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Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Pictures below and english translation . Photographies au -dessus. Médaille Camaret-sur-Aigues par M.LVaucluse Provence  241g 80mm medal 铜牌. QG MEDAILLE Medalla Medaglia Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne à partir de 1880). 1970. Quelques rayures et oxydations minimes. consultez attentivement les photos ci-dessous merci Graveur: M L  Avers: (Photographie) Revers :(Photographie). Dimension: 80  mm. Poids:  241 g. Métal: bronze . Poinçon: Corne + bronze + 1970. Vous pouvez consulter notre boutique pour consulter nos nombreuses autres médailles. Reduction des frais d'envoi pour les achats groupés Photos ci-dessus. ----------------- Bronze medal of the Paris Mint (Punch horn from 1880). 1970. Some scratches and minor oxidation. look carefully at the pictures below thank you Writer: M L   Avers (Photography) Reverse: (photography). Dimension: 80 mm. Weight: 241 g. Metal: bronze. Stamp: Bronze Horn + + 1970... ------------------------------ You can visit our shop to see our many other medals. Reduction of shipping for bulk purchases Photos above. Envoi rapide et soigné. ____________________________________________________________ More photos ? Contact us Pour des photos supplémentaires contactez nous par email   breizh.antiques.art@gmail.com 0033 (0) 645210548 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antique. Camaret-sur-Aigues Pour les articles homonymes, voir Camaret.  Camaret-sur-Aygues redirige ici. Camaret-sur-Aigues Place de l'église Blason Administration Pays  France Région Provence-Alpes-Côte d'Azur Département Vaucluse Arrondissement Avignon Canton Orange-Est Intercommunalité Communauté de communes Aygues Ouvèze en Provence Maire Mandat Philippe de Beauregard (FN) 2014 -2020 Code postal 84850 Code commune 84029 Démographie Gentilé Camaretois Population municipale 4 596 hab. (2011) Densité 262 hab./km2 Géographie Coordonnées 44° 09′ 51″ Nord 4° 52′ 28″ Est    Altitude 72 m (min. : 56 m) (max. : 97 m) Superficie 17,53 km2 Localisation Géolocalisation sur la carte : France Camaret-sur-Aigues * Voir sur la carte administrative du Vaucluse * Voir sur la carte topographique du Vaucluse * Voir la carte administrative de France Liens Site web http://www.camaret.org modifier   Camaret-sur-Aigues est une commune française, située dans le département de Vaucluse en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Sommaire * 1 Dénomination * 2 Géographie * 2.1 Accès et transports * 2.2 Relief * 2.3 Géologie * 2.4 Sismicité * 2.5 Hydrographie * 2.6 Climat * 3 Histoire * 3.1 Antiquité * 3.2 Moyen Âge * 3.3 Renaissance * 3.4 Période moderne * 3.5 Période contemporaine * 3.6 Toponymie * 3.7 Héraldique * 4 Politique et administration * 4.1 Tendances politiques et résultats * 4.2 Liste des maires * 4.3 Intercommunalité * 4.4 Fiscalité * 5 Démographie * 6 Économie * 6.1 Agriculture * 6.2 Industrie * 6.3 Tourisme * 7 Équipements et services * 7.1 Enseignement * 7.2 Sports * 7.3 Santé * 8 Vie locale * 8.1 Cultes * 8.2 Écologie et recyclage * 9 Lieux et monuments * 10 Notes et références * 10.1 Jumelages * 10.2 Notes * 10.3 Références * 11 Bibliographie * 12 Pour approfondir * 12.1 Articles connexes * 12.2 Liens externes Dénomination Le nom officiel de la commune, défini par le Code officiel géographique de l'INSEE, est Camaret-sur-Aigues. Toutefois, il est parfois fait usage, sans aucun caractère officiel, de l'appellation « Camaret-sur-Aygues ». Géographie La commune de Camaret-sur-Aigues est située à 6,5 kilomètres au nord-est de la ville d'Orange. Accès et transports Les routes départementales 23, 93 et 975 arrivent au bourg alors que la route départementale 43 le contourne par l'ouest. L'autoroute la plus proche est l'autoroute A7. Relief La commune est relativement plate avec une différence de 41 mètres seulement entre le point le plus haut de la commune, à l'extrême est de celle-ci, et le point le plus bas, situé à l'ouest-sud-ouest du bourg, en bordure de commune, au niveau de la mayre de Raphaëlis. Géologie Le sol est principalement constitué d'alluvions quaternaires. Sismicité Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments1. Hydrographie L'Aygues, lieu de baignades L'Aygues passe au nord du bourg. Plusieurs canaux (canal de Carpentras et canal du moulin) et petits cours d'eau comme les mayres de Mourelette, de Raphaëlis, d'Ancione passent aussi sur la commune. Climat La commune, située dans la zone d’influence du climat méditerranéen, est soumise à un rythme à quatre temps : deux saisons sèches, dont une brève en hiver, une très longue et accentuée en été  ; deux saisons pluvieuses, en automne, avec des pluies abondantes sinon torrentielles, et au printemps. Les étés sont chauds et secs, liés à la remontée en altitude des anticyclones subtropicaux, entrecoupés d’épisodes orageux parfois violents. Les hivers sont doux. Les précipitations sont peu fréquentes et la neige rare2. Depuis 2009, la ville d'Orange dispose d'une station météorologique en ville3. Données météorologiques d'Orange de 1961 à 1990 Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année Température minimale moyenne (°C) 1,3 2,6 4,4 7,2 10,8 14,4 17 16,3 13,8 9,7 4,9 1,9 8,7 Température moyenne (°C) 5,4 6,9 9,4 12,5 16,4 20,2 23,3 22,5 19,4 14,7 9,1 5,7 13,8 Température maximale moyenne (°C) 9,4 11,3 14,4 17,8 22,1 26,1 29,6 28,8 25 19,7 13,3 9,5 18,9 Ensoleillement (h) 132 137,1 192,5 230,4 264,6 298,9 345,3 310,7 237,6 187,1 135,2 123,8 2 595,3 Précipitations (mm) 44,4 57,5 61,1 58,9 72,4 43,6 27,8 56,3 67,6 97,4 57,7 48,9 693,4 Source : 4 Diagramme climatique J F M A M J J A S O N D       9.4 1.3 44.4       11.3 2.6 57.5       14.4 4.4 61.1       17.8 7.2 58.9       22.1 10.8 72.4       26.1 14.4 43.6       29.6 17 27.8       28.8 16.3 56.3       25 13.8 67.6       19.7 9.7 97.4       13.3 4.9 57.7       9.5 1.9 48.9 Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm Vaucluse Canton d'Orange moyenne nationale Ensoleillement 2 595 h/an 2 800 h/an 1 973 h/an Pluie 693 mm/an 700 mm/an (sur 80 jours) 770 mm/an Neige 4 j/an 14 j/an Vent 110 j/an essentiellement du Mistral Orage 23 j/an 22 j/an Brouillard 31 j/an 40 j/an Mois Jan Fev Mar Avr Mai Jui Jui Aou Sep Oct Nov Dec Records de températures minimales °C (Année) -13,4 (1985) -14,5 (1956) -9,7 (2005) -2,9 (1970) 1,3 (1979) 5,7 (1984) 9,0 (1953) 8,3 (1974) 3,1 (1974) -1,1 (1973) -5,4 (1952) -14,4 (1962) Records de températures maximales °C (Année) 20,3 (2002) 23,0 (1960) 27,2 (1990) 30,7 (2005) 34,5 (2001) 38,1 (2003) 40,7 (1983) 42,6 (2003) 35,1 (1966) 29,6 (1985) 24,6 (1970) 20,2 (1983) Source: http://www.linternaute.com/ville/ville/climat/25721/orange.shtml Histoire Antiquité Au cours du XIXe siècle, des fouilles avaient découvert du numéraire, des urnes funéraires, des lampes à huile, des vases dits lacrymatoires et des miroirs d'argent poli. Une pierre tumulaire épigraphe intégrée dans la façade d'une maison avait été descellée et vendue. Elle portait l'inscription S. P. SEVERIUS SIBI ET SVIS VIVUS FECIT. Avaient aussi été répertoriés des vestiges d'un aqueduc qui fournissait Orange en eau de source5. Au cours du XXe siècle, des fouilles menées plus scientifiquement, ont permis de retrouver au quartier des Marelles un fragment d'autel épigraphe, et trois sépultures à tegulæ sur le site des Garriguettes6. Moyen Âge Porte des remparts médiévaux Durant tout le bas Moyen Âge et jusqu'à la Révolution, Camaret dépendit de la baronnie de Sérignan. Elle avait d'abord appartenu à la principauté d'Orange puisque Raymond VII de Toulouse, comte de Provence, l'avait donné en fief, dès 1237, à Raymond des Baux. Ce fief fut donné comme dot à Tiburge d'Orange lors de son mariage avec Adhémar de Poitiers, comte de Valentinois. Celle-ci, en 1324, accorda l'élection de deux syndics pour représenter la communauté. Leurs successeurs, le 7 mai  1416, signèrent un prix fait pour que fussent édifiés de nouveaux remparts5. Le chevalier Guillaume Fabri fut coseigneur de Camaret-sur-Aigues jusqu'à ce qu'il fût condamné au chapitre des Lattes7. En 1346, ce fut l'ancien Baile de Pélissanne (1345), Raymond Martini qui fut chargé de vendre ses biens. Vers 1346, Guillaume d'Orange fut seigneur de Camaret et de Sérignan. Noble et puissant, Jean de Baux, sire de Camaret et de Sérignan eut à son service comme juge ordinaire de ses deux terres, en 1369, un noble bachelier, originaire d'Orange, Bérenger Sadoyrani, juge d'Arles (1372) et de Sisteron (1387)8. Renaissance En 1495, le Conseil de Ville obtint de la baronnie l'autorisation que chaque habitant puisse puisse cultiver une éminée de jardin exempte de dîme sur les fruits et les herbages5. Les guerres de religions sévirent pendant une décennie. Camaret ayant été pris par les religionnaires, le 5 janvier  1563 6, le capitaine pontifical Fabrice Serbelloni vient mettre le siège. Après quatre jours de canonnade, ses troupes investirent le village et passèrent par le fil de l'épée 100 prisonniers. Une nouvelle attaques des calvinistes de Nyons eut lieu en 1573. Mais leur homme de main qui devait leur ouvrir les portes fut démasqué et ils se retirèrent. Il n'en fut pas de même deux ans plus tard. Le 3 mai  1375, les huguenots d'Orange forcèrent la place mais durent rapidement se retirer face aux troupes envoyées par le cardinal d'Armagnac9. Ces attaques ont permis de savoir qu'en 1565, les remparts s'ouvraient par trois portes : la Grande Porte ou Portail Bérenguier, dite aussi des Ursulines ; la Porte Jaubert ou Portalet ; la Porte Carbonnel. Celles du Portail et de Carbonnel étaient précédées d'un pont levis. Les affrontements finis, deux autres portes furent ouvertes, celle de la Brèche et celle de la Tour10. Ce fut en 1599 que les deux syndics du village changèrent leur titre pour prendre celui de consul5. Période moderne Le 12 août 1793 fut créé le département de Vaucluse, constitué des districts d'Avignon et de Carpentras, mais aussi de ceux d'Apt et d'Orange, qui appartenaient aux Bouches-du-Rhône, ainsi que du canton de Sault, qui appartenait aux Basses-Alpes. Article détaillé : Histoire de Vaucluse. Dans le milieu du XIXe siècle, le village, grâce à l'irrigation, avait diversifié son agriculture avec maraîchage, huile d'olive, mûriers pour l'élevage des vers à soie et safran. Toute une petite et moyenne industrie, liée à la force motrice de l'eau, s'était développée : blanchisserie, moulins à farine, fabrique de chapeaux et moulinage de la soie5. Période contemporaine Camaret, grâce à l'implantation, de la coopérative agricole « La cabanon » s'est acquis la réputation de capitale nationale de la tomate de conserve11. Toponymie La forme la plus ancienne est de Camareto, attestée en 1137. Ce toponyme suggère un thème pré-celtique *kam-ar avec le sens de hauteur arrondie12. Héraldique Article détaillé : Armorial des communes de Vaucluse. Les armes peuvent se blasonner ainsi : D'or à l'ormeau arraché de sinople, chargé de trois oranges de gueules ordonnées 2 et 1, au chef du même chargé de la lettre C capitale du champ.13 Politique et administration Tendances politiques et résultats Article connexe : Élections municipales de 2014 dans le Vaucluse. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Liste des maires Hôtel de Ville Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité 1983 2008 Paul Durieu 14 UMP   mars 2008 mars 2014 Marlène Thibaud 14 PS   Les données manquantes sont à compléter. Intercommunalité La commune fait partie de la Communauté de communes Aygues Ouvèze en Provence. Celle-ci a été créée le 31  décembre  1992. Fiscalité L'imposition des ménages et des entreprises à Camaret-sur-Aigues en 200915 Taxe part communale Part intercommunale Part départementale Part régionale Taxe d'habitation (TH) 7,73 % 0,00 % 7,55 % 0,00 % Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 20,44 % 0,00 % 10,20 % 2,36 % Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 57,11 % 0,00 % 28,96 % 8,85 % Taxe professionnelle (TP) 00,00 % 17,85 % 13,00 % 3,84 % La Part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable. La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 201016). Démographie En 2011, la commune comptait 4 596 habitants. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans, contrairement aux autres communes qui ont une enquête par sondage chaque annéeNote 1,Note 2.            Évolution de la population  ] 1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 2 020 2 035 2 121 2 228 2 216 2 288 2 289 2 430 2 553            Évolution de la population  ], suite (1) 1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 2 625 2 595 2 498 2 401 2 278 2 053 1 965 1 890 1 738            Évolution de la population  ], suite (2) 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1 633 1 700 1 785 1 523 1 544 1 562 1 516 1 500 1 581            Évolution de la population  ], suite (3) 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 - 1 794 1 955 2 255 2 468 3 121 3 553 4 207 4 596 - De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes  ; pour les dates suivantes : population municipale. (Sources : Ldh/EHESS /Cassini jusqu'en 199917 puis Insee à partir de 200418.) Histogramme de l'évolution démographique Économie Agriculture Vue aérienne du terroir de Camaret et Sérignan-du-Comtat Au cours du XIXe siècle, face à un Plan de Dieu « plaine presque inculte », les autorités et les élus pensèrent utile et judicieux d'envisager son irrigation sans considérer qu'il y avait là un terroir viticole de première importance5. Aujourd'hui, le vignoble de la commune produit des vins Côtes-du-rhône villages classés en plan-de-dieu (AOC), au même titre que Jonquières, Travaillan et Violès. Les vins qui ne sont pas en appellation d'origine contrôlée peuvent revendiquer, après agrément, le label Vin de pays de la Principauté d'Orange Industrie L'entreprise agro-alimentaire Conserves de Provence, premier opérateur français de production de tomate transformée, a été racheté en 2004 par le groupe chinois Xinjiang Chalkis Co.Ltd qui s'est porté acquéreur de 55 % des parts 19; le reste appartenant à la SA Le Cabanon, ancienne coopérative agricole, pour 7 millions d'euros20, en 200421 qui est propriétaire de l'usine de Camaret20. Depuis, la majorité des tomates qui passent par l'usine sont importées de Chine20,22. L'accord de vente stipulait que la production chinoise représenterait les deux tiers de l'activité des Conserves de Provence dans un premier temps, avant d'augmenter progressivement tout en garantissant pendant 10 ans l'écoulement de la production des agriculteurs français de la coopérative21. Tourisme Comme beaucoup d'autres communes viticoles du Vaucluse, l'œnotourisme est présent dans l'économie locale. Ce n'est cependant pas la seule forme de tourisme, en particulier grâce à sa proximité d'Orange et de ses monuments et festival, mais aussi du mont Ventoux, d'Avignon, etc. Équipements et services Enseignement Quatre écoles primaires : - trois publiques : La Souleïado (maternelle); Frédéric Mistral (CP, CE1, CE2) ; Les Amandiers23 (CE2, CM1, CM2) - une privée : Saint-Andéol Ensuite les élèves vont au collège Arausio Orange 24 puis le lycée Polyvalent régional de l'Arc, toujours à Orange25. Sports L'on trouve plusieurs clubs à vocation sportive (Football, motoball, volleyball, handball, basketball, twirling bâton) sur la commune. Plusieurs stades, tennis, etc. Santé La communes disposent d'une pharmacie, ainsi que de médecins, dentistes, infirmiers et kinésithérapeutes. Il n'y a, par contre, pas d'hôpital, le plus proche étant sur Orange. Intérieur de l'église paroissiale de Camaret Vie locale Cultes La paroisse catholique de Camaret fait partie du Doyenné d'Orange -Bollène 26. Placée sous le vocable de saint Andéol, elle date du début du XVe siècle et a été totalement restaurée en 1780 10. Dans l'édifice religieux précédant, se trouvait une vierge noire. Lors d'une visite épiscopale de l'évêque d'Orange, François de Roussel de Tilly, en 1780, elle horrifia le prélat qui fut choqué par son indécence. Il avait constaté que la Vierge ne tenait pas son fils dans ses bras mais sur son giron. Il ordonna que cette statue romane fut brûlée et que ces cendres fussent enterrées dans le cimetière10. Écologie et recyclage La collecte et le traitement des déchets des ménages et déchets assimilés, la gestion de l'assainissement collectif, la lutte contre les nuisances sonores, le contrôle de la qualité de l'air et la protection et mise en valeur de l'environnement font partie des compétences de la Communauté de communes Aygues Ouvèze en Provence. Lieux et monuments * Église paroissiale "Saint-Andéol", XVIe siècle, située au cœur du bourg. * Chapelle Saint-Cœur-de-Marie, proche du cimetière, à l'ouest du bourg. * Chapelle Saint-Andéol, derrière a Mairie * Le Ravelin : Ancienne porte des remparts, surmonté d'un campanile et d'une horloge * La Tour Sarrazine (XIIIe siècle) * Chapelle Saint-Cœur-de-Marie * Le Ravelin * La Tour Sarrazine * Chapelle Saint-Andéol Notes et références Jumelages *  Travacò Siccomario  (Italie) Notes * ↑ Au début du XXIe siècle, les modalités de recensement ont été modifiées par la loi no 2002-276 du 27 février 2002  ], dite « loi de démocratie de proximité » relative à la démocratie de proximité et notamment le titre V « des opérations de recensement », afin de permettre, après une période transitoire courant de 2004 à 2008, la publication annuelle de la population légale des différentes circonscriptions administratives françaises. Pour les communes dont la population est supérieure à 10 000 habitants, une enquête par sondage est effectuée chaque année, la totalité du territoire de ces communes est prise en compte au terme de la même période de cinq ans. La première population légale postérieure à celle de 1999 et s’inscrivant dans ce nouveau dispositif est entrée en vigueur au 1er janvier 2009 et correspond au recensement de l’année 2006. * ↑ Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, et afin de permettre une comparaison correcte entre des recensements espacés d’une période de cinq ans, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant aux années 2006, 2011, 2016, etc., ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee. Références * ↑ Zonage sismique réglementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48 * ↑ La climatologie du Vaucluse  ] * ↑ Station météo d'Orange  ] * ↑ Relevés météorologiques d'Orange, (Vaucluse), de 1961 à 1990  ] * ↑ a, b, c, d, e et f Jules Courtet, op. cit., p. 114. * ↑ a et b Robert Bailly, op. cit., p. 124. * ↑ AD du 13, série B1593f131v. * ↑ Chiffoleau, Les justices, p.289 * ↑ Jules Courtet, op. cit., p. 115. * ↑ a, b et c Robert Bailly, op. cit., p. 125. * ↑ Patrick Saletta (sous la direction de), Haute Provence et Vaucluse - Les Carnets du Patrimoine, Les Guides Masson, Paris, 2000, p. 207. * ↑ Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Éd. Larousse, 1968, p. 1725. * ↑ Armorial des communes du Vaucluse * ↑ a et b ledauphine.com - Camaret-sur-Aygues : Marlène Thibaud détrône Paul Durieu  ] * ↑ « Impots locaux à Camaret-sur-Aigues »  ], taxes.com * ↑ Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010  ] (Légifrance) * ↑ Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui  ] sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales. * ↑ Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006  ], 2011  ] * ↑ Les tomates de Provence passées au chinois  ], Commerce international, 2 juillet 2004 * ↑ a, b et c La Tomate globale  ], CQFD n°25, 15 juillet 2005 * ↑ a et b Pierre Haski, Les Chinois croquent la tomate transformée française  ], Libération, 12 avril 2004 * ↑ 86 : Chalkis ou la mondialisation expliquée aux enfants. Comédie géographique en quatre actes  ], Café-géo, « Les lettres de Cassandre », par Pierre Gentelle, 15 décembre 2008 * ↑ Site de l'école Les Amandiers de Camaret  ] * ↑ « Carte scolaire du Vaucluse »  ], Conseil Général de Vaucluse * ↑ « Site du lycée de l'Arc »  ], Académie Aix-Marseille,‎ 2010 * ↑ Diocèses en Vaucluse  ] Bibliographie * Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique du département du Vaucluse, Avignon, 1876. * Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, Éd. A. Barthélemy, Avignon, 1986. (ISBN  2903044279) Pour approfondir Sur les autres projets Wikimedia : * Camaret-sur-Aigues, sur Wikimedia Commons Articles connexes * Liste des communes de Vaucluse * Plan de Dieu (Vaucluse) Liens externes * Site officiel de la ville de Camaret-sur-Aigues   v  · d  · m Communes de la communauté de communes Aygues Ouvèze en Provence   v  · d  · m Communes du canton d’Orange-Est   v  · d  · m Communes de Vaucluse * Portail de Vaucluse * Portail des communes de France Catégories  : * Commune de Vaucluse * Ancien chef-lieu de canton de la Drôme * Ancien chef-lieu de canton des Bouches-du-Rhône | Menu de navigation * Créer un compte * Se connecter * Article * Discussion * Lire * Modifier * Modifier le code * Historique * Accueil * Portails thématiques * Article au hasard * Contact Contribuer * Débuter sur Wikipédia * Aide * Communauté * Modifications récentes * Faire un don Imprimer / exporter * Créer un livre * Télécharger comme PDF * Version imprimable Outils * Pages liées * Suivi des pages liées * Importer un fichier * Pages spéciales * Adresse de cette version * Information sur la page * Élément sur Wikidata * Citer cette page Autres langues * Català * Cebuano * Deutsch * English * Español * Euskara * Italiano * Latina * Lumbaart * Malagasy * Bahasa Melayu * Nederlands * Occitan * Polski * Piemontèis * Português * Română * Русский * Srpskohrvatski / српскохрватски * Simple English * Slovenčina * Српски / srpski * Svenska * Українська * Tiếng Việt * Volapük * Winaray * 中文 Modifier les liens * Dernière modification de cette page le 26 mai 2014 à 17:31. * Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons paternité partage à l’identique; d’autres conditions peuvent s’appliquer. 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La Chapelle Caro (Morbihan)
Gravure ancienne représentant Romain Desèze Dimensions: 9,9 x 7,8 cm Dimensions support: 10,4 x 10 cm Raymond, comte de Sèze, ou plus communément Romain Desèze, est un magistrat et homme politique français né à Bordeaux le 26 septembre 1748 et mort à Paris le 2 mai 1828.Il est choisi pour être le conseil de Marie-Antoinette dans l'Affaire du collier de la reine, et fait acquitter Pierre-Victor de Besenval, accusé de haute trahison (1789). Il est désigné par le roi Louis XVI, au refus de Target, pour être adjoint à ses défenseurs Tronchet et Malesherbes. contact@antikpapers.com Sommaire     1 Biographie         1.1 Sa défense du roi Louis XVI devant la Convention en 1792         1.2 Témoignage du roi Louis XVI         1.3 Autres fonctions         1.4 Publications     2 Mariage et descendance de Raymond de Sèze     3 Notes et références     4 Sources     5 Voir aussi         5.1 Articles connexes         5.2 Liens externes Biographie D'une famille ancienne, il plaide d'abord dans sa ville natale, puis il est appelé à Paris par le ministre Vergennes, il défend à son début la cause des filles d'Helvétius. Il est choisi pour être le conseil de Marie-Antoinette dans l'Affaire du collier de la reine, et fait acquitter Pierre-Victor de Besenval, accusé de haute trahison (1789). Il est désigné par le roi Louis XVI, au refus de Target, pour être adjoint à ses défenseurs Tronchet et Malesherbes. Il plaide avec courage la défense du roi devant la Convention, le 26 décembre 1792. Il est par suite arrêté comme suspect dans sa maison de campagne de Brévannes, près de Corbeil, et détenu à la prison de la Force jusqu'au 31 janvier 1794, puis transféré dans une maison d'où il sort après le 9 thermidor an II (27 juillet 1794). En 1815, il est nommé président de la Cour de cassation et le 17 août 1815 pair de France. Il est élu à l'Académie française le 22 mai 1816 en remplacement de Jean-François Ducis (33e fauteuil), et fait comte le 31 août 1817 par le roi Louis XVIII. Son fils Étienne-Romain (1780-1862) lui succède à la Chambre des pairs2. Raymond de Sèze est franc-maçon, il appartient à la loge les Neuf Sœurs3, qui fut également celle de Voltaire. Il est le frère de Paul-Victor de Seze4 qui perpétue la branche dite « bourgeoise ». Celle-ci porte toujours les armoiries d'avant 1817 décrites ci-dessous. Son neveu, Aurélien, fût célèbre pour l'amitié amoureuse qui le lia dans sa jeunesse à Georges Sand. Il est enterré au cimetière du Père Lachaise (division 53). Tombe de Raymond de Seze (cimetière du Père Lachaise, division 53)     Armes de Raymond de Sèze     Avant 1817: D’azur, à trois tours d'argent, rangées en fasce, accompagnées en chef de deux étoiles d’or et en pointe d’un croissant de même (Armorial de Riestap)5     Après 1817: De gueules, au château de Temple d’argent, accompagné en chef de deux étoiles d’or et en pointe de seize fleurs-de-lis d’argent, 7, 6 et 3 (Armorial de Riestap)5 Sa défense du roi Louis XVI devant la Convention en 1792 Sur la demande de Tronchet et de Malesherbes, le roi accepte un nouveau conseil en la personne de Raymond de Sèze. Ce dernier est averti le 16 décembre 1792 et il se met au travail le 21. Dans la journée il lit les pièces du dossier et la nuit il rédige une plaidoirie. Le 25 décembre il présente son projet au roi et le 26 il plaide devant la Convention. Sa plaidoirie repose sur les points suivants:     incompétence de la Convention et illégalité de la procédure     justifications des grandes décisions du roi depuis la tenue des États généraux autour de l'idée que Louis XVI n'a jamais voulu le malheur de son peuple et qu'il n'a jamais voulu que le sang coule Enfin il s'exclame: « Citoyens, je vous parlerai ici avec la franchise d'un homme libre: je cherche parmi vous des juges et je n'y vois que des accusateurs. Vous voulez prononcer sur le sort de Louis; et vous avez déjà émis votre vœu ! Vous voulez prononcer sur le sort de Louis, et vos opinions parcourent l'Europe ! Louis sera donc le seul français pour lequel il n'existera aucune loi ni aucune forme ? Il n'aura ni les droits des citoyens, ni les prérogatives de roi. Il ne jouira ni de son ancienne condition, ni de la nouvelle. Quelle étrange et inconcevable destinée3 ! » Témoignage du roi Louis XVI « Je prie MM. de Malesherbes, Tronchet et de Seze4 de recevoir ici tous mes remerciements et l'expression de ma sensibilité pour tous les soins et les peines qu'ils se sont donnés pour moi3. » Autres fonctions Nommé par le roi Louis XVIII3:     Grand trésorier de l'ordre du Saint-Esprit     Président du collège électoral de la Gironde Nommé par le roi Charles X3:     Président du collège électoral de la Seine     Ministre d'Etat Publications     Réflexions sur l’établissement de la Caisse de Poissy, Paris: chez Prault, 1790, in-4°, 19 p.     Convention Nationale. Défense de Louis, prononcée à la Barre de la Convention Nationale, le Mercredi 26 Décembre 1792, l'an premier de la République, par le Citoyen Deseze, l'un de ses défenseurs officieux; Imprimé par ordre de la Convention Nationale, Paris: Imprimerie Nationale, 1792. In-8°,, 49, p. Mariage et descendance de Raymond de Sèze En l'église Saint-Nicolas de Graves, Raymond Desèze épouse le 12 mai 1780 Marguerite Brethous veuve Dumas. Celle-ci a 30 ans, elle est la fille d'Étienne Brethous et de Marie Ducercelier, elle a deux filles, Marie et Jenny. Les enfants du couple sont3:     Étienne-Romain de Sèze (1780-1862), premier président de Chambre et Pair de France, il épouse le 12 août 1822 Armande Bernard de Montebise âgée de 33 ans;     Adolphe de Sèze, maître des requêtes au Conseil d'État; il épouse Henriette Alexandrine Clara Morel de Foucaucourt, fille du baron Édouard Morel de Foucaucourt, colonel à l'État major;     Honorine de Sèze, épouse de Hubert Rohault de Fleury, d'abord lieutenant-colonel du Génie puis par la suite directeur de l'École polytechnique, général et pair de France. Notes et références     ↑ Le Grand Dictionnaire universel du XIXe siècle de Pierre Larousse précise: « Bien qu'il ait toujours porté ce prénom de Romain et qu'il l'ait lui-même transmis à son fils aîné, son acte de baptême ne lui donne que celui de Raymond. Son père, Jean Desèze, originaire de la petite ville de Saint-Émilion, ne prenait aucune qualification nobiliaire. Pourtant sa famille était ancienne et appartenait à la noblesse de robe. »     ↑ Raoul de Warren, Les Pairs de France au XIXe siècle, les Cahiers nobles, 1959: voir sous le numéro 426.     ↑ a, b, c, d, e et f André Sevin, de Seze: Défenseur du Roi (1748-1828), François-Xavier Guibert, coll. « Histoire », 31 décembre 1992, 413 p. (ISBN 978-2868392466), p. 55, 94, 215, 320, 329, 376, 385-386, 413.     ↑ a et b André Sevin, de Seze: Défenseur du Roi (1748-1828) - p.1, ndbp 1: « Nous écrivons ce nom sans accent parce que le défenseur de Louis XVI l'écrivait ainsi. Il attachait même une telle importance à cette graphie que nous le voyons, en 1827, demander au procureur général de « "s'occuper... au corps municipal des moyens de réparer le vice de l'étiquette de son nom dans la rue de Sèze, et du retranchement à faire de l'accent qu'on a mis mal à propos sur le premier e qui en dénature absolument la prononciation » (R. de S.). M. le comte de Sèze, héritier direct du nom, maintient néammoins l'accent parce que celui-ci figure sur les lettres d'anoblissement données par Louis XVIII à son illustre aïeul »     ↑ a et b http://www.euraldic.com/blas_se2.html: armorial de Rietstap Sources     « Desèze, Romain », dans Pierre Larousse, Grand dictionnaire universel du XIXe siècle, 15 vol., 1863-1890.     Marie-Nicolas Bouillet et Alexis Chassang (dir.), « De Sèze, Raym. » dans Dictionnaire universel d’histoire et de géographie, 1878 (Wikisource)     André Sevin, de Seze - Défenseur du Roi (1748-1828)     Jean de Viguerie, Louis XVI, le roi bienfaisant, éditions du Rocher, mars 2003, pages 392 à 396     « Raymond de Sèze », dans Robert et Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, 1889 Voir aussi Sur les autres projets Wikimedia:     Raymond de Sèze, sur Wikimedia Commons Articles connexes     Familles subsistantes de la noblesse française     Tour du Temple Liens externes     Notices d'autoritéVoir et modifier les données sur Wikidata: Fichier d'autorité international virtuel • International Standard Name Identifier • Bibliothèque nationale de France (données) • Système universitaire de documentation • Bibliothèque du Congrès • Gemeinsame Normdatei • WorldCat     Page biographique de Raymond de Sèze (Académie française)   Voir ce modèle. Raymond de Sèze   Voir ce modèle. Fauteuil 33 de l’Académie française   v · m ◀ Composition de l’Académie française au jour de son élection (22 mai 1816) ▶   v · m ◀ Composition de l’Académie française au jour de sa mort (2 mai 1828) ▶     Portail de la Révolution française Portail de la Révolution française Portail de la France au XIXe siècle Portail de la France au XIXe siècle Portail du droit français Portail du droit français Portail de l'Académie française Portail de l'Académie française Portail de la politique française Portail de la politique française Catégories:     Naissance à Bordeaux Membre de l'Académie françaisePair de France sous la RestaurationNaissance en septembre 1748Décès en mai 1828Décès à ParisPersonnalité de la Révolution françaiseAvocat français du XVIIIe sièclePremier président de la Cour de cassation françaisePersonnalité enterrée au cimetière du Père-Lachaise (division 53)Comte français du XIXe siècleFamille de SèzeOfficier de l'ordre du Saint-EspritCommandeur de la Légion d'honneurMinistre français d'ÉtatPersonnalité de la franc-maçonnerie française
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A Giorgio Vasari Aretino Storico Degli Artisti - Architetto e Pittore - 1511-1574 L'Ente Provinc. Le per il Turismo 1974 Gori & Zucchi R. Carboni - E. Scatragli Diamètre: 70 mm - Épaisseur: 4 mm Poids: 180 grammes contact@antikpapers.com ba320 -- Giorgio Vasari (30 juillet 1511 à Arezzo - 27 juin 1574 à Florence) est peintre, architecte et écrivain toscan. Son recueil biographique Les Vies des meilleurs peintres, sculpteurs et architectes, particulièrement sa seconde édition de 1568, est considéré comme une des publications fondatrices de l'histoire de l'art. Sommaire     1 Biographie     2 Citations à son propos     3 Les Vies des meilleurs peintres, sculpteurs et architectes     4 Œuvres     5 Bibliographie     6 Notes et références     7 Voir aussi         7.1 Articles connexes         7.2 Liens externes Biographie Le clocher-mur de la fraternité laïque à Arezzo Tableau généalogique de Vasari publié dans l'édition de Gaetano Milanesi (it), 18781 Né dans une famille modeste, sur la recommandation de son cousin Luca Signorelli, il devient l'élève de Guglielmo da Marsiglia, un peintre habile de vitraux. À 16 ans, le cardinal Silvio Passerini l'envoie poursuivre ses études à Florence, près d'Andrea del Sarto et de ses élèves Rosso Fiorentino et Jacopo Pontormo. Son éducation d'humaniste n'est pas négligée et il rencontre Michel-Ange dont le modèle de peinture l'a influencé. En 1529, il visite Rome et étudie les travaux de Raphaël et d'autres artistes de la Haute-Renaissance romaine. Ses propres peintures maniéristes ont été davantage admirées pendant sa vie qu'après. Il est employé par les maîtres des maisons de la famille Médicis à Florence et à Rome et il travaille aussi, entre autres, à Naples, à Arezzo. Plusieurs de ses travaux existent encore, du plus important, les peintures des murs et du plafond dans la grande Salle de Cosme Ier du Palazzo Vecchio à Florence, datant de 1555, aux fresques inachevées à l'intérieur de la vaste coupole du Duomo, terminées par Federigo Zuccaro et avec l'aide de Giovanni Balducci. Il organise la décoration du Studiolo de François Ier du Palazzo Vecchio, plutôt comme directeur des productions artistiques qui doivent y apparaître que comme artiste producteur d'œuvres. Sa production architecturale est plus importante que celle de peintre. La loggia des Offices allant du Palazzo Vecchio et débouchant sur l'Arno ouvrant une vue au bout de sa longue cour étroite est un morceau unique d'urbanisme qui fonctionne comme une place publique, le piazzale des Offices, unique rue de la Renaissance avec un seul traitement architectural. Il est, à partir de 1553, un proche des Médicis à Florence et fonde l'Académie de dessin de Florence en 1563, avec le grand-duc et Michel-Ange comme premiers directeurs de l'établissement et de trente-six artistes choisis comme membres. En mars 1565, il écrit, pour le mariage de François de Médicis et de Jeanne d’Autriche, la Mascarade de la généalogie des dieux, dont il publie le livret. La même année, il conçoit à Florence le Corridoio reliant le Palazzo Vecchio au Palais Pitti, le construit en cinq mois, commandité par Cosme Ier et inauguré pour le mariage de son fils François. Ce corridor permettra aux Médicis de circuler sans escorte et sans descendre dans la rue pour traverser l'Arno par le Ponte Vecchio, tout en admirant les nombreux tableaux qui l'ornent (beaucoup d'autoportraits depuis Léopold de Médicis) et la ville par ses fenêtres. Il rénove également les églises médiévales Santa Maria Novella et Santa Croce, et transforme le jubé et la chaire dans le goût maniériste de son temps. À Rome, Vasari travaille avec Giacomo Barozzi da Vignola et Bartolomeo Ammanati pour la Villa Giulia du pape Jules III. Vasari, qui aura été apprécié pendant toute sa vie, amasse une fortune considérable. En 1547, il se fait construire une maison à Arezzo (maintenant un musée qui lui est consacré), et consacre beaucoup de son temps et de son énergie à décorer les murs et les voûtes. Il est élu au conseil et priori municipal de sa ville natale, et est finalement élevé au titre suprême de gonfalonier. Écrivain également, il est l'auteur du précieux recueil intitulé Les Vies des plus excellents peintres, sculpteurs et architectes (Le Vite de' più eccellenti pittori, scultori e architettori) (1560-1570). Cet ouvrage est d'une importance majeure, car il pose les bases des premières approches méthodologiques de l'histoire de l'art - (approche historique et méthode biographique). Citations à son propos     « Ce fut un homme aimable, d'une belle figure, doué de quelques petits talents, de beaucoup d'adresse, et de persévérance, et d'une de ces âmes froides, très convenables pour faire son chemin dans le monde, et pour être un plat artiste. » — Vasari vu par Stendhal dans Histoire de la peinture en Italie     « Vasari, le Georges à tout faire de Michel-Ange, quinze siècles après le ministre d'Auguste, est le Mécène de la renommée. Il a fait et défait les réputations. Peintre détestable, architecte sans goût, juge sans équité, Jules Romain de la critique et de la Toscane, Vasari n'en est pas moins un des plus précieux Italiens de la Renaissance, et son livre un des trésors que l'on doit à l'Italie. » — André Suarès, Le Voyage du condottière, p. 362 Les Vies des meilleurs peintres, sculpteurs et architectes Couverture de Le Vite Article détaillé: Le Vite. Le Vite de' più eccellenti pittori, scultori e architettori (1550-1568). Édité une première fois en 1550, il fait l'objet d'une seconde édition en 1568. La première édition ne comportait, en réalité, que les vies des auteurs décédés durant l'écriture de son ouvrage. Pourtant une exception venait infirmer la règle, c'est celle de Michel-Ange qui y figurait déjà lors de la première édition. Giorgio Vasari y ordonne les artistes qui l'ont précédé ou qui lui sont contemporains dans une perspective historique. Il rassemble des données, tant sur les artistes que sur leurs œuvres (enquêtes biographiques, catalogues des œuvres, anecdotes et légendes). Il est le premier, dans Les Vies, à utiliser le terme Renaissance pour qualifier son époque (rinascimento de la bella maniera incarnée par Raphaël et Michel-Ange dont le but est l'imitation du travail des anciens et qui apparaît selon lui dans la seconde moitié du XIIe siècle). Cet ouvrage apparaît, aujourd'hui, comme un des éléments fondateurs de l'Histoire de l'art. C'est de Vasari que viendrait le terme « gothique », comparant l'étrange architecture du Moyen Âge avec la barbarie du peuple des Goths. Œuvres La Déposition de la Croix (vers 1550), au musée de la Chartreuse de Douai. Judith et Holofernes (vers 1554), Musée d'art de Saint-Louis, Saint-Louis     Déposition du Christ (1532), huile sur panneau, 144 × 113 cm, Arezzo, Maison natale de Vasari.     Sainte Famille avec saint Jean Baptiste et saint François d'Assise2, Musée des beaux-arts de Bordeaux.     Portrait de Laurent le magnifique (vers 1534), huile sur panneau, 90 × 72 cm, Galerie des Offices, Florence.     Portrait d'Alexandre de Médicis (vers 1534), huile sur panneau, 157 × 114 cm, Galerie des Offices, Florence.     Le Christ chez Marthe et Marie (1539-1540), huile sur panneau, 404 × 250,6 cm, Bologne, Pinacoteca Nazionale.     Déposition de la croix (1540 ca), huile sur toile, 311 × 210 cm, Camaldoli, Chiesa dei Santi Donato e Ilariano.     La Cène de Saint Grégoire le Grand (1540, huile sur panneau, 403 × 255 cm, Bologne, Pinacoteca Nazionale.     Allégorie de l'Immaculée conception (1541), huile sur panneau, 58 × 39 cm, Galerie des Offices, Florence.     La Tentation de saint Jérôme (vers 1541), huile sur panneau, 169 × 123 cm, Florence, Palais Pitti, Galerie Palatine.     La Sainte Famille avec sainte Anne (1541-1547), Musée de Grenoble.     La Sainte famille avec saint François (1542), huile sur toile, 184 × 125 cm, Los Angeles, County Museum of Art.     La Justice (1542), huile sur toile, Venise, Gallerie dell'Accademia.     Allégorie de la Justice, la Vérité et la rumeur (1543), huile sur panneau, 353 × 252 cm, Naples, Museo di Capodimonte.     Venus et Cupidon (vers 1543), huile sur panneau, 131 × 199 cm, Windsor, Royal Collection.     Le Pape Paul Farnèse dirige la construction de Saint Pierre (1544 ca), fresque, Rome, Palazzo della Cancelleria.     La Résurection du Christ (1545), huile sur panneau, 117 × 73 cm, Musée Capodimonte de Naples.     La Nativité (1546 ca), huile sur toile, Rome, Galerie Borghèse.     La Sainte Famille avec sainte Anne et saint Jean (vers 1546), huile sur toile, 82 × 60,5 cm, Vienne, Kunsthistorisches Museum.     La Déposition de la Croix (vers 1550), huile sur bois, 174 × 130 cm, musée de la Chartreuse de Douai     Judith décapite Holopherne (vers 1554), huile sur panneau, 108 × 79 cm, Musée d'art de Saint-Louis, Saint-Louis.     La Toilette de Venus (1558), huile sur toile, Stuttgart, Staatsgalerie.     La Lapidation de saint Étienne (vers 1560), huile sur toile, 300 × 163 cm, Musées du Vatican, Pinacoteca Vaticana.     Les Quatre Éléments (vers 1560), Florence, Palazzo Vecchio.     Les Travaux d'Hercule (vers 1560), Florence, Palazzo Vecchio.     L'Annonciation (1564-1567), bois, 216 × 166 cm, Musée du Louvre, Paris. Élément central du triptyque peint pour le maître autel de l'église de Santa Maria Novella d'Arezzo3.     Fresques de la Sala del Cinquecento (1565), Florence, Palazzo Vecchio.     Saint Luc peignant la Vierge (vers 1565), fresque, Florence, Chiesa della Santissima Annunziata.     Autoportrait (vers 1566-1568), huile sur panneau, 100,5 × 80 cm, galerie des autoportraits du Corridor de Vasari, musée des Offices, Florence.     Le Prophète Élisée, huile sur bois (1566), musée des Offices, Florence.     La Forge de Vulcain (1567-1568), musée des Offices, Florence.     Christ dans le jardin de Gestsemani (vers 1570), huile sur panneau, 143,5 × 127 cm, Tokyo, National Museum of Western Art.     L'Adoration des bergers (1570-1571), huile sur panneau, 131 × 69 cm, Chazen, Museum of Art.     Persée et Andromède (1570-1572), huile sur toile, 117 × 100 cm, Florence, Palazzo Vecchio.     Le Laboratoire de l'alchimiste (1570 ca), Florence, Palazzo Vecchio.     Couronnement de la Vierge nommée aussi Pala del Vasari, retable de 1571, 400 × 300 cm, chœur de l'église Sainte-Catherine de Livourne.     L'Incrédulité de saint Thomas (vers 1572), huile sur panneau, basilique Santa Croce de Florence     Le Jugement Dernier (1572-74), fresque, 4 000 m2, Florence, coupole de Santa Maria del Fiore.     Allégories (1545) fresques, Sacristie, Église Sainte Anne des Lombards, Naples     La Dernière Cène, Basilique Santa Croce de Florence)
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Vannes (Morbihan)
breizh.antiques.art@gmail.com 06 47 07 70 65 Dimensions: Hauteur: 14,5 cm. Poids: 209 g + 193 g. Signé en bas au dos, à déterminer: Envoi rapide et soigné.       ___________________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Le Tréport est une commune française, située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie. Les habitants sont appelés les Tréportais. Avec Eu et Mers-les-Bains, elle est l'une des trois principales villes de l'unité urbaine d'Eu qui fait entièrement partie de l'intercommunalité dénommée Communauté de communes interrégionale de Bresle maritime. Sommaire     1 Géographie     2 Toponymie     3 Histoire         3.1 Héraldique     4 Politique et administration         4.1 Tendances politiques et résultats         4.2 Liste des maires     5 Démographie     6 Économie     7 Culture locale et patrimoine         7.1 Lieux et monuments         7.2 Le Tréport à la télévision         7.3 Tableaux représentant Le Tréport et ses environs         7.4 Personnalités liées à la commune     8 Voir aussi         8.1 Articles connexes         8.2 Liens externes     9 Notes et références         9.1 Notes         9.2 Références Géographie Située dans le nord du département et au bord de la Manche, la commune du Tréport possède une plage de galets au pied des falaises de craie et un port. La commune a pour origine l'estuaire de la Bresle, petit fleuve côtier, long de 68 à 72 kilomètres (selon les sources). Station balnéaire, la commune dispose d'un casino, de restaurants et de brasseries. Avec Eu et Mers-les-Bains, elle fait partie des « trois villes sœurs ». Toponymie Mentionné au XIe siècle sous les formes latinisées Ulteris portum et Ultris portum, d'un bas latin non attesté *Ultrensis portus « le port qui est au-delà », celui-ci se situant en aval de la ville d'Eu. La forme picarde le Troiport, parfois citée au Moyen Âge, ne s'est pas maintenue1. Histoire La ville fut desservie par un tramway électrique dès 1902. L'exploitation du Tramway d'Eu-Le Tréport-Mers cessa en 1934 Article détaillé: Tramway d'Eu-Le Tréport-Mers. L'abbaye Saint-Michel du Tréport, fondée en 1053 par les Bénédictins, a disparu à la Révolution. La vocation de station balnéaire du Tréport a débuté sous le règne de Louis-Philippe, quand la famille de ce souverain, résidant régulièrement à Eu, inaugura la mode des bains de mer. La grande bourgeoisie parisienne ne tarda pas à construire des villas sur le front de mer et à y mener une vie mondaine jusqu'à la veille de la Seconde Guerre mondiale. La plupart de ces villas ont été détruites lors des opérations militaires de 1944. Le samedi 16 janvier 1943, 3 gendarmes de la brigade de Eu, sur ordre du Préfet, viennent chercher Rachel, 10 ans (née le 5 novembre 1933 à Paris, dans le 12e arrondissement), juste après la récréation de l'après-midi au cours élémentaire de l'école de la rue Susanne dans la classe de Madame Graville. Ils l'emmènent chez elle, 14 rue Alexandre-Papin et arrêteront sa mère, Victoria née Mitrani, sa grand-mère, Mme Mitrani Calo née Léon, 69 ans, invalide, et sa petite sœur Colette, 2 ans, née le 23 novembre 1940. Internées à la prison du Pollet à Dieppe puis transférées au camp de Drancy, elles seront déportées sans retour le 11 février 1943 vers Auschwitz par le convoi n° 47. Le père, Vitali Salmona, commerçant, avait été pris dans la rafle du 20 août 1941 à Paris, et déportés sans retour du camp de Drancy vers Auschwitz en juin 1942. Un établissement scolaire du Tréport porte le nom de CLG Rachel Salmona. La paix et la reconstruction ont ramené un tourisme populaire et la vie balnéaire. Une huîtrière, où l'on dégustait des huîtres à la sortie même des bassins, se situait tout au bout de la jetée juste au- dessous des falaises, après l'ancien funiculaire. Lieu pittoresque et populaire, l'huîtrière ferma ses portes dans les années soixante-dix.
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Superbe boîte 1960 Babeluttes Furinoises photographies Furnes grand place beffroi architecture flamande pêche au cheval plage procession religieuse Flandre Flandres etc. Beaucoup de charme pour ce bel objet ancien... Furnes (en néerlandais Veurne) est une ville néerlandophone de Belgique située en Région flamande dans la province de Flandre-Occidentale. Sommaire * 1 Histoire * 1.1 Des origines au XVe siècle * 1.2 Du XVe siècle à la Révolution française * 1.3 XIXe et XXe siècles * 2 Géographie * 2.1 Carte * 3 Patrimoine * 4 Politique * 5 Culture et éducation * 6 Film tourné à Furnes * 7 Événements * 8 Personnalités * 9 Bibliographie * 10 Notes et références * 11 Voir aussi * 11.1 Articles connexes * 11.2 Liens externes Histoire Des origines au XVe siècle Le premier document attestant de l'existence de Furnes est romain et nomme l'endroit Furna. Le même nom est utilisé une seconde fois en 877 pour une possession de l'abbaye Saint-Bertin à Saint-Omer. Au IXe siècle, Furnes est une bourgade fortifiée suite aux raids des Normands. Elle est vite placée à la tête d'un large territoire comptant jusqu'à 42 paroisses, jurant allégeance au comte de Flandre. Furnes reçoit une charte communale au XIIe siècle. Durant ce siècle, le commerce entre les Flandres et l'Angleterre s'intensifia et Furnes s'affilie avec d'autres villes flamandes à la Hanse flamande de Londres. L'économie de la cité déclina cependant après un arrêt des relations anglo-flamandes en 1270. Le 20 août 1297, Furnes fut le théâtre d'une bataille dans la lutte incessante entre les villes flamandes et le roi de France. Les églises principales de la ville, Sainte-Walburge et Saint-Nicolas, datent de cette époque. Du XVe siècle à la Révolution française On construisit au XVe siècle un nouvel hôtel de ville, qui est aujourd'hui connu comme le pavillon des officiers espagnols par son utilisation au XVIIe siècle comme quartiers généraux militaires. La plupart des bâtiments de la ville datent du règne prospère des archiducs Albert et Isabelle autour des années 1600. La procession des Pénitents est organisée pour la première fois en 1637 par des religieux norbertins. La seconde moitié de ce siècle sera marquée par les malheurs apportés dans la région par les guerres de Louis XIV. Vauban construisit d'épaisses fortifications autour de la ville dont on peut encore voir les traces aujourd'hui. Ces fortifications servirent à Furnes pour devenir une des places fortes de la Barrière. Lors de ses réformes, Joseph II d'Autriche ferma de nombreuses institutions religieuses, mettant un terme à la procession des Pénitents, mais Léopold II d'Autriche la permit de nouveau en 1790. Les quelques cloîtres qui étaient encore ouverts furent fermés lors de l'occupation française. XIXe et XXe siècles À partir du mois d'octobre 1914, le roi Albert Ier de Belgique, qui tient à rester sur le territoire national belge, installe son quartier général à Furnes1. Géographie La commune de Furnes comprend 11 sections : sa propre section qui est le plus gros centre urbain avec la population la plus importante, les autres sections étant des petits villages des Polders  : Avekapelle, Booitshoeke, Bulskamp, Les Moëres, Eggewaartskapelle, Houthem, Steenkerke, Vinkem, Wulveringem et Zoutenaaie. En 1971 les communes d'Avekapelle, Booitshoeke, Bulskamp, Eggewaartskapelle, Steenkerke, et de Zoutenaaie fusionnèrent avec Furnes. La même année, la commune des Moëres fut intégrée dans celle de Houtem et les villages jumeaux de Vinkem et de Wulveringem formèrent la commune de Beauvoorde. Ces quatre anciennes communes furent ensuite rattachées à Furnes en 1977. # Nom Superficie km² Population (03/05/2007) I Furnes 22,67 8.523 II Booitshoeke 3,35 96 III Avekapelle 4,58 377 IV Zoutenaaie 2,07 17 V Eggewaartskapelle 4,90 181 VI Steenkerke 11,79 427 VII Bulskamp 8,03 677 VIII Wulveringem 9,37 345 IX Vinkem 5,27
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Pictures below and english translation ??????. Photographies au -dessous. * Médaille Blason émaillé Lorient an Oriant Bretagne Breizh Hermine Galion medal. * Coat Medal enameled year Oriant Lorient Bretagne Breizh Hermine Galion medal MEDAILLE Medalla Medaglia Blason en acier émaillé. . Quelques petits manques d'émaille. Quelques rayures et oxydations minimes. Vous pouvez consulter attentivement les photos ci-dessous merci Graveur: Avers: (Photo) Revers : (Photo) Dimension:77 mm par 67 mm. Poids: 240 g. Métal: acier. Poinçon tranche:  Vous pouvez consulter notre boutique pour consulter nos nombreuses autres médailles. Reduction des frais d'envoi pour les achats groupés Photos ci-dessous. Crest enamelled steel.. Some minor losses to enamel. Some scratches and minor oxidation. You can view the pictures carefully below thank you engraver: Avers (Photo) Reverse: (Photo) Size: 77 mm by 67 mm. Weight: 240 g. Metal: steel. Slice punch: You can visit our shop to see our many other medals. Reduction of shipping for bulk purchases Photos below. Envoi rapide et soigné.        ____________________________________________________________ More photos ? Contact us Pour des photos supplémentaires contactez nous par email   breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 45 21 05 48 Abroad: 0033 645 210 548 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Lorient (en breton An Oriant) est une commune française, située dans le département du Morbihan et la région Bretagne. Cité portuaire et arsenal maritime encore actif au fond de la rade de Lorient, la ville est au cœur de l'unité urbaine de Lorient qui est la plus importante du département et la classe au troisième rang en région Bretagne. Sommaire * 1 Géographie * 1.1 Présentation et situation * 1.2 Climat * 2 Histoire * 2.1 Préhistoire et Antiquité * 2.2 Création et premiers développements de la ville * 2.3 Développements sous la Compagnie perpétuelle des Indes * 2.4 Modernisations du XIXe siècle et du début du XXe siècle * 2.5 La Seconde Guerre mondiale * 2.6 La reconstruction de la ville et son développement jusqu'à aujourd'hui * 3 Étymologie * 4 Héraldique et devise * 5 Démographie * 6 Administration * 6.1 Les maires * 6.2 Le conseil municipal * 6.3 Les cantons * 6.4 Le budget * 7 Économie * 7.1 Activité portuaire * 7.2 Activité industrielle * 7.3 Activité tertiaire * 8 Les transports à Lorient * 9 Monuments * 9.1 Monuments historiques * 9.2 Autres monuments * 10 Culture et loisirs * 10.1 Événements * 10.2 Médias * 11 Enseignement * 11.1 Enseignement primaire et secondaire * 11.2 Enseignement professionnel * 11.3 Enseignement adapté * 11.4 Enseignement supérieur * 11.5 Centres de loisirs * 12 Vie militaire * 13 Jumelages * 14 Sport * 15 Espaces verts * 16 Lorientais célèbres et personnalités * 16.1 Artistes et écrivains * 16.2 Marins * 16.3 Hommes politiques * 16.4 Sportifs * 16.5 Scientifiques * 16.6 Autres * 17 Santé * 18 Cultes * 19 Autres * 20 Notes et références * 20.1 Notes * 20.2 Références * 21 Voir aussi * 21.1 Bibliographie * 21.2 Articles connexes * 21.3 Liens externes Géographie Présentation et situation La ville de Lorient Lorient est une ville de Bretagne, chef-lieu d’arrondissement du département du Morbihan (56). Son nom est An Oriant en orthographe bretonne unifiée et En Oriant en orthographe bretonne vannetaise traditionnelle. Cette ville est située à l'embouchure du Blavet et du Scorff qui se jettent dans la rade de Lorient, puis dans l'océan Atlantique. La commune est située à 503 km au sud-ouest de Paris, à 153 km au sud-ouest de Rennes et à 158 km à l'ouest de Nantes. Lorient est créée en 1666 dans un domaine appelé « l'Enclos » et se développe en dehors de celui-ci. Kerentrech, Merville, La Perri
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12 Ans d'Olympiades Academiques de Mathematiques a l'Usage des Lyceens de Premiere. une Preparation en 9 Themes d'Etude et 130 Exercices Corriges Nicolas Fardin Auteur: Nicolas Fardin Editeur: Ellipses Marketing Broché: 336 pages paperback Publication: 18/06/2013 Collection: References sciences Dimensions: 24 x 19 x 1,9 Langue: Francais Publier en: Français Languages d'origine: Français Concours cree pendant l'annee scolaire 2000-2001, les Olympiades academiques de mathematiques sont ouvertes aux lyceens de premiere de toutes les series de l'enseignement public et prive sous contrat, sur la base du volontariat. Ces olympiades sont destinees a developper chez les eleves le gout des mathematiques et de la recherche, a stimuler leur creativite et leur esprit d'initiative. Concu comme une aide a la preparation du concours, cet ouvrage rassemble plus de 130 exercices poses lors de cette competition entre 2001 et 2012. Tous les exercices sont corriges en detail. Classes par theme, ils sont precedes d'un rappel des notions essentielles ou utiles a connaitre pour pouvoir aborder les questions avec confiance. Ce livre s'adresse naturellement aux eleves de premieres des lycees mais aussi a des eleves de seconde motives, et plus generalement, a toute personne interessee par la resolution de problemes. Il est susceptible de retenir l'attention des enseignants et des candidats au CAPES a la recherche d'enonces originaux. L'auteur, professeur agrege de mathematiques, est membre du jury des Olympiades academiques pour l'academie de Creteil.   D'autre titre de Nicolas Fardin Comprendre l'?lectronique - De l'?lectricit? jusqu'au num?rique Pr?-Requis en Chimie Th?orie & Pratique Niveau A Intifada Fran?aise ? de l'Importation du Conflit Israelo-Palestinien Les M?tiers de la Communication Les Grands Sociologues Les Soci?t?s Coloniales ? l'Age des Empires Antilles Afrique Asie 1850-1950 Capes-Agreg Histoire G?ographie 2013 Canada Etats-Unis Mexique Capes Agreg Histoire G?ographie 2013 R?ussir l'?preuve de Fran?ais aux Concours Cpge La Philosophie du Langage et de la Logigue Maths Premi?re STMG Conforme au Programme 2012 SOS LCA ? l'ECN Valid? Par un PU-PH P?diatrie 50 Dossiers Cliniques avec QCM l'ECN en Dossiers Cr?dits M?fiez-Vous ! un Peu de Maths pour Comprendre le Cr?dit et en ?viter les Pi?ges Le Mod?le Standard de la Physique des Particules de l'?lectron au Boson de Higgs Russe Cahier d'Activites pour Apprendre et Reviser. Bas?es Sur les 5 Comp?tences du CECRL Converser Lire ?crire ?couter s'?xprimer Niveau A1-A2 Histoire de France Fran?ais Langue ?trang?re Vocabulaire Niveau Interm?diaire B1-B2 170 Exercices Corrig?s Vokabeln Cahier de Vocabulaire Allemand Illustr? 170 Jeux pour Apprendre et R?viser 12 Ans d'Olympiades Acad?miques de Math?matiques ? l'Usage des Lyc?ens de Premi?re. une Pr?paration en 9 Th?mes d'?tude et 130 Exercices Corrig?s Physique des Syst?mes Complexes Le Vocabulaire de Nietzsche Imagerie Reconnaissance des Formes Th?orie et Pratique Sous Matlab Cours et Exercices Corrig?s Niveau C Alfred de Musset Lorenzaccio, Fran?ais Programme 2013 Les Mains Libres, Paul Eluard / Man Ray Les clients ayant acheté cet article ont également acheté Les olympiades de math?matiques: R?flexes et strat?gies Math?matiques de comp?tition: 112 probl?mes corrig?s pour la terminale et les classes pr?pas M?thod'S Physique Chimie Premi?re S Conforme au Programme 2011 Classement: Livres > Thèmes > Scolaire et Parascolaire > Lycée - Voie générale > Parascolaire Lycée - Voie générale > Premières L - ES - S > Mathématiques
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Vannes (Morbihan)
Pictures below and english translation 下面的照片。. Photographies au -dessous. Médaille Ville de Rouen Le port Pont transbordeur vers 1900 par Lefebvre Medal 勋章. B Medal medalla médaglia. Médaille plaque en bronze  vers 1900  . Rayures ou oxydations minimes Consultez attentivement les photos ci-dessous merci Gravée et signée par : Hippolyte Lefebvre..  Avers: Vue du port de Rouen avec en premier plan une femme de profil à l'antique au dessus du blason de la ville Quelques bateaux et vieux gréements  avec en arrière plan le pont transbordeur de Rouen. (photo) Revers :.(photo) Dimension: 50 mm par 38 mm. Poids:  52  g Métal: Bronze . Poinçon tranche:Bronze + triangle. Vous pouvez consulter notre boutique pour consulter nos nombreuses autres médailles. Reduction des frais d'envoi pour les achats groupés Photos ci-dessous. Bronze medal plate 1900. Minor scratches or oxidation Peruse the photos below thank you Engraved and signed by Hippolyte Lefebvre..   Obverse: View of the port of Rouen in the foreground with a woman in profile to the ancient coat of arms above the city Some boats and tall ships in the background with the transporter bridge in Rouen. (Photo) Reverse:. (Photo) Size: 50 mm by 38 mm. Weight: 46 g Metal:  Bronze. Slice Stamp: Bronze + triangle. You can visit our shop to see our many other medals. Reduction of shipping for bulk purchases Photos below. Envoi rapide et soigné.          ____________________________________________________________ More photos ? Contact us Pour des photos supplémentaires contactez nous par email   breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 45 21 05 48 Abroad: 0033 645 210 548 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Pont transbordeur de Rouen Aller à: Navigation, rechercher Pont transbordeur de Rouen Géographie Pays France Localité Rouen Coordonnées géographiques 49° 26′ 23″ N 01° 04′ 52″ E    Fonction Franchit la Seine Fonction Traversée pour piétons, cycles et véhicules légers Caractéristiques techniques Type Pont transbordeur Longueur 143 m Largeur 13 m Hauteur 70 m Matériau(x) acier Construction Construction 1899 modifier   Le pont transbordeur de Rouen (1899 -1940), œuvre de l’ingénieur Ferdinand Arnodin fut, jusqu'en 1940, le dernier ouvrage d'art à franchir la Seine avant son estuaire. Il permettait la traversée du fleuve au moyen d'une nacelle, à environ 700 mètres du pont Boieldieu, à hauteur de l’actuel pont Guillaume-le-Conquérant. Sommaire * 1 Histoire * 2 Description technique * 3 Bibliographie * 4 Notes et références * 5 Voir aussi * 5.1 Liens externes Histoire La municipalité rouennaise décida de sa construction le 23 septembre 1895 1, pour faciliter les communications entre les deux rives de la Seine reliées, à la fin du XIXe siècle, seulement par trois ouvrages aériens, dont un exclusivement ferroviaire. L'exécution des travaux et la concession furent confiées à Ferdinand Arnodin qui avait déjà participé à la construction de nombreux ouvrages d'art et qui commença le chantier durant l'automne 1897 2. La quai Gaston-Boulet et le pont transbordeur. Son inauguration, sans cérémonie, eut lieu le 15 septembre 1899 3, c'était le second pont transbordeur d'Europe à être mis en service après celui de Portugalete, près de Bilbao sur l'embouchure de la rivière Nervión2. Sa nacelle, peinte dans un premier temps en vert et blanc, puis en saumon, rendit d'inappréciables services aux piétons, chariots ou automobiles, surtout lors de la Première Guerre mondiale, Ferdinand Arnodin ayant, dans un geste patriotique, établi la gratuité du passage1. Quelques anecdotes restent attachées au pont transbordeur : le 5 mai 1912, l'aviateur Marcel Cavelier passa sous le pont en aéroplane4  ; un nageur, à la suite d'un pari, sauta sans encombre du tablier qui servit également aux essais des pionniers du parachutisme 5. Interrompu pour réfection générale de mai 1926 à juillet 1930 1, le service reprit jusqu'au 9 juin 1940, lorsque les soldats français firent sauter le pont pour ralentir l'avancée de l'armée allemande5. Cette destruction se fit dans la plus grande confusion ; la navigation n'ayant pas été interrompue sur le fleuve, le tablier en s'effondrant, s'écrasa sur un remorqueur, le Houdon, chargé de réfugiés, qui coula immédiatement6. Cet ouvrage garde encore aujourd’hui, pour les anciens Rouennais, une valeur de symbole. Une exposition sur ce pont a lieu en 2007 au Musée maritime de Rouen 7. Description technique La nacelle, remarquez l'abri de 1re classe à droite, de 2e classe à gauche. Autre vue du pont transbordeur. Ses dimensions généreuses, 143 mètres de long, sa hauteur de 70 mètres et son tirant d'air de 51 mètres8, offraient la possibilité aux grands voiliers de remonter jusqu'aux quais extrêmes du port maritime de Rouen. Si ce n'était pas le plus long des ponts transbordeurs de France, il offrait une hauteur au-dessus du niveau moyen du fleuve supérieure à celle de ses homologues (Brest, Rochefort-Martrou sur la Charente, Nantes et Marseille)2. L'ouvrage de Rouen était de type suspendu semi-rigide à tablier rectiligne et haubans d'ancrage à terre situés en dehors des emprises du pont, technique également employée pour les transbordeurs de Brest et de Rochefort-Martrou construits par M. Arnodin (les ponts de Nantes et de Marseille étant de type cantilever)3. Deux passerelles étaient installées de chaque côté du tablier et accessibles par des escaliers, l'une d'elles était ouverte aux piétons et permettait de bénéficier d'un panorama sur la Seine et la ville9. Le chariot porteur reposait par des galets sur deux rails soutenus par les poutres du tablier et supportait une nacelle de 130 m² pouvant recevoir une charge de 15 tonnes. Cette nacelle comportait une chaussée centrale bordée de deux abris, l'un de première classe vitré et pourvu de sièges, l'autre de seconde classe, simplement couvert3. L'installation motrice fonctionnait selon le principe du touage. Un câble, fixé aux extrémités du tablier, passait sur les poulies du chariot, descendait s'enrouler sur le tambour d'un treuil porté par un arceau surplombant la nacelle. Le treuil était actionné par deux moteurs électriques (le pont de Rouen étant le premier à utiliser l'électricité)9. Bibliographie  : source utilisée pour la rédaction de cet article * Michel Croguennec, « Les Cent ans du premier pont transbordeur de France », Bulletin des Amis des monuments rouennais 1999-2000, Rouen, 2000, p. 34-45 * Jacques Chapuis, « Les transports urbains dans l’agglomération rouennaise », Chemins de fer régionaux et urbains, no 72, 1966 (ISSN  11417447) * Jacques Sigot, La France des transbordeurs, Saint-Cyr-sur-Loire, Éditions Alan Sutton, 2005 (ISBN 2849102628) * Hervé Bertin, Petits trains et tramways haut-normands, Le Mans, Cénomane/La Vie du Rail, 1994 (ISBN 2905596481 et 2902808526) * Yvon Pailhès, Rouen : un passé toujours présent… : rues, monuments, jardins, personnages, Luneray, Bertout, 1994, 285 p. (ISBN 2-86743-219-7) (OCLC 466680895), p. 228-229
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France (Toutes les villes)
Livres Histoire de France Livres Code EAN: 9782035908186 Contributeur: Éditeur: Larousse Disponibilité: Disponible Titre: Traces De L'enfer Ressum: 1 Livres Origine: Decitre Propriétaire: Decitre Livres / Format: Broché Livres / Période: Livre édité depuis 1980 Lieu de parution: Paris, France ClassificationDecitre 1: Histoire de France ClassificationDecitre 2: Seconde Guerre Mondiale ClassificationDecitre 3: Déportation
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