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Merci pour votre visite. Ci-dessous le descriptif de l'objet en vente. En bas de page, retrouvez tous les détails de nos conditions de vente et de livraison. Merci d'en prendre connaissance avant d'enchérir. N'hésitez pas à nous poser vos questions. Thank you for your visit. Below is the description of the item for sale. At the bottom, find all the details of our conditions of sale and delivery. Thank you to become acquainted before bidding. Feel free to ask us questions. Louis-Marie de BELLEYME (Paris 1787 - Paris1862)  Juriste et homme politique français; il fut notamment Préfet de police de Charles X. Davantage d´informations ci-dessous L.A.S - Paris, 10 décembre 1836 1p. in-8 (13x20cm environ) Sur papier entête du Tribunal de 1è Instance du Département de la Seine Ecrite en tant que Président du Tribunal. Adressée à M. Buji, Président du Tribunal civil au Puy (Haute Loire) - Cachet postal Au sujet d'une procédure juridique - Voir photo Bon état de conservation; une petite déchirure suite à l´ouverture de la lettre, sans atteinte au texte. Voir photo. Envoi soigné Informations complémentaires concernant le signataire de ce document: Jeunesse Louis Marie Maurice de Belleyme voit le jour à Paris le 16 janvier 1787. Issu d'une famille du Périgord, il est le fils de Pierre de Belleyme, un officier du génie, chef de la division topographique aux archives et collaborateur de Cassini. Élève au collège des Quatre-Nations, puis de l'académie de Législation, il fut reçu avocat à Paris le 17 juillet 1807. Il s'avère être un improvisateur habile et d'un talent oratoire certain. Plein de tact et de maîtrise, il excelle dans son art. Il débute dans la magistrature sous la Restauration, comme substitut du procureur du roi à Corbeil le 28 novembre 1814. Débuts sous la Restauration Après avoir fait ses preuves, il devient successivement conseiller auditeur à la Cour royale de Paris, en 1815, procureur du roi àPontoise, en 1816, à Versailles, en 1819, juge d'instruction et vice-président du tribunal de la Seine, en 1824, ainsi que procureur du roi au même tribunal, en 1826. Louis-Marie de Belleyme est décoré de la Légion d'honneur, le 1er août 1821. Il est candidat aux élections du 17 novembre 1827, dans l'arrondissement de Périgueux, il est battu. En novembre 1827, il fait preuve d'indépendance et de fermeté en prenant des sanctions à l'encontre des gendarmes qui avaient fait preuve de violences excessives lors de la fusillade de la rue Saint-Denis. Cette prise de position attire l'attention du nouveau cabinet Martignac. Ce dernier le nomme, le 17 janvier 1828, préfet de Police. Dès sa prise de fonctions, il abolit l'espionnage politique et donne un uniforme aux agents de la police secrète. Il aménage et réglemente les services de la voirie, des étalages, de la police des spectacles, des voitures de place et des approvisionnements. Il organise le corps des sergents de ville et fait établir les omnibus. Il travaille à l'extinction de la mendicité en créant notamment des maisons de refuge. Il est élu député et entre à la Chambre le 4 juillet 1829, par le collège du département de la Dordogne. Malgré les regrets du roi Charles X, il donne sa démission de son poste de préfet de Police. Il est nommé président du tribunal civil de la Seine le 13 août 1829, ce qu'il reste pendant 28 ans, jusqu'à sa première retraite à 70 ans en 1857. À la Chambre, il siégea au centre droit, et ne signa pas l'adresse des 221. Après ladissolution de la Chambre, il n'est pas réélu. Ralliement à monarchie de Juillet Après les Trois Glorieuses, on le retrouve chef de bataillon dans la 7e légion de la Garde nationale de Paris. Il se présente aux élections du 5 juillet 1831, mais échoue5. Mais le 28 septembre suivant, il est élu dans la Seine en remplacement de Casimir Perier. Il échoua de nouveau en 18346 et 18377, mais il est élu le même jour en Dordogne8, il sera réélu jusqu'en 1848, sans interruption Fin de carrière À s
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Tours (Indre et Loire)
-       Eugène LABICHE (1815 – 1888) – auteur dramatique   Lettre autographe signée à sa femme sl, 8 novembre 1870 - 4 pp. in-8 à son chiffre – Belle et longue lettre où transparaissent à travers le récit de la vie domestique, les nouvelles de la vie politique et les inquiétudes liées à la guerre.   Bon état général, voir photos.   « Ma bonne petite amie,   J’ai reçu hier 2 lettres de toi, une du 3 novembre et une du 5, elles ont été bien reçues toutes les deux. Je vois que vous avez à Guéret les nouvelles avant nous car nous ne connaissions pas encore la majorité obtenue à Paris par le gouvernement provisoire. On parle d’un armistice de 25 jours pour laisser faire les élections. Si ce bruit devient officiel, je partirai tout de suite pour aller vous chercher à Guéret : nous passerons ensemble ces 25 jours ici et si la guerre doit continuer, comme nous serons infailliblement envahis, vous partirez pour Pau pour vous tenir le plus loin possible des bombes de l’ennemi. Demande à ton papa et à ta maman, si cette combinaison leur convient. Je serais bien heureux de vous embrasser tous et de passer 25 jours avec vous. Ce serait de nouvelles vacances pour moi, car je m’ennuie bien loin de vous. Les trois officiers que j’avais chez moi ne t’ont remplacée que bien insuffisamment, il y en avait un très bien, un noble, parfaitement élevé, très discret, d’excellente compagnie. Il s’appelle Mr de Rougé, il doit venir me voir à Paris, s’il n’est pas tué. Le 2éme, capitaine des mobiles, est une grosse brute, mais bon garçon et très discret aussi. Mais le 3éme, le capitaine des francs-tireurs de Paris est un avocat sans causes, de Paris, très hâbleur, plein de forfanterie, tranchant, démocrate rouge et, je crois, pas très franc au fond. Il commençait à me porter sur les nerfs par ses indiscrétions, son sans-façon et sa manière de se mettre à l’aise et avait installé à ma cuisine une espèce de grand paresseux, sous prétexte qu’il était son ordonnance. Il buvait, mangeait, fumait et ne faisait rien de ses dix doigts. Il couchait dans mon cabinet sur le canapé et son maître dans la chambre du collaborateur. Ce capitaine avait été emprunter mes fusils de chasse dans le village et chassait toute la journée, il est vrai qu’il ne tuait rien, tout en se disant grand chasseur. Quant à sa bande, il ne s’en occupait pas, ne donnait aucun ordre et riait de leurs petites déprédations. Il m’a promis aussi de venir me voir à Paris. Masi je me fais une fête de ne pas la cultiver. Son ordonnance était de Coubert, il s’appelle Petit et dit que de son état il était ouvrier pour raccommoder les montres et les pendules. Ta maman connaît-elle cela ? Je reçois en fait de journaux, le moniteur universel assez régulièrement et de temps à autres le petit moniteur, je peux donc parfaitement me passer de la Patrie. Je t’envoie la dernière bande pour que ta maman puisse se faire envoyer le journal. Le bureau est à Poitiers. Je suis comme toi, je ne comprends rien à la marche d’Anna sur Lisieux, elle se rapproche des prussiens qui sont à Evreux. Elle ferait bien mieux de venir vous retrouver avec ses enfants. Adieu, ma bonne petite, peut-être nous reverrons nous bientôt. Je t’embrasse de tout cœur ainsi que ton papa, ta maman et gentil petit André.   Ton mari et vieil ami E.L.  Les bonnes s’ennuient de ne pas te voir, elles vont venir faire la lessive mercredi. Tout le monde va venir ici et te désire»
150 €
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