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Louvre anne


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France (Toutes les villes)
Le loup a donné son nom au Louvre ! Eh oui, le mot Louvre vient du latin " lupara ", qui signifie " loup ", ou, plus précisément, " lieu habité par les loups ". Il y a très longtemps, les loups entraient dans Paris et avaient élu domicile à un endroit, sur la rive droite, qui fut baptisé " Lupara ". Le mot a évolué à travers les âges, pour devenir " Louvre ". C'est ici que Philippe Auguste a construit, au XIIIe siècle, son château féodal, qui prit le nom du lieu-dit: " Le Louvre ". Ce château est aujourd'hui le musée du Louvre ! Tranche d'âges:  6 années et plus Editeur :  L'Atelier du Poisson Soluble (2 novembre 2006) Langue :  Français ISBN-10:  2913741479 ISBN-13:  978-2913741478 Dimensions du produit:  22 x 1 x 24 cm
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(C11711) Au verso: légende, ni manuscrite, ni timbrée ni oblitérée- légères petites griffures sur tranches sinon vraiment bon état- Expédition très rapide et soignée Cartes postales Reproductions Classification Thématique 1: Peinture Dimensions et poids / Largeur: 10.4 Dimensions et poids / Hauteur: 15 Origine / Région: Ile de France Origine / Département: 75 - Paris Date: 1970-01-01 00 Origine / Continent: Europe Origine / Pays: France Rubrique principale Reproductions: Cartes postales
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Rosso Le Christ mort Cecile Scaillierez Auteur: Cecile Scaillierez Editeur: RMN Broché: 112 pages Format: Broche Edition: HORS COLLECTION Publication: 10/09/2004 Réédition: 10/09/2004 Collection: Les dossiers du musee du Louvre Illustration: Illustrations couleur Dimensions: 26 x 200 Langue: Francais Publier en: Français Languages d'origine: Français Genre: Beaux arts Peindre le Christ mort, que l'on depose de la Croix, que les anges veillent, que la Vierge pleure, Rosso n'a cesse de le faire d'un bout a l'autre de sa carriere, de Florence, ou il naquit en 1494, a Paris, ou il mourut en 1540, en passant par Rome, Volterra et San Sepolcro. Il le fit toujours avec autant de culture que d'originalite, de foi que d'indifference aux conventions. Le Christ mort du Louvre, qui est ici analyse, seul tableau religieux preserve de la decennie que Rosso passa en France, de 1530 a 1540, a ete peint pour le connetable Anne de Montmorency. C'est la tout ce que l'on sait du tableau. L'etude menee dans ce livre souleve bien des questions etait-il destine a la chapelle du chateau d'Ecouen ou il se trouvait des la fin du XVIe siecle ? Comment s'inscrit-il dans la suite des reflexions de Rosso sur ce theme ? Quel effet produisit-il sur l'art francais du XVIe siecle ? Concu dans le cadre de la saison sur l'Italie a la cour de France, ce dossier apporte un contrepoint florentin a l'art de Primatice. Peindre le Christ mort, que l'on depose de la Croix, que les anges veillent, que la Vierge pleure, Rosso n'a cesse de le faire d'un bout a l'autre de sa carriere, de Florence, ou il naquit en 1494, a Paris, ou il mourut en 1540, en passant par Rome, Volterra et San Sepolcro. Il le fit toujours avec autant de culture que d'originalite, de foi que d'indifference aux conventions. Le Christ mort du Louvre, qui est ici analyse, seul tableau religieux preserve de la decennie que Rosso passa en France, de 1530 a 1540, a ete peint pour le connetable Anne de Montmorency. C'est la tout ce que l'on sait du tableau. L'etude menee dans ce livre souleve bien des questions etait-il destine a la chapelle du chateau d'Ecouen ou il se trouvait des la fin du XVIe siecle ? Comment s'inscrit-il dans la suite des reflexions de Rosso sur ce theme ? Quel effet produisit-il sur l'art francais du XVIe siecle ? Concu dans le cadre de la saison sur l'Italie a la cour de France, ce dossier apporte un contrepoint florentin a l'art de Primatice.   Classement: Livres > Thèmes > Etudes supérieures > Université > Arts Mot Clef: Beaux arts Histoire de l'art Lire un tableau Beaux livres d'art Jesus-Christ - Passion - Art - Expositions Musee du Louvre. Departement des peintures - Expositions Peinture - France - Paris - Expositions Rosso, Fiorentino, 1494-1540. Christ mort - Expositions
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La Chapelle Caro (Morbihan)
A Giorgio Vasari Aretino Storico Degli Artisti - Architetto e Pittore - 1511-1574 L'Ente Provinc. Le per il Turismo 1974 Gori & Zucchi R. Carboni - E. Scatragli Diamètre: 70 mm - Épaisseur: 4 mm Poids: 180 grammes contact@antikpapers.com ba320 -- Giorgio Vasari (30 juillet 1511 à Arezzo - 27 juin 1574 à Florence) est peintre, architecte et écrivain toscan. Son recueil biographique Les Vies des meilleurs peintres, sculpteurs et architectes, particulièrement sa seconde édition de 1568, est considéré comme une des publications fondatrices de l'histoire de l'art. Sommaire     1 Biographie     2 Citations à son propos     3 Les Vies des meilleurs peintres, sculpteurs et architectes     4 Œuvres     5 Bibliographie     6 Notes et références     7 Voir aussi         7.1 Articles connexes         7.2 Liens externes Biographie Le clocher-mur de la fraternité laïque à Arezzo Tableau généalogique de Vasari publié dans l'édition de Gaetano Milanesi (it), 18781 Né dans une famille modeste, sur la recommandation de son cousin Luca Signorelli, il devient l'élève de Guglielmo da Marsiglia, un peintre habile de vitraux. À 16 ans, le cardinal Silvio Passerini l'envoie poursuivre ses études à Florence, près d'Andrea del Sarto et de ses élèves Rosso Fiorentino et Jacopo Pontormo. Son éducation d'humaniste n'est pas négligée et il rencontre Michel-Ange dont le modèle de peinture l'a influencé. En 1529, il visite Rome et étudie les travaux de Raphaël et d'autres artistes de la Haute-Renaissance romaine. Ses propres peintures maniéristes ont été davantage admirées pendant sa vie qu'après. Il est employé par les maîtres des maisons de la famille Médicis à Florence et à Rome et il travaille aussi, entre autres, à Naples, à Arezzo. Plusieurs de ses travaux existent encore, du plus important, les peintures des murs et du plafond dans la grande Salle de Cosme Ier du Palazzo Vecchio à Florence, datant de 1555, aux fresques inachevées à l'intérieur de la vaste coupole du Duomo, terminées par Federigo Zuccaro et avec l'aide de Giovanni Balducci. Il organise la décoration du Studiolo de François Ier du Palazzo Vecchio, plutôt comme directeur des productions artistiques qui doivent y apparaître que comme artiste producteur d'œuvres. Sa production architecturale est plus importante que celle de peintre. La loggia des Offices allant du Palazzo Vecchio et débouchant sur l'Arno ouvrant une vue au bout de sa longue cour étroite est un morceau unique d'urbanisme qui fonctionne comme une place publique, le piazzale des Offices, unique rue de la Renaissance avec un seul traitement architectural. Il est, à partir de 1553, un proche des Médicis à Florence et fonde l'Académie de dessin de Florence en 1563, avec le grand-duc et Michel-Ange comme premiers directeurs de l'établissement et de trente-six artistes choisis comme membres. En mars 1565, il écrit, pour le mariage de François de Médicis et de Jeanne d’Autriche, la Mascarade de la généalogie des dieux, dont il publie le livret. La même année, il conçoit à Florence le Corridoio reliant le Palazzo Vecchio au Palais Pitti, le construit en cinq mois, commandité par Cosme Ier et inauguré pour le mariage de son fils François. Ce corridor permettra aux Médicis de circuler sans escorte et sans descendre dans la rue pour traverser l'Arno par le Ponte Vecchio, tout en admirant les nombreux tableaux qui l'ornent (beaucoup d'autoportraits depuis Léopold de Médicis) et la ville par ses fenêtres. Il rénove également les églises médiévales Santa Maria Novella et Santa Croce, et transforme le jubé et la chaire dans le goût maniériste de son temps. À Rome, Vasari travaille avec Giacomo Barozzi da Vignola et Bartolomeo Ammanati pour la Villa Giulia du pape Jules III. Vasari, qui aura été apprécié pendant toute sa vie, amasse une fortune considérable. En 1547, il se fait construire une maison à Arezzo (maintenant un musée qui lui est consacré), et consacre beaucoup de son temps et de son énergie à décorer les murs et les voûtes. Il est élu au conseil et priori municipal de sa ville natale, et est finalement élevé au titre suprême de gonfalonier. Écrivain également, il est l'auteur du précieux recueil intitulé Les Vies des plus excellents peintres, sculpteurs et architectes (Le Vite de' più eccellenti pittori, scultori e architettori) (1560-1570). Cet ouvrage est d'une importance majeure, car il pose les bases des premières approches méthodologiques de l'histoire de l'art - (approche historique et méthode biographique). Citations à son propos     « Ce fut un homme aimable, d'une belle figure, doué de quelques petits talents, de beaucoup d'adresse, et de persévérance, et d'une de ces âmes froides, très convenables pour faire son chemin dans le monde, et pour être un plat artiste. » — Vasari vu par Stendhal dans Histoire de la peinture en Italie     « Vasari, le Georges à tout faire de Michel-Ange, quinze siècles après le ministre d'Auguste, est le Mécène de la renommée. Il a fait et défait les réputations. Peintre détestable, architecte sans goût, juge sans équité, Jules Romain de la critique et de la Toscane, Vasari n'en est pas moins un des plus précieux Italiens de la Renaissance, et son livre un des trésors que l'on doit à l'Italie. » — André Suarès, Le Voyage du condottière, p. 362 Les Vies des meilleurs peintres, sculpteurs et architectes Couverture de Le Vite Article détaillé: Le Vite. Le Vite de' più eccellenti pittori, scultori e architettori (1550-1568). Édité une première fois en 1550, il fait l'objet d'une seconde édition en 1568. La première édition ne comportait, en réalité, que les vies des auteurs décédés durant l'écriture de son ouvrage. Pourtant une exception venait infirmer la règle, c'est celle de Michel-Ange qui y figurait déjà lors de la première édition. Giorgio Vasari y ordonne les artistes qui l'ont précédé ou qui lui sont contemporains dans une perspective historique. Il rassemble des données, tant sur les artistes que sur leurs œuvres (enquêtes biographiques, catalogues des œuvres, anecdotes et légendes). Il est le premier, dans Les Vies, à utiliser le terme Renaissance pour qualifier son époque (rinascimento de la bella maniera incarnée par Raphaël et Michel-Ange dont le but est l'imitation du travail des anciens et qui apparaît selon lui dans la seconde moitié du XIIe siècle). Cet ouvrage apparaît, aujourd'hui, comme un des éléments fondateurs de l'Histoire de l'art. C'est de Vasari que viendrait le terme « gothique », comparant l'étrange architecture du Moyen Âge avec la barbarie du peuple des Goths. Œuvres La Déposition de la Croix (vers 1550), au musée de la Chartreuse de Douai. Judith et Holofernes (vers 1554), Musée d'art de Saint-Louis, Saint-Louis     Déposition du Christ (1532), huile sur panneau, 144 × 113 cm, Arezzo, Maison natale de Vasari.     Sainte Famille avec saint Jean Baptiste et saint François d'Assise2, Musée des beaux-arts de Bordeaux.     Portrait de Laurent le magnifique (vers 1534), huile sur panneau, 90 × 72 cm, Galerie des Offices, Florence.     Portrait d'Alexandre de Médicis (vers 1534), huile sur panneau, 157 × 114 cm, Galerie des Offices, Florence.     Le Christ chez Marthe et Marie (1539-1540), huile sur panneau, 404 × 250,6 cm, Bologne, Pinacoteca Nazionale.     Déposition de la croix (1540 ca), huile sur toile, 311 × 210 cm, Camaldoli, Chiesa dei Santi Donato e Ilariano.     La Cène de Saint Grégoire le Grand (1540, huile sur panneau, 403 × 255 cm, Bologne, Pinacoteca Nazionale.     Allégorie de l'Immaculée conception (1541), huile sur panneau, 58 × 39 cm, Galerie des Offices, Florence.     La Tentation de saint Jérôme (vers 1541), huile sur panneau, 169 × 123 cm, Florence, Palais Pitti, Galerie Palatine.     La Sainte Famille avec sainte Anne (1541-1547), Musée de Grenoble.     La Sainte famille avec saint François (1542), huile sur toile, 184 × 125 cm, Los Angeles, County Museum of Art.     La Justice (1542), huile sur toile, Venise, Gallerie dell'Accademia.     Allégorie de la Justice, la Vérité et la rumeur (1543), huile sur panneau, 353 × 252 cm, Naples, Museo di Capodimonte.     Venus et Cupidon (vers 1543), huile sur panneau, 131 × 199 cm, Windsor, Royal Collection.     Le Pape Paul Farnèse dirige la construction de Saint Pierre (1544 ca), fresque, Rome, Palazzo della Cancelleria.     La Résurection du Christ (1545), huile sur panneau, 117 × 73 cm, Musée Capodimonte de Naples.     La Nativité (1546 ca), huile sur toile, Rome, Galerie Borghèse.     La Sainte Famille avec sainte Anne et saint Jean (vers 1546), huile sur toile, 82 × 60,5 cm, Vienne, Kunsthistorisches Museum.     La Déposition de la Croix (vers 1550), huile sur bois, 174 × 130 cm, musée de la Chartreuse de Douai     Judith décapite Holopherne (vers 1554), huile sur panneau, 108 × 79 cm, Musée d'art de Saint-Louis, Saint-Louis.     La Toilette de Venus (1558), huile sur toile, Stuttgart, Staatsgalerie.     La Lapidation de saint Étienne (vers 1560), huile sur toile, 300 × 163 cm, Musées du Vatican, Pinacoteca Vaticana.     Les Quatre Éléments (vers 1560), Florence, Palazzo Vecchio.     Les Travaux d'Hercule (vers 1560), Florence, Palazzo Vecchio.     L'Annonciation (1564-1567), bois, 216 × 166 cm, Musée du Louvre, Paris. Élément central du triptyque peint pour le maître autel de l'église de Santa Maria Novella d'Arezzo3.     Fresques de la Sala del Cinquecento (1565), Florence, Palazzo Vecchio.     Saint Luc peignant la Vierge (vers 1565), fresque, Florence, Chiesa della Santissima Annunziata.     Autoportrait (vers 1566-1568), huile sur panneau, 100,5 × 80 cm, galerie des autoportraits du Corridor de Vasari, musée des Offices, Florence.     Le Prophète Élisée, huile sur bois (1566), musée des Offices, Florence.     La Forge de Vulcain (1567-1568), musée des Offices, Florence.     Christ dans le jardin de Gestsemani (vers 1570), huile sur panneau, 143,5 × 127 cm, Tokyo, National Museum of Western Art.     L'Adoration des bergers (1570-1571), huile sur panneau, 131 × 69 cm, Chazen, Museum of Art.     Persée et Andromède (1570-1572), huile sur toile, 117 × 100 cm, Florence, Palazzo Vecchio.     Le Laboratoire de l'alchimiste (1570 ca), Florence, Palazzo Vecchio.     Couronnement de la Vierge nommée aussi Pala del Vasari, retable de 1571, 400 × 300 cm, chœur de l'église Sainte-Catherine de Livourne.     L'Incrédulité de saint Thomas (vers 1572), huile sur panneau, basilique Santa Croce de Florence     Le Jugement Dernier (1572-74), fresque, 4 000 m2, Florence, coupole de Santa Maria del Fiore.     Allégories (1545) fresques, Sacristie, Église Sainte Anne des Lombards, Naples     La Dernière Cène, Basilique Santa Croce de Florence)
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Nantes (Loire Atlantique)
Portrait en pied de Philibert de Lorme Gravure originale sur acier coloriée et gommée à l'époque issue du Plutarque Français (1835) format 17x27cm Philibert Delorme  Pour les articles homonymes, voir Delorme. Philibert Delorme Présentation Naissance vers 1510 Lyon  (France) Décès 8 janvier  1570 Paris  (France) Nationalité française Mouvement(s) Renaissance modifier   Philibert de l'Orme, également connu sous son nom de Delorme, né à Lyon  vers 1510  et mort le 8 janvier 1570  à Paris, est un architecte  français de la Renaissance. Sommaire   ]  * 1 Biographie * 2 Réalisations * 3 Ses écrits * 4 Iconographie * 5 Bibliographie * 6 Références * 7 Bâtiments portants son nom * 8 Liens externes * 9 Article connexe * 10 Source partielle Biographie | modifier le code] Il naît dans une famille de maître-maçons. De 1533  à 1536, il séjourne à Rome  où il étudie les monuments  antiques. En Italie, et est attiré à Paris  en 1537  par le cardinal  Jean du Bellay (ambassadeur de France à Rome), qui le fait connaître à la cour de François Ier  et de Henri II. Château de Saint-Maur fin XVIe siècle Il réalise pour ce dernier le Château de Saint-Maur  dont il ne reste rien et qui était un manifeste de la Renaissance française. C’était un quadrilatère inspiré des villas  italiennes qui a été plus ou moins achevé en 1544. Ce château suscite l’intérêt et Delorme attire l’attention du roi. Delorme multiplie les chantiers, et, de 1545  à 1557, tous les chantiers importants l'ont vu passer ou ont été dirigés par lui. Il est comblé de faveurs et reçoit même la commende  de plusieurs abbayes  qui lui procurent de confortables revenus. Parmi elles, l'Abbaye Saint-Serge d'Angers  dont il portera le plus ordinairement le titre d'abbé dans les derniers temps de sa vie. Il rencontre, par l'intermédiaire de son frère Jean Delorme (contrôleur général des Bâtiments de France), l'architecte angevin de la Renaissance Jean Delespine. Philibert Delorme donne pour Henri II les plans des châteaux d'Anet  et de Meudon, et plus tard, pour Catherine de Médicis, ceux du palais des Tuileries, dont il est nommé gouverneur. En 1557 cependant, il tombe en disgrâce, accusé de malversations. Il passe le reste de son existence à rédiger des traités théoriques et entame la rédaction d'une somme de l’architecture. Il a publié un Traité complet de l'art de bâtir, suivi des Nouvelles inventions pour bien bâtir et à petits frais, Paris, 1561. Le premier tome de sa somme d'architecture est publié en 1567. Delorme n’ira pas au-delà. Exemple de toit en carène Enthousiaste de l'architecture antique, Philibert Delorme s'efforce de l'adapter au climat et aux mœurs de la France de la Renaissance. Il est le premier à porter le titre d'« architecte du roi » sous Henri II. Selon A. Jouanna il a fait « passer l'architecte du statut d'ouvrier à celui d'artiste ». Delorme rompt avec la tradition des maîtres maçons constructeurs des cathédrales qui ont tout appris sur les chantiers. Il incarne la figure de l’architecte porteur de la Renaissance, porteur d’une culture savante. Il s'est aussi distingué comme inventeur vers 1550  de la technique de construction des toits de carène, dite également charpente « à petits bois », technique largement répandue dans plusieurs régions françaises, par exemple en Lozère  autour de Mende. Il est aussi l'initiateur de l'assemblage de bois pour fabriquer de grandes pièces de bois, poutres en lamellé. Plus tard, cette technique aboutira à la charpente lamellé-collé. Réalisations | modifier le code] croquis de la galerie de l’hôtel Bullioud * Château de Fontainebleau * La galerie de l'hôtel de Bullioud  (1536), rue Juiverie à Lyon  à la suite de son voyage en Italie ; * Château de Saint-Maur  (1541), détruit en 1796  ; * Tombe  de François Ier  dans la basilique Saint-Denis  (1547) ; * Château d'Anet  (1547 -1555), construit pour Diane de Poitiers  et dont il ne reste qu'une aile ; * Attribution (ancienne mais non documentée) des plans de la Chapelle Saint-Éloi, à Paris  (1550-1566), dont il ne reste qu'une partie de la façade ; * Attribution du Château d'Acquigny * Attribution de la façade du bâtiment de la Vicomté du Duché d'Uzès, Premier Duché de France  ; * Achèvement de la Sainte-Chapelle  du Château de Vincennes  (1552) ; * Château de Villers-Cotterêts, la partie sud (années 1547 -1559) ; * Chapelle  du Château de Villers-Cotterêts (années 1552 -1553) ; * Château royal de Saint-Léger-en-Yvelines, (détruit) ; * Château de Meudon  (supposé, mais absence de preuves) ; * Château de Montceaux  ; * Château de Thoiry  (années 1560) ; * Le pont  sur lequel a été réalisé le château de Chenonceau  ; * Une partie du Louvre  ; * Une partie du Château-Neuf de Saint-Germain-en-Laye  ; * Un portail  d'entrée du Château d'Écouen  (actuel Val d'Oise), demeure du Connétable  Anne de Montmorency  et du Roi Henri II, au milieu du XVIe siècle. L'aile concernée a cependant été détruite en 1787, et il n'en reste que quelques vestiges exposés à l'intérieur du Château. Le reste du palais est de l'architecte Jean Bullant. * Toiture des tourelles du Château de Bonnemare Ses écrits | modifier le code] * Les Nouvelles Inventions pour bien bastir et a petits frais   (1561) ; * Le Premier Tome de l'Architecture   (1567) et   (1576) ; * Site "Architectura" du CESR .
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