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Prisonniers civils


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Lille (Nord)
MEDAILLE PRISONNIERS CIVILS DEPORTES ET OTAGES DE LA GRANDE GUERRE  1914 / 1918 médaille en bronze  Elle est créée en mars 1936 pour se souvenir du sacrifice, des actes de dévouement à la Patrie et des épreuves qu'ont subies tous les civils emprisonnés, déportés ou pris en otage par les Allemands entre 1914 et 1918. Elle se substitue de fait à la Médaille des Victimes de l'Invasion créée en 1921 et on ne peut pas recevoir les deux médailles. Peuvent prétendre à cette décoration, les habitants de toutes les régions envahies par l'ennemi, y compris les départements du Haut-Rhin, du Bas-Rhin et de la Moselle, prisonniers civils, déportés, emmenés comme otages ou internés dans des camps de concentration. Ce droit est acquis, à titre posthume, aux prisonniers civils tués ou décédés des suites de blessures reçues ou de privations endurées au cours de l'internement. A compter de la promulgation de la loi du 4 janvier 1951, il est ouvert un délai d'un an pour la présentation et pour le renouvellement des demandes qui, à cette date, n'ont pas encore donné lieu à une décision notifiée aux intéressés. Si les bénéficiaires sont décédés, leurs ayants droit peuvent solliciter, dans le même délai, l'attribution de cette médaille à titre posthume.   EXCELLENT ETAT OCCASION
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Caen (Calvados)
Médaille des Prisonniers civils, Déportés et Otages de la Grande Guerre. Créée par la loi du 14 mars 1936. Elle est en bronze, ronde, d'un module de 32 mm. A l'avers, une femme dont un poignet est enchaîné, tient de l'autre main un flambeau, symbole du foyer qu'elle doit abandonner. Au revers, l'inscription: " PRISONNIERS CIVILS, DEPORTES ET OTAGES DE LA GRANDE GUERRE". entourée d'une chaîne. Le ruban est à dominante rouge avec un liseré vert sur chaque côté et, au centre, une raie verticale bleue de 5 mm encadrée de deux petites raies blanches de 2 mm. Le modèle présenté porte un ruban insolé Les frais d'expédition et d'emballage en enveloppe bulles: En envoi Ecopli suivi ou lettre prioritaire suivie France.
30 €
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Caen (Calvados)
Médaille des Prisonniers civils. Déportés et Otages de 1914-1918. Créée par la loi du 14 Mars 1936. Description: En bronze, ronde, d'un module de 32 mm. A l'avers, une femme, dont un poignet est enchaîné, tient de l'autre main un flambeau, symbole du foyer qu'elle doit abandonner. Au revers, l'inscription: PRISONNIERS CIVILS DEPORTES ET OTAGES DE LA GRANDE GUERRE entourée d'une chaîne. Le ruban rouge avec un liseré vert sur chaque côté et au centre, une raie verticale bleue encadrée de deux petites raies blanches. Les frais d'expédition et d'emballage au tarif lettre prioritaire suivie Collection occasion à vendre à Caen (14000)
30 €
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France (Toutes les villes)
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France
breizh.antiques.art@gmail.com. http://stores.shop..fr/breizh-antiques 15 Médaille en bronze argenté. Avec sa boite. Graveur:  A déterminer . Dimension: 62 mm. Poids: 138 g. Métal: bronze. Poinçon sur la tranche (mark on the edge) : bronze + Balme . Envoi rapide et soigné. Le support utilisé pour présenter la médaille n'est pas à vendre. The stand used for the medal presented is not for sale.   ______________________________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Voves Pour les articles homonymes, voir Voves cendré. Cet article est une ébauche concernant une commune d'Eure-et-Loir. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) Le bandeau {{ébauche}} peut être enlevé et l’article évalué comme étant au stade Bon début quand il comporte assez de renseignements encyclopédiques concernant la commune. Si vous avez un doute, l'atelier de lecture du projet Communes de France est à votre disposition pour vous aider. Consultez également la page d'aide à la rédaction d'un article de commune. Voves Administration Pays  France Région Centre-Val de Loire Département Eure-et-Loir Arrondissement Chartres Canton Voves (chef-lieu) Intercommunalité Communauté de communes de la Beauce vovéenne Maire Mandat Marc Guerrini (UDI) 2014 -2020 Code postal 28150 Code commune 28422 Démographie Gentilé Vovéens Population municipale 3 091 hab. (2012) Densité 94 hab./km2 Géographie Coordonnées 48° 16′ 22″ Nord 1° 37′ 38″ Est Altitude Min. 139 m – Max. 156 m Superficie 32,98 km2 Localisation Géolocalisation sur la carte : France Voves * Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire * Voir sur la carte topographique d'Eure-et-Loir * Voir la carte administrative de France Liens Site web Site officiel modifier   Voves est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire. Ses habitants se nomment les Vovéens. Sommaire * 1 Géographie * 1.1 Lieux dits * 1.2 Communes limitrophes * 2 Histoire * 2.1 Paléolithique * 2.2 La fibule de Voves * 2.3 Les fortifications de Voves * 2.4 Maison du Temple de Voves * 2.5 Le camp de Voves (XXe siècle) * 2.5.1 Le camp aujourd'hui * 3 Blasonnement * 4 Politique et administration * 4.1 Tendances politiques et résultats * 4.2 Liste des maires * 5 Démographie * 6 Jumelages * 7 Lieux et monuments * 8 Personnalités liées à la commune * 9 Cadre de vie * 10 Articles connexes * 11 Liens externes * 12 Notes Géographie Lieux dits * Villarceaux * Foinville * Soignolles * Genonville * Yerville * Sazeray * Lhopiteau Communes limitrophes Carte de Voves et des communes limitrophes. Histoire Paléolithique Un diagnostic fait à Voves a livré une petite série lithique attribuable au paléolithique final. L’intérêt du site réside aussi dans la présence d’ossements d’aurochs, conservés au contact entre les limons et un niveau de marnes sous-jacent. La fibule de Voves Découverte en 1969 à l'occasion de travaux dans un jardin privé du quartier de la Poste, à 1,60 m de profondeur environ, cette fibule est en cuivre émaillé et a l'aspect d'une roue à huit rayons, au moyeu épais de 1,4 cm. Son diamètre est de 5,5 cm. Les couleurs sont encore très vives. Le moyeu est vert clair et bleu. Au-dessus, sont représentées des « fleurs», aux pétales bleu foncé et blancs dont le centre est turquoise. Elles sont prises dans une pâte vert clair. L'émail des rayons est alternativement bleu et rouge. Quant au contour du bijou, il est constitué d'une très fine mosaïque bleu foncé et blanche, sertie dans une pâte vert clair. Le travail est d'une minutie extraordinaire. La datation, en l'absence d'un contexte sérieux, est délicate. L’abbé Nouel, dans son ouvrage Les Origines gallo-romaines du Sud du Bassin parisien, a publié une fibule ornée d'émaux trouvée à Bazoches-les-Hautes (Eure-et-Loir), qu'il date du IIe ou IIIe siècle ap. J.-C., et qui présente de grandes ressemblances avec celle de Voves. Il s'agit, peut-être, d'une fabrication d'inspiration ou de tradition celtique, œuvre d'un atelier gaulois. Les fortifications de Voves Voves par Louis Boudan, 1696. « Vue du bourg de Voves. En Beauce, sur le grand chemin de Chartres à Orléans, a une lieu de Beauvillier. 1696 » Depuis le XIVe siècle, la présence continuelle de gens d’armes et d’arbalétriers dans la région de Chartres est attestée. En août 1387, le bourg de Voves était victime de brigandages, semble-t-il récurrent dans cette partie de la Beauce, à tel point que le roi de France, Charles VI envoya le Bègue de Villaines pour délivrer le bourg de ces brigands. Le chef de ces troupes de brigands n’était autre que Gaucher de Chartres, frère de Philippe, seigneur de Chartres et capitaine de Chartres en 1380. Après cette intervention, il rendit le fort de Voves avec tous les biens qui y étaient dans le cadre d’une transaction qui fut passée avec les chanoines et notamment Pierre Guette, chanoine nommé à la prébende de Voves en 1385. Il est cependant impossible de savoir si les fortifications de Voves furent rétablies telles qu’elles existaient avant leur destruction par Gaucher de Chartres même s’il est certain qu’elles n’existaient plus au commencement du règne de Louis XIII (en 1610). À cette époque, une effervescence régnait et une ligue imposante s’était formée contre la régente Marie de Médicis. La Beauce a été victime des dégradations commises durant les guerres de religion et de la ligue. En avril 1614, les habitants de Voves adressent une requête au Chapitre, seigneur temporel du bourg, pour demander le rétablissement des fortifications. La permission accordée le jour même par le Chapitre, fut aussitôt adressée au roi avec la requête des habitants et Louis XIII ne fit pas attendre sa sanction en envoyant des lettres-patentes octroyant de « faire clore, fermer et environner de fossés, murs, tours, tourelles, boulevers, ravins, esperons et ponts-levis le-dit bourg et village de Voves ». Pendant plusieurs décennies, le calme semble être revenu dans le bourg de Voves. En 1642, un premier incident, répertorié par le curé Gendron dans le registre de l’état-civil du bourg, eu lieu avec des soldats attaquant les habitants qui s’étaient réfugiés dans l’église pour se protéger. Seuls 39 maisons subsistèrent après un incendie. En janvier 1659, les habitants sont de nouveau victimes de la violence de gens d’armes. Ces derniers demandèrent la démolition des murailles, désarmèrent les habitants puis profanèrent l’église et la clôture du cimetière. Ils empêchèrent aussi le vicaire perpétuel de porter les sacrements aux malades. Début février 1659, une expertise eut lieu : la voûte de l’église menaçait de ruine, la clôture et les portes du cimetière avaient été démolies. On se contenta alors de faire à l’église les réparations indispensables et le bourg fut privé pour toujours de ses fortifications. Passionné par l’histoire de France, Roger de Gaignières (1644 -1715) amasse en près d’un demi-siècle une collection considérable de manuscrits historiques, de portraits et de documents originaux. Dans cette entreprise, Roger de Gaignières ne se contente pas de collectionner des documents existants, il en constitue une grande partie accompagné notamment par le copiste et dessinateur, Louis Boudan. Ils parcourent la France du nord afin de relever des tombeaux, des épitaphes et des vues topographiques. En 1696, Louis Boudan réalise cette très jolie estampe du bourg de Voves, ci-contre, dont on peut voir en avant-plan un moulin, puis le village encerclé par une enceinte de protection. L’église « de l’ange gardien, paroisse du bourg », majestueuse, est au centre de la vue. La partie iconographique de ce fonds qu’Henri Bouchot publie en 1891 dans son Inventaire des dessins exécutés pour Roger de Gaignières est conservée au département des Estampes et des Manuscrits de la BNF. Maison du Temple de Voves L'ancienne maison du Temple de Voves fut désignée, après que les Hospitaliers en eurent pris possession, sous le nom de maison de « l'Hopitau », ainsi qu'elle est mentionnée dans le procès-verbal de la visite prieurale de 1495  : « La ferme du Temple de Vausves, aujourd'hui l'Hopitau, où y a chappelle, fondée de saint Jehan, chargée tous les moys d'une messe et où a III ou IIII cens arpens de terre et maison pour le fermier et toute jurisdicion ». La maison de Voves fut détruite pendant les guerres du XVe siècle. Une partie des terres fut réunie à la maison de Sours, et une autre partie donnée à cens et à rente perpétuelle. Le camp de Voves (XXe siècle)  Inscrit MH (2004)1. Entre le 29 janvier 1939 et le 8 février, plus de 2 000 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant les troupes de Franco, arrivent en Eure-et-Loir. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (le camp de Lucé et la prison de Châteaudun rouverte pour l’occasion), 53 villages sont mis à contribution2, dont Voves3. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont désarmés et retenus dans le Sud de la France), sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré4. Une partie des réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, mais en décembre, 922 ont préféré rester et sont rassemblés à Dreux et Lucé5. Article détaillé : Retirada. Le camp de Voves 6 a été bâti en 1939 pour accueillir un centre d'instruction de la route. Il est utilisé en 1940 et 1941 par l'armée allemande pour le regroupement de prisonniers de guerre français. À la fin de 1941, les autorités françaises cherchent à déplacer le camp d'Aincourt, dans l'actuel département du Val-d'Oise, où sont internés depuis octobre 1940 des militants communistes de la région parisienne. C'est dans ce but que l'armée d'occupation accepte de restituer à l'administration française le camp de Voves. Le 5 janvier 1942, un premier groupe d'internés arrive d'Aincourt à Voves pour remettre les lieux en état. Durant les mois d'avril et de mai suivants, des arrivées massives marquent le début du fonctionnement réel du camp. Les premiers internés viennent non seulement du camp d'Aincourt mais aussi de ceux de Gaillon, dans l'Eure, et du camp de Châteaubriant, en Loire-Inférieure. D'autres transferts suivront, notamment en provenance des camps de Rouillé, dans la Vienne, d'Écrouves, en Meurthe-et-Moselle, et de Pithiviers, dans le Loiret. La grande majorité des internés est constituée de « politiques », principalement des militants et sympathisants communistes, mais quelques-uns sont, pour reprendre le vocabulaire de l'époque, des « indésirables », essentiellement des étrangers, et des « droits communs », trafiquants du marché noir ou repris de justice. L'histoire du camp est marquée par l'importance du rôle joué par la direction politique communiste, bien sûr clandestine, qui, dans le but de former des cadres politiques et militaires pour la Résistance, crée une véritable université et organise des représentations théâtrales et des compétitions sportives, mais aussi, de façon plus dramatique, par les prélèvements d'otages et les transferts d'internés vers les camps de concentration d'Auschwitz et de Mauthausen, enfin par plusieurs évasions spectaculaires. Dans la nuit du 5 au 6 mai 1944, quarante-deux internés s'évadent par un tunnel de cent quarante-huit mètres de long, creusé à partir de la baraque des douches et qui descend à deux mètres de profondeur pour passer sous la clôture du camp. Un détachement de SS prend alors le contrôle du camp et, le 9 mai, la totalité des internés est transférée au camp de Royallieu, puis, quelques semaines plus tard, dans le camp de concentration de Neuengamme, près de Hambourg. Il n'y aura que peu de survivants… D'août 1944 à 1947, le camp est à nouveau utilisé, cette fois pour accueillir des prisonniers de guerre allemands. Le camp aujourd'hui Le site du camp est aujourd'hui un lieu de mémoire, entretenu par un Comité du souvenir. Il regroupe une baraque musée, un Mémorial, un wagon du type de ceux ayant servi à la déportation des internés, divers souvenirs du camp et un arboretum. Blasonnement Les armoiries de Voves se blasonnent ainsi : D’azur au râteau levé d’argent, au moulin à vent d'or brochant sur le manche, accosté de deux gerbes de blé du même. Création Conseil Français d'Héraldique Politique et administration Tendances politiques et résultats Article connexe : Élections municipales de 2014 en Eure-et-Loir. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Liste des maires Liste des maires à partir de 1945 Période Identité Étiquette Qualité mai 1945 mai 1983 Roger Gommier     mai 1983 mai 2001 André Coeuret     mai 2001 mai 2008 Maryvonne Genin     2008 … Marc Guerrini UDI   Démographie            Évolution de la population  ] 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1 044 1 173 1 163 1 136 1 256 1 315 1 283 1 303 1 436            Évolution de la population  ], suite (1) 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1 468 1 514 1 670 1 845 1 736 1 913 1 960 1 996 2 023            Évolution de la population  ], suite (2) 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 2 021 2 070 2 081 1 903 2 019 2 070 2 017 2 161 2 110            Évolution de la population  ], suite (3) 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2012 2 352 2 506 2 619 2 834 2 785 2 928 2 910 2 910 3 091 De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes  ; pour les dates suivantes : population municipale. (Sources : Ldh/EHESS /Cassini jusqu'en 19997 puis Insee à partir de 20048.) Histogramme de l'évolution démographique Jumelages  Stroncone  (Italie) depuis le 14 juillet 2007 Lieux et monuments * Église Saint-Lubin (XIIe s., XVe s., XVIe s.). * Fontaine Saint-Lubin. * Dolmen (à proximité de la fontaine Saint-Lubin). * Site de l'ancien camp de prisonniers de guerre puis camp d'internement. Personnalités liées à la commune * Hugues Capet (né vers 939-941, mort en 996), roi des Francs  ; * François Gendron (1618-1688), vicaire de Voves (frère du curé Jacques Gendron), missionnaire au Mexique et dans les Indes où il acquit de grandes connaissances dans la flore ; guérisseur réputé notamment pour soigner les cancers, il fut choisi par Louis XIV pour soigner le cancer de sa mère Anne d'Autriche ; * Claude Deshayes-Gendron (1663-1750), docteur en médecine (petit-neveu de François Gendron) ; * Philippe Alliot (1954-), pilote automobile. Cadre de vie Ville fleurie : deux fleurs au Concours des villes et villages fleuris 9. Articles connexes * Liste des monuments historiques d'Eure-et-Loir * Liste des communes d'Eure-et-Loir * Liste des anciennes communes d'Eure-et-Loir Liens externes Sur les autres projets Wikimedia : * Voves, sur Wikimedia Commons * Voves, sur le Wiktionnaire * Site officiel * Voves sur le site de l'Insee Notes * ↑ « Ancien camp d'internement de Voves »  ], base Mérimée, ministère français de la Culture * ↑ Jeanine Sodigné-Loustau, « L'Accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre  ] », Matériaux pour l'histoire de notre temps. 1996, no 44. p. 43. * ↑ Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 46. * ↑ Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 43-44. * ↑ Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 47. * ↑ Stéphane Fourmas, Le centre de séjour surveillé de Voves (Eure-et-Loir), janvier 1942-mai 1944., mémoire de maîtrise d'Histoire, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne,‎ 1999, 220 p. * ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui  ] sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales. * ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006  ], 2008  ], 2012  ]. * ↑ Villes et villages fleuris - Eure-et-Loir  ]   v  · m Communes de la communauté de communes de la Beauce vovéenne   v  · m Communes du canton de Voves * Portail d’Eure-et-Loir * Portail des communes de France Catégories  : * Commune d'Eure-et-Loir * Commune du canton de Voves * Commune de la 4e circonscription d'Eure et Loir * Commune de l'arrondissement de Chartres | Menu de navigation * Créer un compte * Se connecter * Article * Discussion * Lire * Modifier * Modifier le code * Historique * Accueil * Portails thématiques * Article au hasard * Contact Contribuer * Débuter sur Wikipédia * Aide * Communauté * Modifications récentes * Faire un don Imprimer / exporter * Créer un livre * Télécharger comme PDF * Version imprimable Outils * Pages liées * Suivi des pages liées * Importer un fichier * Pages spéciales * Adresse de cette version * Information sur la page * Élément Wikidata * Citer cette page Autres langues * Български * ᨅᨔ ᨕᨘᨁᨗ * Català * Cebuano * Deutsch * English * Español * Euskara * Magyar * Bahasa Indonesia * Italiano * Malagasy * Bahasa Melayu * Nederlands * Occitan * Polski * Piemontèis * Português * Română * Slovenčina * Slovenščina * Svenska * Українська * Oʻzbekcha/ўзбекча * Tiếng Việt * Volapük * Winaray * 中文 * Bân-lâm-gú Modifier les liens * Dernière modification de cette page le 1 décembre 2015 à 17:42. * Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons paternité partage à l’identique; d’autres conditions peuvent s’appliquer. 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Prisonnier de Mao Sept ans dans un camp De travail en Chine Jean Pasqualini Éditions: Gallimard Année: 1975 340: Pages Format: 15 / 22 cm Français et d'une mère Chinoise, qui a passé 7 ans dans les camps de concentration (Lao Gai) de Mao en Chine, de 1957 à 1964. La spécificité des camps du Lao Gai Chinois par rapport au Goulag Soviétique, s'incarnait dans la prédominance que les tortionnaires Chinois consacraient à la réforme de la pensée. Mais les deux systèmes concentrationnaires exténuaient, de la même manière, les prisonniers aux travaux forcés (esclavagisme). La méthode de l'épreuve (lavage de cerveau) en Chine, consistait pendant des mois, à interroger et torturer psychologiquement jours et nuits un individu innocent (arrêté souvent sur délation), jusqu'à ce qu'il avoue (auto-accusation), et signe des aveux complets, de délits qu'il n'avait pas commis, afin de lui démontrer qu'il était bel et bien, un "ennemi du peuple", un infâme "contre-révolutionnaire". Ces multiples "rapports idéologiques" servaient de fausses preuves lors de son procès truqué. Il lui était alors infligé le pseudo-jugement, à la peine de plusieurs années de camps de concentration, pour y être rééduqué par le travail avec des objectifs de productivité inhumains; voire de passer par le peloton d'exécution, s'il résistait à la méthode de rééducation psychologique. Tout ce processus était réalisé dans un contexte permanent de famine, d'humiliation, d'insultes... bref de déshumanisation de la personne. Pour survivre, l'auteur devait lui et les autres prisonniers, faire les poubelles à la recherche de résidus de nourriture, et trouver des astuces avilissantes, comme par exemple: extirper du crottin de cheval, des grains de maïs non digérés pour s'alimenter; car la ration alimentaire était tellement basse et les objectifs de productivité tellement élevés, qu'il risquait à tout moment de mourir de faim, de maladie ou d'épuisement. Dans ce témoignage, jean Pasqualini, décortique le processus de généralisation de l'endoctrinement idéologique du totalitarisme communiste par: la manipulation mentale, la propagande, le mensonge, etc., dans le but de transformer l'"homme ancien" en "homme nouveau", exempt de toute "souillure" bourgeoise, capitaliste et impérialiste. Après plusieurs années de "rééducation" en camps de concentration, l'objectif ultime était de faire en sorte que l'individu en arrive à ne plus penser par lui-même, mais uniquement à travers l'idéologie imposée par l'Etat communiste. Dans la lignée de nombreux autres témoignages, cette formidable oeuvre atteste du fanatisme, ainsi que de l'extrême délire idéologique du régime totalitaire communiste, ce dernier ayant exterminé, dans la Chine de Mao Zedong, environ 65 MILLIONS de civils innocents ! En ce début de 21ème siècle, les horribles camps de concentration du Lao Gai sont toujours en activité en Chine communiste...
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