PARENTE ET MORT CHEZ LES WOLOF TRADITIONS ET MODERNITE AU EN FRANCE

Parente et Mort chez les Wolof Traditions et modernite au Senegal Lamine Ndiaye Auteur: Lamine Ndiaye Editeur: Editions L'Harmattan Broché: 342 pages Format: Broche Createur: Patrick Baudry Edition: HARMATTAN Publication: 01/05/2009 Réédition: 01/05/2009 Collection: Nouvelles etudes anthropologiques Dimensions: 24 x 15 x 2 Langue: Francais Publier en: Français Languages d'origine: Français Genre: Ethnologie Les Wolof constituent le groupe ethnique majoritaire au Senegal dont la filiation est de type bilineaire. De la sorte, le matrilignage (" meen ", en langue wolof) et le patrilignage (geno) definissent la parente, dans son sens large, en entretenant le principe selon lequel chacune des lignees dispose, symboliquement, d'un ensemble de prerogatives non substituables. A ce propos, la mort etant fondatrice de la vie, pour se donner les moyens de s'immortaliser et de mieux rendre la vie perdurable, les Wolof mettent en oeuvre un ensemble de pratiques, de croyances et de modeles explicatifs senses qui placent l'issue fatale non pas en dehors de la realite sociale et donc hors de la vie, mais dans la vie. Ce faisant, il est facile de comprendre pourquoi chez les Wolof du Senegal, la mort est un pas. Ce pas mene non pas vers un inconnu, mais vers un ailleurs symboliquement connu. De ce fait, le cimetiere, espace de la symbologie par excellence, devient, par la force des choses, le lieu allegorique de cristallisation de la parente renaissante. C'est ce que nous apprend la necropole situee au coeur de la ville sainte de Touba. Biographie de l'auteur Lamine Ndiaye est Docteur en Sociologie et Anthropologie et chef du departement de Sociologie de la Faculte des Lettres et Sciences Humaines de l'Universite Cheikh Anta Diop de Dakar (U.C.A.D.) Les Wolof constituent le groupe ethnique majoritaire au Senegal dont la filiation est de type bilineaire. De la sorte, le matrilignage (" meen ", en langue wolof) et le patrilignage (geno) definissent la parente, dans son sens large, en entretenant le principe selon lequel chacune des lignees dispose, symboliquement, d'un ensemble de prerogatives non substituables. A ce propos, la mort etant fondatrice de la vie, pour se donner les moyens de s'immortaliser et de mieux rendre la vie perdurable, les Wolof mettent en oeuvre un ensemble de pratiques, de croyances et de modeles explicatifs senses qui placent l'issue fatale non pas en dehors de la realite sociale et donc hors de la vie, mais dans la vie. Ce faisant, il est facile de comprendre pourquoi chez les Wolof du Senegal, la mort est un pas. Ce pas mene non pas vers un inconnu, mais vers un ailleurs symboliquement connu. De ce fait, le cimetiere, espace de la symbologie par excellence, devient, par la force des choses, le lieu allegorique de cristallisation de la parente renaissante. C'est ce que nous apprend la necropole situee au coeur de la ville sainte de Touba. Lamine Ndiaye est Docteur en Sociologie et Anthropologie et chef du departement de Sociologie de la Faculte des Lettres et Sciences Humaines de l'Universite Cheikh Anta Diop de Dakar (U.C.A.D.)   Classement: Livres > Thèmes > Etudes supérieures > Université > Archéologie - Éthnologie - Préhistoire Mot Clef: Ethnologie Ethnologie anthropologie

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