Trente etudes timbales
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Paris (Paris)
Pierre Cochereau – 3 Noëls à Notre-Dame De Paris - Improvisés En Concert 1968 1970 1972 Label: Disques Du Solstice – SOL 38 Format: Vinyl, LP, Album Country: France Sortie: 1972 Genre: Classical Style: Tracklist A1Variations Sur "Venez, Divin Messie"A2Variations Sur "Adeste Fideles"B1Variations Sur Un Noël De XVIIe S. Pierre Eugène Charles Cochereau, né à Saint-Mandé (Val de Marne) le 9 juillet 1924 et mort le 6 mars 1984 à Lyon, est un organiste, un improvisateur, un pédagogue et compositeur français. Pierre Cochereau choisit la musique après ses études secondaires et une année de droit. Après avoir commencé l'orgue avec Marie-Louise Girod, et travaillé ensuite avec André Fleury, il entre au Conservatoire national de musique de Paris où il reçoit l'enseignement de Marcel Dupré, Maurice Duruflé et Noël Gallon. Il y obtient les premiers prix d'orgue, d'harmonie, d'écriture et d'histoire de la musique. Marcel Dupré avait très tôt reconnu son talent, et dira de lui, plus tard, qu'il était un phénomène sans équivalent. Dès 1942, il est titulaire de l'orgue de Saint-Roch et devient en 1955 titulaire des grandes orgues de la Cathédrale Notre-Dame de Paris, sans concours. Il avait en réalité déjà joué cet instrument, au cours d'une messe, improvisant un offertoire, sous les yeux de Léonce de Saint-Martin, alors titulaire. Il fera de cette tribune parmi les plus célèbres, un lieu d'accueil pour les organistes du monde entier auxquels il cédera ses claviers tous les dimanches après-midi pour des auditions d'une heure au cours desquelles tous les styles d'œuvres pour orgue auront droit de cité. Ces concerts remarquablement présentés par Jehan Revert, maître de chapelle de Notre-Dame, seront à sa demande systématiquement enregistrés, ce qui fait de ces archives un témoignage inestimable du « jeu » organistique aux xxe et xxie siècles. Il faisait preuve pour le répertoire propre à cet instrument d'un remarquable éclectisme, admettant lors de ces auditions les œuvres les plus modernes à son époque d'Arvo Pärt à Iannis Xenakis, en passant par des compositeurs sous-estimés tels Georges Delerue qui lui écrivit (et pour Roger Delmotte) une Sonate pour trompette et orgue. Au long des trente années qu'aura duré son titulariat, Pierre Cochereau aura eu à cœur d'entretenir puis de relever « son » orgue, chef-d’œuvre (1868) du facteur Aristide Cavaillé-Coll. À cette fin, il fera d'abord appel à Jean Hermann puis, à la mort de celui-ci, à Robert Boisseau et Jean-Loup Boisseau. Sous son égide, puis celle de ses successeurs, ceux-ci (auxquels il convient d'associer Bertrand Cattiaux) feront de cet instrument d'exception ce qu'il est aujourd'hui. Mais comme il fallait s'y attendre, les avis seront très partagés quant aux adjonctions qu'il « subit » dans les années 1960-1970 (impliquant entre autres son électrification et sa réharmonisation et le dépavillonnage des fonds, donc la transformation profonde d'un chef-d’œuvre de Cavaillé-Coll) et aux travaux ultérieurs, qui par certains aspects reviendront d'ailleurs en arrière. Contrairement à la plupart de ses collègues de l'époque, Pierre Cochereau était, avec les Souberbielle, Jean-Albert Villard et quelques autres organistes un peu plus jeunes, tels Michel Chapuis, Francis Chapelet ou encore Xavier Darasse pour ne citer que les plus emblématiques, très compétent en matière de facture d'orgue, qu'elle soit orientée vers un retour à la « tradition » ou empreinte de modernité, et le travail manuel ne lui était pas étranger, pas plus que ne lui étaient étrangères les compétences en matière d'administration. Il est aussi directeur du Conservatoire du Mans de 1949 à 1956, de celui de Nice de 1961 à 1979 et est enfin chargé de créer ex nihilo à Lyon, à côté du CNR, le second Conservatoire national supérieur de musique en France, dont il restera le directeur jusqu'à sa mort en 1984. En plus d'être un grand organiste aux interprétations
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Chaumont Porcien (Ardennes)
Disque 33 tours LP - 30 cm RCA Ecoute s'il pleut PL 37308 1979 Pochette cartonnée, petites salissures, très bon état Pochette intérieure cartonnée faisant office de livret, avec textes - fendue partiellement au bas Petites salissures et poussières sur le disque, en très bon état Pas de dégradation apparente Charlélie COUTURE Le pêcheur D'après Wikipedia, Charlélie Couture (souvent typographié CharlÉlie Couture) , né Bertrand Charles Élie Couture le 26 février 1956 à Nancy (Meurthe-et-Moselle), est un chanteur, compositeur, peintre, écrivain, graphiste et photographe franco-américain. Son pseudonyme est l'association des prénoms de ses deux grands-pères. Il explore de multiples disciplines artistiques, et se revendique du multisme, terme créé par Mario Salis qu’il définit ainsi : « Le multisme c'est le fait d'évoquer l'idée qu'il y a une différence entre le fond et la forme, entre le comment et le pourquoi. On associe souvent l'art à une manière, alors que moi je crois que l'art dépend beaucoup de l'intention. Et quand on a une intention, on trouve la manière de faire. ». CharlÉlie Couture est le fils de Jean-Pierre Couture, un professeur des Beaux-arts reconverti en antiquaire et décorateur. Sa mère Odette Michel (1928-2015) enseigne le français aux États-Unis, à Jacksonville (Alabama), puis à Kenosha (Wisconsin), avant de rejoindre la boutique d'antiquités familiale. Outre son frère Tom Novembre — né Jean Thomas Couture — il a également une sœur, Sophie. Sa grand-mère professeur de piano l'initie dès l'âge de 6 ans à cet instrument à raison de trente minutes par jour, et lui fait découvrir la musique classique. CharlÉlie Couture poursuit une démarche vers ce qu'il définit comme « l'Art total », attitude globale consistant à trouver des interconnexions entre les formes d'expressions de l'homme que sont l'écriture, l'image et la musique. « J'ai commencé quand j'avais 15 ans. En France, j'ai fait quatre-vingts expos. À 12 ans, dans une exposition de peintres dadaïstes que je visitais avec mon père à Nancy, j'ai eu comme le sentiment ébloui que c'était ça qu'il fallait que je fasse. »7 En 1978, pour sa thèse de fin d'études, il choisit le thème de « la polymorphie de l’esprit » qu'il explore encore aujourd’hui. À cette occasion, il présente des photos, des textes et des peintures et il autoproduit deux premiers disques, 12 chansons dans la sciure et Le Pêcheur, qui attirent l'attention des professionnels. Diplômé de l’École Nationale Supérieure des Beaux Arts, CharlÉlie s'inscrit dans le courant multiste des artistes pluridisciplinaires dont il est une des références notoires... Le pêcheur 1. Tous les élèves 2. Toi tu prends un bain 3. Le pêcheur peut se mettre en colère 4. Le blues du divorce, de la rupture, de la séparation 5. Oh ! Mon ami 6. Mêmes mots, mêmes histoires 7. Elle s'endort 8. Te moque pas de moi 9. C'est libéral 10. Parce que je m'ennuie 11. Le tout en même temps Paroles et musique : CharlÉlie Couture Chant, guitares, harmonica, piano : CharlÉlie Couture Basse et contrebasse : Guy Schneider Batterie : Gérard Pinson Guitares : Jean-Marie Viguier Claviers : Jerry Lipkins Saxophone : Jean-Pierre Douche Cuivres : Bernard Dellanave, Jean-Louis Bruto, Antoine Marquis Chœurs : Pierre Eliane, Gérard Pinson, Jocelyne Production : Daniel Colling Remerciements particuliers à Albert Marcoeur Enregistré du 11 au 26 juillet 1979 au studio SRC à Nancy, mixé au studio de Chevrens à Genève Envoi en lettre moins de 500 g (disque emballé et mis sous enveloppe). Colissimo sur demande. Envoi en lettre prioritaire internationale vers le monde entier. Envois soignés et rapides (voir évaluations). De nombreux autres disques et articles sont en vente dans le même temps chez le même vendeur. Demandez à grouper vos achats. Ne payez pas immédiatement, demandez un total en port groupé à la fin de votr
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