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France (Toutes les villes)
Livres Ethnologie Livres Code EAN: 9782130634805 Propriétaire: Decitre ClassificationDecitre 1: Ethnologie Titre: Anthropologie De La Ville Disponibilité: Disponible ClassificationDecitre 2: Ethnologie/Anthropologie Lieu de parution: Paris, France ClassificationDecitre 3: Ethnologie/Anthropologie Livres / Format: Broché Livres Origine: Decitre Ressum: 2 Livres / Période: Livre édité depuis 1980
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ULF HANNERZ EXPLORER LA VILLE ELEMENTS D' ANTHROPOLOGIE URBAINE EDITIONS DE MINUIT 1983 SUR QUELEQUES PAGES DES ANNOTATIONS AU STYLO NOIR ET DES PHRASES SOULIGNEES / UN CHOC EN HAUT DE LA TRANCHE LIVRE EN BON ETAT ENVOI PAR MONDIAL RELAY PROPOSE
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breizh.antiques.art@gmail.com 06 47 07 70 65 A Dimensions:13 cm par 6 cm Plaque stéréoscopique. _______________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Jardin d'acclimatation (Paris) Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (février 2010). Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références  » (modifier l'article, comment ajouter mes sources ?). Cet article concerne le jardin botanique colonial. Pour le roman de Yves Navarre, voir Le Jardin d'acclimatation. Jardin d’acclimatation Le jardin coréen du jardin d'acclimatation. Géographie Pays France Commune Paris Quartier 16e arrondissement Superficie 19 ha Caractéristiques Création 1860 Type Jardin scientifique puis d'agrément Gestion Lien Internet http://www.jardindacclimatation.fr/ Localisation Coordonnées 48° 52′ 39″ Nord 2° 15′ 47″ Est Géolocalisation sur la carte : Paris modifier   Le jardin d’acclimatation de Paris est un parc de loisirs et d'agrément. S'étendant sur 19 hectares, il est situé entre la porte de Neuilly et la porte des Sablons à la lisière du bois de Boulogne, longeant le boulevard Maurice-Barrès (Neuilly-sur-Seine). Sommaire * 1 Histoire * 1.1 Création * 1.2 Entre le jardin scientifique et le parc de loisirs * 1.2.1 Le jardin zoologique * 1.2.2 Le jardin ethnologique * 1.3 La reconversion * 2 Gestion * 3 Accès * 4 Film tourné au Jardin d'acclimatation * 5 Notes et références * 6 Annexes * 6.1 Documentation * 6.2 Article connexe * 6.3 Liens externes Histoire Création La transformation du Bois de Boulogne en 1852 a engendré la création d'un jardin d'acclimatation à l'entrée du Bois à l'initiative de la Société impériale zoologique d'acclimatation 1, fondée le 10 février 1854 par le zoologiste Isidore Geoffroy Saint-Hilaire. Cette société savante avait pour but de contribuer à l'introduction et à l'acclimatation d'espèces animales exotiques à des fins agricoles, commerciales ou de loisir. Le 26 mars 1858, cette société obtient de la ville de Paris la concession d'un espace de quinze hectares à la bordure nord du bois de Boulogne pour y installer un « jardin d'agrément et d'exposition d'animaux utiles de tous pays ». Cette zone était en cours d'aménagement depuis 1855. La société confie en juillet 1859 à l'architecte Gabriel Davioud et au paysagiste Jean-Pierre Barillet-Deschamps la poursuite des travaux. Dans le même temps, le 25 août 1859, elle obtient de Napoléon III la concession de quatre hectares supplémentaires 2. Le jardin est inauguré par Napoléon III le 6 octobre 1860 après quinze mois de travaux. Dès son ouverture le 9 octobre, l'exotisme est bien présent : on trouve des ours, une girafe, des chameaux, des kangourous, des bananiers et des bambous 3. En octobre 1861, un aquarium y est ouvert4. En 1866, le jardin compte plus de 110 000 animaux. En 1867 y sont exposés les 12 Bœufs Gras du Carnaval de Paris, dont 6 défileront dans le grand cortège de la promenade du Bœuf Gras 5. * le Jardin d'Acclimatation en 1860, gravure d'A.Provost. * L'aquarium (1863). * Plan général du Jardin d'Acclimatation en 1868. Entre le jardin scientifique et le parc de loisirs Bien qu'il s'en soit peu à peu éloigné, le jardin d'acclimatation a longtemps gardé une dimension de loisir scientifique et d'éducation des familles. Dès 1900, on voit s'y tenir des conférences (sur l’hygiène, les voyages, la médecine, l’acclimatation, avec photos projetées sur écran), concerts, épreuves sportives, cinéma en plein air, cirque, en même temps que s'y installent des manèges pour enfants. Le jardin zoologique Le jardin ferme ses portes au public pendant la guerre de 1870. Le Bois, interdit au public, est utilisé pour installer des troupeaux qui serviront à nourrir la population en prévision d'un siège. Du 4 au 9 septembre, certains animaux sont évacués vers des parcs zoologiques à l'étranger mais très vite les moyens de transport sont paralysés et Paris est assiégée. L'hiver est particulièrement rude et le rationnement ne suffit plus : les derniers animaux pensionnaires du jardin, y compris les éléphants Castor et Pollux, sont abattus pour nourrir les Parisiens. À la fin du siège, il ne reste plus un seul animal6. Le jardin fût complètement restauré en 1872. Grâce aux donations, parmi lesquels deux éléphants dons du roi d'Italie, la faune se reconstitue par la suite. Jusqu'en 1877, les termes de la concession sont globalement respectés : les animaux sont surtout des animaux « utiles ». Les bêtes curieuses, comme les girafes et les éléphants sont néanmoins présentes dès les origines. Tous les animaux disparaîtront dans les années 1950. Le jardin ethnologique Les Indiens Kalinas de Guyane, « exposés » en 1892. L'exposition d'êtres humains présentés comme des « sauvages » est un fait avéré de longue date sur ce site. En 1877, Carl Hagenbeck propose à la vue des Parisiens une petite troupe de Nubiens. Pendant un quart de siècle, ce sont vingt-deux expositions d'êtres humains qui sont organisées7. Il s'agit majoritairement d'Africains, même si l'on trouve aussi des Indiens, des Lapons ou des Cosaques. Les troupes présentées le sont parfois en même temps que des animaux issus de la même région. Ces « exhibitions de sauvages » alimentèrent dès le XIXe siècle de vifs débats car les hommes étaient confinés derrière les grilles de la grande pelouse, comme les animaux dans leurs cages voisines8. Le jardin devient pendant cette période un des hauts lieux de l'anthropologie à Paris. Pendant le quart de siècle qui suit, le rythme de ces exhibitions ralentit : on n'en compte qu'une dizaine entre 1903 et 1931, date de la dernière exposition humaine. Elles prennent en revanche un tour plus nettement colonial, les tribus exposées étant sélectionnées dans diverses contrées de l'empire colonial français  : Sénégal, Afrique du Nord, Nouvelle-Calédonie, etc9. La reconversion En 1929, le territoire du Jardin, propriété privée de la ville de Paris, est transféré de la commune de Neuilly-sur-Seine au 16e arrondissement de Paris. Sous la pression des riverains, la vocation du jardin change profondément dans les années 1950. En 1952, le jardin devient principalement un « parc de promenades, de loisirs de plein air dont les attractions doivent avoir un caractère instructif, sportif et familial. » Un castelet de Guignol est ouvert, les fauves disparaissent et la fête foraine est réduite. Dans les années 1960, le jardin est réaménagé et le musée national des arts et traditions populaires est implanté en 1969 dans un nouveau bâtiment de type moderne spécialement construit sur son terrain, avant de fermer en 2005. La petite ferme est ouverte en 1971, le théâtre en 1973, le musée en Herbe en 1975. Le chapiteau de Silvia Monfort s'y installe pour deux ans en 1978. * Un magnolia à l'entrée de la « rivière enchantée ». * Musée en Herbe. * Un lophophore resplendissant. * Une île de la rivière enchantée * Montagnes russes Tacot Express La fin du XXe siècle et les années 2000 voient néanmoins de nouveaux changements. Le jardin s'orientalise en acquérant une maison de thé, un pont laqué de noir, puis un jardin coréen qui symbolise l'amitié entre Paris et Séoul. En 1999, l'Exploradôme est fondé par Goéry Delacôte 10. Mais les dernières activités scientifiques disparaissent avec la disparition du musée en herbe, dont les subventions sont supprimées en 2009-201011. Le bowling du jardin d'acclimatation est rasé pour accueillir en 2014 le bâtiment de la Fondation Louis-Vuitton, dessiné par l'architecte Frank Gehry. En parallèle, les édifices datant du Second Empire sont rénovés (ainsi que des belvédères et allées construites, comme à l'origine du jardin), des ateliers pour les enfants créés, le Wi-Fi gratuit installé et une boucle de 3,5 km pour les joggeurs dessinée12. Hippolyte Romain, directeur artistique du Jardin d’acclimatation et spécialiste de la Chine, y a aménagé et décoré une maison du Thé13. Gestion Logotype du jardin d'acclimatation. Dès les origines, le jardin a connu un système de concessions renouvelées à intervalle à peu près régulier. Lors de son ouverture, le conseil d'administration du jardin était tenu par la Société impériale zoologique d'acclimatation : Geoffroy Saint-Hilaire en était le président sous le patronage du prince impérial. Le fils du savant était directeur adjoint et assurait l'administration effective. La société conserva sa concession qui fut régulièrement renouvelée jusqu'en 1952. À cette date, la SARL Maillot Maurice-Barrès qui fait partie du groupe Boussac, obtient de la Ville de Paris la concession du Jardin d'Acclimatation jusqu'alors dévolue à la Société du Jardin Zoologique d’Acclimatation. Cette concession est accordée en contrepartie d’une redevance et d’un engagement d’investissement de cinquante millions de francs. Selon les termes du contrat le Jardin d'acclimatation doit devenir principalement « un parc de promenades, de loisirs de plein air dont les attractions doivent avoir un caractère instructif, sportif et familial ». Boussac obtient le renouvellement de la concession qu'il conserve jusqu'à sa disparition. Après le rachat de cette société par le groupe LVMH de Bernard Arnault en 1984, c'est ce dernier qui hérite de la concession. LVMH obtient la concession pour une durée de 20 ans le 6 décembre 1995, moyennant une redevance forfaitaire de 10 000 francs par mois, et réalise un plan d’aménagement renouant avec les principes fondateurs des jardins paysagers du XIXe siècle14. Bernard Arnault, patron du groupe de luxe obtient en 2006, dans des conditions contestées15, l'autorisation de construire un bâtiment pour abriter sa fondation pour l'art contemporain (Fondation d'entreprise Louis Vuitton, réplique à celle de son concurrent François Pinault, installée à Venise). Le bâtiment de plus de quarante mètres de haut, conçu par l'architecte Frank Gehry, devrait être inauguré en 2014. L'annulation du permis de construire par le tribunal administratif qui a été obtenue par une association de défense des espaces verts aurait dû retarder cette échéance16 mais, en juin 2012, la cour administrative d’appel de Paris a validé le permis de construire accordé par la Ville de Paris, un permis de construire délivré sur un site classé et a priori inconstructible après modification du plan local d’urbanisme 17. La direction du parc, après avoir décidé la fermeture du Bowling, du manège des papillons, de deux restaurants et des bateaux téléguidés et fait en partie détruire l'allée Alphand, a publié un communiqué dans lequel elle dément « toute intention de fermer ni les manèges ni le parc dans son ensemble. » * Un ours brun. * Un magnolia à l'entrée de la « rivière enchantée ». * Horloge florale. * Terrasse d'une buvette. Accès Le jardin est desservi par la ligne à la station Les Sablons. Jusqu'à la mise en service du prolongement de la ligne, il était desservi par la station Porte Maillot qui était le terminus de la ligne, d'où le petit train acheminait les visiteurs à l'entrée du jardin. Film tourné au Jardin d'acclimatation * La nuit sera longue, moyen métrage de et avec Olivier Torres (2003), qui conte la journée d'un père divorcé et de son fils au parc en plein hiver. Notes et références * ↑ Actuellement Société nationale de protection de la nature (SNPN). * ↑ Jean-Michel Bergougniou, Rémi Clignet et Philippe David, Villages noirs et autres visiteurs africains et malgaches en France et en Europe : 1870-1940, Paris, Karthala, 2001, p. 52. * ↑ Ngimbi Kalumvueziko, Le pygmée congolais exposé dans un zoo américain, Editions L'Harmattan,‎ 2011, p. 29. * ↑ Site du jardin d'acclimatation.  ]. * ↑ Illustration du  ] Petit Journal, 26 février 1867, p. 2, 1re et 2e colonnes. * ↑ Henri Corbel, Petite histoire du Bois de Boulogne, Albin Michel, 1931, p. 157-169 * ↑ Bergougniou, Clignet et David, op. cit., p. 54. * ↑ Bergougniou, Clignet et David, op. cit., p. 61. * ↑ Bergougniou, Clignet et David, op. cit., tableau synoptique des expositions p. 69. * ↑ (en) « Speech by HE Bernard Emié, French Ambassador to the United Kingdom at the ceremony to award the insignia of Officier in the Ordre national de la Légion d'Honneur to Goéry Delacôte, Chief Executive of the "At-Bristol" science centre »  ], Ambassador's Activities, French Embassy in the UK (consulté le 8 juin 2012). * ↑ « Ce qui est certain, c’est que le musée a été sommé de déménager dans Paris intra muros il y a plus de trois ans par la mairie, au motif que son public n’était pas assez parisien. Or, affirme Sylvie Girardet, celle-ci ne les a jamais aidés à trouver un nouveau lieu et trouve à redire sur les locaux qu’ils occupent depuis l’année dernière dans le 1er arrondissement. Pire, c’est au moment où le musée s’évertue à répondre "aux demandes de la ville" et à s’adapter à son nouvel environnement tout en poursuivant des activités au jardin d’acclimatation qu’elle reçoit l’estocade. » in « Musée en herbe : 75 000 gamins passent à la trappe »  ], L'Humanité du 20 juillet 2009. * ↑ Caroline Sallé, « Comment la Fondation Louis-Vuitton reconfigure le Jardin d'acclimatation », in Le Figaro, mercredi 28 novembre 2012, p. 13. * ↑  ] * ↑ « Audit du Jardin d'acclimatation », Rapport de l'Inspection Générale de la Mairie de Paris, no 12-11,‎ octobre 2013, p. 3 (lire en ligne  ]) * ↑ Un soupçon de conflit d'intérêt pèse sur cette autorisation dans la mesure où l'adjoint à la culture de la ville de Paris et le président de la société d'exploitation du jardin sont tous deux des employés de LVMH. * ↑ « La Fondation LVMH arrêtée en pleins travaux »  ] dans Le Parisien du 22 janvier 2011. * ↑ « Le jardin d'acclimatation menacé »  ] sur le site historia.fr consulté le 18 novembre 2012. Annexes Documentation * Pierre-Henri-Louis-Dominique Vavasseur Guide du promeneur au Jardin zoologique d'acclimatation, éditeur : au Jardin zoologique d'acclimatation, Paris 1865, In-16, 194 p., carte en couleurs. Article connexe Sur les autres projets Wikimedia : * Jardin d’Acclimatation, sur Wikimedia Commons * Ligne du jardin d’acclimatation Liens externes * Site officiel   v  · m Principaux espaces verts de Paris Bois Boulogne · Vincennes Parcs André-Citroën · Bagatelle · Belleville · Bercy · Butte du Chapeau-Rouge · Buttes-Chaumont · Champ-de-Mars · Choisy · Clichy-Batignolles · Floral · Georges-Brassens · Kellermann · Monceau · Montsouris · Passy · Sainte-Périne · Suzanne-Lenglen · Villette Jardins et squares Acclimatation · Alexandre-et-René-Parodi · Alexandre-Soljenitsyne · Algérie · Arènes de Lutèce · Atlantique · Avenue Foch · Batignolles · Belleville - Julien-Lacroix · Brancion · Carlo-Sarrabezolles · Champs-Élysées · Charles-Péguy · Claude-Bernard · Clos Feuquières · Docteur Calmette · Emmanuel-Fleury · Éole · Épinettes · Gare-de-Charonne · Grands explorateurs · Intendant · Jean-XXIII · Léon-Frapié · Léon-Serpollet · Louis XIII · Louise-Michel · Lucien-Fontanarosa · Luxembourg · Moulin-de-la-Pointe · Naturel · Nelson-Mandela (ex. 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Parente et Mort chez les Wolof Traditions et modernite au Senegal Lamine Ndiaye Auteur: Lamine Ndiaye Editeur: Editions L'Harmattan Broché: 342 pages Format: Broche Createur: Patrick Baudry Edition: HARMATTAN Publication: 01/05/2009 Réédition: 01/05/2009 Collection: Nouvelles etudes anthropologiques Dimensions: 24 x 15 x 2 Langue: Francais Publier en: Français Languages d'origine: Français Genre: Ethnologie Les Wolof constituent le groupe ethnique majoritaire au Senegal dont la filiation est de type bilineaire. De la sorte, le matrilignage (" meen ", en langue wolof) et le patrilignage (geno) definissent la parente, dans son sens large, en entretenant le principe selon lequel chacune des lignees dispose, symboliquement, d'un ensemble de prerogatives non substituables. A ce propos, la mort etant fondatrice de la vie, pour se donner les moyens de s'immortaliser et de mieux rendre la vie perdurable, les Wolof mettent en oeuvre un ensemble de pratiques, de croyances et de modeles explicatifs senses qui placent l'issue fatale non pas en dehors de la realite sociale et donc hors de la vie, mais dans la vie. Ce faisant, il est facile de comprendre pourquoi chez les Wolof du Senegal, la mort est un pas. Ce pas mene non pas vers un inconnu, mais vers un ailleurs symboliquement connu. De ce fait, le cimetiere, espace de la symbologie par excellence, devient, par la force des choses, le lieu allegorique de cristallisation de la parente renaissante. C'est ce que nous apprend la necropole situee au coeur de la ville sainte de Touba. Biographie de l'auteur Lamine Ndiaye est Docteur en Sociologie et Anthropologie et chef du departement de Sociologie de la Faculte des Lettres et Sciences Humaines de l'Universite Cheikh Anta Diop de Dakar (U.C.A.D.) Les Wolof constituent le groupe ethnique majoritaire au Senegal dont la filiation est de type bilineaire. De la sorte, le matrilignage (" meen ", en langue wolof) et le patrilignage (geno) definissent la parente, dans son sens large, en entretenant le principe selon lequel chacune des lignees dispose, symboliquement, d'un ensemble de prerogatives non substituables. A ce propos, la mort etant fondatrice de la vie, pour se donner les moyens de s'immortaliser et de mieux rendre la vie perdurable, les Wolof mettent en oeuvre un ensemble de pratiques, de croyances et de modeles explicatifs senses qui placent l'issue fatale non pas en dehors de la realite sociale et donc hors de la vie, mais dans la vie. Ce faisant, il est facile de comprendre pourquoi chez les Wolof du Senegal, la mort est un pas. Ce pas mene non pas vers un inconnu, mais vers un ailleurs symboliquement connu. De ce fait, le cimetiere, espace de la symbologie par excellence, devient, par la force des choses, le lieu allegorique de cristallisation de la parente renaissante. C'est ce que nous apprend la necropole situee au coeur de la ville sainte de Touba. Lamine Ndiaye est Docteur en Sociologie et Anthropologie et chef du departement de Sociologie de la Faculte des Lettres et Sciences Humaines de l'Universite Cheikh Anta Diop de Dakar (U.C.A.D.)   Classement: Livres > Thèmes > Etudes supérieures > Université > Archéologie - Éthnologie - Préhistoire Mot Clef: Ethnologie Ethnologie anthropologie
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CRITIQUE DE LA RAISON PRATIQUE PAR EMMANUEL KANT PUF QUADRIGE 1989 CRITIQUE DE LA RAISON PRATIQUE PAR EMMANUEL KANT AUX PRESSES UNIVERSITAIRES DE FRANCE DANS LA COLLECTION QUADRIGE (N°42), PARIS 1989. DESCRIPTION: Cependant la liberté est aussi la seule de toutes les idées de la raison spéculative dont nous connaissons (wissen) a priori la possibilité, sans toutefois la percevoir (einzusehen), parce qu’elle est la condition de la loi morale, que nous connaissons. Les idées de Dieu et I'immortalité ne sont pas des conditions de la loi morale, mais seulement des conditions de l’objet nécessaire d’une volonté déterminée par cette loi, c’est-à-dire dé l’usage simplement pratique de notre raison pure. Aussi pouvons-nous affirmer que nous ne connaissons ni ne percevons, je ne dirai pas simplement la réalité, mais même la possibilité de ces idées. Toutefois elles sont les conditions de l’application de la volonté moralement déterminée à l’objet qui lui est donné a priori (le souverain bien). On peut donc et on doit en admettre la possibilité au point de vue pratique, quoiqu’on ne puisse théoriquement ni la connaître, ni la percevoir. Il suffit pour justifier cette conclusion, au point de vue pratique, que ces idées ne contiennent aucune impossibilité interne (contradiction). Emmanuel Kant TABLE DES MATIÈRES: Introduction à la lecture de la Critique de la raison pratique, par Ferdinand Alquié Préface Introduction: De l’idée d’une critique de la raison pratique Première partie Doctrine élémentaire de la raison pure pratique Livre premier – L’analytique de la raison pratique 1 – Des principes de la raison pure pratique 2 – Du concept d’un objet de la raison pure pratique 3 – Des mobiles de la raison pure pratique. Examen critique de l’analytique de la raison pure pratique Livre deuxième – Dialectique de la raison pure pratique 1 – D’une dialectique de la raison pure pratique en général 2 – De la dialectique de la raison pure dans la détermination du concept du souverain bien Deuxième partie Méthodologie de la raison pure pratique Conclusion Notes philosophiques du traducteur AUTEUR: Emmanuel Kant naît en 1724 à Königsberg en Prusse orientale (actuellement Kaliningrad en Russie) dans un milieu modeste et particulièrement pieux. Il fréquente tout d’abord un collège dirigé par un pasteur piétiste puis entame des études universitaires. Il étudie la physique, les sciences naturelles, les mathématiques et la philosophie. En 1747, la mort de son père l’oblige à interrompre ses études pour s’engager comme précepteur. Dès 1755, il commence à enseigner à l’université de Königsberg, tout d’abord en tant que « Privatdozent » (enseignant payé par ses élèves), puis, à partir de 1770, en tant que professeur titulaire. Kant fut le premier grand philosophe à donner un enseignement universitaire régulier. Ses cours, tout comme ses publications à cette période, sont très diversifiés: mathématiques, logique, géographie, théologie, pédagogie, droit, anthropologie, métaphysique... On a peu de renseignements précis sur la vie de Kant, sinon qu’il la consacra tout entière à l’étude et à l'enseignement: « Je suis par goût un chercheur », écrit-il, « je ressens toute la soif de connaître et l’avide inquiétude de progresser. » En 1781 paraît la première édition de la Critique de la raison pure. Cet ouvrage, fruit de onze années de travail, ne rencontre pas le succès espéré par son auteur. Une seconde édition verra le jour en 1787. En 1788 est publiée la Critique de la raison pratique et, en 1790, la Critique de la faculté de juger. Toutes ses autres œuvres majeures (Fondements de la métaphysique des mœurs et Vers la paix perpétuelle entre autres) sont écrites à cette période. Sa légendaire sédentarité (il ne quitta presque jamais sa ville) ne l’empêcha toutefois pas d’être attentif aux mouvements du monde, comme en témoignent ses nombreuses publications qui traitent de sujets variés et contemporains de son époque. Il recevait également très souvent de nombreux amis à dîner. Professeur devenu célèbre, même s’il ne fut pas toujours compris de ses contemporains, il meurt en 1804 à Königsberg. NOTICE: Titre: Critique de la raison pratique Auteur: Emmanuel Kant Edition: P.U.F., Paris 1989 Collection: Quadrige (N°42) Nombre de pages: 192 p. Format: Broché, 12,5 x 19 x 2 cm Etat: Cet ouvrage est en bon état, il faut juste noter que sa couverture et que son dos sont ensolés (visibles sur les numérisations). L'envoi sera rapide, soigné et emballé dans du papier-bulle. Ce livre est en achat immédiat, il n'y a donc pas d'enchère dessus et son prix est fixe. Pour l'étranger, merci de me contacter pour connaître le montant des frais de port.  _gsrx_vers_841 (GS 7.0.16 (841))
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