Realite mensonge

La vie est un songe Calderon de la Barca Librio n°130 1996 Prix: 0,30 € Résumé: Qu'est-ce que la vie ? Délire ? Illusion ? Enchaîné dans sa tour, Sigismond ne sait plus que croire. Ne sait-il pas vu quelques heures plus tôt, héritier légitime du royaume, vêtu de brocarts, promis aux honneurs dans un palais somptueux ? Songe ou mensonge ? La réalité lui échappe... Pour l'éclairer, il lui reste un souvenir. La beauté de la femme ! " Soleil, Vénus, diamant, étoile et rose. " Elle lui est apparue à deux reprises. Travestie, déguisée... Peu importe. Cette Diane chasseresse l'a blessé. Il l'aime. C'est là sa seule certitude... Aussi, lorsque le peuple se soulève et lui offre à nouveau sa liberté, lorsqu'il se retrouve, belle entre toutes, Rosaura, Sigismond veut croire en sa bonne fortune... Vivre ou rêver ? Dilemme ! Mais " puisque la vie est si courte, rêvons ! Sachant qu'il faudra s'éveiller de ce bonheur au meilleur moment "... Catégorie(s): Théâtre (Théâtre et Poésie) Référence du livre: R04416 Pour retrouver tous mes livres tapez loccasiondelire dans la barre de recherche (ou ailleurs sur le net).

Libres! 100 auteurs, 100 id?es Collectif La Main Invisible Auteur: Collectif La Main Invisible Editeur: Roguet Broché: 280 pages paperback Edition: 1re Publication: 18/09/2012 Dimensions: 21,01 x 14,6 x 1,5 Langue: Français Publier en: Français Languages d'origine: Français Help ? Le collectif « La Main invisible » n est ni une association, ni un parti. Simplement des personnes qui chérissent la liberté. Il fait référence à la célèbre image inventée par le grand économiste Adam Smith dès 1755, et rendue célèbre en 1776 dans La Richesse des Nations, pour illustrer le mécanisme abstrait et spontané du marché. pour en finir avec le mensonge Le libéralisme c'est avant tout une philosophie de la liberté et du droit, bien avant d'être un courant en économie! Je n'avais certes pas besoin de libres! pour affirmer ma philosophie, mais j'y ai trouvé une foule d'arguments nouveaux ou remis au goût du jour qui - s'ils ne sont pas de qualité égale - expriment sans abiguïté à la face du monde que le libéralisme n'est pas cette caricature infâme et infâmante colportée par ignorance ou claire volonté de nuire. Quand on referme Libres!, on éprouve le double sentiment de gratitude à la fois envers les idées mais également pour les auteurs et les initiateurs de ce projet, car cette aventure a été menée à bien bénévolement. On vous dit que les libéraux sont ces renards cupides dans un poulallier? Lisez libres! et révisez votre point de vue, vos certitudes et comprenez que - du chômeur au capitaine d'entreprise - tous ne défendent qu'une seule valeur (mais quelle valeur!): la liberté, et réaffirment qu'elle ne peut exister sans son corollaire: la responsabilité. C'est aussi un livre inégal, car il est le reflet de l'expression de gens très différents. Certains styles sont moins élaborés que d'autres, et quelques idées mériteraient d'être développées autrement, moins hermétiquement. Mais quand on referme Libres! on a la confirmation que le monde dans lequel on vit ne propose ni l'un ni l'autre, que l'on regarde à gauche ou que l'on regarde à droite de l'échiquier politique. On sent bien que derrière les diverses formes de collectivisme qui nous sont proposées (ou imposées, c'est selon) pointe l'abrogation des libertés individuelles; on voit bien que derrière les grands discours sur la redistribution et la solidaritée forcée pointe la volonté de subtiliser aux individus la responsabilité de leurs choix et de leurs actes. De l'artisan au PDG, tous en parlent peu ou prou dans Libres! Le libéralisme est, avant tout, une philosophie de la liberté - voilà ce que 100 auteurs ont voulu (ré-)affirmer. Lire la suite ? Etonnant et détonant ! Moi aussi j'ai eu une version de pré-édition par un des auteurs. Bien entendu, tous les sujets ne m'ont pas parlé de la même façon, mais bien des textes ont bousculé mes préjugés et amené à réflechir. Je le conseille à tous, car la liberté nous concerne tous. De plus, le concept est carrément original et novateur. Un excellent manuel du libéralisme Un livre excellent. La réunion de cent auteurs qui se sont rencontrés sur Facebook a permis d'aborder dans Libres les questions quotidiennes et fondamentales des libertés et les grands principes du libéralisme politique. Voir cet article critique sur mon blog littéraire: [...] Sur mes cahiers d'écolier, j'écris ton nom Liberté ! Jamais autre principe n'a fait couler autant d'encre et de sang dans l'histoire que la Liberté. Partout on a fait des révolutions en son nom. Partout en son nom des élites ont réclamé le pouvoir et souvent elles ont abouti à des régimes qui étaient aux antipodes. Nos systèmes contemporains, que l'on nous présentait il y a encore peu comme un idéal de liberté et de démocratie nous montrent aujourd'hui leur vrai visage: un social clientélisme généralisé dont le principal aboutissement est d'avoir porté aux nues une caste technocrate et son avatar corporatiste qui vivent grâce à une loi qu'ils ont façonné à leurs intérêts et aux largesses d'une dépense publique qu'ils contrôlent. Une loi et des dépenses qu'ils ont utilisé pour éliminer ceux, meilleurs, qui auraient dû prendre leur place; vidant la démocratie de toute véritable liberté de choix et l'économie d'un renouvellement fondé sur l'utilité collective de la production. Ce système est en train de s?effondrer devant l?ampleur du gaspillage qu?il a organisé pour se maintenir. La seule forme politique alternative organisée reste l?extrémisme qui s?alimente d?une colère légitime d?un peuple dupé pendant des décennies. Nous sommes nombreux à refuser la fatalité qui s?installe entre ruine et colère, à réclamer enfin que le monde de demain se construise sur les talents de chacun. Car être libéral c?est bien cela avant toute chose: croire aux talents de chacun et réformer un système afin qu'il cesse d'entraver et qu'il pousse ces talents à s?exprimer pour le plus grand bien et des individus et de la communauté. La richesse et le progrès ne peuvent naître qu?à la base de la société, jamais dans l?histoire elles n?ont pu être décrété. « Libres » est un livre qui s?inscrit dans cette démarche. Ecrit par une centaine de « Monsieur (et Madame) tout le monde » sur des sujets divers il présente une centaine d?idées, de problématiques souvent complexes mais dont les solutions sont simples dès lors que l?on accepte de faire confiance aux talents et à l?initiative pour les résoudre. Un livre à l?image du libéralisme, qui n?est en rien une doctrine unique, et qui - la Suède l'a prouvé-, n?a jamais interdit la solidarité si chère à notre pays; Un livre avec lequel on peut être d?accord sur certaines idées, moins sur d?autres mais qui dans leur ensemble relèvent d?une démarche simple, éthique avec laquelle nous adhérons tous: libérez les talents. Ouvrez ce livre, découvrez la richesse de chacun, découvrez ce qu?est ce libéralisme qui renaît fortement en France, à l'image de nos blogs et nos journaux dont les fréquentations explosent. C'est qu'à l'heure où l'effondrement de l'état tel que nous le connaissons est inexorable, nous pourrions devenir bientôt l?ultime rempart solide, efficace et modéré dans un monde qui s?écroule. Lire la suite ? Une forme nouvelle, un fond passionnant A une forme nouvelle (100 auteurs différents quand même...) ce livre associe surtout un message intéressant, rarement entendu en France. La liberté sous toutes ses formes, dans tous les champs. Un vrai bol d'air! A lire et à relire... Largement bourré d'idées, et de démarches surprenantes, toujours réfléchies et originales. On est pas toujours d'accord, mais toujours content de voir que des points de vues qui ne sont pas les nôtres sont exposés avec clarté et intelligence. Un livre plein de bon sens! Avis à ceux qui rêvent d'une société Libre... Faisant partie des auteurs de Libres! mon avis pourrait sembler impartial, toutefois j'ai moi-même découvert les 99 autres textes une fois le livre publié et c'est à ce sujet que je peux m'exprimer en toute objectivité (d'autant plus que nous avons tous écrit bénévolement). J'avoue qu'il m'a fallu un moment pour le lire mais comme chaque article est indépendant de l'autre, vous pouvez lire certains textes puis revenir à d'autres plus tard; il s'agit réellement d'une lecture libre! Je craignais un peu un côté trop militant, mais c'est avec bonheur que j'ai découvert le point de vue de chacun sur des sujets des plus divers comme la famille, l'emploi, la pauvreté, les impôts, etc. La plupart m'ont poussée à réfléchir plutôt que de m'imposer un avis carré comme s'il s'agissait de la vérité universelle. C'est rare et c'est appréciable! Ce livre s'adresse donc à tout individu en quête d'une société Libre, une société qui remet l'individu au centre de la discussion au lieu de le confondre dans la communauté. Un livre que nos dirigeants devraient lire de toute urgence, mais comme je doute de leurs capacités intellectuelles à ce stade (ou du moins de leur capacité à réévaluer leur philosophie), je crois qu'il pourrait représenter surtout une belle source d'inspiration pour chacun d'entre nous. Car c'est à nous, citoyens, de faire valoir notre droit le plus légitime; celui d'être Libre! Et la liberté n'est rien sans son corolaire la responsabilité! Voilà ce qu'est Libre, une invitation à être libre, autonome, responsable; tout en nous mettant les yeux en face des trous afin de prendre conscience de la terrible réalité qui se joue au quotidien! Merci aux fondateurs de ce projet unique! Lire la suite ? Les clients ayant achet? cet article ont ?galement achet? Mot Clef: Etudes sup?rieures Universit? Sciences politiques

Camus fut algérien et algérois, journaliste, essayiste, romancier, dramaturge, metteur en scène, acteur... Avec cette biographie, sa personnalité apparaît dans toute sa complexité, grâce à de nombreux inédits dont sa correspondance. Camus était charmeur et ombrageux, sincère et théâtral, plein de doutes et arrogant. Il voulait être aimé et y parvint souvent. Il cherchait à être compris et n'y parvint pas toujours. Il parla trop de bonheur pour être heureux et serein. Faut-il pour autant l'imaginer malheureux comme Sisyphe ?Dans sa vie privée et ses engagements publics, un Camus inattendu - souvent inconnu - surgit à travers ses prises de position politiques ou artistiques, ses amitiés et ses amours. Camus reste inclassable, solitaire et solidaire, un frère ennemi de Sartre... Communiste puis anticommuniste, il connaissait le prix humain des idéologies. Il ne voulait être ni victime ni bourreau. Pour lui, la souffrance n'avait pas de frontière mais les tyrans avaient toujours la carte d'un parti. Déchiré par la guerre d'Algérie, Camus vécut aussi les amères victoires et les fécondes défaites de la justice et de la violence.Plus de trente-cinq ans après sa mort, celui qui prétendait ne pas être le Clamence de La Chute - ce juge pénitent qui se vouait à l'enfer ou au purgatoire - redevient un «dangereux classique». Dans cette biographie fascinante, Olivier Todd nous brosse un portrait en chair et en os d’Albert Camus, de sa vie aussi bien publique que privée. Sa vie privée était un long combat contre la maladie (la tuberculose) et la pauvreté. Sa vie publique une longue bataille pour ses idées généreuses, pour son art et contre le terrorisme idéologique et matériel de la part de ses adversaires et de ses ennemis. Pour Albert Camus, dans la vie d’un être humain actes et pensées doivent coïncider. Idées La philosophie d’Albert Camus peut être résumée en trois mots: liberté, justice et révolte. L’absurdité de la vie (‘Le Mythe de Sisyphe’) devient pour lui une force: chaque personne dispose de la liberté de donner au monde le sens qu’il veut. Pour Albert Camus, cette liberté se traduit par le pluralisme en politique et le collectivisme en économie. Cette liberté implique aussi les possibilités de révolte contre les injustices dans le monde, contre les totalitarismes et les autoritarismes, y compris la religion (‘La Peste’), contre la domination du monde par les forces de l’Argent. Des ennemis féroces En tant que journaliste (P. Nizan: ‘un historien de l’immédiat’), Albert Camus s’est battu avec le sabotage économique ‘officiel’ (pas assez de papier pour imprimer son journal) et la censure. En tant que romancier et essayiste, il a été l’objet d’attaques ignobles aussi bien venant de droite (R. Nimier: ‘nous ne ferons pas la guerre avec les poumons de M. Camus’) que de gauche (Le livre ‘Les Mandarins’ est ‘un exercice acharné de dénigrement’). Sa réaction: ‘c’est pour moi une souffrance perpétuelle. Nous sommes ici dans la métropole de la méchanceté et du mensonge systématique.’ Relevance actuelle Les combats d’Albert Camus sont aujourd’hui plus significatifs que jamais. Il était un journaliste libre, et non pas un muselé par les forces de l’Argent (les propriétaires des conglomérats financiers dans le domaine des médias). Où sont les Albert Camus d’aujourd’hui ? Sur le plan philosophique, il s’est battu pour la paix et pour une vraie démocratie, contre toute domination politico-économico-sociale. Où sont les terroristes idéologiques d’antan? Par contre, Albert Camus est en réalité devenu un ‘dangereux classique’.