Titus annee
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Abzac-Charente (Charente)
RARE mouvement de montre gousset Signé PAUL DITISHEIM SOLVIL Swiss Made FONCTIONNE Paul Ditisheim Paul Ditisheim, né le 28 octobre 1868 à La Chaux-de-Fonds et mort le 7 février 1945 à Genève, est un horloger suisse, renommé pour ses travaux de mécanique horlogère et pour avoir fondé les manufactures Solvil et Titus Paul Ditisheim est né le 28 octobre 1868 à La Chaux-de-Fonds. Il appartient à une célèbre famille de l'horlogerie Suisse du xixe siècle. En effet, les Ditisheim sont propriétaires des manufactures Vulcain dont les montres furent portées notamment par les présidents américains Dwight Eisenhower, Harry Truman, Richard Nixon et Lyndon Johnson. En digne héritier des Ditisheim, il se passionne pour l'horlogerie, il suit les cours de l'école d'horlogerie de La Chaux-de-Fonds dont il sort diplômé à l'âge de 13 ans et poursuit sa formation technique auprès de différentes manufactures horlogères chauxoises avant de rejoindre l'entreprise familiale où il travaille jusqu'en 1892. Cette même année 1892, Paul Ditisheim fonde ses propres manufactures: Solvil (dont les productions sont souvent signés Paul Ditisheim) et Titus (produit séparément), spécialisées dans les montres de luxe et les chronomètres de haute technicité. Paul Ditisheim participe activement aux plus grandes innovations techniques horlogères de son temps : il révolutionne la précision des chronomètres grâce à ses travaux sur la pression atmosphérique et les champs magnétiques qui lui permettent de mettre au point le balancier à compensation fixe, l'instrument de mesure du temps le plus précis de son époque. Paul Ditisheim collabore aussi étroitement avec le Prix Nobel de physique Charles Édouard Guillaume. Le professeur Andrade de l'Observatoire astronomique de Besançon, considéra ainsi que les montres Solvil à balancier affixe-élinvar - construit grâce à une boîte anti-magnétique en « Permalley » afin de compenser la qualité magnétique de l'« Invar » - « constituent le plus grand progrès de la chronométrie moderne ». Les productions de Paul Ditisheim reçurent 42 prix des observatoires astronomiques ainsi que d'innombrables récompenses pour leur exceptionnel précision, dont: - en 1900, le Grand Prix de l'Exposition Universelle de Paris; - en 1903, les premiers prix des concours chronométriques des observatoires de Kew et Neuchâtel; - en 1912, le record chronométrique mondial (world’s chronometric record) de l'Observatoire royal de Kew. Ce superbe mouvement est en état de fonctionnement ! Aucune pièce changée Aucune restauration La tige et la couronne ne sont pas d'origine mais fournies uniquement pour permettre le remontage. La mise à l'heure n'est pas possible car le frein de tirette n'accroche pas (la pièce est en place mais usée). Le ressort moteur est OK Le remontage est souple et sans craquements Le balancier oscille avec une belle amplitude Fonctionne dans toute les positions La raquette est réglée sur le centre Le test au chrono-comparateur indique +32"/Jour (position à plat, cadran vers le bas) Résultat très honorable sachant que le mouvement n'a pas été révisé ! La bague de fixation est incluse, elle semble être en argent massif (voir dimensions plus bas) Les rubis sont montés sur chatons en or Le cadran est raisonnablement patiné L'extrémité de l'aiguille des heures est cassée Pas de prix de réserve. Produit stocké dans de bonnes conditions et expédié de manière sécurisée DIMENSIONS Cadran : 41,15 Mm Bague de fixation: 41 Mm Epaisseur mesurée au centre des aiguilles: 6,01 Mm FRAIS DE PORT France: COLISSIMO 8 Euros Europe: PAQUET RECOMMANDE 12 Euros Hors E.U: Nous contacter par mail pour tarifs MOYENS DE PAIEMENT France: Chèque en priorité, Virement, PayPal Etranger
99 €
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France (Toutes les villes)
FOU DE CETTE MARQUE... ET POURQUOI ??? Je tiens à remercier Mr Marco RICHON (livres référence b'"'OMEGA SAGAb'"' et le nouvel ouvrage indispensable b'"'VOYAGE A TRAVERS LE TEMPSb'"'), la « mémoire vivante » d’Omega, fontaine indispensable d’informations, qui a enrichi l’accomplissement de cette vente et ma folie pour cette marque. J’aimerais partager un commentaire fait par Gérard Genta, une icône du monde de l’horlogerie. Il a dit: « Au début des années 60, j’ai dessiné beaucoup de modèles Oméga, très discrètement. Je me sentais très lié à cette société. Tout ce qu’Omega a produit a été copié par les autres, ils étaient les meilleurs ! ». Synonyme de qualité dans le mouvement et le design, la marque Omega m’intéresse depuis des décennies. Pourquoi ? Qu’est-ce qui rend Omega si attirant ? Est-ce la présentation parfaite d’une montre bracelet Omega Constellation de 1952 avec un cadran élaboré à douze facettes, la sobriété de ses index, son mouvement plaqué or rose, et un taux de précision qui est resté impressionnant depuis plus de 70 ans ? C’est probablement l’interaction harmonieuse de toutes ces pièces particulières parfaites qui me donne un frisson quand je vois une montre « new old stock » dans sa boîte en acier ou en or... Il faut que je l’achète. Même si j’ai déjà la même, j’ai aussi besoin de celle qui est juste là... Un autre collectionneur ou aficionado de cette marque peut sentir ses genoux trembler quand il pose ses yeux sur une montre bracelet rare émaillée qui a été faite pour l’exposition de l’état Suisse à Bern en 1914 - sans parler des chronographes anciens avec des cadrans émaillés ou les montres tourbillon extrêmement rares de 1947 développées par Marcel Vuilleumier (directeur de l’école d’horlogerie dans le Sentier) et fabriquées par J.P Matthey-Claudet. Si vous pouvez trouver une de ces montres en parfait état, vous pouvez avoir le coeur qui lâche. Omega n’a pas inventé la montre-bracelet. L’histoire des montres minuscules remonte au XVIeme siècle déjà. Elle s’étoffe quelque peu au tournant des XVIIIeme et XIXeme siècles. Il faut attendre la fin du XIXeme et le début du XXeme pour assister à la véritable naissance de la montre-bracelet fabriquée en série. Non sans peine d’ailleurs lorsqu’il s’agit de sa version homme, considérée quasi unanimement comme farfelue, peu fiable et, surtout, efféminée ! Mais quelques pionniers, dont Omega, n’en auront cure et, contre vents et marées, parviendrons assez rapidement a imposer cette nouveauté sur le marché, en dépit de son caractère « révolutionnaire » pour l’époque. Cotée production en série, c’est Girard-Perregaux, à La Chaux De Fonds, qui ouvre la voie en 1880 avec une commande de 2000 montres-bracelets avec grille de protection, destinées aux officiers de la Marine impériale Allemande. Paul Ditisheim (Solvil b'&' Titus), La Chaux-De-Fonds, et Longines, St-Imier, se mettrons également à fabriquer des montres-bracelets dans les années 1890. Puis Louis Brandt b'&' Frères dés 1899, sous les marques Labrador et Omega. DESCRIPTION ET CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES Boîtier: Référence du modèle 3988 7. La pureté des lignes de son boîtier n'est abîmée par aucune protubérance, un boîtier typique de cette époque d'une beauté incontestable. Elle date de 1950. En acier inoxydable, de forme tonneau avec de longues anses à b'"'cornes de vacheb'"', polis brillant. Comme vous pouvez le constater sur les photos, le fond et la couronne de remontoir sont signés du logo de la marque. Dimensions: largeur hors remontoir 15 mm, longueur 26,5 mm à l’extrémité des anses et 7 mm d’épaisseur verre compris, modèle pour dame. Verre: plexi, neuf, bombé, signé (voir photo). Cadran: b'"'coquille d'oeufb'"', aiguilles b'"'Dauphinesb'"' avec les index appliqués en relief. Mouvement: le R 13,5 est conçu au début de l'année 1938 par Charles Perregaux. De l'avis de nombreux professionnels, et non des moindres, il s'agit là du meilleur calibre mécanique dame jamais construit au monde ! Ses neuf générations engendreront plus En savoir plus Collaboration commerciale.
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