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Cavalerie legion


Liste des meilleures ventes cavalerie legion

France (Toutes les villes)
Livre Livres Code EAN: 9782702504666 ISBN: 2702504663 Propriétaire: Dilicom Propriétaire: Bnf ClassificationDecitre 1: Histoire de France Ressum: 1 Titre: Cavalerie Légion Lieu de parution: panazol Livres / Format: Non Precisé
30 €
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France (Toutes les villes)
TRIXUM: Mobil-optimierte Auktionsvorlagen und Bilder-Hosting ⚔ NOS OBJETS ⚔ « BIENVENUE / WELLCOOME » "VITOUSIK-2"→http://www..fr/sch/m.htmlitem=261267345944&pt=FR_JG_Collections_Militaria_Medailles&hash=item3cd4bf5218&_ssn=vitousik-2&_sop=1 "VITOUSIK-3"→http://www..fr/sch/m.html?item=221458597009&hash=item338ff60491&pt=FR_JG_Collections_Militaria_Medailles&_ssn=vitousik-3&_sop=1 "VITOUSIK4"→http://www..fr/sch/vitousik4/m.htmlitem=161368008734&hash=item259248681e&pt=FR_JG_Collections_Militaria_Medailles&rt=nc&_trksid=p2047675.l2562 NATURE & CARACTERISTIQUES:  INSIGNE MILITAIRE  "O.P.E.X. LICORNE"   1°R.E.C. AU RCI  (BREVET NON NUMÉROTÉ)  1er REGIMENT ETRANGER DE CAVALERIE   OPERATION LICORNE:  Nom donné à la participation des forces armées françaises, sous commandement français, au maintien de la paix en Côte d'Ivoire. Elle est distincte mais complémentaire de l'opération des Nations Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI). Les forces françaises sont regroupées sur la base d'Abidjan aux ordres d'un officier général (COMMANFOR). Elles sont formées de Groupements Tactiques Inter Armes (GTIA) qui constituent une force d'intervention rapide au profit de l'ONUCI. La première mission qui ne comprenait qu'un seul GTIA a été renforcée d'un deuxième en février 2003, puis leur nombre variera en fonction des besoins: deux GTIA jusqu'en févier 2004, trois GTIA jusqu'en mars 2005, deux GTIA jusqu'en juin 2007 puis, à partir de cette même date, un seul GTIA placé à tour de rôle sous le commandement d'un régiment d'active de l'armée de terre. DESCRIPTIF DÉTAILLÉ: A noter: - L'article d'occasion. - Sans attributs. PayPal: accepté pour toutes les destinations. LIVRAISON ET CONDITIONS: ATTENTION :  FRAIS DE PORT A CONFIRMER AVANT LE PAIEMENT !!! COMMUNICATION : Pour toutes les questions, propositions & photos supplémentaires n’hésitez pas à me contacter  CONDITIONS GÉNÉRALES : Posez vos questions avant d’enchérir ou acheter. En enchérissant, vous acceptez avoir pris note des photos et descriptions. LIVRAISON ET EXPÉDITION : Tous nos objets seront proprement emballés. Envoi des lettres et des colis avec le tarife le moins chères (sauf demandes particulières). RETOUR : Voir à la description.
7,69 €
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Gueugnon (Saône et Loire)
insigne de l'escadron de base et d'instruction du 1er régiment étranger de cavalerie (REC) de la Légion Étrangère stationné à Orange. Occasion. J'expédie toujours en moins de 5 jours ouvrables. Si l'onglet "envoyé" est validé, c'est que l'objet est posté. Je suis en aucunement responsable des retards et pertes de La Poste.
15 €
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Belverne (Haute Saône)
- Insigne du 2° R.E.C, 1° Escadron (métal mat, 31 mm) - Légion Étrangère - Drago R.75 2ème Régiment Étranger de Cavalerie, 1° Escadron - retirage Drago Paris R.75 Les frais de port indiqués sont uniquement pour la France métropolitaine et le reste du monde, en lettre suivi (envoi sous enveloppe à bulles renforcée).  Possibilité d'envoi groupé (tarif recalculé au plus juste de la tranche) - pour toutes questions n'hésitez pas à me contacter.
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Joinville le Pont (Val de Marne)
Je vends une veste et un pantalon de médecin capitaine de la Légion Étrangère (pucelle du 2e Régiment étranger de cavalerie). Il a été confectionné en 1973. Génération précédent les "Terre de France" (TDF). Les épaulettes en velours rouge cramoisie (caractéristique des médecins militaires) sont un peu abimées aux angles. L'uniforme est dans un excellent état. Je réponds à toutes les demandes, notamment pour des photos supplémentaires.
85 €
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Combleux (Loiret)
insigne Légion Etrangère 1er REC,1 régiment étranger de cavalerie  GIAR Opération Turquoise au Rwanda mandat 1994 Très bon état
14 €
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Le Chesnay (Yvelines)
Insigne promo ESM Saint Cyr, excellent état, cf photos dos granulé 23 juillet 2000 G 4674 ARTHUS BERTRAND PARIS n'hésitez pas à consulter mes autres annonces: plusieurs insignes ESM à la vente, possibilité de frais de port groupé BIO Barthélemy Pierre Camille Raffalli né le 16 mars 1913 à Nice est un officier français. Ne supportant pas son prénom, il se fait appeler Rémy. Il entre à Saint-Cyr le 1er octobre 1933 (Promotion « Roi Albert Ier » - 1933-1935). De 1935 à 1936, il est à l'École d'application de l'arme blindée et cavalerie à Saumur. En 1936, il intègre le 1er régiment de spahis algériens à Médéa puis le 3e régiment de spahis marocains. En 1943, il rejoint le corps expéditionnaire français en Italie où il sert comme officier de liaison (capitaine). Il s'illustre particulièrement lors des combats de Pantano, Costa San Pietro et San Croce. Il devient chef d'une compagnie du 5e régiment de tirailleurs marocains (2e DIM). Il est blessé grièvement le 17 mars 1944 dans la région de Colli a Volturno en Italie (fracture ouverte à la cuisse par éclat de mine). Il obtient son brevet de parachutiste en septembre 1949. Après une affectation au 1er REI (novembre 1949), il rejoint le 3e BEP à Sétif puis le 1er BEP en Indochine en septembre 1950. Il prend le commandement du 2e BEP le 12 septembre 1950 à Hanoi. Nommé chef d'escadrons le 1er juillet 1951, il intervient avec le BEP lors de la bataille de Nghia Lo en octobre 1951. Il est blessé mortellement au ventre à Chuyen My Trong Ha au Tonkin le 1er septembre 1952 alors qu'il commande pour la dernière fois son bataillon. Il s'éteint à Saigon le 10 septembre 1952. La 185e promotion de l'École spéciale militaire de Saint-Cyr et l'actuel quartier du 2e REP à Calvi portent son nom en son honneur.
45 €
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Vannes (Morbihan)
breizh.antiques.art@gmail.com 06 47 07 70 65 34 Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne à partir de 1880). Frappée en 1929. Graveur:  G Prud'homme. Dimension: 68 mm. Poids:  159 g. Métal : bronze. Poinçon sur la tranche (mark on the edge) : corne d'abondance + bronze . Envoi rapide et soigné.   Ferdinand Jean Marie Foch est né dans une famille bourgeoise catholique à Tarbes. Ferdinand est le sixième des sept enfants2 de Bertrand Jules Napoléon Foch (1803-1880) et de Sophie Dupré (1812-1883). Son père est « percepteur » (fonction parallèle à celle de trésorier-payeur général) originaire du Comminges (Gascogne)3. Quant à sa mère, elle est la fille de Jacques-Romain Dupré (Loriol, 1771 - Argelès-de-Bigorre, 26 janvier 18524), retraité capitaine, chevalier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII), chevalier de l'Empire, et de Marie-Anne Ducot. Sophie avait un frère, le chevalier Germain Dupré (10 janvier 1811-« Argelès-de-Bigorre5 » - Montpellier, ✝ 11 décembre 1893), médecin et sénateur. Maison natale du maréchal Foch à Tarbes. Au gré des affectations administratives de son père, il effectue sa scolarité à Tarbes, à Rodez, ou à Lyon. Il fréquente les collèges jésuites de Saint-Étienne et Saint-Clément de Metz. Il est chassé de ce dernier établissement pendant la guerre de 1870, le collège étant occupé par un bataillon de Poméraniens. Il passe les concours à Nancy et en novembre 1871 il intègre l'École polytechnique. Le 5 novembre 1883, il se marie avec Julie Bienvenüe (1860-1950) à l'église Saint-Michel de Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor), une petite-cousine de Fulgence Bienvenüe, créateur du métro de Paris. Le couple aura quatre enfants6: Foch en uniforme de colonel du 35e régiment d'artillerie. Marie Foch (1885-1972), épouse de Paul Bécourt, capitaine au 26e bataillon de chasseurs (✝ 22 août 1914), mort pour la France à Joppécourt7 (Meurthe-et-Moselle) et postérité dont Jean Bécourt-Foch (1911-1944), compagnon de la Libération; Anne Foch (1887-1981), épouse d'Alex Fournier (1879-1929), postérité; Henry Fournier-Foch, colonel (1912-2006); Eugène Jules Germain Foch (19 juin 1888 à Montpellier - 30 juin 1888 à Montpellier); Germain Jules Louis Foch (23 décembre 1889 à Montpellier - 22 août 1914), aspirant au 131e régiment d'infanterie, mort pour la France à Ville-Houdlémont (Meurthe-et-Moselle)8 (On peut remarquer une tragique ironie de l'histoire, le général perd son fils et son gendre, tués à l'ennemi, le même jour, moins de trois semaines après le début du conflit). À la déclaration de guerre contre l'Allemagne, en 1870, il s'engage au 4e régiment d'infanterie qui ne combat pas. À la fin de la guerre franco-prussienne, il décide de rester dans l'armée et intègre l'École polytechnique, choisit l'École d'application de l'artillerie et du génie dont il sort en 1873 comme officier d'artillerie. Il est affecté comme lieutenant au 24e régiment d'artillerie à Tarbes. En 1876, il suit au sein de l'École de cavalerie de Saumur le stage des officiers d'artillerie montée. Le 30 septembre 1878, il devient capitaine. Il arrive à Paris le 24 septembre 1879 comme adjoint au service du personnel du dépôt central de l'artillerie. Il entre ensuite à l'École supérieure militaire comme élève, effectue en 1885 le stage de l'école au 16e corps d'armée et devient lui-même professeur à cette école de 1895 à 1901. Il y est professeur d'histoire militaire, de stratégie et tactique générale, et devient l'un des théoriciens français de l'offensive. Il se fait connaître par ses analyses critiques de la guerre franco-prussienne et des guerres napoléoniennes. Il poursuit son ascension dans l'armée: promu lieutenant-colonel en 1898, il est nommé colonel en 1903, chef de corps du 35e régiment d'artillerie à Vannes, puis général de brigade (1907). Il assume le commandement de l'École de Guerre de 1907 à 1911, année où il est nommé général de division; puis en 1913, général commandant de corps d'armée, à la tête du 20e corps d'armée de Nancy. Elizabeth Greenhalgh considère que les promotions de cet homme ambitieux sont davantage dues à ses qualités de diplomate et à son sens politique qu'à ses talents militaires puisqu'il fait son début de carrière comme officier d'État-major, fonction par ailleurs méprisée par les officiers du rang9. The stand is not for sale. Le support n'est pas à vendre. _______________________________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques
85 €
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Vannes (Morbihan)
breizh.antiques.art@gmail.com 06 47 07 70 65 29 Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne d'abondance à partir de 1880). Médaille frappée vers 1929. Belle patine, quelques petits traces d'oxydation sans gravité, ainsi que de petits chocs sur la tranche. Graveur: G Granger. Dimensions: 68 mm. Poids: 174 g. Métal:bronze. Poinçon sur la tranche (mark on the edge) : Corne d'abondance + bronze . Envoi rapide et soigné. Ferdinand Jean Marie Foch est né dans une famille bourgeoise catholique à Tarbes. Ferdinand est le sixième des sept enfants2 de Bertrand Jules Napoléon Foch (1803-1880) et de Sophie Dupré (1812-1883). Son père est « percepteur » (fonction parallèle à celle de trésorier-payeur général) originaire du Comminges (Gascogne)3. Quant à sa mère, elle est la fille de Jacques-Romain Dupré (Loriol, 1771 - Argelès-de-Bigorre, 26 janvier 18524), retraité capitaine, chevalier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII), chevalier de l'Empire, et de Marie-Anne Ducot. Sophie avait un frère, le chevalier Germain Dupré (10 janvier 1811-« Argelès-de-Bigorre5 » - Montpellier, ✝ 11 décembre 1893), médecin et sénateur. Maison natale du maréchal Foch à Tarbes. Au gré des affectations administratives de son père, il effectue sa scolarité à Tarbes, à Rodez, ou à Lyon. Il fréquente les collèges jésuites de Saint-Étienne et Saint-Clément de Metz. Il est chassé de ce dernier établissement pendant la guerre de 1870, le collège étant occupé par un bataillon de Poméraniens. Il passe les concours à Nancy et en novembre 1871 il intègre l'École polytechnique. Le 5 novembre 1883, il se marie avec Julie Bienvenüe (1860-1950) à l'église Saint-Michel de Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor), une petite-cousine de Fulgence Bienvenüe, créateur du métro de Paris. Le couple aura quatre enfants6: Foch en uniforme de colonel du 35e régiment d'artillerie.    Marie Foch (1885-1972), épouse de Paul Bécourt, capitaine au 26e bataillon de chasseurs (✝ 22 août 1914), mort pour la France à Joppécourt7 (Meurthe-et-Moselle) et postérité dont Jean Bécourt-Foch (1911-1944), compagnon de la Libération;     Anne Foch (1887-1981), épouse d'Alex Fournier (1879-1929), postérité; Henry Fournier-Foch, colonel (1912-2006);     Eugène Jules Germain Foch (19 juin 1888 à Montpellier - 30 juin 1888 à Montpellier);     Germain Jules Louis Foch (23 décembre 1889 à Montpellier - 22 août 1914), aspirant au 131e régiment d'infanterie, mort pour la France à Ville-Houdlémont (Meurthe-et-Moselle)8 (On peut remarquer une tragique ironie de l'histoire, le général perd son fils et son gendre, tués à l'ennemi, le même jour, moins de trois semaines après le début du conflit). À la déclaration de guerre contre l'Allemagne, en 1870, il s'engage au 4e régiment d'infanterie qui ne combat pas. À la fin de la guerre franco-prussienne, il décide de rester dans l'armée et intègre l'École polytechnique, choisit l'École d'application de l'artillerie et du génie dont il sort en 1873 comme officier d'artillerie. Il est affecté comme lieutenant au 24e régiment d'artillerie à Tarbes. En 1876, il suit au sein de l'École de cavalerie de Saumur le stage des officiers d'artillerie montée. Le 30 septembre 1878, il devient capitaine. Il arrive à Paris le 24 septembre 1879 comme adjoint au service du personnel du dépôt central de l'artillerie. Il entre ensuite à l'École supérieure militaire comme élève, effectue en 1885 le stage de l'école au 16e corps d'armée et devient lui-même professeur à cette école de 1895 à 1901. Il y est professeur d'histoire militaire, de stratégie et tactique générale, et devient l'un des théoriciens français de l'offensive. Il se fait connaître par ses analyses critiques de la guerre franco-prussienne et des guerres napoléoniennes. Il poursuit son ascension dans l'armée: promu lieutenant-colonel en 1898, il est nommé colonel en 1903, chef de corps du 35e régiment d'artillerie à Vannes, puis général de brigade (1907). Il assume le commandement de l'École de Guerre de 1907 à 1911, année où il est nommé général de division; puis en 1913, général commandant de corps d'armée, à la tête du 20e corps d'armée de Nancy. Elizabeth Greenhalgh considère que les promotions de cet homme ambitieux sont davantage dues à ses qualités de diplomate et à son sens politique qu'à ses talents militaires puisqu'il fait son début de carrière comme officier d'État-major, fonction par ailleurs méprisée par les officiers du rang. Le chevalet n'est pas à vendre. The stand is not for sale.   ____________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques
162 €
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France (Toutes les villes)
Vends 25 uniformes francais de 1954 à 2009. Dont 5 sur mannequins (TDM.LEGION.TAP.CAVALERIE.AVIATION.MARINE). Coiffures diverses. Equipements divers. Insignes. 60 miniatures vhl pompiers 1/35° - Vente compléte d'un mini musée. D DAY....
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Belverne (Haute Saône)
- Insigne du 1° R.E.C, 1° Escadron (métal brillant, 31 mm) - Légion Étrangère - Drago R 1er Régiment Étranger de Cavalerie, 1er Escadron - retirage Drago Paris Les frais de port indiqués sont uniquement pour la France métropolitaine et le reste du monde, en lettre suivi (envoi sous enveloppe à bulles renforcée).  Possibilité d'envoi groupé (tarif recalculé au plus juste de la tranche) - pour toutes questions n'hésitez pas à me contacter.
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Paris (Paris)
Général d’ALLONVILLE – Lettre autographe signée -1849 Armand-Octave-Marie Allonville (1809-1867), vicomte d'Allonville, fut général de division puis sénateur, président du comité de cavalerie et grand-croix de la Légion d'honneur. S’est illustré durant les campagnes d’Algérie, de Crimée et lors du Coup d’Etat. Lettre autographe signée, 1 page, Bléda, 1eravril 1849. Lettre demandant un service d’ami au Général Feray pour son cousin Capitaine chasseur d’Afrique qui veut se débarrasser d’une dame « qui lui a fait le plus grand tort. Cette femme est d’une effronterie sure… ». Il faudrait organiser son départ de l’Algérie vers Fontainebleau. Envoi par courrier suivi
30 €
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