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Nespoli difficiles evolution


Liste des meilleures ventes nespoli difficiles evolution

Montcarra (Isère)
Arnould Espace Evolution 64031 - Prise simple complète avec plaque 64401 simple.   Descriptif PRISE DE COURANT 2P+T BORNES AUTOMATIQUES ARNOULD ESPACE EVOLUTION Cette prise de courant bipolaire avec terre, Espace Évolution, de la marque Arnould, sert à alimenter en électricité les appareils électrodomestiques d'une habitation. Elle peut être utilisée pour brancher la télévision, les ordinateurs, la radio, etc. La connexion avec les autres éléments de l’installation se fait facilement grâce à ses bornes automatiques. Cette prise de courant de 16A est livrée avec son support de fixation. Elle est aussi munie d’éclips de protection éloignant tout danger lié à l’électrocution par insertion d’objets métalliques à l’intérieur des fentes. Les + du produit: - Prise à bornes automatiques - Munie d’éclips de protection - Composable Caractéristiques du produit: - Prise 2P+T 16A-250V~ - connexion par bornes automatiques - Alimentation : 250V - Intensité : 16 A - avec éclips de protection - Couleur: Blanc - Fonction: distribution d'énergie - Hauteur: 73 - Largeur: 73 - Profondeur: 38.2 - Type de fonction: prise de courant - Protection: IP21 / IK04 Caractéristiques techniques du produit: Prise de courantNuméro ral (équivalent)9003Type de fixationFixation à griffes/visHauteur d'appareil73 mmProfondeur d'appareil40.4 mmAlimentation spécialeSans alimentation spécialeProtection contre les surtensionsNonTraitement de la surfaceNon traitéRepiquage possibleOuiProtection différentielleNonPrise inclinée ou inclinableNonIndice de protection contre les chocs (ik)Ik04Avec éclairage fonctionnelNonCouverclePlaque centraleVerrouillableNonAvec éclairage d'orientationNonPorte-étiquetteNonAvec microfusibleNonPour « conditions difficiles » (selon vde)NonMatériauPlastiqueImpression/marquageSans impressionTension nominale250 VQualité du matériauThermoplastiqueTransparentNonAvec dispositif on/offNonAdapté à la classe de protection (ip)Ip31Finition de la surfaceMatCourant nominal16 ALargeur d'appareil73 mmNombre de prises commutables0Avec alimentation usb incorporéeNonMécanisme d'éjectionNonEncastrement isoléNonNombre d'unités1Avec eclips / protection enfantOuiType de connexionBornes automatiquesSans halogèneOuiNombre de modules (construction modulaire)1CouleurBlancMode de poseEncastréFréquence50-60 MHzAvec volet de protectionNonAvec voyant indicateurNonNombre de phases1Broche de mise la terre de sécuritéOuiNombre de pôles coupés (ronds)1Nombre de pôles coupés (plats)0Contact de protection (terre)OuiTraitement antibactérienNonModèleNorme française nf
13,89 €
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France (Toutes les villes)
Arnould Espace Evolution 64031 - Prise simple complète avec plaque 64401 simple. Descriptif PRISE DE COURANT 2P+T BORNES AUTOMATIQUES ARNOULD ESPACE EVOLUTION Cette prise de courant bipolaire avec terre, Espace Évolution, de la marque Arnould, sert à alimenter en électricité les appareils électrodomestiques d'une habitation. Elle peut être utilisée pour brancher la télévision, les ordinateurs, la radio, etc. La connexion avec les autres éléments de l’installation se fait facilement grâce à ses bornes automatiques. Cette prise de courant de 16A est livrée avec son support de fixation. Elle est aussi munie d’éclips de protection éloignant tout danger lié à l’électrocution par insertion d’objets métalliques à l’intérieur des fentes. Les + du produit: - Prise à bornes automatiques - Munie d’éclips de protection - Composable Caractéristiques du produit: - Prise 2P+T 16A-250V~ - connexion par bornes automatiques - Alimentation: 250V - Intensité: 16 A - avec éclips de protection - Couleur: Blanc - Fonction: distribution d'énergie - Hauteur: 73 - Largeur: 73 - Profondeur: 38.2 - Type de fonction: prise de courant - Protection: IP21 / IK04 Caractéristiques techniques du produit: Prise de courantNuméro ral (équivalent)9003Type de fixationFixation à griffes/visHauteur d'appareil73 mmProfondeur d'appareil40.4 mmAlimentation spécialeSans alimentation spécialeProtection contre les surtensionsNonTraitement de la surfaceNon traitéRepiquage possibleOuiProtection différentielleNonPrise inclinée ou inclinableNonIndice de protection contre les chocs (ik)Ik04Avec éclairage fonctionnelNonCouverclePlaque centraleVerrouillableNonAvec éclairage d'orientationNonPorte-étiquetteNonAvec microfusibleNonPour « conditions difficiles » (selon vde)NonMatériauPlastiqueImpression/marquageSans impressionTension nominale250 VQualité du matériauThermoplastiqueTransparentNonAvec dispositif on/offNonAdapté à la classe de protection (ip)Ip31Finition de la surfaceMatCourant nominal16 ALargeur d'appareil73 mmNombre de prises commutables0Avec alimentation usb incorporéeNonMécanisme d'éjectionNonEncastrement isoléNonNombre d'unités1Avec eclips / protection enfantOuiType de connexionBornes automatiquesSans halogèneOuiNombre de modules (construction modulaire)1CouleurBlancMode de poseEncastréFréquence50-60 MHzAvec volet de protectionNonAvec voyant indicateurNonNombre de phases1Broche de mise la terre de sécuritéOuiNombre de pôles coupés (ronds)1Nombre de pôles coupés (plats)0Contact de protection (terre)OuiTraitement antibactérienNonModèleNorme française nf En savoir plus
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Carbon Blanc (Gironde)
EB710DWSLED - Ponceuse de Cloisons Sèches de 225mm avec Lampe Torche à LED & 6 Disques de Ponçage Extensible, Tête Rotative, Vitesse Variable Idéale pour les murs et plafonds en plâtre, ainsi que pour l'élimination des résidus de papier peint. - OUTIL PUISSANT À VITESSE VARIABLE Que vous ponciez des joints sur des murs ou plafonds en plâtre ou que vous enleviez de vieilles peintures, le moteur puissant de 710 W à vitesse variable pouvant atteindre 1500 tours/min vous permet d'effectuer des tâches de ponçage jusqu'à dix fois plus rapidement qu'avec des méthodes conventionnelles !* - POLYVALENT ET PRATIQUE La tête pouvant pivoter entre 0° et 90° vous permet de suivre les contours de la surface de travail dans toutes les directions. La conception télescopique étend cette ponceuse de cloisons sèches légère jusqu'à une longueur de 1,9 mètre, afin d'atteindre plus facilement les zones difficiles d'accès. - VOYANT À LED L'outil est doté d'autres fonctionnalités telles qu'un revêtement souple sur la poignée principale et l'anse pour un maniement efficace et une stabilité parfaite. La ponceuse de cloisons sèches est équipée d'une lampe à LED vous permettant de voir toute ombre créée par des zones irrégulières, lorsque l'éclairage est insuffisant. - ACCESSOIRES INCLUS Les accessoires incluent six disques de ponçage faciles à monter de différents grains pour toutes les applications. Grains inclus : 60, 80, 120, 150, 180 et 240. Un tuyau de 4 mètres est également fourni, il est fixé à l'extrémité de la perche et il peut être raccordé à la plupart des prises d'aspirateurs. Garantie 12 mois
125 €
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France (Toutes les villes)
Gravures des fondations des piles 5. 6, 7 et 8 du pont d’Orléans Gravures de 87 x 60 cm Sur les plans de Jean Hupeau, le suivi est le fait de Robert Soyer   Les piles   5 et 6 sont faites en 1753, les 7 et 8 sont faites en 1754. Elles sont plus difficiles avec l’obligation de pieux plus longs. La rue Royale qui relie le pont au centre sera construite après la construction du pont et reste un axe central menant à la place de Jeanne d’arc A prendre à Tours ou expédition par mondial relay sous protection optimisée pour 8 €, règlement par chèque ou virement bancaire E.U. shipping pack link tracking number and insurance included, only bank transfer (paypal possible, add 4 €). Non european country, contact me Le vieux pont dit des tourelles avaient 19 arches et était gênant pour la naviguation et devenu vétuste. On décide de construire un pont de pierre. En 1748 on charge Soyer de sa conduite sous les ordres de Pitrou. Mais ce Pitrou meurt en 1750 alors que le projet est fait mais non réalisé. Ce projet sera remis en cause par Jean Hupeau son successeur qui consulte Soyer. Robert Soyer, 1717 - 1802, est  ingénieur des ponts et chaussées   français, qui s’est principalement illustré dans la construction du  pont George V  à  Orléans, où il finit sa carrière comme  Inspecteur général des turcies et levées. Ingénieur à la  généralité de Tours, il est informé en 1748, par une lettre de  Daniel-Charles Trudaine, qu'il est chargé de la conduite des travaux du  pont d'Orléans, sous les ordres de  Robert Pitrou. Après le décès de celui-ci, il est placé sous les ordres de  Jean Hupeau  jusqu'à la fin des travaux. Son manuscrit est donc un précieux document qui témoigne des méthodes de construction des ponts au  XVIII e  siècle, du degré d'évolution de l'art de l'ingénieur et de son rôle sur le chantier. L'ingénieur analyse et calcule le coût des différentes opérations, il établit les barèmes de temps et s'engage sur la voie française de l'organisation du travail de l'époque industrielle. Il veille au respect des plans et des devis qui sont les pièces contractuelles. Et si des difficultés se présentent, comme l'affaissement d'une pile, il doit imaginer une solution. C'est Robert Soyer qui suggère l'allègement des reins, établit les plans et les propose à son chef  Jean Hupeau. Il est cependant clair que l'art de l'ingénieur n'a guère de base scientifique. Mais Robert Soyer prend des notes et illustre l'idée que le progrès technique est à base d'observations, d'expériences anarchiques et d'imagination. Et ce sont des observations consignées avec soin, combinées à la volonté de mathématisation du savoir de l'ingénieur, qui permettront, à la fin du  XVIII e  siècle, le passage   à l'univers de la machine et de la précision. Ayant achevé sa mission au  Pont d'Orléans  et obtenu la réception de l'ouvrage, Robert Soyer, qui appréciait la vie orléanaise, obtint le privilège de demeurer dans cette région. Il y termina sa carrière comme  Inspecteur général des turcies et levées si importantes le long de la Loire.   Jean Hupeau, 1710- 1763, est un  architecte  et  ingénieur des ponts et chaussées qui s’est illustré dans différents projets de différents ponts, dont le  pont Royal  d’ Orléans. Il a été successivement nommé en  1731  ingénieur de la  généralité de Riom  et plus tard de la  généralité de Soissons. En 1742, il est nommé inspecteur des ponts et chaussées, et en  1754, premier ingénieur en remplacement de  Germain Boffrand. L'art de Hupeau est reconnu. Il sera reçu académicien à l' Académie royale d'architecture  en 1757. Il est mort en 1763   à la suite d'une longue maladie. En  1750, il rédigea le projet mis à exécution pour le pont d'Orléans. Le pont sera construit à 49 toises au-dessous de la tête d'aval de l'ancien pont; ceci permet de tracer, en parfait alignement, la Rue Royale qui débouche place du Martroi et, au sud, l'avenue Dauphine. Le plan de circulation est harmonieux. Il remet en cause le projet de Robert Pitrou et propose une disposition permettant des économies : ce sera 9 arches au lieu de 11, et une longueur de 165 toises au lieu de 189. Il adapte parfaitement l'ouvrage à sa destination et à son site. Il a le sens de l’esthétisme.   Il retient le rapport cinq entre la portée des voûtes et la largeur des piles en majorant légèrement (5,5), il admet la forme des piles en nefs de bateau qui réduit le frottement des eaux et adopte le dessin en anses de panier à trois centres, pour les voûtes, parce que cela fait chanter les points d'appui. Pour les rampes, il choisit la valeur minimale. Le résultat est d'une grande noblesse et d'une simplicité qui l'engage à supprimer, en cours de travaux, l'obélisque prévu au devis. Les pavillons, les façades de la Rue Royale, également de sa main, sont de la même facture. Mais, alors que la réception du  Pont Royal  à  Orléans  devait être faite un an après leur entière perfection, les difficultés rencontrées conduisent à un report de deux années de cette échéance. Ainsi le constructeur Jean Hupeau qui décédait en  1763  à  Paris  laissait à son successeur le soin de réceptionner son œuvre majeure. Robert Soyer, 1717 - 1802, est  ingénieur des ponts et chaussées   français, qui s’est principalement illustré dans la construction du  pont George V  à  Orléans, où il finit sa carrière comme  Inspecteur général des turcies et levées. Ingénieur à la  généralité de Tours, il est informé en 1748, par une lettre de  Daniel-Charles Trudaine, qu'il est chargé de la conduite des travaux du  pont d'Orléans, sous les ordres de  Robert Pitrou. Après le décès de celui-ci, il est placé sous les ordres de  Jean Hupeau  jusqu'à la fin des travaux. Son manuscrit est donc un précieux document qui témoigne des méthodes de construction des ponts au  XVIII e  siècle, du degré d'évolution de l'art de l'ingénieur et de son rôle sur le chantier. L'ingénieur analyse et calcule le coût des différentes opérations, il établit les barèmes de temps et s'engage sur la voie française de l'organisation du travail de l'époque industrielle. Il veille au respect des plans et des devis qui sont les pièces contractuelles. Et si des difficultés se présentent, comme l'affaissement d'une pile, il doit imaginer une solution. C'est Robert Soyer qui suggère l'allègement des reins, établit les plans et les propose à son chef  Jean Hupeau. Il est cependant clair que l'art de l'ingénieur n'a guère de base scientifique. Mais Robert Soyer prend des notes et illustre l'idée que le progrès technique est à base d'observations, d'expériences anarchiques et d'imagination. Et ce sont des observations consignées avec soin, combinées à la volonté de mathématisation du savoir de l'ingénieur, qui permettront, à la fin du  XVIII e  siècle, le passage   à l'univers de la machine et de la précision. Ayant achevé sa mission au  Pont d'Orléans  et obtenu la réception de l'ouvrage, Robert Soyer, qui appréciait la vie orléanaise, obtint le privilège de demeurer dans cette région. Il y termina sa carrière comme  Inspecteur général des turcies et levées si importantes le long de la Loire. Après de multiples problèmes le pont est terminé en juillet 1760 et sera inauguré par la marquise de Pompadour. Les humoristes du moment affirment l’incontestable solidité de l’ouvrage malgré les ennuis durand la construction puisque le pont a supporté…le plus lourd fardeau de France !
200 €
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France (Toutes les villes)
Gravures des fondations des piles 5. 6, 7 et 8 du pont d’Orléans Gravures de 87 x 60 cm Sur les plans de Jean Hupeau, le suivi est le fait de Robert Soyer   Les piles   5 et 6 sont faites en 1753, les 7 et 8 sont faites en 1754. Elles sont plus difficiles avec l’obligation de pieux plus longs. La rue Royale qui relie le pont au centre sera construite après la construction du pont et reste un axe central menant à la place de Jeanne d’arc A prendre à Tours ou expédition par mondial relay sous protection optimisée pour 8 €, règlement par chèque ou virement bancaire E.U. shipping pack link tracking number and insurance included, only bank transfer (paypal possible, add 4 €). Non european country, contact me Le vieux pont dit des tourelles avaient 19 arches et était gênant pour la naviguation et devenu vétuste. On décide de construire un pont de pierre. En 1748 on charge Soyer de sa conduite sous les ordres de Pitrou. Mais ce Pitrou meurt en 1750 alors que le projet est fait mais non réalisé. Ce projet sera remis en cause par Jean Hupeau son successeur qui consulte Soyer. Robert Soyer, 1717 - 1802, est  ingénieur des ponts et chaussées   français, qui s’est principalement illustré dans la construction du  pont George V  à  Orléans, où il finit sa carrière comme  Inspecteur général des turcies et levées. Ingénieur à la  généralité de Tours, il est informé en 1748, par une lettre de  Daniel-Charles Trudaine, qu'il est chargé de la conduite des travaux du  pont d'Orléans, sous les ordres de  Robert Pitrou. Après le décès de celui-ci, il est placé sous les ordres de  Jean Hupeau  jusqu'à la fin des travaux. Son manuscrit est donc un précieux document qui témoigne des méthodes de construction des ponts au  XVIII e  siècle, du degré d'évolution de l'art de l'ingénieur et de son rôle sur le chantier. L'ingénieur analyse et calcule le coût des différentes opérations, il établit les barèmes de temps et s'engage sur la voie française de l'organisation du travail de l'époque industrielle. Il veille au respect des plans et des devis qui sont les pièces contractuelles. Et si des difficultés se présentent, comme l'affaissement d'une pile, il doit imaginer une solution. C'est Robert Soyer qui suggère l'allègement des reins, établit les plans et les propose à son chef  Jean Hupeau. Il est cependant clair que l'art de l'ingénieur n'a guère de base scientifique. Mais Robert Soyer prend des notes et illustre l'idée que le progrès technique est à base d'observations, d'expériences anarchiques et d'imagination. Et ce sont des observations consignées avec soin, combinées à la volonté de mathématisation du savoir de l'ingénieur, qui permettront, à la fin du  XVIII e  siècle, le passage   à l'univers de la machine et de la précision. Ayant achevé sa mission au  Pont d'Orléans  et obtenu la réception de l'ouvrage, Robert Soyer, qui appréciait la vie orléanaise, obtint le privilège de demeurer dans cette région. Il y termina sa carrière comme  Inspecteur général des turcies et levées si importantes le long de la Loire. Jean Hupeau, 1710- 1763, est un  architecte  et  ingénieur des ponts et chaussées qui s’est illustré dans différents projets de différents ponts, dont le  pont Royal  d’ Orléans. Il a été successivement nommé en  1731  ingénieur de la  généralité de Riom  et plus tard de la  généralité de Soissons. En 1742, il est nommé inspecteur des ponts et chaussées, et en  1754, premier ingénieur en remplacement de  Germain Boffrand. L'art de Hupeau est reconnu. Il sera reçu académicien à l' Académie royale d'architecture  en 1757. Il est mort en 1763   à la suite d'une longue maladie. En  1750, il rédigea le projet mis à exécution pour le pont d'Orléans. Le pont sera construit à 49 toises au-dessous de la tête d'aval de l'ancien pont; ceci permet de tracer, en parfait alignement, la Rue Royale qui débouche place du Martroi et, au sud, l'avenue Dauphine. Le plan de circulation est harmonieux. Il remet en cause le projet de Robert Pitrou et propose une disposition permettant des économies : ce sera 9 arches au lieu de 11, et une longueur de 165 toises au lieu de 189. Il adapte parfaitement l'ouvrage à sa destination et à son site. Il a le sens de l’esthétisme.   Il retient le rapport cinq entre la portée des voûtes et la largeur des piles en majorant légèrement (5,5), il admet la forme des piles en nefs de bateau qui réduit le frottement des eaux et adopte le dessin en anses de panier à trois centres, pour les voûtes, parce que cela fait chanter les points d'appui. Pour les rampes, il choisit la valeur minimale. Le résultat est d'une grande noblesse et d'une simplicité qui l'engage à supprimer, en cours de travaux, l'obélisque prévu au devis. Les pavillons, les façades de la Rue Royale, également de sa main, sont de la même facture. Mais, alors que la réception du  Pont Royal  à  Orléans  devait être faite un an après leur entière perfection, les difficultés rencontrées conduisent à un report de deux années de cette échéance. Ainsi le constructeur Jean Hupeau qui décédait en  1763  à  Paris  laissait à son successeur le soin de réceptionner son œuvre majeure. Robert Soyer, 1717 - 1802, est  ingénieur des ponts et chaussées   français, qui s’est principalement illustré dans la construction du  pont George V  à  Orléans, où il finit sa carrière comme  Inspecteur général des turcies et levées. Ingénieur à la  généralité de Tours, il est informé en 1748, par une lettre de  Daniel-Charles Trudaine, qu'il est chargé de la conduite des travaux du  pont d'Orléans, sous les ordres de  Robert Pitrou. Après le décès de celui-ci, il est placé sous les ordres de  Jean Hupeau  jusqu'à la fin des travaux. Son manuscrit est donc un précieux document qui témoigne des méthodes de construction des ponts au  XVIII e  siècle, du degré d'évolution de l'art de l'ingénieur et de son rôle sur le chantier. L'ingénieur analyse et calcule le coût des différentes opérations, il établit les barèmes de temps et s'engage sur la voie française de l'organisation du travail de l'époque industrielle. Il veille au respect des plans et des devis qui sont les pièces contractuelles. Et si des difficultés se présentent, comme l'affaissement d'une pile, il doit imaginer une solution. C'est Robert Soyer qui suggère l'allègement des reins, établit les plans et les propose à son chef  Jean Hupeau. Il est cependant clair que l'art de l'ingénieur n'a guère de base scientifique. Mais Robert Soyer prend des notes et illustre l'idée que le progrès technique est à base d'observations, d'expériences anarchiques et d'imagination. Et ce sont des observations consignées avec soin, combinées à la volonté de mathématisation du savoir de l'ingénieur, qui permettront, à la fin du  XVIII e  siècle, le passage   à l'univers de la machine et de la précision. Ayant achevé sa mission au  Pont d'Orléans  et obtenu la réception de l'ouvrage, Robert Soyer, qui appréciait la vie orléanaise, obtint le privilège de demeurer dans cette région. Il y termina sa carrière comme  Inspecteur général des turcies et levées si importantes le long de la Loire. Après de multiples problèmes le pont est terminé en juillet 1760 et sera inauguré par la marquise de Pompadour. Les humoristes du moment affirment l’incontestable solidité de l’ouvrage malgré les ennuis durand la construction puisque le pont a supporté…le plus lourd fardeau de France ! Expédition par mondial relay sous bonnes protections épaises et assurance. Règlement par chèque ou virement bancaire. paypal possible (+3 €) Shipping packlink mondial relay, insurance and tracking number included, bank transfer (paypal possible add 5 €) Non european country contact me
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Gravures des fondations des piles 5. 6, 7 et 8 du pont d’Orléans Gravures de 87 x 60 cm Sur les plans de Jean Hupeau, le suivi est le fait de Robert Soyer   Les piles   5 et 6 sont faites en 1753, les 7 et 8 sont faites en 1754. Elles sont plus difficiles avec l’obligation de pieux plus longs. La rue Royale qui relie le pont au centre sera construite après la construction du pont et reste un axe central menant à la place de Jeanne d’arc A prendre à Tours ou expédition par mondial relay sous protection optimisée pour 8 €, règlement par chèque ou virement bancaire E.U. shipping pack link tracking number and insurance included, only bank transfer (paypal possible, add 4 €). Non european country, contact me Le vieux pont dit des tourelles avaient 19 arches et était gênant pour la naviguation et devenu vétuste. On décide de construire un pont de pierre. En 1748 on charge Soyer de sa conduite sous les ordres de Pitrou. Mais ce Pitrou meurt en 1750 alors que le projet est fait mais non réalisé. Ce projet sera remis en cause par Jean Hupeau son successeur qui consulte Soyer. Robert Soyer, 1717 - 1802, est  ingénieur des ponts et chaussées   français, qui s’est principalement illustré dans la construction du  pont George V  à  Orléans, où il finit sa carrière comme  Inspecteur général des turcies et levées. Ingénieur à la  généralité de Tours, il est informé en 1748, par une lettre de  Daniel-Charles Trudaine, qu'il est chargé de la conduite des travaux du  pont d'Orléans, sous les ordres de  Robert Pitrou. Après le décès de celui-ci, il est placé sous les ordres de  Jean Hupeau  jusqu'à la fin des travaux. Son manuscrit est donc un précieux document qui témoigne des méthodes de construction des ponts au  XVIII e  siècle, du degré d'évolution de l'art de l'ingénieur et de son rôle sur le chantier. L'ingénieur analyse et calcule le coût des différentes opérations, il établit les barèmes de temps et s'engage sur la voie française de l'organisation du travail de l'époque industrielle. Il veille au respect des plans et des devis qui sont les pièces contractuelles. Et si des difficultés se présentent, comme l'affaissement d'une pile, il doit imaginer une solution. C'est Robert Soyer qui suggère l'allègement des reins, établit les plans et les propose à son chef  Jean Hupeau. Il est cependant clair que l'art de l'ingénieur n'a guère de base scientifique. Mais Robert Soyer prend des notes et illustre l'idée que le progrès technique est à base d'observations, d'expériences anarchiques et d'imagination. Et ce sont des observations consignées avec soin, combinées à la volonté de mathématisation du savoir de l'ingénieur, qui permettront, à la fin du  XVIII e  siècle, le passage   à l'univers de la machine et de la précision. Ayant achevé sa mission au  Pont d'Orléans  et obtenu la réception de l'ouvrage, Robert Soyer, qui appréciait la vie orléanaise, obtint le privilège de demeurer dans cette région. Il y termina sa carrière comme  Inspecteur général des turcies et levées si importantes le long de la Loire. Jean Hupeau, 1710- 1763, est un  architecte  et  ingénieur des ponts et chaussées qui s’est illustré dans différents projets de différents ponts, dont le  pont Royal  d’ Orléans. Il a été successivement nommé en  1731  ingénieur de la  généralité de Riom  et plus tard de la  généralité de Soissons. En 1742, il est nommé inspecteur des ponts et chaussées, et en  1754, premier ingénieur en remplacement de  Germain Boffrand. L'art de Hupeau est reconnu. Il sera reçu académicien à l' Académie royale d'architecture  en 1757. Il est mort en 1763   à la suite d'une longue maladie. En  1750, il rédigea le projet mis à exécution pour le pont d'Orléans. Le pont sera construit à 49 toises au-dessous de la tête d'aval de l'ancien pont; ceci permet de tracer, en parfait alignement, la Rue Royale qui débouche place du Martroi et, au sud, l'avenue Dauphine. Le plan de circulation est harmonieux. Il remet en cause le projet de Robert Pitrou et propose une disposition permettant des économies : ce sera 9 arches au lieu de 11, et une longueur de 165 toises au lieu de 189. Il adapte parfaitement l'ouvrage à sa destination et à son site. Il a le sens de l’esthétisme.   Il retient le rapport cinq entre la portée des voûtes et la largeur des piles en majorant légèrement (5,5), il admet la forme des piles en nefs de bateau qui réduit le frottement des eaux et adopte le dessin en anses de panier à trois centres, pour les voûtes, parce que cela fait chanter les points d'appui. Pour les rampes, il choisit la valeur minimale. Le résultat est d'une grande noblesse et d'une simplicité qui l'engage à supprimer, en cours de travaux, l'obélisque prévu au devis. Les pavillons, les façades de la Rue Royale, également de sa main, sont de la même facture. Mais, alors que la réception du  Pont Royal  à  Orléans  devait être faite un an après leur entière perfection, les difficultés rencontrées conduisent à un report de deux années de cette échéance. Ainsi le constructeur Jean Hupeau qui décédait en  1763  à  Paris  laissait à son successeur le soin de réceptionner son œuvre majeure. Robert Soyer, 1717 - 1802, est  ingénieur des ponts et chaussées   français, qui s’est principalement illustré dans la construction du  pont George V  à  Orléans, où il finit sa carrière comme  Inspecteur général des turcies et levées. Ingénieur à la  généralité de Tours, il est informé en 1748, par une lettre de  Daniel-Charles Trudaine, qu'il est chargé de la conduite des travaux du  pont d'Orléans, sous les ordres de  Robert Pitrou. Après le décès de celui-ci, il est placé sous les ordres de  Jean Hupeau  jusqu'à la fin des travaux. Son manuscrit est donc un précieux document qui témoigne des méthodes de construction des ponts au  XVIII e  siècle, du degré d'évolution de l'art de l'ingénieur et de son rôle sur le chantier. L'ingénieur analyse et calcule le coût des différentes opérations, il établit les barèmes de temps et s'engage sur la voie française de l'organisation du travail de l'époque industrielle. Il veille au respect des plans et des devis qui sont les pièces contractuelles. Et si des difficultés se présentent, comme l'affaissement d'une pile, il doit imaginer une solution. C'est Robert Soyer qui suggère l'allègement des reins, établit les plans et les propose à son chef  Jean Hupeau. Il est cependant clair que l'art de l'ingénieur n'a guère de base scientifique. Mais Robert Soyer prend des notes et illustre l'idée que le progrès technique est à base d'observations, d'expériences anarchiques et d'imagination. Et ce sont des observations consignées avec soin, combinées à la volonté de mathématisation du savoir de l'ingénieur, qui permettront, à la fin du  XVIII e  siècle, le passage   à l'univers de la machine et de la précision. Ayant achevé sa mission au  Pont d'Orléans  et obtenu la réception de l'ouvrage, Robert Soyer, qui appréciait la vie orléanaise, obtint le privilège de demeurer dans cette région. Il y termina sa carrière comme  Inspecteur général des turcies et levées si importantes le long de la Loire. Après de multiples problèmes le pont est terminé en juillet 1760 et sera inauguré par la marquise de Pompadour. Les humoristes du moment affirment l’incontestable solidité de l’ouvrage malgré les ennuis durand la construction puisque le pont a supporté…le plus lourd fardeau de France ! Expédition par mondial relay sous bonnes protections épaises et assurance. Règlement par chèque ou virement bancaire. paypal possible (+3 €) Shipping packlink mondial relay, insurance and tracking number included, bank transfer (from euro zone paypal possible add 5 €) Non european country contact me
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Strasbourg (Bas Rhin)
**VENTE par LOT**NEUF jamais utilisé**Envoi lettre suivie** Mesure l'évolution des fissures dans un même plan avec lecture 'digitale' La jauge G1+ est appropriée pour suivre le mouvement des fissures à lèvres parallèles qui évoluent sur un seul axe. La jauge G1+ est plus précise que la jaune G1 grâce à sa lecture « digitale » des dixièmes de mm: en effet chaque mouvement de 1/10 de mm de la tirette entraîne l’obturation concomitante d’une ligne de 6 lumières blanches placées sur cette même tirette. Chaque ligne est affectée d’un chiffre (de 0 à 9) et le chiffre de la ligne obturée est le chiffre des dixièmes. Elle résiste aux intempéries et la fixation est assurée par des auto-adhésifs double face. Les jauges G1+ sont également percées de 2 trous de 4mm de diamètre qui facilitent la fixation mécanique par tap vis sur des supports difficiles sur lesquels l’auto adhésif ou le collage sont mis en échec. Elle est blanche, le corps de la jauge est en PVC extrudé et la tirette est en Lexan. - Dimensions: 140 X 40mm, Epaisseur: 3mm, Poids: 5g. - Comporte 2 trous de ø 4mm. - Destinée à mesurer l'évolution de l'écartement des fissures dans un même plan. - Lecture 'digitale' des dixièmes de mm - Précision: 1/20e de mm. - Se place perpendiculairement à la fissure. - Auto-adhésive. - Force de traction voisine de 25gr  - Epaisseur de la platine = 0.7 mm  - Epaisseur de la tirette = 0.5 mm
29 €
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Glomel (Côtes d'Armor)
CHARGEUR DE BATTERIE OPTIMATE PRO-8 Peut être utilisé sur batteries plomb-acide 6 et 12V Détection et récupération automatiques de batteries fortement déchargées ou sulfatées Chargement complet de batteries neuves en 12 à 24 heures Teste et vérifie la rétention de charge par batterie Le nouvel OptiMate PRO 8 est un outil ultra polyvalent pour batterie 6/12 V, qui permet de traiter 8 batteries en même temps. Compatible avec les modèles plomb-acide, GEL, MF-AGM ou conventionnels, le nouvel OptiMate PRO 8 peut être utilisé sur des batteries de démarrage, de même que sur des batteries de type industriel, motrices ou stationnaires. Il suffit d'y connecter les batteries (jusqu'à 8, qui peuvent être de types différents). OptiMate les prendra en charge individuellement grâce à son programme à étapes multiples, très apprécié des professionnels: Désulfatation (si nécessaire), charge principale de courant constant, vérification, test final et entretien illimité. D'innombrables variations de connexion sont possibles, afin d'améliorer le courant de charge pour les batteries plus grosses, ou de prendre en charge des blocs connectés en série, ou bien les deux. Combinaisons possibles jusqu'à 8 A ou 96 V. Fonctions de pointe pour diagnostic, chargement, tests et récupération de batteries à plat, irrécupérables avec d'autres instruments, le tout dans un seul appareil. Possibilité de charger jusqu'à 8 batteries en même temps. Pour batteries 6 et 12 V (STD, AGM et cycle prolongé). Permet de récupérer automatiquement les batteries fortement déchargées. Test de batterie et contrôle de décharge spontanée. Assure en permanence le chargement complet des batteries. Mode de fonctionnement Sélectionnez la tension nominale de sortie (6 ou 12 V). Chaque interrupteur de sélection à basculement gère deux stations de chargement. Chaque station envoie un courant de chargement à ampérage constant pendant l'étape de chargement principal. Il est possible de connecter une ou plusieurs stations (ou toutes les stations) sur une seule batterie ou sur un bloc de batteries pour un courant de chargement constant allant jusqu'à 8 A, ou une charge de bloc allant jusqu'à 96 V à 1 ampère, à condition d'avoir effectué une sélection uniforme sur toutes les paires (6 ou 12 V). Par exemple: on peut utiliser 4 stations (2 paires) pour maximiser le courant de sortie sur une grosse batterie de 6 V (4 A), et utiliser les 4 autres stations pour charger un quartet de batteries 12 V connectées en série, pour charger en fait un bloc de 48 V à 1 ampère, sans avoir besoin de les désaccoupler. Il en va de même pour les blocs connectés en parallèle de 6 ou de 12 V. Connectez au moins 1 sortie sur chaque batterie individuelle à traiter, utilisée de manière autonome ou sur un bloc, connectée en parallèle ou en série. OptiMate PRO 8 bénéficie bien sûr d'une protection contre les connexions à polarité incorrecte et anti-étincelles, ce qui permet de garantir un fonctionnement en toute sécurité. Initialisation: OptiMate?PRO 8 vérifie qu'il est bien connecté à une batterie (= tension mini. de 1,8 V). Programmation: pour s'activer, il faut que chaque sortie OptiMate PRO 8 soit raccordée à une batterie (tension mini. de 1,8 V). Désulfatation et récupération: si nécessaire, un courant de haute tension est appliqué pour récupérer les batteries non entretenues ou à plat (retirées du véhicule ou du matériel) présentant une sulfatation et les rendre à nouveau chargeables. Charge principale: un courant constant d'1 A effectue un chargement optimal de chaque batterie individuelle, en fonction de l'évolution de ses caractéristiques électriques. Vérification de charge: la tension est limitée à 13,6 V pendant 30 minutes, tandis que le programme contrôle le courant absorbé par la batterie. Si cela fait apparaître une charge insuffisante pendant ce cycle, le programme passe au mode de charge principale autant de fois que nécessaire, pour assurer une charge aussi complète que l'état de chaque batterie le permet. Au cours de cette étape, le courant est envoyé par impulsions, ce qui génère des crêtes de tension dans la batterie. Ce processus contribue à égaliser les cellules, ce qui permet d'obtenir une activation optimale des batteries neuves, même sur les modèles MF-AGM plus « difficiles ». Test de rétention de charge: lorsqu'une charge optimale est atteinte, un contrôle de 30 minutes visant à détecter des fuites sur la batterie (et le système connecté) commence. Un simple coup d'œil sur le panneau à voyants (LED), facile à lire, permet de connaître le résultat. Des tests de 30 minutes sont répétés à chaque heure jusqu'à la déconnexion d'OptiMate PRO 8, de façon à actualiser le résultat en permanence Charge d'entretien: pendant des périodes de 30 minutes en alternance, avec une limite flottante de 13,6 V, la batterie reçoit le courant de charge dont elle a besoin pour compenser toutes les petites charges connectées ou fuites de courant, ainsi que les décharges spontanées. OptiMate PRO-8 peut rester connecté indéfiniment, la batterie restera froide et parfaitement sûre. Et bien sûr, chargée de façon optimale. Spécifications techniques Recommandé pour les batteries AGM/MF, « classiques » et GEL de 2 à 100 Ah (cycle de charge de 48 heures) Courant d'entrée maxi 0,45 A à 230 V Coût énergétique annuel indicatif Courant débité inverse inférieur à 1 mA Courant de sortie en charge principale à 1 A pour chaque sortie étape de désulfatation automatique (haute tension) Limite de temps de charge: 48 heures (durée de maintenance: illimité) cycles d'entretien / test de 30 min chacun (en alternance par heure) Test de rétention de charge: 2 résultats possibles, bon ou mauvais (« good »/« bad ») Taille en mm Poids en kg En option, support pour montage mural Câble d'entrée de 2 m de long Plage de températures ambiantes de fonctionnement 0 °C / +40 °C Il manque 3 lignes à faire soi même Valeur neuf entre 800 et 1000 euros
120 €
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