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Vie parisienne restauration henri


Liste des meilleures ventes vie parisienne restauration henri

Ousse (Pyrénées Atlantiques)
Toute ma vie sera mensonge Henri Troyat J'ai Lu n°2725 1990 Prix: 1,00 € Livre en bon état 4ème de couverture: 1944. La traque des juifs bat son plein. Devant cette boucherie qui ensanglante l'Europe, chacun se mobilise... Pour Vincent, adolescent timoré et frileux, tout va bien. Il s'habitue à voir son père en restaurateur trop aimable: La Poivrière n'est-elle pas le haut lieu de la gastronomie parisienne, fréquenté par l'occupant ? La France meurt de faim mais Vincent a le ventre plein... Tout va d'autant mieux qu'il s'installe bientôt chez sa soeur. Tendre partage. Valérie est gaie, vivante, adorable, Vincent est heureux. Mais un jour apparaît Hervé. Envie, jalousie. Puis le dégoût, après la trahison... Mensonge planté à vie dans la chair de Vincent... Catégorie(s): Romans divers Référence du livre: R06648 Pour retrouver tous mes livres tapez loccasiondelire dans la barre de recherche (ou ailleurs sur le net).
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Vannes (Morbihan)
breizh.antiques.art@gmail.com. http://stores.shop..fr/breizh-antiques 16 Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne à partir de 1880). Graveur: Charles Pillet. Dimension: 70 mm par 50 mm. Poids: 99 g. Métal: bronze. Poinçon sur la tranche (mark on the edge) : Corne d'abondance + bronze. Envoi rapide et soigné. Le support utilisé pour présenté la médaille n'est pas à vendre. The stand used for the medal presented is not for sale.   ____________________________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Louis Lépine Pour les articles homonymes, voir Lépine. Louis Lépine à la fin du XIXe siècle. Louis Lépine gouverneur de l'Algérie. Louis Lépine et Georges Clemenceau en 1908. Lépine candidat: extrait d'une caricature de L'Humanité du 28 mai 1913  : « Aujourd'hui, les électeurs de Chialvo m'appellent. Demain, toute la France m'appellera ». Louis Lépine en 1912. Louis Jean-Baptiste Lépine, né à Lyon le 6 août 1846 et mort à Paris le 10 novembre 1933, est un avocat et homme politique français, préfet de police de la Seine, inventeur de la brigade criminelle et du Concours Lépine. Sommaire * 1 Biographie * 2 Postérité * 3 Iconographie * 4 Notes * 5 Bibliographie * 6 Liens externes Biographie Ce fils d'un « teneur de livres » fait ses études à Lyon, Paris et Heidelberg. Il termine ses études de droit dans le quartier Latin quand éclate la guerre de 1870 au cours de laquelle il s'illustre et est décoré de la médaille militaire. À la fin de la guerre, il devient avocat, avant d'entamer une carrière dans l'administration : sous-préfet de Lapalisse, de Montbrison, de Langres et de Fontainebleau, puis préfet de l'Indre, de la Loire, puis de Seine-et-Oise. Alors qu'il est préfet de la Loire, le 6 décembre 1891, un coup de grisou au puits de la manufacture coûte la vie à 62 mineurs et jette la consternation dans Saint-Etienne. Il prend place dans la première benne descendue au secours des victimes et parcourt les galeries incendiées empestées encore d’un air méphitique. C’est à cette occasion qu’il reçoit la médaille d’or de sauvetage1. Il devient préfet de police de la Seine en 1893 et crée cette année-là un service centralisé de collecte des objets trouvés. Attaché aux traditions festives de la police parisienne, il fait partie des donateurs pour la restauration de la Promenade du Bœuf Gras en 1896, en versant 200 francs de sa cassette personnelle. De 1897 à 1899, il effectue une courte parenthèse comme Gouverneur général de l'Algérie, avant de redevenir préfet de police de la Seine. En 1901, pour lutter contre la crise qui touche les petits fabricants parisiens de jouets et de quincaillerie, il crée un concours-exposition qui deviendra plus tard le concours Lépine. Durant sa carrière de préfet de police de la Seine, il met en place la permanence dans les commissariats, équipe les gardiens de la paix en 1897 d'un bâton blanc2 et d'un sifflet à roulette, crée la brigade fluviale ainsi que les brigades cyclistes en 1901 (les hirondelles à moustache avec leur pèlerine)3  ; fait installer 500 avertisseurs téléphoniques, rouges pour alerter les pompiers, puis pour alerter police-secours ; réorganise la circulation en instaurant les passages piétons, les sens uniques et les sens giratoires et encourage les premiers développements de la police scientifique, crée les chiens sauveteurs, réalise un « coup médiatique » en 1908 en créant les « agents Berlitz » (formés à l'École de langues Berlitz, ils sont chargés de renseigner les touristes, se distinguant de leurs collègues par le port d'un brassard indiquant la langue maîtrisée)4. En 1909, il crée le musée de la Préfecture de Police et les Collections historiques de la Préfecture de police (archives de la police)5. C'est sous son autorité que, le 13 juin 1910 pendant la grève chez Sanyas & Popot, l'agent Gauthier frappe à tête l'ébéniste Henri Cler qui décèdera de ses blessures le 21 juin 1910  ; la mort de cet anarchiste provoque, le 26 juin 1910, une manifestation tournant à l'émeute que la police réprime dans le sang6. En 1912, il est élu membre de l'Académie des sciences morales et politiques. En 1913, il quitte la préfectorale et se consacre à la rédaction de ses mémoires (Mes souvenirs), qui sont publiés en 1929. Il se porte en mai 1913 candidat à Montbrison au siège de député laissé vacant par la mort de Claude Chialvo 7. Il choisit en 1914 de se présenter dans la Seine, mais il est battu. Postérité Il a donné son nom à une place Louis-Lépine dans le 4e arrondissement de Paris. En hommage à son travail à la tête de la police parisienne, la trente-deuxième promotion de commissaires de police issue de l'École nationale supérieure de la police, entrée en fonction en 1982, porte son nom. Son frère Raphaël Lépine, physiologiste de renom a connu une belle carrière professionnelle dans le domaine de la médecine expérimentale. Iconographie Une plaquette à l'effigie de Louis Lépine a été réalisée par le graveur Charles Pillet en 1912, sur commande de la Ville de Paris. Un exemplaire en est conservé au musée Carnavalet (ND 0268). Notes * ↑ http://www.concours-lepine.com/qui-est-le-concours-lepine/louis-lepine/  ] * ↑ BASTUM bâton  ] * ↑ Amicale Police et Patrimoine, « Agents cyclistes surnommés « hirondelles » »  ], sur amicale-police-patrimoine.fr (consulté le 25 août 2011) * ↑ Myriam Tsikounas, Imaginaires urbains du Paris romantique jusqu'à nos jours, Editions Le Manuscrit,‎ 2011 (lire en ligne  ]), p. 261 * ↑ Longtemps installées dans les locaux de la Préfecture de police de Paris, ces collections très riches sont à présent installées dans l'hôtel de police du 5e arrondissement. * ↑ Le goût de l'émeute, Manifestation et violence de rue dans Paris et sa banlieue à la « belle époque »  ], Anne Steiner, L'Échappée, 2012, (ISBN  978-29158303-9-2), p. 124-126 * ↑ « M. Lépine cherche une circonscription? », in L'Humanité, 27 mai 1913  ]] Bibliographie * Jacques Porot, Louis Lépine : préfet de police-témoin de son temps : 1846-1933, Paris, 1994 * Jean-Marc Berlière, Le Préfet Lépine : vers la naissance de la police moderne, Paris, 1993 Liens externes * Notices d’autorité  : Fichier d’autorité international virtuel  • International Standard Name Identifier  • Bibliothèque nationale de France  • Système universitaire de documentation * Notice biographique sur le site officiel du Concours Lépine * Acte de naissance de Louis Lépine   v  · m Préfets de police de Paris * Portail de Paris Catégories  : * Préfet de police de Paris * Préfet de Seine-et-Oise * Gouverneur de l'Algérie * Ancien député de la Loire (Troisième République) * Académie des sciences morales et politiques * Naissance en août 1846 * Naissance à Lyon * Décès en novembre 1933 * Décès à Paris * Décès à 87 ans * Police nationale (France) * Préfet de l'Indre * Préfet de la Loire * Sous-préfet | Menu de navigation * Créer un compte * Se connecter * Article * Discussion * Lire * Modifier * Modifier le code * Historique * Accueil * Portails thématiques * Article au hasard * Contact Contribuer * Débuter sur Wikipédia * Aide * Communauté * Modifications récentes * Faire un don Imprimer / exporter * Créer un livre * Télécharger comme PDF * Version imprimable Outils * Pages liées * Suivi des pages liées * Importer un fichier * Pages spéciales * Adresse de cette version * Information sur la page * Élément Wikidata * Citer cette page Autres langues * English * Esperanto * Svenska Modifier les liens * Dernière modification de cette page le 15 octobre 2015 à 14:03. * Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons paternité partage à l’identique; d’autres conditions peuvent s’appliquer. 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Vannes (Morbihan)
breizh.antiques.art@gmail.com 06 47 07 70 65 24 Médaille en bronze doré. Graveur: A déterminer. Dimensions: 68 mm. Poids: 196 g. Métal: bronze. Poinçon sur la tranche (Mark on the edge): Aucun, tranche lisse. Envoi rapide et soigné. Le support utilisé pour présenter la médaille n'est pas à vendre. The stand used for the medal presented is not for sale.   _______________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Château de Sedan Château de Sedan Période ou style Médiéval Type Château fort Début construction 1424 Propriétaire initial Évrard II de La Marck Propriétaire actuel Municipalité de Sedan Protection  Classé MH (1965) Site web http://www.chateau-fort-sedan.fr/ Coordonnées 49° 42′ 07″ N 4° 56′ 58″ E 49° 42′ 07″ Nord 4° 56′ 58″ Est Pays  France Anciennes provinces de France Champagne Région Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine Département Ardennes Commune Sedan Géolocalisation sur la carte : Champagne-Ardenne modifier   Le château de Sedan ou château-haut est situé à Sedan sur un promontoire en bordure de Meuse autrefois flanqué de deux ruisseaux, le Bièvre et le Vra. C'est l'une des plus grandes forteresses d'origine médiévale d'Europe avec 35 000 m2 sur sept étages et des murs de plus de 7 m de large (le mur le plus épais avoisine les 27 m de large). Ce château fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 4 janvier 1965 1. Sommaire * 1 Histoire * 2 Circuit de visite * 3 Galerie * 4 Architecture * 5 Les Seigneurs et Princes de Sedan, ducs de Bouillon * 6 Évènements * 6.1 Le Grand tournoi de chevalerie * 6.2 Festival médiéval * 6.3 Visites nocturnes aux flambeaux * 7 Annexes * 7.1 Articles connexes * 7.2 Liens externes * 8 Sources * 8.1 Notes et références * 8.2 Bibliographie Histoire À l'origine du site se trouve un prieuré bénédictin dépendant de l'abbaye de Mouzon  : le prieuré Saint-Martin dont on peut voir les assises dans la cour du château. Ce prieuré est mentionné en 1306. Évrard de La Marck prend possession du site en 1424 par l'intermédiaire de son beau-frère Louis de Braquemont, apportant à son beau-frère la dot que son père (Guillaume de Braquemont) n'a jamais fourni. Il décida de construire un château de plan sensiblement triangulaire sur le site autour de l'église devenue chapelle castrale. Les fouilles ont montré que cette église avait dû être fondée au XIe siècle. Vers 1424, Évrard III de La Marck fait bâtir en six ans un manoir avec deux tours jumelles autour d'une église, un donjon résidentiel rectangulaire qui faisait déjà partie du prieuré et une tour ronde à l'ouest qui a été agrandie plus tard pour devenir la "Grosse tour". Les tours jumelles servant d'entrée au château étaient protégées par un châtelet constitué de deux petites tours rondes et d'une échauguette. Le plan de ce premier château peut paraître archaïque pour l'époque de sa construction et n'a pas encore vraiment pris en compte la défense contre l'artillerie. Lorsque Evrard meurt en 1440, son fils Jean de la Marck entreprend le renforcement de la forteresse mais c'est Robert II de La Marck, le petit-fils de Jean, qui réalisera les travaux les plus importants. En 1530, les fortifications du manoir sont modernisées par la construction du boulevard circulaire. Le logis princier est construit sur 100 mètres le long du rempart côté ville à partir de 1530. Le pavillon Renaissance dans le style de Philibert Delorme a été construit pour Robert IV de La Marck et son épouse Françoise de Brézé. Le logis du Gouverneur est édifié en 1536. Vers 1550 sont créées les terrasses à canons par remplissage en terre, entre les remparts et une nouvelle muraille prise sur la basse cour, augmentant l'épaisseur des courtines de 4,50 m à 26 m, jusqu'à un niveau égal à ceux dominant le site. 18 petits logis pour la troupe ont été créés dans ce remplissage. À partir de 1553 commence l'édification de deux bastions triangulaires sur le front nord-est, celui du Gouverneur terminé en 1557, et le bastion Fourchu en 1559. En 1572 ont été livrés les deux autres bastions, celui des Dames et le bastion du Roy. Des ouvrages à cornes ont été ajoutés à l'avant des bastions mais certains furent dynamités à la fin du XIXe siècle. Les archives permettent de nommer les ingénieurs ayant participé à la dernière campagne de construction des défenses de Sedan : Marin Fourre, qui est le concepteur initial, puis, en 1577, le Ferrarais Marc-Aurèle Pazin ou Marco Aurelio de Pasino, probablement l'auteur des "boulverts" et des bastions de l'enceinte urbaine, et enfin, après 1585, Jean Errard, de Bar-le-Duc. Le maréchal Turenne y nait en 1611. Il s'agit d'un des plus grands militaires, en compagnie de Napoléon Bonaparte, que l'histoire ait connu. La principauté est absorbée par la France après la bataille de la Marfée et à la suite de l'échec d'une nouvelle conspiration contre Richelieu menée par Cinq-Mars en 1642. Louis XIII fait emprisonner le prince de Sedan, Frédéric Maurice de La Tour d'Auvergne-Bouillon, puis remettre la principauté par traité. Le maréchal Fabert, messin de naissance, fut le premier gouverneur de Sedan pour le roi de France suite au rattachement de la principauté à la France. En 1650 il fit construire les magasins Fabert, accueillant aujourd'hui l'hôtel du château. Le château est transformé en garnison. En 1699, Vauban fait construire la porte « des Princes », adaptée aux progrès de l'artillerie. Il s'agit de la seule intervention de ce célèbre architecte, ce qui a laissé penser que la forteresse était de qualité. Lorsque Napoléon Bonaparte visite le château, en 1803, il fait transférer à Paris la collection d'armures des princes de Sedan à Paris. Certaines se trouvent aujourd'hui exposées au Musée de l'Armée. En 1822, l'église Saint-Martin est démolie pour installer un parc à boulets. Une plateforme d'artillerie est créée en 1828 au sommet des Tours jumelles. Encerclée par les armées prussienne et saxonne, le 1er septembre 1870 lors de la Bataille de Sedan, l'armée du camp de Châlons est défaite. Napoléon III fait hisser sur le château fort le drapeau blanc demandant la fin des hostilités. L'acte de capitulation est signé au Château de Bellevue entre Frénois et Glaire. L'Hôtel du Château Des essais de dynamite sont faits sur le bastion du Gouverneur en 1873. Autrefois le plus vaste du château-fort, ce bastion est aujourd'hui largement éventré. De janvier 1917 à novembre 1918, la citadelle va servir de camp pour des milliers de civils résistants français et belges condamnés aux travaux forcés par les autorités allemandes. Beaucoup y sont morts. Cédé par l’armée française à la ville en 1962, le château a fait l’objet de plusieurs campagnes de restauration. Aujourd'hui, le château est un haut-lieu touristique des Ardennes. Logeant un temps l'office de tourisme de la ville, celui-ci fut récemment déplacé dans un traversant reliant la rue du Ménil au Promenoir des prêtres présent au pied du château. On trouve également le musée à l'intérieur de ce château où s'y trouve depuis le printemps 2012, une maquette de la ville de Sedan au XIXe siècle, due en grande partie à Jean-Jacques Dromby. Une des salles de ce musée est dédiée à la guerre de 1870 et y est exposée une riche collection de casques prussiens et autres armes, ainsi que l'esquisse du panorama de Sedan par Ludwig Braun. Lors des rafales de vent (jusqu'à 110 km/h) dues aux orages du 14 juillet 2010, vers 16h20 la large toiture côté sud s'est en partie envolée mais aussi effondrée à l'endroit du spectacle de fauconnerie (haute-cour, ruines du prieuré Saint Martin) ne prenant (par chance) pas place ce jour-là (jour de relâche). Les collections du château, en partie conservées dans les combles de l'édifice, furent en grande partie sauvées grâce à l'aide spontanée du personnel du château et de bénévoles. La nouvelle toiture fut achevée pour la saison touristique 2012. Circuit de visite Le château fort de Sedan dispose d'un circuit de visite depuis l'année 1995 lorsque fut mis en place la visite Historium. Des mannequins de cire y furent placés, illustrant la vie au château à l'époque médiévale et au temps des princes. La scène la plus prestigieuse est celle du mariage de Charlotte de La Marck et Henri de La Tour d'Auvergne, placée dans le pavillon Renaissance. Depuis le printemps 2012, le château-fort de Sedan connaît une nouvelle jeunesse. Il se dote de nouveaux circuits (Mille ans d'histoire, Principauté), de nouveaux panneaux, d'une nouvelle entrée dans la cour du château-fort, d'une nouvelle salle multimédia etc. L'édifice attire chaque année près de 60 000 visiteurs. Galerie Architecture Le château de Sedan est une forteresse construite à partir de 1424 qui comporte quatre bastions défensifs construits au XVIe siècle, le bastion du Gouverneur, le bastion Fourchu, le bastion des Dames et le bastion du Roi. Le châtelet d'entrée comporte deux tours rondes qui étaient munies de hourds, d'une herse et d'une bretèche. L'ensemble de la forteresse est entouré de murs surmontés de courtines. Le logis seigneurial et le logis de la garde datent d'avant le milieu du XVIe siècle. Au début du XVIIe siècle, Henri de la Tour d’Auvergne a fait construire le Palais des Princes, appelé aussi le Château–Bas, et a déserté le logis de la forteresse. Les Seigneurs et Princes de Sedan, ducs de Bouillon Liste des princes de la Principauté de Sedan * Gérard III de Jauche (1210 – 1261) * Gérard IV de Jauche (1235 – 1293) * Guillaume de Jauche (1285-1340) * Marie de Jauche (1315 – 1387) * Hugues de Barbençon épouse Marie de Jauche Vers 1340 * Jean de Barbençon (enterré à Vireux-Molhain) 1344 – 1404 * Guillaume de Braquemont (1345-1420) épouse Marie de Campremy. Il achète le château en 1405 et est le frère de Robert de Bracquemont amiral de France et d'Espagne * Louis de Braquemont (1390-1424) épouse Isabelle Le Maréchal * Évrard II de La Marck-Arenberg (1365-1440) épouse Marie de Braquemont * Jean de La Marck (1406-1470) épouse Jeanne de Virnembourg * Robert I de La Marck (? – 1497) épouse Jeanne de Marley en 1449 * Robert II de La Marck (1460 – 1536) épouse Catherine de Croy en 1490 * Robert III de La Marck (1492-1536) épouse Guillemette de Sarrebruck en 1510 * Robert IV de La Marck (1512-1556) épouse Françoise de Brézé en 1539 * Henri-Robert de La Marck (1540-1574) épouse Françoise de Bourbon-Vendôme en 1559, 1er prince de Sedan * Guillaume-Robert de La Marck (1563-1588) * Charlotte de La Marck (1574-1594) épouse Henri de la Tour d’Auvergne en 1591 * Henri de la Tour d'Auvergne (1555-1623) épouse Élisabeth de Nassau * Frédéric-Maurice de La Tour d'Auvergne (1605-1652) épouse Eléonore-Fébronie de Bergh Évènements Le Grand tournoi de chevalerie Depuis une dizaine d'années le château-fort de Sedan accueille chaque été des tournois de chevalerie. Réalisés par une troupe en majorité slovaque (Normani), ces spectacles font la joie des petits et des grands. Festival médiéval Depuis 1996, le château-fort de Sedan accueille un festival médiéval de Sedan autour de la forteresse, le troisième week-end de mai. Succès populaire, près de 14 000 entrées payantes furent décomptées lors des dernières éditions. * Festival médiéval de 2011 * * * * * Visites nocturnes aux flambeaux Chaque été des visites originales, puisqu'aux flambeaux, sont organisées les vendredis et samedis soir. Annexes Articles connexes Sur les autres projets Wikimedia : * Château de Sedan, sur Wikimedia Commons * Comté de la Marck * Duché de Bouillon * Principauté de Sedan * Liste des monuments historiques des Ardennes Liens externes * Site officiel * http://www.tourisme-sedan.fr * Pict-Art : Château de Sedan Sources Notes et références * ↑ « Notice no PA00078518 », base Mérimée, ministère français de la Culture Bibliographie * Alain Sartelet, Le château fort de Sedan, Gueniot,‎ 2006 (ISBN  978-2-8782- 5380-1) * Jean-Marie Pérouse de Montclos, Le guide du Patrimoine: Champagne-Ardenne, Paris, Hachette,‎ 1995 (ISBN  978-2-01-020987-1), p. 328-331 * Jean Aversenq, Le château-fort de Sedan, Sedan, Imprimerie Balan-Sedan, 1993 (1979), 58 p. * Portail des châteaux de France * Portail des Ardennes * Portail des monuments historiques français Catégories  : * Château fort en Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine * Château des Ardennes * Château monument historique (France) * Monument historique des Ardennes * Monument historique classé en 1965 * Patrimoine du XVe siècle * Sedan Menu de navigation * Non connecté * Discussion * Contributions * Créer un compte * Se connecter * Article * Discussion * Lire * Modifier * Modifier le code * Historique * Accueil * Portails thématiques * Article au hasard * Contact Contribuer * Débuter sur Wikipédia * Aide * Communauté * Modifications récentes * Faire un don Outils * Pages liées * Suivi des pages liées * Importer un fichier * Pages spéciales * Adresse permanente * Information sur la page * Élément Wikidata * Citer cette page Imprimer / exporter * Créer un livre * Télécharger comme PDF * Version imprimable Dans d’autres projets * Wikimédia Commons Autres langues * Български * Deutsch * English * Español * Italiano * Nederlands * Modifier les liens * Dernière modification de cette page le 15 février 2016, à 19:41. * Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions; d’autres conditions peuvent s’appliquer. 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Lors du paiement, merci d’indiquer le point de retrait Mondial Relay HISTOIRE MODERNE depuis le grand schisme d’Occident 1378) par M EM LEFRANC Tome deuxième : du grand Schisme d’Occident au second âge de la Réforme : 1378 – 1556 Librairie Jacques LECOFFRE. 1872. 492 pages   Table des matières Second âge de la Réforme (1556 – 1618) ou les temps de Philippe II, du prince d’Orange, d’Elisabeth et d’Henri IV Troisième âge de la Réforme, ou les temps de la Guerre de Trente Ans. Prépondérance de la France en Europe (1618 – 1718) Fin de la prépondérance de la France en Europe (1715 – 1740). Temps de Marie-Thérèse, de Frédéric le Grand, de Catherine la Grande et de l’Amérique septentrionale (1740 – 1783)   HISTOIRE CONTEMPORAINE jusqu'au milieu du XIX ème siècle par A. HUBY inspecteur général de l'instruction publique Nouveau cours d'Histoire - programmes officiels des 3 juin 1925 et du 30 avril 1931 Classe de première - lycée et collège de garçons et de jeunes filles Paris-Delagrave- 1945. Format: 14 X 19  cm - 736  pages- Nombreuses illustrations et cartes noir et blanc.   Table des matières Le Gouvernement et la société en France à la fin de l’Ancien Régime La crise financière et politique à la fin de l’Ancien Régime Les débuts de la Révolution (1789) L’établissement du nouveau régime (1790-1791) L’Assemblée Législative Les débuts de la Convention (1792-1793) La Convention Montagnarde (1793-1794) La fin de la Convention (1794-1795) La France sous le Directoire (1795-1799) Le Consulat (1799-1804) L’organisation du régime impérial La politique extérieure de Napoléon jusqu’en 1810 La France et l’Europe du Grand Empire (1810-1811) La fin de l’Empire Les Cent Jours et le Congrès de Vienne La politique étrangère de 1815 à 1830 La France sous la Restauration : le règne de louis XVIII La France sous la Restauration : le règne de Charles X La politique étrangère de 1830 à 1848 La Monarchie de Juillet (1830-1848) L’Angleterre pendant la première moitié du XIX ème siècle Le développement des Etats-Unis d’Amérique Le mouvement des idées de 1815 à 1848   HISTOIRE : L’ANTIQUITE. COURS J. ISAAC Classe de 6 ème. Classe d’orientation, année préparatoire des E.P.S, des Ecoles Pratiques et des Cours Complémentaires. Ouvrage conforme aux programmes du 30 août 1932. par G DEZ et A WEILER Librairie HACHETTE.   1938. 312 pages   Table des matières Notions préliminaires Les débuts de l’Histoire L’Orient La Grèce Rome   HISTOIRE : LE MOYEN AGE. COURS J. ISAAC Classe de 5 ème, première année des E.P.S et des Cours Complémentaires ouvrage conforme aux programmes du 11 avril 1938 par A. ALBA Librairie HACHETTE. 1938. 314 pages   Table des matières  Voir photos   HISTOIRE : LES TEMPS MODERNES. COURS J. ISAAC Classe de 4 ème, deuxième année des E.P.S et des Cours Complémentaires Ouvrage conforme aux programmes du 11 avril 1938 par André ALBA Librairie HACHETTE. 1939. 481 pages   Table des matières Voir photos   GEOGRAPHIE : LA FRANCE Cours DEMANGEON par Louis FRANCOIS et Albert DEMANGEON Classe de Troisième Ouvrage conforme aux programmes officiels du 11 avril 1938 Librairie HACHETTE. 1938. 298 pages   Table des matières La structure et le relief Climat et végétation Les Massifs hercyniens, le Massif Central Les Alpes Le Jura et les Pyrénées Les Plaines Les rivières de France : Rhin, Seine, Loire, Garonne, Rhône Les Côtes Les villages et les villes La population L’économie française. La vie rurale Les cultures L’élevage et la pêche Les source d’énergie. L’industrie métallurgique et chimique L’industrie textile, le tourisme. Le commerce intérieur. La route, l’eau, le rail. Le commerce extérieur L’Empire Colonial français, l’Afrique du Nord Le Sahara Voyage à travers l’A.O.F L’Afrique Equatorial L’Indochine Madagascar. Etablissements de l’Inde côte des Somalis, Etats du Levant Les petites Colonies : Guyane, Martinique, La Réunion, Guadeloupe. Iles du Pacifique. Extraits de Cartes d’Etat-Major     PRECIS DE GEOGRAPHIE ANCIENNE ET MODERNE COMPAREE   pour l’usage des Collèges et de toutes les maisons d’éducation Ouvrage renfermant tous les détails qui peuvent faciliter l’étude de l’Histoire   et l’intelligence des auteurs classiques par Félix ANSART Librairie ecclésiastique et classique de CH FOURAUT. 1857. 180 pages Autres photos sur demande    
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breizh.antiques.art@gmail.com. http://stores.shop..fr/breizh-antiques 15 Médaille en bronze argenté. Avec sa boite. Graveur:  A déterminer . Dimension: 62 mm. Poids: 138 g. Métal: bronze. Poinçon sur la tranche (mark on the edge) : bronze + Balme . Envoi rapide et soigné. Le support utilisé pour présenter la médaille n'est pas à vendre. The stand used for the medal presented is not for sale.   ______________________________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Voves Pour les articles homonymes, voir Voves cendré. Cet article est une ébauche concernant une commune d'Eure-et-Loir. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) Le bandeau {{ébauche}} peut être enlevé et l’article évalué comme étant au stade Bon début quand il comporte assez de renseignements encyclopédiques concernant la commune. Si vous avez un doute, l'atelier de lecture du projet Communes de France est à votre disposition pour vous aider. Consultez également la page d'aide à la rédaction d'un article de commune. Voves Administration Pays  France Région Centre-Val de Loire Département Eure-et-Loir Arrondissement Chartres Canton Voves (chef-lieu) Intercommunalité Communauté de communes de la Beauce vovéenne Maire Mandat Marc Guerrini (UDI) 2014 -2020 Code postal 28150 Code commune 28422 Démographie Gentilé Vovéens Population municipale 3 091 hab. (2012) Densité 94 hab./km2 Géographie Coordonnées 48° 16′ 22″ Nord 1° 37′ 38″ Est Altitude Min. 139 m – Max. 156 m Superficie 32,98 km2 Localisation Géolocalisation sur la carte : France Voves * Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire * Voir sur la carte topographique d'Eure-et-Loir * Voir la carte administrative de France Liens Site web Site officiel modifier   Voves est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire. Ses habitants se nomment les Vovéens. Sommaire * 1 Géographie * 1.1 Lieux dits * 1.2 Communes limitrophes * 2 Histoire * 2.1 Paléolithique * 2.2 La fibule de Voves * 2.3 Les fortifications de Voves * 2.4 Maison du Temple de Voves * 2.5 Le camp de Voves (XXe siècle) * 2.5.1 Le camp aujourd'hui * 3 Blasonnement * 4 Politique et administration * 4.1 Tendances politiques et résultats * 4.2 Liste des maires * 5 Démographie * 6 Jumelages * 7 Lieux et monuments * 8 Personnalités liées à la commune * 9 Cadre de vie * 10 Articles connexes * 11 Liens externes * 12 Notes Géographie Lieux dits * Villarceaux * Foinville * Soignolles * Genonville * Yerville * Sazeray * Lhopiteau Communes limitrophes Carte de Voves et des communes limitrophes. Histoire Paléolithique Un diagnostic fait à Voves a livré une petite série lithique attribuable au paléolithique final. L’intérêt du site réside aussi dans la présence d’ossements d’aurochs, conservés au contact entre les limons et un niveau de marnes sous-jacent. La fibule de Voves Découverte en 1969 à l'occasion de travaux dans un jardin privé du quartier de la Poste, à 1,60 m de profondeur environ, cette fibule est en cuivre émaillé et a l'aspect d'une roue à huit rayons, au moyeu épais de 1,4 cm. Son diamètre est de 5,5 cm. Les couleurs sont encore très vives. Le moyeu est vert clair et bleu. Au-dessus, sont représentées des « fleurs», aux pétales bleu foncé et blancs dont le centre est turquoise. Elles sont prises dans une pâte vert clair. L'émail des rayons est alternativement bleu et rouge. Quant au contour du bijou, il est constitué d'une très fine mosaïque bleu foncé et blanche, sertie dans une pâte vert clair. Le travail est d'une minutie extraordinaire. La datation, en l'absence d'un contexte sérieux, est délicate. L’abbé Nouel, dans son ouvrage Les Origines gallo-romaines du Sud du Bassin parisien, a publié une fibule ornée d'émaux trouvée à Bazoches-les-Hautes (Eure-et-Loir), qu'il date du IIe ou IIIe siècle ap. J.-C., et qui présente de grandes ressemblances avec celle de Voves. Il s'agit, peut-être, d'une fabrication d'inspiration ou de tradition celtique, œuvre d'un atelier gaulois. Les fortifications de Voves Voves par Louis Boudan, 1696. « Vue du bourg de Voves. En Beauce, sur le grand chemin de Chartres à Orléans, a une lieu de Beauvillier. 1696 » Depuis le XIVe siècle, la présence continuelle de gens d’armes et d’arbalétriers dans la région de Chartres est attestée. En août 1387, le bourg de Voves était victime de brigandages, semble-t-il récurrent dans cette partie de la Beauce, à tel point que le roi de France, Charles VI envoya le Bègue de Villaines pour délivrer le bourg de ces brigands. Le chef de ces troupes de brigands n’était autre que Gaucher de Chartres, frère de Philippe, seigneur de Chartres et capitaine de Chartres en 1380. Après cette intervention, il rendit le fort de Voves avec tous les biens qui y étaient dans le cadre d’une transaction qui fut passée avec les chanoines et notamment Pierre Guette, chanoine nommé à la prébende de Voves en 1385. Il est cependant impossible de savoir si les fortifications de Voves furent rétablies telles qu’elles existaient avant leur destruction par Gaucher de Chartres même s’il est certain qu’elles n’existaient plus au commencement du règne de Louis XIII (en 1610). À cette époque, une effervescence régnait et une ligue imposante s’était formée contre la régente Marie de Médicis. La Beauce a été victime des dégradations commises durant les guerres de religion et de la ligue. En avril 1614, les habitants de Voves adressent une requête au Chapitre, seigneur temporel du bourg, pour demander le rétablissement des fortifications. La permission accordée le jour même par le Chapitre, fut aussitôt adressée au roi avec la requête des habitants et Louis XIII ne fit pas attendre sa sanction en envoyant des lettres-patentes octroyant de « faire clore, fermer et environner de fossés, murs, tours, tourelles, boulevers, ravins, esperons et ponts-levis le-dit bourg et village de Voves ». Pendant plusieurs décennies, le calme semble être revenu dans le bourg de Voves. En 1642, un premier incident, répertorié par le curé Gendron dans le registre de l’état-civil du bourg, eu lieu avec des soldats attaquant les habitants qui s’étaient réfugiés dans l’église pour se protéger. Seuls 39 maisons subsistèrent après un incendie. En janvier 1659, les habitants sont de nouveau victimes de la violence de gens d’armes. Ces derniers demandèrent la démolition des murailles, désarmèrent les habitants puis profanèrent l’église et la clôture du cimetière. Ils empêchèrent aussi le vicaire perpétuel de porter les sacrements aux malades. Début février 1659, une expertise eut lieu : la voûte de l’église menaçait de ruine, la clôture et les portes du cimetière avaient été démolies. On se contenta alors de faire à l’église les réparations indispensables et le bourg fut privé pour toujours de ses fortifications. Passionné par l’histoire de France, Roger de Gaignières (1644 -1715) amasse en près d’un demi-siècle une collection considérable de manuscrits historiques, de portraits et de documents originaux. Dans cette entreprise, Roger de Gaignières ne se contente pas de collectionner des documents existants, il en constitue une grande partie accompagné notamment par le copiste et dessinateur, Louis Boudan. Ils parcourent la France du nord afin de relever des tombeaux, des épitaphes et des vues topographiques. En 1696, Louis Boudan réalise cette très jolie estampe du bourg de Voves, ci-contre, dont on peut voir en avant-plan un moulin, puis le village encerclé par une enceinte de protection. L’église « de l’ange gardien, paroisse du bourg », majestueuse, est au centre de la vue. La partie iconographique de ce fonds qu’Henri Bouchot publie en 1891 dans son Inventaire des dessins exécutés pour Roger de Gaignières est conservée au département des Estampes et des Manuscrits de la BNF. Maison du Temple de Voves L'ancienne maison du Temple de Voves fut désignée, après que les Hospitaliers en eurent pris possession, sous le nom de maison de « l'Hopitau », ainsi qu'elle est mentionnée dans le procès-verbal de la visite prieurale de 1495  : « La ferme du Temple de Vausves, aujourd'hui l'Hopitau, où y a chappelle, fondée de saint Jehan, chargée tous les moys d'une messe et où a III ou IIII cens arpens de terre et maison pour le fermier et toute jurisdicion ». La maison de Voves fut détruite pendant les guerres du XVe siècle. Une partie des terres fut réunie à la maison de Sours, et une autre partie donnée à cens et à rente perpétuelle. Le camp de Voves (XXe siècle)  Inscrit MH (2004)1. Entre le 29 janvier 1939 et le 8 février, plus de 2 000 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant les troupes de Franco, arrivent en Eure-et-Loir. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (le camp de Lucé et la prison de Châteaudun rouverte pour l’occasion), 53 villages sont mis à contribution2, dont Voves3. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont désarmés et retenus dans le Sud de la France), sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré4. Une partie des réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, mais en décembre, 922 ont préféré rester et sont rassemblés à Dreux et Lucé5. Article détaillé : Retirada. Le camp de Voves 6 a été bâti en 1939 pour accueillir un centre d'instruction de la route. Il est utilisé en 1940 et 1941 par l'armée allemande pour le regroupement de prisonniers de guerre français. À la fin de 1941, les autorités françaises cherchent à déplacer le camp d'Aincourt, dans l'actuel département du Val-d'Oise, où sont internés depuis octobre 1940 des militants communistes de la région parisienne. C'est dans ce but que l'armée d'occupation accepte de restituer à l'administration française le camp de Voves. Le 5 janvier 1942, un premier groupe d'internés arrive d'Aincourt à Voves pour remettre les lieux en état. Durant les mois d'avril et de mai suivants, des arrivées massives marquent le début du fonctionnement réel du camp. Les premiers internés viennent non seulement du camp d'Aincourt mais aussi de ceux de Gaillon, dans l'Eure, et du camp de Châteaubriant, en Loire-Inférieure. D'autres transferts suivront, notamment en provenance des camps de Rouillé, dans la Vienne, d'Écrouves, en Meurthe-et-Moselle, et de Pithiviers, dans le Loiret. La grande majorité des internés est constituée de « politiques », principalement des militants et sympathisants communistes, mais quelques-uns sont, pour reprendre le vocabulaire de l'époque, des « indésirables », essentiellement des étrangers, et des « droits communs », trafiquants du marché noir ou repris de justice. L'histoire du camp est marquée par l'importance du rôle joué par la direction politique communiste, bien sûr clandestine, qui, dans le but de former des cadres politiques et militaires pour la Résistance, crée une véritable université et organise des représentations théâtrales et des compétitions sportives, mais aussi, de façon plus dramatique, par les prélèvements d'otages et les transferts d'internés vers les camps de concentration d'Auschwitz et de Mauthausen, enfin par plusieurs évasions spectaculaires. Dans la nuit du 5 au 6 mai 1944, quarante-deux internés s'évadent par un tunnel de cent quarante-huit mètres de long, creusé à partir de la baraque des douches et qui descend à deux mètres de profondeur pour passer sous la clôture du camp. Un détachement de SS prend alors le contrôle du camp et, le 9 mai, la totalité des internés est transférée au camp de Royallieu, puis, quelques semaines plus tard, dans le camp de concentration de Neuengamme, près de Hambourg. Il n'y aura que peu de survivants… D'août 1944 à 1947, le camp est à nouveau utilisé, cette fois pour accueillir des prisonniers de guerre allemands. Le camp aujourd'hui Le site du camp est aujourd'hui un lieu de mémoire, entretenu par un Comité du souvenir. Il regroupe une baraque musée, un Mémorial, un wagon du type de ceux ayant servi à la déportation des internés, divers souvenirs du camp et un arboretum. Blasonnement Les armoiries de Voves se blasonnent ainsi : D’azur au râteau levé d’argent, au moulin à vent d'or brochant sur le manche, accosté de deux gerbes de blé du même. Création Conseil Français d'Héraldique Politique et administration Tendances politiques et résultats Article connexe : Élections municipales de 2014 en Eure-et-Loir. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Liste des maires Liste des maires à partir de 1945 Période Identité Étiquette Qualité mai 1945 mai 1983 Roger Gommier     mai 1983 mai 2001 André Coeuret     mai 2001 mai 2008 Maryvonne Genin     2008 … Marc Guerrini UDI   Démographie            Évolution de la population  ] 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1 044 1 173 1 163 1 136 1 256 1 315 1 283 1 303 1 436            Évolution de la population  ], suite (1) 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1 468 1 514 1 670 1 845 1 736 1 913 1 960 1 996 2 023            Évolution de la population  ], suite (2) 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 2 021 2 070 2 081 1 903 2 019 2 070 2 017 2 161 2 110            Évolution de la population  ], suite (3) 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2012 2 352 2 506 2 619 2 834 2 785 2 928 2 910 2 910 3 091 De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes  ; pour les dates suivantes : population municipale. (Sources : Ldh/EHESS /Cassini jusqu'en 19997 puis Insee à partir de 20048.) Histogramme de l'évolution démographique Jumelages  Stroncone  (Italie) depuis le 14 juillet 2007 Lieux et monuments * Église Saint-Lubin (XIIe s., XVe s., XVIe s.). * Fontaine Saint-Lubin. * Dolmen (à proximité de la fontaine Saint-Lubin). * Site de l'ancien camp de prisonniers de guerre puis camp d'internement. Personnalités liées à la commune * Hugues Capet (né vers 939-941, mort en 996), roi des Francs  ; * François Gendron (1618-1688), vicaire de Voves (frère du curé Jacques Gendron), missionnaire au Mexique et dans les Indes où il acquit de grandes connaissances dans la flore ; guérisseur réputé notamment pour soigner les cancers, il fut choisi par Louis XIV pour soigner le cancer de sa mère Anne d'Autriche ; * Claude Deshayes-Gendron (1663-1750), docteur en médecine (petit-neveu de François Gendron) ; * Philippe Alliot (1954-), pilote automobile. Cadre de vie Ville fleurie : deux fleurs au Concours des villes et villages fleuris 9. Articles connexes * Liste des monuments historiques d'Eure-et-Loir * Liste des communes d'Eure-et-Loir * Liste des anciennes communes d'Eure-et-Loir Liens externes Sur les autres projets Wikimedia : * Voves, sur Wikimedia Commons * Voves, sur le Wiktionnaire * Site officiel * Voves sur le site de l'Insee Notes * ↑ « Ancien camp d'internement de Voves »  ], base Mérimée, ministère français de la Culture * ↑ Jeanine Sodigné-Loustau, « L'Accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre  ] », Matériaux pour l'histoire de notre temps. 1996, no 44. p. 43. * ↑ Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 46. * ↑ Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 43-44. * ↑ Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 47. * ↑ Stéphane Fourmas, Le centre de séjour surveillé de Voves (Eure-et-Loir), janvier 1942-mai 1944., mémoire de maîtrise d'Histoire, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne,‎ 1999, 220 p. * ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui  ] sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales. * ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006  ], 2008  ], 2012  ]. * ↑ Villes et villages fleuris - Eure-et-Loir  ]   v  · m Communes de la communauté de communes de la Beauce vovéenne   v  · m Communes du canton de Voves * Portail d’Eure-et-Loir * Portail des communes de France Catégories  : * Commune d'Eure-et-Loir * Commune du canton de Voves * Commune de la 4e circonscription d'Eure et Loir * Commune de l'arrondissement de Chartres | Menu de navigation * Créer un compte * Se connecter * Article * Discussion * Lire * Modifier * Modifier le code * Historique * Accueil * Portails thématiques * Article au hasard * Contact Contribuer * Débuter sur Wikipédia * Aide * Communauté * Modifications récentes * Faire un don Imprimer / exporter * Créer un livre * Télécharger comme PDF * Version imprimable Outils * Pages liées * Suivi des pages liées * Importer un fichier * Pages spéciales * Adresse de cette version * Information sur la page * Élément Wikidata * Citer cette page Autres langues * Български * ᨅᨔ ᨕᨘᨁᨗ * Català * Cebuano * Deutsch * English * Español * Euskara * Magyar * Bahasa Indonesia * Italiano * Malagasy * Bahasa Melayu * Nederlands * Occitan * Polski * Piemontèis * Português * Română * Slovenčina * Slovenščina * Svenska * Українська * Oʻzbekcha/ўзбекча * Tiếng Việt * Volapük * Winaray * 中文 * Bân-lâm-gú Modifier les liens * Dernière modification de cette page le 1 décembre 2015 à 17:42. * Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons paternité partage à l’identique; d’autres conditions peuvent s’appliquer. 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breizh.antiques.art@gmail.com. http://stores.shop..fr/breizh-antiques 16 Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne à partir de 1880). Graveur: Charles Pillet. Dimension: 70 mm par 50 mm. Poids: 99 g. Métal: bronze. Poinçon sur la tranche (mark on the edge) : Corne d'abondance + bronze. Envoi rapide et soigné. Le support utilisé pour présenté la médaille n'est pas à vendre. The stand used for the medal presented is not for sale.   ____________________________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Louis Lépine Pour les articles homonymes, voir Lépine. Louis Lépine à la fin du XIXe siècle. Louis Lépine gouverneur de l'Algérie. Louis Lépine et Georges Clemenceau en 1908. Lépine candidat: extrait d'une caricature de L'Humanité du 28 mai 1913  : « Aujourd'hui, les électeurs de Chialvo m'appellent. Demain, toute la France m'appellera ». Louis Lépine en 1912. Louis Jean-Baptiste Lépine, né à Lyon le 6 août 1846 et mort à Paris le 10 novembre 1933, est un avocat et homme politique français, préfet de police de la Seine, inventeur de la brigade criminelle et du Concours Lépine. Sommaire * 1 Biographie * 2 Postérité * 3 Iconographie * 4 Notes * 5 Bibliographie * 6 Liens externes Biographie Ce fils d'un « teneur de livres » fait ses études à Lyon, Paris et Heidelberg. Il termine ses études de droit dans le quartier Latin quand éclate la guerre de 1870 au cours de laquelle il s'illustre et est décoré de la médaille militaire. À la fin de la guerre, il devient avocat, avant d'entamer une carrière dans l'administration : sous-préfet de Lapalisse, de Montbrison, de Langres et de Fontainebleau, puis préfet de l'Indre, de la Loire, puis de Seine-et-Oise. Alors qu'il est préfet de la Loire, le 6 décembre 1891, un coup de grisou au puits de la manufacture coûte la vie à 62 mineurs et jette la consternation dans Saint-Etienne. Il prend place dans la première benne descendue au secours des victimes et parcourt les galeries incendiées empestées encore d’un air méphitique. C’est à cette occasion qu’il reçoit la médaille d’or de sauvetage1. Il devient préfet de police de la Seine en 1893 et crée cette année-là un service centralisé de collecte des objets trouvés. Attaché aux traditions festives de la police parisienne, il fait partie des donateurs pour la restauration de la Promenade du Bœuf Gras en 1896, en versant 200 francs de sa cassette personnelle. De 1897 à 1899, il effectue une courte parenthèse comme Gouverneur général de l'Algérie, avant de redevenir préfet de police de la Seine. En 1901, pour lutter contre la crise qui touche les petits fabricants parisiens de jouets et de quincaillerie, il crée un concours-exposition qui deviendra plus tard le concours Lépine. Durant sa carrière de préfet de police de la Seine, il met en place la permanence dans les commissariats, équipe les gardiens de la paix en 1897 d'un bâton blanc2 et d'un sifflet à roulette, crée la brigade fluviale ainsi que les brigades cyclistes en 1901 (les hirondelles à moustache avec leur pèlerine)3  ; fait installer 500 avertisseurs téléphoniques, rouges pour alerter les pompiers, puis pour alerter police-secours ; réorganise la circulation en instaurant les passages piétons, les sens uniques et les sens giratoires et encourage les premiers développements de la police scientifique, crée les chiens sauveteurs, réalise un « coup médiatique » en 1908 en créant les « agents Berlitz » (formés à l'École de langues Berlitz, ils sont chargés de renseigner les touristes, se distinguant de leurs collègues par le port d'un brassard indiquant la langue maîtrisée)4. En 1909, il crée le musée de la Préfecture de Police et les Collections historiques de la Préfecture de police (archives de
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