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Principes revolution


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Livre Livres Code EAN: 9782286112646 ClassificationDecitre 1: Santé Titre: Principes de Yogathérapie révolution biologique et pouvoir de guérison du Yoga ClassificationDecitre 2: Énergie interne ClassificationDecitre 3: Yoga Livres / Taille: Moyen, de 350g à 1kg Livres / Format: Broché Livres / Langue: Français
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Les Jacobins Une traduction des principes de Jean-Jacques Rousseau Julien Boudon Auteur: Julien Boudon Editeur: LGDJ Broché: 760 pages Format: Broche paperback Createur: Preface Frederic Bluche Edition: LGDJ Publication: 27/06/2006 Réédition: 27/06/2006 Collection: Bibliotheque constitutionnelle et de science politique Dimensions: 24 x 16,21 x 1,6 Langue: Francais Publier en: Français Languages d'origine: Français Il est habituel de presenter Jean-Jacques Rousseau comme le " pere ", de la Revolution francaise, plus particulierement comme l'ins ur des Jacobins. Les relations entretenues par ceux-ci avec le philosophe ont cependant ete examinees sous un angle plus philosophique que juridique. La presente etude tente de remedier a cette carence. Rousseau et les Jacobins sont d'accord sur un mot d'ordre la souverainete appartient au peuple. On s'apercoit cependant que les termes " peuple et " souverainete " recoivent des acceptions tres differentes. Ces divergences apparaissent nettement en matiere d'exercice de la souverainete les Jacobins se rallient en masse au principe representatif, lequel etait pourtant vigoureusement condamne par l'auteur du Contrat social. La definition du peuple, la determination de la souverainete et de la representation mettent en valeur l'autonomie intellectuelle des Jacobins. Rousseau fournit un arsenal ideologique dans lequel les Jacobins puisent librement le tri qu'ils operent parmi les propositions du Genevois dessine l'originalite d'une politique qui obeit aux circonstances revolutionnaires bien plus qu'a une fidelite beate aux recommandations de Jean-Jacques. Cette originalite s'illustre dans le domaine des institutions publiques Rousseau n'est present que par la force des principes et les Jacobins ont toute latitude pour conquerir et exercer le pouvoir. Celui-ci est tout entier oriente vers le but mirifique de la regeneration. Lorsqu'il s'agit d'instituer le peuple, les Jacobins retrouvent de nets accents rousseauistes et inscrivent leur reflexion sur l'education, la religion et le patriotisme dans le cadre conceptuel elabore par Rousseau. C'est en ce sens qu'il faut evoquer une " traduction " jacobine des principes de Rousseau. Les Jacobins utilisent les categories proposees par le Genevois, mais n'hesitent pas, une fois places au coeur du systeme rousseauiste, a en ecarter certaines consequences qui ne seraient pas en adequation avec les exigences de la Revolution. Il est habituel de presenter Jean-Jacques Rousseau comme le " pere ", de la Revolution francaise, plus particulierement comme l'ins ur des Jacobins. Les relations entretenues par ceux-ci avec le philosophe ont cependant ete examinees sous un angle plus philosophique que juridique. La presente etude tente de remedier a cette carence. Rousseau et les Jacobins sont d'accord sur un mot d'ordre la souverainete appartient au peuple. On s'apercoit cependant que les termes " peuple et " souverainete " recoivent des acceptions tres differentes. Ces divergences apparaissent nettement en matiere d'exercice de la souverainete les Jacobins se rallient en masse au principe representatif, lequel etait pourtant vigoureusement condamne par l'auteur du Contrat social. La definition du peuple, la determination de la souverainete et de la representation mettent en valeur l'autonomie intellectuelle des Jacobins. Rousseau fournit un arsenal ideologique dans lequel les Jacobins puisent librement le tri qu'ils operent parmi les propositions du Genevois dessine l'originalite d'une politique qui obeit aux circonstances revolutionnaires bien plus qu'a une fidelite beate aux recommandations de Jean-Jacques. Cette originalite s'illustre dans le domaine des institutions publiques Rousseau n'est present que par la force des principes et les Jacobins ont toute latitude pour conquerir et exercer le pouvoir. Celui-ci est tout entier oriente vers le but mirifique de la regeneration. Lorsqu'il s'agit d'instituer le peuple, les Jacobins retrouvent de nets accents rousseauistes et inscrivent leur reflexion sur l'education, la religion et le patriotisme dans le cadre conceptuel elabore par Rousseau. C'est en ce sens qu'il faut evoquer une " traduction " jacobine des principes de Rousseau. Les Jacobins utilisent les categories proposees par le Genevois, mais n'hesitent pas, une fois places au coeur du systeme rousseauiste, a en ecarter certaines consequences qui ne seraient pas en adequation avec les exigences de la Revolution.   D'autre titre de Julien Boudon Les Jacobins: Une traduction des principes de Jean-Jacques Rousseau Classement: Livres > Thèmes > Etudes supérieures > Université > Droit - Sciences juridiques Mot Clef: 1789-1815 Et la Revolution francaise France Jacobins (Histoire) Regeneration (idee politique) Rousseau Sciences juridiques Droit Droit Philosophie du droit
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Du Code noir au Code civil Jalons pour l'histoire du droit en Guadeloupe, perspectives comparees avec la Martinique, la Guyane et la Republique d'Haiti Collectif Jacques Adelaide-Merlande Celine Ronsseray Jeremy Richard Didier Destouches Dominique-Aime Mignot Gerard Gabriel Marion Auteur: Collectif Jacques Adelaide-Merlande Celine Ronsseray Jeremy Richard Didier Destouches Dominique-Aime Mignot Gerard Gabriel Marion Editeur: Editions L'Harmattan Broché: 320 pages Format: Broche Createur: Sous la direction de Jean-Francois Niort Preface Henri Bangou Preface Frederic Regent Edition: HARMATTAN Publication: 19/10/2007 Dimensions: 24 x 15 x 2 Langue: Francais Publier en: Français Languages d'origine: Français C'est fin 1805 que le Code civil des Francais, cree le 21 mars 1804, entre en application a la Guadeloupe, a la Martinique et en Guyane. Presente comme un fruit de la Revolution francaise, bati sur les principes d'egalite et de liberte civiles, le Code civil, officiellement baptise Code Napoleon de 1807 a 1815 et de 1852 a 1870, ne modifie pourtant en rien l'ordre colonial, restaure ou confirme depuis 1802, a savoir l'esclavage de la plus grande partie de la population et la segregation juridique des libres de couleur. Le Code civil, traduction de la reaction alors a l'oeuvre en metropole a travers le regime napoleonien mais qui fut plus considerable encore aux colonies par la negation des acquis et principes revolutionnaires, a donc cohabite pendant un demi-siecle avec le Code noir et la segregation infligee aux libres de couleur, instituant un regime juridique specifiquement colonial a la Guadeloupe. En ce sens l'histoire coloniale eclaire d'une facon particuliere l'histoire nationale, et conduit a nuancer de nouveau le mythe d'un Code civil democratique et revolutionnaire, qui sevit encore parfois de nos jours. Apres l'abolition de 1848, comment les populations affranchies ont-elles ete integrees a l'ordre civil ? Comment ont-elles acquis un etat civil, notamment un patronyme ? Plus largement, comment les modeles juridiques francais vehicules par le Code civil, specialement celui de la famille, se sont-ils imposes a la realite sociologique des populations sorties de la servitude ? Enfin, quelles pistes comparatives peut-on tracer avec les autres D.O.M. (Martinique, Guyane) et la Republique d'Haiti ? Voila quelques questions auxquelles tente de repondre cet ouvrage. C'est fin 1805 que le Code civil des Francais, cree le 21 mars 1804, entre en application a la Guadeloupe, a la Martinique et en Guyane. Presente comme un fruit de la Revolution francaise, bati sur les principes d'egalite et de liberte civiles, le Code civil, officiellement baptise Code Napoleon de 1807 a 1815 et de 1852 a 1870, ne modifie pourtant en rien l'ordre colonial, restaure ou confirme depuis 1802, a savoir l'esclavage de la plus grande partie de la population et la segregation juridique des libres de couleur. Le Code civil, traduction de la reaction alors a l'oeuvre en metropole a travers le regime napoleonien mais qui fut plus considerable encore aux colonies par la negation des acquis et principes revolutionnaires, a donc cohabite pendant un demi-siecle avec le Code noir et la segregation infligee aux libres de couleur, instituant un regime juridique specifiquement colonial a la Guadeloupe. En ce sens l'histoire coloniale eclaire d'une facon particuliere l'histoire nationale, et conduit a nuancer de nouveau le mythe d'un Code civil democratique et revolutionnaire, qui sevit encore parfois de nos jours. Apres l'abolition de 1848, comment les populations affranchies ont-elles ete integrees a l'ordre civil ? Comment ont-elles acquis un etat civil, notamment un patronyme ? Plus largement, comment les modeles juridiques francais vehicules par le Code civil, specialement celui de la famille, se sont-ils imposes a la realite sociologique des populations sorties de la servitude ? Enfin, quelles pistes comparatives peut-on tracer avec les autres D.O.M. (Martinique, Guyane) et la Republique d'Haiti ? Voila quelques questions auxquelles tente de repondre cet ouvrage.   Les clients ayant acheté cet article ont également acheté Le Code Noir Classement: Livres > Thèmes > Etudes supérieures > Université > Droit - Sciences juridiques Mot Clef: Droit Histoire du droit Philosophie du droit
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breizh.antiques.art@gmail.com 06 47 07 70 65 chem4 Dimension: 64 cm par 46 cm. Un manque sur le bords gauche. A signaler quelques salissures, pliures, traces de scotch ou petits manques, comme indiqué sur la photo . Envoi rapide et soigné. ____________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Préraphaélisme Proserpine par Dante Gabriel Rossetti. Le préraphaélisme est un mouvement artistique né au Royaume-Uni en 1848. Ce mouvement tient la peinture des maîtres italiens du XVe siècle, prédécesseurs de Raphaël, comme le modèle à imiter. Sommaire * 1 Les débuts de la confrérie * 1.1 Intentions * 1.2 Principes et caractéristiques * 1.3 Paradoxe des doctrines * 1.4 Image des femmes * 2 Les premières expositions * 3 Postérité * 4 Listes d'artistes * 4.1 La confrérie préraphaélite * 4.2 Artistes proches * 4.3 Artistes associés * 5 Galerie * 6 Notes et références * 7 Voir aussi * 7.1 Articles connexes * 7.2 Bibliographie * 7.3 Liens externes Les débuts de la confrérie Illustration par Holman Hunt du poème de Thomas Woolner My Beautiful Lady, publié dans The Germ en 1850. L'histoire des préraphaélites débute avec la rencontre entre William Holman Hunt et John Everett Millais à la Royal Academy. Considérant que l'art anglais était sclérosé par le conformisme académique, ils souhaitaient retrouver les tonalités claires, vives et chantantes des grands maîtres d'autrefois1. Dante Gabriel Rossetti rencontra Millais et Hunt à la Royal Academy où, las des banalités enseignées, ils passaient leurs soirées à contempler un recueil de gravures des fresques du Campo Santo de Pise (réalisées par des artistes tels que Orcana ou Benozzo Gozzoli). En 1847, Hunt, Rossetti et Millais débattirent dans l'atelier de ce dernier, de l'une des œuvres les plus représentatives du talent de l'artiste Raphaël, La Transfiguration (Vatican, Rome). « Nous la condamnions pour son dédain grandiose de la simplicité et de la vérité, pour les poses pompeuses des Apôtres et les attitudes du Sauveur, contraires à une spiritualité vraie2  ». Ce tableau avait, à leurs yeux, marqué un pas décisif vers la décadence de l'art à l'époque de la Renaissance italienne. Millais, Hunt et Rossetti fondèrent officiellement la confrérie en 1848, avant d’être rejoints par James Collinson, le sculpteur Thomas Woolner et les critiques d'art William Michael Rossetti et Frederick George Stephens, auxquels se joindront par la suite Walter Deverell, Arthur Hughes et Charles Allston Collins. Intentions Les préraphaélites avaient, entre autres, pour dessein de rendre à l’art un but fonctionnel et édifiant : leurs œuvres avaient pour fonction d’être morales. Mais cela n’excluait pas leur désir d’esthétisme. Le but de ces artistes était de s’adresser à toutes les facultés de l’Homme : son esprit, son intelligence, sa mémoire, sa conscience, son cœur… et non pas seulement à ce que l’œil voit. Les préraphaélites aspiraient à agir sur les mœurs d’une société qui, à leurs yeux, avait perdu tout sens moral depuis la révolution industrielle. Cependant, « il ne suffit pas que l’art soit suggestif, soit didactique, soit moral, soit populaire ; il faut encore qu’il soit national »3. Principes et caractéristiques La franchise et l’application étaient les mots d’ordre de cette nouvelle « école » : on n’imite plus les grands Maîtres de la Renaissance. En opposition à l'académisme victorien, ils voulaient retrouver la pureté artistique des primitifs italiens, prédécesseurs de Raphaël, notamment en imitant leur style. Ils privilégiaient le réalisme, le sens du détail et les couleurs vives. Même si on ne peut pas réellement parler d’« école » par le manque de style homogène entre les peintres, les préraphaélites avaient les mêmes objectifs. En 1850
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L'Explosion du journalisme Des medias de masse a la masse de medias Ignacio Ramonet Auteur: Ignacio Ramonet Editeur: Editions Galilee Broché: 154 pages Format: Broche Edition: GALILEE Publication: 20/01/2011 Réédition: 01/01/1990 Collection: L'espace critique Dimensions: 22 x 14 x 1 Langue: Francais Publier en: Français Languages d'origine: Français Cet essai critique propose une anatomie de la presse ecrite a l'heure ou l'ecosysteme mediatique est dynamite par la revolution numerique et le developpement des reseaux sociaux. Chaque citoyen, dans la nouvelle societe-reseau, a vocation a devenir " journaliste " en s'appropriant des dispositifs legers comme les blogs, Twitter ou Facebook qui offrent un potentiel communicationnel inedit. Certains envisagent meme un " journalisme sans journalistes ", a la maniere du media social WikiLeaks, pour garantir l'existence d'une information libre et independante. Etablis au cours d'un siecle et demi de domination mediatique, les reperes theoriques et pratiques du journalisme se revelent desormais inadaptes. Sous les diktats de l'urgence et du marche, les lois de l'information changent tres vite, tandis que se multiplient les risques de manipulation et de bidonnage. Certains genres plebiscites par l'opinion publique, comme le journalisme de reportage ou d'investigation, sont deja en voie de disparition, juges trop couteux. Cependant, ce nouveau systeme n'a pas encore reussi a trouver de modele economique viable, alors que des sites Web novateurs et mieux adaptes a leur environnement viennent concurrencer toujours plus les grands medias traditionnels. Le journalisme y survivra-t-il ? Sans doute, car il en a vu d'autres et n'a jamais connu d'" age d'or ". Mais, pour l'instant, il se retrouve un peu tel Gulliver a son arrivee dans l'ile des Lilliputiens, ligote par des milliers de liens minuscules. Cet essai critique propose une anatomie de la presse ecrite a l'heure ou l'ecosysteme mediatique est dynamite par la revolution numerique et le developpement des reseaux sociaux. Chaque citoyen, dans la nouvelle societe-reseau, a vocation a devenir " journaliste " en s'appropriant des dispositifs legers comme les blogs, Twitter ou Facebook qui offrent un potentiel communicationnel inedit. Certains envisagent meme un " journalisme sans journalistes ", a la maniere du media social WikiLeaks, pour garantir l'existence d'une information libre et independante. Etablis au cours d'un siecle et demi de domination mediatique, les reperes theoriques et pratiques du journalisme se revelent desormais inadaptes. Sous les diktats de l'urgence et du marche, les lois de l'information changent tres vite, tandis que se multiplient les risques de manipulation et de bidonnage. Certains genres plebiscites par l'opinion publique, comme le journalisme de reportage ou d'investigation, sont deja en voie de disparition, juges trop couteux. Cependant, ce nouveau systeme n'a pas encore reussi a trouver de modele economique viable, alors que des sites Web novateurs et mieux adaptes a leur environnement viennent concurrencer toujours plus les grands medias traditionnels. Le journalisme y survivra-t-il ? Sans doute, car il en a vu d'autres et n'a jamais connu d'" age d'or ". Mais, pour l'instant, il se retrouve un peu tel Gulliver a son arrivee dans l'ile des Lilliputiens, ligote par des milliers de liens minuscules.   D'autre titre de Ignacio Ramonet Hugo Ch?vez: mi primera vida: Conversaciones con Hugo Ch?vez G?opolitique du chaos Irak: Histoire d'un d?sastre Les clients ayant acheté cet article ont également acheté Principes du journalisme: Ce que les journalistes doivent savoir, ce que le public doit exiger Hugo journaliste: Articles et chroniques Sur le journalisme Classement: Livres > Thèmes > Etudes supérieures > Université > Sociologie - Démographie
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Vannes (Morbihan)
breizh.antiques.art@gmail.com. http://stores.shop..fr/breizh-antiques A signaler des rousseurs et quelques petites déchirures dans la marge . Feuille: 30 cm de large par 42 cm de haut. Gravure: 15,5 cm de large par 21 cm de haut. Vers 1825. Portrait de Anne-Antoine-Jules de Clermont-Tonnerre. Artiste graveur: signé dans la planche  Jean-Baptiste MAUZAISSE (1784-1844). Imprimeur: A déterminer. Epoque: XIX ème siècle. Envoi rapide et soigné. _____________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Anne-Antoine-Jules de Clermont-Tonnerre (Redirigé depuis Anne Antoine Jules de Clermont-Tonnerre) Cet article est une ébauche concernant le catholicisme et une personnalité française. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants. Anne-Antoine-Jules de Clermont-Tonnerre Biographie Naissance 1er janvier 1749 Paris (France) Décès 21 février 1830 Toulouse (France) Cardinal de l’Église catholique Créé cardinal 2 décembre 1822 par le pape Pie VII Titre cardinalice Cardinal-prêtre de la Sainte-Trinité-des-Monts Évêque de l’Église catholique Consécration épiscopale 14 avril 1782 par le card. Alexandre Angélique de Talleyrand-Périgord Fonctions épiscopales Évêque de Châlons Archevêque de Toulouse (en) Notice sur www.catholic-hierarchy.org modifier   Anne Antoine Jules de Clermont-Tonnerre, né le 1er janvier 1749 à Paris et mort le 21 février 1830 à Toulouse, fut homme d'Église, évêque, archevêque et cardinal français, puis Duc et pair de France. Sommaire * 1 Biographie * 1.1 Origines et jeunesse * 1.2 Épiscopat et exil * 1.3 Cardinalat * 2 Voir aussi * 2.1 Articles connexes * 2.2 Source Biographie Origines et jeunesse Deuxième fils de Jules Charles Henri, Duc de Clermont-Tonnerre et de Marie Anne Julie Le Tonnelier de Breteuil. Après des études de théologie à La Sorbonne, à l'issue desquelles il est reçu docteur, il devient vicaire général de Besançon pendant cinq ans. Abbé de Montier-en-Der, dans le diocèse de Châlons. Député du second ordre de l'Assemblée du Clergé en 1772, il devient membre de l'Académie de Besançon, en 1779. Dans son discours d'investiture, faisant l'éloge de la presse écrite, il proclame Johannes Gutenberg bienfaiteur de l'humanité. Épiscopat et exil Le 25 février 1782, il est ordonné évêque de Châlons-en-Champagne. Sa candidature ayant été présentée par le Roi de France le 23 décembre 1781. Consacré le 14 avril 1782, au noviciat dominicain de Paris, par Alexandre Angélique de Talleyrand-Périgord, archevêque de Reims, assisté de César-Guillaume de La Luzerne, évêque de Langres, et par Louis-Apollinaire de la Tour du Pin-Montauban, évêque de Nancy. Duc et pair de France, il est élu député des États généraux, le 25 mars 1789 par le bailliage de Châlons-sur-Marne. À cette occasion, il proteste contre les décrets de la Constitution relatifs au clergé, signe l'Exposition des principes et s'exile ensuite en Allemagne. Conformément au Concordat de 1801, il présente sa démission du gouvernement pastoral de son diocèse le 15 décembre 1801 et rentra en France. Il est à nouveau pair de France le 4 juin 1814. Il retourne à Châlons en 1817 mais le diocèse, qui avait été supprimé en 1801, ne sera pas immédiatement rétabli. Le 28 août 1820, il est nommé archevêque de Toulouse. Cardinalat Lors du consistoire du 2 décembre 1822, il est élevé au rang de cardinal-prêtre par Pie VII. Il reçoit sa barrette rouge de cardinal le 20 novembre 1823 et le titre cardinalice de SS. Trinità al Monte Pincio le 24 novembre 1823. Il participe au conclave de 1823 (qui élit Léon XII) et reçoit, la même année le titre de Duc de Clermont-Tonnerre et de pair de France. Il participe également au conclave de 1829 (qui élit Pie VIII). Il meurt le 21 février 1830 à Toulouse. Son corps est exposé et il est enterré dans le chœur de la cathédrale Saint-Étienne de Toulouse (caveau nord). Il est avec le cardinal Anne Louis Henri de La Fare, archevêque de Sens, un des seuls survivants parmi les membres de l'épiscopat de l'Ancien Régime. Voir aussi Articles connexes * Liste des cardinaux créés par Pie VII * Liste des évêques et archevêques de Toulouse Source * Anne-Antoine-Jules de Clermont-Tonnerre sur fiu.edu * Portait sur le site de l' Assemblée nationale * Notices d’autorité  : Fichier d’autorité international virtuel  • International Standard Name Identifier  • Bibliothèque nationale de France  • Système universitaire de documentation   Anne-Antoine-Jules de Clermont-Tonnerre Précédé par Suivi par Antoine-Eléonore-Léon Le Clerc de Juigné de Neuchelles Évêque de Châlons (Comte et pair) (1782 -1801) Nicolas Diot Évêque constitutionnel * Portail du catholicisme * Portail du XVIIIe siècle * Portail de la Révolution française * Portail du Vatican * Portail de la France au XIXe siècle * Portail de la politique française * Portail Cités en Champagne Catégories  : * Pair de France sous la Restauration * Pair ecclésiastique * Personnalité liée à Toulouse * Député français du clergé en 1789-1791 * Évêque de Châlons * Archevêque de Toulouse * Cardinal français * Cardinal créé par Pie VII * Duc de Clermont-Tonnerre * Commandeur de l'ordre du Saint-Esprit * Académie des Jeux floraux * Naissance à Paris * Naissance en janvier 1749 * Décès à Toulouse * Décès en février 1830 | Menu de navigation * Créer un compte * Se connecter * Article * Discussion * Lire * Modifier * Modifier le code * Historique * Accueil * Portails thématiques * Article au hasard * Contact Contribuer * Débuter sur Wikipédia * Aide * Communauté * Modifications récentes * Faire un don Imprimer / exporter * Créer un livre * Télécharger comme PDF * Version imprimable Outils * Pages liées * Suivi des pages liées * Importer un fichier * Pages spéciales * Adresse de cette version * Information sur la page * Élément Wikidata * Citer cette page Autres langues * Deutsch * Italiano * Norsk bokmål * Slovenščina Modifier les liens * Dernière modification de cette page le 3 juin 2015 à 06:23. * Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons paternité partage à l’identique; d’autres conditions peuvent s’appliquer. 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Ousse (Pyrénées Atlantiques)
Stratégie de l'action de non-violence Jean-Marie Muller Points n°Po109 1981 Prix: 0,50 € Livre en bon état, couverture un peu usée, une petite tache d'encre 4ème de couverture: Fondée historiquement sur la seule exigence morale, la non-violence n'a longtemps reposé chez nous que sur quelques intuitions et la généralisation d'expériences prises un peu au hasard. Aujourd'hui pourtant, la résistance des paysans du Larzac, la lutte des objecteurs de conscience, de nombreuses actions écologiques, les impasses manifestes auxquelles aboutit l'escalade de la violence en Occident, mettent plus que jamais la non-violence à l'ordre du jour et exigent que l'on aille plus loin dans la réflexion et dans l'action. Jean-Marie Muller, avec rigueur et réalisme, donne à la non-violence la cohérence qui lui a fait si longtemps défaut. Il développe les principes d'une stratégie originale et présente concrètement les moyens tactiques qui seuls permettent de combattre l'injustice et l'oppression avec une réelle efficacité. Il nous donne, en fait, un véritable manuel de la révolution non-violente. A propos de l'auteur: Condamné en 1969 pour le renvoi de son livret militaire - il est alors officier de réserve - Jean-Marie Muller abandonne l'enseignement de la philosophie en 1970 pour se consacrer à des travaux de recherche sur la non-violence ainsi qu'à sa mise en oeuvre pratique. Il assure aujourd'hui cette tâche en étroite liaison avec le Mouvement pour une alternative non-violente (MAN), dont il est l'un des fondateurs et animateurs. Catégorie(s): Politique (Histoire et Politique) Référence du livre: R00934 Pour retrouver tous mes livres tapez loccasiondelire dans la barre de recherche (ou ailleurs sur le net).
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Lyon (Rhône)
Merci pour votre visite. Ci-dessous le descriptif de l'objet en vente. En bas de page, retrouvez tous les détails de nos conditions de vente et de livraison. Merci d'en prendre connaissance avant d'enchérir. N'hésitez pas à nous poser vos questions.  Thank you for your visit. Below is the description of the item for sale. At the bottom, find all the details of our conditions of sale and delivery. Thank you to become acquainted before bidding. Feel free to ask us questions.  ●  Louis BELMAS --  (Montréal Languedoc 1757 -- 1841)   ●   Homme d'église français des xviiie siècle et xixe siècle. P.A.S - Cambrai, 20 août 1828 1p. in-8 oblong. (13x20 cm env.) Document fractionné en 2 parties: en effet les partie haute et basse ont dû être préalablement découpées, puis assemblées (point de colle au centre - voir photo). Vignette / entête de l'Evêché de Cambrai 3 lignes autographes + signature Bel état de conservation Envoi soigné Informations complémentaires concernant le signataire de ce document: Louis Belmas naquit à Montréal en Languedoc. Son père, quoiqu'il fût commerçant, jouissait de l'estime et de la considération publiques. Louis, à peine âgé de quatre ans et demi, perdit cet excellent père et sa mère, la plus douce et la plus pieuse des mères, dans l'espace de six semaines. Ils laissaient huit enfants et une fortune très bornée. Belmas fut adopté par son parrain qui le reçut dans sa maison, et se chargea de l'élever. Il fut envoyé d'abord dans les écoles de sa petite ville natale, et commença bientôt ses études de latin au collège de Carcassonne. Là, depuis la sixième jusqu'à la rhétorique au collège de l'Esquille à Toulouse, ses succès furent brillants. On le nomma presque toujours le premier dans les concours publics. À la fin de 1772, il fut tonsuré par M. l'évêque de Carcassonne, qui lui donna, deux ans après, une bourse dans le séminaire de Toulouse. Les prêtres de l'Oratoire dirigeaient cette maison avec leur habileté connue. Il fit chez eux sa philosophie et sa théologie, toujours avec distinction, et reçut le grade de bachelier. Il retourna ensuite à Carcassonne, et fut ordonné prêtre le 22 décembre 1781. Nommé vicaire de Saint-Michel de Carcassonne, il remplit ces fonctions avec tant de succès qu'en 1782 il fut gratifié d'une prébende dans la collégiale Saint-Vincent de Montréal, et appelé par l'évêque, Chastenet de Puységur, à la direction du séminaire de Carcassonne. En 1786, ce prélat le nomma promoteur général du diocèse, et lui confia, sur la demande de Belmas, la cure de Carlipa. Louis Belmas fut appelé par le vœu général de la succursale de Carlipa à la cure de Castelnaudary, capitale du Lauraguais. Dans ce nouveau poste, il s'attira l'attachement et la confiance de ceux dont il partageait les opinions et protégea les démissionnaires contre l'exaltation des esprits. On l'appelait à Castelnaudary le Bon curé. Sa réputation de bonté s'étendit avec celle de ses talents supérieurs pour l'administration et pour la chaire, à ce point même qu'on le jugea bientôt digne de l'épiscopat. Il avait quarante-trois ans. Guillaume Besaucèle1, évêque constitutionnel de l'Aude, que ses infirmités et son grand âge mettaient dans l'impuissance de remplir ses fonctions, témoigna le désir d'avoir un coadjuteur. Suivant le régime en vigueur, il eut recours aux suffrages populaires qui tous se portèrent sur Belmas. Besancel mourut le 6 février 1801 et Belmas qui avait adhéré à la constitution civile du clergé devint évêque constitutionnel de l'Aude le 26 octobre 1800. Il fut sacré à Carcassonne durant la tenue d'un concile provincial où se trouvaient réunis onze évêques. Louis Belmas assista au concile dit national de Paris en 1801 : il y prit le titre d'évêque de Narbonne, ville qui, dans la démarcation de l'assemblée constituante, devait être la résidence de l'évêque de l'Aude. Louis Belmas prononça à la fin du concile un discours au sujet des conférences qui avaient été indiquées avec le clergé insermenté. Après le concordat de 1802, Fouché le fit comprendre dans le nombre des douze évêques constitutionnels qui furent nommés à de nouveaux sièges. On sait que plusieurs de ces prélats refusèrent de signer une rétractation que le légat leur demandait : ils déclarèrent seulement qu'ils renonçaient à la constitution civile du clergé, condamnée par le Saint-Siège. Louis Belmas fut de ce nombre. Lorsqu'enfin, grâce aux soins combinés du pape Pie VII et du Premier Consul Napoléon Bonaparte, le schisme de France se trouva éteint, Louis Belmas fut nommé, le 11 avril 1802, au siège de Cambrai redevenu simple évêché, soumis à la métropole de Paris. Il prêta serment le 18 du même mois, et fit son entrée à Cambrai le 6 juin suivant. Cambrai ne ressemblait plus à ce qu'elle était autrefois. Alors qu'une foule d'édifices religieux l'embellissaient et qu'elle était habitée par un clergé nombreux, la ville n'avait plus de pontife et la cathédrale était en ruines. Ses premiers soins furent d'organiser son diocèse qu'il trouva dénué de tout, et complètement à refaire : l'œuvre était immense et presque impossible : point d'union et de discipline dans son clergé, pas un seul établissement sacerdotal, nulles ressources pécuniaires. Loin de décourager le prélat, les obstacles donnèrent à son zèle plus d'activité et de puissance, il en appela de son désespoir à la charité des fidèles, et, sans aucun subside du gouvernement, conduisit ses projets à bonne fin. Belmas fit de l'abbatiale Saint-Aubert (depuis appelée église Saint-Géry), conservée pour un usage profane, sa cathédrale : mais, peu de temps après, il conféra ce titre à l'église du Saint-Sépulcre, et établit lui-même sa demeure dans l'ancienne abbaye de ce nom. Mgr Belmas apporta tous ses soins et toute sa sollicitude à réorganiser le culte divin, à réunir, à diriger, à soutenir ses prêtres dispersés. Il fut bientôt en état de construire, quoiqu'à grands frais, une vaste maison dont il fit le séminaire diocésain ; et plus tard, par des additions et des dispositions nouvelles, disposa l'ancien collège des jésuites pour devenir à son tour le grand séminaire et laisser place dans le premier édifice à l'école secondaire ecclésiastique. Lorsque le Pape vint à Paris pour le couronnement de Napoléon (2 décembre 1802), Louis Belmas donna une nouvelle garantie de ses sentiments, en signant un écrit qui lui fut présenté de la part de Pie VII, portant adhésion pleine et entière aux jugements du Saint-Siège sur les affaires ecclésiastiques de France. En 1804, le tombeau qui renfermait le corps de Fénelon ayant été retrouvé, les magistrats de Cambrai résolurent de transférer ces restes dans la chapelle de l'hospice de Sainte-Agnès. Or, la cérémonie qui fut projetée ressemblait plus à une fête païenne qu'à une solennité catholique : l'évêque déclara que ni lui ni son clergé ne pouvaient accepter la place qu'on leur avait assignée dans ce cortège si peu assorti à la dignité archiépiscopale. Il adressa ses réclamations à l'Empereur qui, après avoir pris connaissance de l'affaire, ordonna d'ajourner indéfiniment la cérémonie. Ce fut assez pour attirer sur le prélat le ressentiment et les injures, on essaya même de l'attaquer. Le tombeau, retardé par des difficultés sans nombre, ne fut terminé qu'à la seconde Restauration, et l'inauguration du monument eut lieu le 7 janvier 1826, sous la présidence de Monseigneur Belmas qui prononça en cette occasion un discours remarquable. Lorsque Napoléon Ier, qui s'était acquis une gloire réelle par le rétablissement du culte, arrêta et fit déporter à Savone Pie VII, un concile fut convoqué à Paris en 1811, pour apporter quelque remède aux maux que souffrait la religion en France. Mgr Belmas assista à ce concile, mais il ne parait pas avoir pris une part active aux conférences. Belmas fut maintenu évêque de Cambrai à la première Restauration et pendant les Cent-Jours. Louis Belmas appelait Napoléon son bienfaiteur, lequel l'avait fait baron de l'Empire. Il n'est pas étonnant alors de le trouver parmi les premiers à la cérémonie du Champ-de-Mai (1er juin 1815). Louis XVIII, revenu une seconde fois dans son royaume, fit son entrée à Cambrai le 26 juin 1815, mais le souvenir de la cérémonie du Champ-de-Mai, auquel le prélat avait assisté tout récemment, empêcha le monarque de descendre au palais épiscopal, il s'établit dans la maison d'un particulier. M. l'évêque de Cambrai s'était rendu à Paris pour solliciter la mise en liberté de quelques ecclésiastiques de son diocèse gravement compromis dans les Cent-Jours : grâce, sans doute, à son dévouement connu, il obtint ce qu'il désirait, et sa joie fut d'autant plus vive, qu'il arrachait les victimes à d'atroces vengeances. De pressantes instances lui furent faites pour l'engager à se démettre de son siège : pressions auxquelles il resta sourd. Lord Wellington avait pour Louis Belmas une estime toute particulière. On prétend que le vainqueur de Waterloo soutint très efficacement le courage et les droits du prélat dans lesdites circonstances. Un témoignage pareil n'était point suspect, Louis XVIII l'accueillit avec bonheur. Deux ans après, par lettres apostoliques, en date du 6 des calendes d'août 1817, le siège de Cambrai fut de nouveau, sur la demande de Louis XVIII, érigé en archevêché. Ces lettres faisaient suite au concordat du 11 juin 1817 qui résolut d'ériger Cambrai en archevêché, mais la cour de Rome ne voulait point récompenser Louis Belmas, en lui conférant un titre plus élevé. On lui proposa de se démettre : il n'y consentit qu'à condition qu'on lui donnerait un titre d'archevêché in partibus. Le pape ne souscrivit point à cette idée, et l'érection de l'archevêché de Cambrai fut ajournée (bulle d'octobre 1822). En 1827, Charles X, visitant les provinces du nord, arriva à Cambrai le 4 septembre, et voulut être logé au palais épiscopal. Le digne évêque ne négligea rien pour donner à son hôte des témoignages de respect et de dévouement. Mgr Belmas adhéra sans hésitation la révolution de 1830. Le roi Louis-Philippe Ier, se trouvant à Cambrai en 1832, accorda à notre évêque les insignes de Commandeur de la Légion d'honneur. Le Roi des Français lui proposa même l'archidiocèse d'Avignon. Le fidèle évêque de Cambrai refusa cette promotion. Jusqu'au dernier jour, Mgr Belmas traita les affaires de son diocèse avec la présence d'esprit, la facilité de travail qui le caractérisaient. Peu avant sa mort, il entendit encore la lecture de sa correspondance et il indiqua les réponses à faire. Il s'occupa des prochaines ordinations et fit expédier une lettre pour que sa mort n'apportât aucun retard à ceux qui dévoient être ordonnés. Une maladie longue, rendue plus grave par la vieillesse, l'emporta le 21 juillet 1841, après un épiscopat qui dura près de quarante ans. C'est M. le docteur Lenglet qui procéda à l'autopsie du corps de Mgr Belmas. Le cœur était dans un état tout à fait anormal. Des tuméfactions énormes, des désordres affreux se faisaient remarquer autour de ce viscère. Cependant, chose étrange, jamais le malade ne s'était plaint d'aucune douleur dans la région du cœur. Son oraison funèbre fut prononcée à Cambrai par M. Wicart, alors curé-doyen de Sainte-Catherine de Lille, depuis évêque de Fréjus. Cambrai offrit toutes les images d'un grand deuil, par suite du décès de Mgr Belmas. Trois fois par jour, à six heures du matin, à midi et à six heures du soir, toutes les cloches de la cathédrale et de l'église Saint-Géry sonnaient à grandes volées. D'heure en heure, un coup de canon fut tiré. Au palais épiscopal, se pressaient les fidèles qui venaient contempler une dernière fois les traits du prélat et prier pour lui. À la mort de Louis Belmas, le siège épiscopal de Cambrai est à nouveau érigé en archevêché par bulle du pape Grégoire XVI du 1er octobre 1841 au profit de Pierre Giraud. Source: wikipedia      ●   Bienvenue sur notre boutique   ●  Intégrez-nous dans votre liste de "vendeurs favoris" afin d'être régulièrement tenu informés de nos nouvelles mises en vente N´hésitez pas à consulter nos autres ventes afin de mutualiser les frais d´envoi   NOS FRAIS D'ENVOI PRINCIPES DE BASE:  nos prix incluent le port et le conditionnement  -  lots vendus   merci aux acheteurs qui choisissent un envoi "classique" sans suivi de ne pas porter réclamation si l'objet ne leur parvenait pas, ne pouvant être tenu responsable d'une perte par les services postaux  (Europe & other countries: letter with tracking number or registered letter) -  lots vendus de 20€ à 100€  :  envoi avec n° de suivi ou recommandé, au choix de l'acheteur  (Europe & other countries: letter with tracking number or registered letter) -  lots vendus > 100€  : envoi recommandé obligatoire (registered letter obligatory) L'acheteur aura donc le  choix  entre : 1 - lettre suivie: envoi avec un n° de suivi, mais sans assurance  2 - lettre verte "classique": envoi sans n° de suivi et sans assurance (juste pour la France) 3 - lettre recommandée: envoi avec suivi et avec assurance. 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La Constitution administrative de la France: Th?mes et commentaires Jean-Jacques Bienvenu Jacques Petit Benoit Plessix Bertrand Seiller Auteur: Jean-Jacques Bienvenu Jacques Petit Benoit Plessix Bertrand Seiller Editeur: Dalloz Broché: 404 pages paperback Edition: DALLOZ Publication: 30/05/2012 Collection: Thèmes et commentaires Dimensions: 24 x 16,99 x 1,7 Langue: Français Publier en: Français Languages d'origine: Français Help ? Carbonnier désignait le Code civil comme la véritable " constitution civile de la France "; Hauriou évoquait la " constitution sociale de la France "; à propos de l'ordonnance de 1959 ou de la loi organique relative aux lois de finances, il n'est pas rare de parler de " constitution financière ". Autant d'expressions permettant d'évoquer ce qui fonde, structure et révèle à lui-même un domaine du droit. Or Tocqueville, dans L'Ancien Régime et la Révolution, s'était demandé si la garantie des fonctionnaires et la centralisation ne caractérisaient pas la " constitution administrative " de la France à son époque. Le colloque, organisé du 28 au 30 septembre 2011 par le Centre de recherches en droit administratif (CRDA) de l'Université Panthéon-Assas, entendait poursuivre et approfondir cette réflexion avec le recul de deux siècles. L'ambition en était, de manière inédite, de susciter la rédaction d'un texte, formellement rédigé comme une Constitution et exprimant les principes structurants de notre organisation et de notre droit administratifs. Les " masses de granit" de notre système administratif ont ainsi été identifiées et regroupées en ce qui pourrait constituer les titres de la Constitution administrative de la France. Pour ce faire, chacun des contributeurs a proposé un projet d'article, contenant un nombre limité d'alinéas et exposant ce qui fait l'identité administrative de notre pays sur son sujet, par-delà les vicissitudes de l'Histoire. Conformément à la logique de cette entreprise, il a présenté les raisons de ses choix conceptuels et rédactionnels sous la forme d'un " exposé des motifs ". Sur ces éléments, de substantiels et parfois vifs débats se sont engagés, permettant, le cas échéant, d'apporter des amendements aux projets d'articles, voire à la structure même de la Constitution administrative de la France. Parce qu'il rassemble l'intégralité de ces très riches journées de travaux, le présent ouvrage s'avère indispensable à tous ceux qui souhaitent connaître les structures fondamentales de notre système administratif et surtout en comprendre les origines et donc l'esprit. Mot Clef: Etudes sup?rieures Universit? Droit - Sciences juridiques
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LdPossibles68 Consulter nos évaluations Ajouter cette boutique à mes favoris Le marxisme introuvable 8,00 € Disponibilité: en stock Le marxisme introuvable, écrit en 73-74 et publié en mas 1975, est aujourd'hui un livre daté. Je l'ai écrit dans un moment où l'on pouvait encore croire que la décomposition du gauchisme post-soixante-huitard serait le meilleur ferment d'une gauche régénérée. D'autre part, encore largement sous l'emprise des idées de Louis Althusser - fût-ce pour ses écrits à opposer ses propres principes - je pensais avec beaucoup d'autres que le marxisme était un édifice qui pouvait être rebâti pour peu qu'on y mît le prix, conceptuel et social, nécessaire. Ouvrir le "matérialisme historique" à l'esprit de libre-examen, favoriser son appropriation réelle par les couches populaires nous semblaient alors, au soleil de l'Union de la Gauche et aux derniers feux couchants de la Révolution Culturelle Chinoise, des objectifs souhaitables et réalistes. D.L. 1979 Aspect: Coin inférieur gauche du plat de derrière légèrement dédoublé. Page 170 cornée. Bon état général. Date d'édition: 1979 Editeur: Calmann-Lévy Etat: D'occasion bon état Format: in-12 Langue: français Lieu d'édition: Paris Nb pages: 317 NB Volume: 1 Nom Auteur: Daniel Lindenberg Particularités: Avertissement de l'auteur pour l'édition de 1979. Bibliographie et table des matières en fin d'ouvrage. Reliure: broché Sujet: Politique
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