Rene filles
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Le VHS b'"'Marchands De Fillesb'"' est un drame produit par René Château Vidéo. Ce titre est classé dans la catégorie VHS et est destiné à la vente. Il est classé thématiquement dans la rubrique b'"'Drameb'"' et comporte une classification vidéo primaire du même type. Le code EAN associé à ce produit est 3330240036567. Ce VHS est un drame intéressant et passionnant à voir, qui vous fera vivre des moments forts et des émotions intense. Les acteurs sont excellents et leur interprétation est remarquable. Le film est bien tourné et la qualité de la vidéo est excellent. Il est recommandé à tous les amoureux de cinéma et de drame. Ce VHS est un produit de qualité et vous ne regretterez pas d'en faire la connaissance. Ajoutez-le à votre collection et profitez de ses merveilles. En savoir plus
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France (Toutes les villes)
Albéric Magnard (1865-1914) Partition d’orchestre de l’Ouverture, dédiée et dédicacée au compositeur Vincent d’Indy (1851-1931). Bref envoi, comme le compositeur savait en faire, paraphé de ses initiales en entrelacs AM. « A V. d’Indy, A. M. 5/6/04. » L’Émancipatrice, Librairie Communiste. Propriété de l’auteur 55, boulevard Beauséjour – Paris (16e). Vente et location par correspondance. U.S.A. Copyright by A. Magnard, 1902. Superbe état, 47 pages. « Albéric fait des études de droit avant d’entrer au Conservatoire de Paris en 1886 ou 1887, après avoir vu une représentation de Tristan et Isolde à Bayreuth. Il y devient l’élève de Théodore Dubois et de Massenet. Il étudie par la suite pendant quatre années avec Vincent d’Indy, dont l’amitié ne se dément pas, en dépit d’opinions politiques et religieuses divergentes. Le 15 février 1815, Albéric Magnard épouse à Paris Julia Maria Créton — mère d’un fils de 5 ans, René —, avec laquelle il a deux filles, Ève (1901-1980) et Ondine (1904-1968), élevées avec René. Il dédie à sa femme son Hymne à Vénus. La même année, il compose sa troisième – et plus célèbre – symphonie, et commence à enseigner le contrepoint à la Schola Cantorum, fondée à Paris en 1894 par Charles Bordes, Alexandre Guilmant et d’Indy. » « Braqué contre les éditeurs de musique, il prendra la décision désastreuse de s’éditer lui-même. Il fait imprimer ses œuvres dans une imprimerie communiste, L’Émancipatrice. Mais les factures exorbitantes freinent rapidement ses ardeurs marxistes et il se replie sur des maisons moins engagées et moins chères. Il distribue lui-même ses partitions par voie postale ou ferroviaire. » Provenance: Vente de la bibliothèque de Vincent d’Indy à l’Hôtel Drouot à Paris, salle no. 9, les 20 et 21 janvier 1933, par le ministère de Me Édouard Fournier, commissaire-priseur, Me. M. Charpentier, commissaire-priseur, assistés de M. Georges Andrieux, expert. N° d’adjudication 187-88. Magnifique dédicace du mythique compositeur, mort pour la France, à son maître d’Indy. Rarissime édition, historique. En savoir plus Collaboration commerciale.
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