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Militaire argentee ecole superieure


Liste des meilleures ventes militaire argentee ecole superieure

Oucques (Loir et Cher)
COUPELLE de l'ESAA Ecole Supérieure d'Administration de l'Armement (        -2010) En métal argenté - Dans sa boîte de luxe d'origine - Fabrication française de la société Pichard-Balme; fabricant bijoutier depuis 1844 à Saumur (inscription au dos) - Certificat d'authenticité garantissant le respect des normes française du métal argenté - Poinçon au dos - L'École supérieure d'administration de l'Armement (ESAA) était une école d'officiers de la direction générale de l'Armement. L'ESAA était implantée dans les locaux de « DGA Formation » (ex-centre d'enseignement et de formation d'Île-de-France de la DGA, CEFIF) à Villebon-sur-Yvette (Essonne1). Elle formait les officiers du corps technique et administratif de l'Armement (OCTAA), ainsi que les volontaires de haut niveau (VHN). L'ESAA a remis son fanion au directeur des ressources humaines de la DGA le 16 septembre 2010, événement qui marque la fermeture de cette école, alors que le corps des OCTAA est placé en extinction.  Diamètre: 11 cms Hauteur: 2,7 cms Poids: 170 g Envoi soigné sous petit carton Recalcul des frais de port pour l' étranger
17 €
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Caen (Calvados)
Képi d' Ecole Militaire- Bon état- Turban rouge et bandeau gris bleu avec grenade tissée argentée boutons de côté lisses. L'intérieur est sans marquage de fabricant et sans indication de tour de taille. Il est doublé de tissu gris bleu façon satin avec plastique de propreté dans le fond. Référence: CP. Les frais d'expédition et d'emballage en colissimo France.
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France
Le faconnage des elites de la Republique Culture generale et haute fonction publique Christiane Oger Auteur: Christiane Oger Editeur: Les Presses de Sciences Po Broché: 306 pages Format: Broche paperback Publication: 02/10/2008 Réédition: 02/10/2008 Collection: Fait politique Dimensions: 21,01 x 15,8 x 1,4 Langue: Francais Publier en: Français Languages d'origine: Français Quels sont les traits communs au langage des enarques? Quelles sont les caracteristiques du style militaire? A quels modeles se refere le discours des magistrats? L'analyse des " manieres de dire", signe de reconnaissance des elites, fait l'objet de ce livre. A ce titre, les plus prestigieux concours de selection de la fonction publique (Ecole nationale d'administration, Ecole de la magistrature, Ecole superieure de guerre de l'armee de terre rebaptisee Cours superieur d'etat-major), et plus particulierement les epreuves ecrites et orales de culture generale, sont un lieu d'observation privilegie de ces modeles discursifs. Etroitement liees aux procedures de prise de decision professionnelle, les conceptions de la culture, de l'argumentation et de l'expression, qui apparaissent dans le discours des jurys de concours, les meilleures copies et les sujets des epreuves, dessinent en definitive des modeles differents de l'action au service de l'Etat administrative, judiciaire et militaire. Au-dela, l'ouvrage de Claire Oger pose deux questions fondamentales celle d'une meritocratie republicaine davantage fondee sur un faconnage social anterieur que des savoirs acquis; et celle de la possibilite de reformer ces grandes ecoles si fortement ancrees dans les projets de leurs fondateurs. Biographie de l'auteur Claire Oger est maitre de conferences en sciences de l'information et de la communication, membre du LabSic (Laboratoire des sciences de l'information et de la communication) a l'Universite Paris-13, et membre associee au Ceditec (Centre d'etude des discours, images, textes, ecrits, communications) a l'Universite Paris-12-Val-de-Marne. Dense et passionnant Ce livre tres interessant et bien ecrit s'appuie sur un argumentaire serieux et des references nombreuses et diverses. Nous percevons precisement ce qui se joue dans cette reproduction des elites par le biais d'une culture generale que l'on devrait, sans doute, renommer culture sociale. Passionnant de bout en bout, meme pour des non specialistes de la question, par la densite de son texte et l'eclairage nouveau qu'il apporte sur la selection dans trois grandes ecoles de la Republique. Quels sont les traits communs au langage des enarques? Quelles sont les caracteristiques du style militaire? A quels modeles se refere le discours des magistrats? L'analyse des " manieres de dire", signe de reconnaissance des elites, fait l'objet de ce livre. A ce titre, les plus prestigieux concours de selection de la fonction publique (Ecole nationale d'administration, Ecole de la magistrature, Ecole superieure de guerre de l'armee de terre rebaptisee Cours superieur d'etat-major), et plus particulierement les epreuves ecrites et orales de culture generale, sont un lieu d'observation privilegie de ces modeles discursifs. Etroitement liees aux procedures de prise de decision professionnelle, les conceptions de la culture, de l'argumentation et de l'expression, qui apparaissent dans le discours des jurys de concours, les meilleures copies et les sujets des epreuves, dessinent en definitive des modeles differents de l'action au service de l'Etat administrative, judiciaire et militaire. Au-dela, l'ouvrage de Claire Oger pose deux questions fondamentales celle d'une meritocratie republicaine davantage fondee sur un faconnage social anterieur que des savoirs acquis; et celle de la possibilite de reformer ces grandes ecoles si fortement ancrees dans les projets de leurs fondateurs. Claire Oger est maitre de conferences en sciences de l'information et de la communication, membre du LabSic (Laboratoire des sciences de l'information et de la communication) a l'Universite Paris-13, et membre associee au Ceditec (Centre d'etude des discours, images, textes, ecrits, communications) a l'Universite Paris-12-Val-de-Marne.   D'autre titre de Christiane Oger Le fa?onnage des ?lites de la R?publique: Culture g?n?rale et haute fonction publique Les clients ayant acheté cet article ont également acheté La fonction publique: chronique d'une r?volution silencieuse L'Etat en France: de 1789 ? nos jours Classement: Livres > Thèmes > Etudes supérieures > Université > Sciences politiques Mot Clef: Sciences politiques Histoire (memoires, temoignages, biographie)
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Vannes (Morbihan)
breizh.antiques.art@gmail.com 06 47 07 70 65 34 Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne à partir de 1880). Frappée en 1929. Graveur:  G Prud'homme. Dimension: 68 mm. Poids:  159 g. Métal : bronze. Poinçon sur la tranche (mark on the edge) : corne d'abondance + bronze . Envoi rapide et soigné.   Ferdinand Jean Marie Foch est né dans une famille bourgeoise catholique à Tarbes. Ferdinand est le sixième des sept enfants2 de Bertrand Jules Napoléon Foch (1803-1880) et de Sophie Dupré (1812-1883). Son père est « percepteur » (fonction parallèle à celle de trésorier-payeur général) originaire du Comminges (Gascogne)3. Quant à sa mère, elle est la fille de Jacques-Romain Dupré (Loriol, 1771 - Argelès-de-Bigorre, 26 janvier 18524), retraité capitaine, chevalier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII), chevalier de l'Empire, et de Marie-Anne Ducot. Sophie avait un frère, le chevalier Germain Dupré (10 janvier 1811-« Argelès-de-Bigorre5 » - Montpellier, ✝ 11 décembre 1893), médecin et sénateur. Maison natale du maréchal Foch à Tarbes. Au gré des affectations administratives de son père, il effectue sa scolarité à Tarbes, à Rodez, ou à Lyon. Il fréquente les collèges jésuites de Saint-Étienne et Saint-Clément de Metz. Il est chassé de ce dernier établissement pendant la guerre de 1870, le collège étant occupé par un bataillon de Poméraniens. Il passe les concours à Nancy et en novembre 1871 il intègre l'École polytechnique. Le 5 novembre 1883, il se marie avec Julie Bienvenüe (1860-1950) à l'église Saint-Michel de Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor), une petite-cousine de Fulgence Bienvenüe, créateur du métro de Paris. Le couple aura quatre enfants6: Foch en uniforme de colonel du 35e régiment d'artillerie. Marie Foch (1885-1972), épouse de Paul Bécourt, capitaine au 26e bataillon de chasseurs (✝ 22 août 1914), mort pour la France à Joppécourt7 (Meurthe-et-Moselle) et postérité dont Jean Bécourt-Foch (1911-1944), compagnon de la Libération; Anne Foch (1887-1981), épouse d'Alex Fournier (1879-1929), postérité; Henry Fournier-Foch, colonel (1912-2006); Eugène Jules Germain Foch (19 juin 1888 à Montpellier - 30 juin 1888 à Montpellier); Germain Jules Louis Foch (23 décembre 1889 à Montpellier - 22 août 1914), aspirant au 131e régiment d'infanterie, mort pour la France à Ville-Houdlémont (Meurthe-et-Moselle)8 (On peut remarquer une tragique ironie de l'histoire, le général perd son fils et son gendre, tués à l'ennemi, le même jour, moins de trois semaines après le début du conflit). À la déclaration de guerre contre l'Allemagne, en 1870, il s'engage au 4e régiment d'infanterie qui ne combat pas. À la fin de la guerre franco-prussienne, il décide de rester dans l'armée et intègre l'École polytechnique, choisit l'École d'application de l'artillerie et du génie dont il sort en 1873 comme officier d'artillerie. Il est affecté comme lieutenant au 24e régiment d'artillerie à Tarbes. En 1876, il suit au sein de l'École de cavalerie de Saumur le stage des officiers d'artillerie montée. Le 30 septembre 1878, il devient capitaine. Il arrive à Paris le 24 septembre 1879 comme adjoint au service du personnel du dépôt central de l'artillerie. Il entre ensuite à l'École supérieure militaire comme élève, effectue en 1885 le stage de l'école au 16e corps d'armée et devient lui-même professeur à cette école de 1895 à 1901. Il y est professeur d'histoire militaire, de stratégie et tactique générale, et devient l'un des théoriciens français de l'offensive. Il se fait connaître par ses analyses critiques de la guerre franco-prussienne et des guerres napoléoniennes. Il poursuit son ascension dans l'armée: promu lieutenant-colonel en 1898, il est nommé colonel en 1903, chef de corps du 35e régiment d'artillerie à Vannes, puis général de brigade (1907). Il assume le commandement de l'École de Guerre de 1907 à 1911, année où il est nommé général de division; puis en 1913, général commandant de corps d'armée, à la tête du 20e corps d'armée de Nancy. Elizabeth Greenhalgh considère que les promotions de cet homme ambitieux sont davantage dues à ses qualités de diplomate et à son sens politique qu'à ses talents militaires puisqu'il fait son début de carrière comme officier d'État-major, fonction par ailleurs méprisée par les officiers du rang9. The stand is not for sale. Le support n'est pas à vendre. _______________________________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques
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Vannes (Morbihan)
breizh.antiques.art@gmail.com 06 47 07 70 65 29 Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne d'abondance à partir de 1880). Médaille frappée vers 1929. Belle patine, quelques petits traces d'oxydation sans gravité, ainsi que de petits chocs sur la tranche. Graveur: G Granger. Dimensions: 68 mm. Poids: 174 g. Métal:bronze. Poinçon sur la tranche (mark on the edge) : Corne d'abondance + bronze . Envoi rapide et soigné. Ferdinand Jean Marie Foch est né dans une famille bourgeoise catholique à Tarbes. Ferdinand est le sixième des sept enfants2 de Bertrand Jules Napoléon Foch (1803-1880) et de Sophie Dupré (1812-1883). Son père est « percepteur » (fonction parallèle à celle de trésorier-payeur général) originaire du Comminges (Gascogne)3. Quant à sa mère, elle est la fille de Jacques-Romain Dupré (Loriol, 1771 - Argelès-de-Bigorre, 26 janvier 18524), retraité capitaine, chevalier de la Légion d'honneur (25 prairial an XII), chevalier de l'Empire, et de Marie-Anne Ducot. Sophie avait un frère, le chevalier Germain Dupré (10 janvier 1811-« Argelès-de-Bigorre5 » - Montpellier, ✝ 11 décembre 1893), médecin et sénateur. Maison natale du maréchal Foch à Tarbes. Au gré des affectations administratives de son père, il effectue sa scolarité à Tarbes, à Rodez, ou à Lyon. Il fréquente les collèges jésuites de Saint-Étienne et Saint-Clément de Metz. Il est chassé de ce dernier établissement pendant la guerre de 1870, le collège étant occupé par un bataillon de Poméraniens. Il passe les concours à Nancy et en novembre 1871 il intègre l'École polytechnique. Le 5 novembre 1883, il se marie avec Julie Bienvenüe (1860-1950) à l'église Saint-Michel de Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor), une petite-cousine de Fulgence Bienvenüe, créateur du métro de Paris. Le couple aura quatre enfants6: Foch en uniforme de colonel du 35e régiment d'artillerie.    Marie Foch (1885-1972), épouse de Paul Bécourt, capitaine au 26e bataillon de chasseurs (✝ 22 août 1914), mort pour la France à Joppécourt7 (Meurthe-et-Moselle) et postérité dont Jean Bécourt-Foch (1911-1944), compagnon de la Libération;     Anne Foch (1887-1981), épouse d'Alex Fournier (1879-1929), postérité; Henry Fournier-Foch, colonel (1912-2006);     Eugène Jules Germain Foch (19 juin 1888 à Montpellier - 30 juin 1888 à Montpellier);     Germain Jules Louis Foch (23 décembre 1889 à Montpellier - 22 août 1914), aspirant au 131e régiment d'infanterie, mort pour la France à Ville-Houdlémont (Meurthe-et-Moselle)8 (On peut remarquer une tragique ironie de l'histoire, le général perd son fils et son gendre, tués à l'ennemi, le même jour, moins de trois semaines après le début du conflit). À la déclaration de guerre contre l'Allemagne, en 1870, il s'engage au 4e régiment d'infanterie qui ne combat pas. À la fin de la guerre franco-prussienne, il décide de rester dans l'armée et intègre l'École polytechnique, choisit l'École d'application de l'artillerie et du génie dont il sort en 1873 comme officier d'artillerie. Il est affecté comme lieutenant au 24e régiment d'artillerie à Tarbes. En 1876, il suit au sein de l'École de cavalerie de Saumur le stage des officiers d'artillerie montée. Le 30 septembre 1878, il devient capitaine. Il arrive à Paris le 24 septembre 1879 comme adjoint au service du personnel du dépôt central de l'artillerie. Il entre ensuite à l'École supérieure militaire comme élève, effectue en 1885 le stage de l'école au 16e corps d'armée et devient lui-même professeur à cette école de 1895 à 1901. Il y est professeur d'histoire militaire, de stratégie et tactique générale, et devient l'un des théoriciens français de l'offensive. Il se fait connaître par ses analyses critiques de la guerre franco-prussienne et des guerres napoléoniennes. Il poursuit son ascension dans l'armée: promu lieutenant-colonel en 1898, il est nommé colonel en 1903, chef de corps du 35e régiment d'artillerie à Vannes, puis général de brigade (1907). Il assume le commandement de l'École de Guerre de 1907 à 1911, année où il est nommé général de division; puis en 1913, général commandant de corps d'armée, à la tête du 20e corps d'armée de Nancy. Elizabeth Greenhalgh considère que les promotions de cet homme ambitieux sont davantage dues à ses qualités de diplomate et à son sens politique qu'à ses talents militaires puisqu'il fait son début de carrière comme officier d'État-major, fonction par ailleurs méprisée par les officiers du rang. Le chevalet n'est pas à vendre. The stand is not for sale.   ____________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques
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Vannes (Morbihan)
breizh.antiques.art@gmail.com. http://stores.shop..fr/breizh-antiques 16 Médaille en bronze de la Monnaie de Paris (Poinçon corne à partir de 1880). Graveur: Charles Pillet. Dimension: 70 mm par 50 mm. Poids: 99 g. Métal: bronze. Poinçon sur la tranche (mark on the edge) : Corne d'abondance + bronze. Envoi rapide et soigné. Le support utilisé pour présenté la médaille n'est pas à vendre. The stand used for the medal presented is not for sale.   ____________________________________________________ Contact: breizh.antiques.art@gmail.com Phone: à partir de France: 06 47 07 70 65 Abroad: 0033 647 077 065 Notre boutique: http://stores.shop..fr/breizh-antiques Louis Lépine Pour les articles homonymes, voir Lépine. Louis Lépine à la fin du XIXe siècle. Louis Lépine gouverneur de l'Algérie. Louis Lépine et Georges Clemenceau en 1908. Lépine candidat: extrait d'une caricature de L'Humanité du 28 mai 1913  : « Aujourd'hui, les électeurs de Chialvo m'appellent. Demain, toute la France m'appellera ». Louis Lépine en 1912. Louis Jean-Baptiste Lépine, né à Lyon le 6 août 1846 et mort à Paris le 10 novembre 1933, est un avocat et homme politique français, préfet de police de la Seine, inventeur de la brigade criminelle et du Concours Lépine. Sommaire * 1 Biographie * 2 Postérité * 3 Iconographie * 4 Notes * 5 Bibliographie * 6 Liens externes Biographie Ce fils d'un « teneur de livres » fait ses études à Lyon, Paris et Heidelberg. Il termine ses études de droit dans le quartier Latin quand éclate la guerre de 1870 au cours de laquelle il s'illustre et est décoré de la médaille militaire. À la fin de la guerre, il devient avocat, avant d'entamer une carrière dans l'administration : sous-préfet de Lapalisse, de Montbrison, de Langres et de Fontainebleau, puis préfet de l'Indre, de la Loire, puis de Seine-et-Oise. Alors qu'il est préfet de la Loire, le 6 décembre 1891, un coup de grisou au puits de la manufacture coûte la vie à 62 mineurs et jette la consternation dans Saint-Etienne. Il prend place dans la première benne descendue au secours des victimes et parcourt les galeries incendiées empestées encore d’un air méphitique. C’est à cette occasion qu’il reçoit la médaille d’or de sauvetage1. Il devient préfet de police de la Seine en 1893 et crée cette année-là un service centralisé de collecte des objets trouvés. Attaché aux traditions festives de la police parisienne, il fait partie des donateurs pour la restauration de la Promenade du Bœuf Gras en 1896, en versant 200 francs de sa cassette personnelle. De 1897 à 1899, il effectue une courte parenthèse comme Gouverneur général de l'Algérie, avant de redevenir préfet de police de la Seine. En 1901, pour lutter contre la crise qui touche les petits fabricants parisiens de jouets et de quincaillerie, il crée un concours-exposition qui deviendra plus tard le concours Lépine. Durant sa carrière de préfet de police de la Seine, il met en place la permanence dans les commissariats, équipe les gardiens de la paix en 1897 d'un bâton blanc2 et d'un sifflet à roulette, crée la brigade fluviale ainsi que les brigades cyclistes en 1901 (les hirondelles à moustache avec leur pèlerine)3  ; fait installer 500 avertisseurs téléphoniques, rouges pour alerter les pompiers, puis pour alerter police-secours ; réorganise la circulation en instaurant les passages piétons, les sens uniques et les sens giratoires et encourage les premiers développements de la police scientifique, crée les chiens sauveteurs, réalise un « coup médiatique » en 1908 en créant les « agents Berlitz » (formés à l'École de langues Berlitz, ils sont chargés de renseigner les touristes, se distinguant de leurs collègues par le port d'un brassard indiquant la langue maîtrisée)4. En 1909, il crée le musée de la Préfecture de Police et les Collections historiques de la Préfecture de police (archives de la police)5. C'est sous son autorité que, le 13 juin 1910 pendant la grève chez Sanyas & Popot, l'agent Gauthier frappe à tête l'ébéniste Henri Cler qui décèdera de ses blessures le 21 juin 1910  ; la mort de cet anarchiste provoque, le 26 juin 1910, une manifestation tournant à l'émeute que la police réprime dans le sang6. En 1912, il est élu membre de l'Académie des sciences morales et politiques. En 1913, il quitte la préfectorale et se consacre à la rédaction de ses mémoires (Mes souvenirs), qui sont publiés en 1929. Il se porte en mai 1913 candidat à Montbrison au siège de député laissé vacant par la mort de Claude Chialvo 7. Il choisit en 1914 de se présenter dans la Seine, mais il est battu. Postérité Il a donné son nom à une place Louis-Lépine dans le 4e arrondissement de Paris. En hommage à son travail à la tête de la police parisienne, la trente-deuxième promotion de commissaires de police issue de l'École nationale supérieure de la police, entrée en fonction en 1982, porte son nom. Son frère Raphaël Lépine, physiologiste de renom a connu une belle carrière professionnelle dans le domaine de la médecine expérimentale. Iconographie Une plaquette à l'effigie de Louis Lépine a été réalisée par le graveur Charles Pillet en 1912, sur commande de la Ville de Paris. Un exemplaire en est conservé au musée Carnavalet (ND 0268). Notes * ↑ http://www.concours-lepine.com/qui-est-le-concours-lepine/louis-lepine/  ] * ↑ BASTUM bâton  ] * ↑ Amicale Police et Patrimoine, « Agents cyclistes surnommés « hirondelles » »  ], sur amicale-police-patrimoine.fr (consulté le 25 août 2011) * ↑ Myriam Tsikounas, Imaginaires urbains du Paris romantique jusqu'à nos jours, Editions Le Manuscrit,‎ 2011 (lire en ligne  ]), p. 261 * ↑ Longtemps installées dans les locaux de la Préfecture de police de Paris, ces collections très riches sont à présent installées dans l'hôtel de police du 5e arrondissement. * ↑ Le goût de l'émeute, Manifestation et violence de rue dans Paris et sa banlieue à la « belle époque »  ], Anne Steiner, L'Échappée, 2012, (ISBN  978-29158303-9-2), p. 124-126 * ↑ « M. Lépine cherche une circonscription? », in L'Humanité, 27 mai 1913  ]] Bibliographie * Jacques Porot, Louis Lépine : préfet de police-témoin de son temps : 1846-1933, Paris, 1994 * Jean-Marc Berlière, Le Préfet Lépine : vers la naissance de la police moderne, Paris, 1993 Liens externes * Notices d’autorité  : Fichier d’autorité international virtuel  • International Standard Name Identifier  • Bibliothèque nationale de France  • Système universitaire de documentation * Notice biographique sur le site officiel du Concours Lépine * Acte de naissance de Louis Lépine   v  · m Préfets de police de Paris * Portail de Paris Catégories  : * Préfet de police de Paris * Préfet de Seine-et-Oise * Gouverneur de l'Algérie * Ancien député de la Loire (Troisième République) * Académie des sciences morales et politiques * Naissance en août 1846 * Naissance à Lyon * Décès en novembre 1933 * Décès à Paris * Décès à 87 ans * Police nationale (France) * Préfet de l'Indre * Préfet de la Loire * Sous-préfet | Menu de navigation * Créer un compte * Se connecter * Article * Discussion * Lire * Modifier * Modifier le code * Historique * Accueil * Portails thématiques * Article au hasard * Contact Contribuer * Débuter sur Wikipédia * Aide * Communauté * Modifications récentes * Faire un don Imprimer / exporter * Créer un livre * Télécharger comme PDF * Version imprimable Outils * Pages liées * Suivi des pages liées * Importer un fichier * Pages spéciales * Adresse de cette version * Information sur la page * Élément Wikidata * Citer cette page Autres langues * English * Esperanto * Svenska Modifier les liens * Dernière modification de cette page le 15 octobre 2015 à 14:03. * Droit d'auteur: les textes sont disponibles sous licence Creative Commons paternité partage à l’identique; d’autres conditions peuvent s’appliquer. 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