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Primaire collège juillet août


Liste des meilleures ventes primaire collège juillet août

France (Toutes les villes)
        ANNEE SCOLAIRE                                            1905 -1906                                        ECOLE PRIMAIRE AIGUILLON 1ER VOLUME DEVOIRS JOURNALIERS de RACHEL LABOURGUIGNE Demi - reliure pièces de titre deux couleurs, fers à froids entre-nerfs, de 9 cahiers d'écolière selon moi dernières années du primaire (CEP)  COMPLETE (OCTOBRE A OCTOBRE) qui se décomposent comme suit:  MARDI 3 OCTOBRE 1905 - (SAMEDI) 28 OCTOBRE 1905   LUNDI 30 OCTOBRE - VENDREDI 1ER DECEMBRE  SAMEDI 2 DECEMBRE - (VENDREDI) 12 JANVIER 1906  SAMEDI 13 JANVIER - (SAMEDI) 17 FEVRIER   LUNDI 19 FEVRIER - MARDI 3 AVRIL   SAMEDI 7 AVRIL - (VENDREDI) 25 MAI (SAMEDI) 26 MAI - (SAMEDI) 30 JUIN + 4 ET 8 JUILLET 11 JUILLET - 24 JUILLET 25 JUILLET - 8 OCTOBRE AVEC UNE INTERRUPTION DU 21 AOUT AU 20 SEPTEMBRE Chaque journée commence par un Résumé de Morale ou de Politesse suivi par le Calcul la Théorie, Orthographe, Devoir sur la Dictée, Composition française, Cartographie etc. Les cahiers contiennent dans les marges les corrections à l'encre rouge de l'institutrice qui signe un commentaire en décembre (voir la dernière image) Deux pages volantes sont jointes au dernier cahier Les dernières pages du dernier cahier ont été proprement coupées pour finir le cycle... Le papier des plats est usé sur les tranches, les coins tassés, des rousseurs éparses dans les pages mais l'ensemble est tout à fait correct avec sa reliure de qualité Beau document scolaire d'une autre époque....  a49 318
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France
Merci pour votre visite. Ci-dessous le descriptif de l'objet en vente. En bas de page, retrouvez tous les détails de nos conditions de vente et de livraison. Merci d'en prendre connaissance avant d'enchérir. N'hésitez pas à nous poser vos questions. Thank you for your visit. Below is the description of the item for sale. At the bottom, find all the details of our conditions of sale and delivery. Thank you to become acquainted before bidding. Feel free to ask us questions. Louis-Marie de BELLEYME (Paris 1787 - Paris1862)  Juriste et homme politique français; il fut notamment Préfet de police de Charles X. Davantage d´informations ci-dessous L.A.S - Paris, 10 décembre 1836 1p. in-8 (13x20cm environ) Sur papier entête du Tribunal de 1è Instance du Département de la Seine Ecrite en tant que Président du Tribunal. Adressée à M. Buji, Président du Tribunal civil au Puy (Haute Loire) - Cachet postal Au sujet d'une procédure juridique - Voir photo Bon état de conservation; une petite déchirure suite à l´ouverture de la lettre, sans atteinte au texte. Voir photo. Envoi soigné Informations complémentaires concernant le signataire de ce document: Jeunesse Louis Marie Maurice de Belleyme voit le jour à Paris le 16 janvier 1787. Issu d'une famille du Périgord, il est le fils de Pierre de Belleyme, un officier du génie, chef de la division topographique aux archives et collaborateur de Cassini. Élève au collège des Quatre-Nations, puis de l'académie de Législation, il fut reçu avocat à Paris le 17 juillet 1807. Il s'avère être un improvisateur habile et d'un talent oratoire certain. Plein de tact et de maîtrise, il excelle dans son art. Il débute dans la magistrature sous la Restauration, comme substitut du procureur du roi à Corbeil le 28 novembre 1814. Débuts sous la Restauration Après avoir fait ses preuves, il devient successivement conseiller auditeur à la Cour royale de Paris, en 1815, procureur du roi àPontoise, en 1816, à Versailles, en 1819, juge d'instruction et vice-président du tribunal de la Seine, en 1824, ainsi que procureur du roi au même tribunal, en 1826. Louis-Marie de Belleyme est décoré de la Légion d'honneur, le 1er août 1821. Il est candidat aux élections du 17 novembre 1827, dans l'arrondissement de Périgueux, il est battu. En novembre 1827, il fait preuve d'indépendance et de fermeté en prenant des sanctions à l'encontre des gendarmes qui avaient fait preuve de violences excessives lors de la fusillade de la rue Saint-Denis. Cette prise de position attire l'attention du nouveau cabinet Martignac. Ce dernier le nomme, le 17 janvier 1828, préfet de Police. Dès sa prise de fonctions, il abolit l'espionnage politique et donne un uniforme aux agents de la police secrète. Il aménage et réglemente les services de la voirie, des étalages, de la police des spectacles, des voitures de place et des approvisionnements. Il organise le corps des sergents de ville et fait établir les omnibus. Il travaille à l'extinction de la mendicité en créant notamment des maisons de refuge. Il est élu député et entre à la Chambre le 4 juillet 1829, par le collège du département de la Dordogne. Malgré les regrets du roi Charles X, il donne sa démission de son poste de préfet de Police. Il est nommé président du tribunal civil de la Seine le 13 août 1829, ce qu'il reste pendant 28 ans, jusqu'à sa première retraite à 70 ans en 1857. À la Chambre, il siégea au centre droit, et ne signa pas l'adresse des 221. Après ladissolution de la Chambre, il n'est pas réélu. Ralliement à monarchie de Juillet Après les Trois Glorieuses, on le retrouve chef de bataillon dans la 7e légion de la Garde nationale de Paris. Il se présente aux élections du 5 juillet 1831, mais échoue5. Mais le 28 septembre suivant, il est élu dans la Seine en remplacement de Casimir Perier. Il échoua de nouveau en 18346 et 18377, mais il est élu le même jour en Dordogne8, il sera réélu jusqu'en 1848, sans interruption Fin de carrière À s
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La Chapelle Caro (Morbihan)
Gravure ancienne représentant Romain Desèze Dimensions: 9,9 x 7,8 cm Dimensions support: 10,4 x 10 cm Raymond, comte de Sèze, ou plus communément Romain Desèze, est un magistrat et homme politique français né à Bordeaux le 26 septembre 1748 et mort à Paris le 2 mai 1828.Il est choisi pour être le conseil de Marie-Antoinette dans l'Affaire du collier de la reine, et fait acquitter Pierre-Victor de Besenval, accusé de haute trahison (1789). Il est désigné par le roi Louis XVI, au refus de Target, pour être adjoint à ses défenseurs Tronchet et Malesherbes. contact@antikpapers.com Sommaire     1 Biographie         1.1 Sa défense du roi Louis XVI devant la Convention en 1792         1.2 Témoignage du roi Louis XVI         1.3 Autres fonctions         1.4 Publications     2 Mariage et descendance de Raymond de Sèze     3 Notes et références     4 Sources     5 Voir aussi         5.1 Articles connexes         5.2 Liens externes Biographie D'une famille ancienne, il plaide d'abord dans sa ville natale, puis il est appelé à Paris par le ministre Vergennes, il défend à son début la cause des filles d'Helvétius. Il est choisi pour être le conseil de Marie-Antoinette dans l'Affaire du collier de la reine, et fait acquitter Pierre-Victor de Besenval, accusé de haute trahison (1789). Il est désigné par le roi Louis XVI, au refus de Target, pour être adjoint à ses défenseurs Tronchet et Malesherbes. Il plaide avec courage la défense du roi devant la Convention, le 26 décembre 1792. Il est par suite arrêté comme suspect dans sa maison de campagne de Brévannes, près de Corbeil, et détenu à la prison de la Force jusqu'au 31 janvier 1794, puis transféré dans une maison d'où il sort après le 9 thermidor an II (27 juillet 1794). En 1815, il est nommé président de la Cour de cassation et le 17 août 1815 pair de France. Il est élu à l'Académie française le 22 mai 1816 en remplacement de Jean-François Ducis (33e fauteuil), et fait comte le 31 août 1817 par le roi Louis XVIII. Son fils Étienne-Romain (1780-1862) lui succède à la Chambre des pairs2. Raymond de Sèze est franc-maçon, il appartient à la loge les Neuf Sœurs3, qui fut également celle de Voltaire. Il est le frère de Paul-Victor de Seze4 qui perpétue la branche dite « bourgeoise ». Celle-ci porte toujours les armoiries d'avant 1817 décrites ci-dessous. Son neveu, Aurélien, fût célèbre pour l'amitié amoureuse qui le lia dans sa jeunesse à Georges Sand. Il est enterré au cimetière du Père Lachaise (division 53). Tombe de Raymond de Seze (cimetière du Père Lachaise, division 53)     Armes de Raymond de Sèze     Avant 1817: D’azur, à trois tours d'argent, rangées en fasce, accompagnées en chef de deux étoiles d’or et en pointe d’un croissant de même (Armorial de Riestap)5     Après 1817: De gueules, au château de Temple d’argent, accompagné en chef de deux étoiles d’or et en pointe de seize fleurs-de-lis d’argent, 7, 6 et 3 (Armorial de Riestap)5 Sa défense du roi Louis XVI devant la Convention en 1792 Sur la demande de Tronchet et de Malesherbes, le roi accepte un nouveau conseil en la personne de Raymond de Sèze. Ce dernier est averti le 16 décembre 1792 et il se met au travail le 21. Dans la journée il lit les pièces du dossier et la nuit il rédige une plaidoirie. Le 25 décembre il présente son projet au roi et le 26 il plaide devant la Convention. Sa plaidoirie repose sur les points suivants:     incompétence de la Convention et illégalité de la procédure     justifications des grandes décisions du roi depuis la tenue des États généraux autour de l'idée que Louis XVI n'a jamais voulu le malheur de son peuple et qu'il n'a jamais voulu que le sang coule Enfin il s'exclame: « Citoyens, je vous parlerai ici avec la franchise d'un homme libre: je cherche parmi vous des juges et je n'y vois que des accusateurs. Vous voulez prononcer sur le sort de Louis; et vous avez déjà émis votre vœu ! Vous voulez prononcer sur le sort de Louis, et vos opinions parcourent l'Europe ! Louis sera donc le seul français pour lequel il n'existera aucune loi ni aucune forme ? Il n'aura ni les droits des citoyens, ni les prérogatives de roi. Il ne jouira ni de son ancienne condition, ni de la nouvelle. Quelle étrange et inconcevable destinée3 ! » Témoignage du roi Louis XVI « Je prie MM. de Malesherbes, Tronchet et de Seze4 de recevoir ici tous mes remerciements et l'expression de ma sensibilité pour tous les soins et les peines qu'ils se sont donnés pour moi3. » Autres fonctions Nommé par le roi Louis XVIII3:     Grand trésorier de l'ordre du Saint-Esprit     Président du collège électoral de la Gironde Nommé par le roi Charles X3:     Président du collège électoral de la Seine     Ministre d'Etat Publications     Réflexions sur l’établissement de la Caisse de Poissy, Paris: chez Prault, 1790, in-4°, 19 p.     Convention Nationale. Défense de Louis, prononcée à la Barre de la Convention Nationale, le Mercredi 26 Décembre 1792, l'an premier de la République, par le Citoyen Deseze, l'un de ses défenseurs officieux; Imprimé par ordre de la Convention Nationale, Paris: Imprimerie Nationale, 1792. In-8°,, 49, p. Mariage et descendance de Raymond de Sèze En l'église Saint-Nicolas de Graves, Raymond Desèze épouse le 12 mai 1780 Marguerite Brethous veuve Dumas. Celle-ci a 30 ans, elle est la fille d'Étienne Brethous et de Marie Ducercelier, elle a deux filles, Marie et Jenny. Les enfants du couple sont3:     Étienne-Romain de Sèze (1780-1862), premier président de Chambre et Pair de France, il épouse le 12 août 1822 Armande Bernard de Montebise âgée de 33 ans;     Adolphe de Sèze, maître des requêtes au Conseil d'État; il épouse Henriette Alexandrine Clara Morel de Foucaucourt, fille du baron Édouard Morel de Foucaucourt, colonel à l'État major;     Honorine de Sèze, épouse de Hubert Rohault de Fleury, d'abord lieutenant-colonel du Génie puis par la suite directeur de l'École polytechnique, général et pair de France. Notes et références     ↑ Le Grand Dictionnaire universel du XIXe siècle de Pierre Larousse précise: « Bien qu'il ait toujours porté ce prénom de Romain et qu'il l'ait lui-même transmis à son fils aîné, son acte de baptême ne lui donne que celui de Raymond. Son père, Jean Desèze, originaire de la petite ville de Saint-Émilion, ne prenait aucune qualification nobiliaire. Pourtant sa famille était ancienne et appartenait à la noblesse de robe. »     ↑ Raoul de Warren, Les Pairs de France au XIXe siècle, les Cahiers nobles, 1959: voir sous le numéro 426.     ↑ a, b, c, d, e et f André Sevin, de Seze: Défenseur du Roi (1748-1828), François-Xavier Guibert, coll. « Histoire », 31 décembre 1992, 413 p. (ISBN 978-2868392466), p. 55, 94, 215, 320, 329, 376, 385-386, 413.     ↑ a et b André Sevin, de Seze: Défenseur du Roi (1748-1828) - p.1, ndbp 1: « Nous écrivons ce nom sans accent parce que le défenseur de Louis XVI l'écrivait ainsi. Il attachait même une telle importance à cette graphie que nous le voyons, en 1827, demander au procureur général de « "s'occuper... au corps municipal des moyens de réparer le vice de l'étiquette de son nom dans la rue de Sèze, et du retranchement à faire de l'accent qu'on a mis mal à propos sur le premier e qui en dénature absolument la prononciation » (R. de S.). M. le comte de Sèze, héritier direct du nom, maintient néammoins l'accent parce que celui-ci figure sur les lettres d'anoblissement données par Louis XVIII à son illustre aïeul »     ↑ a et b http://www.euraldic.com/blas_se2.html: armorial de Rietstap Sources     « Desèze, Romain », dans Pierre Larousse, Grand dictionnaire universel du XIXe siècle, 15 vol., 1863-1890.     Marie-Nicolas Bouillet et Alexis Chassang (dir.), « De Sèze, Raym. » dans Dictionnaire universel d’histoire et de géographie, 1878 (Wikisource)     André Sevin, de Seze - Défenseur du Roi (1748-1828)     Jean de Viguerie, Louis XVI, le roi bienfaisant, éditions du Rocher, mars 2003, pages 392 à 396     « Raymond de Sèze », dans Robert et Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, 1889 Voir aussi Sur les autres projets Wikimedia:     Raymond de Sèze, sur Wikimedia Commons Articles connexes     Familles subsistantes de la noblesse française     Tour du Temple Liens externes     Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata: Fichier d'autorité international virtuel • International Standard Name Identifier • Bibliothèque nationale de France (données) • Système universitaire de documentation • Bibliothèque du Congrès • Gemeinsame Normdatei • WorldCat     Page biographique de Raymond de Sèze (Académie française)   Voir ce modèle. Raymond de Sèze   Voir ce modèle. Fauteuil 33 de l’Académie française   v · m ◀ Composition de l’Académie française au jour de son élection (22 mai 1816) ▶   v · m ◀ Composition de l’Académie française au jour de sa mort (2 mai 1828) ▶     Portail de la Révolution française Portail de la Révolution française Portail de la France au XIXe siècle Portail de la France au XIXe siècle Portail du droit français Portail du droit français Portail de l'Académie française Portail de l'Académie française Portail de la politique française Portail de la politique française Catégories:     Naissance à Bordeaux Membre de l'Académie françaisePair de France sous la RestaurationNaissance en septembre 1748Décès en mai 1828Décès à ParisPersonnalité de la Révolution françaiseAvocat français du XVIIIe sièclePremier président de la Cour de cassation françaisePersonnalité enterrée au cimetière du Père-Lachaise (division 53)Comte français du XIXe siècleFamille de SèzeOfficier de l'ordre du Saint-EspritCommandeur de la Légion d'honneurMinistre français d'ÉtatPersonnalité de la franc-maçonnerie française
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Lyon (Rhône)
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Vignette / entête de l'Evêché de Cambrai 3 lignes autographes + signature Bel état de conservation Envoi soigné Informations complémentaires concernant le signataire de ce document: Louis Belmas naquit à Montréal en Languedoc. Son père, quoiqu'il fût commerçant, jouissait de l'estime et de la considération publiques. Louis, à peine âgé de quatre ans et demi, perdit cet excellent père et sa mère, la plus douce et la plus pieuse des mères, dans l'espace de six semaines. Ils laissaient huit enfants et une fortune très bornée. Belmas fut adopté par son parrain qui le reçut dans sa maison, et se chargea de l'élever. Il fut envoyé d'abord dans les écoles de sa petite ville natale, et commença bientôt ses études de latin au collège de Carcassonne. Là, depuis la sixième jusqu'à la rhétorique au collège de l'Esquille à Toulouse, ses succès furent brillants. On le nomma presque toujours le premier dans les concours publics. À la fin de 1772, il fut tonsuré par M. l'évêque de Carcassonne, qui lui donna, deux ans après, une bourse dans le séminaire de Toulouse. Les prêtres de l'Oratoire dirigeaient cette maison avec leur habileté connue. Il fit chez eux sa philosophie et sa théologie, toujours avec distinction, et reçut le grade de bachelier. Il retourna ensuite à Carcassonne, et fut ordonné prêtre le 22 décembre 1781. Nommé vicaire de Saint-Michel de Carcassonne, il remplit ces fonctions avec tant de succès qu'en 1782 il fut gratifié d'une prébende dans la collégiale Saint-Vincent de Montréal, et appelé par l'évêque, Chastenet de Puységur, à la direction du séminaire de Carcassonne. En 1786, ce prélat le nomma promoteur général du diocèse, et lui confia, sur la demande de Belmas, la cure de Carlipa. Louis Belmas fut appelé par le vœu général de la succursale de Carlipa à la cure de Castelnaudary, capitale du Lauraguais. Dans ce nouveau poste, il s'attira l'attachement et la confiance de ceux dont il partageait les opinions et protégea les démissionnaires contre l'exaltation des esprits. On l'appelait à Castelnaudary le Bon curé. Sa réputation de bonté s'étendit avec celle de ses talents supérieurs pour l'administration et pour la chaire, à ce point même qu'on le jugea bientôt digne de l'épiscopat. Il avait quarante-trois ans. Guillaume Besaucèle1, évêque constitutionnel de l'Aude, que ses infirmités et son grand âge mettaient dans l'impuissance de remplir ses fonctions, témoigna le désir d'avoir un coadjuteur. Suivant le régime en vigueur, il eut recours aux suffrages populaires qui tous se portèrent sur Belmas. Besancel mourut le 6 février 1801 et Belmas qui avait adhéré à la constitution civile du clergé devint évêque constitutionnel de l'Aude le 26 octobre 1800. Il fut sacré à Carcassonne durant la tenue d'un concile provincial où se trouvaient réunis onze évêques. Louis Belmas assista au concile dit national de Paris en 1801 : il y prit le titre d'évêque de Narbonne, ville qui, dans la démarcation de l'assemblée constituante, devait être la résidence de l'évêque de l'Aude. Louis Belmas prononça à la fin du concile un discours au sujet des conférences qui avaient été indiquées avec le clergé insermenté. Après le concordat de 1802, Fouché le fit comprendre dans le nombre des douze évêques constitutionnels qui furent nommés à de nouveaux sièges. On sait que plusieurs de ces prélats refusèrent de signer une rétractation que le légat leur demandait : ils déclarèrent seulement qu'ils renonçaient à la constitution civile du clergé, condamnée par le Saint-Siège. Louis Belmas fut de ce nombre. Lorsqu'enfin, grâce aux soins combinés du pape Pie VII et du Premier Consul Napoléon Bonaparte, le schisme de France se trouva éteint, Louis Belmas fut nommé, le 11 avril 1802, au siège de Cambrai redevenu simple évêché, soumis à la métropole de Paris. Il prêta serment le 18 du même mois, et fit son entrée à Cambrai le 6 juin suivant. Cambrai ne ressemblait plus à ce qu'elle était autrefois. Alors qu'une foule d'édifices religieux l'embellissaient et qu'elle était habitée par un clergé nombreux, la ville n'avait plus de pontife et la cathédrale était en ruines. Ses premiers soins furent d'organiser son diocèse qu'il trouva dénué de tout, et complètement à refaire : l'œuvre était immense et presque impossible : point d'union et de discipline dans son clergé, pas un seul établissement sacerdotal, nulles ressources pécuniaires. Loin de décourager le prélat, les obstacles donnèrent à son zèle plus d'activité et de puissance, il en appela de son désespoir à la charité des fidèles, et, sans aucun subside du gouvernement, conduisit ses projets à bonne fin. Belmas fit de l'abbatiale Saint-Aubert (depuis appelée église Saint-Géry), conservée pour un usage profane, sa cathédrale : mais, peu de temps après, il conféra ce titre à l'église du Saint-Sépulcre, et établit lui-même sa demeure dans l'ancienne abbaye de ce nom. Mgr Belmas apporta tous ses soins et toute sa sollicitude à réorganiser le culte divin, à réunir, à diriger, à soutenir ses prêtres dispersés. Il fut bientôt en état de construire, quoiqu'à grands frais, une vaste maison dont il fit le séminaire diocésain ; et plus tard, par des additions et des dispositions nouvelles, disposa l'ancien collège des jésuites pour devenir à son tour le grand séminaire et laisser place dans le premier édifice à l'école secondaire ecclésiastique. Lorsque le Pape vint à Paris pour le couronnement de Napoléon (2 décembre 1802), Louis Belmas donna une nouvelle garantie de ses sentiments, en signant un écrit qui lui fut présenté de la part de Pie VII, portant adhésion pleine et entière aux jugements du Saint-Siège sur les affaires ecclésiastiques de France. En 1804, le tombeau qui renfermait le corps de Fénelon ayant été retrouvé, les magistrats de Cambrai résolurent de transférer ces restes dans la chapelle de l'hospice de Sainte-Agnès. Or, la cérémonie qui fut projetée ressemblait plus à une fête païenne qu'à une solennité catholique : l'évêque déclara que ni lui ni son clergé ne pouvaient accepter la place qu'on leur avait assignée dans ce cortège si peu assorti à la dignité archiépiscopale. Il adressa ses réclamations à l'Empereur qui, après avoir pris connaissance de l'affaire, ordonna d'ajourner indéfiniment la cérémonie. Ce fut assez pour attirer sur le prélat le ressentiment et les injures, on essaya même de l'attaquer. Le tombeau, retardé par des difficultés sans nombre, ne fut terminé qu'à la seconde Restauration, et l'inauguration du monument eut lieu le 7 janvier 1826, sous la présidence de Monseigneur Belmas qui prononça en cette occasion un discours remarquable. Lorsque Napoléon Ier, qui s'était acquis une gloire réelle par le rétablissement du culte, arrêta et fit déporter à Savone Pie VII, un concile fut convoqué à Paris en 1811, pour apporter quelque remède aux maux que souffrait la religion en France. Mgr Belmas assista à ce concile, mais il ne parait pas avoir pris une part active aux conférences. Belmas fut maintenu évêque de Cambrai à la première Restauration et pendant les Cent-Jours. Louis Belmas appelait Napoléon son bienfaiteur, lequel l'avait fait baron de l'Empire. Il n'est pas étonnant alors de le trouver parmi les premiers à la cérémonie du Champ-de-Mai (1er juin 1815). Louis XVIII, revenu une seconde fois dans son royaume, fit son entrée à Cambrai le 26 juin 1815, mais le souvenir de la cérémonie du Champ-de-Mai, auquel le prélat avait assisté tout récemment, empêcha le monarque de descendre au palais épiscopal, il s'établit dans la maison d'un particulier. M. l'évêque de Cambrai s'était rendu à Paris pour solliciter la mise en liberté de quelques ecclésiastiques de son diocèse gravement compromis dans les Cent-Jours : grâce, sans doute, à son dévouement connu, il obtint ce qu'il désirait, et sa joie fut d'autant plus vive, qu'il arrachait les victimes à d'atroces vengeances. De pressantes instances lui furent faites pour l'engager à se démettre de son siège : pressions auxquelles il resta sourd. Lord Wellington avait pour Louis Belmas une estime toute particulière. On prétend que le vainqueur de Waterloo soutint très efficacement le courage et les droits du prélat dans lesdites circonstances. Un témoignage pareil n'était point suspect, Louis XVIII l'accueillit avec bonheur. Deux ans après, par lettres apostoliques, en date du 6 des calendes d'août 1817, le siège de Cambrai fut de nouveau, sur la demande de Louis XVIII, érigé en archevêché. Ces lettres faisaient suite au concordat du 11 juin 1817 qui résolut d'ériger Cambrai en archevêché, mais la cour de Rome ne voulait point récompenser Louis Belmas, en lui conférant un titre plus élevé. On lui proposa de se démettre : il n'y consentit qu'à condition qu'on lui donnerait un titre d'archevêché in partibus. Le pape ne souscrivit point à cette idée, et l'érection de l'archevêché de Cambrai fut ajournée (bulle d'octobre 1822). En 1827, Charles X, visitant les provinces du nord, arriva à Cambrai le 4 septembre, et voulut être logé au palais épiscopal. Le digne évêque ne négligea rien pour donner à son hôte des témoignages de respect et de dévouement. Mgr Belmas adhéra sans hésitation la révolution de 1830. Le roi Louis-Philippe Ier, se trouvant à Cambrai en 1832, accorda à notre évêque les insignes de Commandeur de la Légion d'honneur. Le Roi des Français lui proposa même l'archidiocèse d'Avignon. Le fidèle évêque de Cambrai refusa cette promotion. Jusqu'au dernier jour, Mgr Belmas traita les affaires de son diocèse avec la présence d'esprit, la facilité de travail qui le caractérisaient. Peu avant sa mort, il entendit encore la lecture de sa correspondance et il indiqua les réponses à faire. Il s'occupa des prochaines ordinations et fit expédier une lettre pour que sa mort n'apportât aucun retard à ceux qui dévoient être ordonnés. Une maladie longue, rendue plus grave par la vieillesse, l'emporta le 21 juillet 1841, après un épiscopat qui dura près de quarante ans. C'est M. le docteur Lenglet qui procéda à l'autopsie du corps de Mgr Belmas. Le cœur était dans un état tout à fait anormal. Des tuméfactions énormes, des désordres affreux se faisaient remarquer autour de ce viscère. Cependant, chose étrange, jamais le malade ne s'était plaint d'aucune douleur dans la région du cœur. Son oraison funèbre fut prononcée à Cambrai par M. Wicart, alors curé-doyen de Sainte-Catherine de Lille, depuis évêque de Fréjus. Cambrai offrit toutes les images d'un grand deuil, par suite du décès de Mgr Belmas. Trois fois par jour, à six heures du matin, à midi et à six heures du soir, toutes les cloches de la cathédrale et de l'église Saint-Géry sonnaient à grandes volées. D'heure en heure, un coup de canon fut tiré. Au palais épiscopal, se pressaient les fidèles qui venaient contempler une dernière fois les traits du prélat et prier pour lui. À la mort de Louis Belmas, le siège épiscopal de Cambrai est à nouveau érigé en archevêché par bulle du pape Grégoire XVI du 1er octobre 1841 au profit de Pierre Giraud. Source: wikipedia      ●   Bienvenue sur notre boutique   ●  Intégrez-nous dans votre liste de "vendeurs favoris" afin d'être régulièrement tenu informés de nos nouvelles mises en vente N´hésitez pas à consulter nos autres ventes afin de mutualiser les frais d´envoi   NOS FRAIS D'ENVOI PRINCIPES DE BASE:  nos prix incluent le port et le conditionnement  -  lots vendus   merci aux acheteurs qui choisissent un envoi "classique" sans suivi de ne pas porter réclamation si l'objet ne leur parvenait pas, ne pouvant être tenu responsable d'une perte par les services postaux  (Europe & other countries: letter with tracking number or registered letter) -  lots vendus de 20€ à 100€  :  envoi avec n° de suivi ou recommandé, au choix de l'acheteur  (Europe & other countries: letter with tracking number or registered letter) -  lots vendus > 100€  : envoi recommandé obligatoire (registered letter obligatory) L'acheteur aura donc le  choix  entre : 1 - lettre suivie: envoi avec un n° de suivi, mais sans assurance  2 - lettre verte "classique": envoi sans n° de suivi et sans assurance (juste pour la France) 3 - lettre recommandée: envoi avec suivi et avec assurance. 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Vannes (Morbihan)
Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Pictures below and english translation . Photographies au -dessus. Médaille Camaret-sur-Aigues par M.LVaucluse Provence  241g 80mm medal 铜牌. QG MEDAILLE Medalla Medaglia Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne à partir de 1880). 1970. Quelques rayures et oxydations minimes. consultez attentivement les photos ci-dessous merci Graveur: M L  Avers: (Photographie) Revers :(Photographie). Dimension: 80  mm. Poids:  241 g. Métal: bronze . Poinçon: Corne + bronze + 1970. Vous pouvez consulter notre boutique pour consulter nos nombreuses autres médailles. Reduction des frais d'envoi pour les achats groupés Photos ci-dessus. ----------------- Bronze medal of the Paris Mint (Punch horn from 1880). 1970. Some scratches and minor oxidation. look carefully at the pictures below thank you Writer: M L   Avers (Photography) Reverse: (photography). Dimension: 80 mm. Weight: 241 g. Metal: bronze. Stamp: Bronze Horn + + 1970... ------------------------------ You can visit our shop to see our many other medals. Reduction of shipping for bulk purchases Photos above. Envoi rapide et soigné. ____________________________________________________________ More photos ? Contact us Pour des photos supplémentaires contactez nous par email   breizh.antiques.art@gmail.com 0033 (0) 645210548 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antique. Camaret-sur-Aigues Pour les articles homonymes, voir Camaret.  Camaret-sur-Aygues redirige ici. Camaret-sur-Aigues Place de l'église Blason Administration Pays  France Région Provence-Alpes-Côte d'Azur Département Vaucluse Arrondissement Avignon Canton Orange-Est Intercommunalité Communauté de communes Aygues Ouvèze en Provence Maire Mandat Philippe de Beauregard (FN) 2014 -2020 Code postal 84850 Code commune 84029 Démographie Gentilé Camaretois Population municipale 4 596 hab. (2011) Densité 262 hab./km2 Géographie Coordonnées 44° 09′ 51″ Nord 4° 52′ 28″ Est    Altitude 72 m (min. : 56 m) (max. : 97 m) Superficie 17,53 km2 Localisation Géolocalisation sur la carte : France Camaret-sur-Aigues * Voir sur la carte administrative du Vaucluse * Voir sur la carte topographique du Vaucluse * Voir la carte administrative de France Liens Site web http://www.camaret.org modifier   Camaret-sur-Aigues est une commune française, située dans le département de Vaucluse en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Sommaire * 1 Dénomination * 2 Géographie * 2.1 Accès et transports * 2.2 Relief * 2.3 Géologie * 2.4 Sismicité * 2.5 Hydrographie * 2.6 Climat * 3 Histoire * 3.1 Antiquité * 3.2 Moyen Âge * 3.3 Renaissance * 3.4 Période moderne * 3.5 Période contemporaine * 3.6 Toponymie * 3.7 Héraldique * 4 Politique et administration * 4.1 Tendances politiques et résultats * 4.2 Liste des maires * 4.3 Intercommunalité * 4.4 Fiscalité * 5 Démographie * 6 Économie * 6.1 Agriculture * 6.2 Industrie * 6.3 Tourisme * 7 Équipements et services * 7.1 Enseignement * 7.2 Sports * 7.3 Santé * 8 Vie locale * 8.1 Cultes * 8.2 Écologie et recyclage * 9 Lieux et monuments * 10 Notes et références * 10.1 Jumelages * 10.2 Notes * 10.3 Références * 11 Bibliographie * 12 Pour approfondir * 12.1 Articles connexes * 12.2 Liens externes Dénomination Le nom officiel de la commune, défini par le Code officiel géographique de l'INSEE, est Camaret-sur-Aigues. Toutefois, il est parfois fait usage, sans aucun caractère officiel, de l'appellation « Camaret-sur-Aygues ». Géographie La commune de Camaret-sur-Aigues est située à 6,5 kilomètres au nord-est de la ville d'Orange. Accès et transports Les routes départementales 23, 93 et 975 arrivent au bourg alors que la route départementale 43 le contourne par l'ouest. L'autoroute la plus proche est l'autoroute A7. Relief La commune est relativement plate avec une différence de 41 mètres seulement entre le point le plus haut de la commune, à l'extrême est de celle-ci, et le point le plus bas, situé à l'ouest-sud-ouest du bourg, en bordure de commune, au niveau de la mayre de Raphaëlis. Géologie Le sol est principalement constitué d'alluvions quaternaires. Sismicité Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments1. Hydrographie L'Aygues, lieu de baignades L'Aygues passe au nord du bourg. Plusieurs canaux (canal de Carpentras et canal du moulin) et petits cours d'eau comme les mayres de Mourelette, de Raphaëlis, d'Ancione passent aussi sur la commune. Climat La commune, située dans la zone d’influence du climat méditerranéen, est soumise à un rythme à quatre temps : deux saisons sèches, dont une brève en hiver, une très longue et accentuée en été  ; deux saisons pluvieuses, en automne, avec des pluies abondantes sinon torrentielles, et au printemps. Les étés sont chauds et secs, liés à la remontée en altitude des anticyclones subtropicaux, entrecoupés d’épisodes orageux parfois violents. Les hivers sont doux. Les précipitations sont peu fréquentes et la neige rare2. Depuis 2009, la ville d'Orange dispose d'une station météorologique en ville3. Données météorologiques d'Orange de 1961 à 1990 Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne (°C) 1,3 2,6 4,4 7,2 10,8 14,4 17 16,3 13,8 9,7 4,9 1,9 8,7 Température moyenne (°C) 5,4 6,9 9,4 12,5 16,4 20,2 23,3 22,5 19,4 14,7 9,1 5,7 13,8 Température maximale moyenne (°C) 9,4 11,3 14,4 17,8 22,1 26,1 29,6 28,8 25 19,7 13,3 9,5 18,9 Ensoleillement (h) 132 137,1 192,5 230,4 264,6 298,9 345,3 310,7 237,6 187,1 135,2 123,8 2 595,3 Précipitations (mm) 44,4 57,5 61,1 58,9 72,4 43,6 27,8 56,3 67,6 97,4 57,7 48,9 693,4 Source : 4 Diagramme climatique J F M A M J J A S O N D       9.4 1.3 44.4       11.3 2.6 57.5       14.4 4.4 61.1       17.8 7.2 58.9       22.1 10.8 72.4       26.1 14.4 43.6       29.6 17 27.8       28.8 16.3 56.3       25 13.8 67.6       19.7 9.7 97.4       13.3 4.9 57.7       9.5 1.9 48.9 Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm Vaucluse Canton d'Orange moyenne nationale Ensoleillement 2 595 h/an 2 800 h/an 1 973 h/an Pluie 693 mm/an 700 mm/an (sur 80 jours) 770 mm/an Neige 4 j/an 14 j/an Vent 110 j/an essentiellement du Mistral Orage 23 j/an 22 j/an Brouillard 31 j/an 40 j/an Mois Jan Fev Mar Avr Mai Jui Jui Aou Sep Oct Nov Dec Records de températures minimales °C (Année) -13,4 (1985) -14,5 (1956) -9,7 (2005) -2,9 (1970) 1,3 (1979) 5,7 (1984) 9,0 (1953) 8,3 (1974) 3,1 (1974) -1,1 (1973) -5,4 (1952) -14,4 (1962) Records de températures maximales °C (Année) 20,3 (2002) 23,0 (1960) 27,2 (1990) 30,7 (2005) 34,5 (2001) 38,1 (2003) 40,7 (1983) 42,6 (2003) 35,1 (1966) 29,6 (1985) 24,6 (1970) 20,2 (1983) Source: http://www.linternaute.com/ville/ville/climat/25721/orange.shtml Histoire Antiquité Au cours du XIXe siècle, des fouilles avaient découvert du numéraire, des urnes funéraires, des lampes à huile, des vases dits lacrymatoires et des miroirs d'argent poli. Une pierre tumulaire épigraphe intégrée dans la façade d'une maison avait été descellée et vendue. Elle portait l'inscription S. P. SEVERIUS SIBI ET SVIS VIVUS FECIT. Avaient aussi été répertoriés des vestiges d'un aqueduc qui fournissait Orange en eau de source5. Au cours du XXe siècle, des fouilles menées plus scientifiquement, ont permis de retrouver au quartier des Marelles un fragment d'autel épigraphe, et trois sépultures à tegulæ sur le site des Garriguettes6. Moyen Âge Porte des remparts médiévaux Durant tout le bas Moyen Âge et jusqu'à la Révolution, Camaret dépendit de la baronnie de Sérignan. Elle avait d'abord appartenu à la principauté d'Orange puisque Raymond VII de Toulouse, comte de Provence, l'avait donné en fief, dès 1237, à Raymond des Baux. Ce fief fut donné comme dot à Tiburge d'Orange lors de son mariage avec Adhémar de Poitiers, comte de Valentinois. Celle-ci, en 1324, accorda l'élection de deux syndics pour représenter la communauté. Leurs successeurs, le 7 mai  1416, signèrent un prix fait pour que fussent édifiés de nouveaux remparts5. Le chevalier Guillaume Fabri fut coseigneur de Camaret-sur-Aigues jusqu'à ce qu'il fût condamné au chapitre des Lattes7. En 1346, ce fut l'ancien Baile de Pélissanne (1345), Raymond Martini qui fut chargé de vendre ses biens. Vers 1346, Guillaume d'Orange fut seigneur de Camaret et de Sérignan. Noble et puissant, Jean de Baux, sire de Camaret et de Sérignan eut à son service comme juge ordinaire de ses deux terres, en 1369, un noble bachelier, originaire d'Orange, Bérenger Sadoyrani, juge d'Arles (1372) et de Sisteron (1387)8. Renaissance En 1495, le Conseil de Ville obtint de la baronnie l'autorisation que chaque habitant puisse puisse cultiver une éminée de jardin exempte de dîme sur les fruits et les herbages5. Les guerres de religions sévirent pendant une décennie. Camaret ayant été pris par les religionnaires, le 5 janvier  1563 6, le capitaine pontifical Fabrice Serbelloni vient mettre le siège. Après quatre jours de canonnade, ses troupes investirent le village et passèrent par le fil de l'épée 100 prisonniers. Une nouvelle attaques des calvinistes de Nyons eut lieu en 1573. Mais leur homme de main qui devait leur ouvrir les portes fut démasqué et ils se retirèrent. Il n'en fut pas de même deux ans plus tard. Le 3 mai  1375, les huguenots d'Orange forcèrent la place mais durent rapidement se retirer face aux troupes envoyées par le cardinal d'Armagnac9. Ces attaques ont permis de savoir qu'en 1565, les remparts s'ouvraient par trois portes : la Grande Porte ou Portail Bérenguier, dite aussi des Ursulines ; la Porte Jaubert ou Portalet ; la Porte Carbonnel. Celles du Portail et de Carbonnel étaient précédées d'un pont levis. Les affrontements finis, deux autres portes furent ouvertes, celle de la Brèche et celle de la Tour10. Ce fut en 1599 que les deux syndics du village changèrent leur titre pour prendre celui de consul5. Période moderne Le 12 août 1793 fut créé le département de Vaucluse, constitué des districts d'Avignon et de Carpentras, mais aussi de ceux d'Apt et d'Orange, qui appartenaient aux Bouches-du-Rhône, ainsi que du canton de Sault, qui appartenait aux Basses-Alpes. Article détaillé : Histoire de Vaucluse. Dans le milieu du XIXe siècle, le village, grâce à l'irrigation, avait diversifié son agriculture avec maraîchage, huile d'olive, mûriers pour l'élevage des vers à soie et safran. Toute une petite et moyenne industrie, liée à la force motrice de l'eau, s'était développée : blanchisserie, moulins à farine, fabrique de chapeaux et moulinage de la soie5. Période contemporaine Camaret, grâce à l'implantation, de la coopérative agricole « La cabanon » s'est acquis la réputation de capitale nationale de la tomate de conserve11. Toponymie La forme la plus ancienne est de Camareto, attestée en 1137. Ce toponyme suggère un thème pré-celtique *kam-ar avec le sens de hauteur arrondie12. Héraldique Article détaillé : Armorial des communes de Vaucluse. Les armes peuvent se blasonner ainsi : D'or à l'ormeau arraché de sinople, chargé de trois oranges de gueules ordonnées 2 et 1, au chef du même chargé de la lettre C capitale du champ.13 Politique et administration Tendances politiques et résultats Article connexe : Élections municipales de 2014 dans le Vaucluse. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Liste des maires Hôtel de Ville Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 1983 2008 Paul Durieu 14 UMP   mars 2008 mars 2014 Marlène Thibaud 14 PS   Les données manquantes sont à compléter. Intercommunalité La commune fait partie de la Communauté de communes Aygues Ouvèze en Provence. Celle-ci a été créée le 31  décembre  1992. Fiscalité L'imposition des ménages et des entreprises à Camaret-sur-Aigues en 200915 Taxe part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale Taxe d'habitation (TH) 7,73 % 0,00 % 7,55 % 0,00 % Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 20,44 % 0,00 % 10,20 % 2,36 % Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 57,11 % 0,00 % 28,96 % 8,85 % Taxe professionnelle (TP) 00,00 % 17,85 % 13,00 % 3,84 % La Part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable. La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 201016). Démographie En 2011, la commune comptait 4 596 habitants. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans, contrairement aux autres communes qui ont une enquête par sondage chaque annéeNote 1,Note 2.            Évolution de la population  ] 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 2 020 2 035 2 121 2 228 2 216 2 288 2 289 2 430 2 553            Évolution de la population  ], suite (1) 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 2 625 2 595 2 498 2 401 2 278 2 053 1 965 1 890 1 738            Évolution de la population  ], suite (2) 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1 633 1 700 1 785 1 523 1 544 1 562 1 516 1 500 1 581            Évolution de la population  ], suite (3) 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 - 1 794 1 955 2 255 2 468 3 121 3 553 4 207 4 596 - De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes  ; pour les dates suivantes : population municipale. (Sources : Ldh/EHESS /Cassini jusqu'en 199917 puis Insee à partir de 200418.) Histogramme de l'évolution démographique Économie Agriculture Vue aérienne du terroir de Camaret et Sérignan-du-Comtat Au cours du XIXe siècle, face à un Plan de Dieu « plaine presque inculte », les autorités et les élus pensèrent utile et judicieux d'envisager son irrigation sans considérer qu'il y avait là un terroir viticole de première importance5. Aujourd'hui, le vignoble de la commune produit des vins Côtes-du-rhône villages classés en plan-de-dieu (AOC), au même titre que Jonquières, Travaillan et Violès. Les vins qui ne sont pas en appellation d'origine contrôlée peuvent revendiquer, après agrément, le label Vin de pays de la Principauté d'Orange Industrie L'entreprise agro-alimentaire Conserves de Provence, premier opérateur français de production de tomate transformée, a été racheté en 2004 par le groupe chinois Xinjiang Chalkis Co.Ltd qui s'est porté acquéreur de 55 % des parts 19; le reste appartenant à la SA Le Cabanon, ancienne coopérative agricole, pour 7 millions d'euros20, en 200421 qui est propriétaire de l'usine de Camaret20. Depuis, la majorité des tomates qui passent par l'usine sont importées de Chine20,22. L'accord de vente stipulait que la production chinoise représenterait les deux tiers de l'activité des Conserves de Provence dans un premier temps, avant d'augmenter progressivement tout en garantissant pendant 10 ans l'écoulement de la production des agriculteurs français de la coopérative21. Tourisme Comme beaucoup d'autres communes viticoles du Vaucluse, l'œnotourisme est présent dans l'économie locale. Ce n'est cependant pas la seule forme de tourisme, en particulier grâce à sa proximité d'Orange et de ses monuments et festival, mais aussi du mont Ventoux, d'Avignon, etc. Équipements et services Enseignement Quatre écoles primaires : - trois publiques : La Souleïado (maternelle); Frédéric Mistral (CP, CE1, CE2) ; Les Amandiers23 (CE2, CM1, CM2) - une privée : Saint-Andéol Ensuite les élèves vont au collège Arausio Orange 24 puis le lycée Polyvalent régional de l'Arc, toujours à Orange25. Sports L'on trouve plusieurs clubs à vocation sportive (Football, motoball, volleyball, handball, basketball, twirling bâton) sur la commune. Plusieurs stades, tennis, etc. Santé La communes disposent d'une pharmacie, ainsi que de médecins, dentistes, infirmiers et kinésithérapeutes. Il n'y a, par contre, pas d'hôpital, le plus proche étant sur Orange. Intérieur de l'église paroissiale de Camaret Vie locale Cultes La paroisse catholique de Camaret fait partie du Doyenné d'Orange -Bollène 26. Placée sous le vocable de saint Andéol, elle date du début du XVe siècle et a été totalement restaurée en 1780 10. Dans l'édifice religieux précédant, se trouvait une vierge noire. Lors d'une visite épiscopale de l'évêque d'Orange, François de Roussel de Tilly, en 1780, elle horrifia le prélat qui fut choqué par son indécence. Il avait constaté que la Vierge ne tenait pas son fils dans ses bras mais sur son giron. Il ordonna que cette statue romane fut brûlée et que ces cendres fussent enterrées dans le cimetière10. Écologie et recyclage La collecte et le traitement des déchets des ménages et déchets assimilés, la gestion de l'assainissement collectif, la lutte contre les nuisances sonores, le contrôle de la qualité de l'air et la protection et mise en valeur de l'environnement font partie des compétences de la Communauté de communes Aygues Ouvèze en Provence. Lieux et monuments * Église paroissiale "Saint-Andéol", XVIe siècle, située au cœur du bourg. * Chapelle Saint-Cœur-de-Marie, proche du cimetière, à l'ouest du bourg. * Chapelle Saint-Andéol, derrière a Mairie * Le Ravelin : Ancienne porte des remparts, surmonté d'un campanile et d'une horloge * La Tour Sarrazine (XIIIe siècle) * Chapelle Saint-Cœur-de-Marie * Le Ravelin * La Tour Sarrazine * Chapelle Saint-Andéol Notes et références Jumelages *  Travacò Siccomario  (Italie) Notes * ↑ Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par la loi no 2002-276 du 27 février 2002  ], dite « loi de démocratie de proximité » relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V « des opérations de recensement », afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises. Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006. * ↑ Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, et afin de permettre une comparaison correcte entre des recensements espacés d’une période de cinq ans, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant aux années 2006, 2011, 2016, etc., ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee. Références * ↑ Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48 * ↑ La climatologie du Vaucluse  ] * ↑ Station météo d'Orange  ] * ↑ Relevés météorologiques d'Orange, (Vaucluse), de 1961 à 1990  ] * ↑ a, b, c, d, e et f Jules Courtet, op. cit., p. 114. * ↑ a et b Robert Bailly, op. cit., p. 124. * ↑ AD du 13, série B1593f131v. * ↑ Chiffoleau, Les justices, p.289 * ↑ Jules Courtet, op. cit., p. 115. * ↑ a, b et c Robert Bailly, op. cit., p. 125. * ↑ Patrick Saletta (sous la direction de), Haute Provence et Vaucluse - Les Carnets du Patrimoine, Les Guides Masson, Paris, 2000, p. 207. * ↑ Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Éd. Larousse, 1968, p. 1725. * ↑ Armorial des communes du Vaucluse * ↑ a et b ledauphine.com - Camaret-sur-Aygues : Marlène Thibaud détrône Paul Durieu  ] * ↑ « Impots locaux à Camaret-sur-Aigues »  ], taxes.com * ↑ Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010  ] (Légifrance) * ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui  ] sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales. * ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006  ], 2011  ] * ↑ Les tomates de Provence passées au chinois  ], Commerce international, 2 juillet 2004 * ↑ a, b et c La Tomate globale  ], CQFD n°25, 15 juillet 2005 * ↑ a et b Pierre Haski, Les Chinois croquent la tomate transformée française  ], Libération, 12 avril 2004 * ↑ 86 : Chalkis ou la mondialisation expliquée aux enfants. Comédie géographique en quatre actes  ], Café-géo, « Les lettres de Cassandre », par Pierre Gentelle, 15 décembre 2008 * ↑ Site de l'école Les Amandiers de Camaret  ] * ↑ « Carte scolaire du Vaucluse »  ], Conseil Général de Vaucluse * ↑ « Site du lycée de l'Arc »  ], Académie Aix-Marseille,‎ 2010 * ↑ Diocèses en Vaucluse  ] Bibliographie * Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique du département du Vaucluse, Avignon, 1876. * Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, Éd. A. Barthélemy, Avignon, 1986. (ISBN  2903044279) Pour approfondir Sur les autres projets Wikimedia : * Camaret-sur-Aigues, sur Wikimedia Commons Articles connexes * Liste des communes de Vaucluse * Plan de Dieu (Vaucluse) Liens externes * Site officiel de la ville de Camaret-sur-Aigues   v  · d  · m Communes de la communauté de communes Aygues Ouvèze en Provence   v  · d  · m Communes du canton d’Orange-Est   v  · d  · m Communes de Vaucluse * Portail de Vaucluse * Portail des communes de France Catégories  : * Commune de Vaucluse * Ancien chef-lieu de canton de la Drôme * Ancien chef-lieu de canton des Bouches-du-Rhône | Menu de navigation * Créer un compte * Se connecter * Article * Discussion * Lire * Modifier * Modifier le code * Historique * Accueil * Portails thématiques * Article au hasard * Contact Contribuer * Débuter sur Wikipédia * Aide * Communauté * Modifications récentes * Faire un don Imprimer / exporter * Créer un livre * Télécharger comme PDF * Version imprimable Outils * Pages liées * Suivi des pages liées * Importer un fichier * Pages spéciales * Adresse de cette version * Information sur la page * Élément sur Wikidata * Citer cette page Autres langues * Català * Cebuano * Deutsch * English * Español * Euskara * Italiano * Latina * Lumbaart * Malagasy * Bahasa Melayu * Nederlands * Occitan * Polski * Piemontèis * Português * Română * Русский * Srpskohrvatski / српскохрватски * Simple English * Slovenčina * Српски / srpski * Svenska * Українська * Tiếng Việt * Volapük * Winaray * 中文 Modifier les liens * Dernière modification de cette page le 26 mai 2014 à 17:31. * Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons paternité partage à l’identique; d’autres conditions peuvent s’appliquer. 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LEXICON ET COMMENTARIUS SERMONIS HEBRAICI ET CHALDAICI LEXICON ET COMMENTAIRES LES MOTS EN HEBREUX ET EN CHALDEEN   POST IOH COCCEIUM ET IOH HENR MAIUM LONGE QUAM ANTEHAC CORRETIUS ET EMENDATIUS APRES JOHN COCCEIUS ET JOHN HENRI GRANDE PLUS PRECEIUX QU’AUPARAVANT AVEC CORRECTION ET AMELIORATION     EDITI IO CHR FRIED SCHULZ EDITE CHEZ FRIED SCHULZ   2 TOMI   LIVRE EN LATIN HEBREUX   JE PROPOSE PLUSIEURS OUVRAGES ISSUS DE LA BIBLIOTHEQUE DU BARON PAVE DE VANDOEUVRE TOUS AVEC AVEC RELIURE AUX ARMES DU BARON ET   TOUS TRAITANT DE LA LANGUE HEBRAIQUE OU HEBREUX   EDITEUR LIPSIAE SUMTIBUS WEYGANDIANIS TAILLE 22*15 ANNEE 1777 1690 PAGES PAGINATION CONTINUE SUR LES 2 TOMES BON ETAT A TRES BON DES FROTTEMENT AVEC PETIT ACCRO EN HAUT DU TOME 1 RELIURE PLEIN CUIR D’EPOQUE AVEC TITRE EN DORURE AVEC FERS SUR DOS A TOMAISON MUET INTERIEUR FRAIS TRANCHE ROUGE ENSEMBLE BIEN SOLIDE AUX ARMES DU BARON DE VANDOEUVRE EN DORURE SUR LES DEUX PLAT DE COUVERTURE   PRESENTATION DU BARON Issu d’une famille de robe, il est le fils de Jean-Baptiste-Gabriel Pavée (4 juin 1752- 1814 Paris) dont le grand-père Gabriel, secrétaire du roi, acquit le 17 mai 1752 le château de Vendeuvre sur la commune de Vendeuvre-sur-Barse et d’Elisabeth Langlois.   Jean-Baptiste-Gabriel Pavée est conseiller à la cour des aides de Paris. En 1789, il est nommé électeur1 puis lieutenant de la garde nationale de Paris. En 1790, ayant présidé en qualité de commissaire du roi à la formation du département, il est élu président du district de Bar-sur-Aube, réélu en 1791 et nommé administrateur du département en 1792. Il est par la suite secrétaire général du département et procureur général. Il sera suspendu en Vendémiaire an V comme beau-frère d’émigré. Il se retira des affaires publiques avant le 18 Brumaire et se consacra à la culture notamment en écrivant des ouvrages sur Vendeuvre2 Armoiries figurant sur un volume de leur ancienne bibliothèque   Jean Gabriel fut fait baron le 14 février 1810 par lettres patentes au titre des terres de Vendeuvre avec le majorat3.   La sœur de Guillaume, Marie-Félicité, (1782-1870) épousa le 11 août 1802 Félix Le Chanoine, (1783-1815) comte du Manoir de Juaye, Lieutenant- colonel des lanciers de la Garde, chevalier de la Légion d'honneur, qui eut la tête emportée par un boulet de canon à Waterloo.   Guillaume épousa le 18 juin 1806 Alexandrine Dassy, (4 avril 1790 Meaux-29 mai 1852 Meaux). Le couple eut deux enfants Guillaume-Gustave-Gabriel4, représentant de l'Aube à l'Assemblée législative, en 1849, marié à Angéline Duboscq et Adrienne, mariée en juin 1830, à M. Paul Bourlon d'Haironville. Carrière   Il fait son stage administratif sous l'Empire, comme auditeur au Conseil d'État en 1808 puis auditeur de première classe en service ordinaire près du ministre de la police et de la section de l'intérieur en 1812. Il passe en service extraordinaire et exerce les fonctions de commissaire spécial de police à Travemünde avant d'être nommé commissaire général de police à Marseille en avril 18135.   En 1815, il est nommé maître des requêtes au comité du contentieux du Conseil d'État et chargé de la surveillance des approvisionnements de Paris.   En 1819, il entra au Conseil général de l'Aube.   Élu député du département de l'Aube au grand collège, au mois de novembre 1820, il est rayé du service ordinaire du conseil d'État, au mois de mars 1821, le lendemain du jour où il prononça son premier discours à la tribune de la Chambre des députés; il y dénonçait les manœuvres frauduleuses employées dans les élections. Il siège au côté gauche dans l'opposition constitutionnelle. Battu en 1824, il crée une faïencerie à Vendeuvre et à Spoy une verrerie. Guillaume Pavée de Vendeuvre ne doit pas être confondu avec Pierre-Prudent de Vandeuvre-Bazile, procureur royal à Dijon, à Rouen, puis premier président de la Cour royale de Lyon6 (1776 - 1829) élu en 1820 puis en 1824 contre Guillaume qui le battit en 1827.   Réélu en novembre 1827 dans le 2e arrondissement, il est le premier a déclaré ouvertement à l'Assemblée que Charles X doit démissionner. Réélu en juillet 1830, il signe la Charte réformée du 9 août en qualité de secrétaire de la Chambre des députés.   Il est élevé, au mois d'octobre 1837, à la dignité de pair de France. Il en remplit les fonctions jusqu'en 1848.    
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LEXICON ET COMMENTARIUS SERMONIS HEBRAICI ET CHALDAICI LEXICON ET COMMENTAIRES LES MOTS EN HEBREUX ET EN CHALDEEN   POST IOH COCCEIUM ET IOH HENR MAIUM LONGE QUAM ANTEHAC CORRETIUS ET EMENDATIUS APRES JOHN COCCEIUS ET JOHN HENRI GRANDE PLUS PRECEIUX QU’AUPARAVANT AVEC CORRECTION ET AMELIORATION     EDITI IO CHR FRIED SCHULZ EDITE CHEZ FRIED SCHULZ   2 TOMI   LIVRE EN LATIN HEBREUX   JE PROPOSE PLUSIEURS OUVRAGES ISSUS DE LA BIBLIOTHEQUE DU BARON PAVE DE VANDOEUVRE TOUS AVEC AVEC RELIURE AUX ARMES DU BARON ET   TOUS TRAITANT DE LA LANGUE HEBRAIQUE OU HEBREUX   EDITEUR LIPSIAE SUMTIBUS WEYGANDIANIS TAILLE 22*15 ANNEE 1777 1690 PAGES PAGINATION CONTINUE SUR LES 2 TOMES BON ETAT A TRES BON DES FROTTEMENT AVEC PETIT ACCRO EN HAUT DU TOME 1 RELIURE PLEIN CUIR D’EPOQUE AVEC TITRE EN DORURE AVEC FERS SUR DOS A TOMAISON MUET INTERIEUR FRAIS TRANCHE ROUGE ENSEMBLE BIEN SOLIDE AUX ARMES DU BARON DE VANDOEUVRE EN DORURE SUR LES DEUX PLAT DE COUVERTURE   PRESENTATION DU BARON Issu d’une famille de robe, il est le fils de Jean-Baptiste-Gabriel Pavée (4 juin 1752- 1814 Paris) dont le grand-père Gabriel, secrétaire du roi, acquit le 17 mai 1752 le château de Vendeuvre sur la commune de Vendeuvre-sur-Barse et d’Elisabeth Langlois.   Jean-Baptiste-Gabriel Pavée est conseiller à la cour des aides de Paris. En 1789, il est nommé électeur1 puis lieutenant de la garde nationale de Paris. En 1790, ayant présidé en qualité de commissaire du roi à la formation du département, il est élu président du district de Bar-sur-Aube, réélu en 1791 et nommé administrateur du département en 1792. Il est par la suite secrétaire général du département et procureur général. Il sera suspendu en Vendémiaire an V comme beau-frère d’émigré. Il se retira des affaires publiques avant le 18 Brumaire et se consacra à la culture notamment en écrivant des ouvrages sur Vendeuvre2 Armoiries figurant sur un volume de leur ancienne bibliothèque   Jean Gabriel fut fait baron le 14 février 1810 par lettres patentes au titre des terres de Vendeuvre avec le majorat3.   La sœur de Guillaume, Marie-Félicité, (1782-1870) épousa le 11 août 1802 Félix Le Chanoine, (1783-1815) comte du Manoir de Juaye, Lieutenant- colonel des lanciers de la Garde, chevalier de la Légion d'honneur, qui eut la tête emportée par un boulet de canon à Waterloo.   Guillaume épousa le 18 juin 1806 Alexandrine Dassy, (4 avril 1790 Meaux-29 mai 1852 Meaux). Le couple eut deux enfants Guillaume-Gustave-Gabriel4, représentant de l'Aube à l'Assemblée législative, en 1849, marié à Angéline Duboscq et Adrienne, mariée en juin 1830, à M. Paul Bourlon d'Haironville. Carrière   Il fait son stage administratif sous l'Empire, comme auditeur au Conseil d'État en 1808 puis auditeur de première classe en service ordinaire près du ministre de la police et de la section de l'intérieur en 1812. Il passe en service extraordinaire et exerce les fonctions de commissaire spécial de police à Travemünde avant d'être nommé commissaire général de police à Marseille en avril 18135.   En 1815, il est nommé maître des requêtes au comité du contentieux du Conseil d'État et chargé de la surveillance des approvisionnements de Paris.   En 1819, il entra au Conseil général de l'Aube.   Élu député du département de l'Aube au grand collège, au mois de novembre 1820, il est rayé du service ordinaire du conseil d'État, au mois de mars 1821, le lendemain du jour où il prononça son premier discours à la tribune de la Chambre des députés; il y dénonçait les manœuvres frauduleuses employées dans les élections. Il siège au côté gauche dans l'opposition constitutionnelle. Battu en 1824, il crée une faïencerie à Vendeuvre et à Spoy une verrerie. Guillaume Pavée de Vendeuvre ne doit pas être confondu avec Pierre-Prudent de Vandeuvre-Bazile, procureur royal à Dijon, à Rouen, puis premier président de la Cour royale de Lyon6 (1776 - 1829) élu en 1820 puis en 1824 contre Guillaume qui le battit en 1827.   Réélu en novembre 1827 dans le 2e arrondissement, il est le premier a déclaré ouvertement à l'Assemblée que Charles X doit démissionner. Réélu en juillet 1830, il signe la Charte réformée du 9 août en qualité de secrétaire de la Chambre des députés.   Il est élevé, au mois d'octobre 1837, à la dignité de pair de France. Il en remplit les fonctions jusqu'en 1848.     Track Page Views With Auctiva's FREE Counter
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Cerizay (Deux Sèvres)
OBonjour, L’ INVENTAIRE ÉGLISE SAINT CLÉMENT de NANTES RÉVOLUTION - Inventaire de 1793 Par le curé originaire des Deux Sevres Pierre Jean Andrieux qui sera prêtre sous la révolution a Clisson et Nantes, également acheteur de bien nationaux, il sera également fait commissaire du district de Nantes et prendra en charge l’inventaire de l’église de St Clement à Nantes, Plusieurs notices historiques son consacrées à cet homme célèbre en Deux Sevres pour avoir acheté puis démoli l’église de Notre Dame de la Couldre à Parthenay et ses célèbres statues.... Se compose: De 3 feuilles 4 pages sont manuscrites la dernière feuille et vierge (reprennent de façon détaillées l’inventaire de cette église) Dimensions 34,5/21,5 cm L’autre papier, plus petit indique que le linge religieux trouvé en cette église remis au Citoyen Directeur du district 22/19cm Andrieux (Pierre Jean, l’aîné) 1754-1820. Prêtre, fils de Pierre et de Renée Picard, baptisé à Parthenay le 26 août 1754, chanoine de Saint-Laurent en 1780-1784. Prêtre, recteur de la Madeleine du Temple près Clisson en Bretagne, religieux de Malte, 1786-1792. Chapelain de la chapelle des Baudet en Sainte-Croix, 1786. Chapelain de la chapelle Saint-Blaise desservie à Saint-Laurent, 1787. Vicaire épiscopal de la Loire-Inférieure au moment de l'insurrection vendéenne, il se trouve à Parthenay et ne peut reprendre son poste. Se rend utile à Parthenay au Comité de sûreté générale, puis comme vice-président de ce comité. Lors de la première évacuation de Parthenay de la dite ville de Partenay, sa montre en or et sa valise contenant tous ses effets servant à son usage lui ont été enlevés par les brigands. Il se retire à Poitiers avec sa famille et s’y trouve encore en août 1793. Demeure à Chalandeau (Châtillon/Thouet) en 1794. Il est un des membres fondateurs du Cercle constitutionnel de Parthenay en 1797. Membre du conseil municipal en 1799-1803. Abdicataire en 1793, rescrit, revient à la communion laïque en 1803. Il est alors marié avec Marie Michelle Guilbeau (ancienne religieuse) et vit à Parthenay. En 1805: propriétaire et membre de la société d'agriculture des Deux-Sèvres, s'est livré avec succès depuis plusieurs années à de louables spéculations dans cet art et qu'il témoigne encore le zèle le plus actif pour obtenir d'avantageux résultats sur cette partie essentielle. Dépositaire d'un taureau suisse, il lui a fait couvrir ses vaches, il demande à s'en séparer. En 1809: Brouillon, portant la discorde avec lui. On ne lui reproche pourtant rien de contraire à la probité. Ses idées politiques paraissent plus républicaines que monarchiques. Maire de Châtillon/Thouet nommé le 18 juin 1813. Prête serment à Louis XVIII en 1814 et est destitué en 1816 par le préfet. Il est désigné par les électeurs de l’arrondissement pour siéger à la Chambre des représentants le 10 mai 1815 et quitte cette place après les Cent-Jours. En 1815, il est dit de lui: Prêtre marié avec une religieuse, député pendant l’interrègne, et tout-à-fait opposé au gouvernement royal. Il a eu de l'exaltation révolutionnaire, mais c'est un honnête homme; et se livrant tout entier à l'agriculture, c'est la que se porte toute l'activité de son imagination. Dans un autre document de 1815: Propriétaire et négociant à Parthenay, il ne fut jamais employé par le Gouvernement, mais il a toujours joui de l'estime de ses concitoyens et s'est distingué à toutes les époques par son patriotisme. C’est lui qui avait acheté l’église Notre-Dame-de-la-Coudre et qui commence à la faire démolir. Il décède à Parthenay le 21 juillet 1820. Les prêtres refusent de l’inhumer et il est enterré civilement avec oraison de M. Ledain.Membre du collège électoral et membre de la municipalité de Parthenay, part sur Paris et se charge de remettre des courriers à de hautes autorités parisiennes. Un courrier concerne le placement de Parthenay comme chef-lieu de département, signe "andrieux, Membre du Conseil Municipal
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France (Toutes les villes)
Lors du paiement, merci d’indiquer le point de retrait Mondial relay   PROBLEMES DE PHYSIQUE et CHIMIE   par Georges EVE Editions MAGNARD. 1955. 156 pages Sujets du baccalauréat Mathématiques et Sciences expérimentales, des années 1930 -1940, avec solutions   PHYSIQUE ET CHIMIE   par   G LAZERGUES, professeur agrégé des Sciences Physiques au lycé Saint Louis. Classe de cinquième B. Première année des EPS et des cours complémentaires. Programme du 11 avril 1938. Librairie HACHETTE 200 pages. Publié en 1938. Couverture tachée. Intérieur en très bon état.   Quelques leçons : Poids d’un corps, dynamomètre. Centres de gravité. Balances. L’air, l’eau, fers, fontes et aciers, zinc, plomb cuivre… métaux précieux. Oxygène, hydrogène …   COURS EXPERIMENTALE DE PHYSIQUE   par H. GRANDMONTAGNE et A. ROUDIL Ecoles Primaires Supérieures. Cours complémentaires. Trois années. conforme aux programmes officiels du 18 août 1920 Librairie LAROUSSE 448 pages Couverture émoussée, quelques taches. Inscriptions à l’intérieur de la couverture. Intérieur en bon état.   CHIMIE   par L. PASTOURIAUX et A. COINTET Bibliothèque des Ecoles Normales conforme aux programmes officiels du 18 août 1920 Publié en 1934 par la Librairie DELAGRAVE Bon état   Quelques leçons : Industrie de l’acide sulfurique, de la soude, du verre. Chaux, mortiers, ciments. Industries du sucre, de l’alcool, du vinaigre, des matières colorées …Engrais azotés, ammoniacaux, phosphatés, potassiques…Sulfate de fer, de cuivre. Analyse de la farine, de la pomme de terre, du lait. Dosage de l’alcool d’un vin. Expériences adaptées aux leçons de choses de l’Ecole Primaire Epreuves écrites données au Brevet Supérieur   LECONS DE PHYSIQUE   par L. PASTOURIAUX d’après les programmes officiels du 27 juillet 1909 à l’usage des écoles de garçons (première année) 188 pages Librairie DELAGRAVE Bon état général. Photos de la table des matières sur demande   CHIMIE   Enseignement du second degré. Classes de 2 e C MODERNE, C’ et M’ par J. LAMIRAND et M. JOYAL Programmes 1957 210 pages MASSON et Cie 1958 Couverture tachée, avec marques feutres. Intérieur en bon état   Quelques leçons : Eau, air, oxygène, oxydants et réducteurs, hydrogène, structure atomique, chlore, acide chlorhydrique, soude, chaux, soufre, gaz sulfureux, acide sulfurique, ammoniac, acide nitrique, carbone, gaz carbonique …   TROIS ANNEES DE CHIMIE   dans les Ecoles Primaires Supérieures rédigées conformément aux programmes du 21 janvier 1893 (garçons) et du 18 août 1893 (filles) par E. DRINCOURT ARMAND COLIN. 1897 272 pages. Couverture très abîmée. Ecritures en pages de garde et sur quelques pages.   COURS DE CHIMIE   par G RUMEAU et L ZIVY Classe de première Librairie DELAGRAVE 1942. 152 pages   Table des matières Le phosphore et ses composés Les charbons et le carbone L’anhydride carbonique L’oxyde de carbone La silice et les silicates Métaux et métalloïde Propriétés pratiques des métaux et alliages Chlorure et carbonates de sodium Quelques composés importants du calcium : calcaire, chaux, plâtre. Fer, fonte, acier Propriétés du fer Aluminium, alumine, alun Cuivre et alliages. Sulfate de cuivre   SCIENCES PHYSIQUES   par L PASTOURIAUX et G RUMEAU Classe de Troisième. troisième année de l’Enseignement supérieur Librairie DELAGRAVE. 1940. 288 pages   Chaleur, électricité, acoustique, optique. Chimie (méthane, acétylène, pétrole, acide acétique, corps gras, sucres …)    
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breizh.antiques.art@gmail.com 06 47 07 70 65 chem3 Dimension: 46 cm par 30 cm. A signaler quelques salissures, pliures, traces de scotch ou petits manques, comme indiqué sur la photo . Envoi rapide et soigné. ____________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Gabriel Loire Gabriel Loire Naissance 21 avril 1904 Pouancé Décès 25 décembre 1996 (à 92 ans) Chartres Nationalité Français Activité Peintre modifier - modifier le code - modifier Wikidata Gabriel Loire, né le 21 avril 1904 à Pouancé (Maine-et-Loire) et mort le 27 décembre 1996 à Chartres, est un artiste, peintre et maître-verrier français. Il est connu pour les très nombreux vitraux qu’il a exécutés à travers le monde. L'atelier qu'il a fondé à Lèves est aujourd'hui sous la direction de Jacques Loire son fils, et de ses petits-fils Hervé et Bruno Loire. Sommaire * 1 Biographie * 2 Techniques * 3 Œuvre * 3.1 France * 3.2 Allemagne * 3.3 Chili * 3.4 États-Unis * 3.5 Grande-Bretagne * 3.6 Japon * 3.7 Afrique du Sud * 4 Bibliographie * 5 Références * 6 Voir aussi * 6.1 Articles connexes * 6.2 Liens externes Biographie Gabriel Loire naît à Pouancé, en Maine-et-Loire, en 1904, troisième d'une famille de quatre enfants. La famille tient une tannerie dans le village. Il fait ses études au collège de Combrée, et les poursuit à Angers, en droit, puis en commerce, afin de se libérer du temps pour prendre des cours aux Beaux-arts1. À Angers, dans la cathédrale Saint-Maurice, il fait la rencontre de George Merklen, maître-verrier à Angers, qui le convainc d'utiliser le vitrail comme sujet de thèse. Avec l'aide de Merklen et du chanoine archiviste d'Angers, George Loire obtient son diplôme en 19242. Après son service militaire et la mort de Merklen, il se rend en 1926 à Chartres sous les conseils du révérend Père Banzet, jésuite de l'université d'Angers, qui l'oriente vers Yves Delaporte, chanoine et spécialiste de la cathédrale de Chartres. En 1926, il vient s’installer à Chartres où il travaillera chez Charles Lorin. Il fonde en 1946 ses propres ateliers dans cette même ville. Techniques Il utilise aussi bien la technique traditionnelle au plomb que des techniques modernes utilisant le béton qu’il a étudiées auprès du mouvement Bauhaus ou le thermoformage. Son œuvre est considérable. Il a installé par exemple des vitraux dans environ 450 édifices en France, 25 en Grande-Bretagne, 18 en Allemagne etc. Œuvre Liste non exhaustive France * Église de la Madeleine, à Pouancé, sa ville natale. * Église Saint-Laurent, à La Bresse (88), 1952 : un des projets les plus complets et les plus aboutis de Gabriel Loire dans les Vosges, puisqu'on y trouve, en plus des vitraux, l'ensemble du mobilier (lustres, confessionnaux, garniture d'autel, autels latéraux, chemin de croix, tentures - non retrouvées). La série de vitraux raconte les grandes tragédies de la ville : incendie d'une vallée durant la Guerre des Six Deniers (une guerre déclenchée sous le prétexte que la ville de Mulhouse devait six deniers à un meunier des alentours), massacres de la Guerre de Trente ans, épidémie de peste qui a décimé la population en 1635, massacre des résistants et destruction de La Bresse de septembre à novembre 1944. * Église Saint-Lazare de Lèves, près de Chartres, où sont situés les ateliers Loire. Un mur entier en dalles de verre a été réalisé par Gabriel Loire en 1955 lors de la reconstruction de l'église qui fut presque entièrement détruite lors des combats du 16 août 1944. * Église Saint-Hilaire de Mainvilliers, également près de Chartres et limitrophe de Lèves. * Église Notre-Dame-au-Cierge à Épinal (1958 à 1959, technique utilisée : dalle) : série de vitraux d’une surface totale de 668 m2 dont la pièce principale est d’une surface de 180 m2 d’un seul tenant. Ce vitrail représentant la vie de la Vierge Marie. * Église Sainte-Walburge à Xertigny (1951 à 1952) 8 baies (surfaces totale 64 m2, technique utilisée : plomb) représentant les saints de la région des Vosges (Jeanne d’Arc, Saint Pierre Fourier, Saint Romary, Saint Arnould, Saint Amé, Saint Del, Saint Guérin, Saint Blaise). Les vitraux ont été installés lors de la reconstruction de l’église qui fut détruite par un incendie pendant l’offensive allemande en 1940. L’artiste a représenté, l’église en feu sur le vitrail de Jeanne d’Arc. Les flammes du bûcher de la pucelle se mêlant aux flammes de l’église. Il a également réalisé, le chemin de croix (pierre) et des meubles. * Église Notre-Dame de Pitié à Kervignac  : l’œuvre est composée de 106 panneaux de 1,30 m de haut par 0,60 m de large qui relatent la vie de la Vierge Marie et du Christ. * Église Saint-Martin à Marck-en-Calaisis  : vitraux de verre et de béton, dans un style abstrait, 84 panneaux placés autour de la voûte, inspirés par le thème du partage du manteau de saint Martin (couleurs chaudes d'un côté et froides de l'autre), et 14 panneaux représentant les stations du Chemin de Croix, chaque station étant figurée de manière symbolique. Le montage s'est fait à Lèves dans ses ateliers, et posé à Marck en juin 1962. * Chapelle du Bon-Sauveur de Caen. * Chapelle du Juniorat (oblats de Marie immaculée) à Pontmain (Mayenne France). Avec un Christ Byzantin en ogive d'une modernité saisissante.. Et très nombreux vitraux qui méritent le voyage. * Église Notre-Dame de l'Assomption de Rânes (Orne) - verrière Ste Rosalie et verrière ND du Chêne, années 1950-60 Francis Delorge, ancien séminariste. * Notre Dame de Consolation à Hyères détruite en 1944, reconstruite et consacrée en juillet 1955, vitraux et béton * Chapelle du Pensionnat Jean-Baptiste-de-La-Salle à Rouen, 1951 à 1956. * Église Notre-Dame de Vimoutiers (Orne) - année 1954- remplacement de tous les vitraux détruits en 1944 à la Libération de la France. * Église Notre-Dame-de-la-Légion-d'honneur (Maine-et-Loire), 1860. Allemagne Église commémorative de l’empereur Guillaume Ier * Église du souvenir de Berlin (Kaiser-Wilhelm-Gedächtniskirche) à Berlin (1960 à 1963) : surface totale de 2 183 m2, technique : dalle. * Couvent de la Sainte-Croix à Püttlingen (Sarre), conçu par l’architecte hongrois Lehoczky, c’est le seul monastère de rédemptoristines en Allemagne. Chili * Basilique Notre-Dame de Lourdes à Santiago du Chili (achèvement : 1960) : 50 baies (technique : dalle, surface totale : 652 m2, restauration partielle par J.Loire en 1988). Il a également réalisé plusieurs mosaïques murales et le chemin de croix (1952) États-Unis Dallas, Texas, Chapelle de Thanks-Giving Square, Le toit de la chapelle forme une spirale recouverte par les vitraux (70 baies surface totale : 70 m2, technique : dalle, 1976) * Grace Cathedral à San Francisco (1967) (Technique : dalle, 25 baies, surface totale de 170 m2) * Chapelle de Thanks-Giving Square à Dallas Grande-Bretagne * Cathédrale de Salisbury, chapelle de la trinité (1980, technique : plomb) : le vitrail d’une surface de 34 m2 est dédié aux prisonniers de conscience. Japon * Musée d’art moderne d’Hakone (1973), tour de la symphonie (technique : dalle, surface totale : 336 m2). Afrique du Sud "Christ in Triumph over Darkness and Evil", la cathédrale St. George, Le Cap * La cathédrale St. George, Le Cap Bibliographie * Véronique Debendère et Xavier Debendère, Gabriel Loire : l'œuvre d'une vie, 1904-1996, Paris, Somogy,‎ 2004, 190 p. (ISBN  978-2-8505-6850-3, OCLC  59010635). * Le chemin de croix - publié chez l'auteur en 1933 - ouvrage illustré par G. Loire sur les Saintes Écritures en relation au thème du chemin de croix Références * ↑ Charles W. et Joan C. Pratt, Gabriel Loire; Les vitraux/stained glass, Centre International du Vitrail, 1996, p. 24 * ↑ Pratt, op. cit. p. 25 Voir aussi Articles connexes * Atelier Lorin * Vitrail * Dana Roman Liens externes * Notices d'autorité  : Fichier d'autorité international virtuel  • International Standard Name Identifier  • Union List of Artist Names  • Bibliothèque nationale de France  • Système universitaire de documentation  • Bibliothèque du Congrès  • Gemeinsame Normdatei  • WorldCat Sur les autres projets Wikimedia : * Gabriel Loire, sur Wikimedia Commons * Site des ateliers Loire. Le site comporte notamment l’inventaire exhaustif des œuvres de Gabriel Loire. * Centre international du vitrail * Vitrail : technique et fabrication, film de 1957 réalisé à Lèves et Chartres par André Rioton (durée : 15 min), lien vers le site Mémoire de Ciclic, "Mémoire, les images d’archives en région Centre". * Portail de l’Anjou et de Maine-et-Loire * Portail d’Eure-et-Loir Catégories  : * Maître verrier français * Peintre de vitraux * Naissance en avril 1904 * Naissance en Maine-et-Loire * Décès en décembre 1996 * Décès à Chartres | Menu de navigation * Non connecté * Discussion * Contributions * Créer un compte * Se connecter * Article * Discussion * Lire * Modifier * Modifier le code * Historique * Accueil * Portails thématiques * Article au hasard * Contact Contribuer * Débuter sur Wikipédia * Aide * Communauté * Modifications récentes * Faire un don Outils * Pages liées * Suivi des pages liées * Importer un fichier * Pages spéciales * Adresse permanente * Information sur la page * Élément Wikidata * Citer cette page Imprimer / exporter * Créer un livre * Télécharger comme PDF * Version imprimable Dans d’autres projets * Wikimédia Commons Autres langues * Deutsch * English * Svenska Modifier les liens * Dernière modification de cette page le 31 janvier 2016, à 17:44. * Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons paternité partage à l’identique; d’autres conditions peuvent s’appliquer. Voyez les conditions d’utilisation pour plus de détails, ainsi que les crédits graphiques. En cas de réutilisation des textes de cette page, voyez comment citer les auteurs et mentionner la licence. Wikipedia® est une marque déposée de la Wikimedia Foundation, Inc., organisation de bienfaisance régie par le paragraphe 501(c)(3) du code fiscal des États-Unis.
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Lors du paiement, merci d’indiquer le point de retrait Mondial Relay HISTOIRE MODERNE depuis le grand schisme d’Occident 1378) par M EM LEFRANC Tome deuxième : du grand Schisme d’Occident au second âge de la Réforme : 1378 – 1556 Librairie Jacques LECOFFRE. 1872. 492 pages   Table des matières Second âge de la Réforme (1556 – 1618) ou les temps de Philippe II, du prince d’Orange, d’Elisabeth et d’Henri IV Troisième âge de la Réforme, ou les temps de la Guerre de Trente Ans. Prépondérance de la France en Europe (1618 – 1718) Fin de la prépondérance de la France en Europe (1715 – 1740). Temps de Marie-Thérèse, de Frédéric le Grand, de Catherine la Grande et de l’Amérique septentrionale (1740 – 1783)   HISTOIRE CONTEMPORAINE jusqu'au milieu du XIX ème siècle par A. HUBY inspecteur général de l'instruction publique Nouveau cours d'Histoire - programmes officiels des 3 juin 1925 et du 30 avril 1931 Classe de première - lycée et collège de garçons et de jeunes filles Paris-Delagrave- 1945. Format: 14 X 19  cm - 736  pages- Nombreuses illustrations et cartes noir et blanc.   Table des matières Le Gouvernement et la société en France à la fin de l’Ancien Régime La crise financière et politique à la fin de l’Ancien Régime Les débuts de la Révolution (1789) L’établissement du nouveau régime (1790-1791) L’Assemblée Législative Les débuts de la Convention (1792-1793) La Convention Montagnarde (1793-1794) La fin de la Convention (1794-1795) La France sous le Directoire (1795-1799) Le Consulat (1799-1804) L’organisation du régime impérial La politique extérieure de Napoléon jusqu’en 1810 La France et l’Europe du Grand Empire (1810-1811) La fin de l’Empire Les Cent Jours et le Congrès de Vienne La politique étrangère de 1815 à 1830 La France sous la Restauration : le règne de louis XVIII La France sous la Restauration : le règne de Charles X La politique étrangère de 1830 à 1848 La Monarchie de Juillet (1830-1848) L’Angleterre pendant la première moitié du XIX ème siècle Le développement des Etats-Unis d’Amérique Le mouvement des idées de 1815 à 1848   HISTOIRE : L’ANTIQUITE. COURS J. ISAAC Classe de 6 ème. Classe d’orientation, année préparatoire des E.P.S, des Ecoles Pratiques et des Cours Complémentaires. Ouvrage conforme aux programmes du 30 août 1932. par G DEZ et A WEILER Librairie HACHETTE.   1938. 312 pages   Table des matières Notions préliminaires Les débuts de l’Histoire L’Orient La Grèce Rome   HISTOIRE : LE MOYEN AGE. COURS J. ISAAC Classe de 5 ème, première année des E.P.S et des Cours Complémentaires ouvrage conforme aux programmes du 11 avril 1938 par A. ALBA Librairie HACHETTE. 1938. 314 pages   Table des matières  Voir photos   HISTOIRE : LES TEMPS MODERNES. COURS J. ISAAC Classe de 4 ème, deuxième année des E.P.S et des Cours Complémentaires Ouvrage conforme aux programmes du 11 avril 1938 par André ALBA Librairie HACHETTE. 1939. 481 pages   Table des matières Voir photos   GEOGRAPHIE : LA FRANCE Cours DEMANGEON par Louis FRANCOIS et Albert DEMANGEON Classe de Troisième Ouvrage conforme aux programmes officiels du 11 avril 1938 Librairie HACHETTE. 1938. 298 pages   Table des matières La structure et le relief Climat et végétation Les Massifs hercyniens, le Massif Central Les Alpes Le Jura et les Pyrénées Les Plaines Les rivières de France : Rhin, Seine, Loire, Garonne, Rhône Les Côtes Les villages et les villes La population L’économie française. La vie rurale Les cultures L’élevage et la pêche Les source d’énergie. L’industrie métallurgique et chimique L’industrie textile, le tourisme. Le commerce intérieur. La route, l’eau, le rail. Le commerce extérieur L’Empire Colonial français, l’Afrique du Nord Le Sahara Voyage à travers l’A.O.F L’Afrique Equatorial L’Indochine Madagascar. Etablissements de l’Inde côte des Somalis, Etats du Levant Les petites Colonies : Guyane, Martinique, La Réunion, Guadeloupe. Iles du Pacifique. Extraits de Cartes d’Etat-Major     PRECIS DE GEOGRAPHIE ANCIENNE ET MODERNE COMPAREE   pour l’usage des Collèges et de toutes les maisons d’éducation Ouvrage renfermant tous les détails qui peuvent faciliter l’étude de l’Histoire   et l’intelligence des auteurs classiques par Félix ANSART Librairie ecclésiastique et classique de CH FOURAUT. 1857. 180 pages Autres photos sur demande    
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