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CD Album CD Code EAN: 0028943967525 Genre musical: Musiques du monde Rubrique principale CD: CD Album Référence fabricant CD: 4396752 Titre: Chants populaires Religieux Russes
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La deesse apaisee. Norme et transgression dans l'hindouisme au Bengale Serge Bouez Auteur: Serge Bouez Editeur: Editions de l'Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (Editions de l'EHESS) Broché: 136 pages Format: Broche paperback Edition: 0 Publication: 01/01/1992 Collection: Cahiers de l'homme Dimensions: 24 x 16 x 0,12 Langue: Francais Publier en: Français Languages d'origine: Français Si l'hindouisme est connu pour etre un systeme normatif souple, accommodant en son sein des pratiques tres heterodoxes du point de vue de la norme brahmanique, il subsiste toujours une transgression non recuperee qui conduit a la marginalisation de ceux qui en sont les agents. La domination politique musulmane a accentue ce processus au Bengale, ou l'hindouisme a cesse de fonctionner comme un systeme de valeurs. Ici, la religion est plus un moyen de fuir le monde social que de le representer ou l'organiser, la hierarchie se trouvant du meme coup videe de tout fondement ideologique, et reduite a une forme de stratification sociale. Quant au religieux, libere de toute contrainte normative, il confond l'excellence spirituelle du renoncement le plus classique avec les conduites franchement transgressives des yogi-guerisseurs et des bardes vishnouites qui n'hesitent pas a " flirter " avec la mystique musulmane et les versions populaires du tantrisme. Dans le comportement religieux du tout un chacun, le vecu religieux de la devotion a la Deesse s'alimente d'une transgression discrete et permanente fondee sur l'ambiguite du langage de la parente. Si l'hindouisme est connu pour etre un systeme normatif souple, accommodant en son sein des pratiques tres heterodoxes du point de vue de la norme brahmanique, il subsiste toujours une transgression non recuperee qui conduit a la marginalisation de ceux qui en sont les agents. La domination politique musulmane a accentue ce processus au Bengale, ou l'hindouisme a cesse de fonctionner comme un systeme de valeurs. Ici, la religion est plus un moyen de fuir le monde social que de le representer ou l'organiser, la hierarchie se trouvant du meme coup videe de tout fondement ideologique, et reduite a une forme de stratification sociale. Quant au religieux, libere de toute contrainte normative, il confond l'excellence spirituelle du renoncement le plus classique avec les conduites franchement transgressives des yogi-guerisseurs et des bardes vishnouites qui n'hesitent pas a " flirter " avec la mystique musulmane et les versions populaires du tantrisme. Dans le comportement religieux du tout un chacun, le vecu religieux de la devotion a la Deesse s'alimente d'une transgression discrete et permanente fondee sur l'ambiguite du langage de la parente.   D'autre titre de Serge Bouez La d?esse apais?e. Norme et transgression dans l'hindouisme au Bengale Classement: Livres > Thèmes > Etudes supérieures > Université > Archéologie - Éthnologie - Préhistoire
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achat immédiat – cliquez pour acheter - immediate purchase - click t o buy - achat immédiat – cliquez pour acheter - immediate purchase - click to buy - achat immédiat – cliquez pour acheter -    la flandre illustrée - outils - arts populaires - traditions du passé vous souhaite la bienvenue - welcome in Flanders        bouteille de la passion de forme carré en verre soufflé avec trace de pontil au dessous travail de patience s'y trouvant en miniature les principaux instruments de la passion du christ réalisé en bois peint et cire à noté que tout les éléments sont emboités le bouchon mystérieusement fermé par une clavette ! rare  travail populaire trés ancien hauteur: 26 cm, 9 cm de coté un peu d'histoire... On retrouve des « croix de la Passion » en miniature enfermées dans des bouteilles de verre, à la manière des bateaux en bouteille fabriqués par les marins: bouteille de la Passion, ou bouteille-passion. Parfois les instruments de la Passion sont simplement suspendus par des fils à l’intérieur de la bouteille, accrochés à des protubérances en forme de bulles. L’origine de cette pratique, remontant au XVIIIe siècle, est sans doute à chercher à Liesse (Aisne) où une fontaine miraculeuse attirait de nombreux pèlerins. Chacun repartait avec une bouteille remplie de cette eau. On fabriqua alors des sortes d’ampoules de verre, dans lesquelles on accrochait de petites figurines en verre filé coloré, représentant deux types d’objets: d’une part, les instruments de la Passion, d’autre part des personnages et objets liés à la légende de Liesse. Ces fioles étaient ensuite remplies de l’eau miraculeuse. La pratique existait en Allemagne, dans les montagnes de l’Allgäu et de l’Erzgebirge, où l’on réalisait des scènes diverses et des croix de la passion, sous le terme Geduldsflasche (« Bouteille de patience »). Par la suite cette mode se répandit et on fabriqua ces bouteilles un peu partout, notamment en Bretagne où l’art de mettre les bateaux en bouteille existait déjà puis dans de nombreux pays jusqu’au Québec. (source wikipedia) BOUTEILLE-PASSION Voici un objet de dévotion curieux qui va susciter au moins une question: Comment faire pour rentrer tous ces objets par le goulot de la bouteille alors que cela semble logiquement impossible??? Allez, courage et patience, il ne vous reste plus qu’à lire cet article et le voile sera levé !   Une bouteille-Passion est une bouteille en verre transparent, dont le verre peut être parfois légèrement bleuté ou verdâtre et qui contient une représentation du Christ en croix dite Passion du Christ ou Calvaire.   D’abord un peu d’histoire. « L’année 1752 voit à Vienne la réalisation d’un hôtel religieux avec son Christ en croix, cierges, vases, fleurs et inscriptions liturgiques. C’est la première, à ma connaissance, d’une longue série des bouteilles dites « de la Passion » qui représentent, outre les épisodes de la vie et de la mort du Christ, (nativité, crucifixion, déposition de Croix…) des messes et des mariages. La première bouteille française - et bretonne - représente un calvaire: le Christ entouré des deux larrons, muni de tous les attributs de la Passion. Elle porte la signature « F’rs Bazin Fecit, A St Méloir, ce 7 aoust, année 1763 » (Frères Bazin, fait à Saint Méloir…).» (Extrait issu du site: http://www.gerardaubry-botelliste-bateauxenbouteille-marines-portraits.com)   La réalisation d’une bouteille-Passion est un long travail de patience et d’adresse. On les appelle bouteille-Passion, bouteille de la Passion, bouteille à Passion ou encore bouteille-calvaire, calvaire en bouteille et parfois, on les retrouve sous la dénomination partiellement inexacte d’ex-voto. Une bouteille-Passion ne peut être considérée comme ex-voto que lorsqu’elle prend place dans une église et uniquement dans ce cas.   Les objets exposés dans la bouteille sont tous en relation avec la Passion du Christ. Ainsi vous pourrez y voir: la croix de la Crucifixion, les clous qui
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Vannes (Morbihan)
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Lyon (Rhône)
Merci pour votre visite. Ci-dessous le descriptif de l'objet en vente. En bas de page, retrouvez tous les détails de nos conditions de vente et de livraison. Merci d'en prendre connaissance avant d'enchérir. N'hésitez pas à nous poser vos questions.  Thank you for your visit. Below is the description of the item for sale. At the bottom, find all the details of our conditions of sale and delivery. Thank you to become acquainted before bidding. Feel free to ask us questions.  ●  Louis BELMAS --  (Montréal Languedoc 1757 -- 1841)   ●   Homme d'église français des xviiie siècle et xixe siècle. P.A.S - Cambrai, 20 août 1828 1p. in-8 oblong. (13x20 cm env.) Document fractionné en 2 parties: en effet les partie haute et basse ont dû être préalablement découpées, puis assemblées (point de colle au centre - voir photo). Vignette / entête de l'Evêché de Cambrai 3 lignes autographes + signature Bel état de conservation Envoi soigné Informations complémentaires concernant le signataire de ce document: Louis Belmas naquit à Montréal en Languedoc. Son père, quoiqu'il fût commerçant, jouissait de l'estime et de la considération publiques. Louis, à peine âgé de quatre ans et demi, perdit cet excellent père et sa mère, la plus douce et la plus pieuse des mères, dans l'espace de six semaines. Ils laissaient huit enfants et une fortune très bornée. Belmas fut adopté par son parrain qui le reçut dans sa maison, et se chargea de l'élever. Il fut envoyé d'abord dans les écoles de sa petite ville natale, et commença bientôt ses études de latin au collège de Carcassonne. Là, depuis la sixième jusqu'à la rhétorique au collège de l'Esquille à Toulouse, ses succès furent brillants. On le nomma presque toujours le premier dans les concours publics. À la fin de 1772, il fut tonsuré par M. l'évêque de Carcassonne, qui lui donna, deux ans après, une bourse dans le séminaire de Toulouse. Les prêtres de l'Oratoire dirigeaient cette maison avec leur habileté connue. Il fit chez eux sa philosophie et sa théologie, toujours avec distinction, et reçut le grade de bachelier. Il retourna ensuite à Carcassonne, et fut ordonné prêtre le 22 décembre 1781. Nommé vicaire de Saint-Michel de Carcassonne, il remplit ces fonctions avec tant de succès qu'en 1782 il fut gratifié d'une prébende dans la collégiale Saint-Vincent de Montréal, et appelé par l'évêque, Chastenet de Puységur, à la direction du séminaire de Carcassonne. En 1786, ce prélat le nomma promoteur général du diocèse, et lui confia, sur la demande de Belmas, la cure de Carlipa. Louis Belmas fut appelé par le vœu général de la succursale de Carlipa à la cure de Castelnaudary, capitale du Lauraguais. Dans ce nouveau poste, il s'attira l'attachement et la confiance de ceux dont il partageait les opinions et protégea les démissionnaires contre l'exaltation des esprits. On l'appelait à Castelnaudary le Bon curé. Sa réputation de bonté s'étendit avec celle de ses talents supérieurs pour l'administration et pour la chaire, à ce point même qu'on le jugea bientôt digne de l'épiscopat. Il avait quarante-trois ans. Guillaume Besaucèle1, évêque constitutionnel de l'Aude, que ses infirmités et son grand âge mettaient dans l'impuissance de remplir ses fonctions, témoigna le désir d'avoir un coadjuteur. Suivant le régime en vigueur, il eut recours aux suffrages populaires qui tous se portèrent sur Belmas. Besancel mourut le 6 février 1801 et Belmas qui avait adhéré à la constitution civile du clergé devint évêque constitutionnel de l'Aude le 26 octobre 1800. Il fut sacré à Carcassonne durant la tenue d'un concile provincial où se trouvaient réunis onze évêques. Louis Belmas assista au concile dit national de Paris en 1801 : il y prit le titre d'évêque de Narbonne, ville qui, dans la démarcation de l'assemblée constituante, devait être la résidence de l'évêque de l'Aude. Louis Belmas prononça à la fin du concile un discours au sujet des conférences qui avaient été indiquées avec le clergé insermenté. Après le concordat de 1802, Fouché le fit comprendre dans le nombre des douze évêques constitutionnels qui furent nommés à de nouveaux sièges. On sait que plusieurs de ces prélats refusèrent de signer une rétractation que le légat leur demandait : ils déclarèrent seulement qu'ils renonçaient à la constitution civile du clergé, condamnée par le Saint-Siège. Louis Belmas fut de ce nombre. Lorsqu'enfin, grâce aux soins combinés du pape Pie VII et du Premier Consul Napoléon Bonaparte, le schisme de France se trouva éteint, Louis Belmas fut nommé, le 11 avril 1802, au siège de Cambrai redevenu simple évêché, soumis à la métropole de Paris. Il prêta serment le 18 du même mois, et fit son entrée à Cambrai le 6 juin suivant. Cambrai ne ressemblait plus à ce qu'elle était autrefois. Alors qu'une foule d'édifices religieux l'embellissaient et qu'elle était habitée par un clergé nombreux, la ville n'avait plus de pontife et la cathédrale était en ruines. Ses premiers soins furent d'organiser son diocèse qu'il trouva dénué de tout, et complètement à refaire : l'œuvre était immense et presque impossible : point d'union et de discipline dans son clergé, pas un seul établissement sacerdotal, nulles ressources pécuniaires. Loin de décourager le prélat, les obstacles donnèrent à son zèle plus d'activité et de puissance, il en appela de son désespoir à la charité des fidèles, et, sans aucun subside du gouvernement, conduisit ses projets à bonne fin. Belmas fit de l'abbatiale Saint-Aubert (depuis appelée église Saint-Géry), conservée pour un usage profane, sa cathédrale : mais, peu de temps après, il conféra ce titre à l'église du Saint-Sépulcre, et établit lui-même sa demeure dans l'ancienne abbaye de ce nom. Mgr Belmas apporta tous ses soins et toute sa sollicitude à réorganiser le culte divin, à réunir, à diriger, à soutenir ses prêtres dispersés. Il fut bientôt en état de construire, quoiqu'à grands frais, une vaste maison dont il fit le séminaire diocésain ; et plus tard, par des additions et des dispositions nouvelles, disposa l'ancien collège des jésuites pour devenir à son tour le grand séminaire et laisser place dans le premier édifice à l'école secondaire ecclésiastique. Lorsque le Pape vint à Paris pour le couronnement de Napoléon (2 décembre 1802), Louis Belmas donna une nouvelle garantie de ses sentiments, en signant un écrit qui lui fut présenté de la part de Pie VII, portant adhésion pleine et entière aux jugements du Saint-Siège sur les affaires ecclésiastiques de France. En 1804, le tombeau qui renfermait le corps de Fénelon ayant été retrouvé, les magistrats de Cambrai résolurent de transférer ces restes dans la chapelle de l'hospice de Sainte-Agnès. Or, la cérémonie qui fut projetée ressemblait plus à une fête païenne qu'à une solennité catholique : l'évêque déclara que ni lui ni son clergé ne pouvaient accepter la place qu'on leur avait assignée dans ce cortège si peu assorti à la dignité archiépiscopale. Il adressa ses réclamations à l'Empereur qui, après avoir pris connaissance de l'affaire, ordonna d'ajourner indéfiniment la cérémonie. Ce fut assez pour attirer sur le prélat le ressentiment et les injures, on essaya même de l'attaquer. Le tombeau, retardé par des difficultés sans nombre, ne fut terminé qu'à la seconde Restauration, et l'inauguration du monument eut lieu le 7 janvier 1826, sous la présidence de Monseigneur Belmas qui prononça en cette occasion un discours remarquable. Lorsque Napoléon Ier, qui s'était acquis une gloire réelle par le rétablissement du culte, arrêta et fit déporter à Savone Pie VII, un concile fut convoqué à Paris en 1811, pour apporter quelque remède aux maux que souffrait la religion en France. Mgr Belmas assista à ce concile, mais il ne parait pas avoir pris une part active aux conférences. Belmas fut maintenu évêque de Cambrai à la première Restauration et pendant les Cent-Jours. Louis Belmas appelait Napoléon son bienfaiteur, lequel l'avait fait baron de l'Empire. Il n'est pas étonnant alors de le trouver parmi les premiers à la cérémonie du Champ-de-Mai (1er juin 1815). Louis XVIII, revenu une seconde fois dans son royaume, fit son entrée à Cambrai le 26 juin 1815, mais le souvenir de la cérémonie du Champ-de-Mai, auquel le prélat avait assisté tout récemment, empêcha le monarque de descendre au palais épiscopal, il s'établit dans la maison d'un particulier. M. l'évêque de Cambrai s'était rendu à Paris pour solliciter la mise en liberté de quelques ecclésiastiques de son diocèse gravement compromis dans les Cent-Jours : grâce, sans doute, à son dévouement connu, il obtint ce qu'il désirait, et sa joie fut d'autant plus vive, qu'il arrachait les victimes à d'atroces vengeances. De pressantes instances lui furent faites pour l'engager à se démettre de son siège : pressions auxquelles il resta sourd. Lord Wellington avait pour Louis Belmas une estime toute particulière. On prétend que le vainqueur de Waterloo soutint très efficacement le courage et les droits du prélat dans lesdites circonstances. Un témoignage pareil n'était point suspect, Louis XVIII l'accueillit avec bonheur. Deux ans après, par lettres apostoliques, en date du 6 des calendes d'août 1817, le siège de Cambrai fut de nouveau, sur la demande de Louis XVIII, érigé en archevêché. Ces lettres faisaient suite au concordat du 11 juin 1817 qui résolut d'ériger Cambrai en archevêché, mais la cour de Rome ne voulait point récompenser Louis Belmas, en lui conférant un titre plus élevé. On lui proposa de se démettre : il n'y consentit qu'à condition qu'on lui donnerait un titre d'archevêché in partibus. Le pape ne souscrivit point à cette idée, et l'érection de l'archevêché de Cambrai fut ajournée (bulle d'octobre 1822). En 1827, Charles X, visitant les provinces du nord, arriva à Cambrai le 4 septembre, et voulut être logé au palais épiscopal. Le digne évêque ne négligea rien pour donner à son hôte des témoignages de respect et de dévouement. Mgr Belmas adhéra sans hésitation la révolution de 1830. Le roi Louis-Philippe Ier, se trouvant à Cambrai en 1832, accorda à notre évêque les insignes de Commandeur de la Légion d'honneur. Le Roi des Français lui proposa même l'archidiocèse d'Avignon. Le fidèle évêque de Cambrai refusa cette promotion. Jusqu'au dernier jour, Mgr Belmas traita les affaires de son diocèse avec la présence d'esprit, la facilité de travail qui le caractérisaient. Peu avant sa mort, il entendit encore la lecture de sa correspondance et il indiqua les réponses à faire. Il s'occupa des prochaines ordinations et fit expédier une lettre pour que sa mort n'apportât aucun retard à ceux qui dévoient être ordonnés. Une maladie longue, rendue plus grave par la vieillesse, l'emporta le 21 juillet 1841, après un épiscopat qui dura près de quarante ans. C'est M. le docteur Lenglet qui procéda à l'autopsie du corps de Mgr Belmas. Le cœur était dans un état tout à fait anormal. Des tuméfactions énormes, des désordres affreux se faisaient remarquer autour de ce viscère. Cependant, chose étrange, jamais le malade ne s'était plaint d'aucune douleur dans la région du cœur. Son oraison funèbre fut prononcée à Cambrai par M. Wicart, alors curé-doyen de Sainte-Catherine de Lille, depuis évêque de Fréjus. Cambrai offrit toutes les images d'un grand deuil, par suite du décès de Mgr Belmas. Trois fois par jour, à six heures du matin, à midi et à six heures du soir, toutes les cloches de la cathédrale et de l'église Saint-Géry sonnaient à grandes volées. D'heure en heure, un coup de canon fut tiré. Au palais épiscopal, se pressaient les fidèles qui venaient contempler une dernière fois les traits du prélat et prier pour lui. À la mort de Louis Belmas, le siège épiscopal de Cambrai est à nouveau érigé en archevêché par bulle du pape Grégoire XVI du 1er octobre 1841 au profit de Pierre Giraud. Source: wikipedia      ●   Bienvenue sur notre boutique   ●  Intégrez-nous dans votre liste de "vendeurs favoris" afin d'être régulièrement tenu informés de nos nouvelles mises en vente N´hésitez pas à consulter nos autres ventes afin de mutualiser les frais d´envoi   NOS FRAIS D'ENVOI PRINCIPES DE BASE:  nos prix incluent le port et le conditionnement  -  lots vendus   merci aux acheteurs qui choisissent un envoi "classique" sans suivi de ne pas porter réclamation si l'objet ne leur parvenait pas, ne pouvant être tenu responsable d'une perte par les services postaux  (Europe & other countries: letter with tracking number or registered letter) -  lots vendus de 20€ à 100€  :  envoi avec n° de suivi ou recommandé, au choix de l'acheteur  (Europe & other countries: letter with tracking number or registered letter) -  lots vendus > 100€  : envoi recommandé obligatoire (registered letter obligatory) L'acheteur aura donc le  choix  entre : 1 - lettre suivie: envoi avec un n° de suivi, mais sans assurance  2 - lettre verte "classique": envoi sans n° de suivi et sans assurance (juste pour la France) 3 - lettre recommandée: envoi avec suivi et avec assurance. 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