) Contact par téléphone: 09 51 29 02 27