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Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Pictures below and english translation 下面的照片。. Photographies au -dessous. * Médaille Marcel Cachin Homme politique SFIO Fides Spes par Muller Medal 铜牌. * Medal Marcel Cachin Politician SFIO Fides Spes by Muller Medal 铜牌 MEDAILLE Medalla Medaglia Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne à partir de 1880)  . 1987 Belle frappe. En bon état . Quelques rayures et oxydations minimes. Vous pouvez consulter attentivement les photos ci-dessous merci Graveur: Muller. Avers: Profil M Cachin (Photo) Revers :Allégorie de la foi et l'espérance.  (Photo) Dimension: 68 mm. Poids: 172 g. Métal: Bronze Poinçon tranche: Corne + bronze + 1987 . Vous pouvez consulter notre boutique pour consulter nos nombreuses autres médailles. Reduction des frais d'envoi pour les achats groupés Photos ci-dessous. Médaille de bronze en la Monnaie de Paris (ailes de Poinçon des actions de 1880). 1987 Belle frappe. Regardez bien l'âge. QUELQUES RAYURES oxydations et basse. Vous pouvez les les photos ci-Dessous entreprise de consultation attentivement Graveur: Muller. Moyenne: 1000 profil Cachin (Photo) Retour: Allégorie de la foi et espérance l'. (Photo) Dimensions: 68 mm. Poids: 172 g. Métal: Bronze Poinçon tranche: Bronze corne + + 1987. You can visit our shop to see our many other medals. Reduction of shipping for bulk purchases Photos below. Envoi rapide et soigné.   ____________________________________________________________ More photos ? Contact us Pour des photos supplémentaires contactez nous par email   breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 45 21 05 48 Abroad: 0033 645 210 548 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Marcel Cachin Aller à: Navigation, rechercher Marcel Cachin Fonctions Parlementaire français Député 1914 -1936 puis 1945 -1958 Sénateur 1936 -1940 Gouvernement IIIe République -IVe République Groupe politique SFIO (1914 -1921) SFIC (1921 -1958) Biographie Date de naissance 20  septembre  1869 Date de décès 12  février  1958 Résidence Seine modifier   Gilles, Marcel Cachin né à Paimpol 1 2, le 20  septembre  1869, et mort à Choisy-le-Roi, le 12  février  1958) est un homme politique français. Sommaire * 1 Biographie * 1.1 Jeunesse, formation et débuts professionnels * 1.2 Parcours politique * 1.3 Famille * 1.4 Hommage * 2 Élections présidentielles * 3 Source * 4 Lien externe * 5 Références Biographie Jeunesse, formation et débuts professionnels Il est le fils de Marcel Cachin, un gendarme, et de Marie-Louise Le Gallou, fileuse de lin. Après des études au lycée Saint-Charles de Saint-Brieuc et à celui de Rennes, il suit les cours de la faculté des lettres de Bordeaux et passe sa licence en 1893. Il est professeur de philosophie à Bordeaux pendant quinze ans. Toute sa vie, il fut très attaché au breton « langue de la paysannerie et du prolétariat breton ». Parcours politique Dès 1891, Marcel Cachin adhère au Parti ouvrier français de Jules Guesde. Il participe aux congrès socialistes d'Amsterdam (1904) et de Paris (1905), ce dernier prononçant la création de la SFIO qu'il rejoint. Élu député de 1914 à 1932, il se rallie à la politique d'union nationale pendant la Première Guerre mondiale, et soutient donc la guerre. Il est envoyé en mission en Russie en 1917. En 1920, lors du congrès de Tours, il est l'un des fondateurs du Parti communiste français et fait partie de la majorité approuvant la révolution russe et le bolchévisme. Il adhère alors à la IIIe Internationale. En 1923, il est emprisonné pour ses prises de position contre l'occupation de la Ruhr et la présence française au Maroc. En 1936, il est l'un des piliers du Front populaire. Refusant de désavouer le pacte germano-soviétique et suivant la ligne du Parti, il est déchu de ses fonctions politiques en 1940. Pendant l'Occupation, confronté à la question des premiers otages suite aux attentats perpétrés contre les soldats allemands, il rédige une lettre dans laquelle il condamne les attentats individuels contre l'armée allemande. Des extraits de cette lettre sont repris par le Parti ouvrier et paysan français, parti composé d'anciens élus du Parti communiste français dans un but de propagande pour la Collaboration3. Il ne sera pas inquiété à la Libération pour cet écrit. Il mène, pendant la guerre, une existence clandestine dans son village natal puis en région parisienne. Après la Libération, il reprend ses activités jusqu'à sa mort en 1958. Directeur de L'Humanité (1918 -1958), il est membre du bureau politique du Parti communiste français (1923 -1958) et sénateur (1935), puis député de la Seine (1946). Après la guerre, il est député doyen de l'Assemblée nationale, et ce jusqu'à sa mort. À l'âge de 88 ans, il est le premier étranger à être décoré de l'ordre de Lénine. Il est inhumé au cimetière du Père-Lachaise, à Paris. Famille Sa fille Marcelle Cachin (1911 -1998) épousa Paul Hertzog, chirurgien. Elle-même médecin, elle était membre du parti communiste et député. Sa petite-fille, Françoise Cachin (1936 -2011), était historienne d'art et conservateur de musée. Hommage Plusieurs groupes scolaires portent son nom, notamment à Bezons, Villejuif, Orly, Échirolles, Vitry-sur-Seine, Champigny-sur-Marne, Choisy-le-Roi ou Romainville Élections présidentielles * 1931, candidat pour le PCF et obtient 10 voix sur 901 au premier tour (soit 1,1 % des suffrages), puis 11 voix sur 893 au second tour (soit 1,23 % des suffrages). * 1932, candidat pour le PCF, obtient 8 voix sur 826 (soit 0,96 % des suffrages). * 1939, candidat pour le PCF, obtient 74 voix sur 916 (soit 8,07 % des suffrages). * Présidentielle de 1953, candidat pour le PCF, obtient 113 voix sur 928 (soit 12,18 % des suffrages) Source * Jean-Loup Avril, Mille Bretons, dictionnaire biographique, Éditions Les Portes du large, Saint-Jacques-de-la-Lande, 2002. (ISBN 2-914612-10-9) * Les Carnets de Marcel Cachin, 1906-1947, Paris, CNRS Éditions, 1997, 1270 p. Présentation par Denis Peschanski, Yves Santamaria et Serge Wolikow. Lien externe * Fiche sur le site du Sénat Références * ↑ http://www.plourivo.fr/pages/personnages_histoire.php  ] * ↑ Registres paroissiaux http://sallevirtuelle.cotesdarmor.fr/EC/ecx/consult.aspx?image=090025535936517  ] * ↑ L'affaire Cachin  ], rene.merle.charles.antonin.over-blog.com, 23 août 2012
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Ousse (Pyrénées Atlantiques)
L'enfance perdue Marie-Paul Armand 1999 Prix: 1,50 € Livre en bon état 4ème de couverture: Entre les années 1915 et 1946, l'histoire de Thomas, un gamin du Nord, qui tente de vivre et d'aimer malgré toutes les épreuves qu'il traverse. Enlevé à sa mère dès sa naissance, il passe son enfance et son adolescence dans un orphelinat à la discipline impitoyable. A sa sortie, il est placé dans une ferme comme ouvrier agricole. Des années plus tard, la mère de Thomas se met à la recherche de son fils... A travers la vie au quotidien de cette région du Nord si chère à Marie-Paul Armand, L'Enfance perdue est un émouvant roman où l'on retrouve avec bonheur Pauline, l'héroïne de La Cense aux alouettes, un grand succès de l'auteur. Catégorie(s): Romans divers Référence du livre: R04689 Pour retrouver tous mes livres tapez loccasiondelire dans la barre de recherche (ou ailleurs sur le net).
1,5 €
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Ousse (Pyrénées Atlantiques)
L'enfance perdue Marie-Paul Armand 2005 Prix: 1,50 € Livre en bon état 4ème de couverture: Entre les années 1915 et 1946, l'histoire de Thomas, un gamin du Nord, qui tente de vivre et d'aimer malgré toutes les épreuves qu'il traverse. Enlevé à sa mère dès sa naissance, il passe son enfance et son adolescence dans un orphelinat à la discipline impitoyable. A sa sortie, il est placé dans une ferme comme ouvrier agricole. Des années plus tard, la mère de Thomas se met à la recherche de son fils... A travers la vie au quotidien de cette région du Nord si chère à Marie-Paul Armand, L'enfance perdue est un roman émouvant où l'on retrouve avec bonheur Pauline, l'héroïne de La Cense aux alouettes, un grand succès de l'auteur. Catégorie(s): Romans divers Référence du livre: R06613 Pour retrouver tous mes livres tapez loccasiondelire dans la barre de recherche (ou ailleurs sur le net).
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Nantes (Loire Atlantique)
Portrait en pied de Philibert de Lorme Gravure originale sur acier coloriée et gommée à l'époque issue du Plutarque Français (1835) format 17x27cm Philibert Delorme  Pour les articles homonymes, voir Delorme. Philibert Delorme Présentation Naissance vers 1510 Lyon  (France) Décès 8 janvier  1570 Paris  (France) Nationalité française Mouvement(s) Renaissance modifier   Philibert de l'Orme, également connu sous son nom de Delorme, né à Lyon  vers 1510  et mort le 8 janvier 1570  à Paris, est un architecte  français de la Renaissance. Sommaire   ]  * 1 Biographie * 2 Réalisations * 3 Ses écrits * 4 Iconographie * 5 Bibliographie * 6 Références * 7 Bâtiments portants son nom * 8 Liens externes * 9 Article connexe * 10 Source partielle Biographie | modifier le code] Il naît dans une famille de maître-maçons. De 1533  à 1536, il séjourne à Rome  où il étudie les monuments  antiques. En Italie, et est attiré à Paris  en 1537  par le cardinal  Jean du Bellay (ambassadeur de France à Rome), qui le fait connaître à la cour de François Ier  et de Henri II. Château de Saint-Maur fin XVIe siècle Il réalise pour ce dernier le Château de Saint-Maur  dont il ne reste rien et qui était un manifeste de la Renaissance française. C’était un quadrilatère inspiré des villas  italiennes qui a été plus ou moins achevé en 1544. Ce château suscite l’intérêt et Delorme attire l’attention du roi. Delorme multiplie les chantiers, et, de 1545  à 1557, tous les chantiers importants l'ont vu passer ou ont été dirigés par lui. Il est comblé de faveurs et reçoit même la commende  de plusieurs abbayes  qui lui procurent de confortables revenus. Parmi elles, l'Abbaye Saint-Serge d'Angers  dont il portera le plus ordinairement le titre d'abbé dans les derniers temps de sa vie. Il rencontre, par l'intermédiaire de son frère Jean Delorme (contrôleur général des Bâtiments de France), l'architecte angevin de la Renaissance Jean Delespine. Philibert Delorme donne pour Henri II les plans des châteaux d'Anet  et de Meudon, et plus tard, pour Catherine de Médicis, ceux du palais des Tuileries, dont il est nommé gouverneur. En 1557 cependant, il tombe en disgrâce, accusé de malversations. Il passe le reste de son existence à rédiger des traités théoriques et entame la rédaction d'une somme de l’architecture. Il a publié un Traité complet de l'art de bâtir, suivi des Nouvelles inventions pour bien bâtir et à petits frais, Paris, 1561. Le premier tome de sa somme d'architecture est publié en 1567. Delorme n’ira pas au-delà. Exemple de toit en carène Enthousiaste de l'architecture antique, Philibert Delorme s'efforce de l'adapter au climat et aux mœurs de la France de la Renaissance. Il est le premier à porter le titre d'« architecte du roi » sous Henri II. Selon A. Jouanna il a fait « passer l'architecte du statut d'ouvrier à celui d'artiste ». Delorme rompt avec la tradition des maîtres maçons constructeurs des cathédrales qui ont tout appris sur les chantiers. Il incarne la figure de l’architecte porteur de la Renaissance, porteur d’une culture savante. Il s'est aussi distingué comme inventeur vers 1550  de la technique de construction des toits de carène, dite également charpente « à petits bois », technique largement répandue dans plusieurs régions françaises, par exemple en Lozère  autour de Mende. Il est aussi l'initiateur de l'assemblage de bois pour fabriquer de grandes pièces de bois, poutres en lamellé. Plus tard, cette technique aboutira à la charpente lamellé-collé. Réalisations | modifier le code] croquis de la galerie de l’hôtel Bullioud * Château de Fontainebleau * La galerie de l'hôtel de Bullioud  (1536), rue Juiverie à Lyon  à la suite de son voyage en Italie ; * Château de Saint-Maur  (1541), détruit en 1796  ; * Tombe  de François Ier  dans la basilique Saint-Denis  (1547) ; * Château d'Anet  (1547 -1555), construit pour Diane de Poitiers  et dont il ne reste qu'une aile ; * Attribution (ancienne mais non documentée) des plans de la Chapelle Saint-Éloi, à Paris  (1550-1566), dont il ne reste qu'une partie de la façade ; * Attribution du Château d'Acquigny * Attribution de la façade du bâtiment de la Vicomté du Duché d'Uzès, Premier Duché de France  ; * Achèvement de la Sainte-Chapelle  du Château de Vincennes  (1552) ; * Château de Villers-Cotterêts, la partie sud (années 1547 -1559) ; * Chapelle  du Château de Villers-Cotterêts (années 1552 -1553) ; * Château royal de Saint-Léger-en-Yvelines, (détruit) ; * Château de Meudon  (supposé, mais absence de preuves) ; * Château de Montceaux  ; * Château de Thoiry  (années 1560) ; * Le pont  sur lequel a été réalisé le château de Chenonceau  ; * Une partie du Louvre  ; * Une partie du Château-Neuf de Saint-Germain-en-Laye  ; * Un portail  d'entrée du Château d'Écouen  (actuel Val d'Oise), demeure du Connétable  Anne de Montmorency  et du Roi Henri II, au milieu du XVIe siècle. L'aile concernée a cependant été détruite en 1787, et il n'en reste que quelques vestiges exposés à l'intérieur du Château. Le reste du palais est de l'architecte Jean Bullant. * Toiture des tourelles du Château de Bonnemare Ses écrits | modifier le code] * Les Nouvelles Inventions pour bien bastir et a petits frais   (1561) ; * Le Premier Tome de l'Architecture   (1567) et   (1576) ; * Site "Architectura" du CESR .
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